Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
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Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
@ nilamitp
J'ai déjà posé ce genre de question à mes enfants pour éprouver leur foi en leur demandant "que devrais-je faire dans ce cas : courber l'échine ou mourir pour Dieu ?"
A l'unanimité, ils répondirent : tu dois te laisser tuer, le contraire serait renier Dieu. En plus, tu deviendrais une martyre donc une sainte !
Ce sont des enfants qui parlent sachant très bien que dans un pareil cas, ils perdraient, sur terre, leur mère.
J'ai déjà posé ce genre de question à mes enfants pour éprouver leur foi en leur demandant "que devrais-je faire dans ce cas : courber l'échine ou mourir pour Dieu ?"
A l'unanimité, ils répondirent : tu dois te laisser tuer, le contraire serait renier Dieu. En plus, tu deviendrais une martyre donc une sainte !
Ce sont des enfants qui parlent sachant très bien que dans un pareil cas, ils perdraient, sur terre, leur mère.
Sandrine- Nombre de messages : 4297
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
nilamitp a écrit:on ne parlait pas de renier la Foi mais de faire hypocritement un geste devant des hommes qui ne sont pas des frères dans le Christ.gabrielle a écrit:Pas trop forte ta foi.
Tu serais prêt à la renier pour ta famille.
Celui qui voudra sauver sa vie la perdra
J'avoue que oui, pas pour ma vie en tant que telle, mais pour la famille.
Mauvaise réponse!
Tu n'as pas le droit de faire semblant.
Théophane Vénard n’a-t-il pas, de ses propres mains, détruit un autel muni d’une cassolette pour brûler de l’encens (de très grand prix) que des chrétiens avaient monté, juste pour faire croire aux autres païens qu’ils célébraient des rites païens en un jour de fête (Kim-Bang) (ce qui correspond de nos jours à l’Halloween et ses citrouilles)!
Diane + R.I.P- Nombre de messages : 5488
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Sandrine,
Tes enfants sont bien étranges !
Ils préfèrent que tu meurs plutôt que tu embrasses un stupide bouquin que ce soit le coran, bob l'éponge ou le petit livre rouge de mao tsé toung ?
Tes enfants sont bien étranges !
Ils préfèrent que tu meurs plutôt que tu embrasses un stupide bouquin que ce soit le coran, bob l'éponge ou le petit livre rouge de mao tsé toung ?
Je sais, mais vois-tu ma chère Diane, je suis vraiment un très mauvais Martyr Chrétien, doublé d'un très grand pécheur.Diane a écrit:Mauvaise réponse!
Tu n'as pas le droit de faire semblant.
Invité- Invité
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Le Cardinal Pie
Les réunions comme Assise est la destruction de la religion catholique, la négation de Dieu.
Le Cardinal Pie continue
Lorsqu'à Assise Karol Wojtyla invite les représentants de chaque secte à prier leurs fausses divinités pour la paix, il place Dieu sur le même pied d'égalité ou si vous aimez mieux il élève de faux dieux à l'égal de Dieu, puisqu'il reconnait que ces dieux peuvent être priés et qu'ils peuvent exaucer les prières de ceux qui les invoquent, or le premier commandement de Dieu défend strictement cela.
Voilà ce qui s'est passé à Assise à l'initiative de Wojtyla.
La photographie du baiser du Coran est déjà un témoignage terriblement accablant contre Wojtyla, baiser avec vénération un livre où le Dieu Trinitaire est nié est une apostasie, car qui a-t-il de vénérable dans le Coran?
Il faut aussi entendre par le mot baiser les réunions comme Assise, qui fut le baiser de Judas.
Seul un impie peut autoriser qu'on place bouddha devant un Tabernacle qui est censé contenir les Saintes Espèces.
Si toutes les religions peuvent être mises sur un même rang, c'est qu'elles se valent toutes; si toutes sont vraies, c'est que toutes sont fausses; si tous les dieux se tolèrent, c'est qu'il n'y a pas de Dieu.
Les réunions comme Assise est la destruction de la religion catholique, la négation de Dieu.
Le Cardinal Pie continue
Que de consciences seraient tranquilles, le jour où l’Église catholique donnerait le baiser fraternel à toutes les sectes ses rivales!
Lorsqu'à Assise Karol Wojtyla invite les représentants de chaque secte à prier leurs fausses divinités pour la paix, il place Dieu sur le même pied d'égalité ou si vous aimez mieux il élève de faux dieux à l'égal de Dieu, puisqu'il reconnait que ces dieux peuvent être priés et qu'ils peuvent exaucer les prières de ceux qui les invoquent, or le premier commandement de Dieu défend strictement cela.
Qu'est-ce que la superstition ?
On appelle superstition toute dévotion contraire à la doctrine et à l'usage de l'Eglise, comme aussi le fait d'attribuer à une action ou à une chose quelconque une vertu surnaturelle qu'elle n'a pas.
Qu'est-ce que le sacrilège ?
Le sacrilège est la profanation d'un lieu, d'une personne ou d'une chose consacrée à Dieu et destinée à son culte.
Quelles autres choses défend le premier commandement ?
Le premier commandement nous défend encore d'avoir commerce avec le démon et de nous agréger aux sectes antichrétiennes.
Celui qui recourrait au démon ou l'invoquerait commettrait-il un grave péché ?
Celui qui recourrait au démon ou l'invoquerait commettrait un péché énorme, parce que le démon est le plus pervers des ennemis de Dieu et de l'homme. ( Catéchisme de Saint Pie X)
Q- 193. Comment devons-nous honorer et adorer Dieu ?
R. Nous devons honorer et adorer Dieu comme le Créateur, la Providence conservatrice, le premier principe et la dernière fin de toutes choses, par des actes de religion intérieurs et extérieurs, que la nature et plus encore la révélation nous suggèrent, et dont le principal est le sacrifice, qui ne peut être offert à aucune créature.
