Sommes-nous de la « petite-église » ?
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Roger Boivin
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Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
PREMIÈRE LETTRE PASTORALECardinal PieAUX DISSIDENTS DE LA PETITE-ÉGLISE, À L'OCCASION DU JUBILÉ DEMI-SÉCULAIRE,(XV octobre MDCCCLI.)Les Dissidents
β) Quels sont les sacrements qu’ils reçoivent ?
6) Eux et leurs pères.
IX. Aussi, N. T.- C. F., si vous rentriez en vous-mêmes, si vous compariez ce que vous êtes avec ce qu'étaient vos pères, vous seriez effrayés du chemin que vous avez fait et de l'intervalle qui vous sépare d'eux dans toutes les choses qui concernent la foi et la morale. Vos pères, ils avaient été instruits dans le sein de l'Église catholique par des prêtres unis de communion avec leurs évêques et avec le souverain pontife ; et quoique plus tard ils soient tombés dans l'erreur concernant plusieurs points essentiels, ils conservaient encore une science exacte et étendue sur tout le reste. Même dans le schisme, ils continuèrent à observer scrupuleusement les lois de l'Église. Leur vie était exemplaire : on les citait, on montrait leurs familles comme des modèles de vertu et d'honneur. Quelle rigidité dans leurs mœurs ! Quelle fidélité dans les transactions ! Quelle horreur pour ces contrats purement civils !
Tant de vertus doivent laisser supposer en eux plus d'égarement que d'esprit de révolte ; et nous avons la confiance que Dieu a trouvé dans les trésors de Sa miséricorde quelque secret pour adoucir la sévérité de Sa justice envers ces âmes, qui n'ont été entraînées d'abord que par l'exagération des plus nobles sentiments.
Mais peut-on en dire autant des dissidents de nos jours ?
Hélas ! ils n'ont conservé de leurs ancêtres que l'erreur et la rébellion. Plus coupables dans leur obstination parce qu'ils ont eu le temps et les événements pour s'éclairer, ils n'ont ni la science ni les vertus de ceux dont ils perpétuent le schisme ; ils ignorent jusqu'aux éléments de la doctrine chrétienne, que personne ne leur a enseignés ; enfin, ils foulent aux pieds les lois les plus sacrées de l'Évangile et de la morale, parce que, livrés sans défense à leurs passions, ils ne sont plus soutenus et fortifiés par les saintes pratiques de la religion, et par les grâces qu'elles confèrent.
Oui, N. T.-C. F., on nous a raconté de vous, et surtout de la génération qui s'apprête à vous succéder, des choses lamentables, que nous n'aurions jamais voulu entendre, et que notre plume se refuse à retracer.
Sondez vous-mêmes les replis de votre conscience, rendez-vous compte de ce qui se passe dans l'intérieur de vos hameaux, de vos familles ; demandez-vous quelle direction vous donnez à vos enfants et quelle surveillance vous exercez sur eux, quels principes et quelles habitudes ils rapportent chaque semaine de la petite ville voisine, de ces réunions commerciales auxquelles vos pères participaient sans danger, et d'où ils revenaient toujours pleins de mépris pour l'impiété et le désordre dont ils avaient été témoins ; dites-nous si leurs fils se mêlent aussi impunément qu'eux à ces populations perverties ; enfin, considérez l'avenir qui se prépare, et répondez si votre éloignement de nous vous a rendus meilleurs et plus heureux. Ce qui nous conduit naturellement à notre dernière question.
Troisièmement enfin...
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
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Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
PREMIÈRE LETTRE PASTORALECardinal PieAUX DISSIDENTS DE LA PETITE-ÉGLISE, À L'OCCASION DU JUBILÉ DEMI-SÉCULAIRE,(XV octobre MDCCCLI.)Les Dissidents
γ) Quels sont les fruits de vie qu’ils portent depuis un demi-siècle ?
X. Troisièmement enfin, quels sont les fruits de vie que votre dissidence a portés depuis un demi-siècle ? Quels développements ayez-vous pris ? L'Église est nommée dans l'Ecriture le royaume des cieux ; elle est comparée à un grain de sénevé qui devient bientôt un grand arbre à l'ombre duquel les oiseaux du ciel viennent poser leurs nids 1, à un peu de levain qui fait lever toute la pâte 2, à une petite pierre qui devient une montagne qui couvre toute la terre 3. Laquelle de ces comparaisons peut vous être appliquée ? Vous avez porté dès le commencement la dénomination de petite Église ; mais au lieu de grandir, cette Église est devenue chaque jour plus petite, plus imperceptible. Loin d'augmenter le domaine de Jésus-Christ et de multiplier les conquêtes de la vérité sur l'erreur, vous vous amoindrissez vous-mêmes chaque jour, et vous tendez à disparaître entièrement. Ah ! il n'en est pas ainsi de l'Église catholique ; elle s'accroît sans cesse, et ses ministres comme ses œuvres couvrent le monde entier.
