citation GREGOIRE XVI
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Re: citation GREGOIRE XVI
Oui, il est vrai que PIE IX et le Concile du Vatican, nous ont instruit infailliblement que
:
Cependant, si le Christ avait voulu que tout soit réalisé selon sa volonté sur la terre, il aurait fallu qu'il ôte à l'homme le libre arbitre.
Comment se fait-il, Cher Ignorantus, que vous ne compreniez pas une chose aussi évidente ?
:
" LE CHRIST A VOULU DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON EGLISE JUSQU'À LA CONSOMMATION DES SIÈCLES". »
Cependant, si le Christ avait voulu que tout soit réalisé selon sa volonté sur la terre, il aurait fallu qu'il ôte à l'homme le libre arbitre.
Comment se fait-il, Cher Ignorantus, que vous ne compreniez pas une chose aussi évidente ?
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
https://messe.forumactif.org/t3312-question-sur-l-apostolicite#63959
Donc la question est de savoir : Ce que Dieu veut, devient-il forcément, se concrétise-t-il forcément ?
Ou, qu'à cause du libre arbitre de ses créatures mal utilisé dû à sa mauvaise volonté, etc , ça n'arrive pas forcément ?
Donc la question est de savoir : Ce que Dieu veut, devient-il forcément, se concrétise-t-il forcément ?
Ou, qu'à cause du libre arbitre de ses créatures mal utilisé dû à sa mauvaise volonté, etc , ça n'arrive pas forcément ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Gérard a écrit:Oui, il est vrai que PIE IX et le Concile du Vatican, nous ont instruit infailliblement que
:" LE CHRIST A VOULU DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON EGLISE JUSQU'À LA CONSOMMATION DES SIÈCLES". »
Très bien, donc il y a encore aujourd'hui des Pasteurs et des Docteurs dans l'Eglise.
+
JCMD67- Nombre de messages : 3567
Date d'inscription : 19/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
MAIS LA QUESTION EST :
roger a écrit:https://messe.forumactif.org/t3312-question-sur-l-apostolicite#63959
Donc la question est de savoir : Ce que Dieu veut, devient-il forcément, se concrétise-t-il forcément ?
Ou, qu'à cause du libre arbitre de ses créatures mal utilisé dû à sa mauvaise volonté, etc , ça n'arrive pas forcément ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Cher Roger je ne pense pas que l'on puisse soutenir que la Volonté de Dieu reste inconséquente.
Mais il est vrai que c'est un sujet fort intéressant...
Mais il est vrai que c'est un sujet fort intéressant...
JCMD67- Nombre de messages : 3567
Date d'inscription : 19/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Ce que Dieu veut, cher JCMD67, se réalise toujours.
Mais il y a la Volonté de Dieu avant l’obstacle que l’homme y met, ce qu’on appelle « la Volonté divine antécédente », et la Volonté de Dieu après le péché de l’homme, ce qu’on appelle « la Volonté divine conséquente ».
Exemple connu et général :
1. Avant la chute originelle, Dieu voulait que les hommes aillent au Ciel.
Dieu voulait que les hommes aillent au Ciel après un certain temps d’épreuve, par l’obéissance, passé dans un jardin de délices : le paradis terrestre.
L’homme désobéit et, par sa faute, il ne va plus au Ciel jusqu’à ce que Notre-Seigneur Jésus-Christ le rachète.
2. Après la chute originelle, Dieu veut toujours que les hommes aillent au Ciel.
Dieu veut toujours que les hommes aillent au Ciel et, pour cela, Il invente premièrement l’Incarnation de Son Fils Bien Aimé, la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, le Verbe de Dieu qui, en s’incarnant dans notre nature mortelle, devient Jésus-Christ, et secondement la Rédemption opérée par Notre-Seigneur qui meurt, à notre place, sur la Croix !
Par cela, le Ciel n’est plus fermé à l’homme qui, dans certaines conditions légitimes, peut se sauver.
Ce que Dieu veut, se réalise toujours.
C.Q.F.D. !
Application concrète à propos du présent problème :
« LE CHRIST A VOULU DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Les circonstances font qu’aujourd’hui il n’y a pas de Pape en acte. (Pas plus qu’il y en a au cours des interrègnes entre la mort d’un prédécesseur et l’élection réellement acceptée d’un successeur…)
Toutefois, il est certain que le Christ fait en sorte qu’il y ait toujours la possibilité de retrouver un jour un Pape en acte, et pour cela, Il fait en sorte qu’il y ait toujours « DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE » pour pouvoir élire (ou accepter si ce n’est pas eux qui le désignent) un véritable Pape « JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Cela relève de la Foi (le nier est donc une hérésie), de l’Espérance (que n’ont pas ceux qui s’éloignent de la Foi), et de la Charité envers le Corps mystique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, notre Mère la Sainte Église Catholique, Son Épouse très chaste !
Mais il y a la Volonté de Dieu avant l’obstacle que l’homme y met, ce qu’on appelle « la Volonté divine antécédente », et la Volonté de Dieu après le péché de l’homme, ce qu’on appelle « la Volonté divine conséquente ».
Exemple connu et général :
1. Avant la chute originelle, Dieu voulait que les hommes aillent au Ciel.
Dieu voulait que les hommes aillent au Ciel après un certain temps d’épreuve, par l’obéissance, passé dans un jardin de délices : le paradis terrestre.
L’homme désobéit et, par sa faute, il ne va plus au Ciel jusqu’à ce que Notre-Seigneur Jésus-Christ le rachète.
2. Après la chute originelle, Dieu veut toujours que les hommes aillent au Ciel.
Dieu veut toujours que les hommes aillent au Ciel et, pour cela, Il invente premièrement l’Incarnation de Son Fils Bien Aimé, la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, le Verbe de Dieu qui, en s’incarnant dans notre nature mortelle, devient Jésus-Christ, et secondement la Rédemption opérée par Notre-Seigneur qui meurt, à notre place, sur la Croix !
Par cela, le Ciel n’est plus fermé à l’homme qui, dans certaines conditions légitimes, peut se sauver.
Ce que Dieu veut, se réalise toujours.
C.Q.F.D. !
Application concrète à propos du présent problème :
« LE CHRIST A VOULU DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Les circonstances font qu’aujourd’hui il n’y a pas de Pape en acte. (Pas plus qu’il y en a au cours des interrègnes entre la mort d’un prédécesseur et l’élection réellement acceptée d’un successeur…)
Toutefois, il est certain que le Christ fait en sorte qu’il y ait toujours la possibilité de retrouver un jour un Pape en acte, et pour cela, Il fait en sorte qu’il y ait toujours « DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE » pour pouvoir élire (ou accepter si ce n’est pas eux qui le désignent) un véritable Pape « JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Cela relève de la Foi (le nier est donc une hérésie), de l’Espérance (que n’ont pas ceux qui s’éloignent de la Foi), et de la Charité envers le Corps mystique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, notre Mère la Sainte Église Catholique, Son Épouse très chaste !
B JP- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
B JP a écrit:Ce que Dieu veut, cher JCMD67, se réalise toujours.
Mais il y a la Volonté de Dieu avant l’obstacle que l’homme y met, ce qu’on appelle « la Volonté divine antécédente », et la Volonté de Dieu après le péché de l’homme, ce qu’on appelle « la Volonté divine conséquente ».
Exemple connu et général :
1. Avant la chute originelle, Dieu voulait que les hommes aillent au Ciel.
Dieu voulait que les hommes aillent au Ciel après un certain temps d’épreuve, par l’obéissance, passé dans un jardin de délices : le paradis terrestre.
L’homme désobéit et, par sa faute, il ne va plus au Ciel jusqu’à ce que Notre-Seigneur Jésus-Christ le rachète.
2. Après la chute originelle, Dieu veut toujours que les hommes aillent au Ciel.
Dieu veut toujours que les hommes aillent au Ciel et, pour cela, Il invente premièrement l’Incarnation de Son Fils Bien Aimé, la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, le Verbe de Dieu qui, en s’incarnant dans notre nature mortelle, devient Jésus-Christ, et secondement la Rédemption opérée par Notre-Seigneur qui meurt, à notre place, sur la Croix !
Par cela, le Ciel n’est plus fermé à l’homme qui, dans certaines conditions légitimes, peut se sauver.
Ce que Dieu veut, se réalise toujours.
C.Q.F.D. !
Application concrète à propos du présent problème :
« LE CHRIST A VOULU DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Les circonstances font qu’aujourd’hui il n’y a pas de Pape en acte. (Pas plus qu’il y en a au cours des interrègnes entre la mort d’un prédécesseur et l’élection réellement acceptée d’un successeur…)
Toutefois, il est certain que le Christ fait en sorte qu’il y ait toujours la possibilité de retrouver un jour un Pape en acte, et pour cela, Il fait en sorte qu’il y ait toujours « DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE » pour pouvoir élire (ou accepter si ce n’est pas eux qui le désignent) un véritable Pape « JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Cela relève de la Foi (le nier est donc une hérésie), de l’Espérance (que n’ont pas ceux qui s’éloignent de la Foi), et de la Charité envers le Corps mystique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, notre Mère la Sainte Église Catholique, Son Épouse très chaste !
Est-ce que ce texte de mr Bontemps est conforme à l'Enseignement de l'Église ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Saint Benoit Joseph Labre avait ses poux ; ainsi Te Deum.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
roger a écrit:Saint Benoit Joseph Labre avait ses poux ; ainsi Te Deum.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Toutefois, il est certain que le Christ fait en sorte qu’il y ait toujours la possibilité de retrouver un jour un Pape en acte, et pour cela, Il fait en sorte qu’il y ait toujours « DES PASTEURS ET DES DOCTEURS DANS SON ÉGLISE » pour pouvoir élire (ou accepter si ce n’est pas eux qui le désignent) un véritable Pape « JUSQU'A LA CONSOMMATION DES SIECLES »
Cela relève de la Foi (le nier est donc une hérésie), de l’Espérance (que n’ont pas ceux qui s’éloignent de la Foi), et de la Charité envers le Corps mystique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, notre Mère la Sainte Église Catholique, Son Épouse très chaste !
Roger a posé la question suivante au sujet de l'intervention de JP B :
Est-ce que ce texte de mr Bontemps est conforme à l'Enseignement de l'Église ?
Et le xxxxxx a répondu
A "l'Église" de roger, certes non !
Mais à l'Église Catholique, assurément !
Le problème, c'est que l'Eglise de Roger est bien la Véritable Eglise et l'église de JP B qu'il dit être l'Eglise catholique ne l'est en rien du tout.
Pourquoi, je l'affirme d'une manière péremptoire.
