Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
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Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Marx à Emmanuel Mounier
Mounier était un professeur de philosophie en rupture de carrière, qui se mua en intellectuel d'action, jouant au démiurge.
Sa était s double, il croyait en en Karl Marx et en Jésus-Christ. A la recherche d'une synthèse du marxisme et de l'Évangile, en quoi consistera son personnalisme —, il mit finalement Jésus-Christ au service de Marx en invitant les catholiques à s'engager dans la révolution-avec-les-communistes.
Dans son discours, dès l'exorde, un axiome est posé, dicté par le « sens de l'histoire » : le communisme est inéluctable. Mieux vaut donc y aller.
— Il est horrible, rétorquez-vous immédiatement.
— Raison de plus pour le rejoindre, répond-il, afin de l'améliorer. Qui veut économiser les frais de la révolution inévitable n'a pas le choix, il lui faut y participer.
— Mais le communisme, insistez-vous, est intrinsèquement pervers, comme l'a proclamé Pie XI, alors que le capitalisme, simplement dévié, est en voie d'assainissement. Réformons-le.
— Non. Le réformisme n'est jamais qu'un « moratoire du désordre ». C'est le capitalisme qui est intrinsèquement pervers, puisqu'il est à base de « profit ». Le communisme, lui, n'est que dévié. Nous le redresserons, une fois que nous serons à l'intérieur, en masse.
— L'Église n'interdit-elle pas la collaboration rouge sous peine d'excommunication ?
— Oui. Mais erreur historique massive, qu'il importe de surmonter rapidement. D'ailleurs l'Église a mal évalué le communisme parce qu'elle n'en a pas aperçu la qualité, étant infidèle à sa mission. Justement, nous l'y ramenons...
Comment ?
A ses risques, jouant à l'antipape.
Mounier reconsidère le communisme, il en découvre inlassablement la cause et l'idéal, qui ne sont pourtant que des prétextes mensongers. En dépit des erreurs accidentelles et passagères, il démontre qu'il y a là « tant de richesses humaines », des « éléments essentiels de libération », et même un « sens de Dieu authentique bien qu'innommé », bref, un fond d'Évangile. Et même la Bonne Nouvelle du jour. Car l'essentiel du communisme réside en sa « force centrale », en son « mystère », en sa « charge mystérieuse » : il est une « part du Royaume de Dieu », une « église », une religion, il a charge de « rédemption ». Qui voit cela possède la lumière.
Objectif de V2 : rallier Moscou
Conséquence : l'Église reçoit sommation de rallier Moscou sous peine de destitution. Voici comment Jean Calbrette expose cette injonction dans la Crise actuelle du catholicisme français, 1959, Librairie Française, 58, rue Mazarine, p. 96 :
« Qu'est-ce qui empêche les catholiques de rejoindre en masse le communisme dans la révolution anticapitaliste ? Ce n'est pas l'Église dans sa mission d'Église, l'Église gardienne de la transcendance spirituelle, mais l'Église engagée indûment dans l'établissement d'un ordre chrétien, d'une civilisation chrétienne, d'un monde chrétien, — l'Église hier complice du capitalisme et toujours son associée, —- l'Église agglutinée au monde occidental et américain, — l'Église solidaire d'une morte « la chrétienté occidentale, féodale et bourgeoise », — l'Église qui reste embarrassée par les « principes d'une morale ou d'une politique mortes qui se sont développées sur le christianisme, mais non à partir de lui, — « l'Église déformée par l'étroitesse, l'égoïsme et les complicités meurtrières des libertés bourgeoises », — l'Église qui regrette le passé au lieu de conquérir l'avenir, — bref, l'Église tenue par « cette ligature serrée qui va des faits de civilisation à la condition du spirituel, où peut se bloquer, et pire encore, s'altérer le témoignage de la foi dans toutes sortes d'aliéna- nations infidèles ». Le maître mot du marxisme a été lâché. L'Église qui interdit à ses fidèles de se joindre aux communistes a été aliénée de son véritable esprit par le capitalisme, elle manifeste son infidélité au Christ, elle doit être libérée — ce que font pour leur part les catholiques de gauche qui passent outre à son commandement. »
Au moment du conciliabule, on remarque le battage autour des « pauvres », l'Église se devant aux « pauvres » d'abord..., entendez « aux ouvriers aspirant au communisme ! » Encore un thème de Mounier.