Tout ce que le clergé français a opéré depuis le Concordat, tant au milieu de nous que sur tous les points de l'autre hémisphère, fera l'étonnement de la postérité. Cette période de cinquante ans sera un phénomène aux yeux de l'histoire ; aucune phase de nos annales religieuses n'aura été aussi surprenante. Jugez-en seulement par ce diocèse de Poitiers. Traversez-le dans tous les sens: à chaque pas, dans chaque ville, dans chaque hameau, vous trouvez nos prêtres, nos religieuses, nos écoles, nos hôpitaux, nos couvents, nos associations de piété. Qu'avez-vous de semblable parmi vous ? Où sont vos vocations religieuses ? où sont les missionnaires que vous envoyez dans les îles et chez les sauvages, au fond des Indes, dans la Chine et dans les déserts de la Tartarie, pour étendre le royaume de Jésus-Christ ? Nommez-nous vos martyrs, ceux qui ont été verser leur sang au Tong-King pour la gloire de Dieu ? Ces héros, la terre du Poitou et de la Vendée les produit encore tous les jours, mais ils ne sortent point de vos rangs.
Enfin, à l'heure qu'il est, ne voyez-vous pas le mouvement auquel obéissent nos villes et nos campagnes ? Les missionnaires prêchent la parole de Dieu, les fidèles remplissent les églises, entourent les confessionnaux, assiègent la table sainte. Les conversions sont innombrables; et vous, nos bien chers Frères, vous restez immobiles, sans vie et sans mouvement. Est-ce bien là la marque des enfants de Dieu, de ceux que le Père céleste a bénis en leur disant : "Croissez et multipliez-vous, et remplissez toute la terre" 1 et à qui Jésus-Christ Notre-Seigneur a dit en montant au ciel : "Tout pouvoir m'a été donné ; allez donc et enseignez toutes les nations" 2.
Ah ! nos bien-aimés, si nous avons fait ressortir ce contraste entre la fécondité de l'Église catholique et votre stérilité, croyez que ce n'est pas pour la triste satisfaction de vous humilier, mais bien pour vous montrer ce que vous avez perdu et ce que vous pouvez recouvrer. Venez à nous et vous refleurirez bientôt, comme un rameau qui, quelque temps séparé de l'arbre, avait cessé de se couvrir de verdure, mais qui, enté de nouveau, a repris une nouvelle vigueur et va pousser des fruits en abondance.
XI. Hâtez-vous donc…
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1 Matth., XIII, 31, 32.
2 Ibid.., 33.
3 Dan., II, 35.
1 Gen., VIII, 17.
2 Matth., XXVIII, 18, 19.
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Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
PREMIÈRE LETTRE PASTORALECardinal PieAUX DISSIDENTS DE LA PETITE-ÉGLISE, À L'OCCASION DU JUBILÉ DEMI-SÉCULAIRE,(XV octobre MDCCCLI.)Exhortation finale.
XI. Hâtez-vous donc, N. T.-C. F., et profitez de ce temps éminemment favorable. Le Jubilé de l'année sainte va être prêché encore pendant les derniers mois de cette année dans plusieurs de vos paroisses et de celles qui vous entourent, C'est bien le cas de venir reprendre dans l'église de Dieu la place qui vous appartient. Imitez ces dissidents d'une de nos provinces reculées qui ont écrit naguère au souverain pontife, et, sur sa réponse directe, sont rentrés dans le giron de leur mère la sainte Église. Nous avons voulu placer ici sous vos yeux le texte même de la lettre pontificale, qui vous rappellera celle adressée, il y a quelques années, à l'un de vos compatriotes. Comment résister à ce langage aussi formel du successeur de Pierre 1 ?
Et ne craignez pas, N. T.-C. F., de trouver auprès des ministres du Seigneur un accueil sévère. Non, ils savent que l'esprit de notre divin Sauveur Jésus-Christ est un esprit de douceur. L'un des motifs les plus déterminants qui vous a séparés de nous, ne fut-ce pas notre grande patience, notre mansuétude, selon vous excessive à l'égard de ceux qui avaient erré d'une façon assurément plus coupable que vous ? Combien nous serons plus indulgents et plus tendres envers vous, nos enfants de prédilection, qui, comme d'autres Machabées, avez rempli le monde de la renommée de vos combats entrepris pour la défense de la religion et de la patrie, et auxquels il ne manque que de rentrer en communion religieuse avec nous pour redevenir ce que furent vos pères 1.
