"faux docteurs", "fausses doctrines"
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Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
Mlle gabrielle R. a écrit:Guillaume a écrit:Rien dans l’attitude des religieuses citées ne montre qu’elles aient appelé à résister aux supérieurs légitimes.
Ont-elles suivi oui ou non l'évêque du lieu et les prêtres? NON
Etaient-elles tenues de le faire par le principe d'obéissance ?
Voici à nouveau un exposé des faits rapportés par l’article « Unigenitus » de la Catholic Encyclopedia :
Louis XIV reçut la Bulle à Fontainebleau le 24 septembre 1713 et en envoya une copie au Cardinal de Noailles, qui retira son approbation aux Réflexions Morales donné en 1695. Le roi convoqua également le clergé français qui se réunit à Paris pour accepter la bulle. À la première séance, Noailles nomma un comité présidé par le Cardinal de Rohan, de Strasbourg, pour voir quelle manière d'accepter la Bulle serait la plus convenable. Les tentatives de Noailles pour empêcher une acceptation sans condition furent vaines et le rapport du pape fut accepté et enregistré officiellement. Une instruction pastorale de Noailles interdit à ses prêtres sous la peine de suspension d'accepter la Bulle sans son autorisation, mais elle fut condamnée par Rome. Les évêques de France se divisèrent. Le pape estimait que son autorité était menacée et il avait l'intention de convoquer Noailles devant la Curie et, si besoin était, de lui retirer son cardinalat. Mais le roi et ses conseillers, voyant dans cette procédure une intrusion dans les « Libertés Gallicanes », proposèrent de convoquer un concile national au lieu de celui qui devrait juger Noailles et sa fraction minoritaire et prononcer une sentence contre eux.
Le pape n'appréciait pas cette idée de convoquer un conseil national, qui pourrait prolonger la dispute sans profit et mettre en danger l'autorité vaticane. Il signa pourtant deux brefs, le premier demandant à Noailles l'acceptation sans condition de la bulle dans les quinze jours, sur peine de perdre son chapeau et d'encourir les censures canoniques, l'autre plus amène se contentait de montrer la gravité de l'offense faite par le cardinal. Les deux brefs furent mis en possession du roi, en lui demandant de donner le moins sévère au cas où il y aurait quelque espoir fondé que le cardinal se soumît rapidement. Mais, tandis que Noailles ne laissait voir aucun espoir de soumission, le plus sévère des deux brefs était rejeté par le roi comme contraire aux « Libertés Gallicanes ». Louis XIV revint alors à l'idée de convoquer un concile national mais il mourut le 1er septembre 1715, avant sa convocation.
Philippe II d'Orléans, maintenant Régent, penchait du côté des adversaires de la Bulle. La Sorbonne se hâta de passer une résolution qui annulait l'enregistrement de la Bulle qu'elle avait fait précédemment et vingt-deux Sorbonistes qui protestaient furent exclus de la faculté. Les Universités de Nantes et de Reims rejetèrent elles aussi la Bulle. En conséquence, Clément XI retira à la Sorbonne tous les privilèges papaux qu'elle possédait et tenta de la priver du droit de conférer des grades. Le 1er mai, il avait envoyé deux brefs en France. Le premier, adressé au régent, lui reprochait sévèrement de favoriser les adversaires de la Bulle; l'autre, adressé à l'opposition, menaçait de priver Noailles de la pourpre et de procéder canoniquement contre tous ceux qui n'accepteraient pas la Bulle dans les deux mois. Ces brefs ne furent pas acceptés par le régent parce que leur texte n'avait pas été soumis auparavant à ses ministres. Mais il envoya à Rome Chevalier, janséniste et vicaire général de Meaux, que le pape refusa cependant d'accueillir, quand il devint clair que son seul but était d'arracher à Clément XI l'aveu que la Bulle était obscure et réclamait une explication. Au cours d'un consistoire tenu le 27 juin 1716, le pape prononça pendant trois heures une allocution passionnée au cours de laquelle il mit au courant les cardinaux de la façon dont la Bulle avait été reçue en France et il fit savoir son intention de dépouiller Noailles du cardinalat. En novembre suivant il envoya en France deux nouveaux brefs, l'un au régent pour lui demander sa coopération pour faire disparaître l'opposition à la Bulle, l'autre aux acceptants, pour les mettre en garde contre les intrigues des récalcitrants et leur demander d'exhorter leurs frères dans l'erreur pour qu'ils renonçassent à leur résistance.
