Les choses au clair pour Zins et omeloneur
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Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Salut omelette au beurre
Oui, un petit bail, en effet, vous me manquiez !
Désolé, mais j'ai pas capté grand chose à votre dernier message...
C'est à moi qu'il s'adresse ?
Oui, un petit bail, en effet, vous me manquiez !
Désolé, mais j'ai pas capté grand chose à votre dernier message...
C'est à moi qu'il s'adresse ?
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
OK, je vais aller voir ça.
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Purée !!! Le mec il met Pie XII au même rang que Roncalli et Montini ?!?! J'ai bien compris ?
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
^^
Oui oui, un nouveau copain pour Gégé !
Oui oui, un nouveau copain pour Gégé !
omeloneur- Nombre de messages : 532
Date d'inscription : 07/12/2022
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Rosalmonte a écrit:
Purée !!! Le mec il met Pie XII au même rang que Roncalli et Montini ?!?! J'ai bien compris ?
Y peut-être commencé par la réforme!
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
gabrielle a écrit:Rosalmonte a écrit:
Purée !!! Le mec il met Pie XII au même rang que Roncalli et Montini ?!?! J'ai bien compris ?
Y peut-être commencé par la réforme!
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Ah ma Gaby, je te trouve un peu dure
Gégé c'était du lourd.
Moi je pense que mes arguments sont assez solides, et je les ai étudiés à fond pour me permettre de dire ce que je dis. Et encore une fois, ils sont basés sur un raisonnement catholique, contrairement à Gégé qui ne se basait que sur son ressenti.
Gégé c'était du lourd.
Moi je pense que mes arguments sont assez solides, et je les ai étudiés à fond pour me permettre de dire ce que je dis. Et encore une fois, ils sont basés sur un raisonnement catholique, contrairement à Gégé qui ne se basait que sur son ressenti.
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Rosalmonte a écrit:Ah ma Gaby, je te trouve un peu dure
Gégé c'était du lourd.
Moi je pense que mes arguments sont assez solides, et je les ai étudiés à fond pour me permettre de dire ce que je dis. Et encore une fois, ils sont basés sur un raisonnement catholique, contrairement à Gégé qui ne se basait que sur son ressenti.
Ah mon ami, c'est possible.
Tu sais, je me méfie comme de la peste de moi-même, tout les jours je dis au Seigneur, méfiez-vous de moi mon bon Jésus, je suis assez bête pour vous planter un couteau dans le cœur aujourd'hui.
Gégé a du avoir au début un grief qui c'est perdu dans la nuit de son délire.
Fais attention à toi et souviens de la parole de Saint Paul : que celui qui est debout prenne garde de ne pas tomber.
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Merci ma chère pour tes bonnes paroles.
Tu as raison, et je fais mienne ta prière.
Grosses bises !!!
Tu as raison, et je fais mienne ta prière.
Grosses bises !!!
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
St.Thomas d'Aquin ST tertia pars a écrit:Article 7 ‒ Les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés peuvent-ils consacrer ce sacrement ?
Objections :
1. Saint Augustin dit : "Hors de l’Église catholique, il ne peut y avoir de vrai sacrifice", et saint Léon dit, ce qu'on trouve dans les Décrets de Gratien : "Ailleurs (que dans l'Église, qui est le corps du Christ) il n'y a ni sacerdoces valables, ni vrais sacrifices." Mais les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés sont séparés de l'Église, ils ne peuvent donc pas consacrer un vrai sacrifice.
2. Au même endroit, on trouve cette parole du pape Innocent : "Quant à l'arianisme, et aux autres pestes de ce genre, parce que nous accueillons leurs laïcs sous le signe de la pénitence, on ne doit pas croire qu'il faut accueillir leurs clercs avec la dignité du sacerdoce ou de tout autre mystère ; nous permettons seulement qu'on admette leur baptême." Mais on ne peut consacrer l'eucharistie si l'on n'a pas la dignité du sacerdoce. Donc les hérétiques et tous les gens semblables ne peuvent consacrer l'eucharistie.
3. Celui qui est hors de l'Église ne semble pas pouvoir faire quelque chose en tenant la place de toute l'Église. Mais le prêtre qui consacre l'eucharistie le fait en tenant la place de toute l'Église, ce qui est manifeste du fait qu'il prononce toutes les prières à la place de l'Église. Il apparaît donc que ceux qui sont hors de l'Église, c'est-à-dire les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés, ne peuvent consacrer l'eucharistie.
Cependant :
Saint Augustin écrit : "De même que le baptême, ainsi l'ordination est demeurée intacte en eux", c'est-à-dire les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés. Mais par la vertu de l'ordination le prêtre peut consacrer l'eucharistie. Donc les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés, puisqu'en eux l'ordination demeure intacte, semblent bien pouvoir consacrer l'eucharistie.
Conclusion :
Certains ont dit que les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés, parce qu'ils sont hors de l'Église, ne peuvent consacrer ce sacrement.