Allez donc, allez aux pieds des autels, rentrez dans ces temples où vous n'avez pas paru depuis si longtemps, jetez-vous entre les bras des dignes prêtres que nous vous avons envoyés. Ah ! s'il nous était possible de douter de leur charité, nous emploierions ce que Dieu nous a donné de force et d'autorité pour leur enjoindre de n'avoir envers vous que des entrailles de miséricorde. Nous leur dirions que nous, votre évêque et votre serviteur, nous nous faisons garant de votre repentir et de votre fidélité, et que nous répondrons pour vous devant le tribunal du Seigneur. Ne repoussez donc pas notre invitation, nos Frères bien-aimées, ne méprisez pas nos prières ; ou plutôt écoutez la voix du chef suprême de l'Église de Jésus-Christ, qui vous a découverts malgré votre petit nombre dans cette contrée éloignée, et dont nous ne pouvons mieux faire que de vous rapporter textuellement les tendres supplications.
XII. "Déjà", disait le vénérable pontife dans l'Exhortation adressée aux dissidents de Poitiers, "déjà vos évêques n'ont cessé, comme il convenait à leur charge pastorale, de vous instruire en toute patience et doctrine et en esprit de douceur, dans le but de dissiper les illusions qui vous enveloppent de nuages. Aujourd'hui, c'est l'Église, cette mère tendre contre laquelle vous murmurez ; ou plutôt c'est Jésus-Christ lui-même que vous méprisez dans les pasteurs de l'Église, qui vous parle par notre bouche, qui vous appelle à lui et vous offre les trésors de la paix. Nous vous en conjurons donc par les entrailles de la miséricorde de notre Dieu, n'endurcissez pas vos cœurs . Errer est l'apanage de l'homme ; mais résister aux monitions de l'Église et se montrer rebelle à l'appel de Jésus-Christ, serait une sorte de fascination ; s'obstiner dans sa résistance, deviendrait pour ainsi dire un crime d'idolâtrie 1.
"Mais, tout en déplorant avec amertume votre séparation de l'Église et les erreurs par lesquelles vous vous êtes jusqu'à ce jour laissé séduire, la grande confiance que nous avons en votre docilité nous donne l'espoir que vous écouterez religieusement les paroles de notre paternelle charité...
"Dans l'attente de votre retour, nous prions instamment le Père des miséricordes qu'Il rende nos paroles également puissantes et efficaces pour votre consolation et votre salut, qu'il vous fortifie, dans sa bonté, contre les perfides séducteurs de vos âmes, afin que, brisant les liens d'un schisme malheureux qui vous enchaîne, vous puissiez accourir dans le sein de la meilleure des mères, qui est l'Église, et mériter ainsi vous-mêmes le très ample pardon du Jubilé.
Concluons par ces paroles de saint Augustin: " Si vous consentez à la paix de Jésus-Christ et à l'unité, nous nous réjouirons de votre changement : alors les sacrements du Fils de Dieu, dont vous êtes totalement privés, ou que vous ne recevez maintenant que pour votre condamnation dans le sacrilège du schisme, vous seront utiles et salutaires, lorsque dans la paix catholique vous aurez Jésus-Christ pour chef, dans cette Église où la charité couvre la multitude des péchés 1. "
Et nous, N. T.-C. F., que pouvons-nous ajouter à cette exhortation si tendre que les paroles mêmes qui la terminent : "Suivez nos avis, Enfants bien-aimés, et le Dieu de toute consolation et de paix sera avec vous 2 " ? Ainsi soit-il.
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1 Note de Louis: ce texte est ici.
1 Ad vos scilicet nunc verba pacis convertimus, quos olim fortes in præliando prælio Domini contra furentes altaris ac solii eversores jam pene totus celebrabat, nunc autem, mutata rerum facie, contra Ecclesiam ipsam certantes stupens ac indignans demiratur catholicus orbis; vobisque paternæ charitatis nostræ sinum toto cordis affectu ducimus aperiendum. Licet enim inobedientes ac devios, adhuc tamen ut filios charissimos in Domino habemus atque complectimur... Exhort. Leon. PP. XII.
1 I Reg., XV, 23.
1 Epist. CLI.
2 Exhort. Leon, PP. XII.
Fin de la Lettre du cardinal PIE.
