La mauvaise foi d'un mal intentionné
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Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
B JP a écrit:Profondeur insondable de l'irréflexion d'un Clown.Mégalomane.Irresponsable ! ...C.M.I. a écrit:
En effet, on frôle votre Thèse ici ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Carolus.Magnus.Imperator. a écrit:B JP a écrit:Profondeur insondable de l'irréflexion d'un Clown.Mégalomane.Irresponsable ! ...C.M.I. a écrit:
En effet, on frôle votre Thèse ici ...
gabrielle- Nombre de messages : 19797
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Dans ce message
La différence, c'est qu'avec moi, c'était volontaire : pour ne pas discuter avec Sa Sainteté la Papesse ! ...gabrielle a écrit:
Profondeur insondable de l'irréflexion ...n'est-ce pas un certain JP qui se plaisait à faire comme réponsenanananère
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
JP B a écrit ...des insultes comme à son habitude...comme cette dernière à l'adresse de Gabrielle :
Pour être papesse, il faut se dire supérieur au pape et le remplacer...
Mais n'est-ce pas ton oeuvre et l'oeuvre de Guérard depuis 40 ans mon JP B
Qui à part toi, s'est permis sur ce forum de priver un pape de l'Eglise catholique de sa juridiction en jugeant au for interne son intention de ne pas gouverner l'Eglise alors qu'au for externe il acceptait la charge de successeur de Pierre.
Gabrielle n'a jamais été papesse et en aucune manière ne peut en être accusée d'y prétendre mais toi tu es comme Isnogoog qui a toute sa vie voulu être calife à la place du calife.
Toi, mon JP B, à son imitation, c'est toi qui décide du pouvoir du successeur de Saint Pierre.
Isnogoog-Bontemps a décidé que son pape n'avait que les pouvoirs que Isnogood-Bontemps-Guérard voulait bien lui donner afin de pouvoir décider quand le bout de pape qu'ils nous ont fait connaître ces derniers temps en les personnes de Montini, Wojtyla et Ratzinger qui, d'après toi, ont été légitimement et validement élus et reconnus par l'Eglise catholique, pourrait être pape comme avant..;et comme les autres successeurs de Saint Pierre !
Mon gros insulteur de personnes très honorables, c'est toi qui est pape à la place du pape et mieux encore car jamais pape ne s'est donné plus ou moins de pouvoir qu'il n'en a reçu du Christ.
Oui, mon gros Je Produis des Bourdes et des insultes, Tu te fais Christ à la place du Christ et c'est toi qui donnes au successeur de Saint Pierre les pouvoirs que tu veux bien lui donner et quand tu veux bien lui donner.
[b]
La différence, c'est qu'avec moi, c'était volontaire : pour ne pas discuter avec Sa Sainteté la Papesse ! ...
Pour être papesse, il faut se dire supérieur au pape et le remplacer...
Mais n'est-ce pas ton oeuvre et l'oeuvre de Guérard depuis 40 ans mon JP B
Qui à part toi, s'est permis sur ce forum de priver un pape de l'Eglise catholique de sa juridiction en jugeant au for interne son intention de ne pas gouverner l'Eglise alors qu'au for externe il acceptait la charge de successeur de Pierre.
Gabrielle n'a jamais été papesse et en aucune manière ne peut en être accusée d'y prétendre mais toi tu es comme Isnogoog qui a toute sa vie voulu être calife à la place du calife.
Toi, mon JP B, à son imitation, c'est toi qui décide du pouvoir du successeur de Saint Pierre.
Isnogoog-Bontemps a décidé que son pape n'avait que les pouvoirs que Isnogood-Bontemps-Guérard voulait bien lui donner afin de pouvoir décider quand le bout de pape qu'ils nous ont fait connaître ces derniers temps en les personnes de Montini, Wojtyla et Ratzinger qui, d'après toi, ont été légitimement et validement élus et reconnus par l'Eglise catholique, pourrait être pape comme avant..;et comme les autres successeurs de Saint Pierre !
Mon gros insulteur de personnes très honorables, c'est toi qui est pape à la place du pape et mieux encore car jamais pape ne s'est donné plus ou moins de pouvoir qu'il n'en a reçu du Christ.
Oui, mon gros Je Produis des Bourdes et des insultes, Tu te fais Christ à la place du Christ et c'est toi qui donnes au successeur de Saint Pierre les pouvoirs que tu veux bien lui donner et quand tu veux bien lui donner.
[b]
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Gégé a écrit:[...] Je Produis des Bourdes et des insultes, [...]
Non seulement, de la part de Gégé, cela est parfaitement exact, mais, toujours de sa part, ce qu'il a voulu signifier là ne manque pas de sel !...
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
B JP a écrit:Gégé a écrit:[...] Je Produis des Bourdes et des insultes, [...]
Non seulement, de la part de Gégé, cela est parfaitement exact, mais, toujours de sa part, ce qu'il a voulu signifier là ne manque pas de sel !...
C'est vrai de dans votre cas, Jean-Paul, cela ne serait pas parfaitement exact ...
Je ne sais pas pourquoi, mais si je disais que cela ne pourrait pas s'appliquer parfaitement à vous, je me sentirais étrangement menteur ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Carolus.Magnus.Imperator a écrit à l'adresse de notre ami commun :
Je ne sais pas pourquoi, mais si je disais que cela ne pourrait pas s'appliquer parfaitement à vous, je me sentirais étrangement menteur ... [/quote]
Je ne sais pas pourquoi, mais si je disais que cela ne pourrait pas s'appliquer parfaitement à vous, je me sentirais étrangement menteur ... [/quote]
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Alors, celui que Catherine dit « catholique (et de plus très intelligent et très savant, un as effectivement et je lui reconnais ces qualités sans problème) » ;
celui que Diane trouve qu’on juge « trop sévèrement, et cela est bien dommage » ;
le “quelqu'un de brillant”, de qui Sandrine a « toujours été très impressionnée par vos développements doctrinaux carrés » et qui dit de vous
Où en êtes-vous après toutes vos promesses de réponse qui, depuis quatre mois demain, devait arrivée incessamment ?
RAPPEL :
Plusieurs fois
…
Le « Mar 08 Mar 2011, 00:22 »
Après ce rappel du « Sam 19 Mar 2011, 05:39 », ce Célèbre.Meneur-en-bateau.International, le même jour (samedi 19 mars 2011) à “13:19”,
Après plus de quatre ( 4 !…) mois, nous attendons toujours !
Et, en attendant, nous rions bien ! (Lui, pleurniche : « JP B me pond des textes de 4978 lignes qu'il me faudrait lire, décortiquer, et réfuter […] ») …
…
celui que Diane trouve qu’on juge « trop sévèrement, et cela est bien dommage » ;
le “quelqu'un de brillant”, de qui Sandrine a « toujours été très impressionnée par vos développements doctrinaux carrés » et qui dit de vous
Avez-vous remarqué, cher CMI, qu'en règle générale, je n'interviens jamais ou je cesse d'intervenir quand vous-même débattez sur le même fil.
La raison en est bien simple : vous êtes plus calé que moi et je préfère vous laisser la place !
Où en êtes-vous après toutes vos promesses de réponse qui, depuis quatre mois demain, devait arrivée incessamment ?
RAPPEL :
Plusieurs fois
Après que le « Mer 16 Fév 2011, 19:55 » (heure française) C.M.I. eût écritJP B a écrit:
ARGUMENTATION proprement dite :
Il est flagrant désormais que Benoît XVI et tous ceux qui le suivent disent des hérésies ou cautionnent de façon inacceptable des hérésies.