Q. 194. Comment pèche-t-on contre le premier commandement du Décalogue
R. On pèche contre le premier commandement du Décalogue :
I° par superstition, c'est-à-dire par idolâtrie, par divination, par vaine observance, par spiritisme, celui-ci étant une sorte de divination et de vaine observance;
2° par irréligion, c'est-à-dire par omission des actes du culte qui doivent être faits, par sacrilège, par simonie (1).
(1) L'idolâtrie est la superstition par laquelle on rend le culte divin à une divinité imaginaire, créature ou démon.
La divination est la superstition par laquelle on cherche à découvrir les événements futurs ou les choses cachées grâce au secours du démon qu'on invoque expressément ou tacitement.
La vaine observance est la superstition par laquelle on emploie en vue d'un certain effet à obtenir, des moyens inaptes, en invoquant explicitement ou tacitement le démon.
Le spiritisme est la superstition par laquelle on entre en communication avec les esprits mauvais et par laquelle on veut, grâce à leur aide, connaître des choses cachées.
Le sacrilège est l'indigne traitement qu'on fait subir à une chose ou à une personne sacrée, ou la profanation qu'on fait d'un lieu dédié à Dieu ou au culte divin.
La simonie est tout contrat, défendu par le droit naturel, divin ou canonique, regardant les biens spirituels ou ce qui les concerne, ou encore les biens temporels qui relèvent de la religion.
( Catéchisme Catholique pour adultes du Cardinal Gasparri)
Voilà ce qui s'est passé à Assise à l'initiative de Wojtyla.
La photographie du baiser du Coran est déjà un témoignage terriblement accablant contre Wojtyla, baiser avec vénération un livre où le Dieu Trinitaire est nié est une apostasie, car qui a-t-il de vénérable dans le Coran?
Il faut aussi entendre par le mot baiser les réunions comme Assise, qui fut le baiser de Judas.
Seul un impie peut autoriser qu'on place bouddha devant un Tabernacle qui est censé contenir les Saintes Espèces.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
nilamitp a écrit:Sandrine,
Tes enfants sont bien étranges !
Ils préfèrent que tu meurs plutôt que tu embrasses un stupide bouquin que ce soit le coran, bob l'éponge ou le petit livre rouge de mao tsé toung ?
Disons déjà que mes enfants savent faire la différence entre Bob l'éponge et le Coran ou le p'tit rouge de Mao !
Ils savent aussi qu'on ne triche pas avec le bon Dieu
Quant à leur "étrangeté", ils doivent tenir ça de moi
Sandrine- Nombre de messages : 4297
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Lupitus a écrit:on ne parlait pas de renier la Foi mais de faire hypocritement un geste devant des hommes qui ne sont pas des frères dans le Christ.
J'avoue que oui, pas pour ma vie en tant que telle, mais pour la famille.
Vous savez, si tous les Martyrs avaient eu cette réaction, il n'y en aurait pas un seul...de martyr.
Avez-vous tellement peu de foi en Dieu et peu de confiance en Sa divine Providence que vous vous préoccupiez plus de votre famille sur terre? Et votre famille au Ciel, qu'en faites-vous?
Mais encore une fois, on parle théoriquement.
Un fois le moment venu, c'est la Grâce qui agit. Et à nous d'y correspondre ou pas.
Votre réaction sincère montre toutefois à quel point vous êtes imprégné de la doctrine conciliaire. Je dis sincère, car je crois que vous pensez sincèrement qu'il vaut mieux faire semblant de renier sa foi pour sauver sa vie et celle de sa famille. Mais c'est tout le contraire. Il faut d'abord témoigner de la Foi en Jésus-Christ au péril de son sang et de sa vie. Chose inconcevable pour les modernos, qui ne croient en rien d'autre que l'homme divinisé qui est dieu dans cette vie et donc, la vie ici bas est tout.
Lisez donc le récit du Martyre des Macchabées, en sa version traduite par Crampon, au chapitre 7 du 2è livre:
1 Il arriva aussi qu'on prit sept frères avec leur mère, et que le roi voulut les contraindre, en les déchirant à coups de fouets et de nerfs de boeuf, à manger de la chair de porc, interdite par la loi.
2 L'un d'eux, prenant la parole au nom de tous, dit: "Que demandes-tu, et que veux-tu apprendre de nous? Nous sommes prêts à mourir plutôt que de transgresser la loi de nos pères."
3 Le roi, outré de colère, commanda de mettre sur le feu des poêles et des chaudières. Aussitôt qu'elles furent brûlantes,
4 il commanda de couper la langue à celui qui avait parlé au nom de tous, puis de lui enlever la peau de la tête et de lui trancher les extrémités, sous les yeux de ses autres frères et de leur mère.
5 Lorsqu'on l'eut ainsi complètement mutilé, il ordonna qu'on l'approchât du feu, respirant encore, et qu'on le fît rôtir dans la poêle. Pendant que la vapeur de la poêle se répandait au loin, ses frères et leur mère s'exhortaient mutuellement à mourir avec courage:
6 "Le Seigneur Dieu voit, disaient-ils, et il a vraiment compassion de nous, selon que Moïse l'a annoncé, dans le cantique qui proteste en face contre Israël, en disant: Il aura pitié de ses serviteurs."
7 Le premier étant mort de cette manière, on amena le second pour le supplice, et après lui avoir arraché la peau de la tête avec les cheveux, on lui demanda s'il voulait manger du porc avant d'être torturé dans tous les membres de son corps.
8 Il répondit dans la langue de ses pères: " Non!" C'est pourquoi il subit à son tour les mêmes tourments que le premier.
9 Au moment de rendre le dernier soupir, il dit: "Scélérat que tu es, tu nous ôtes la vie présente, mais le Roi de l'univers nous ressuscitera pour une vie éternelle, nous qui mourons pour être fidèles à ses lois."
10 Après lui, on tortura le troisième. A la demande du bourreau, il présenta aussitôt sa langue et tendit intrépidement ses mains,
11 et il dit avec un noble courage: "Je tiens ces membres du Ciel, mais à cause de ses lois je les méprise, et c'est de Lui que j'espère les recouvrer un jour."