Jadis le modernisme social — du Sillon — vouait la ferveur chrétienne à la révolution rétrospective de 1789 ; celui de Mounier pousse à l'achèvement de celle d'octobre 1917. Dans sa chaudière la vapeur religieuse est surchauffée ; mais le tuyau d'adduction, débranché du moteur de la civilisation chrétienne, est rattaché à la machine communiste et pousse le piston de la révolution. Arrive un renfort inattendu.
Alors... Teilhard est arrivé !
Tandis que Mounier se surmène dans sa casuistique afin de mettre en question tout l'établissement du catholicisme, et s'épuise dans sa chaufferie — jusqu'à en mourir prématurément en 1950 — voici Teilhard. Il éclate comme le tonnerre en 1945 et son éclair s'appelle la Grande Option, pour la socialisation.
Un jésuite, s'il vous plaît, un savant, un « saint » — il santo — en fait un évolutionniste consommé, un théosophe qui a consumé sa foi et converti la charité en une inhumaine et folle concupiscence. Le transformisme intégral, indispensable aux loges et à Moscou — à la Subversion — l'a investi d'une autorité internationale. Peu importe que ce soit à la faveur de deux impostures — celle de Piltdown(1) où les conjurés lui firent découvrir la canine décisive, préfabriquée, et celle de Choukoutien,(2) où des crânes de singes, tous défoncés, visiblement pour extraction de la cervelle, furent préférés aux crânes humains trouvés dans le même site pour la reconstitution du sinanthrope, en sorte que le gibier fut substitué au chasseur ! Néanmoins ceux-là mêmes qui n'ont qu'un but, l'extinction de l'Église, le proclament son plus glorieux fils, son meilleur génie, son sauveur.
La grande Mutation vers le communisme
Désormais, le progressisme fait fureur. La philosophie qui inspire 1789 ne voyait dans le catholicisme que du « gothique ». Et Teilhard, donc ! Rien que du « néolithique » ! La personne du Christ, son Évangile, son Église et ses sacrements, dissous en « élément christique », ont disparu dans le fleuve irrésistible appelé Évolution. Et tant mieux. Car l'heure a sonné de la transformation suprême rêvée par les alchimistes, la mutation est imminente, l'homme va passer, de lui-même, à l'« ultra-humain », devenir Dieu. A la condition qu'il consente de bon cœur à la loi fondamentale et unique de l'Évolution qui fait de la complexification la condition et le moyen du progrès, c'est-à-dire en passant, de lui-même, à une « socialisation » universelle, qui ne peut être que celle du communisme.
C'en est fait. En principe, l'avenir est assuré. Le progressisme gardera l'atelier intellectuel de Mounier, ne serait-ce que pour réduire les objections des attardés du catholicisme, mais il dispose désormais d'une puissance illimitée : Teilhard l'a doté d'une centrale nucléaire.
L'ouverture au communisme est maintenant enveloppée, précipitée par l'ouverture au monde. Teilhard n'a pas seulement apporté des « Lumières », mais la Lumière
(1) L'homme de Piltdown, Homo (Eoanthropus) Dawsoni, a été considéré au début du XXe siècle comme un fossile datant de l'Acheuléen (Paléolithique inférieur) et comme un chaînon manquant entre le singe et l'homme en raison de ses caractères simiens (mâchoire) et humains (calotte crânienne). En 1959, des tests montrèrent définitivement qu'il n'était qu'une supercherie scientifique.
(2) http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_1937_num_34_9_5489
Il sera intéressant de démontrer, jusqu'à quel point Ratzinger est le fils spirituel de Mounier et Chardin
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
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Regardez qui subventionna le groupe d'études de recherches géologiques en Chine et dont Pierre Teilhard de Chardin était membre : la "Rockefeller Foundation." !!!
Regardez qui subventionna le groupe d'études de recherches géologiques en Chine et dont Pierre Teilhard de Chardin était membre : la "Rockefeller Foundation." !!!
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
"Rockefeller Foundation." !!!