Il s’agit ici directement d'hérésies, puisque manifestement il y a hérésies, mais sans s’arrêter sur les erreurs moins graves contre la Foi, ni sur les scandales en paroles, en actions ou/et par omissions.
Nous ne parlons bien que des seules hérésies en tant que telles.
Il ne suffit pas, pour être formellement hérétique, de proférer des hérésies : le fait de dire une hérésie n’est pas forcément toujours un péché. Certes, le fait de dire une hérésie est la matière du péché d'hérésie, mais à cette matière, il manque encore la forme (c'est la distinction acceptée par les théologiens catholiques au moins depuis saint Thomas d'Aquin, et encore davantage depuis le Concile de Trente et cela correspond à la notion bien connue de “péché matériel” et de “péché formel”) il manque encore la forme, donc, pour que ce “péché matériel” soit réellement un péché, ou “péché formel”.
La forme du péché en général réside dans la volonté.
Et la forme du péché d'hérésie en particulier réside dans la volonté actuelle d'aller contre l'autorité infaillible de Dieu. C’est ce qu’on appelle « la pertinacité ».
Cela dit, Puisque l'Église est une société visible, composée d'hommes et de femmes, obéissant à des règles conformes à l'obtention de sa fin qui est le salut des âmes, cette pertinacité doit être constatée par l'autorité visible et infaillible de l'Église (qui représente sur terre l'autorité infaillible de Dieu) pour être imposée sans erreur aux yeux de tous.
Ainsi, pour récapituler là où nous en sommes, nous dirons que :
- une chose est de dire des hérésies ;
- une autre d'être hérétique formel devant Dieu ;
- une autre encore d'être canoniquement hérétique formel devant l'Église.
Quelques exemples concrets feront, espérons-le, bien comprendre tout cela :
- Ainsi, en faisant par exemple le catéchisme à des enfants, si nous leur enseignons par mégarde une hérésie, cela ne fait pas pour autant de nous des hérétiques, et heureusement !
- Cependant, si nous maintenons notre position en ayant bien réfléchi, longuement, aux conséquences, en ayant pleinement conscience du fait que notre position est contraire à la foi, etc., alors, il pourra se trouver un moment où nous commettrons réellement le péché formel d'hérésie en allant CONSCIEMMENT contre l'autorité infaillible de Dieu.
- Et pourtant, jusque là, notre péché reste caché !
Mais si, maintenant, nous commençons à le dire autour de nous, les gens vont être scandalisés et vont se demander si nous sommes formellement hérétiques ! Or, le moyen ordinaire pour eux sera de suivre le jugement de l'autorité de l'Église.
C’est pourquoi si nous maintenons notre avis contre une autorité représentant canoniquement l'Église et exigeant de nous rétractation, alors nous devenons hérétique formel public !
Plus personne n'est alors en droit de douter de notre pertinacité.
Appliquons ces règles aux modernistes, en particulier à ceux qui devraient constituer la hiérarchie de l'Église, en jouissant du pouvoir de juridiction : ceux que dans l'Église en ordre on appelle le Pape, les cardinaux, les évêques dirigeant les diocèses (et dans une moindre mesure les curés dirigeant les paroisses) :
- Disent-ils des hérésies ?
Oui !- Sont-ils hérétiques devant Dieu ?
C'est très possible, voire probable. Nous pouvons avoir notre opinion là-dessus (et encore, avec prudence…) mais même si nous en sommes convaincus nous n'avons aucun moyen de l'imposer aux autres membres de l'Église, parce que nous n'avons aucun pouvoir de juridiction, c'est à dire aucun pouvoir de parler canoniquement au nom de l'Église.- L'Église a-t-elle constaté leur pertinacité par des monitions faites par des personnes autorisés (c'est à dire ayant juridiction) ?
HELAS NON ! et c'est justement le tragique de la situation ; c'est justement ce qui nous manque pour les déclarer canoniquement hérétiques et les remplacer par d'autres personnes, notamment en élisant un Pape.
Le tragique de la situation n'est pas tant que nous n'ayons plus de Pape mais que tous les évêques ayant juridiction dans le monde aient suivi quelqu’un qui n’était pas formellement Pape. C’est cela, précisément, qui est incroyable. Mgr Lefebvre et Mgr de Castro Mayer auraient pu faire des monitions à Paul VI… Mais ils ne l'ont pas fait.
CONCLUSION :
En conclusion, nous dirons avec l’“Istituto Mater Boni Consilii” dont nous pensons qu’aucun Prêtre ne contredira cette conclusion, ceci :Nous sommes obligés
- de considérer que Paul VI et ses successeurs disent des hérésies ;
- de considérer également qu’ils sont très probablement hérétiques formels devant Dieu ;
Mais,- Nous sommes également obligés de considérer qu'il manque une décision de l'Église faisant autorité pour affirmer qu'ils sont canoniquement hérétiques formels.
- En l'absence, donc, d'une telle prise de position canonique publique, personne n'est en droit, aux yeux de droit canon c'est à dire du droit de l'Église catholique, d'affirmer qu'ils sont en-dehors de l'Église catholique.
En conséquence, bien que scandaleux et à combattre, ils font canoniquement partie de l'Église catholique tout comme chacun de nous (bien qu'il soit probable qu'ils sont formellement en-dehors à cause de leur hérésie formelle, mais, de cela, Dieu seul le sait)
Ainsi, notamment, le terme “d'église conciliaire” que nous utilisons tous pour plus de clarté, n'a pas d'existence juridique. Il n'y a qu'une seule Église, l'Église catholique : on est dedans ou on est dehors. Mais on peut être dehors réellement et que seul Dieu le sache, tant en semblant être dedans aux yeux des lois de la société visible qu'est l'Église.
Un autre exemple, espérons-le, le fera comprendre :
Quel est la situation devant Dieu et devant l'Église de deux époux ayant échangé les consentements à l'Église sans vouloir en réalité se marier mais l'ayant caché au prêtre ?
Devant Dieu ils sont adultères, scandaleux et méritent l'enfer ; devant l'Église ils sont de bons époux qui font leur devoir et gagnent des mérites et sont un exemple pour les autres !
Il faudra attendre que l'Église soit informée de leur mensonge sacrilège et les déclare non-mariés pour que cela soit imposable à tous.
Nota Bene 1 : Le fait que le scandale des modernistes dure depuis 50 ans et soit on-ne-peut-plus public n'y change rien : les théologiens enseignent clairement que la pertinacité n'a rien à voir avec la durée ou avec l'évidence pour les autres de l'erreur du coupable. La pertinacité est dans la volonté du coupable, pas dans celle de ceux qui le jugent.
Nota Bene 2 : Pour constater leur pertinacité, même sans l'autorité de l'Église, il pourrait suffire que Paul VI, Benoît XVI and Co disent publiquement qu'ils sont hérétiques pertinaces ou qu'ils sont en-dehors de l'Église (qu’ils ne font plus partie de l'Église Catholique, qu’ils rejettent celle-ci, etc., qu’ils fassent, en un mot, toute espèce de déclaration aussi catégorique que celles-ci)… mais ils ne l'ont jamais dit justement, bien au contraire hélas !
Nota Bene 3 : Terminons par cette anecdote éloquente qui est arrivée il y a deux ans à un Prêtre de l’“Istituto Mater Boni Consilii”.