Le 1er mars 1717, quatre évêques (Jean Soanen, évêque de Senez, Charles-Joachim Colbert de Croissy, évêque de Montpellier, Pierre de Langle, évêque de Boulogne, et Pierre de La Broue, évêque de Mirepoix) publièrent un appel contre la Bulle à un concile général, fondant ainsi le parti connu par la suite sous le nom d'« Appelants ». Ils furent rejoints le 5 mars par la Sorbonne, la faculté de théologie de Reims le 8 mars et celle de Nantes le 10 mars ; et aussi par l'évêque de Verdun le 22 mars, celui de Pamiers le 12 avril, ceux de Châlons, de Condom, d'Agen et de Saint-Malo le 21 avril, celui d'Auxerre le 14 mai et plus d'une année plus tard par l'évêque de Laon, et ceux de Bayonne et d'Angoulême. Bien qu'une lettre personnelle du pape, datée du 25 mars, et une lettre collective des cardinaux à Rome eussent pressé Noailles de se soumettre, il n'en rédigea pas moins le 3 avril un appel « du pape manifestement mal informé, et de la Constitution Unigenitus, en vertu des décrets [non canoniques et non reconnus par l'Eglise qui a au contraire condamné l'hérésie conciliariste - Guillaume] des Conciles de Constance et de Bâle, au pape mieux informé et à un concile général qui devrait se tenir à l'abri de toute contrainte et dans un endroit sûr ». Il s'abstint cependant de publier immédiatement cet appel, mais le déposa aux archives de l'officialité de Paris. Le 6 mai, il écrivit une longue lettre au pape, dans laquelle il s'efforçait de justifier sa position et celle de ses partisans. Quelques mois plus tard, son appel contre la Bulle fut publié. Les appelants furent bientôt rejoints par un grand nombre de prêtres et de religieux, appartenant surtout aux diocèses de Paris et de Reims. Pour gonfler la liste des appelants, les noms de laïcs et même de femmes y avaient été acceptés.
(traduction par Wikipedia)
On voit donc que les seules injonctions que les religieuses avaient à suivre était celles venant de Rome - qui, ont le voit, avait donné des instructions précises pour que la Bulle soit acceptée sans conditions.
Le raisonnement suivant :
Si ces deux femmes avaient obéit aveuglément, elles seraient passé au jansénisme.
est donc fallacieux, d'autant qu'il soulève insidieusement des objections fort mal à propos contre l'obéissance aveugle.
N'est-il pas vrai que "les ordres religieux recommandent également l'obéissance la plus aveugle, la plus littérale qui soit possible" (Mgr Christophe de Beaumont, archevêque de Paris au XVIIIème siècle) ?
Invité- Invité
Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
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- Spoiler:
- Guillaume a écrit:Mlle gabrielle R. a écrit:Guillaume a écrit:Rien dans l’attitude des religieuses citées ne montre qu’elles aient appelé à résister aux supérieurs légitimes.
Ont-elles suivi oui ou non l'évêque du lieu et les prêtres? NON
Etaient-elles tenues de le faire par le principe d'obéissance ?
Voici à nouveau un exposé des faits rapportés par l’article « Unigenitus » de la Catholic Encyclopedia :Louis XIV reçut la Bulle à Fontainebleau le 24 septembre 1713 et en envoya une copie au Cardinal de Noailles, qui retira son approbation aux Réflexions Morales donné en 1695. Le roi convoqua également le clergé français qui se réunit à Paris pour accepter la bulle. À la première séance, Noailles nomma un comité présidé par le Cardinal de Rohan, de Strasbourg, pour voir quelle manière d'accepter la Bulle serait la plus convenable. Les tentatives de Noailles pour empêcher une acceptation sans condition furent vaines et le rapport du pape fut accepté et enregistré officiellement. Une instruction pastorale de Noailles interdit à ses prêtres sous la peine de suspension d'accepter la Bulle sans son autorisation, mais elle fut condamnée par Rome. Les évêques de France se divisèrent. Le pape estimait que son autorité était menacée et il avait l'intention de convoquer Noailles devant la Curie et, si besoin était, de lui retirer son cardinalat. Mais le roi et ses conseillers, voyant dans cette procédure une intrusion dans les « Libertés Gallicanes », proposèrent de convoquer un concile national au lieu de celui qui devrait juger Noailles et sa fraction minoritaire et prononcer une sentence contre eux.
