Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
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Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
Je voulais retrouver ce livre mais le titre seul ne donne rien sur Google, qui en est l'auteur ?Banigé a écrit:(p 62 Le mystère de Jeanne d'Arc)"De la bonne, de la vraie, de la grande politique, dit Pie XI, celle qui est dirigée vers le plus grand bien et le bien commun, celui de la prolis,de la civitas, qui est le bien suprême, autour duquel gravitent toutes les activités sociales...et tel est le domaine de la politique qui regarde les intérêts de la société toute entière et qui sous ce rapport est le champ de la plus vaste charité, de la charité politique dont on peut dire qu'aucune autre ne lui est supérieur sauf celui de la religion."
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
Gabrielle a écrit :
Mais peut-on être catholique en étant monarchiste pour ses propres Etats et Républicain pour les autres ?
Ou peut-on permettre à un homme et à moi-même d'être catholique en étant exclusivement monarchiste pour son pays comme pour tous les autres pays comme on peut facilement le croire par le Testament de Saint Rémi et la mission de Janne d'Arc...contrairement aux papes depuis la Révolution.
Et enfin peut-on être catholique et monarchiste de droit divin pour son pays, c'est à dire vouloir un gouvernement qui gouverne au nom de Dieu et au nom de l'autorité que Dieu a inventé pour la famille, c'est à dire une autorité d'un roi pour un pays comme un père pour la famille et en même temps être catholique et républicain, c'est à dire soutenir en même temps et l'un après l'autre avec indifférence, un pouvoir qui vient (en apparence de la démocratie et du suffrage universel que Pie IX a taxé...à la fin de sa vie...de mensonge universel)... et de soutenir un pays qui a comme premier dogme de ne pas tenir son pouvoir de Dieu et de faire croire qu'il ne le tient pas du diable mais des citoyens et enfin croire cela possible....seulement parce que des papes l'ont cru un jour et ont payé le lourd tribut de leur crédulité ?
Pour moi, c'est la chose la plus impossible de ma vie et j'attends que ce miracle, soi-disant possible réalisable ou réalisé, soit certifié un jour ou du moins expliqué si ce n'est pas un miracle !
Gabrielle, je me pose une autre question :Je me pose une question:
Gérard, êtes-vous monarchiste?
Question facile à répondre puisque les papes ont été monarchistes dans leurs Etats pontificaux."Est-il possible d'être monarchiste et catholique"
Mais peut-on être catholique en étant monarchiste pour ses propres Etats et Républicain pour les autres ?
Ou peut-on permettre à un homme et à moi-même d'être catholique en étant exclusivement monarchiste pour son pays comme pour tous les autres pays comme on peut facilement le croire par le Testament de Saint Rémi et la mission de Janne d'Arc...contrairement aux papes depuis la Révolution.
Et enfin peut-on être catholique et monarchiste de droit divin pour son pays, c'est à dire vouloir un gouvernement qui gouverne au nom de Dieu et au nom de l'autorité que Dieu a inventé pour la famille, c'est à dire une autorité d'un roi pour un pays comme un père pour la famille et en même temps être catholique et républicain, c'est à dire soutenir en même temps et l'un après l'autre avec indifférence, un pouvoir qui vient (en apparence de la démocratie et du suffrage universel que Pie IX a taxé...à la fin de sa vie...de mensonge universel)... et de soutenir un pays qui a comme premier dogme de ne pas tenir son pouvoir de Dieu et de faire croire qu'il ne le tient pas du diable mais des citoyens et enfin croire cela possible....seulement parce que des papes l'ont cru un jour et ont payé le lourd tribut de leur crédulité ?
Pour moi, c'est la chose la plus impossible de ma vie et j'attends que ce miracle, soi-disant possible réalisable ou réalisé, soit certifié un jour ou du moins expliqué si ce n'est pas un miracle !
Banigé- Invité
Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
.
@ Gérard,
Cher ami, je ne sais plus comment vous expliquer la question du Pape…
A la grâce de Dieu.
Catéchisme de la Province de Québec (1951) :
Ne pas oublier non plus que :
Bien à vous.
@ Gérard,
Cher ami, je ne sais plus comment vous expliquer la question du Pape…
A la grâce de Dieu.
Catéchisme de la Province de Québec (1951) :
.
Ne pas oublier non plus que :
Le premier Siège n'est jugé par personne. (can. 1556)
Bien à vous.