Ce n'est pas dans le fait que J-C a toujours voulu pour son Eglise un vrai pape que se trouve la roublardise de JP B.
Mais c'est dans le fait que JP B POSE LES CONDITION A DIEU d'avoir à nouveau un vrai pape.
Quelles sont LES CONDITIONS QUE JP B POSE A DIEU :
1)D'après cet xxxx, il faut que Dieu accepte que chacun des papes de l'église conciliaire ait été élu légitimement par l'Eglise catholique. Le futur vrai pape devra également reconnaître la validité de l'élection de chacun de ces papes.
2) D'après cet xxx, il faudra également que Dieu reconnaisse l'église conciliaire hérétique et syncrétique comme sa propre Eglise...c'est à dire qu'il faudra que Dieu accepte que l'Eglise catholique ait eu a son palmarès un concile hérétique et une religion et un culte hérétique proclamés pendant un demi-siècle par sa propre Eglise.
3) D'après cet xxx il faudra encore que Dieu n'ait pas d'autre solution que de prendre le ramassis d'évêques et de cardinaux de l'église conciliaire pour faire renaître un vrai pape à son Eglise parce que personne d'autre ne peut avoir cette compétence ou d'autres solutions même pas J-C Lui-même !
4) et en conclusion, ce sera de l'église conciliaire exclusivement que xxxx exige de Dieu que renaisse un vrai pape et si Ratzinger est toujours là, Dieu n'aura pas d'autre choix que de faire son pape à partir de ce bout de pape tout droit sorti de la xxxxx.
Alors l'église de JP B qu'il dit être la seule catholique, il faut lui laisser "l'honneur" de lui appartenir...aucun catholique ne peut être jaloux de son église...aussi infâme que lui !
Alors, d'après les preuves que je viens d'apporter, il n'y a pas d'Eglise de Roger mais il y a bien l'église que JP B a inventé et il n'attend de Dieu que la seule possible reconnaissance de sa propre église co-fondée par Marcel, Montini, WOJTYLA, RATZINGER ET AUTRES INFÂMES DE CETTE TREMPE ET ETABLIE EGLISE SUPREME PAR LA THESE A GUERARD !
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Même ce qui serait l'ânesse de balaam peut parfois dire quelques vérités.roger a écrit:Saint Benoit Joseph Labre avait ses poux ; ainsi Te Deum.
Dernière édition par IGNORANTUS le Lun 18 Avr 2011, 3:49 pm, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
Lire, bien sûr : une explication de la situation actuelle...
N'est-ce pas Gégé ?
Au fait, hormis l'hérésie au moins matérielle ("si le Christ avait voulu que tout soit réalisé selon sa volonté sur la terre, il aurait fallu qu'il ôte à l'homme le libre arbitre") tu baignes également toujours dans la calomnie ?...
B JP- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
"si le Christ avait voulu que tout soit réalisé selon sa volonté sur la terre, il aurait fallu qu'il ôte à l'homme le libre arbitre"
Pourquoi cela serait-il hérétique?
Le Christ par sa préscience savait bien que l'homme n'allait pas réalisé sa volonté sur la terre. Il aurait pu l'y contraindre mais ne l'a pas voulu pour lui laisser son libre arbitre...pour le laisser aimer librement !Il en a été de même pour les anges !
Ne serait-ce pas que tu préfères accuser d'hérésie quand tu en est toi-même confondu plutôt que de tenter ton impossible justification ?
Quand on est dans modération et que des amis te disent que tu es modération , il y deux manière d'en sortir :
Soit tu te sors modération Soit tu es furieux que tes amis te disent que modération
Apparemment, c'est la seconde solution que tu as choisie et lorsque l'on te prouves que ton église est hérétique, tu cherches à nous convaincre d'hérésie sur ceci ou sur cela !
Depuis 1960, les catholiques eu à subir deux grands malheurs :
1)
Le Concile Vatican II qui a fait perdre la foi et l'appartenance à l'Eglise catholique à la plupart des catholique
2)
L'église traditionaliste, parasite de l'église conciliaire, qui a été cherchée ceux qui ne voulaient pas de la foi et du culte de Vatican II et qui a inventé l'hérésie suivante :
La religion et le culte de l'église conciliaire n'est pas la religion et le culte de l'Eglise catholique...mais l'église qui nous prodigue cette nouvelle religion et ce nouveau culte EST l'EGlISE CATHOLIQUE et votre foi catholique consiste à la reconnaître comme l'Eglise catholique et son pape, vrai pape de cette Eglise catholique.
Et c'est sans doute la non plus originale hérésie à Guérard qui suit la même aberration :
Le pape de Rome depuis Vatican II, n'enseigne pas la religion catholique ni ne pratique le culte catholique, il n'est donc pas le vrai pape tel que l'on peut l'exiger de lui. Cependant, il ne peut y avoir d'autre pape que Lui légitimement choisi par l'Eglise.
Si y'a un pape, c'est Ratzinger et personne d'autre ne peut y prétendre.
S'il n'enseigne pas la doctrine catholique, c'est qu'il n'a pas encore décidé d'être pape et il le sera incontestablement quand il aura décidé d'enseigner la doctrine catholique !
Dans le même sens toute la tradouillerie affirme :
Si l'Eglise catholique n'enseigne pas la vraie religion et ne pratique pas le vrai culte catholique, c'est qu'elle ne s'est pas encore décidé à le faire depuis Vatican II. Il faut attendre que nous la contraignons à revenir à la vraie doctrine mais en attendant personne ne peut être l'Eglise catholique que cette église conciliaire hérétique.
Après avoir donné SON EXPLICATION de la situation actuelle, JP B nous accuse de notre :
incapacité à concevoir une explication de le situation actuelle
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Dans ma longue citation, la non-reproduction d'un lien, du fait de ma non-inscription (ou plutôt de mon éviction) sur ce forum, perturbe la mise en forme de la fin de mon précédent message.
Le modérateur, ou l'équipe de modération, serait forte aimable de le supprimer pour le remplacer par le prochain que je vais poster.
(Cela me permettra de reconsidérer mon jugement à l'égard de T.D. ...)
Merci d'avance !
Le modérateur, ou l'équipe de modération, serait forte aimable de le supprimer pour le remplacer par le prochain que je vais poster.
(Cela me permettra de reconsidérer mon jugement à l'égard de T.D. ...)
Merci d'avance !
B JP- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
XXXX
Ce G… uignol prétend : « c'est la seconde solution que [j’aurais] choisie », c’est-à-dire concrètement, d’après lui, « reconnaître comme l'Eglise catholique et son pape, vrai pape de cette Eglise catholique [celui qui (écrit-il un peu plus bas)] n'enseigne pas la religion catholique ni ne pratique le culte catholique [tandis que (écrit-il toujours encore un peu plus bas)] Si l'Eglise catholique n'enseigne pas la vraie religion et ne pratique pas le vrai culte catholique, c'est [que (pour nous)] elle ne s'est pas encore décidé à le faire depuis Vatican II. […] »
Ainsi, nous « [reconnaîtrions] comme […] vrai pape de cette Eglise catholique [/i][celui qui] n'enseigne pas la religion catholique ni ne pratique le culte catholique » ! Sans doute comme ici où, dans ce message
Cela dit, Gégé refuse :
A partir de là, donc, se pose la question de savoir où, comment, et qui est, pour Gégé, la véritable Église catholique…
Autrement dit, retour au point de départ !
Ce G… uignol prétend : « c'est la seconde solution que [j’aurais] choisie », c’est-à-dire concrètement, d’après lui, « reconnaître comme l'Eglise catholique et son pape, vrai pape de cette Eglise catholique [celui qui (écrit-il un peu plus bas)] n'enseigne pas la religion catholique ni ne pratique le culte catholique [tandis que (écrit-il toujours encore un peu plus bas)] Si l'Eglise catholique n'enseigne pas la vraie religion et ne pratique pas le vrai culte catholique, c'est [que (pour nous)] elle ne s'est pas encore décidé à le faire depuis Vatican II. […] »
Ainsi, nous « [reconnaîtrions] comme […] vrai pape de cette Eglise catholique [/i][celui qui] n'enseigne pas la religion catholique ni ne pratique le culte catholique » ! Sans doute comme ici où, dans ce message
Ou bien encore comme là (principalement du 3ème au 5ème message inclus) par exemple !…PIUS Decimus a écrit:C. Conclusion : Donc, Paul VI ayant promulgué officiellement et pour toute l’Église, en se référant explicitement à la Révélation divine, une doctrine contraire à ce que la vertu théologale et surnaturelle de la Foi nous oblige à croire par des définitions précédentes (mineure) – ce qu’un vrai Pape ne peut pas faire (majeure) – IL NE PEUT PAS ÊTRE FORMELLEMENT PAPE.
- Spoiler:
[…]
B. c) 1. IV. CONFIRMATION dans les faits :
A la suite de cette scandaleuse “Déclaration Dignitatis humanæ personæ” du concil[iabul]e vaticandeux, Paul VI fit tant pression sur le général FRANCO que celui-ci se vit obligé de faire abandonner à l’Espagne sa Constitution d’inspiration catholique. Il en fut de même pour tous les pays qui avaient une Constitution semblablement catholique : le Québec, l’Irlande, le Valais suisse…
A l’instigation de Paul VI, la séparation de l’Église et de l’État fut décrétée en Colombie (1973), au Portugal (1975) et en Espagne (1976) ; sur celle de Jean-Paul II, au Pérou (1980) et en Italie (1984).
Voilà comment il faut interpréter le concil[iabul]e vaticandeux, voilà comment celui qui en promulgua les textes l’interpréta (et c’est à lui, à personne d’autre, qu’il faut demander comment les interpréter) : en faisant disparaître de tous les États toute trace de Constitution catholique, au nom des « Droits de l’Homme » (*) et de sa “Dignité” !
(*) : Qui « ne sont autres que la négation des Droits de Dieu ». (Mgr Delassus.)
Le 4 octobre 1965, au siège de l’ONU à New York, Paul VI déclare(Abbé Georges DE NANTES, LIBER ACCUSATIONIS IN PAULUM SEXTUM, p. 13, dernier §.)[devant] cette Assemblée des Nations-Unies toute de fondation et d’inspiration maçonniques, [dans le sens où elle l’entend] : « Ce que Vous proclamez ici, ce sont les droits et les devoirs fondamentaux de l’homme, sa dignité, sa liberté, et avant tout sa liberté religieuse. Nous sentons que vous êtes les interprètes de ce qu’il y a de plus haut dans la sagesse humaine. Nous dirions presque : son caractère sacré. Car c’est, avant tout, de la vie de l’homme qu’il s’agit et la vie de l’homme est sacrée : personne ne peut oser y attenter »
Rappelons-nous ce “Discours”, déjà cité plus haut, prononcé devant toute l’assemblée conciliante à l’adresse des humanistes athées ou panthéistes,(Discours, p. 247-248 ; cité par abbé Georges DE NANTES, op. cit., p. 19.)qui culmine dans la proclamation, à la face du monde et à la face de Dieu, du CULTE DE L’HOMME :
« L’Eglise du Concile, il est vrai… s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à. notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce gui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité…
« L’humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un sens, défié le Concile. La religion du Dieu qui s’est fait homme s’est rencontrée avec la religion (car c’en est une) de l’homme qui se fait Dieu.