12 Le roi lui-même et ceux qui l'accompagnaient furent frappés du courage de ce jeune homme, qui comptait pour rien les tortures.
13 Lui mort, on fit subir au quatrième les mêmes tourments.
14 Sur le point d'expirer, il dit: "Heureux ceux qui meurent de la main des hommes, avec l'espérance qu'ils tiennent de Dieu d'être ressuscités par lui! Pour toi, ta résurrection ne sera point pour la vie."
15 On amena ensuite le cinquième, et on le tortura. Mais lui, fixant les yeux sur le roi, dit:
16 "Tu as, quoique mortel, pouvoir parmi les hommes, et tu fais ce que tu veux. Mais ne crois pas que notre race soit abandonnée de Dieu.
17 Pour toi, attends, et tu verras sa grande puissance, comme il te tourmentera toi et ta race."
18 Après lui, on amena le sixième. Près de mourir, il dit: " Ne te fais pas de vaine illusion; c'est nous-mêmes qui nous sommes attiré ces maux, en péchant contre notre Dieu; aussi nous est-il arrivé d'étranges calamités.
19 Mais toi, ne t'imagines pas que tu seras impuni, après avoir osé combattre contre Dieu."
20 La mère, admirable au-dessus de toute expression et digne d'une illustre mémoire, voyant mourir ses sept fils dans l'espace d'un seul jour, le supporta généreusement, soutenue par son espérance dans le Seigneur.
21 Elle exhortait chacun d'eux en la langue de ses pères et, remplie des plus nobles sentiments, elle raffermissait par un mâle courage sa tendresse de femme.
22 Elle leur disait: " Je ne sais comment vous avez apparu dans mes entrailles; ce n'est pas moi qui vous ai donné l'esprit et la vie; ce n'est pas moi qui ai assemblé les éléments qui composent votre corps.
23 C'est pourquoi le Créateur du monde, qui a formé l'homme à sa naissance et qui préside à l'origine de toutes choses, vous rendra dans sa miséricorde et l'esprit et la vie, parce que maintenant vous vous méprisez vous-mêmes pour l'amour de sa loi."
24 Antiochus se crut insulté et soupçonna un outrage dans ces paroles. Comme le plus jeune était encore en vie, non seulement il lui adressa des exhortations, mais il lui promit avec serment de le rendre riche et heureux, s'il abandonnait les lois de ses pères, d'en faire son ami et de lui confier de hauts emplois.
25 Le jeune homme ne prêtant à ces offres aucune attention, le roi appela la mère et l'engagea à donner à l'adolescent des conseils de salut.
26 Lorsqu'il l'eut longtemps exhortée, elle accepta de persuader son fils.
27 S'étant donc penchée vers lui et raillant le tyran cruel, elle parla ainsi dans la langue de ses pères: "Mon fils, aie pitié de moi, qui t'ai porté neuf mois dans mon sein, qui t'ai allaité trois ans, qui t'ai entretenu, nourri et élevé jusqu'à l'âge où tu es.
28 Je t'en conjure, mon enfant, regarde le ciel et la terre, vois tout ce qu'ils contiennent, et sache que Dieu les a créés de rien, et que la race des hommes est arrivée ainsi à l'existence.
29 Ne crains pas ce bourreau, mais sois digne de tes frères et accepte la mort, afin que je te retrouve, avec tes frères, au temps de la miséricorde."
30 Comme elle parlait encore, le jeune homme dit: " Qu'attendez-vous? Je n'obéis pas aux ordres du roi; j'obéis aux prescriptions de la loi qui a été donnée par Moïse à nos pères.
31 Et toi, l'auteur de tous les maux déchaînés sur les Hébreux, tu n'éviteras pas le bras de Dieu.
32 Car c'est à cause de nos péchés que nous souffrons;
33 et si, pour nous châtier et nous corriger, notre Seigneur, qui est vivant, nous a montré un moment sa colère, il se réconciliera avec ses serviteurs.
34 Mais toi, ô impie et le plus scélérat de tous les hommes, ne t'enorgueillis pas follement, te livrant à de vaines espérances, quand tu lèves la main contre les serviteurs de Dieu;
35 car tu n'as pas encore échappé au jugement du Dieu tout-puissant qui surveille toutes choses.
36 Nos frères, après avoir enduré une souffrance passagère, sont échus à l'alliance de Dieu pour une vie éternelle; mais toi, par le jugement de Dieu, tu porteras le juste châtiment de ton orgueil.
37 Quant à moi, ainsi que mes frères, je livre mon corps et ma vie pour les lois de mes pères, suppliant Dieu d'être bientôt propice envers son peuple et de t'amener, par les tourments et la souffrance, à confesser qu'il est le seul Dieu,
38 et puisse, en moi et en mes frères, s'arrêter la colère du Tout-Puissant, justement déchaînée sur toute notre race!"
39 Le roi, transporté de fureur, sévit contre celui-ci plus cruellement encore que contre les autres, ne pouvant supporter qu'on se jouât de lui.
40 Ainsi mourut ce jeune homme, pur de toute idolâtrie et se confiant entièrement au Seigneur.
41 Enfin la mère mourut la dernière, après ses enfants.
42 Mais en voilà assez au sujet des sacrifices et des excessives cruautés d'Antiochus.
Dernière édition par Rosalmonte le Lun 23 Mai 2011, 10:06 am, édité 1 fois
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
nilamitp a écrit:Je sais, mais vois-tu ma chère Diane, je suis vraiment un très mauvais Martyr Chrétien, doublé d'un très grand pécheur.
Crois-tu que les martyres étaient tous sans péché?
Ton trouble, c'est de te croire indispensable à ta famille, or personne ne l'est.
Si demain tu meurs d'un accident, ta famille se retrouvera seule et Dieu en prendra soin.
La confiance en Dieu ça existe et tu aurais avantage à la développer.
Diane + R.I.P- Nombre de messages : 5488
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Note: on ne parle pas d'apostasie, ni d'accident etc... Ce n'est pas non plus un manque de confiance là maintenant.