_________________
Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
Dans les directions pontificales de Léon XIII, contenues dans l'Encyclique "Au milieu des sollicitudes" du 16 Février 1892 ( https://archive.org/stream/lettresapostoliq03cath#page/122/mode/2up ), il y a en fait, sous-jacent, quoique jamais exprimée publiquement, la non confiance de Léon XIII, dans les substituts possibles d'alors aux institutions républicaines, savoir les prétendants orléanistes et bonapartistes, aussi libéraux dans le sens d'hétérodoxes, définis par le Syllabus, que leurs adversaires violents, franc-maçons et sectaires, tenants du pouvoir de l'époque. Devant cette impasse constatée du côté d'une alternative à la forme du régime, il ne restait plus qu'à éviter le triomphe de la république maçonnique. Sa politique réaliste, consistait à utiliser dans l'immédiat, les institutions républicaines qui font participer le peuple aux choix de ses chefs ( fait qui est compatible avec l'enseignement de l'Eglise), afin que non seulement les catholiques, quelles que soient leurs préférences pour la forme de gouvernement ( monarchie, empire ou république), mais aussi les libéraux vraiment sincères, là aussi monarchistes, bonapartistes et républicains, se réunissent dans une coalition électorale unique, en taisant momentanément ( sans les renier) leurs choix politiques, pour aboutir à une majorité parlementaire capable de supprimer les lois maçonniques établies contre l'Eglise, par les républicains radicaux.
L'échec de cette politique est venue des libéraux catholiques républicains et surtout ralliés, qui n'étaient pas vraiment sincères et ont voulu transformer cette tactique politique en adhésion formelle et obligatoire aux dogmes de la démocratie rousseauiste, aux applaudissements de la maçonnerie, qui fait désormais croire aux petits français ( et à Banigé ou Benoit), dans leurs livres d'histoire, que l'Eglise s'est ralliée à la république rousseauiste. Chose qui est doctrinalement impossible.
Quant aux chefs monarchistes et bonapartistes, du temps, dont nombre étaient libéraux ou imprégnés de gallicanisme, ils ont donné prises aux critiques, et renforcés leurs adversaires démocrates ralliés, en refusant les conseils et directions de Léon XIII, tout en se drapant derrière une orgueilleuse fidélité historique. Le résultat, c'est que le catholique français qui possède, aujourd'hui comme hier, tous les motifs de raison et de tradition de conserver sa foi monarchiste, motifs que la Papauté, y compris Léon XIII, ne lui a jamais obligé de renier, a semblé extérieurement rebelle aux orientations pontificales, alors qu'il n'a été trahi que par ses chefs politiques qui prétendaient défendre cette même foi. A contrario, les libéraux catholiques, devenus démocrates ralliés, ont triomphé en faisant croire qu'eux seuls étaient fidèles aux directives pontificales, là où en réalité, ils trahissaient la doctrine catholique sur l'origine du pouvoir.
Pour répondre, aux affirmations de Benoît, où il déforme l'enseignement de l'Eglise, qui n'a jusqu'à aujourd'hui, jamais attribué à la république française, la légitimité, mais seulement un pouvoir de fait de conservation sociale ( mélangé à des éléments contradictoires de dissolution sociale auxquels il est légitime de résister ), il pourra lire une réponse, rapportée dans ses Mémoires, du Cardinal Ferrata, ancien nonce en France à l'époque dite du "Ralliement", où il répond à des objections identiques provenant du député libéral bonapartiste Emile Ollivier ( https://archive.org/stream/mmoires02ferruoft#page/252/mode/2up ).
L'échec de cette politique est venue des libéraux catholiques républicains et surtout ralliés, qui n'étaient pas vraiment sincères et ont voulu transformer cette tactique politique en adhésion formelle et obligatoire aux dogmes de la démocratie rousseauiste, aux applaudissements de la maçonnerie, qui fait désormais croire aux petits français ( et à Banigé ou Benoit), dans leurs livres d'histoire, que l'Eglise s'est ralliée à la république rousseauiste. Chose qui est doctrinalement impossible.
Quant aux chefs monarchistes et bonapartistes, du temps, dont nombre étaient libéraux ou imprégnés de gallicanisme, ils ont donné prises aux critiques, et renforcés leurs adversaires démocrates ralliés, en refusant les conseils et directions de Léon XIII, tout en se drapant derrière une orgueilleuse fidélité historique. Le résultat, c'est que le catholique français qui possède, aujourd'hui comme hier, tous les motifs de raison et de tradition de conserver sa foi monarchiste, motifs que la Papauté, y compris Léon XIII, ne lui a jamais obligé de renier, a semblé extérieurement rebelle aux orientations pontificales, alors qu'il n'a été trahi que par ses chefs politiques qui prétendaient défendre cette même foi. A contrario, les libéraux catholiques, devenus démocrates ralliés, ont triomphé en faisant croire qu'eux seuls étaient fidèles aux directives pontificales, là où en réalité, ils trahissaient la doctrine catholique sur l'origine du pouvoir.
