Comme MOI je vous ai aimés
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DOM EUGENE VANDEUR
GODEFRIDUS, Abbas coadj. Maretioli, 15 Augusti 1950
Imprimatur P. BLAIMONT, vie. gen. Namurci. 19 Augusti 1950
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S. Paul a répondu, un jour, au Grand Prêtre qui le fait giffler : Dieu te punisse, muraille blanchie qui, contre la Loi, me fait frapper !
Jésus, Lui, s'est tu. Il n'a rien dit. Il n'a apostrophé ni ces impies qui ne croient même pas à la Loi, ni ces juges graveleux, indignes de siéger ; ni ces témoins, effrontés menteurs, qui s'empêtrent dans leurs dires. Oh ! la belle occasion d'exercer sa colère et sa vengeance, et de confondre, un à un, ces juges disqualifiés !...
Non, Jésus se tait... Il se tait pour nous apprendre à nous taire, face à nos pires ennemis... Mais, rien ne condamne ceux-ci comme le calme et la Majesté dont Jésus ne se départira en aucun moment. Quelle force dans ce silence ! Quelle pitié, qui n'est qu'une forme de l'Amour qui excuse et pardonne !
Le voici traîné chez Pilate, ce hautain, ce lâche et violent à ses heures. Jésus sait la faiblesse de cet homme, qui, sûrement, le croit innocent et voudrait le libérer... Mais, Pilate craint César et cette populace qui tend les poings et clame : Crucifie-Le! Crucifie-Le... Non, pas Barabbas, mais Lui, Jésus de Nazareth !
C'est pour éviter qu'on l'accuse auprès de Tibère, que ce juge inique va le faire flageller ; supplice terrible, inhumain ; il le livre à la valetaille, aux tortionnaires des prisons, qui, pour simuler, dans une scène des plus sacrilèges, les honneurs rendus à un roi de théâtre, le couronnent d'épines et l'affublent d'une loque écarlate, au milieu des insultes les plus odieuses.
Jésus subit tout cela, sans rien dire... Il pourrait se défendre, annihiler ces scélérats d'un mot, Jésus se tait. Ni récriminations, ni ironies à l'adresse de cet autocrate, qui se sent dominé par son accusé. Au contraire ; il relève la sublime dignité de son juge : Tu n'aurais, lui dit-il, nul pouvoir sur Moi, s'il ne t'avait pas été donné d'En-Haut... Il cherche même à diminuer sa faute, en disant : Ceui qui m'a livré à toi, est plus coupable que toi. Hérode s'est moqué de Jésus devant toute sa cour. En vain a-t-il voulu le faire parler : Jésus s'est tu... quitte à passer pour le fou qu'on revêt d'une robe blanche, et qu'on livre à la risée de tous les grands.
DOM EUGENE VANDEUR
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Jésus est poussé, entraîné dans le chemin qui mène au Calvaire. Il n'est déjà plus qu'une plaie de la tête aux pieds ; le sang coule de tous ses membres... Il tombe et retombe, écrasé sous une Croix qu'il ne peut vraiment plus porter... Il est véritablement, Lui, le « Bon Dieu de pitié », comme l'ont appelé les siècles chrétiens. Quel spectacle !
Les hommes, ses amis, n'osent manifester... Mais des femmes se lamentent et jettent des cris... Jésus est plus ému de leur sort que du sien. Il s'oublie, Lui, ici encore et outre mesure. Il s'arrête et dit : Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur Moi, mais sur vous-mêmes et sur vos enfants... Le jour approche où l'on dira : Heureuses les stériles et les entrailles qui n'ont pas enfanté, et les mamelles qui n'ont point allaité... Il n'a souci que d'autrui... Que fera-t-on du bois sec?
Ne pleurez pas sur Moi... Eh ! quoi ! en cet état, à cette heure, en cette extrémité !... Quel oubli de soi-même pour penser au malheur, simplement prévu, des autres!... Aucune plainte!... Il ne pense, — et quelle tendresse — qu'à ceux qui crient : Crucifiez-Le ! Crucifiez-Le ! et que, demain, le bras vengeur de Dieu écrasera, avec leurs enfants, sur le sol de la cité déicide.
Jésus, par les mains et par les pieds, est cloué et élevé en la sainte Croix. Trois heures durant, il y reste attaché, vivant... supplice horrible qu'on n'ose scruter, tant il fait frissonner : et le sang coule ; il coule de la tête, des yeux, de ses lèvres, de sa poitrine en lambeaux, et dans cette nudité humiliante qui expie tous les forfaits et les orgies de l'humanité.
Tout ce qui se passe, là, durant ces trois heures, interminables, soulève le cœur : c'est vraiment l'heure de la puissance des ténèbres, de Satan, de l'enfer déchaîné.
Le pavé est à la haine... Tout condamné, cependant, a été considéré toujours comme chose sacrée. Pour Lui, pas de pitié. Membres du Sanhédrin, Pharisiens homicides, populace éhontée et mercenaires excités, tous rivalisent d'audace cruelle et sacrilège devant sa Face. L'insulte atteint au paroxysme, quand elle se sert de l'Ecriture elle-même pour accabler l'Innocence.