Oui, j'avais vue ce "léger détail" qui en dit long.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Joseph Ratzinger LA FOI CHRETIENNE HIER ET AUJOURD'HUI éd. 2005, Mame/Cerf
[….] Mais une deuxième considération s'impose. Nous avions jusqu'à présent essayé de comprendre, à partir de l'idée de « l'homme exemplaire », le premier dépassement fondamental de l'être particulier, dépassement que la foi considère comme décisif pour 1a figure de Jésus, celui par lequel se trouvent réunis en Lui l'humain et le divin. Ce dépassement en impliquait déjà un autre. Si Jésus l'homme exemplaire, en qui la vraie essence de l'homme, telle Dieu l'avait conçue, se manifeste pleinement, alors il ne peut être destiné à ne former qu'une exception absolue, une curiosité où Dieu nous démontre tout ce qui est possible. Son existence concerne alors l'humanité tout entière. Le Nouveau Testament met cela en évidence, en appelant Jésus-Christ un « Adam ». Dans Bible ce mot exprime l'unité de toute la réalité humaine, au point que l'on parle de l'idée biblique de « personnalité corporative1 ». Le fait donc que Jésus soit appelé « Adam » montre qu'il est destiné à rassembler en Lui toute la réalité « Adam ». Ce qui veut dire que la réalité, très souvent incompréhensible pour nous aujourd'hui, appelée par Paul « Corps du Christ », est une exigence interne de cette existence qui ne doit pas demeurer à l'état d'exception, mais « attirer â elle » toute l'humanité (comp. Jn 12, 32).
C'est un grand mérite de Teilhard de Chardin d'avoir repensé ces rapports à partir de l'image actuelle du monde, de les avoir, dans l'ensemble, compris avec justesse, malgré une tendance au biologique qui pourrait appeler quelques réserves, et en tout cas, de les avoir à nouveau rendus accessibles. Écoutons-le lui-même. La monade humaine « ne peut être absolument elle-même qu'en cessant d'être seule2 ». Cette affirmation sous-entend l'idée que, dans le cosmos, à côté des deux ordres de l'infiniment petit et de l'infiniment grand, il y a un troisième ordre qui détermine la véritable dérive de l'évolution : l'ordre de l'infiniment complexe. Il est le but véritable du processus du devenir ascendant ; il atteint un premier point culminant lorsque apparaît le vivant, pour progresser ensuite jusqu'à des formes très complexes qui donnent au cosmos un nouveau sens : « Si imperceptible et accidentelle soit la place qu'elles prennent dans l'histoire des corps sidéraux, les planètes n'en sont pas moins, finalement, que les points vitaux de l'univers. C'est par elles que passe maintenant l'axe, c'est sur elles que se concentre désormais l'effort d'une évolution principalement tournée vers la fabrication des grosses molécules3. » La considération de l'univers après l'échelle dynamique de la complexité représente « un complet renversement des valeurs. Un retournement de la perspective4 ».
Mais revenons à l'homme. Il est le maximum de complexité atteint jusqu'à présent. Mais lui non plus ne peut pas encore, en tant que simple monade-humaine, représenter une fin en soi ; pour devenir lui-même, il exige une complexification ultérieure : « L'homme en même temps qu'un individu centré par rapport à soi (c'est-à-dire une « personne.») ne représente-t-il pas un élément, par rapport à quelque nouvelle et plus haute synthèse5 ? » C'est à dire que l'homme, d'une part, représente déjà une fin que l'on n'a plus le droit de révoquer, de dissoudre, et cependant, dans la juxtaposition des hommes isolés, il n'est pas encore arrivé au but, mais se révèle pour ainsi dire comme un élément, aspirant à un tout qui l'intègre sans le détruire. Prenons encore un autre texte, pour voir dans quelle direction ces idées nous conduisent : « Contrairement aux apparences encore admises par la Physique, le Grand Stable n'est pas au-dessous - dans l'infra-élémentaire -, mais au-dessus - dans l'ultra-synthétique6 » Ainsi l'on découvre que : « Si les choses tiennent et se tiennent, ce n'est qu'à force de complexité, par en haut7 » Je crois que nous nous trouvons là devant une affirmation capitale ; l'image dynamique de l'univers ruine sur ce point la représentation positiviste qui nous est si naturelle et pour qui la réalité permanente est uniquement la « masse », la matière solide. Le fait que l'univers est finalement construit et maintenu « par en haut » apparaît d'une manière d'autant plus impressionnante que nous y sommes moins habitués.
1 Cf. J. PEDERSEN, Israël, Ils Life and Culture, 2 vol., London, 1926 et 1940; - H. W. Robinson, « The Hebrew Conception of corporate personality, » dans, Beihejre zur Zeitschrijt für die alttestamentliche Wissenschaft, 66 (Berlin, 1936), pp. 49-62 - J. DE Frtwttae, Adam et son lignage, Bruges, 1959.