Une fidèle d’une chapelle desservie par ce Prêtre lui dit un jour en parlant de la Thèse de Cassiciacum : « Monsieur l'abbé, vous dites des hérésies ! Donc vous êtes hérétiques, donc vous n'êtes plus dans l'Église catholique ! »
La même personne est venue lui dire deux semaines plus tard, alors qu’il n'avait rien changé à ses positions (nous tenons l’histoire de l’abbé en question lui-même et plusieurs peuvent en témoigner…) : « Monsieur l'abbé, j'ai changé d'avis et je crois maintenant que vous êtes dans l'Église catholique. »
« Ce genre d'affirmation hallucinante [expose notre abbé après cette mésaventure] est monnaie courante parmi les sédévacantistes et cette anecdote fait encore davantage comprendre combien il est illusoire de penser que des personnes privées dans l'Église puissent décider qui est dans l'Église ou qui n’y est pas. Cela vaut même pour des prêtres ou des évêques : on ne peut parler au nom de l'Église, canoniquement parlant, que si l'on est revêtu du pouvoir ordinaire de juridiction, c'est à dire du pouvoir devant le Christ de paître en son nom une partie de son troupeau.
« Or, la juridiction ordinaire venant du Pape et uniquement du Pape, puisque nous sommes privés d'autorité pontificale et puisque tous ceux qui avaient juridiction l'ont formellement perdu en suivant Jean XXIII, Paul VI, etc. Benoît XVI dans leurs erreurs publiques, il n'y a plus sur terre à l'heure actuelle de pouvoir formel ordinaire de juridiction.
« C'est là tout notre malheur. »
Nota Bene 4 : Remarquons bien d'ailleurs que la Thèse de Cassiciacum ne parle que du pouvoir de juridiction.
De ce point de vue, en effet, ces modernistes forment une hiérarchie matérielle, canoniquement toujours membre hélas de l'Église, mais qui peut permettre heureusement que les choses repartent de l'intérieur de l'Église quant au pouvoir de juridiction (pour garantir que c'est canoniquement la même Église qui reparte). En revanche, ce sont les seuls traditionalistes qui auront gardé les Sacrements purs de toute référence aux modernistes au pouvoir, et non pas les modernistes, qui assureront la continuité (ou succession apostolique) quant au pouvoir d'ordre comme, du reste, pour le témoignage de la foi.
Nous avons là la raison qui a fait écrire cette phrase dans la note n° 5 (col. 2) en page 10 du dernier numéro (N° 63) de la revue Sodalitium :M. l’abbé Francesco R[size=9]ICOSSA[/size] a écrit:[…] Le fait est que, du moins juridiquement, l’Église conciliaire [ou “la secte conciliaire”] n’existe pas, et les modernistes qui occupent [materialiter] les Sièges épiscopaux, y compris le Premier Siège, se trouvent encore, du moins juridiquement et au for externe, « dans le sein même et au cœur de l’Église » selon la célèbre expression de l’encyclique Pascendi. […]
Discussion :
Il faut toutefois remarquer que, à ce qui précède, il peut être fait deux objections :
- Au for externe et public, il peut arriver que l'on puisse présumer la pertinacité du sujet incriminé, sans avoir besoin de monitions.
Ainsi, si Josef RATZINGER demain venait à affirmer publiquement que le pape n’est jamais infaillible ou bien que la T.S. Vierge Marie n’a pas été préservée du péché originel ou encore que son âme ne soit pas montée avec son corps immaculé au ciel, bien franchement, nous n’aurions pas besoin des monitions pour affirmer que nous avons affaire à un hérétique public et manifeste, qui a cessé d’appartenir extérieurement à l’Église, et qu’en conséquence il ne saurait être la matière (analogiquement parlant) désignée au Souverain Pontificat.
Mais le fait est que nous n’en sommes pas là (contrairement du reste à ce qu'affirment les super surexcités plus durs que les durs de durs). Pourquoi ? Parce que Josef RATZINGER ne profère pas publiquement des hérésies au sens “canonique” du mot, c’est-à-dire des propositions directement et explicitement contraires à des définitions du Magistère infaillible de l’Église (surtout si ces propositions sont déjà condamnées telles quelles par ledit Magistère comme directement contraires à la Divine Révélation).- Comment donc, si l’on ne peut pas faire état de l’hérésie publique et manifeste de Josef RATZINGER (au sens de l’hérésie-péché), peut-on cependant faire état de ce que le même Josef RATZINGER n’est pas pape, du moins formaliter ?
En réalité cette objection, sous forme de question, ne tient pas :
Le fait que Josef RATZINGER ne soit pas formellement pape est constatable par tout membre de l’Église Catholique, même si celle-ci n’a pas encore hiérarchiquement pris acte de la chose (en ce sens également Josef RATZINGER est toujours l’occupant légal – mais non formel – du Siège Apostolique). La chose est constatable, parce qu’il maintient, prétendument en tant que l'Autorité, ce que l'Autorité Apostolique divinement assistée ne peut ni promulguer ni maintenir, savoir : Vatican II (liberté religieuse, œcuménisme, collégialité, etc.) et ladite “nouvelle messe”, et lesdits “nouveaux rites” qui l’accompagnent.
Il est donc constatable, et de fait constaté par une petite partie du troupeau, que Josef RATZINGER n’est pas formellement pape.
Mais malheureusement la chose n'est pas constatée par ceux qui ont pouvoir sur l’élection : les cardinaux et (extraordinairement) les évêques.
Pour ce qui est de l’hérésie-péché au for externe et public de Josef RATZINGER il en va tout autrement. Non seulement elle n’est pas constatée par ceux qui ont pouvoir sur l’élection, mais dans l’état actuel des choses elle n’est pas réellement constatable par les membres de l’Eglise enseignée. En effet, pour ce faire il faudrait, de la part du sujet incriminé, une hérésie au sens “canonique” du terme. Cf. le 1° ci-dessus.
Cela dit, « Une des conséquences déplorables […] de la crise d’autorité actuelle (dans l’Église catholique, et aussi en dehors d’elle) est la dispersion du troupeau dont le pasteur a été frappé, ce pour quoi chaque brebis du troupeau s’érige en maître dans l’Église de Dieu, sans même en avoir reçu la mission, l’autorité et souvent la capacité. Comme aux temps de la réforme luthérienne, le dernier ignorant disserte sur les dogmes dont il ignore tout, interprète l’Écriture, se fait théologien, veut enseigner au prêtre la liturgie, ne croit pas à l’infaillibilité du Pape, mais à la sienne propre… » (Abbé Francesco RICOSSA, dernier Sodalitium (N° 63) : Cliquer sur "Télécharger le Fichier" ; pp. 36-37. – Souligné par nos soins.)
Après que le « Ven 4 Mar - 12:41 » (heure québécoise) je lui eus réponduMon p'tit Paul, je vais revenir éventuellement sur votre long texte que vous nous assénez un peu partout depuis des lustres ...
P.S.: Vous allez déchanter !
Le « Ven 4 Mar - 12:54 » (heure québécoise)
[…]
Où en sommes-nous, après plus de 15 jours ?
[…]
« Ça va venir ! »C.M.I. a écrit:Ça va venir !
[…]
…
Le « Mar 08 Mar 2011, 00:22 »
C.M.I a écrit:
[...]
Je vous reviens dans les prochains jours avec une surprise !...
Après ce rappel du « Sam 19 Mar 2011, 05:39 », ce Célèbre.Meneur-en-bateau.International, le même jour (samedi 19 mars 2011) à “13:19”,
Le « Mar 5 Avr - 7:48[/i] »a écrit:T'inquiètes pas ... faut juste que je prenne le temps de finir mon truc ! :twisted:
C.M.I a écrit:
[...]
Non, ne t'inquiètes pas Gros Jambon !
J'en suis au 3/4 du texte ... tu vas pleurer !
Après plus de quatre ( 4 !…) mois, nous attendons toujours !
Et, en attendant, nous rions bien ! (Lui, pleurniche : « JP B me pond des textes de 4978 lignes qu'il me faudrait lire, décortiquer, et réfuter […] ») …
…
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Désolé, Bontemps, j'ai fait la réfutation au trois quart de ce texte sur un fichier « word », mais je me suis arrêté en cours de route car ce sont toutes les mêmes objections d'entêté reformulées autrement que vous m'y faites.