« Qu’est-il arrivé ? un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver ; mais cela n’a pas eu lieu. […] Une sympathie sans bornes 1’ a envahi tout entier [concil[iabul]e vaticandeux]. La découverte des besoins humains – et ils sont d’autant plus grands que le fils de la terre (sic) se fait plus grand – a absorbé l’attention de ce Synode.
« Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque nous avons le culte de l’homme. »
Rappelons-nous également l’Angelus du 7 février 1971, déjà cité plus haut, où Paul VI entonne « cet HYMNE A LA GLOIRE DE L'HOMME […] à l’occasion d’un voyage (par des cosmonautes américains) de la terre à la lune, plagiat blasphématoire de l’hymne au Christ Roi des siècles :
« “Honneur à l’Homme ;
« “Honneur à la pensée ; honneur à la science ;
« “Honneur à la technique ; honneur au travail ;
« “Honneur à la hardiesse humaine ;
« “Honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son esprit et à son habileté manuelle des instruments de conquêtes ;
« “HONNEUR A L’HOMME ROI DE LA TERRE ET AUJOURD’HUI PRINCE DU CIEL.
« “Honneur à l’être vivant que nous sommes, dans lequel se reflète l’image de Dieu et qui, en dominant les choses obéit à l’ordre biblique : croissez et dominez”. » (Documentation Catholique 71, 156 ; cité par abbé Georges DE NANTES, ibidem, p. 20.)
Déjà, le 13 juillet 1969, il avait dit : « L’homme est à la fois géant et divin, mais dans son principe et dans son destin. Honneur donc à l’homme, honneur à sa dignité, à son esprit, à sa vie. » (Cité par abbé Georges DE NANTES, ib.)
« Sans doute est-il question de Dieu et même, en passant, du Christ Fils de Dieu fait homme, dans ce Discours formidable du 7 décembre 1965. Mais il n’est pas question de la Croix du Christ, du don de l’Esprit-Saint, de la grâce baptismale, de tout le mystère de foi qui est le trésor de Vérité, de Vie, de Vertu de l’Unique Eglise Catholique.
« L’homme est le terme… “le premier terme dans la montée vers le terme suprême et transcendant, vers le principe et la cause de tout amour” (Discours, p.253.). Le visage de l’homme [pour Paul VI] révèle le visage du Christ, [dit-il] en citant, bien à tort certes, Matthieu 25, 40… et donc, en celui-ci, le visage du Père céleste. Ainsi [voit-il] Dieu en l’homme. Et [il exulte] : “Notre humanisme devient christianisme et notre christianisme se fait théocentrique si bien que nous pouvons également affirmer : pour connaître Dieu il faut connaître l’homme” (ibid., p. 252.). » (Cité par abbé Georges DE NANTES, ib. Nous comprenons là d’où vient, pour les modernistes en général et pour Paul VI qui a promulgué Dignitatis humanæ personæ en particulier, cette fameuse « dignité de la personne humaine » : de l'immanence tant dénoncée par saint Pie X dans l’Encyclique Pascendi, immanence qui conduit, nous le voyons, à un véritable « culte de l’homme »…)
Sur la couverture de la Documentation Catholique 628, on voit Paul VI participer le 10 juin 1969, avec le “cardinal” WILLEBRANDS, à « la prière commune au “Conseil Œcuménique des Eglises” », « dans le lieu même où des Puissances occultes travaillent au triomphe de l’hérésie globale, de toutes les dissidences sur “l’intolérance” et le “sectarisme” de l’Unique Epouse » (Abbé Georges DE NANTES, op. cit., p. 87).
Toujours sur une couverture de la Documentation Catholique, celle du 17 janvier 1971, on le voit encore participer à « la célébration œcuménique du 2 décembre [1970] à l’hôtel de ville de SYDNEY ».
Pour ce qui est de Jean-Paul II (le passage, materialiter, trop court de Jean-Paul Ier sur le Siège de Pierre, ne permet guère d’en tirer des arguments significatifs), la liste de ses déviations œcuméniques tristement si connues, est très longue. Voyons quelques-uns uns de ces évènements :
– Lors d’un discours aux musulmans à Paris le 31 mai 1980, il déclare : « Les musulmans sont nos frères dans la foi au Dieu unique » (eux qui rejettent la Très Sainte Trinité !...) ;
– Il rencontre le 14ème Dalaï Lama, Tenzin Gyatso, au Vatican en 1980, 1982, 1986, 1988 et 1990, mais n’a certes pas autant rencontré les vrais Catholiques (non modernistes)…
– En mai 1985, s’adressant aux musulmans de Belgique, il parle de « nos livres saints respectifs » !
– Selon l’Osservatore romano (édition italienne du 11 août 1985, article intitulé « Une prière dans la forêt sacrée »), il a participé au culte des fausses divinités dans ladite forêt sacrée au lac Togo. Un sorcier évoqua les esprits infernaux : « Puissance de l’eau, je t’invoque ; ancêtres, je vous invoque… ». On présenta alors à Jean-Paul II un bol plein d’eau et de farine ; il s’inclina, puis dispersa le mélange dans toutes les directions. (Ce rite païen signifie que celui qui reçoit l’eau, symbole de la prospérité, la partage avec les ancêtres en la jetant sur la terre.) Et Karol WOJTYLA savait parfaitement qu’il s’agissait là d’un rite religieux : « Caractéristique a été, en particulier, la rencontre de prière au sanctuaire du lac Togo, où j’ai prié, pour la première fois, avec les animistes » (La Croix du 23 août 1985) !
– En INDE, le 2 février 1986 à DELHI, une prêtresse démoniaque de la déesse Shiva marque Jean-Paul II sur le front du signe du “Tilak” (*) (photographie dans La Croix) ; le 5 février, à MADRAS (Sud de l’Inde), on lui apporta une canne à sucre tressée en forme de lingam (phallus), offrande hindoue au dieu charnel ; un homme lui imposa les vibhuti (cendres “sacrées”, faites de bouse de vache)…
(*) : Une pastille écarlate placée au milieu du front juste au-dessus de la glande pinéale. L’encyclopédie en ligne, Wikipédia, en dit ceci qui se passe de commentaire :
« Le tilak (appelé aussi tika, bindi ou pottu) est une marque portée sur le front par la plupart des hindous. Quand il n'est pas tout simplement une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse […], le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux pour un homme ou la situation maritale pour une femme.
« La plus ancienne référence au tilak connue provient du Rig-Veda. La déesse Usha, première épouse du dieu Sûrya, y apparaît portant une marque rouge vif sur le front, symbole du soleil levant.
« Traditionnellement, le tilak de couleur rouge est créé à partir d'une poudre de curcuma séché, mélangée à du jus de citron vert, nommée kumkum. Celui de couleur blanche est obtenu en réduisant en bouillie du bois de santal. Lorsqu'il est gris, il s'agit généralement de cendres, symbole de bûcher funéraire.
« […] »
– Dans La Croix du 4 février 1986, on trouve ces paroles de Jean-Paul II : « La collaboration entre toutes les religions est nécessaire à la cause de l’humanité [...]. Aujourd’hui comme hindouistes, [...] sikhs, bouddhistes, jaïnistes, parsis et chrétiens, nous sommes réunis pour proclamer la vérité sur l’homme [...]. Les discriminations basées sur la race, la couleur, le credo, le sexe ou l’origine ethnique, sont radicalement incompatibles avec la dignité humaine » (Le Dictionnaire pratique Quillet (1963) définit ainsi le mot “discrimination” : « Faculté de distinguer, de discerner. La discrimination du bien et du mal ». Conséquemment, Jean-Paul II ne distingue pas entre le vrai et le faux ; selon lui toutes les religions proclameraient « la vérité sur l’homme ». Pour quelqu’un qui devrait être Pape, et donc enseigner les vérités en matière de Foi et de morale, c’est balaise ! D’autre part, puisque les hindouistes, etc., proclamaient déjà, selon ses paroles, la vérité bien avant l’Incarnation, à quoi bon avoir fondé la religion chrétienne ?) !
– Il soutient même que l’Église romaine aurait besoin des lumières des hérétiques Grecs : « Du fait qu’elles sont complémentaires, les deux traditions sont, dans une certaine mesure, imparfaites si on les considère isolément. C’est dans leur rencontre qu’elles peuvent se compléter mutuellement et présenter une interprétation moins inadéquate du “mystère caché depuis des siècles et des générations, mais maintenant manifesté aux saints” » ! (Documentation catholique du 16 février 1986, p. 183.)
– En pèlerin déchaussé au tombeau de Gandhi, il fait part de son enthousiasme à la foule : « Puissent ces paroles [les béatitudes], et d’autres expressions des livres saints des autres grandes traditions religieuses présentes sur le sol fertile de l’Inde, être une source d’inspiration pour tous les peuples [...]. Le Mahatma Gandhi nous a enseigné que si tous les hommes et femmes, quelles que soient les différences entre eux, s’attachent à la vérité, dans le respect et la dignité unique de tout être humain, un nouvel ordre mondial (*), une civilisation de l’amour, peut être atteint » (Documentation catholique, 1986, p. 284-285.) « Celui qui vous parle aujourd’hui est convaincu que l’homme est la route que l’Église catholique doit suivre pour être fidèle à elle-même. [...] N’est-ce pas ce que le Mahatma Gandhi a exprimé : “Ce à quoi je veux arriver, ce que je me suis efforcé d’atteindre [...] c’est la réalisation de moi-même : voir Dieu face à face (**)” »… (Documentation catholique, 1986, p. 289)
(*) : Programme bien connu des hautes instances maçonniques…
(**) : Selon la philosophie panthéiste de l’Inde, tout homme a en lui une parcelle de Dieu, tout comme dans le modernisme avec l’immanence. La « réalisation spirituelle » consiste à éveiller en soi la conscience que l’on est Dieu. C’est pour cela que Gandhi, en se voyant lui-même, pense voir Dieu, qui n’est autre que Gandhi lui-même ! L’homme est Dieu ; c’est pourquoi pour Jean-Paul II, comme pour tout moderniste, la route de l’Église, c’est l’homme. Jean-Paul II, comme tout moderniste, nage en pleine gnose panthéiste.