2 Cité d'après C. TRESMONTANT, Introduction d la pensée de Tellhard ((e Chardin, Paris, 1956, p. 68.
3 Ibid., p. 38
4 Ibid., p. 37
5 Ibid., p. 68
Ibid., p. 72
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Cela nous introduit à un autre texte - pour esquisser au moins ici par quelques fragments mis bout à bout la vision globale de Teilhard : « Sous peine d'être moins évoluée que les termes que son action anime, l'Énergie universelle doit être une Énergie Pensante. Et par suite... les attributs de valeur cosmique dont elle s'irradie à nos yeux modernes ne suppriment en rien la nécessité où nous sommes de lui reconnaître une forme transcendante de Personnalité8. » A partir de là, on peut aussi comprendre la façon dont Teilhard voit le point d'aboutissement de tout le mouvement : la dérive cosmique se meut « en direction d'un incroyable état quasi ` mono-moléculaire '... où chaque ego est destiné à atteindre son paroxysme dans quelque mystérieux super-ego9 ». Il est vrai que l'homme, en tant qu'il est un ego, représente une fin, mais la direction du mouvement de l'être, de sa propre existence, le révèle comme un organisme destiné à un super-ego qui ne le dissout pas mais l'englobe ; seule cette intégration pourra faire apparaître la forme de l'homme à venir, dans laquelle l'homme aura atteint pleinement le but et le sommet de son être.
On reconnaîtra certainement que cette synthèse, élaborée à partir de la vision actuelle du monde, avec un vocabulaire parfois sans doute par trop biologique, est cependant fidèle â la christologie paulinienne, dont l'orientation profonde est bien perçue et rendue à une nouvelle intelligibilité : la foi voit en Jésus l'homme dans lequel s'est réalisée en quelque sorte - pour reprendre le schéma biologique - la mutation suivante du processus d'évolution ; l'homme en qui a eu lieu la percée hors de la condition limitée de notre être d'homme, hors de son isolement monadique ; l'homme en qui la personnalisation et la socialisation ne s'excluent plus mais se confirment ; l'homme en qui l'unité suprême - le « Corps du Christ » comme dit Paul, ou d'une manière encore plus nette : « Car tous vous ne faites qu'un dans le Christ Jésus » (Ga 3, 28) - et l'individualité suprême coïncident ; l'homme en qui l'humanité touche son avenir et se réalise pleinement elle-même, parce que par Lui elle touche Dieu-même, participe à Dieu et parvient ainsi â ce qui fait ses plus intimes possibilités.A partir de là, la foi verra dans le Christ le commencement d'un mouvement qui fait entrer de plus en plus l'humanité divisée dans l'être d'un unique Adam, d'un unique « corps », dans l'être de l'homme à venir. Elle verra dans le Christ le mouvement vers cet avenir de l'homme, où celui-ci est totalement « socialisé », incorporé à l'Unique, de telle manière cependant que l'individu n'y soit pas dissous, mais parvienne à devenir lui-même.
Il ne serait pas difficile de montrer que la théologie johannique va dans le même sens. Rappelons-nous simplement le mot auquel nous avons déjà fait allusion plus haut : « Quand je serai élevé de terre j'attirerai tous les hommes à moi » (Jn 12, 32). Cette phrase veut expliquer le sens de la mort de Jésus sur la croix; elle exprime ainsi, étant donné que la croix est au centre de la théologie johannique, l'orientation de tout l'Évangile. La crucifixion y apparaît comme une ouverture sur les autres, où les monades humaines éparses sont attirées dans l'étreinte de Jésus-Christ, réunies dans le vaste espace de ses mains étendues, pour parvenir, dans ce rassemblement, à leur but, au but de l'humanité. Mais, s'il en est ainsi, leChrist, en tant qu'homme à venir, n'est pas l'homme pour soi, mais essentiellement l'homme pour les autres ; l'homme à venir, il l'est précisément en tant qu'ouvert à tous. L'homme pour soi, qui ne veut que subsister en lui-même, est alors l'homme du passé que nous devons laisser derrière nous, pour aller de l'avant. Autrement dit : l'avenir de l'homme est dans «l'être-pour » (Sein für). Ici se confirme, au fond, encore une fois, ce que nous avons reconnu être le sens de la filiation, et le sens de la doctrine des trois personnes en un seul Dieu : tout cela nous renvoie à l'existence dynamique et « actuelle », qui est essentiellement ouverture dans le mouvement entre le « à partir-de » et le « pour ». Une fois de plus, il apparaît que le Christ est l'homme totalement ouvert, en qui les cloisons de l'existence sont démolies, qui est tout entier « passage » (Pascha).