On parle d'une faiblesse temporaire exactement comme les disciples dont S. Pierre.
Et moi je vous dis en toute sincérité : oui, me connaissant, je pourrais avoir la même faiblesse que le premier évêque de Rome, et face à l'adversité, embrasser un bouquin. J'essaie d'être honnête, pas de raconter des salades.
On parle d'une faiblesse temporaire exactement comme les disciples dont S. Pierre.
Et moi je vous dis en toute sincérité : oui, me connaissant, je pourrais avoir la même faiblesse que le premier évêque de Rome, et face à l'adversité, embrasser un bouquin. J'essaie d'être honnête, pas de raconter des salades.
Saint Matthieu a écrit:26, 56. Or tout ceci advint pour que s'accomplissent les Écritures des prophètes. Alors les disciples l'abandonnèrent tous et prirent la fuite.
Saint Matthieu a écrit:26, 74. Alors il se mit à jurer avec force imprécations : « Je ne connais pas cet homme ! » Et aussitôt un coq chanta.
Invité- Invité
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Saint Pierre n'étant pas encore Pape à ce moment là (son triple reniement) il vaudrait mieux éviter de parler d'évêque de Rome, même si je comprends qu'on le fasse pour appuyer ses propos.
On n'a pas le droit de pécher.
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On n'a pas le droit de pécher.
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JCMD67- Nombre de messages : 3567
Date d'inscription : 19/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
[quote]
Getino fut mis à l'index comme Faustina Kowalska à cause de sa thèse sur l'illumination finale.
Jean-Paul II sortit Faustina Kowalska en 1981 de l'index des livres prohibés. Elle est maintenant canonisée sous le nom de sainte Faustine.
Voici pourtant un des textes de sainte Faustine :
« Petit journal 1697. J’accompagne souvent les âmes agonisantes et je leur obtiens la confiance en la miséricorde divine. Je supplie Dieu de leur donner toute la grâce divine, qui est toujours victorieuse. La miséricorde divine atteint plus d’une fois le pécheur au dernier moment, d’une manière étrange et mystérieuse. A l’extérieur, nous croyons que tout est fini, mais il n’en est pas ainsi. L’âme éclairée par un puissant rayon de la grâce suprême, se tourne vers Dieu avec une telle puissance d’amour, qu’en un instant elle reçoit de Dieu le pardon de ses fautes et de leurs punitions. Elle ne nous donne à l’extérieur aucun signe de repentir ou de contrition, car elle ne réagit plus aux choses extérieures. Oh ! Que la miséricorde divine est insondable !
Mais horreur! Il y a aussi des âmes, qui volontairement et consciemment, rejettent cette grâce et la dédaignent. C’est déjà le moment même de l’agonie. Mais Dieu, dans sa miséricorde, donne à l’âme dans son for intérieur ce moment de clarté. Et si l’âme le veut, elle a la possibilité de revenir à Dieu.
Mais parfois, il y a des âmes d’une telle dureté de cœur qu’elles choisissent consciemment l’enfer. Elles font échouer non seulement toutes les prières que d’autres âmes dirigent vers Dieu à leur intention, mais même aussi les efforts divins. »
Quant à ma thèse, elle ne soutient pas une simple illumination finale à l'heure de la mort. Elle va plus loin. Elle soutient l'apparition glorieuse du Christ, accompagné des saints et des anges à l'heure de la mort.
Le pape Benoît XVI décrit ce que je soutiens dans ce texte :
- Pape Benoît XVI, décembre 2007 encyclique « Spe Salvi, 47 ».
« 47. Certains théologiens récents sont de l'avis que le feu qui brûle et en même temps sauve est le Christ lui-même, le Juge et Sauveur. La rencontre avec le Christ est l'acte décisif du Jugement. Devant son regard s'évanouit toute fausseté. C'est la rencontre avec Lui qui, nous brûlant, nous transforme et nous libère pour nous faire devenir vraiment nous-mêmes. Les choses édifiées durant la vie peuvent alors se révéler paille sèche, vantardise vide et s'écrouler. Mais dans la souffrance de cette rencontre, où l'impur et le malsain de notre être nous apparaissent évidents, se trouve le salut. Le regard du Christ, le battement de son cœur nous guérissent grâce à une transformation certainement douloureuse, comme « par le feu ». Cependant, c'est une heureuse souffrance, dans laquelle le saint pouvoir de son amour nous pénètre comme une flamme, nous permettant à la fin d'être totalement nous-mêmes et avec cela totalement de Dieu. Ainsi se rend évidente aussi la compénétration de la justice et de la grâce: notre façon de vivre n'est pas insignifiante, mais notre saleté ne nous tache pas éternellement, si du moins nous sommes demeurés tendus vers le Christ, vers la vérité et vers l'amour. En fin de compte, cette saleté a déjà été brûlée dans la Passion du Christ. Au moment du Jugement, nous expérimentons et nous accueillons cette domination de son amour sur tout le mal dans le monde et en nous. La souffrance de l'amour devient notre salut et notre joie. Il est clair que la « durée » de cette brûlure qui transforme, nous ne pouvons la calculer avec les mesures chronométriques de ce monde. Le « moment » transformant de cette rencontre échappe au chronométrage terrestre – c'est le temps du cœur, le temps du « passage » à la communion avec Dieu dans le Corps du Christ.[39] Le Jugement de Dieu est espérance, aussi bien parce qu'il est justice que parce qu'il est grâce. S'il était seulement grâce qui rend insignifiant tout ce qui est terrestre, Dieu resterait pour nous un débiteur de la réponse à la question concernant la justice – question décisive pour nous face à l'histoire et face à Dieu lui-même. S'il était pure justice, il pourrait être à la fin pour nous tous seulement un motif de peur. L'incarnation de Dieu dans le Christ a tellement lié l'une à l'autre – justice et grâce – que la justice est établie avec fermeté: nous attendons tous notre salut « dans la crainte de Dieu et en tremblant » (Ph 2, 12). Malgré cela, la grâce nous permet à tous d'espérer et d'aller pleins de confiance à la rencontre du Juge que nous connaissons comme notre « avocat » (parakletos) (cf. 1 Jn 2, 1). »
Satan ne prêche pas la droiture du coeur et le jugement dernier. Il prêche une liberté individualiste qui se moque de tout jugement car elle est plus forte que Dieu.