– Il est le premier pape à visiter une synagogue : la grande synagogue de Rome en avril 1986 ; il déclare ainsi que les juifs sont « nos frères bien-aimés et, d'une certaine manière, (...) nos frères aînés » !
– Il organise la réunion pluri-religieuses d’Assise du 27 octobre 1986 (Où un démon Bouddha [censé représenter le possédé Siddhartha Gotama, dit Sakyamuni, ayant vécu aux environs du 6ème siècle avant J.-C.] fut placé sur l’autel de la basilique et… encensé ! Nombre prières furent adressées aux fétiches et autres gourous des autres religions ; en revanche, aucun Ave Maria ne fut dit ! Les premières valent sans doute mieux que l’Ave…) et il récidive le 22 janvier 2002 ;
– En 1989, Taï Sitou Rinpoché, un des 4 régents de l’Ordre Karma-Kagyupa et abbé du monastère de Palpung au Tibet oriental, le Kham, faisait en Italie un pèlerinage pour une paix active. À la tête d’une dizaine de lamas, il fut reçu plusieurs jours à Camaldoli, visita Assise et fut accueilli à Rome par Jean-Paul II.
– En 1999, il visite la Roumanie avec les personnalités locales de l’Église soit disant orthodoxe (il est d’ailleurs le premier “pape” – materialiter – à visiter un pays à majorité “orthodoxe” depuis le schisme de 1054) ;
– Lors de l’ouverture de la porte scellée pendant la cérémonie d’inauguration de la prétendue « année sainte » de l’an 2000, il était habillé avec un manteau de toutes les couleurs, où prédominait le bleu, couleur non-liturgique. Des chanteurs protestants, juifs, musulmans y allaient de leur couplet, tandis que des femmes asiatiques non-chrétiennes ornaient la sainte porte avec des fleurs et la frottaient avec des aromates (à quel rite païen cela correspond-il ? ). On alluma des bâtonnets d’encens, pendant qu’un instrument à cordes japonais jouait une mélodie orientale…
– Le 12 mars 2000, RATZINGER, le pseudo préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi inaugura de façon bien étrange une cérémonie de repentance : il alluma un chandelier à sept branches, qui est, comme tout le monde sait, le symbole par excellence du judaïsme. Au cours de la cérémonie, le pseudo-pontife Jean-Paul II fit une demande de pardon inouïe : « Dieu de nos pères, tu as choisi Abraham et sa descendance pour que ton nom soit apporté aux nations : nous sommes profondément attristés par le comportement de ceux qui, au cours de l’histoire, les ont fait souffrir, eux qui sont tes fils et, en te demandant pardon, nous voulons nous engager à vivre une fraternité authentique avec le peuple de l’alliance (*). »
(*) : Cette façon de présenter le peuple juif est judaïque et non pas chrétienne : les Juifs se considèrent, eux, comme « fils de l’alliance » (l’organisation maçonnique juive porte justement le titre “B’naï B’rith”, qui signifie « fils de l’alliance »). A l’opposé, les chrétiens, eux, parlent toujours de « l’ancienne alliance ». Cet usage remonte à Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même : il a institué, le jeudi-saint, « une alliance nouvelle et éternelle » avec les chrétiens. Le fait que Jean-Paul II emploie l’expression « peuple de l’alliance » et non pas « peuple de l’ancienne alliance » s’explique sans doute par ses origines familiales : lors de son élection, Tribune juive révéla, en effet, que sa mère était juive…
– Le 21 mars 2000, il prie ainsi : « Que saint Jean Baptiste protège l’Islam ! » (Osservatore romano, édition française du 28 mars 2000)
– En mai 2001, il est le premier pape à se rendre dans une mosquée
– Etc., etc. etc., … (Quoiqu’il fît encore bien d’autres choses scandaleuses contre la sainteté de la doctrine catholique, cette énumération est là suffisante.)
Quant à Benoît XVI, loin de rompre avec la doctrine hérétique de la liberté religieuse de ses prédécesseurs, non seulement il y adhère pleinement comme il le confesse lui-même, mais, de plus, il la cautionne et la renforce toujours de plus en plus malgré quelques apparences de conservatisme qui n’ont d’autre but que d’attirer les vrais Catholiques non modernistes.
A l’occasion du renouvellement de la “Curie” romaine au printemps 2006, Benoît XVI renforça la franc-maçonnerie au Vatican par la nomination de l’archevêque Giovanni LAJOLO. Celui-ci figure dans la liste des FF... MM... du Vatican rendue publique en 1978. Il y porte le nom de code LAGI, a été initié le 27 juillet 1970 et son numéro matricule est 2/1397. Cette liste des francs-maçons du Vatican a été rendue publique le 12 septembre 1978 dans la revue Osservatore Politico sous le titre « La Grande Loge Vaticane » par le journaliste Mino PECORELLI, lui-même membre de la loge P2. Ce journaliste fut abattu, criblé de balles, dans sa voiture quelques semaines après la publication de cette liste. (Cette liste [133 ecclésiastiques et 8 autres personnalités influentes] est reproduite dans l’ouvrage de Carlo Alberto AGNOLI, La maçonnerie à la conquête de l’Église, paru en 2001 [deuxième édition avec les listes], édité par le Courrier de Rome, diffusé par l’abbé DU CHALARD et mis en vente dans les chapelles de la Fraternité-Sacerdotale-Saint-Pie-X.) Avec cela on essaiera encore de nous faire croire que la Rome actuelle est toujours catholique et composée de cardinaux, voire de papes, en qui nous pouvons avoir confiance et pour lesquels il ne faut pas avoir d’a priori ni de « vision déformante » ! On cherche vraiment (et vainement heureusement) à nous faire prendre des vessies pour des lanternes…
Le 13 octobre 2006, Benoît XVI a encore reçu le 14ème Dalaï Lama, guide spirituel bouddhiste du Tibet, dans le cadre d’une « rencontre privée, de courtoisie, aux contenus religieux ». Le13 décembre 2007, il devait également recevoir le Dalaï Lama. Cependant, suite à une pression du gouvernement chinois, le Vatican déclare que le pape n'envisage pas de rencontrer le Dalaï Lama à cette date.
Le 30 novembre 2006, il s'est rendu à la Mosquée Bleue à Istanbul.
Avec les musulmans, il s'y est recueilli en direction de La Mecque, . Les mains croisées sur le ventre, comme le font ceux-ci pour la prière, il a prié pendant quelques minutes ainsi qu’il avait été invité à le faire par le religieux musulman qui lui faisait visiter la Mosquée :
Il s’est déchaussé comme l’exige l’Islam et mis des babouches blanches :
Auparavant, il était allé visiter la basilique Sainte-Sophie et avait assisté à une messe célébrée par le primat des églises orthodoxes, alors qu'il a fait de la réconciliation des Eglises catholiques et orthodoxes l'une des priorités de son pontificat. Benoît XVI et le patriarche œcuménique orthodoxe Bartholomée Ier ont fait une déclaration commune dans laquelle ils affirment que le respect de la liberté religieuse – « témoin et garante de toute autre liberté » – doit être un critère d'entrée dans l'Union européenne :
A propos du schismatique oriental Bartholomée Ier, il déclara : « Nous avons fait l'expérience d'être frères non seulement sur la base de paroles et d'événements historiques, mais du plus profond de l'âme ; […] Nous avons fait l'expérience d'une unité profonde dans la foi [même sur le Filioque et la “la primauté du Siège romain” ? Oui ! Car Benoît XVI n’a pas la Foi catholique…] et nous prierons le Seigneur avec encore plus d'insistance afin qu'il nous donne bientôt la pleine unité dans le partage commun du Pain. » (« 27. Quiconque mangera ce pain [consacré et devenu ainsi le Corps du Seigneur] ou boira le calice du Seigneur indignement sera coupable du Corps et du Sang du Seigneur. […] 29. Car quiconque en mange et en boit indignement, mange et boit sa propre condamnation, ne discernant pas [comme semble l’avouer Benoît XVI par ses paroles rapportées ci-dessus] le Corps du Seigneur. » [St Paul, Ière Corint., XI.])
Le 21 octobre 2007, 22 ans après Assise, à l’occasion de la rencontre interconfessionnelle de Naples où se trouvait, bien sûr, Benoît XVI (*), il fut remis une relique de Saint André à Bartholomée Ier, patriarche œcuménique de Constantinople Nea Roma.
(*) : Voir les photos sur le site suivant : http://www.phpbbserver.com/phpbb/viewtopic.php?t=2175&mforum=lelibreforumcat
En avril 2008, à l’occasion de son voyage aux Etats-Unis – lors d'une visite initialement non prévue – Benoît XVI rencontre la communauté juive, et, le vendredi 18 Avril, le soir même où commence le sabbat de la pâques juive (qui correspond exactement, dans le calendrier liturgique juif, au soir du vendredi Saint de la crucifixion de Notre-Seigneur Jésus-Christ), il visite une synagogue à New York, adressant un message à la communauté juive.
Pour en revenir, d’autre part, à Dignitatis humanæ, cette “Déclaration” vaticandeuse déclare dans son § 4 : « La liberté religieuse demande, en outre, que les groupes religieux ne soient pas empêchés de manifester librement l’efficacité singulière de leur doctrine pour organiser la société et vivifier toute l’activité humaine ». Or Jésus-Christ a enseigné : « Je suis la voie, la vérité, la vie » (St Jean, XIV, 6). Il n’a pas dit que d’autres religions que la Sienne apportaient la vie. De plus, Notre-Seigneur a encore dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (St Jean, XV, 5). Il n’a pas dit que l’on pouvait faire quelque chose (« organiser [avec “efficacité”] la société et vivifier toute l’activité humaine ») grâce à Bouddha ou Mahomet.
Toujours dans son § 4, Dignitatis humanæ prétend que les bouddhistes, musulmans, protestants, animistes, etc., ont le droit d’« honorer d’un culte public la divinité suprême ». (L’expression « divinité suprême » figure aussi dans Nostra ætate.) Cela prouve que les prélats ont adopté l’idéologie et le langage des loges maçonniques, tout comme Jean-Paul II à Assise, demandant à ses invités de prier simplement « une puissance suprême », « l’Être absolu », « une puissance au-dessus de toutes nos forces humaines », « cette réalité qui est au-delà de nous ». Or Notre-Seigneur Jésus-Christ a encore dit : « Celui qui ne croira pas sera condamné » (St Marc XVI, 16). Il n’a donc pas autorisé à honorer l’Être suprême (terme cher aux francs-maçons) selon n’importe quel culte.