J'en ai marre de perdre mon temps avec vous ...
J'en ai marre de perdre mon temps avec vous ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
JP B a écrit:Il est flagrant désormais que Benoît XVI et tous ceux qui le suivent disent des hérésies ou cautionnent de façon inacceptable des hérésies.
Notons ici que le terme flagrant (Évident, incontestable) vient du latin flagrans lequel signifie : qui éclate sous les yeux (Dict. Latin-Français, Henri Goelzer, flagrans).
Notons également le sens du verbe cautionner : Approuver, apporter son soutien.
Donc, selon JP B et son passeux de textes :
1 - Benoit XVI professe incontestablement l’hérésie,
et, suivant la racine latine du mot flagrant, c’est-à-dire flagrans, cela éclate aux yeux.
2. Benoit XVI approuve l’hérésie d’une manière inacceptable,
et, encore une fois, suivant la racine latine du mot flagrant, c’est-à-dire flagrans, cela éclate aux yeux.
JP B a écrit:Il s’agit ici directement d'hérésies, puisque manifestement il y a hérésies, mais sans s’arrêter sur les erreurs moins graves contre la Foi, ni sur les scandales en paroles, en actions ou/et par omissions.
Donc, en substance, il s’agit ici d’hérésies directes et manifestes, et non de simples erreurs contre la foi, ni de scandales etc.
JP B a écrit:Nous ne parlons bien que des seules hérésies en tant que telles.
Notons, pour de plus amples précisions, qu’il s’agit ici de l’hérésie en tant que telle.
Pour faire court, donc, selon JP B, Benoit XVI professe incontestablement l’hérésie d’une façon inacceptable, et cela éclate aux yeux.
JP B a écrit:Il ne suffit pas, pour être formellement hérétique, de proférer des hérésies : le fait de dire une hérésie n’est pas forcément toujours un péché.
Et notons, encore une fois, qu’il ne suffit pas de scander qu’un individu n’est pas formellement hérétique pour éviter d’être tenu comme tel. Celui qui agit extérieurement comme un hérétique, est présumé hérétique jusqu’à preuve du contraire (cf. canon 2200, §2).
R.P. MacKenzie, The Delict of Heresy, p.30 a écrit:
Le simple accomplissement d’un acte signifiant l’hérésie, e.g. l’énoncé d’une quelconque doctrine tenue pour contraire ou contradictoire à un dogme révélé et défini, établit une base suffisante pour la présomption de droit de dépravation hérétique. Il peut toutefois y avoir des circonstances qui excusent la personne de toute responsabilité, ou encore de toute grave responsabilité. Ces circonstances excusantes doivent être prouvées dans le for externe, et le fardeau de la preuve revient à la personne dont les actes ont donné naissance à l’imputation de l’hérésie. Dans l’absence de ces preuves, toutes ces excuses sont présumées ne pas exister.
JP B a écrit:Certes, le fait de dire une hérésie est la matière du péché d'hérésie, mais à cette matière, il manque encore la forme (c'est la distinction acceptée par les théologiens catholiques au moins depuis saint Thomas d'Aquin, et encore davantage depuis le Concile de Trente et cela correspond à la notion bien connue de “péché matériel” et de “péché formel”) il manque encore la forme, donc, pour que ce “péché matériel” soit réellement un péché, ou “péché formel”.
JP B soulève ici la théologie traitant de ce qui est nécessaire pour être objectivement hérétique devant Dieu. Toutefois, si cela est effectivement juste théologiquement, nous devons rajouter immédiatement que, devant le péché matériellement extérieurement commis, le péché formel est toujours présumé au for externe, jusqu’à preuve du contraire.
R.P. MacKenzie, The Delict of Heresy, p.47 a écrit:
Les moraliste enseignent donc qu’il [l’individu ayant commis l’acte matériellement] n’a pas commis le péché d’hérésie, et que, conséquemment, il n’est pas tenu, au for interne, par les censures que l’Eglise rattache à l’hérésie. Les canonistes admettent cet enseignement en théorie, mais ils prennent soin d’ajouter que, dans le for externe, il [l’individu ayant commis l’acte matériellement] a professé l’hérésie (ou apostasie), et, conséquemment, s’est lui-même soumis aux peines infligées à ceux qui sont coupables de tels délits.
JP B a écrit:La forme du péché en général réside dans la volonté.
Et la forme du péché d'hérésie en particulier réside dans la volonté actuelle d'aller contre l'autorité infaillible de Dieu. C’est ce qu’on appelle « la pertinacité ».
De bien jolies phrases, mais notons encore une fois que le péché formel est toujours présumé au for externe jusqu’à preuve du contraire.
R.P. Bouscaren, Canon Law a Text and Commentary, p.377 a écrit:
Apostats de la foi, hérétiques, schismatiques. […] Il requiert et il suffit que le délit soit manifesté extérieurement de n’importe quelle manière, même si le délit demeure occulte. Toutefois, ce doit être un péché formel. Cela est présumé au for externe (c. 2200, §2).
JP B a écrit:Cela dit, Puisque l'Église est une société visible, composée d'hommes et de femmes, obéissant à des règles conformes à l'obtention de sa fin qui est le salut des âmes, cette pertinacité doit être constatée par l'autorité visible et infaillible de l'Église (qui représente sur terre l'autorité infaillible de Dieu) pour être imposée sans erreur aux yeux de tous.
En effet, « L’Eglise est une société visible », et qu’est-ce que cela implique !?
Saint François de Sales, Lettre ouverte aux protestants a écrit:
[A]insi l'Eglise son Épouse a deux parties ; l'une intérieure, invisible, qui est comme son âme, la foi, l'espérance, la charité, la grâce; l'autre extérieure et visible comme le corps, la confession de foi, les louanges et cantiques, la prédication, les Sacrements, le Sacrifice …
Nax, Dict. de Droit Canonique, t.V, col.160 a écrit:
EGLISE.
[…]
Une société visible, c.-à-d. perceptible par les sens. […] Les moyens employés par cette société pour atteindre son but sont également extérieurs et visibles : la profession externe de la même foi …
Cela étant précisé, il est a remarquer que selon les propos ci-dessous de JP B, l’Eglise n’est plus visible au moyen de la confession externe de la foi puisque :
JP B a écrit:[D]u moins juridiquement, l’Église conciliaire [ou “la secte conciliaire”] n’existe pas, et les modernistes qui occupent [materialiter] les Sièges épiscopaux, y compris le Premier Siège, se trouvent encore, du moins juridiquement et au for externe, « dans le sein même et au cœur de l’Église » …
JP B s'oppose donc au dogme de la visibilité de l'Eglise emportant également de soi opposition au dogme de l'Unité de l'Eglise.
JP B a écrit:De ce point de vue, en effet, ces modernistes forment une hiérarchie matérielle, canoniquement toujours membre hélas de l'Église …
Continuons.
JP B a écrit:Ainsi, pour récapituler là où nous en sommes, nous dirons que :
- une chose est de dire des hérésies ;
- une autre d'être hérétique formel devant Dieu ;
JP B fait l’impasse encore une fois sur la précision des canonistes voulant que l’individu qui dit des hérésies, sera présumé hérétique formel s’il n’apparaît pas qu’il les a dites que par inadvertance.
En ce sens, un individu qui dit des hérésies et qui ne semble pas les avoir dites par ignorance ou inadvertance, sera tenu pour hérétique formel au for externe.