Rosalmonte a écrit:
Avec votre thèse condamnée en celle de Getino, à savoir l'illumination finale après la mort, vous emberlificotez le tout!
Getino fut mis à l'index comme Faustina Kowalska à cause de sa thèse sur l'illumination finale.
Jean-Paul II sortit Faustina Kowalska en 1981 de l'index des livres prohibés. Elle est maintenant canonisée sous le nom de sainte Faustine.
Voici pourtant un des textes de sainte Faustine :
« Petit journal 1697. J’accompagne souvent les âmes agonisantes et je leur obtiens la confiance en la miséricorde divine. Je supplie Dieu de leur donner toute la grâce divine, qui est toujours victorieuse. La miséricorde divine atteint plus d’une fois le pécheur au dernier moment, d’une manière étrange et mystérieuse. A l’extérieur, nous croyons que tout est fini, mais il n’en est pas ainsi. L’âme éclairée par un puissant rayon de la grâce suprême, se tourne vers Dieu avec une telle puissance d’amour, qu’en un instant elle reçoit de Dieu le pardon de ses fautes et de leurs punitions. Elle ne nous donne à l’extérieur aucun signe de repentir ou de contrition, car elle ne réagit plus aux choses extérieures. Oh ! Que la miséricorde divine est insondable !
Mais horreur! Il y a aussi des âmes, qui volontairement et consciemment, rejettent cette grâce et la dédaignent. C’est déjà le moment même de l’agonie. Mais Dieu, dans sa miséricorde, donne à l’âme dans son for intérieur ce moment de clarté. Et si l’âme le veut, elle a la possibilité de revenir à Dieu.
Mais parfois, il y a des âmes d’une telle dureté de cœur qu’elles choisissent consciemment l’enfer. Elles font échouer non seulement toutes les prières que d’autres âmes dirigent vers Dieu à leur intention, mais même aussi les efforts divins. »
Quant à ma thèse, elle ne soutient pas une simple illumination finale à l'heure de la mort. Elle va plus loin. Elle soutient l'apparition glorieuse du Christ, accompagné des saints et des anges à l'heure de la mort.
Le pape Benoît XVI décrit ce que je soutiens dans ce texte :
- Pape Benoît XVI, décembre 2007 encyclique « Spe Salvi, 47 ».
« 47. Certains théologiens récents sont de l'avis que le feu qui brûle et en même temps sauve est le Christ lui-même, le Juge et Sauveur. La rencontre avec le Christ est l'acte décisif du Jugement. Devant son regard s'évanouit toute fausseté. C'est la rencontre avec Lui qui, nous brûlant, nous transforme et nous libère pour nous faire devenir vraiment nous-mêmes. Les choses édifiées durant la vie peuvent alors se révéler paille sèche, vantardise vide et s'écrouler. Mais dans la souffrance de cette rencontre, où l'impur et le malsain de notre être nous apparaissent évidents, se trouve le salut. Le regard du Christ, le battement de son cœur nous guérissent grâce à une transformation certainement douloureuse, comme « par le feu ». Cependant, c'est une heureuse souffrance, dans laquelle le saint pouvoir de son amour nous pénètre comme une flamme, nous permettant à la fin d'être totalement nous-mêmes et avec cela totalement de Dieu. Ainsi se rend évidente aussi la compénétration de la justice et de la grâce: notre façon de vivre n'est pas insignifiante, mais notre saleté ne nous tache pas éternellement, si du moins nous sommes demeurés tendus vers le Christ, vers la vérité et vers l'amour. En fin de compte, cette saleté a déjà été brûlée dans la Passion du Christ. Au moment du Jugement, nous expérimentons et nous accueillons cette domination de son amour sur tout le mal dans le monde et en nous. La souffrance de l'amour devient notre salut et notre joie. Il est clair que la « durée » de cette brûlure qui transforme, nous ne pouvons la calculer avec les mesures chronométriques de ce monde. Le « moment » transformant de cette rencontre échappe au chronométrage terrestre – c'est le temps du cœur, le temps du « passage » à la communion avec Dieu dans le Corps du Christ.[39] Le Jugement de Dieu est espérance, aussi bien parce qu'il est justice que parce qu'il est grâce. S'il était seulement grâce qui rend insignifiant tout ce qui est terrestre, Dieu resterait pour nous un débiteur de la réponse à la question concernant la justice – question décisive pour nous face à l'histoire et face à Dieu lui-même. S'il était pure justice, il pourrait être à la fin pour nous tous seulement un motif de peur. L'incarnation de Dieu dans le Christ a tellement lié l'une à l'autre – justice et grâce – que la justice est établie avec fermeté: nous attendons tous notre salut « dans la crainte de Dieu et en tremblant » (Ph 2, 12). Malgré cela, la grâce nous permet à tous d'espérer et d'aller pleins de confiance à la rencontre du Juge que nous connaissons comme notre « avocat » (parakletos) (cf. 1 Jn 2, 1). »
Un adorateur de Satan, s'il est droit, s'il se comporte conformément aux préceptes de sa religion, qui est d'adorer un dieu unique: Satan, s'il croit au jugement dernier, etc. se verra-t-il préparé au salut dans sa fausse religion?
Satan ne prêche pas la droiture du coeur et le jugement dernier. Il prêche une liberté individualiste qui se moque de tout jugement car elle est plus forte que Dieu.
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
Date d'inscription : 16/05/2011
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Arnaud, ni la parole de Wojtyla ni celle de Ratzinger ne valent quelque chose pour nous.
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JCMD67- Nombre de messages : 3567
Date d'inscription : 19/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
JCMD67 a écrit:Arnaud, ni la parole de Wojtyla ni celle de Ratzinger ne valent quelque chose pour nous.