Une formule condensée résumait jadis de manière éloquente, avec toute la force de son caractère concis, la vérité enseignée par notre Mère la Sainte Église Catholique Romaine : « Hors de l’Église, point de salut ! ». Seule était admise comme exception “l’ignorance invincible” pour ceux qui n’avaient jamais entendu parler du Christ et de Son Église ; et encore, fallait-il qu’ils observent les préceptes de “la loi naturelle”, c’est-à-dire le Décalogue, qui impose en particulier de n’adorer qu’un seul et unique Dieu (dont l’existence est prouvée par la simple philosophie mais que l’on ne peut connaître que dans la seule vraie Religion, la Religion catholique) avec toutes les autres prescriptions des dix commandements. Autant dire que, hors de l’Église Catholique, il est extrêmement difficile de se sauver…
A ce propos, Sa Sainteté le pape Pie IX, dans sa Lettre Quanto conjiciamus du 10 août 1863, a enseigné ex cathedra ceciRevoyons, pour mémoire, les doctrines également condamnées explicitement dans le SyllabusIl est aussi très connu, ce dogme catholique : que personne ne peut se sauver hors de l’Église catholique, et que ceux-là ne peuvent obtenir le salut éternel qui sciemment se montrent rebelles à l’autorité et aux définitions de l’Église, ainsi que ceux qui sont volontairement séparés de l’unité de l’Église et du pontife romain, successeur de Pierre, à qui a été confiée par le Sauveur la garde de la vigneAujourd’hui, depuis le second Jean XXIII (1958-1963) les occupants matériels du Saint-Siège nous serinent, bientôt à longueur de journée, en tout cas de façon continue et habituelle, qu’il faut être tolérant (ceux qui devraient être Papes sont censés enseigner ainsi les Catholiques, comme si l’Église était jadis trop intransigeante) et que l’on peut faire son salut dans n’importe quelle religion pourvu qu’on l’observe sincèrement, puisque, paraît-il, toutes possèdent une part, une étincelle, un aspect de vérité ! Quoique, ajoutent-ils (d’abord pour sauver les apparences, comme le montre saint Pie X dans son Encyclique Pascendi Dominici gregis, § 20 (*),puis parce que, pour les modernistes, l’autorité a, pour eux comme le montre encore saint Pie X dans la même Encyclique, § 31 (**), un rôle indispensable pour “faire avaler la couleuvre” en incarnant la tradition comme l’explique toujours saint Pie X, § 36 (***) de cette Encyclique ) tout le monde doit aussi « se mettre en recherche » du Christ et de la vérité laquelle, pour eux, ne peut jamais être connue ni pleinement ni objectivement mais seulement par expérience, “l’expérience vitale” (Cf. § 7 et 8.)…15. Il est libre à chaque homme d'embrasser et de professer la religion qu'il aura réputée vraie d'après la lumière de la raison. » (Lettre apostolique Multiplices inter du 10 juin 1851, Allocution consistoriale Maxima quidem du 9 Juin 1862) ;
77. A notre époque, il n'est plus utile que la religion catholique soit considérée comme l'unique religion de l'État, à l'exclusion de tous les autres cultes. » (Allocution Nemo Vestrum du 26 juillet 1855) ;
79. Il est faux que la liberté civile de tous les cultes, et que le plein pouvoir laissé à tous de manifester ouvertement et publiquement toutes leurs pensées et toutes leurs opinions, jettent plus facilement les peuples dans la corruption des mœurs et de l'esprit, et propagent la peste de l'Indifférentisme. » (Allocution Nunquam fore du 15 décembre 1856).
(*) : « 20. Ce qui jettera plus de jour encore sur ces doctrines des modernistes, c'est leur conduite, qui y est pleinement conséquente. À les entendre, à les lire, on serait tenté de croire qu'ils tombent en contradiction avec eux-mêmes, qu'ils sont oscillants et incertains. Loin de là : tout est pesé, tout est voulu chez eux, mais à la lumière de ce principe que la foi et la science sont l'une à l'autre étrangères. Telle page de leur ouvrage pourrait être signée par un catholique : tournez la page, vous croyez lire un rationaliste. […] »
(Édition du Club du Livre Civique.)
(**) : « 31. […] Quant à l’autorité doctrinale et dogmatique, bien plus avancées, bien plus pernicieuses sont sur ce point leurs doctrines. Veut-on savoir comment ils imaginent le magistère ecclésiastique ? Nulle société religieuse, disent-ils, n’a de véritable unité que si la conscience religieuse de ses membres est une, et une aussi la formule qu’ils adoptent.
« Or, cette double unité requiert une espèce d’intelligence universelle, dont ce soit l’office de chercher et de déterminer la formule répondant le mieux à la conscience commune, qui ait en outre suffisamment d’autorité, cette formule une fois arrêtée, pour l’imposer à la communauté. De la combinaison et comme de la fusion de ces deux éléments, intelligence qui choisit la formule, autorité qui l’impose, résulte, pour les modernistes, la notion du magistère ecclésiastique. Et comme ce magistère a sa première origine dans les consciences individuelles, et qu’il remplit un service public pour leur plus grande utilité, il est de toute évidence qu’il s’y doit subordonner, par là même se plier aux formes populaires. Interdire aux consciences individuelles de proclamer ouvertement et hautement leurs besoins, bâillonner la critique, l’empêcher de pousser aux évolutions nécessaires, ce n’est donc plus l’usage d’une puissance commise pour des fins utiles, c’est un abus d’autorité.
« Puis, l’usage de cette autorité ou puissance a besoin de se tempérer.
« Condamner et proscrire un ouvrage à l’insu de l’auteur sans explication de sa part, sans discussion, cela véritablement confine à la tyrannie. [Selon l’avis des modernistes bien sûr. Le saint Pape décrit là leurs opinions perverses. – Précision de JPB.]
« En somme, ici encore, il faut trouver une voie moyenne où soient assurés tout ensemble les droits de l’autorité et ceux de la liberté. En attendant, que fera [toujours selon les modernistes – Idem] le catholique ? Il se proclamera hautement très respectueux de l’autorité [qu’elle soit réellement catholique ou moderniste – Id.], mais sans se démentir le moins du monde, sans rien abdiquer de son caractère ni de ses idées.
« Généralement, voici ce qu’ils imposent à l’Eglise. [C’est là la justification des précisons, entre crochets, de JPB.]
« Du moment que sa fin est toute spirituelle, l’autorité religieuse doit se dépouiller de tout cet appareil extérieur, de tous ces ornements pompeux par lesquels elle se donne comme en spectacle. En quoi ils oublient que la religion, si elle appartient à l’âme proprement, n’y est pourtant pas confinée, et que l’honneur rendu a l’autorité [quand elle est réellement catholique – Id.] rejaillit sur Jésus-Christ, qui l’a instituée. »
(Édition du Club du Livre Civique. Les caractères droits sont d’origine en italiques dans cette édition. Les soulignés, d’un trait ou/et en gras, sont de JPB.)
(***) : « 36. … [ Pour les modernistes : ] La force conservatrice, dans l'Église, c'est la tradition, et la tradition y est représentée par l'autorité religieuse. Ceci, et en droit et en fait : en droit, parce que la défense de la tradition est comme un instinct naturel de l'autorité [ de cela découle l’illusion selon laquelle Benoît XVI serait un conservateur voire… un traditionaliste ! ] ; en fait, parce que, planant au-dessus des contingences de la vie, l'autorité ne sent pas, ou que très peu, les stimulants du progrès. La force progressive, au contraire, qui est celle qui répond aux besoins, couve et fermente dans les consciences individuelles, et dans celles-là surtout qui sont en contact plus intime avec la vie. »
(Édition du Club du Livre Civique. Les crochets et les soulignés, d’un trait, sont de JPB.)
On voit donc, par les fruits désastreux qu’il porte, que c’est en tous points que le paragraphe 2 de la « Déclaration » “Dignitatis humanæ personæ”, du concil[iabul]e vaticandeux qui s’est voulu le plus équivoque possible selon la méthode chère et habituelle aux modernistes, entre de plein fouet en opposition de contradiction avec le paragraphe 5 de l’encyclique infaillible de Sa Sainteté le Pape Pie IX, Quanta cura.
B. c) 2. Contraire à ce que la vertu théologale et surnaturelle de la Foi nous oblige à croire par des définitions précédentes :
La Lettre Encyclique Quanta cura de S.S. le Pape Pie IX est en effet infaillible car, dans son paragraphe 14, il est stipulé(C’est JPB qui souligne d’un trait ou/et en gras.)Au milieu donc d’une telle perversité d’opinions corrompues, Nous souvenant de Notre charge Apostolique, dans notre plus vive sollicitude pour notre très sainte religion, pour la saine doctrine, et la société humaine elle-même, Nous avons jugé bon d’élever à nouveau Notre Voix Apostolique. En conséquence, toutes et chacune [*] des opinions déréglées et des doctrines rappelées en détail dans cette Lettre, Nous les réprouvons, proscrivons et condamnons de Notre Autorité Apostolique ; et Nous voulons et ordonnons que tous les Fils de l’Église catholique les tiennent absolument pour réprouvées, proscrites et condamnées.
[*] : Il y en a d’autres que celles énoncées ici… (Note de JPB.)
Cela se passe de commentaire !
Pour clore cet exposé, il faut encore ajouter que, en conséquence de la démonstration ci-dessus, tenir Paul VI et ses successeurs qui n’optent pas pour la désapprobation du "concil[iabul]e vaticandeux" et des changements liturgiques qui l’ont suivi, pour non formellement Papes, est la seule attitude vraiment CATHOLIQUE ET ANTILIBÉRALE qui soit possible !
Cela dit, Gégé refuse :
- (avec juste raison) « Le Concile Vatican II qui a fait perdre la foi et l'appartenance à l'Eglise catholique à la plupart des catholiques » ;
- « L'église traditionaliste, parasite de l'église conciliaire, qui a été cherchée ceux qui ne voulaient pas de la foi et du culte de Vatican II et qui a inventé l'hérésie suivante :
La religion et le culte de l'église conciliaire n'est pas la religion et le culte de l'Eglise catholique...mais l'église qui nous prodigue cette nouvelle religion et ce nouveau culte EST l'EGlISE CATHOLIQUE […] »
A partir de là, donc, se pose la question de savoir où, comment, et qui est, pour Gégé, la véritable Église catholique…
Autrement dit, retour au point de départ !
B JP- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
Pourquoi m'adressez vous cela mon cher JP B :
Pourquoi, d'après vous, je ne ferais que de revenir au point de départ ?