Le pape n'appréciait pas cette idée de convoquer un conseil national, qui pourrait prolonger la dispute sans profit et mettre en danger l'autorité vaticane. Il signa pourtant deux brefs, le premier demandant à Noailles l'acceptation sans condition de la bulle dans les quinze jours, sur peine de perdre son chapeau et d'encourir les censures canoniques, l'autre plus amène se contentait de montrer la gravité de l'offense faite par le cardinal. Les deux brefs furent mis en possession du roi, en lui demandant de donner le moins sévère au cas où il y aurait quelque espoir fondé que le cardinal se soumît rapidement. Mais, tandis que Noailles ne laissait voir aucun espoir de soumission, le plus sévère des deux brefs était rejeté par le roi comme contraire aux « Libertés Gallicanes ». Louis XIV revint alors à l'idée de convoquer un concile national mais il mourut le 1er septembre 1715, avant sa convocation.
Philippe II d'Orléans, maintenant Régent, penchait du côté des adversaires de la Bulle. La Sorbonne se hâta de passer une résolution qui annulait l'enregistrement de la Bulle qu'elle avait fait précédemment et vingt-deux Sorbonistes qui protestaient furent exclus de la faculté. Les Universités de Nantes et de Reims rejetèrent elles aussi la Bulle. En conséquence, Clément XI retira à la Sorbonne tous les privilèges papaux qu'elle possédait et tenta de la priver du droit de conférer des grades. Le 1er mai, il avait envoyé deux brefs en France. Le premier, adressé au régent, lui reprochait sévèrement de favoriser les adversaires de la Bulle; l'autre, adressé à l'opposition, menaçait de priver Noailles de la pourpre et de procéder canoniquement contre tous ceux qui n'accepteraient pas la Bulle dans les deux mois. Ces brefs ne furent pas acceptés par le régent parce que leur texte n'avait pas été soumis auparavant à ses ministres. Mais il envoya à Rome Chevalier, janséniste et vicaire général de Meaux, que le pape refusa cependant d'accueillir, quand il devint clair que son seul but était d'arracher à Clément XI l'aveu que la Bulle était obscure et réclamait une explication. Au cours d'un consistoire tenu le 27 juin 1716, le pape prononça pendant trois heures une allocution passionnée au cours de laquelle il mit au courant les cardinaux de la façon dont la Bulle avait été reçue en France et il fit savoir son intention de dépouiller Noailles du cardinalat. En novembre suivant il envoya en France deux nouveaux brefs, l'un au régent pour lui demander sa coopération pour faire disparaître l'opposition à la Bulle, l'autre aux acceptants, pour les mettre en garde contre les intrigues des récalcitrants et leur demander d'exhorter leurs frères dans l'erreur pour qu'ils renonçassent à leur résistance.
Le 1er mars 1717, quatre évêques (Jean Soanen, évêque de Senez, Charles-Joachim Colbert de Croissy, évêque de Montpellier, Pierre de Langle, évêque de Boulogne, et Pierre de La Broue, évêque de Mirepoix) publièrent un appel contre la Bulle à un concile général, fondant ainsi le parti connu par la suite sous le nom d'« Appelants ». Ils furent rejoints le 5 mars par la Sorbonne, la faculté de théologie de Reims le 8 mars et celle de Nantes le 10 mars ; et aussi par l'évêque de Verdun le 22 mars, celui de Pamiers le 12 avril, ceux de Châlons, de Condom, d'Agen et de Saint-Malo le 21 avril, celui d'Auxerre le 14 mai et plus d'une année plus tard par l'évêque de Laon, et ceux de Bayonne et d'Angoulême. Bien qu'une lettre personnelle du pape, datée du 25 mars, et une lettre collective des cardinaux à Rome eussent pressé Noailles de se soumettre, il n'en rédigea pas moins le 3 avril un appel « du pape manifestement mal informé, et de la Constitution Unigenitus, en vertu des décrets [non canoniques et non reconnus par l'Eglise qui a au contraire condamné l'hérésie conciliariste - Guillaume] des Conciles de Constance et de Bâle, au pape mieux informé et à un concile général qui devrait se tenir à l'abri de toute contrainte et dans un endroit sûr ». Il s'abstint cependant de publier immédiatement cet appel, mais le déposa aux archives de l'officialité de Paris. Le 6 mai, il écrivit une longue lettre au pape, dans laquelle il s'efforçait de justifier sa position et celle de ses partisans. Quelques mois plus tard, son appel contre la Bulle fut publié. Les appelants furent bientôt rejoints par un grand nombre de prêtres et de religieux, appartenant surtout aux diocèses de Paris et de Reims. Pour gonfler la liste des appelants, les noms de laïcs et même de femmes y avaient été acceptés.