Pour répondre, aux affirmations de Benoît, où il déforme l'enseignement de l'Eglise, qui n'a jusqu'à aujourd'hui, jamais attribué à la république française, la légitimité, mais seulement un pouvoir de fait de conservation sociale ( mélangé à des éléments contradictoires de dissolution sociale auxquels il est légitime de résister ), il pourra lire une réponse, rapportée dans ses Mémoires, du Cardinal Ferrata, ancien nonce en France à l'époque dite du "Ralliement", où il répond à des objections identiques provenant du député libéral bonapartiste Emile Ollivier ( https://archive.org/stream/mmoires02ferruoft#page/252/mode/2up ).
Dernière édition par FRANC le Lun 11 Nov 2013, 12:36 pm, édité 1 fois
FRANC- Nombre de messages : 1414
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
@ Gérard..
Je vous avais demander une épître... mais oui ou non.
Donc si je vous ai compris votre réponse est: oui.
Je vous avais demander une épître... mais oui ou non.
Donc si je vous ai compris votre réponse est: oui.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
.
@ Louis: ne vous en faites pas, cher Louis !
Gérard a déjà eu moult explications sur TD sur ce sujet…
@ Louis: ne vous en faites pas, cher Louis !
Gérard a déjà eu moult explications sur TD sur ce sujet…
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Veuillez bien m'excuser, mais
Je ne résiste pas à reprendre l'impie...
Dans ce message,
Dans ce message,
Voyons, Gégé, tout le monde comprend que, pour toi, la raison en est la suivante : il y a longtemps que (pour, dis-je) sans doute depuis Sa Sainteté PieVII, les Papes sont tous francs-maçons ...Gégé, après avoir cité succinctement Louis, a écrit:
[...]
Bon d'accord pour vos pieux souhaits, les papes ont fait converger la République maçonnique française qui dit tenir son pouvoir de je ne sais qui...probablement du démon mais surtout pas de Dieu...vers la religion ! Ainsi, ils feraient converger vers la religion ce qui est le plus fondmamentalement [sic] opposé à la religion.
Mais s'ils ont été capables de ce miracle, je m'étonne qu'ils n'ont pas réussi à faire converger le gouvernement bolchevique communiste et le Pote Mao vers la religion et ils se sont pris la tête avec Hitler alors qu'il a été un des seuls à être si favorable à la religion catholique. [ Les Catholiques ont été les premiers internés ! Ensuite, ayant besoin d'eux, Hitler a pu revenir sur sa décision anticatholique...]
Alors ma question qui me reste dans le plus grand étonnement :
Comment se fait-il qu'il n'y a eu que les gouvernements maçons pour être comme "sanctifiés" par le pape et devenir ainsi favorables à la relgion [sic] ? Comment se fait-ils qu'ils ont été les enfants modèles des autres gouvernements non maçons ?
[...]
JP Bontemps- Invité
Re: Vérité de foi enseignée par les papes "La République française tient son pouvoir de Dieu"
JP B a écrit :
Quelquefois, tu viens ici en essayant de te faire réhabiliter quand tu reviens sur la pointe des pieds après avoir juré sur tes grands dieux que tu ne reviendrais jamais !
Et quoi de mieux que de charger le Gégé puisque tu sais que je suis un peu comme pris en chasse par ce forum sur certains points litigieux. Mais alors si telle est ta démarche : sois au moins honnête et ne fais pas dire aux personnes du forum ce qu'elles n'ont jamais dit ni cru sur moi !
Tu vois je suis très indulgent et je ne te reproches même pas d'avoir cité mes questions sans y répondre !
Si au moins tu étais honnête !Voyons, Gégé, tout le monde comprend que, pour toi, la raison en est la suivante : il y a longtemps que (pour, dis-je) sans doute depuis Sa Sainteté Pie VII, les Papes sont tous francs-maçons ...
Quelquefois, tu viens ici en essayant de te faire réhabiliter quand tu reviens sur la pointe des pieds après avoir juré sur tes grands dieux que tu ne reviendrais jamais !
Et quoi de mieux que de charger le Gégé puisque tu sais que je suis un peu comme pris en chasse par ce forum sur certains points litigieux. Mais alors si telle est ta démarche : sois au moins honnête et ne fais pas dire aux personnes du forum ce qu'elles n'ont jamais dit ni cru sur moi !
Tu vois je suis très indulgent et je ne te reproches même pas d'avoir cité mes questions sans y répondre !
Banigé- Invité
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