Jésus s'est tu...
Il ne s'est trouvé personne, là, dans cette foule pour le défendre, arrêter ces blasphèmes et ces outrages. Où donc étaient-ils tous ceux-là et celles-là qu'il avait guéris, consolés, protégés, arrachés au démon ? Jésus s'est tu et n'a pas même réclamé et crié : à l'aide ! A tous ces ennemis, à tous ces ingrats, Il aurait pu leur lancer ce seul mot : Lâches ! Ils auraient été jetés par terre, comme à Gethsémani ; il les aurait rejetés dans le néant et pour l'éternité!... Jésus s'est tu...
DOM EUGENE VANDEUR
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La première parole qu'il lui plaira de prononcer, tandis qu'il agonise, sera, pour eux tous et pour nous, coupables en eux tous : Père, pardon pour eux! Ils ne savent ce qu'ils font...
C'est, là, un comble ! Comble d'amour et de pitié ! Ils ne savent ce qu'ils font ? Il y a des mois qu'ils complotent sa mort ; et Jésus leur trouve des excuses ! Ne savent-ils pas qu'ils tuent un Homme qui est Dieu ? Ne leur a-t-il pas donné assez de preuves de sa Divinité ?
Mais le Cœur de Jésus-Christ se montre plus grand en amour, que ne pourrait être la révolte contre tant d'outrages et d'ingratitudes. Il continue au sein de la pire épreuve de chérir ceux qu'il avait voulu aimer, et jusqu'à la fin... Pardonnez-leur. Père, mon Père et leur Père, ils ne savent pas...
Dans ce pardon, il a été jusqu'à l'héroïsme le plus divin qui soit. Trois heures durant, il a été moqué, insulté, blasphémé par deux larrons qui pendaient à leurs croix, l'un à sa gauche et l'autre à sa droite...
Jésus se taisait...
Mais, le silence du Fils de Dieu est la plus puissante et la plus efficace des prières ! Tout à coup, l'un des deux brigands s'arrête d'injurier le Dieu du ciel et de la terre... Ce reste de pitié qu'il a gardé au cœur, malgré sa méchanceté, le ressaisit ; il s'émeut grandement devant la patience et le silence de Celui qu'il accable... Il reconnaît, en Lui, plus qu'un Homme ; il adore un Dieu : Seigneur, disait-il, souvenez-vous de moi, quand vous arriverez à votre Royaume !
Le Roi des rois le regarde avec un tel amour ! Il lui dit : Aujourd'hui même, avec Moi, tu seras dans le Paradis... Quelle canonisation!... Personne, dans l'Evangile, n'a été canonisé par l'Homme-Dieu lui-même, comme ce Dismas, devenu le « Bon Larron ». Aujourd'hui même, pas demain, ni après-demain, mais tout de suite : avec Moi, en même temps que Moi, qui t'ouvrirai Moi-même les portes de mon Royaume ; avec Moi, le seul, sans qui personne ni au ciel ni sur terre ne saurait être heureux ; tu seras dans le Paradis de Dieu, au sein d'un bonheur qui ne doit pas finir.
O silence de Jésus-Christ ! Charité sans bornes ! Ses pardons égalent son Amour.
Il a fait plus ; il a fait ce que jamais agonisant et mourant ne fit ni ne fera encore. Il a aimé, mais à l'extrême de l'Amour : il nous a fait un Don sans pareil ; il nous a donné sa Mère, Marie, la bénie entre toutes les bénies.
Il a dit à Jean, le bien-aimé de son Cœur, et, en lui à nous tous : Voilà ta Mère ! Il a dit à Marie : Voilà ton fils !
Pouvait-il nous donner davantage que de consacrer cette Vierge-Mère, en la faisant sa Corédemptrice et la Médiatrice des grâces, de toutes les grâces, qui doivent nous donner part à son abondante Rédemption ?
Nous ne sommes plus seuls.
DOM EUGENE VANDEUR
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Quand il rend le dernier soupir, quand il penche sa Tête adorable pour nous attirer à son baiser de paix, il nous laisse Celle qu'il fait l'expression suprême de son Amour pour nous. Pour l'aimer, Lui, pour lui rendre amour pour amour, nous possédons le Cœur Immaculé de sa Mère. Nous n'aimerons bien Celui qui nous a trop aimés qu'en L'aimant par Elle.
O Jésus ! ô Marie ! deux objets de ma tendresse ; que je vive, que je meure pour vous, et pour vous aimer, à jamais !