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C'est vrai. Mais au moins, vous en aurez une compréhension différente de celle du clergé progressiste qui, effectivement, a déformé la connaissance du Concile Vatican II.
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
Date d'inscription : 16/05/2011
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Merci, mais nous savons déjà qu'à l'intérieur de la révolution il y a des progressistes et des conservateurs.
Sans cela, elle s'écroule.
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Sans cela, elle s'écroule.
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JCMD67- Nombre de messages : 3567
Date d'inscription : 19/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Arnaud Dumouch a écrit:
Jean-Paul II sortit Faustina Kowalska en 1981 de l'index des livres prohibés.
L’Index n’a-t-il pas été aboli en 1966 ?
_________________
Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Louis a écrit:Arnaud Dumouch a écrit:
Jean-Paul II sortit Faustina Kowalska en 1981 de l'index des livres prohibés.
L’Index n’a-t-il pas été aboli en 1966 ?
Aucun livre n'a été ajouté à l'index après cette date. Mais voilà ce qui s'est passé pour sainte Faustine : elle en a été sortie :
Faustine Kowalska fut mise à l'index par le Saint Office en 1959 à cause de ses œuvres suspectes d’hérésie. Après une tentative avortée de convaincre le pape Pie XII de signer une condamnation, le cardinal Alfredo Ottaviani du Saint-Office a inclus ses livres sur une liste qu'il a présenté au pape Jean XXIII. Le pape a signé le décret qui a placé ses œuvres dans l'index des livres interdits et ils y sont restés plus de 20 ans. Le Père Polonais Sopoćko a été durement réprimandé, et tout son travail de publication de Faustine a été supprimé. Toutefois, Mgr Eugeniusz Baziak, l'archevêque de Cracovie, a permis aux religieuses de maintenir l'image du Christ miséricordieux dans leur chapelle pour que ceux qui voulaient continuer à prier avant de pouvoir le faire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Index_Librorum_Prohibitorum
Le motif de cette mise à l'index n'a pas été clairement précisé par le saint Office mais tout indique que c'est dans la ligne de celle du Père espagnol Luis G. Alonso Getino sur l'illumination finale dans la mort : « Le 5 mars 1936, le Saint-Office inscrivait dans l'Index des livres prohibés le livre de Luis G. Alonso Getino, Del gran numero de los que se salvan y de la mitigación de las penas eternas (Madrid, f.e.d.a., 1934). Le 6 mars 1936, l'Osservatore Romano commentait ainsi cette mise à l'Index :
« Cette condamnation mérite qu'on y attache une importance particulière et qu'on la signale tout de suite à l'attention des fidèles pour le tort très grave que pourrait leur causer la lecture du livre en question (…)
Dans ladite publication, on défend en outre, ex professo une étrange théorie concernant une prétendue illumination spéciale que les âmes humaines recevraient de Dieu au moment de leur séparation du corps, et grâce à laquelle elles se convertiraient intimement et parfaitement au Créateur et seraient ainsi justifiées et sauvées. Il n'est pas nécessaire, certes, de beaucoup de paroles pour faire comprendre combien grave est le danger caché sous ces théories qui, non seulement n'ont aucun fondement dans la Révélation, mais sont même en contradiction avec elle et avec le sentiment commun de l'Église. »
Canonisée par Jean-Paul II le 30 avril 2000, sainte Faustine Kowalska est avec Marthe Robin, une de celle qui VOIT DE SES YEUX, la mort comme un passage. Il y a parfois d’intéressants de retournements de l'histoire.
Sainte Faustine est donc réhabilitée et, dès 1985, dans l’édition en Français de son « petit journal », il est écrit :
Rome, le 20 décembre 1980 Andrzej Maria Deskur« En présentant ici l'édition du Petit Journal de Sœur Faustine Kowalska, j’ai pleine conscience de présenter un document de la Mystique catholique d'une valeur exceptionnelle, et cela, non seulement pour l'Église de Pologne, mais aussi pour l'Église universelle.
Il s'agit de l'édition critique et authentique (digne de foi) faite par la Postulation de la cause de Sœur Faustine, sous la compétence territoriale de l'Archevêché de Cracovie.
Le Petit Journal dont le contenu concerne la dévotion à la Miséricorde Divine est devenu ces derniers temps extrêmement actuel pour deux raisons.
Premièrement, parce que la Congrégation de la Doctrine de la Foi a annulé, il y a deux ans (1983), les griefs et les réticences soulevés jadis par la Congrégation du Saint-Office contre les écrits de Sœur Faustine ; cette annulation de la Notification a eu pour résultat le renouveau de la Dévotion à la Miséricorde Divine sur tous les continents, dévotion présentée dans le Journal mentionné, ce que confirment sans cesse les témoignages qui parviennent à la Postulation et à la Congrégation à laquelle appartenait Sœur Faustine. [...]
Archevêque »
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
Date d'inscription : 16/05/2011
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Quant à ma thèse, elle ne soutient pas une simple illumination finale à l'heure de la mort. Elle va plus loin. Elle soutient l'apparition glorieuse du Christ, accompagné des saints et des anges à l'heure de la mort.
Franchement... le ciel tout entier apparaitrait à la mort et la personne refuserait le Christ...
Cela ne tient pas debout.
Le clergé progressiste n'a pas défiguré V2 , ce clergé était tout simplement moins hypocrites que d'autres qui tentaient de faire avaler aux fidèles ( avec succès malheureusement) que rien n'avait changé.
Menteurs! ils ont gardé la coquille et on vider l'oeuf.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
[quote]
Détrompez vous :
Les péchés mortels (de faiblesse et d'ignorance) il ne faut pas jouer avec eux, même si toute faiblesse et ignorance sont enlevés à la venue du christ. En effet, si on s'y complait, on fabrique en son âme un goût pour l'égoïsme et l'orgueil qui nous attirera vers la liberté solitaire, qui est justement ce qu'annonce Lucifer en enfer. Mais face au Christ, ce sera devenu un péché mortel contre l'Esprit Saint car il n'y aura plus que lucidité et maîtrise de soi.