Nous voilà de nouveau directement en présence du mystère de la croix et de Pâques, qui a été de fait compris par la Bible comme un mystère de passage. Jean, qui a particulièrement médité ces idées, conclut sa présentation du Jésus terrestre par l'image de l'existence dont les cloisons ont été percées, qui ne connaît plus de limites fermes, qui est essentiellement ouverture. « L'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau » (Jn 19, 34). Pour Jean, l'image du côté transpercé est le point culminant non seulement de la scène de la croix, mais de toute l'histoire. [….]
8.Ibid., p. 78
9. Ibid., p. 69
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
1ère prédication de Carême du P. Cantalamessa (Texte intégrai)
ROME, Vendredi 13 mars 2009 (ZENIT.org) - Nous publions ci-dessous le texte intégral de la première prédication de Carême que le P. Raniero Cantalamessa, ofmcap., prédicateur de la Maison pontificale, a prononcée ce vendredi matin, en présence du pape et de membres de la curie romaine, dans la chapelle « Redemptoris Mater », au Vatican. P. Raniero Cantalamessa, ofmcap.
...3. L'évolution et la Trinité
Le discours sur le créationnisme et l'évolutionnisme se déroule généralement dans un dialogue avec la thèse opposée, de nature matérialiste et athée, et donc de ce point de vue, nécessairement apologétique. Dans une réflexion comme celle-ci, faite par des croyants et pour des croyants, nous ne pouvons nous arrêter à ce stade. Nous arrêter ici signifierait rester prisonniers d'une vision 'déiste' du problème, pas encore trinitaire, et donc pas spécifiquement chrétienne.
C'est Pierre Teilhard de Chardin qui a ouvert le discours sur l'évolution à une dimension trinitaire. L'apport de ce chercheur dans la discussion sur l'évolution a essentiellement consisté à introduire dans cette discussion la personne du Christ, à en avoir aussi fait un problème christologique[6].
Son point de départ biblique est l'affirmation de Paul, selon laquelle « tout a été créé par lui et pour lui » (Col 1,16). Le Christ apparaît dans cette vision comme le Point Oméga, c'est-à-dire comme sens et aboutissement final de l'évolution cosmique et humaine. Le moyen et les arguments avec lesquels le chercheur jésuite arrive à cette conclusion peuvent être discutés, mais pas la conclusion elle-même. Maurice Blondel en explique bien la raison dans une note écrite pour défendre le penseur Teilhard de Chardin dans laquelle il dit que face aux horizons agrandis de la science de la nature et de l'humanité, on ne peut pas, sans trahir le catholicisme, rester sur des explications médiocres et des manières de voir limitées, qui font du Christ un incident historique, qui l'isolent dans le Cosmos comme un faux épisode, et semblent faire de lui un intrus ou une personne dépaysée dans l'immensité écrasante et hostile de l'Univers [7].
[6] Cf. C. F. Mooney, Teilhard de Chardin et le mystère du Christ, Aubier, Paris 1966. [7] M. Blondel e A. Valensin, Correspondance, Aubier, Parigi 1965.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Ratzi est le roi de l'apostasie galopante !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Via Crucis a écrit:
Ratzi est le roi de l'apostasie galopante !
Faudrait l'attraper au lasso...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
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Maurice Blondel et Teilhard de Chardin... quelle généalogie pour v2 et Ratz... qui se ressemble, s'assemble
Maurice Blondel et Teilhard de Chardin... quelle généalogie pour v2 et Ratz... qui se ressemble, s'assemble
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
En fait Blondel et Chardin , sont une partie de la généalogie de la révolution montinienne... la généalogie complète se trouve au fond de l'enfer.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Puisque selon Darwin et ses acolytes l'homme descend du singe il ne faut pas s'étonner des singeries de Ratzi ! Un singe en vaut bien un autre !
!
!
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Via Crucis a écrit:Puisque selon Darwin et ses acolytes l'homme descend du singe il ne faut pas s'étonner des singeries de Ratzi ! Un singe en vaut bien un autre !
!