Et, de cette manière, effectivement, bien qu’il soit tenu pour hérétique formel extérieurement puisque n’apparaissant pas autrement, il pourrait néanmoins ne pas être objectivement hérétique formel devant Dieu.
Or, l’Eglise, étant une société externe et visible, telle que JP B le mentionne plusieurs fois sans trop y saisir la chose, n’est pas concernée par l’individu au regard de Dieu, mais uniquement par ce qui lui est perceptible par les sens, c’est-à-dire les paroles, les actes etc.
JP B a écrit:une autre encore d'être canoniquement hérétique formel devant l'Église.
Ici JP B ne fournit aucune citation d’auteur autorisé définissant l’essence des distinctions qu’il invoque fréquemment, soit : l’hérésie canonique et l’hérésie non canonique.
C'est à croire qu'il existerait deux, trois, ou quatres sortes d'hérésie ...
Rappelons toutefois ce que JP B affirmait lui-même au début de son texte :
JP B a écrit:Il s’agit ici directement d'hérésies, puisque manifestement il y a hérésies, mais sans s’arrêter sur les erreurs moins graves contre la Foi.
JP B a écrit:Nous ne parlons bien que des seules hérésies en tant que telles.
Hérésie directe, hérésie manifeste, hérésie en tant que telle ... mais pas réellement hérésie, selon JP B !
L’hérésie est une erreur qui s’oppose à un point de foi divine révélé et définit comme tel par le Magistère.
Une simple erreur qui s’oppose à un point de foi divine sans que ce point n’ait été défini par le Magistère, n’est pas une hérésie.
Les distinctions Bontempsistes d’hérésie canonique et d’hérésie non canonique ne sont bonnes que pour en mettre plein la vue au lecteur ignorant facile à impressioner.
JP B a écrit:Quelques exemples concrets feront, espérons-le, bien comprendre tout cela :[list][*]Ainsi, en faisant par exemple le catéchisme à des enfants, si nous leur enseignons par mégarde une hérésie, cela ne fait pas pour autant de nous des hérétiques, et heureusement !
Encore une fois, dans le for externe, la mégarde étant connue et évidente, l’individu ne sera pas tenu pour hérétique.
Si toutefois il n’apparaît pas que l’individu à enseigné une hérésie par mégarde, la présomption de droit est contre lui.
Au for interne, si effectivement mégarde il y a, l’individu n’est pas hérétique, tout en étant considéré avoir commis un crime d’hérésie si la mégarde ne semble pas exister extérieurement.
R.P. MacKenzie, The Delict of Heresy, p.30 a écrit:
Le simple accomplissement d’un acte signifiant l’hérésie, e.g. l’énoncé d’une quelconque doctrine tenue pour contraire ou contradictoire à un dogme révélé et défini, établit une base suffisante pour la présomption de droit de dépravation hérétique. Il peut toutefois y avoir des circonstances qui excusent la personne de toute responsabilité, ou encore de toute grave responsabilité. Ces circonstances excusantes doivent être prouvées dans le for externe, et le fardeau de la preuve revient à la personne dont les actes ont donné naissance à l’imputation de l’hérésie. Dans l’absence de ces preuves, toutes ces excuses sont présumées ne pas exister.
Poursuivons.
JP B a écrit:[*]Cependant, si nous maintenons notre position en ayant bien réfléchi, longuement, aux conséquences, en ayant pleinement conscience du fait que notre position est contraire à la foi, etc., alors, il pourra se trouver un moment où nous commettrons réellement le péché formel d'hérésie en allant CONSCIEMMENT contre l'autorité infaillible de Dieu.
Il n’est pas nécessaire de réfléchir longuement pour devenir hérétique formel.
D’ailleurs, JP B l’avoue le concède lui-même un peu plus au bas de son texte :
JP B a écrit: [L]es théologiens enseignent clairement que la pertinacité n'a rien à voir avec la durée …
Également, doit-on rajouter encore une fois ce que nous avons dit du péché formel présumé au for externe !?
Contentons-nous de rajouter une autre citation :
R.P. Ayrinhac, Penal Legislation in the New Code of Canon Law, p.2 a écrit:
Toutefois, la culpabilité morale est fréquemment - et doit être - présumée au for externe, même si elle peut ne pas exister réellement.
Notons également qu’il s’agit ici d’un principe de base que JP B refuse d’admettre avec opiniâtreté tout en voulant l’enrayer par mille et une contorsions philosophiques et théologiques.
En outre, les théologiens enseignent que la pertinacité n’a effectivement rien à voir avec la durée en ce sens que l’hérésie peut devenir pertinace aussitôt en une fraction de seconde sur le simple fait, répondant ainsi à ceux qui voudraient laisser croire que la pertinacité se développe seulement après un certain laps de temps [voilà encore pourquoi l’excommunication frappe avant même la monition] …
JP B a écrit:Mais si, maintenant, nous commençons à le dire autour de nous, les gens vont être scandalisés et vont se demander si nous sommes formellement hérétiques ! Or, le moyen ordinaire pour eux sera de suivre le jugement de l'autorité de l'Église.
C’est pourquoi si nous maintenons notre avis contre une autorité représentant canoniquement l'Église et exigeant de nous rétractation, alors nous devenons hérétique formel public !
Nous tombons là un peu dans le grand n’importe quoi habituel de JP B.
Premièrement, ce n’est pas le jugement de l’Eglise qui rend un crime public, mais plutôt les circonstances en lesquelles il s’est produit.
Un crime est d’ailleurs tenu pour public lorsqu’il n’est seulement qu’en puissance d’être divulgué publiquement par quelques témoins.
Autrement, un individu qui professerait publiquement, manifestement et formellement l’hérésie devant deux milliards de personnes ne pourrait être tenu d'une manière absolue que publiquement matériellement hérétique - et donc publiquement formellement catholique - tant et aussi longtemps qu’il n’est pas épinglé par l’autorité ecclésiastique.
Deuxièmement, la sentence déclaratoire venant de l’Eglise établit une notoriété de droit, mais la notoriété de fait du délit équivaut à cette sentence déclaratoire.
Cicognani, Canon Law, p.703-704 a écrit:Puisque les hérétiques sont présumés être coupables au for externe […] la notoriété d’une offense est tenue pour l’équivalente d’une sentence déclaratoire …
Par ailleurs, une chose est d’être excommunié, autre chose est de perdre son office par voie de renonciation tacite.
En ce sens, un individu qui professe l’hérésie pourrait très bien perdre son office par voie de renonciation tacite, tel que prévu au canon 188, °4, sans toutefois être excommunié.
Troisièmement, comment peut-on encourir l’excommunication latae sententiae (prévue pour les hérétiques formels au can. 2314) avant toute monition ou toute intervention du supérieur ou juge !?
Naz, Traité de Droit Canonique, t.IV, p. 601 a écrit:
[L]a sentence est comme portée d’avance, lata est sententia; cette sentence n’exige l’INTERVENTION SPÉCIALE D’AUCUN SUPÉRIEUR OU JUGE …
En d’autres mots, comment peut-on être encourir l’excommunication pour crime d’hérésie formelle avant toute intervention de l’autorité s’il faut d’abord une intervention de l’autorité pour nous demander de nous rétracter avant de tomber dans l'hérésie formelle, tel que JP B le soutient plus haut ???
JP B a écrit:Plus personne n'est alors en droit de douter de notre pertinacité.
Aucun rapport.
Lorsqu'il y a une déclaration faite par l'Église, cela établit une notoriété de droit, et la chose n'est généralement pas présumée être ignorée (can. 16).
JP B a écrit:Appliquons ces règles aux modernistes, en particulier à ceux qui devraient constituer la hiérarchie de l'Église, en jouissant du pouvoir de juridiction : ceux que dans l'Église en ordre on appelle le Pape, les cardinaux, les évêques dirigeant les diocèses (et dans une moindre mesure les curés dirigeant les paroisses) :[list=1][*]Disent-ils des hérésies ?