Ce poids du péché risque bien, face à la parousie du Christ, de nous faire mépriser sa douceur et sa petitesse (qui sont sa gloire principale) et nous dirons :
Et le péché nous guette. Il est invisible. Je me souviens de cette anecdote qui m'a frappé. A la fin des apparitions de Lourdes, on voulut protéger Bernadette. On lui trouva un couvent à Nevers dirigés par une religieuse de haute qualité, une grande ascète. Une fois, une dame demanda à voir Bernadette. Elle s'attendait à voir en Bernadette une grande mystique, pleine de transports. Or Bernadette n'aimait pas passer des heures à l'oraison. Elle était simple, et préférait servir en cuisine et dans le ménage. Le constatant, la dame fit cette remarque acide :
Je suis inquiet pour notre salut. Combien d'entre nous ne reconnaîtrons notre Christ que dans Lucifer le Grand ? Face à la grandiose apparition de Lucifer, ce roi de la fierté solitaire et individualiste, nous risquons bien de reconnaître notre vai chemin...
Donc, la peur de l'enfer ne doit plus venir de Dieu ! Lui, il est prêty à pardonner TOUT, 70 fois 7 fois, si nous nous repentons.
La peur doit venir de NOUS. Car personne ne sait s'il ne sera pas déçu, lors de la venue du Christ dans sa gloire, par tant d'HUMILITE...
gabrielle a écrit:Quant à ma thèse, elle ne soutient pas une simple illumination finale à l'heure de la mort. Elle va plus loin. Elle soutient l'apparition glorieuse du Christ, accompagné des saints et des anges à l'heure de la mort.
Franchement... le ciel tout entier apparaitrait à la mort et la personne refuserait le Christ...
Cela ne tient pas debout.
Détrompez vous :
Les péchés mortels (de faiblesse et d'ignorance) il ne faut pas jouer avec eux, même si toute faiblesse et ignorance sont enlevés à la venue du christ. En effet, si on s'y complait, on fabrique en son âme un goût pour l'égoïsme et l'orgueil qui nous attirera vers la liberté solitaire, qui est justement ce qu'annonce Lucifer en enfer. Mais face au Christ, ce sera devenu un péché mortel contre l'Esprit Saint car il n'y aura plus que lucidité et maîtrise de soi.
Ce poids du péché risque bien, face à la parousie du Christ, de nous faire mépriser sa douceur et sa petitesse (qui sont sa gloire principale) et nous dirons :
Donc nous devons FUIR LE PÉCHÉ, par peur NON DU CHRIST mais de NOUS-MÊMES !"Ce n'est que ça le Christ ? :mrgreen: "
Et le péché nous guette. Il est invisible. Je me souviens de cette anecdote qui m'a frappé. A la fin des apparitions de Lourdes, on voulut protéger Bernadette. On lui trouva un couvent à Nevers dirigés par une religieuse de haute qualité, une grande ascète. Une fois, une dame demanda à voir Bernadette. Elle s'attendait à voir en Bernadette une grande mystique, pleine de transports. Or Bernadette n'aimait pas passer des heures à l'oraison. Elle était simple, et préférait servir en cuisine et dans le ménage. Le constatant, la dame fit cette remarque acide :
à quoi Bernadette a répondu en riant : "Mais oui, madame, ce n'est que ça!". Et cela m'a frappé car je me suis dit que beaucoup d'entre nous, chrétiens fervents et secrètement assez sûr de notre salut, nous n'avons pas le MÊME CHOIX QUE LA SAINTE VIERGE, QUI EST PORTANT LA REINE DU CIEL parce qu'elle est la plus petite."Ce n'est que cela Bernadette ? :oups: ..."
Je suis inquiet pour notre salut. Combien d'entre nous ne reconnaîtrons notre Christ que dans Lucifer le Grand ? Face à la grandiose apparition de Lucifer, ce roi de la fierté solitaire et individualiste, nous risquons bien de reconnaître notre vai chemin...
Donc, la peur de l'enfer ne doit plus venir de Dieu ! Lui, il est prêty à pardonner TOUT, 70 fois 7 fois, si nous nous repentons.
La peur doit venir de NOUS. Car personne ne sait s'il ne sera pas déçu, lors de la venue du Christ dans sa gloire, par tant d'HUMILITE...
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
Date d'inscription : 16/05/2011
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
La peur doit venir de NOUS. Car personne ne sait s'il ne sera pas déçu, lors de la venue du Christ dans sa gloire, par tant d'HUMILITE...
Il est venu dans l'humilité une fois, il reviendra dans sa gloire.
Une venue intermédiaire connnait pas.
De plus, vous la dites glorieuse...
Pour Sainte Bernadette, ça tient pas la route la petite bergère était un être humain, et la dame s'attendait sans doute à voir une personne très érudit...
Il n'y a pas de point de comparaison entre Sainte Bernadette et Le Fils de Dieu Glorieux avec tout le ciel à sa suite
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
gabrielle a écrit:
Il n'y a pas de point de comparaison entre Sainte Bernadette et Le Fils de Dieu Glorieux avec tout le ciel à sa suite
La gloire de Jésus portera encore les stigmates de sa passion. Il apparaîtra pantelant encore de ses souffrance, et victorieux par son amour.
Sa gloire n'aura rien à voir avec celle de Lucifer qui sera faite de puissance, de dignité solitaire. Certains confondront/
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
Date d'inscription : 16/05/2011
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Arnaud Dumouch a écrit:gabrielle a écrit:
Il n'y a pas de point de comparaison entre Sainte Bernadette et Le Fils de Dieu Glorieux avec tout le ciel à sa suite
La gloire de Jésus portera encore les stigmates de sa passion. Il apparaîtra pantelant encore de ses souffrance, et victorieux par son amour.