(traduction par Wikipedia)
On voit donc que les seules injonctions que les religieuses avaient à suivre était celles venant de Rome - qui, ont le voit, avait donné des instructions précises pour que la Bulle soit acceptée sans conditions.
Le raisonnement suivant :Si ces deux femmes avaient obéit aveuglément, elles seraient passé au jansénisme.
est donc fallacieux, d'autant qu'il soulève insidieusement des objections fort mal à propos contre l'obéissance aveugle.
N'est-il pas vrai que "les ordres religieux recommandent également l'obéissance la plus aveugle, la plus littérale qui soit possible" (Mgr Christophe de Beaumont, archevêque de Paris au XVIIIème siècle) ?
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
Carolus.Magnus.Imperator. a écrit:Benjamin a écrit:Il est déjà parti... J'ai constaté que bien souvent, il pond son petit truc quotidien et repart tout de suite en se moquant des réponses qui lui sont faites.
Exactement.
Idem. Exactement.
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
gabrielle a écrit:Carolus.Magnus.Imperator. a écrit:Benjamin a écrit:Il est déjà parti... J'ai constaté que bien souvent, il pond son petit truc quotidien et repart tout de suite en se moquant des réponses qui lui sont faites.
Exactement.
Ou bedon, il fait un choix dans les réponses qui lui sont faites.
Je crois que ce qui touche le CIC est une allée dangereuse pour lui, alors, il évite, il esquive...
Les questions clés.. une réponse le placerait dans de gros troubles...par rapport à tous ce qu'il a avancé comme théorie.
L'Église schismatique grecque est-elle une société dont l'activité s'exerce contre l'Église catholique ?
Quels autels?
Les noms des clercs légitimes?
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
Sandrine a écrit:SAUVEGARDE
https://messe.forumactif.org/t4033p45-mon-cher-guillaume#84339
- Spoiler:
Guillaume a écrit:Il est inutile d'insister sur des questions qui nous éloignent du sujet - ou dont le but est d'obtenir de ma part une souscription à la théorie pernicieuse selon laquelle Église « au sens impropre » = secte.
Ce dossier a été ouvert pour traiter de l'Eglise et de son unité. C'est un dogme actuellement battu en brêche, qui mérite donc d'être exposé au grand jour et défendu par les fidèles. Et à cet égard, j'entends bien apporter ma pierre à l'édifice sans être arrêté par les obstacles ou par les contradictions que poseront des hommes.
Par ailleurs, la doctrine que j'ai exposée ne m'est pas propre mais vise à résumer l'enseignement de la Sainte Eglise – celui des Pontifes, et des Saints Pères - auxquels je me suis constamment référé.
Je n’entrerai donc pas dans le jeu de ceux qui cherchent à détourner ce fil de son sujet initial - qui parait visiblement déranger, certains étant venus jusqu’à parler de « provocation » pour le fait d’exposer une vérité de Foi.
J’ai pu écrire des erreurs en matière de doctrine – que les catholiques qui me lisent me les signalent en privé, je m’empresserai de les corriger.
Autrement, si Dieu le permet, ce dossier va continuer sur sa lancée en restant dans le sujet, ceci en rapportant le plus fidèlement possible l'enseignement des Pontifes et des Saints Pères sur cette matière.
Cor sacratissimum Jesu, miserere nobis. Cor sanctissimum Maria, ora pro nobis.
Puis-je respectueusement rappeler à Guillaume que les questions que nous lui posons sont tirées à partir des commentaires qu'il écrit au fur
et à mesure dans les fils que lui-même a ouvert, à savoir: Unique est ma colombe, ma perfection et "faux docteurs", "fausse doctrines" ?
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: "faux docteurs", "fausses doctrines"
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Bonjour,
Ce dossier restera verrouillé, étant donné que le sujet est maintenant sur Doctrine et Actualités sous Questions pour Guillaume :
https://messe.forumactif.org/t4355-questions-pour-guillaume
Bien à vous,
Louis, administrateur.
Bonjour,
Ce dossier restera verrouillé, étant donné que le sujet est maintenant sur Doctrine et Actualités sous Questions pour Guillaume :
https://messe.forumactif.org/t4355-questions-pour-guillaume
Bien à vous,
Louis, administrateur.
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
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