Exact, il ne faut se surprendre. Les singeries de Ratzi et de Darwin mènent le bal de nos jours... en fait, c'est un zoo, les "évêques" eux font les perroquets ... et les fidèles de bons gros toutous...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
..sa singeté benoit XVI
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Roger a écrit:..sa singeté benoit XVI
En plus je le vois très bien du haut de son arbre faire ses singeries à la
Monique- Nombre de messages : 13758
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
.. lui, ratzi, apostat, franc-maçon et antipape, c'est quand même une inqualifiable insulte à Sa Sainteté Benoit XV et à toute la Papauté, que d'avoir pris ce nom !
..et de voir cette cloarque d'impurté s'assoir sur le Saint-Siège,.. .. !!
..je ne trouve pas les mots pour le dire.. !!
..et de voir cette cloarque d'impurté s'assoir sur le Saint-Siège,.. .. !!
..je ne trouve pas les mots pour le dire.. !!
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Via Crucis a écrit:Puisque selon Darwin et ses acolytes l'homme descend du singe il ne faut pas s'étonner des singeries de Ratzi ! Un singe en vaut bien un autre !
!
Si l'homme descend du singe, le singe, lui, descend de l'arbre...
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Roger a écrit:.. lui, ratzi, apostat, franc-maçon et antipape, c'est quand même une inqualifiable insulte à Sa Sainteté Benoit XV et à toute la Papauté, que d'avoir pris ce nom !
..et de voir cette cloarque d'impurté s'assoir sur le Saint-Siège,.. .. !!
..je ne trouve pas les mots pour le dire.. !!
Vous avez trouvé les mots justes cher ami: CLOAQUE D'IMPURETÉ... l'expression exacte employée par la Vierge à La Salette...
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
ROBERT. a écrit:Via Crucis a écrit:Puisque selon Darwin et ses acolytes l'homme descend du singe il ne faut pas s'étonner des singeries de Ratzi ! Un singe en vaut bien un autre !
!
Si l'homme descend du singe, le singe, lui, descend de l'arbre...
et l'arbre de la terre(gaia)?
JCMD67- Nombre de messages : 3567
Date d'inscription : 19/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Et la terre vient de qui ou quoi ?
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Anarchisme chrétien
[..]
Penseurs :[..]
Léon Tolstoï
[..]
Teilhard de Chardin
La figure de Pierre Teilhard de Chardin, si elle cadre difficilement à première vue avec la question de l'anarchisme, finit par la rejoindre via le détour de la réflexion du père jésuite autour du point Oméga comme aboutissement historique d'une civilisation dont nous serions déjà partie prenante. À partir d'une description de la noosphère comme couche évolutive succédant à l'échelle de l'évolution à l'étape de la biosphère dont l'homme participe, Teilhard de Chardin pose que l'humanité se trouve au seuil d'un saut évolutif que le Christ annonce comme le règne imminent d'une conscience collective à travers la diffusion du Paraclet, ou Esprit-Saint au sens primitivement catholique du terme. La noosphère procédant à terme de la coalescence spirituelle des centres que constituent les psychés individuelles, sa résolution politique, sans qu'elle soit absolument formalisée comme telle par Teilhard, relève in fine d'une organisation rhizomatique dénuée de tout principe hiérarchique autre que le point Oméga, lequel se révèle présent en tant que tel dans tous les centres constitutifs du réseau dans son ensemble.
Emmanuel Mounier
Emmanuel Mounier est un penseur, éditeur et écrivain français primitivement issu des mouvements dits non-conformistes des années trente et très influencé par Nicolas Berdiaev, philosophe russe francophone et autre grande figure de l'anarchisme chrétien. Fondateur de la revue Esprit, son pragmatisme philosophique s'efforce de placer l'homme au centre de tout référentiel social et politique. Combattant aussi bien le libéralisme de type capitaliste que l'autoritarisme collectiviste propre aux fascismes comme au communisme de type stalinien ou "autoritaire", Mounier développe un humanisme inspiré du symbole chrétien qui emprunte certaines options politiques et sociales aux mouvements catholiques de gauche déjà existant. Quoique s'étant rapproché un temps du régime de Vichy, il s'y opposera radicalement dès 1941 en rejoignant la Résistance dans laquelle il s'engagera activement. Il continuera après la guerre à promouvoir avec optimisme un humanisme de gauche proche par ses préoccupations des questionnements à l'œuvre dans la pensée anarcho-libertaire dans ses tendances les plus christiques.