Sa gloire n'aura rien à voir avec celle de Lucifer qui sera faite de puissance, de dignité solitaire. Certains confondront/
Les stigmates de sa Passion sont glorieux depuis sa résurrection, vous trouvez pas que vous arranger votre affaire un peu n'importe comment, et le ciel tout entier et les anges il sera dans un état de pantelant aussi
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
gabrielle a écrit:
Les stigmates de sa Passion sont glorieux depuis sa résurrection,
Absolument. Mais cette gloire sera ainsi :
écoutez ce que Dieu annonce par le prophète Ésaïe :
« Voici mon serviteur, dit Dieu, celui que j'ai choisi […]
Il ne brisera pas le roseau abîmé,
Et il n'éteindra pas le lumignon qui fume encore,
Jusqu’à ce qu'il ait donné la victoire au droit
Et les nations mettront leur espérance en son nom. »
Évangile selon Matthieu chapitre 12, versets 20 et 21.
Beaucoup seront déçus et ceux qui préfèrent la gloire de ce monde suivront Lucifer.
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
Date d'inscription : 16/05/2011
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Le triomphe de la justice est la Rédemption...que Notre-Seigneur a accomplie.
Pourquoi l'appliquez-vous à l'agonie alors qu'il s'applique à la venue des nations à la foi et au peuple Juif
Pourquoi l'appliquez-vous à l'agonie alors qu'il s'applique à la venue des nations à la foi et au peuple Juif
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
Sandrine a écrit:@ nilamitp
J'ai déjà posé ce genre de question à mes enfants pour éprouver leur foi en leur demandant "que devrais-je faire dans ce cas : courber l'échine ou mourir pour Dieu ?"
A l'unanimité, ils répondirent : tu dois te laisser tuer, le contraire serait renier Dieu. En plus, tu deviendrais une martyre donc une sainte !
Ce sont des enfants qui parlent sachant très bien que dans un pareil cas, ils perdraient, sur terre, leur mère.
Embrassez fort les enfants pour moi Sandrine !
Grande est leur foi et leur confiance en la Divine Providence !
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
nilamitp a écrit:Sandrine,
Tes enfants sont bien étranges !
Ils préfèrent que tu meurs plutôt que tu embrasses un stupide bouquin que ce soit le coran, bob l'éponge ou le petit livre rouge de mao tsé toung ?
Nilamitp, allez raconter vos balivernes aux 30,000,000 (millions) de Martyrs des premiers siècles de l'Église.
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le geste d'Assise et sa signification (Jean-Paul II embrasse le Coran)
gabrielle a écrit:Le triomphe de la justice est la Rédemption...que Notre-Seigneur a accomplie.
Pourquoi l'appliquez-vous à l'agonie alors qu'il s'applique à la venue des nations à la foi et au peuple Juif
Chère Gabrielle,
Jésus et les premiers chrétiens croyaient manifestement au retour du Christ dans la gloire dans les 30 ou 40 suivant sa mort. Et manifestement, il n'est pas revenu. Donc s'est-il trompé ?
La théologie catholique commence à comprendre ce que voulait dire Jésus. Quand il disait que "cette génération ne passera pas que tout cela ne soit arrivé", il parlait bien de son retour dans la gloire.
Et voilà le sens qu'en donne, après 2000 ans de réflexion, l'interprétation la plus complète : Les textes de ce genre, s'adressant à l'homme avec un style eschatologique, signifient toujours TROIS CHOSES en même temps (ce qui est permi par leur style symbolique) :
1° A la mort de chacun (ainsi je peux dire prophétiquement que, dans moins de 80 ans, vous aurez vu le retour du Christ).
2° A la fin de chaque génération (ainsi je peux annoncer en montant sur une estrade à la génération qui est devant moi que, 100 ans plus tard, tous ceux qui m'écoutent auront vu de leurs yeux le retour du Christ).
3° Enfin à la fin des fins, lorsque le Christ reviendra pour tous en même temps et mettra fin à ce monde. Et c'est à ce sens là (le plus médiatique évidement), auquel tous pensaient uniquement !!
Je vous donne un texte eschatologique :
24i Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « En ces temps-là, après une terrible détresse, le soleil s’obscurcira et la lune perdra son éclat.
25 Les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées.
26 Alors on verra le Fils de l'homme venir sur les nuées avec grande puissance et grande gloire.
27 Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, de l'extrémité de la terre à l'extrémité du ciel.
28 Que la comparaison du figuier vous instruise : Dès que ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles, vous savez que l'été est proche.
29 De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le Fils de l'homme est proche, à votre porte.
30 Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas avant que tout cela n'arrive.
31 Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas.
32 Quant au jour et à l'heure, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père.
Ainsi, selon le premier niveau de sens, le texte suivant signifie ceci:
Lorsque commenceront à arriver les signes que vous n'aimerez pas, (le dos qui se voûte, les rhumatismes qui arrivent), commencez à vous réjouir et à être dans la joie.
Pourtant, votre vieillesse sera un moment difficile (En ces temps-là, après une terrible détresse, le soleil s’obscurcira et la lune perdra son éclat.)
Mais à l'heure dite, Jésus lui-même viendra vous chercher (Alors on verra le Fils de l'homme venir sur les nuées avec grande puissance et grande gloire.) et sa Venue LUMINEUSE séparera en vous l'ivraie du bon grain, les actes bons et les actes mauvais (Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, de l'extrémité de la terre à l'extrémité du ciel.)
Il ne vous appartient pas de connaître le jour exact de sa Venue, mais soyez prêts (Quant au jour et à l'heure, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père).
Ce niveau de sens ne s'oppose absolument pas aux autres niveaux.
Niveau 2, appliqué aux générations: La génération glorieuse de 14 n'a pas pensé, en s'engageant dans une guerre cruelle, que le 11 novembre 2006, seuls 4 d'entre eux n'auraient pas encore vu la Venue du Christ, malgré leurs 107 ans et plus...
Niveau 3: Il y aura un jour une fin des fins, appliquée au monde entier, mais ce n'est pas pour aujourd'hui, certaines prophéties restant non réalisées (voir 2 Thess 2).
Arnaud Dumouch- Nombre de messages : 1297
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