Oui !
JP B a écrit:[*]Sont-ils hérétiques devant Dieu ?
Pas de nos affaires !
R.P. Courchesne, A Commentary on Canon Law, t.II, can.1325 a écrit:
En Droit Canonique, nous ne sommes pas concernés par l’état de la personne aux yeux de Dieu, mais plutôt l’état de la personne aux yeux de l’Eglise.
JP B a écrit:C'est très possible, voire probable. Nous pouvons avoir notre opinion là-dessus (et encore, avec prudence…) mais même si nous en sommes convaincus nous n'avons aucun moyen de l'imposer aux autres membres de l'Église, parce que nous n'avons aucun pouvoir de juridiction, c'est à dire aucun pouvoir de parler canoniquement au nom de l'Église.
Notre Jean-Paul, lequel est pourtant si prompt à rappeler que Dieu seul juge, Dieu seul sonde les reins et les cœurs, et à traiter de Pharisiens ceux qui lui semblent s’ériger en juge, se prend en pleine figure sa propre sentence !
En effet, Dieu seul sonde les reins et les cœurs, l’Eglise ne juge pas le for interne, mais, Jean-Paul, lui, prétend que nous pouvons nous prononcer en ayant notre propre opinion sur le for interne d’autrui et prétendre être convaincus de savoir ce que Dieu pense de tel ou tel individu.
Après l’intention de leurs Papes matériels qu’ils connaissent tous, voilà maintenant qu’ils ont une connection « haute vitesse » sur les pensées de Dieu …
JP B a écrit:[*]L'Église a-t-elle constaté leur pertinacité par des monitions faites par des personnes autorisés (c'est à dire ayant juridiction) ?
Encore une fois, comment l’excommunication prévue au canon 2314 peut-elle atteindre les hérétiques avant même toute monition, laquelle sert apparemment à établir la pertinacité ?
Évacuation grossière d’une base du Droit Canonique …
JP B a écrit:HELAS NON ! et c'est justement le tragique de la situation ; c'est justement ce qui nous manque pour les déclarer canoniquement hérétiques et les remplacer par d'autres personnes, notamment en élisant un Pape.
Notre JP B fait la confusion entre la renonciation tacite prévue au canon 188, laquelle n’est pas une peine et n’a pas à être déclarée puisque dès la publicité de la déviance, l’office devient vacant sans déclaration, confusion, donc, entre la renonciation tacite et l’excommunication, dont personne ne peut demander l’observation de la peine sauf en cas de délit notoire [notoriété de fait, c’est-à-dire avant même une quelconque déclaration de l’autorité].
Encore évacuation grossière d’une base du Droit Canonique …
JP B a écrit:Le tragique de la situation n'est pas tant que nous n'ayons plus de Pape mais que tous les évêques ayant juridiction dans le monde aient suivi [/i]» quelqu’un qui n’était pas formellement Pape.
Le « tragique de la situation » n’est pas vraiment le fait que « tous les évêques ayant juridiction aient suivi quelqu’un qui n’était pas formellement Pape » mais qu’ils se soient soumis et aient appuyé quelqu’un enseignait l’hérésie et qui prétendait être Pape.
L'autre tragique de la situation est le fait que depuis 30 ans les gens nous sortent des bêtises comme celles de Jean-Paul Bontemps.
JP B a écrit: C’est cela, précisément, qui est incroyable. Mgr Lefebvre et Mgr de Castro Mayer auraient pu faire des monitions à Paul VI… Mais ils ne l'ont pas fait.
Pourtant, les monitions ne doient-elles être faites par les supérieurs !? Comment alors Mgr Lefebvre et Mgr de Castro Mayer, n'ayant aucune juridiction, auraient-ils pu faire des monitions non seulement au cardinal Montini, jouissant du privilège des cardinaux qui consiste à ne pas être soumis aux lois pénales canoniques (can. 2227), mais, de plus, à un Pape, du moins, considéré comme tel par l’un des deux ?
N’importe quoi !
On évacue encore grossièrement les principes de base du Droit Canonique …
JP B a écrit:
Nous sommes obligés
[*]de considérer que Paul VI et ses successeurs disent des hérésies ;
Pourquoi ?
JP B a écrit:[*]de considérer également qu’ils sont très probablement hérétiques formels devant Dieu ;
Cela ne nous concerne pas.
Re :
R.P. Courchesne, A Commentary on Canon Law, t.II, can.1325 a écrit:
En Droit Canonique, nous ne sommes pas concernés par l’état de la personne aux yeux de Dieu, mais plutôt l’état de la personne aux yeux de l’Eglise.
JP B a écrit:[*]Nous sommes également obligés de considérer qu'il manque une décision de l'Église faisant autorité pour affirmer qu'ils sont canoniquement hérétiques formels.
Jean-Paul Bontemps peut-il nous fournir une décision de l’Eglise affirmant que la Reine d’Angleterre actuelle est « canoniquement hérétique formel » ?
JP B a écrit:[*]En l'absence, donc, d'une telle prise de position canonique publique, personne n'est en droit, aux yeux de droit canon c'est à dire du droit de l'Église catholique, d'affirmer qu'ils sont en-dehors de l'Église catholique.
Re : Jean-Paul Bontemps peut-il nous fournir une décision de l’Eglise affirmant que la Reine d’Angleterre actuelle est « canoniquement hérétique formel » ?
JP B a écrit:En conséquence, bien que scandaleux et à combattre, ils font canoniquement partie de l'Église catholique tout comme chacun de nous …
Quid de l’Unité de foi dans l’Eglise ?
Quid de la visibilité de l’Eglise au moyen de la visible confession de foi ?
JP B a écrit: (bien qu'il soit probable qu'ils sont formellement en-dehors à cause de leur hérésie formelle, mais, de cela, Dieu seul le sait)
Pourtant, JP B nous dit un peu plus haut : «Nous sommes obligés […]de considérer également qu’ils sont très probablement hérétiques formels devant Dieu ».
Comment peut-on être obligés de considérer quelque chose que Dieu seul sait ?
JP B a écrit:Ainsi, notamment, le terme “d'église conciliaire” que nous utilisons tous pour plus de clarté, n'a pas d'existence juridique.
Depuis quand une secte doit-elle être absolument reconnue juridiquement pour exister de fait ?
JP B a écrit:Il n'y a qu'une seule Église, l'Église catholique : on est dedans ou on est dehors. Mais on peut être dehors réellement et que seul Dieu le sache, tant en semblant être dedans aux yeux des lois de la société visible qu'est l'Église.
Re : En effet, « L’Eglise est une société visible », et qu’est-ce que cela implique !?
Saint François de Sales, Lettre ouverte aux protestants a écrit:
[A]insi l'Eglise son Épouse a deux parties ; l'une intérieure, invisible, qui est comme son âme, la foi, l'espérance, la charité, la grâce; l'autre extérieure et visible comme le corps, la confession de foi, les louanges et cantiques, la prédication, les Sacrements, le Sacrifice …
Nax, Dict. de Droit Canonique, t.V, col.160 a écrit:
EGLISE.
[…]
Une société visible, c.-à-d. perceptible par les sens. […] Les moyens employés par cette société pour atteindre son but sont également extérieurs et visibles : la profession externe de la même foi …
Cela étant précisé, il est a remarquer que selon les propos ci-dessous de JP B, l’Eglise n’est plus visible au moyen de la confession externe de la foi puisque :
JP B a écrit:[D]u moins juridiquement, l’Église conciliaire [ou “la secte conciliaire”] n’existe pas, et les modernistes qui occupent [materialiter] les Sièges épiscopaux, y compris le Premier Siège, se trouvent encore, du moins juridiquement et au for externe, « dans le sein même et au cœur de l’Église » …
Poursuivons.