Il a bien montré qu'il ne voulait de nous tous que ce retour d'amour, misérables que nous sommes, lorsqu'après sa Résurrection, retrouvant Pierre et ses Disciples, par trois fois et pour réparer son triple reniement, il interroge l'Apôtre repentant : Pierre, m aimes-tu ?... Par trois fois, dis-je, au point de faire pleurer celui qui, trop peu conscient de sa faiblesse, ne se reconnaissant plus lui-même, avait juré et juré encore qu'il ne connaissait pas Jésus de Nazareth, Celui-là même qu'au nom des Apôtres réunis il avait confessé le Fils du Dieu vivant ; Celui à qui il avait dit, protestant de sa fidélité et de celle des Onze autres : Seigneur, à qui irions-nous ? Vous avez les paroles de la Vie éternelle ?
C'est ainsi que se venge l'Amour qui nous aima et se livra pour nous. Il n'y a pour nous d'autre réponse à lui faire que celle du même Apôtre : Seigneur, vous savez tout, vous savez que je vous aime... Eh ! bien, oui, je vous aimerai, à mon tour, et je me livrerai pour Vous, Seigneur : mais, donnez-moi de vous aimer, ainsi.
DOM EUGENE VANDEUR
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1. Tertullien.Cette livraison absolue de mon cœur exige une sincérité fidèle et sans réserve. Aimer, c'est se donner, c'est s'aliéner, c'est s'enchaîner à ce qu'on aime ; c'est ne plus faire que ce qui lui plaît ; c'est ne plus se plaire à soi-même, c'est être un avec Celui à qui on a lié, à jamais, sa vie.
Celui-là, c'est Dieu, Père, Fils et Esprit-Saint; c'est l'Amour infini immense et éternel. Celui-là, c'est le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Celui dont il est le Fils unique, et dont nous sommes, en Jésus, les enfants d'adoption.
Celui-là, c'est Jésus-Christ Lui-même, l'Envoyé du Père, sa manifestation divine, grandiose et amoureuse ; c'est l'Homme-Dieu tout entier, Homme aimé pour Lui-même parce qu'il est le Dieu vivant.
Celui-là, c'est aussi l'Amour personnel, l'Amour Unitif du Père et du Fils, leur Lien, leur Baiser, leur Etreinte, aux siècles infinis, en qui s'étreignent tous les enfants de Dieu.
Tel est Celui qu'il faut aimer, Dieu par-dessus tous et toutes choses, de tout son cœur, de toute son âme, de tout son esprit, de toutes ses forces, c'est-à-dire de tout son être.
Mais, il n'y aurait qu'illusion dans cet Amour, si nous n'aimions pas le cher prochain, comme nous-mêmes. C'est déjà presque tout que de l'aimer ainsi. Mais, il a un Commandement nouveau, et qui contient tous les autres : Aimez-vous les uns les autres, comme Moi je vous ai aimés. Je vous ai donné l'exemple, afin qu'ainsi vous m'avez vu faire, vous fassiez vous-mêmes. Là, il ne peut y avoir ni illusions, ni mensonges. Car, « qui voit son frère voit le Christ (1) ». Celui qu'il aime, c'est le Christ ; le pauvre, le nu, l'affamé, le malade, le prisonnier, le défunt et même l'ennemi, et n'importe quel infortuné, rencontré n'importe où, c'est toujours le Christ. C'est Dieu seul qu'on aime, par le Christ avec Lui et en Lui, quand on aime son prochain.
Il faut aimer ce cher prochain, comme Lui, Jésus, l'a aimé ; jusqu'à la fin, jusqu'à l'extrême, jusqu'au don total, héroïque, afin de lui donner Dieu, tôt ou tard, ce qui est lui vouloir le bien, le Bien suprême, qui est Dieu. Ne renferme-t-il pas tous les autres ?
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FIN
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Courage, à vous tous, à vous toutes qui voulez ce Bien infini à Dieu lui-même, en vous réjouissant de ce qu'il le possède en plénitude ; qui Le voulez à n'importe quelle créature humaine ; qui ne lui voulez que Dieu, Dieu seul, et tout ce qui découle de ce Don des dons.
Aimez-vous donc, comme Moi, je vous ai aimés... jusqu'à vous donner Marie, ma Mère ; aimez-vous, comme Marie, ma Mère vous aima, en Me livrant à vous ; ainsi vous faut-il aimer les uns les autres.
Pour cela, Aimez-moi, demeurez dans mon amour, Moi en vous, vous en Moi. Laissez-vous dévorer de ce Feu, qu'est mon Esprit-Saint, Amour Unitif du Père et du Fils, pour pouvoir, de la sorte, aimer Dieu le Père d'Amour, pour Lui-même, et le prochain pour l'amour de ce même Dieu.
Si quelqu'un demeure dans mon Amour, il sera fort, il deviendra supérieur au monde. Ayez confiance, j'ai vaincu ce monde ! Vous le vaincrez à votre tour ; vous tuerez la haine qui le régit, et vous lui rendrez le seul Maître qui puisse le guider et le ramener aux réalités éternelles, à savoir Jésus-Christ le Maître et Modèle de l'Amour, qui vous répète une dernière fois :
AIMEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES COMME MOI, JE VOUS AI AIMÉS...
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