C'est simplement qu'il n'y a RIEN qui vous intéresse qui ne soit dans l'église conciliaire.
Si, sur ce forum ou ailleurs, vous trouviez quelqu'un qui vous parle de quelque chose de l'Eglise catholique qui soit dans l'église conciliaire vous allez frétiller comme une truite et là tout sera intéressant pour vous.
Et pour nous, nous sommes dans une autre voie lactée que la vôtre ! Rien de ce qui est dans l'église conciliaire ne peut se rapporter de près ou de loin, un tant soit peu ou beaucoup, à l'Eglise catholique.
Notre point de départ, c'est que l'église conciliaire n'a jamais été et ne sera jamais l'Eglise catholique et qu'elle n'aura Jamais un seul droit divin qui tous n'appartiennent qu'à l'Eglise catholique
Et toi mon JP B à des années lumières de nous, tu crois que l'Eglise catholique ne peut se trouver QUE dans l'église conciliaire. Et toutes les salades de la Frate ou celles de la Thèse n'ont qu'UN SEUL OBJECTIF :
Prouver envers et contre tout que l'église conciliaire EST l'Eglise Catholique et pour mieux aller au bout de cette preuve et piéger leurs fidèles, ils passent un quart de leur temps en ronronnant que l'église conciliaire n'est pas l'Eglise catholique MAIS les trois quart du temps qui leur restent, ils se mettent en trans et affirment solennellement que l'église conciliaire est DE FOI, l'Eglise catholique.
A partir de là, donc, se pose la question de savoir où, comment, et qui est, pour Gégé, la véritable Église catholique…
Autrement dit, retour au point de départ !
Pourquoi, d'après vous, je ne ferais que de revenir au point de départ ?
C'est simplement qu'il n'y a RIEN qui vous intéresse qui ne soit dans l'église conciliaire.
Si, sur ce forum ou ailleurs, vous trouviez quelqu'un qui vous parle de quelque chose de l'Eglise catholique qui soit dans l'église conciliaire vous allez frétiller comme une truite et là tout sera intéressant pour vous.
Et pour nous, nous sommes dans une autre voie lactée que la vôtre ! Rien de ce qui est dans l'église conciliaire ne peut se rapporter de près ou de loin, un tant soit peu ou beaucoup, à l'Eglise catholique.
Notre point de départ, c'est que l'église conciliaire n'a jamais été et ne sera jamais l'Eglise catholique et qu'elle n'aura Jamais un seul droit divin qui tous n'appartiennent qu'à l'Eglise catholique
Et toi mon JP B à des années lumières de nous, tu crois que l'Eglise catholique ne peut se trouver QUE dans l'église conciliaire. Et toutes les salades de la Frate ou celles de la Thèse n'ont qu'UN SEUL OBJECTIF :
Prouver envers et contre tout que l'église conciliaire EST l'Eglise Catholique et pour mieux aller au bout de cette preuve et piéger leurs fidèles, ils passent un quart de leur temps en ronronnant que l'église conciliaire n'est pas l'Eglise catholique MAIS les trois quart du temps qui leur restent, ils se mettent en trans et affirment solennellement que l'église conciliaire est DE FOI, l'Eglise catholique.
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Cela dit, monGégé, tu ne réponds pas à la question de savoir où, comment, et qui est, pour toi, la véritable Église catholique ! …
Pourquoi n'y réponds-tu pas ?
PARCE QUE TU NE SAIS PAS ! …
Ou, sinon, RÉPONDS !
Où, comment, et qui est, pour toi, la véritable Église catholique ?
B JP- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
roger a écrit:https://messe.forumactif.org/t3312-question-sur-l-apostolicite#63959
Donc la question est de savoir : Ce que Dieu veut, devient-il forcément, se concrétise-t-il forcément ?
Ou, qu'à cause du libre arbitre de ses créatures mal utilisé dû à sa mauvaise volonté, etc , ça n'arrive pas forcément ?
Je lis dans l'Encyclique de BENOIT XV, "Maximum Illud" ( 30 Novembre 1919) : "Belle et sainte mission entre toutes celle que, sur le point de retourner à son Père, Notre-Seigneur Jésus-Christ confiait à ses disciples en leur disant : « Allez par tout le monde et prêchez l'Evangile à toute créature .» La mort des apôtres ne devait pas mettre un terme à ce ministère, mais il allait être, jusqu'à la fin du monde, l'éternel héritage de leurs successeurs, aussi longtemps que la terre porterait des hommes que put délivrer la vérité." ( http://www.archive.org/stream/missionsdelacong54obla/missionsdelacong54obla_djvu.txt et www.liberius.net/livres/Actes_de_Benoit_XV_(tome_2)_000000876.pdf )
Invité- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
JP B a écrit ce à quoi il croit :
Tu dis que je te calomnie quand j'affirme que tu ne veux voir l'Eglise catholique QUE dans l'église conciliaire et tu viens d'expliquer pourquoi je te calomnie.
Je te calomnierais si effectivement ce que tu disais était vrai. Mais en fait, ce que tu dis n'est qu'une esquive et est parfaitement faux comme tu le sais très bien.
En effet, je te calomnierais si l'église conciliaire n'avait jamais existé et si tel était le cas, nous n'aurions AUCUNE raison de ne pas croire que l'église qui gouverne actuellement à Rome n'est pas l'Eglise catholique.
Donc, tu t'appuies sur cet argument parce qu'il est absolument sûr et certain....le problème c'est qu'il est faux et que ce n'est qu'un mensonge mis en argument.
JP B a encore écrit en ce qu'il croit :
Là encore, ce second argument, qui effectivement prouverait que je te calomnie...est une seconde esquive et un second mensonge.
Tout d'abord, s'il y avait des hiérarques catholiques dans l'Eglise, ce seraient eux qui seraient l'Eglise enseignante...et il faudrait les suivre...et s'il n'y avait pas de pape, ils en pourvoiraient un à l'Eglise.
Donc par cet argument, tu te confonds toi-même parce que tu reconnais des hiérarques catholiques à l'Eglise mais tu ne les suit pas.
En fait, la grosse farce, c'est que les hiérarques que tu reconnais catholiques, tu les reconnais comme des bouts de hiérarques catholiques et tu leur donnes les pouvoirs que tu veux et que Guérard a bien voulu leur attribuer, c'est à dire aucun pouvoir pour le moment mais le pouvoir d'élire un nouveau pape pour continuer ton église après Ratzinger...et le pouvoir non moindre d'être les seuls habilités à représenter la hiérarchie de l'Eglise catholique.
Tu dis que tu ne crois pas que
Mais en reconnaissant Ratzinger validement élu, tu le reconnais comme catholique puisque seul un catholique peut être élu.
Si donc tu reconnais comme catholique les pires comme Ratzinger (qui est infidèle puisqu'il ne croit même pas à la divinité de J-C) tu les reconnais TOUS catholiques.
Ce n'est donc pas une calomnie d'affirmer que tu reconnais comme catholique tous les hiérarques de l'église conciliaire. Tu dis que:
C'est à l'église qui gouverne actuellement à Rome que tu donnes toute sa véritable existence et existence légale. Ton truc de dire que l'église conciliaire n'a pas d'existence légal n'est fait que pour identifier et confondre parfaitement l'Eglise catholique à l'église conciliaire.
Donc, le problème n'est pas que tu refuses de donner une existence légale à l'église conciliaire. C'est bien à l'église conciliaire que tu donnes une existence légale mais pour ce faire tu l'appelles Eglise catholique.
Maintenant, tu veux me culpabiliser parce que je ne te dis pas où est l'Eglise catholique.
Mais doit-on donner des perles aux cochons ou, ce qui est la même chose, dire où est l'Eglise catholique à une personne qui est née dans l'Eglise catholique, qui a compris que l'église actuellement à Rome n'est qu'une bouche d'égout de toutes les hérésies, qui n'a pas peur d'affirmer cette abomination et qui malgré cela ne veut la voir l'Eglise catholique que dans cette secte abominable.
En effet, pourquoi tu veux savoir où est l'Eglise catholique puisque tu crois qu'elle est à Rome et que depuis 40 ans, tu as entrepris avec le prosélytisme le plus fébrile de nous prouver qu'envers et contre tout, l'Eglise catholique, l'Eglise enseignante, le Pape SONT à ROME.
Si, je commence à dire que l'Eglise catholique ne peut enseigner que La Vérité et son Pape ne peut être qu'infaillible dans sa doctrine et dans son culte...tu ne vas que jacasser et te perdre en propos méprisants. Si donc tu ne veux pas de ces vérités aussi fondamentales, c'est que tu ne veux rien de l'Eglise et surtout ne pas savoir où elle est puisqu'elle ne peut exister pour toi...et encore moins y revenir pour lui appartenir !
Tu ne veux pas savoir où est l'Eglise. Ce que tu veux savoir et ce dont tu es déjà persuadé, c'est qu'elle n'est pas avec nous...donc, elle ne peut être qu'avec toi.
Alors, calme-toi et satisfait-toi de tes certitudes !
« l'église conciliaire » n’a pas de véritable existence, en tout cas pas d’existence légale ; je ne puis donc pas « [croire] que l'Eglise catholique ne peut se trouver QUE dans »… quelque chose qui, de soi, n’existe pas en droit !
Tu dis que je te calomnie quand j'affirme que tu ne veux voir l'Eglise catholique QUE dans l'église conciliaire et tu viens d'expliquer pourquoi je te calomnie.
Je te calomnierais si effectivement ce que tu disais était vrai. Mais en fait, ce que tu dis n'est qu'une esquive et est parfaitement faux comme tu le sais très bien.
En effet, je te calomnierais si l'église conciliaire n'avait jamais existé et si tel était le cas, nous n'aurions AUCUNE raison de ne pas croire que l'église qui gouverne actuellement à Rome n'est pas l'Eglise catholique.
Donc, tu t'appuies sur cet argument parce qu'il est absolument sûr et certain....le problème c'est qu'il est faux et que ce n'est qu'un mensonge mis en argument.
JP B a encore écrit en ce qu'il croit :
Je ne crois pas que TOUS les hiérarques de l’Église ne soient plus catholiques.
C’est du reste pourquoi tu ne me calomnies pas uniquement…
Là encore, ce second argument, qui effectivement prouverait que je te calomnie...est une seconde esquive et un second mensonge.
Tout d'abord, s'il y avait des hiérarques catholiques dans l'Eglise, ce seraient eux qui seraient l'Eglise enseignante...et il faudrait les suivre...et s'il n'y avait pas de pape, ils en pourvoiraient un à l'Eglise.