JP B a écrit:Un autre exemple, espérons-le, le fera comprendre :
Quel est la situation devant Dieu et devant l'Église de deux époux ayant échangé les consentements à l'Église sans vouloir en réalité se marier mais l'ayant caché au prêtre ?
Devant Dieu ils sont adultères, scandaleux et méritent l'enfer ; devant l'Église ils sont de bons époux qui font leur devoir et gagnent des mérites et sont un exemple pour les autres !
Il faudra attendre que l'Église soit informée de leur mensonge sacrilège et les déclare non-mariés pour que cela soit imposable à tous.
Ici nous avons une preuve d’ignorance de la part de JP B et de son passeux de textes.
Pourquoi donc les époux ayant « échangé les consentements à l'Église sans vouloir en réalité se marier mais l'ayant caché au prêtre » sont-ils tenus pour mariés devant l’Eglise bien qu’il ne le soit pas réellement devant Dieu ?
Tout simplement parce que le consentement interne est présumé jusqu’à preuve du contraire lorsque le consentement est exprimé extérieurement (can. 1086, §2).
Il s’agit ici d’une présomption juris simpliciter.
Ainsi, à celui qui affirmerait qu’il n’y a pas eu de consentement interne , la présomption serait contre lui et la charge de la preuve lui incomberait.
D’une manière analogue, le canon 2200, §2, établit une présomption (de péché formel) toute autant juris simpliciter, c’est-à-dire une présomption de même nature et de même force que celle du canon 1086, §2, devant l’énoncé de propos signifiant l’hérésie.
C’est alors que celui qui ne peut prouver qu’il n’est pas formellement hérétique, sera tenu pour tel devant l’Eglise, bien qu’il ne le soit pas réellement devant Dieu.
Nos Guérardiens inversent les choses.
Voilà où s'est achevée voila plusieurs mois ma réfutation du texte bidon de Jean-Paul Bontemps.
Réfutation incomplète, puisque devant le flot d'erreurs répétitives et successives réitérées par JP B à longueur de post en différentes formulations, j'ai jugé bon qu'il était sans intérêt de poursuivre et de perdre mon temps ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
CMI a écrit:Réfutation incomplète, puisque devant le flot d'erreurs répétitives et successives réitérées par JP B à longueur de post en différentes formulations, j'ai jugé bon qu'il était sans intérêt de poursuivre et de perdre mon temps ...
Je suis complètement d'accord avec toi... les erreurs de JP B sont devenues des classiques, et ses classiques tu les a mis plus d'une fois à leur place , soit dans la poubelle.
Le matérialiter/formaliter et toutes les déviations de doctrines et de code canonique, ça nous sort par les oreilles, "chu pu capable"
gabrielle- Nombre de messages : 19797
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Le « Mar 5 Avr – 7:48 »
Eh bien ! En fait de pleurer, nous rions bien ! …
(Lui, avant même d’avoir reçu ma toute prochaine réponse, pleurnichait déjà : « JP B me pond des textes de 4978 lignes qu'il me faudrait lire, décortiquer, et réfuter […] »)
Qu'est-ce ça va être ! Surtout en pensant qu’il ne m’aura pas fallu quatre mois pour tout lui démolir…
C.M.I a écrit:
[...]
Non, ne t'inquiètes pas Gros Jambon !
J'en suis au 3/4 du texte ... tu vas pleurer !
Eh bien ! En fait de pleurer, nous rions bien ! …
(Lui, avant même d’avoir reçu ma toute prochaine réponse, pleurnichait déjà : « JP B me pond des textes de 4978 lignes qu'il me faudrait lire, décortiquer, et réfuter […] »)
Qu'est-ce ça va être ! Surtout en pensant qu’il ne m’aura pas fallu quatre mois pour tout lui démolir…
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Désolé, mais si votre « réponse » reprend vos mêmes erreurs et arguties habituelles venant de votre milieu sectaire, je ne perdrai pas trop mon temps. Je ne consacrerai pas toute mon existence à donner la réplique à un vieil et ignorant entêté ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Carolus.Magnus.Imperator. a écrit:Désolé, mais si votre « réponse » reprend vos mêmes erreurs et arguties habituelles venant de votre milieu sectaire, je ne perdrai pas trop mon temps. Je ne consacrerai pas toute mon existence à donner la réplique à un vieil et ignorant entêté ...
gabrielle- Nombre de messages : 19797
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
B JP a écrit:Alors le grand charlot , on se défile d'avance...
C'est exactement ça.
De plus, cela nourrira ton orgueil puisque j'épargnerai à ton encontre une autre de ces baffes honteuses ...
Ça fait seulement une bonne année au moins que tu subis ici de multiples déculottés publiques.
Vous me faites penser à un boxeur dépourvu de tout talent qui voudrait qu'on lui accorde éternellement des combats revanches contre un adversaire l'ayant mis KO une bonne trentaine de fois en une année seulement ... il ne faudrait donc pas s'étonner de voir celui-ci un jour se lasser malgré les provocations de celui-là.
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Le problème avec Jean-Paul, c'est qu'il est constamment rongé par le sentiment d'être un vaincu.
Je ne serais même pas surpris qu'il doit penser à nous le matin lorsqu'il se lève, en mangeant, en marchant, en se couchant dans son lit le soir, et n'importe quand lorsqu'il n'a pas l'esprit complètement occupée, c'est-à-dire probablement lorsqu'il est en train de rêver que le Père Guérard lui apparaît dans son placard avec une tiare papale.
Force est de constater que ses nombreuses déculottés subies sur TD, lui purgent le système en permanence.
Je lui donne un conseil par charité chrétienne : Jean-Paul devrait fermer son ordi et s'occuper d'autres choses (par exemple, se recycler dans la peinture de paysage inspirant à la campagne) parce qu'il devient mauvais pour sa propre santé tant mentale que physique de vouloir éternellement en découdre avec nous, d'autant plus qu'il devient de plus en plus contraire à la conscience de ses adversaires d'avoir à mettre Jean-Paul fréquemment au tapis durant les débats dont son orgeuil lui dicte infailliblement de provoquer ...
Je ne serais même pas surpris qu'il doit penser à nous le matin lorsqu'il se lève, en mangeant, en marchant, en se couchant dans son lit le soir, et n'importe quand lorsqu'il n'a pas l'esprit complètement occupée, c'est-à-dire probablement lorsqu'il est en train de rêver que le Père Guérard lui apparaît dans son placard avec une tiare papale.
Force est de constater que ses nombreuses déculottés subies sur TD, lui purgent le système en permanence.
Je lui donne un conseil par charité chrétienne : Jean-Paul devrait fermer son ordi et s'occuper d'autres choses (par exemple, se recycler dans la peinture de paysage inspirant à la campagne) parce qu'il devient mauvais pour sa propre santé tant mentale que physique de vouloir éternellement en découdre avec nous, d'autant plus qu'il devient de plus en plus contraire à la conscience de ses adversaires d'avoir à mettre Jean-Paul fréquemment au tapis durant les débats dont son orgeuil lui dicte infailliblement de provoquer ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
JP, fait preuve d'acharnement , malgré que sa doctrine ait été démontée par toi sur TD, comme un jeu de mini briques, il s'acharne à croire qu'il est intouchable et qu'il est encore debout, peut-être que son sens de l'orientation est perturbé un peu.!
S'il était médecin, il serait favorable à l'acharnement thérapeutique!!!!!