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
..alors les sacrements du Fils de Dieu, dont vous êtes totalement privés, ou que vous ne recevez maintenant que pour votre condamnation dans le sacrilège du schisme,..
Donc, les protestants et les conciliaires et autres schismatiques, qui reçoivent validement certains sacrements, les reçoivent pour leur condamnation dans le sacrilège du schisme.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
Si nous étions de la petite-église, qui croyait que le pape Pie VII avait fait schisme, nous n'opposerions pas l'enseignement des papes Pie VII, Léon XII, Pie VIII, Grégoire XVI, Pie IX, Léon XIII, Pie X, Benoit XV, Pie XI et Pie XII, à l'enseignement moderniste des antipapes de "vatican II", pour le confondre.
Les membres de la petite-église qui se privaient des moyens surnaturels ordinaires qu'offrent l'Église catholique, tels la Messe, les sacrements, ne pouvaient pas bénéficier de la suppléance de l'Église, car ces moyens alors ne leur faisaient pas défaut ; ce sont eux qui par leur schisme s'en privaient.
Ce qui n'est pas notre cas du tout. Les moyens ordinaires de la religion, tels la messe et les sacrements, nous font défaut, parce qu'on n'a pas de prêtre validement et licitement ordonnés, et dont le ministère soit approuvé par l'Église catholique, apostolique et romaine.
Les membres de la petite-église qui se privaient des moyens surnaturels ordinaires qu'offrent l'Église catholique, tels la Messe, les sacrements, ne pouvaient pas bénéficier de la suppléance de l'Église, car ces moyens alors ne leur faisaient pas défaut ; ce sont eux qui par leur schisme s'en privaient.
Ce qui n'est pas notre cas du tout. Les moyens ordinaires de la religion, tels la messe et les sacrements, nous font défaut, parce qu'on n'a pas de prêtre validement et licitement ordonnés, et dont le ministère soit approuvé par l'Église catholique, apostolique et romaine.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
Quant à " Pierre ne peut pas mourir ", il y a sans doute matière à interprétation.
Mgr Gaume, citant Cornélius, parlant ici du dernier pape :
OÙ EN SOMMES-NOUS ? Étude sur les évènements actuels, 1870 et 1871 -- par Mgr Gaume -- page 78 et suivante -- chapitre XI :
- Vers la fin des temps Rome, redeviendra païenne - :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54471759/f89.image
« Insistant sur ce fait, Cornélius ajoute : A la fin du monde, Rome redevenue païenne, persécutera le Christ et les chrétiens et surtout le Souverain pontife, qu'elle chassera, ou fera mourir. » (p. 83)
Le peuple du temps du Christ croyait que le Fils de l'homme ne pouvait mourir. Pourtant le Christ est bien mort ! :
« .. Et lorsque j'aurai été élevé de terre, j'attirerai tous les hommes à moi. Il parlait ainsi pour indiquer de quelle mort il allait mourir. Le peuple lui répondit : Nous avons appris par la loi que le Christ demeure à jamais. Comment pouvez-vous dire qu'il faut que le Fils de l'homme soit élevé ? .. » (Jean XII, 32-34.)
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
gabrielle a écrit:Excellente idée Louis.
Suite à de nombreuses affirmations diffamatoires, l'heure de rétablir la vérité est arrivée.Gilbert Chevalier a écrit:Notre-Dame de Fatima écrasera toutes les sectes,
y compris la Petite-Eglise dont Te Deum et Mi-ca-El sont deux de ses vitrines qui propagent sciemment un livret imprimé par Fazilleau (Si Vis Pacem) de la dite secte.
SourceGilbert Chevalier a écrit:AVIS IMPORTANT :
J'ai démasqué deux succursales de la Petite-Eglise dirigées par Si Vis Pacem (Fazilleau) qui les mène par le bout du nez, savoir "Te Deum" et "Mi-ca-El", deux planètes à fuir absolument car l'on y risque son salut éternel à cause d’écrits schismatiques propagés sous couvert catholique(...)
Source
J'en passe, la liste est trop longue
Après avoir tout lu ce que Louis à posté sur la "Petite Église", j'aimerais savoir, c'est quoi au juste qui vient prouver à M. Gilbert Chevalier, que nous ne sommes pas la "Petite Église" ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
Roger Boivin a écrit:Après avoir tout lu ce que Louis à posté sur la "Petite Église", j'aimerais savoir, c'est quoi au juste qui vient prouver à M. Gilbert Chevalier, que nous ne sommes pas la "Petite Église" ?
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gabrielle a écrit:Excellente idée Louis.