Donc par cet argument, tu te confonds toi-même parce que tu reconnais des hiérarques catholiques à l'Eglise mais tu ne les suit pas.
En fait, la grosse farce, c'est que les hiérarques que tu reconnais catholiques, tu les reconnais comme des bouts de hiérarques catholiques et tu leur donnes les pouvoirs que tu veux et que Guérard a bien voulu leur attribuer, c'est à dire aucun pouvoir pour le moment mais le pouvoir d'élire un nouveau pape pour continuer ton église après Ratzinger...et le pouvoir non moindre d'être les seuls habilités à représenter la hiérarchie de l'Eglise catholique.
Tu dis que tu ne crois pas que
"TOUS les hiérarques de l’Église ne soient plus catholiques"
Mais en reconnaissant Ratzinger validement élu, tu le reconnais comme catholique puisque seul un catholique peut être élu.
Si donc tu reconnais comme catholique les pires comme Ratzinger (qui est infidèle puisqu'il ne croit même pas à la divinité de J-C) tu les reconnais TOUS catholiques.
Ce n'est donc pas une calomnie d'affirmer que tu reconnais comme catholique tous les hiérarques de l'église conciliaire. Tu dis que:
et tu en conclus que tu ne peux parler de quelque chose qui n'existe pas. Là encore la bonne blague !« l'église conciliaire » n’a pas de véritable existence, en tout cas pas d’existence légale "
C'est à l'église qui gouverne actuellement à Rome que tu donnes toute sa véritable existence et existence légale. Ton truc de dire que l'église conciliaire n'a pas d'existence légal n'est fait que pour identifier et confondre parfaitement l'Eglise catholique à l'église conciliaire.
Donc, le problème n'est pas que tu refuses de donner une existence légale à l'église conciliaire. C'est bien à l'église conciliaire que tu donnes une existence légale mais pour ce faire tu l'appelles Eglise catholique.
Maintenant, tu veux me culpabiliser parce que je ne te dis pas où est l'Eglise catholique.
Mais doit-on donner des perles aux cochons ou, ce qui est la même chose, dire où est l'Eglise catholique à une personne qui est née dans l'Eglise catholique, qui a compris que l'église actuellement à Rome n'est qu'une bouche d'égout de toutes les hérésies, qui n'a pas peur d'affirmer cette abomination et qui malgré cela ne veut la voir l'Eglise catholique que dans cette secte abominable.
En effet, pourquoi tu veux savoir où est l'Eglise catholique puisque tu crois qu'elle est à Rome et que depuis 40 ans, tu as entrepris avec le prosélytisme le plus fébrile de nous prouver qu'envers et contre tout, l'Eglise catholique, l'Eglise enseignante, le Pape SONT à ROME.
Si, je commence à dire que l'Eglise catholique ne peut enseigner que La Vérité et son Pape ne peut être qu'infaillible dans sa doctrine et dans son culte...tu ne vas que jacasser et te perdre en propos méprisants. Si donc tu ne veux pas de ces vérités aussi fondamentales, c'est que tu ne veux rien de l'Eglise et surtout ne pas savoir où elle est puisqu'elle ne peut exister pour toi...et encore moins y revenir pour lui appartenir !
Tu ne veux pas savoir où est l'Eglise. Ce que tu veux savoir et ce dont tu es déjà persuadé, c'est qu'elle n'est pas avec nous...donc, elle ne peut être qu'avec toi.
Alors, calme-toi et satisfait-toi de tes certitudes !
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Une chose évidente qui est falsifiée, c'est le soit-disant testament de PIE XII, qui serait daté du 15 Mai 1956, ( http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/es/cph.htm#jh et http://www.vatican.va/archive/aas/documents/AAS%2050%20%5B1958%5D%20-%20ocr.pdf ).Lucie a écrit:Le fait que les maçons nous cachent la vérité, en particulier ce qui s'est passé pour le conclave où Jean XXIII fut élu, ou qu'ils aient entouré le Pape d'un peu trop près au point de falsifier beaucoup de choses, c'est très possible.
Je vous donne le texte de ce pseudo-testament parce que c'est ENORME : "« Miserere mei Deus, secundum [magnam] misericordiam tuam ». Ces paroles que je prononçais au moment où j'acceptais en tremblant mon élection comme Souverain Pontife, conscient de ne pas la mériter, ces paroles, je les répète aujourd'hui avec d'autant plus de fondement que je me rends compte de mes faiblesses, des fautes que j'ai commises au cours d'un si long pontificat, et en une époque si grave qu'elle a fait apparaître plus clairement à mon esprit mon insuffisance et mon indignité.
Je demande humblement pardon à ceux que j'ai pu offenser, à qui j'ai pu nuire, que j'ai scandalisés par mes paroles et mes oeuvres. Je prie ceux que cela regarde de ne pas s'occuper ni de se préoccuper d'ériger quelque monument que ce soit en souvenir de moi.
Il suffit que mes pauvres restes mortels soient placés simplement dans un lieu sacré, qui me sera d'autant plus agréable qu'il sera obscur.
Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme. Je sais combien sont nombreuses celles que les normes habituelles de la foi apostolique et la piété des fidèles offrent à tout Pape défunt.
Je n'ai pas besoin non plus de laisser « un testament spirituel » comme ont l'habitude louable de le faire tant de prélats zélés, parce que les nombreux actes et discours que les nécessités de mes fonctions m'ont amené à accomplir ou à prononcer suffisent à faire connaître, à ceux qui par aventure le désireraient, ma pensée au sujet des différentes questions religieuses et morales.
Ceci dit, je nomme mon héritier universel le Saint-Siège apostolique dont j'ai tant reçu comme d'une mère très aimée."
Voilà, le Pasteur Suprême, lui qui est la Parole de Vérité et de Vie, ce que les modernistes lui font dire, au point de vouloir intégrer leurs mensonges aux Acta Apostolicae Sedis : " Je demande humblement pardon à ceux que j'ai scandalisés par mes paroles et mes oeuvres.", et aussi "Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme." Ce qui signifie que pour eux, nouveaux pharisiens, les paroles et les enseignements de PIE XII scandalisent, c'est-à-dire portent au mal , et que décédé, il n'a pas besoin de nos prières, sous-entendu qu'il aille en enfer !, si vous lisez ses Encycliques, vous êtes un aventurier ! Une tombe obscure lui suffira ! ( pour cela les modernistes, ont été fidèles, à leur promesse, j'ai eu l'occasion de visiter les grottes vaticanes, impossible de trouver la tombe de PIE XII, par moi, humble pélerin, pour prier sur son épitaphe, en dehors du fait de m'être fait délester de quelques euros; la prochaine fois, je reviendrais, protégé par quelques croisés, ou aventuriers lecteurs de ses Encycliques )
Alors, ceux qui s'autorisent à émettre de tels mensonges, sur ce Pape, peuvent nous en proférer de plus gros encore...
Invité- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
IGNORANTUS a écrit:Une chose évidente qui est falsifiée, c'est le soit-disant testament de PIE XII, qui serait daté du 15 Mai 1956, ( http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/es/cph.htm#jh et http://www.vatican.va/archive/aas/documents/AAS%2050%20%5B1958%5D%20-%20ocr.pdf ).Lucie a écrit:Le fait que les maçons nous cachent la vérité, en particulier ce qui s'est passé pour le conclave où Jean XXIII fut élu, ou qu'ils aient entouré le Pape d'un peu trop près au point de falsifier beaucoup de choses, c'est très possible.
Je vous donne le texte de ce pseudo-testament parce que c'est ENORME : "« Miserere mei Deus, secundum [magnam] misericordiam tuam ». Ces paroles que je prononçais au moment où j'acceptais en tremblant mon élection comme Souverain Pontife, conscient de ne pas la mériter, ces paroles, je les répète aujourd'hui avec d'autant plus de fondement que je me rends compte de mes faiblesses, des fautes que j'ai commises au cours d'un si long pontificat, et en une époque si grave qu'elle a fait apparaître plus clairement à mon esprit mon insuffisance et mon indignité.
Je demande humblement pardon à ceux que j'ai pu offenser, à qui j'ai pu nuire, que j'ai scandalisés par mes paroles et mes oeuvres. Je prie ceux que cela regarde de ne pas s'occuper ni de se préoccuper d'ériger quelque monument que ce soit en souvenir de moi.
Il suffit que mes pauvres restes mortels soient placés simplement dans un lieu sacré, qui me sera d'autant plus agréable qu'il sera obscur.
Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme. Je sais combien sont nombreuses celles que les normes habituelles de la foi apostolique et la piété des fidèles offrent à tout Pape défunt.
Je n'ai pas besoin non plus de laisser « un testament spirituel » comme ont l'habitude louable de le faire tant de prélats zélés, parce que les nombreux actes et discours que les nécessités de mes fonctions m'ont amené à accomplir ou à prononcer suffisent à faire connaître, à ceux qui par aventure le désireraient, ma pensée au sujet des différentes questions religieuses et morales.
Ceci dit, je nomme mon héritier universel le Saint-Siège apostolique dont j'ai tant reçu comme d'une mère très aimée."
Voilà, le Pasteur Suprême, lui qui est la Parole de Vérité et de Vie, ce que les modernistes lui font dire, au point de vouloir intégrer leurs mensonges aux Acta Apostolicae Sedis : " Je demande humblement pardon à ceux que j'ai scandalisés par mes paroles et mes oeuvres.", et aussi "Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme." Ce qui signifie que pour eux, nouveaux pharisiens, les paroles et les enseignements de PIE XII scandalisent, c'est-à-dire portent au mal , et que décédé, il n'a pas besoin de nos prières, sous-entendu qu'il aille en enfer !, si vous lisez ses Encycliques, vous êtes un aventurier ! Une tombe obscure lui suffira ! ( pour cela les modernistes, ont été fidèles, à leur promesse, j'ai eu l'occasion de visiter les grottes vaticanes, impossible de trouver la tombe de PIE XII, par moi, humble pélerin, pour prier sur son épitaphe, en dehors du fait de m'être fait délester de quelques euros; la prochaine fois, je reviendrais, protégé par quelques croisés, ou aventuriers lecteurs de ses Encycliques )
Alors, ceux qui s'autorisent à émettre de tels mensonges, sur ce Pape, peuvent nous en proférer de plus gros encore...