En fait, continuer à lui faire subir des KO frôle le suicide assisté!
gabrielle- Nombre de messages : 19797
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Vous n'avez jamais que jeter de la poudre aux yeux à tous les gogos de ce forum, "Tenu par de Dames", comme je le montrerai très prochainement (et l'ai déjà montré ici, là, à cet endroit et le message qui le suit immédiatement, tout ce que j'ai écrit dans ce fil, voir les liens de cet autre message, j'en passe et des meilleures...), car vos arguments ne sont que du vent comme je le démontrerai donc très prochainement, et vous ne savez bien faire que vous moquer bêtement comme ici, ne restant bien que dans l'interprétation personnelle et hors propos du Codex Juris Canonici et dans le domaine quasi exclusif, comme vos messages ci-dessus, ad hominem.
Profondeur insondable de l'irréflexion d'un XXXXXXX ! ...
Au fait, quand je parle que nous avons attendu quatre mois pour obtenir une réponse, je ne parts que depuis la promesse d'en obtenir une (c'est-à-dire depuis le 16 février 2011), car, en fait, déjà le "Ven 10 Sep - 10:39 - de l'année 2010", j'avais fourni mon texte ! ...
Profondeur insondable de l'irréflexion d'un XXXXXXX ! ...
Au fait, quand je parle que nous avons attendu quatre mois pour obtenir une réponse, je ne parts que depuis la promesse d'en obtenir une (c'est-à-dire depuis le 16 février 2011), car, en fait, déjà le "Ven 10 Sep - 10:39 - de l'année 2010", j'avais fourni mon texte ! ...
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
B JP a écrit:Vous n'avez jamais que jeter de la poudre aux yeux à tous les gogos de ce forum, "Tenu par de Dames", comme je le montrerai très prochainement (et l'ai déjà montré ici, là, à cet endroit et le message qui le suit immédiatement, tout ce que j'ai écrit dans ce fil, voir les liens de cet autre message, j'en passe et des meilleures...), car vos arguments ne sont que du vent comme je le démontrerai donc très prochainement, et vous ne savez bien faire que vous moquer bêtement comme ici, ne restant bien que dans l'interprétation personnelle et hors propos du Codex Juris Canonici et dans le domaine quasi exclusif, comme vos messages ci-dessus, ad hominem.
Profondeur insondable de l'irréflexion d'un xxxxxxx ! ...
Au fait, quand je parle que nous avons attendu quatre mois pour obtenir une réponse, je ne parts que depuis la promesse d'en obtenir une (c'est-à-dire depuis le 16 février 2011), car, en fait, déjà le "Ven 10 Sep - 10:39 - de l'année 2010", j'avais fourni mon texte ! ...
Nous serons toujours-là pour vous botter les fesses, Jean-Paul.
Nous, au moins, nous appuyons notre agrumentation par des citations d'auteurs autorisés, tandis que vous, ce que vous faites, ce n'est que de copier-coller les textes abracadabrants des Dolan, Sanborn, Des Lauriers etc ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Par ailleurs, Bontemps, vous n'avez jamais rien démontré, et vous ne démontrerez jamais rien.
La seule chose que vous avez réussi à démontrer, si on peut dire, c'est votre propre stupidité ainsi que la niaiserie de votre thèse.
La seule chose que vous avez réussi à démontrer, si on peut dire, c'est votre propre stupidité ainsi que la niaiserie de votre thèse.
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Vous ne rêvez que d'une chose : non de vous plier aux enseignements de ceux qui savent ce qu'est la théologie comme les "[Mgr] Dolan, Sanborn, Des Lauriers etc.", mais de "botter les fesses" à Pierre, Paul, Jacques, même si ce n'est ni équitable ni justifié ; et vous appuyez, en réalité, votre mousse sirupeuse ("agrumentation") "par des [interprétations de] citations d'auteurs autorisés", oui !
Vous verrez sous peu sur quels auteurs autorisés nous appuyons nos arguments...
Cela dit, contrairement à ce que vous dites là, je croyais alors lu ici que "[vous] ne [perdriez] pas trop [votre] temps" et que "[vous] ne [consacreriez] pas toute ][votre] existence à donner la réplique à un vieil et ignorant entêté ..." !
Vous n'êtes qu'un vantard incompétent !
Vous verrez sous peu sur quels auteurs autorisés nous appuyons nos arguments...
Cela dit, contrairement à ce que vous dites là, je croyais alors lu ici que "[vous] ne [perdriez] pas trop [votre] temps" et que "[vous] ne [consacreriez] pas toute ][votre] existence à donner la réplique à un vieil et ignorant entêté ..." !
Vous n'êtes qu'un vantard incompétent !
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
B JP a écrit:Vous ne rêvez que d'une chose : non de vous plier aux enseignements de ceux qui savent ce qu'est la théologie comme les "[Mgr] Dolan, Sanborn, Des Lauriers etc.", mais de "botter les fesses" à Pierre, Paul, Jacques, même si ce n'est ni équitable ni justifié ; et vous appuyez, en réalité, votre mousse sirupeuse ("agrumentation") "par des [interprétations de] citations d'auteurs autorisés", oui !
Vous verrez sous peu sur quels auteurs autorisés nous appuyons nos arguments...
Je n'ai pas à me plier aux enseignements de ceux qui prétendent savoir ce qu'est la théologie comme les "[
1. Ils n'ont pas mission de l'autorité ecclésiastique pour enseigner ou prêcher.
2. N'ont conséquemment aucune autorité.
et
3. Ils contredisent bon bombre de théologiens et canonistes.
Pour les mauvaises interprétations de citations d'auteurs autorisés, vous en fournissez de parfaits exemples dans vos interprétations absurdes d'un certain passage de Saint Robert Bellarmin ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
Que les Évêques "Dolan, Sanborn, Des Lauriers etc." n'aient "pas mission de l'autorité ecclésiastique pour enseigner ou prêcher" ; qu'ils n'aient "conséquemment aucune autorité" et qu'"ils contredisent [si cela est vrai et pas seulement le fruit de l'interprétation arbitraire et farfelue d'un xxxxxxx] bon bombre [sic] de théologiens et canonistes" ; toutes ces choses ne les empêchent pas d'être validement Évêques selon le pouvoir d'Ordre et donc de mériter le titre de Monseigneur, n'en déplaise au dit clown orgueilleux, vaniteux et vantard !
Lequel parle gratuitement d'"interprétations absurdes d'un certain passage de Saint Robert Bellarmin".
Démonstration, S.V.P. ! ...
Lequel parle gratuitement d'"interprétations absurdes d'un certain passage de Saint Robert Bellarmin".
Démonstration, S.V.P. ! ...
B JP- Invité
Re: La mauvaise foi d'un mal intentionné
B JP a écrit:Que les Évêques "Dolan, Sanborn, Des Lauriers etc." n'aient "pas mission de l'autorité ecclésiastique pour enseigner ou prêcher" ; qu'ils n'aient "conséquemment aucune autorité" et qu'"ils contredisent [si cela est vrai et pas seulement le fruit de l'interprétation arbitraire et farfelue d'un xxxxxxxxx.] bon bombre [sic] de théologiens et canonistes" ; toutes ces choses ne les empêchent pas d'être validement Évêques selon le pouvoir d'Ordre et donc de mériter le titre de Monseigneur, n'en déplaise au dit clown orgueilleux, vaniteux et vantard !
Lequel parle gratuitement d'"interprétations absurdes d'un certain passage de Saint Robert Bellarmin".
Démonstration, S.V.P. ! ...
Il ne me semble pas.
Doit-on appeler Monseigneur les évêques orthodoxes validement sacrés ?
Je note que vous faites l'impasse sur leur manque de mission canonique et d'autorité.
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
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