Suite à de nombreuses affirmations diffamatoires, l'heure de rétablir la vérité est arrivée.Gilbert Chevalier a écrit:Notre-Dame de Fatima écrasera toutes les sectes,
y compris la Petite-Eglise dont Te Deum et Mi-ca-El sont deux de ses vitrines qui propagent sciemment un livret imprimé par Fazilleau (Si Vis Pacem) de la dite secte.
SourceGilbert Chevalier a écrit:AVIS IMPORTANT :
J'ai démasqué deux succursales de la Petite-Eglise dirigées par Si Vis Pacem (Fazilleau) qui les mène par le bout du nez, savoir "Te Deum" et "Mi-ca-El", deux planètes à fuir absolument car l'on y risque son salut éternel à cause d’écrits schismatiques propagés sous couvert catholique(...)
Source
J'en passe, la liste est trop longue
Nous ne sommes assurément pas dans la "petite église".
Rien ne vient prouver à M. Gilbert que nous y sommes, et lui-même ne peut le prouver.
La seule chose à faire en ce qui concerne GC, c'est de prier pour lui.
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
- Spoiler:
- Roger Boivin a écrit:gabrielle a écrit:Excellente idée Louis.
Suite à de nombreuses affirmations diffamatoires, l'heure de rétablir la vérité est arrivée.Gilbert Chevalier a écrit:Notre-Dame de Fatima écrasera toutes les sectes,
y compris la Petite-Eglise dont Te Deum et Mi-ca-El sont deux de ses vitrines qui propagent sciemment un livret imprimé par Fazilleau (Si Vis Pacem) de la dite secte.
SourceGilbert Chevalier a écrit:AVIS IMPORTANT :
J'ai démasqué deux succursales de la Petite-Eglise dirigées par Si Vis Pacem (Fazilleau) qui les mène par le bout du nez, savoir "Te Deum" et "Mi-ca-El", deux planètes à fuir absolument car l'on y risque son salut éternel à cause d’écrits schismatiques propagés sous couvert catholique(...)
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J'en passe, la liste est trop longue
Après avoir tout lu ce que Louis à posté sur la "Petite Église", j'aimerais savoir, c'est quoi au juste qui vient prouver à M. Gilbert Chevalier, que nous ne sommes pas la "Petite Église" ?Bonjour Roger,
Tout ce que vous avez lu dans ce que j'appellerais le "dossier Petite-Église" nous renseigne sur ce sujet de la Petite-Église. Il ne s’agissait pas ici, sur Te Deum, de prouver à M. Gilbert Chevalier que nous ne sommes pas dans la "Petite Église"; c’est lui, M. Chevalier, qui a affirmé que nous en sommes : alors, c’est donc à lui de le prouver !
Bien à vous.
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Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Sommes-nous de la « petite-église » ?
Louis a écrit:
- Spoiler:
Roger Boivin a écrit:gabrielle a écrit:Excellente idée Louis.
Suite à de nombreuses affirmations diffamatoires, l'heure de rétablir la vérité est arrivée.Gilbert Chevalier a écrit:Notre-Dame de Fatima écrasera toutes les sectes,
y compris la Petite-Eglise dont Te Deum et Mi-ca-El sont deux de ses vitrines qui propagent sciemment un livret imprimé par Fazilleau (Si Vis Pacem) de la dite secte.
SourceGilbert Chevalier a écrit:AVIS IMPORTANT :
J'ai démasqué deux succursales de la Petite-Eglise dirigées par Si Vis Pacem (Fazilleau) qui les mène par le bout du nez, savoir "Te Deum" et "Mi-ca-El", deux planètes à fuir absolument car l'on y risque son salut éternel à cause d’écrits schismatiques propagés sous couvert catholique(...)
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J'en passe, la liste est trop longue
Après avoir tout lu ce que Louis à posté sur la "Petite Église", j'aimerais savoir, c'est quoi au juste qui vient prouver à M. Gilbert Chevalier, que nous ne sommes pas la "Petite Église" ?Bonjour Roger,
Tout ce que vous avez lu dans ce que j'appellerais le "dossier Petite-Église" nous renseigne sur ce sujet de la Petite-Église. Il ne s’agissait pas ici, sur Te Deum, de prouver à M. Gilbert Chevalier que nous ne sommes pas dans la "Petite Église"; c’est lui, M. Chevalier, qui a affirmé que nous en sommes : alors, c’est donc à lui de le prouver !
Bien à vous.
Ah parfait ! je croyait que c'était le but. Merci Louis ; ..et pour tous ces documents sur cette secte.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
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