Inorantus dit : « et que décédé, il n'a pas besoin de nos prières, sous-entendu qu'il aille en enfer ! »
Et dans le texte présumé (?) de S.S. le Pape Pie XII dit qu'il n'a pas besoin de solliciter de prières parce qu'il sait combien nombreuses sont celles prescrites etc. : « Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme. Je sais combien sont nombreuses celles que les normes habituelles de la foi apostolique et la piété des fidèles offrent à tout Pape défunt. »
Pour le tombeau de S.S. le Pape Pie XII, Ignorantus, j'ai trouvé cela ( une recherche rapide ) :
« Pour voir la tombe de Pie XII dans les caves du Vatican : avoir une connaissance dans le corps diplomatique accrédité auprès du Saint Siège (ou un pote garde suisse, ça doit aussi marcher). Les tombes des autres papes sont accessibles au public, soit dans la basilique St-Pierre, soit en sous-sol dans les « grottes vaticanes », mais pas celle de Pie XII, pas indiquée et dans un couloir circulaire interdit au public. Le corridor qui y mène est étroit, c’est sans doute pour ça. Sinon, la tombe est tout à fait quelconque, la statue dans la basilique, avec les lunettes rondes et tout, est nettement plus inquiétante. »
http://sameplayer-cherjournalintime.blogspot.com/2010_01_01_archive.html
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Explication de texte, on pourrait croire à première vue, que ce texte est une preuve de l'humilité du saint pontife, mais des signes patents montrent que ce texte n'est pas de lui, et qu'il s'agit pour ses adversaires modernistes de l'humilier outre-tombe. Première affirmation : "j'ai scandalisé par mes paroles.", c'est-à-dire porté au mal par mes paroles. Comment le Successeur de Pierre, Pasteur et Docteur de tous les chrétiens, pour lequel la prière du Christ, "j'ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point" (Luc XII, 32) est nécessairement exaucée, pourrait-il porter au mal par ses Paroles, si ce n'est pour les pharisiens? N'est-ce pas là nier le Dogme de l'infaillibilité pontificale, et comble de l'insolence, l'on tente de nous faire avaler cette négation par un vrai Pape. Deuxième affirmation : "Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme.", affirmation qui est suivie d'un point en fin de phrase qui signifie clore une pensée. Cette pensée que l'on ose faire sortir de la bouche du Souverain Pontife, est absolument celle d'un mécréant, surtout si l'on vient de reconnaitre de soit-disant fautes. Mais me dira-ton, vous exagérez et même déformez, voyez la phrase explicative, qui suit "Je sais combien sont nombreuses celles que les normes habituelles de la foi apostolique et la piété des fidèles offrent à tout Pape défunt." Pourquoi avoir séparé les deux phrases, qui ne demanderaient qu'une petite virgule, pour être conforme à la syntaxe et à l'orthodoxie ? C'est ignorer la tactique des modernistes, Saint PIE X nous l'explique dans l'Encyclique Pascendi Dominici Gregis : "tout est pesé, tout est voulu chez eux" "Telle page de leur ouvrage pourrait être signée par un catholique: tournez la page, vous croyez lire un rationaliste". Un peu plus loin, d'ailleurs, ses faussaires assimilent la doctrine obligatoire du Père et Docteur de tous les Chrétiens, à une vulgaire pensée, facultative, uniquement "pour ceux qui le désirent", à lire par accident ( "par aventure"), pour suivre leur texte mot à mot !roger a écrit:
Inorantus dit : « et que décédé, il n'a pas besoin de nos prières, sous-entendu qu'il aille en enfer ! »
Et dans le texte présumé (?) de S.S. le Pape Pie XII dit qu'il n'a pas besoin de solliciter de prières parce qu'il sait combien nombreuses sont celles prescrites etc. : « Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme. Je sais combien sont nombreuses celles que les normes habituelles de la foi apostolique et la piété des fidèles offrent à tout Pape défunt. »
Si vous imaginez que je me lance dans une critique téméraire , voire blasphématoire d'un texte de PIE XII, datant de 1956 ( soi-disant un 15 Mai), apprenez que ledit texte est extrait, en réalité, d'une édition des Acta Apostolicae sedis, publiée exactement le 24 Octobre 1958, c'est-à-dire pendant la vacance pontificale, après la mort de PIE XII ( L, II, XXV, n°16 pp 798) . Les faussaires, auteur de ce texte, qui révèle toute leur haine pour la Papauté, ici nommément PIE XII, étaient donc déjà à l'oeuvre, avant même Roncalli. La question est, qu'elle autre mensonge encore plus gros, ont-ils pu inventer?
Invité- Invité
Re: citation GREGOIRE XVI
Cher Ignorantus,
En remettant en cause les actes apostoliques après la mort de Pie XII et pendant la vacance, vous n'apportez aucune preuve que ces paroles ne sont pas celles de Pie XII.
Vous affirmez que personne, sauf un pharisien, ne peut inventer ces paroles et les mettre dans la bouche d'un pape :
Et par conséquent, vous en concluez que ce ne peut être les paroles de Pie XII au nom de l'assistance promise par J-C et qui lui donne l'infaillibilité pontificale.
Vous oubliez que l'assistance promises au pape pour l'infaillibilité ne fait pas que toutes ses paroles sont irréprochables. Ne s'agit-il pas QUE de ses paroles qui déterminent la foi ou le culte quand il enseigne à toute l'Eglise.
Ainsi, comme beaucoup? vous établissez pour le pape au non de l'infaillibilité ( ou plutôt, au nom de votre infaillibilité) l'impeccabilité du pape même quand lui-même avoue qu'il a pu pécher dans ses paroles et ainsi, comme tout péché, être une occasion de scandale. Et comme cet aveu, tout à fait commun, a pu déranger vos certitudes vous en concluez à un faux !
Vous vous lancez ensuite dans une seconde aventure pour critiquer ces deux phrases, qui étant séparées par un point seraient devenues, par ce point, l'oeuvre d'un moderniste intrinsèquement pervers :
Je ne vois pas là de quoi faire hérisser un seul poil d'un âne ! En effet, l'Eglise nous demande de prier à TOUTES les intentions du Souverain Pontife, donc à sa sanctification et à son salut. Si l'Eglise nous en fait un devoir, je ne vois pas dans quelle dévotionnette, il faudrait nous engager encore pour assurer le salut de l'âme du Souverain Pontife.
Ne serait-ce pas même, de la part du Souverain Pontife, une manière d'inciter les fidèles à prier pour lui en s'unissant aux prières de l'Eglise....et serait-ce un moyen de perdre en efficacité ?
J'ai vraiment eu l'impression en vous lisant que vous recherchez à vous créer des émotions et à nous les faire partager...bien inutilement !
Ne croyez-vous pas qu'il y a mieux à faire ?
En remettant en cause les actes apostoliques après la mort de Pie XII et pendant la vacance, vous n'apportez aucune preuve que ces paroles ne sont pas celles de Pie XII.
Vous affirmez que personne, sauf un pharisien, ne peut inventer ces paroles et les mettre dans la bouche d'un pape :
"j'ai scandalisé par mes paroles."
Et par conséquent, vous en concluez que ce ne peut être les paroles de Pie XII au nom de l'assistance promise par J-C et qui lui donne l'infaillibilité pontificale.
Vous oubliez que l'assistance promises au pape pour l'infaillibilité ne fait pas que toutes ses paroles sont irréprochables. Ne s'agit-il pas QUE de ses paroles qui déterminent la foi ou le culte quand il enseigne à toute l'Eglise.
Ainsi, comme beaucoup? vous établissez pour le pape au non de l'infaillibilité ( ou plutôt, au nom de votre infaillibilité) l'impeccabilité du pape même quand lui-même avoue qu'il a pu pécher dans ses paroles et ainsi, comme tout péché, être une occasion de scandale. Et comme cet aveu, tout à fait commun, a pu déranger vos certitudes vous en concluez à un faux !
Vous vous lancez ensuite dans une seconde aventure pour critiquer ces deux phrases, qui étant séparées par un point seraient devenues, par ce point, l'oeuvre d'un moderniste intrinsèquement pervers :
"Je n'ai pas besoin de solliciter des prières pour mon âme. Je sais combien sont nombreuses celles que les normes habituelles de la foi apostolique et la piété des fidèles offrent à tout Pape défunt."
Je ne vois pas là de quoi faire hérisser un seul poil d'un âne ! En effet, l'Eglise nous demande de prier à TOUTES les intentions du Souverain Pontife, donc à sa sanctification et à son salut. Si l'Eglise nous en fait un devoir, je ne vois pas dans quelle dévotionnette, il faudrait nous engager encore pour assurer le salut de l'âme du Souverain Pontife.
Ne serait-ce pas même, de la part du Souverain Pontife, une manière d'inciter les fidèles à prier pour lui en s'unissant aux prières de l'Eglise....et serait-ce un moyen de perdre en efficacité ?
J'ai vraiment eu l'impression en vous lisant que vous recherchez à vous créer des émotions et à nous les faire partager...bien inutilement !
Ne croyez-vous pas qu'il y a mieux à faire ?
Gérard- Nombre de messages : 2681
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: citation GREGOIRE XVI
Il y a la dernière partie du texte : "les nombreux actes et discours que les nécessités de mes fonctions m'ont amené à accomplir ou à prononcer suffisent à faire connaître, à ceux qui par aventure le désireraient, ma pensée au sujet des différentes questions religieuses et morales." Ces actes et ces discours intéressent, non seulement le théologien privé, mais aussi le Magistère ordinaire et universel du Pape, ou son Magistère extraordinaire, tous deux infaillibles, or, on lui fait dire que ces derniers enseignements sont destinés aussi non à toute l'Eglise, mais à ceux qui le désirent, à lire par hasard. Ainsi, le Dogme de l'Assomption, dont la définition est un acte du Pontificat de PIE XII, et que la nécessité de sa fonction l'a amené à accomplir, devient une opinion facultative, s'adressant à ceux qui le souhaitent! N'est-ce pas la preuve que c'est un faussaire qui est à l'oeuvre, inventant un testament privé sur les actes privés du Pape, afin de tenter de nous transmettre toute sa haine sur ses actes publics, qui vrai pharisien, l'ont scandalisé. En nous livrant sa pensée, à la fin du texte, sur les enseignements publics du Pape, dont il déclare la connaissance facultative, le faussaire révèle que derrière les actes, qu'il évoque en première partie, et que notre bienveillance attribuerait naturellement à l'humilité de PIE XII, au regard de sa vie privée, c'est en réalité, ses actes publics qui sont visés et qui scandalisent notre pharisien.Gérard a écrit:
Vous oubliez que l'assistance promises au pape pour l'infaillibilité ne fait pas que toutes ses paroles sont irréprochables. Ne s'agit-il pas QUE de ses paroles qui déterminent la foi ou le culte quand il enseigne à toute l'Eglise.
Dernière édition par IGNORANTUS le Sam 23 Avr 2011, 7:19 pm, édité 1 fois
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