Jacques Ellul
[..]
Ivan Illich
[..]
Félix Ortt
[..]
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anarchisme_chr%C3%A9tien
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Anarchisme chrétien
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Léon Tolstoï
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Dénoncé ici dans un ouvrage de Mgr Delassus : https://messe.forumactif.org/t6253-le-pricipes-de-toutes-nos-erreurs-mgr-henri-delassus-1909
Teilhard de Chardin
La figure de Pierre Teilhard de Chardin, si elle cadre difficilement à première vue avec la question de l'anarchisme, finit par la rejoindre via le détour de la réflexion du père jésuite autour du point Oméga comme aboutissement historique d'une civilisation dont nous serions déjà partie prenante. À partir d'une description de la noosphère comme couche évolutive succédant à l'échelle de l'évolution à l'étape de la biosphère dont l'homme participe, Teilhard de Chardin pose que l'humanité se trouve au seuil d'un saut évolutif que le Christ annonce comme le règne imminent d'une conscience collective à travers la diffusion du Paraclet, ou Esprit-Saint au sens primitivement catholique du terme. La noosphère procédant à terme de la coalescence spirituelle des centres que constituent les psychés individuelles, sa résolution politique, sans qu'elle soit absolument formalisée comme telle par Teilhard, relève in fine d'une organisation rhizomatique dénuée de tout principe hiérarchique autre que le point Oméga, lequel se révèle présent en tant que tel dans tous les centres constitutifs du réseau dans son ensemble.
L'inénarrable Tailleur de Chandails dans ses "œuvres" Il se serait bien amusé à parler rhizomatique et noosphère avec les "migrants", tiens
Emmanuel Mounier
Emmanuel Mounier est un penseur, éditeur et écrivain français primitivement issu des mouvements dits non-conformistes des années trente et très influencé par Nicolas Berdiaev, philosophe russe francophone et autre grande figure de l'anarchisme chrétien. Fondateur de la revue Esprit, son pragmatisme philosophique s'efforce de placer l'homme au centre de tout référentiel social et politique. Combattant aussi bien le libéralisme de type capitaliste que l'autoritarisme collectiviste propre aux fascismes comme au communisme de type stalinien ou "autoritaire", Mounier développe un humanisme inspiré du symbole chrétien qui emprunte certaines options politiques et sociales aux mouvements catholiques de gauche déjà existant. Quoique s'étant rapproché un temps du régime de Vichy, il s'y opposera radicalement dès 1941 en rejoignant la Résistance dans laquelle il s'engagera activement. Il continuera après la guerre à promouvoir avec optimisme un humanisme de gauche proche par ses préoccupations des questionnements à l'œuvre dans la pensée anarcho-libertaire dans ses tendances les plus christiques.
Et ce au mépris des discours des évêques de France, dont des déclarations ont été rassemblées dans une brochure d'époque dont je possède le scan et que je mettrai en ligne d'ici peu pour vous montrer...
Jacques Ellul
[..]
J'ai déjà vu ce nom là. Rien à voir avec les libellules malheureusement, je suppose. Une recherche rapide m'indique que c'est un protestant lecteur de Marx
Ivan Illich
Ivan Illich (1926-2002) était un penseur du socialisme libertaire venant d'une famille aristocratique ayant d'anciens liens avec l'Église catholique, dont les écrits portaient sur la critique de la technologie, de l'utilisation de l'énergie et de l'enseignement obligatoire. En 1961, il fonde le Centre pour la formation interculturelle à Cuernavaca qui deviendra le fameux Centro Intercultural de Documentación (CIDOC), afin de « contrer » la participation du Vatican dans le « développement moderne » du soi-disant Tiers-Monde. Ce centre fonctionnera de 1966 à 1976.
Les livres d'Illitch Énergie et équité et La Convivialité (Tools for conviviality) sont considérés comme des classiques pour les écologistes sociaux qui s'intéressent à la technologie appropriée, tandis que son livre Une société sans école (en) (en) est encore une référence pour les militants qui cherchent des alternatives à la scolarité obligatoire. Les vues d'Ivan sur Jésus présenté comme un anarchiste sont exposées dans un discours qu'il a prononcé dans une chapelle de Chicago.
Hum :
Page wiki française sur Ivan Illich a écrit:Son père, Piero, vient d'une famille possédant des terres (vignes et oliviers) en Dalmatie, près de la ville de Split en Croatie. Sa mère, Ellen, descend d'une famille juive allemande convertie. (...) Montini, qui devint plus tard [l'antipape] "Paul VI" fut parmi ceux qui le poussèrent à rester à Rome.
Autrement dit, un marrane Emballez c'est pesé.
Félix Ortt
[..]
Jamais entendu parler avant aujourd'hui, je crois. Apparemment issu d'une famille protestante. Là encore, c'est normal, le protestantisme c'est déjà l'anarchie ou une étape vers l'anarchie.
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Benjamin a écrit:
Emmanuel Mounier
Emmanuel Mounier est un penseur, éditeur et écrivain français primitivement issu des mouvements dits non-conformistes des années trente et très influencé par Nicolas Berdiaev, philosophe russe francophone et autre grande figure de l'anarchisme chrétien. Fondateur de la revue Esprit, son pragmatisme philosophique s'efforce de placer l'homme au centre de tout référentiel social et politique. Combattant aussi bien le libéralisme de type capitaliste que l'autoritarisme collectiviste propre aux fascismes comme au communisme de type stalinien ou "autoritaire", Mounier développe un humanisme inspiré du symbole chrétien qui emprunte certaines options politiques et sociales aux mouvements catholiques de gauche déjà existant. Quoique s'étant rapproché un temps du régime de Vichy, il s'y opposera radicalement dès 1941 en rejoignant la Résistance dans laquelle il s'engagera activement. Il continuera après la guerre à promouvoir avec optimisme un humanisme de gauche proche par ses préoccupations des questionnements à l'œuvre dans la pensée anarcho-libertaire dans ses tendances les plus christiques.
Et ce au mépris des discours des évêques de France, dont des déclarations ont été rassemblées dans une brochure d'époque dont je possède le scan et que je mettrai en ligne d'ici peu pour vous montrer...
Comme promis, voici :
https://messe.forumactif.org/t6770-francais-vos-eveques-vous-parlent-recueil-publie-en-1942
Mais, c'est logique ; que serait un "anarchiste" qui obéirait au clergé
D'ailleurs, on lit aussi sur wiki à propos de Mounier :
Page wiki française sur Emmanuel Mounier a écrit:
il (...) rencontre Jacques Maritain
C'est toujours la même clique, toujours les mêmes noms, qui traînent les uns avec les autres
Maritain qui faisait déjà des siennes en ce temps-là, puisque déjà cité dans une émission de radio de Philippe Henriot mettant en lumière ce genre de manipulateurs de l'époque.
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
. Sa mère, Ellen, descend d'une famille juive allemande convertie.
En quelle année? Rien ne dit qu'elle n'était pas sincère...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
gabrielle a écrit:. Sa mère, Ellen, descend d'une famille juive allemande convertie.
En quelle année? Rien ne dit qu'elle n'était pas sincère...
Même si je sais que la Religion n'est pas affaire de "probabilités", d'après toi quelles sont les "chances" pour qu'un descendant de juifs sème l'anarchie chez les Chrétiens sans faire exprès ? Et un "chouchouté" par le fondateur de secte Montini (lui aussi descendant de juifs), en plus ?
D'ailleurs, même si cela n'était "que" la résurgence instinctive et "involontaire" d'un esprit juif que ses ancêtres auraient (?) abandonné, ce n'est guère mieux !
Pour l'année de la conversion ou "conversion", je ne sais pas, mais il faut que tu saches que pour les faux convertis le temps n'est rien, ils peuvent se cacher très, très longtemps.
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les ancêtres de V2 et de Ratzinger
Je comprends pas. La mère a pu être sincère et le fils non.
Si nous prenons l'exemple d'une mère catholique , ses enfants ne seront pas nécessairement tous des saints.
Moi, je ne parle que de la mère, je pensais qu'elle s'était convertie sous la férule des antipapes.
La Sainte Inquisition a fait de grandes oeuvres, mais en son sein, il se trouvait des "méchants moineaux" l'évêque de Beauvais en est un triste exemple.
Si nous prenons l'exemple d'une mère catholique , ses enfants ne seront pas nécessairement tous des saints.
Moi, je ne parle que de la mère, je pensais qu'elle s'était convertie sous la férule des antipapes.
La Sainte Inquisition a fait de grandes oeuvres, mais en son sein, il se trouvait des "méchants moineaux" l'évêque de Beauvais en est un triste exemple.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
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