Mais ils se trompent en cela. Car, dit saint Augustin : "C'est différent de ne pas posséder du tout quelque chose, et de ne pas le posséder régulièrement" et, semblablement, "c'est encore différent de ne pas donner et de ne pas donner régulièrement". Ceux donc qui, établis dans l’Église, ont reçu par l'ordination sacerdotale le pouvoir de consacrer, ont bien le pouvoir, mais n'en usent pas régulièrement si dans la suite, par l'hérésie, le schisme ou l'excommunication, ils sont séparés de l'Église. Quant à ceux qui sont ordonnés dans cet état de séparation, ils ne possèdent pas régulièrement le pouvoir, et ils n'en usent pas régulièrement. Que cependant les uns et les autres possèdent le pouvoir, c'est évident du fait que, comme le remarque saint Augustin au même endroit -, lorsqu'ils reviennent à l'unité de l'Église, ils ne sont pas réordonnés, mais on les réintègre dans leurs ordres. Et, parce que la consécration de l'eucharistie est un acte qui découle du pouvoir d'ordre, ceux qui ont été séparés de l'Église par l'hérésie, le schisme ou l'excommunication, peuvent bien consacrer l'eucharistie, et celle-ci, consacrée par eux, contient vraiment le corps et le sang du Christ ; mais ils ne le font pas régulièrement, car ils pèchent en le faisant. C'est pourquoi ils ne perçoivent pas le fruit du sacrifice, qui est le sacrifice spirituel.
Solutions :
1. Ces textes et d'autres semblables doivent s'entendre en ce sens qu'il n'est pas régulier d'offrir le sacrifice hors de l'Église. C'est pourquoi, hors de l'Église, il ne peut y avoir le sacrifice spirituel, qui est le vrai sacrifice, quant à la réalité de ses fruits, bien que ce sacrifice, offert hors de l'Église, soit un vrai sacrifice quant à la vérité sacramentelle. De même que, on l'a vu plus haut, le pécheur mange le corps du Christ sacramentellement, mais non spirituellement.
2. Parmi les sacrements donnés par des hérétiques et des schismatiques, le baptême seul est admis comme valable, parce qu'ils peuvent baptiser licitement en cas de nécessité. Mais en aucun cas ils ne peuvent licitement consacrer l'eucharistie, ou conférer les autres sacrements.
3. Le prêtre, dans les prières qu'il prononce à la messe, parle bien en tenant la place de l'Église, parce qu'il se tient dans son unité. Mais dans la consécration du sacrement, il parle en tenant la place du Christ, dont il joue le rôle alors par son pouvoir d'ordre. Et c'est pourquoi, si un prêtre séparé de l'unité de l'Église célèbre la messe, il consacre vraiment le corps et le sang du Christ parce qu'il n'a pas perdu le pouvoir d'ordre ; mais, parce qu'il est séparé de l'unité de l'Église, ses prières n'ont pas d'efficacité.
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Rosal est à "l'école" de Maison Pré indéfectiblement liée au gourou Zins.gabrielle a écrit:Je n'ai pas passer ma vie à lutter pour finir par rejeter les réformes du Pape Pie XII.
Dieu ne me demande pas cela.
Pourtant JMG sait parfaitement que réfléchir à un ordre = commencer à désobéir....
Eric- Nombre de messages : 4550
Date d'inscription : 18/02/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Et ceux qui vont à ces messes, participent à ce péché ; c'est ça ?gabrielle a écrit:
- Spoiler:
St.Thomas d'Aquin ST tertia pars a écrit:Article 7 ‒ Les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés peuvent-ils consacrer ce sacrement ?
Objections :
1. Saint Augustin dit : "Hors de l’Église catholique, il ne peut y avoir de vrai sacrifice", et saint Léon dit, ce qu'on trouve dans les Décrets de Gratien : "Ailleurs (que dans l'Église, qui est le corps du Christ) il n'y a ni sacerdoces valables, ni vrais sacrifices." Mais les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés sont séparés de l'Église, ils ne peuvent donc pas consacrer un vrai sacrifice.
2. Au même endroit, on trouve cette parole du pape Innocent : "Quant à l'arianisme, et aux autres pestes de ce genre, parce que nous accueillons leurs laïcs sous le signe de la pénitence, on ne doit pas croire qu'il faut accueillir leurs clercs avec la dignité du sacerdoce ou de tout autre mystère ; nous permettons seulement qu'on admette leur baptême." Mais on ne peut consacrer l'eucharistie si l'on n'a pas la dignité du sacerdoce. Donc les hérétiques et tous les gens semblables ne peuvent consacrer l'eucharistie.
3. Celui qui est hors de l'Église ne semble pas pouvoir faire quelque chose en tenant la place de toute l'Église. Mais le prêtre qui consacre l'eucharistie le fait en tenant la place de toute l'Église, ce qui est manifeste du fait qu'il prononce toutes les prières à la place de l'Église. Il apparaît donc que ceux qui sont hors de l'Église, c'est-à-dire les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés, ne peuvent consacrer l'eucharistie.
Cependant :
Saint Augustin écrit : "De même que le baptême, ainsi l'ordination est demeurée intacte en eux", c'est-à-dire les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés. Mais par la vertu de l'ordination le prêtre peut consacrer l'eucharistie. Donc les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés, puisqu'en eux l'ordination demeure intacte, semblent bien pouvoir consacrer l'eucharistie.
Conclusion :
Certains ont dit que les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés, parce qu'ils sont hors de l'Église, ne peuvent consacrer ce sacrement.
Mais ils se trompent en cela. Car, dit saint Augustin : "C'est différent de ne pas posséder du tout quelque chose, et de ne pas le posséder régulièrement" et, semblablement, "c'est encore différent de ne pas donner et de ne pas donner régulièrement". Ceux donc qui, établis dans l’Église, ont reçu par l'ordination sacerdotale le pouvoir de consacrer, ont bien le pouvoir, mais n'en usent pas régulièrement si dans la suite, par l'hérésie, le schisme ou l'excommunication, ils sont séparés de l'Église. Quant à ceux qui sont ordonnés dans cet état de séparation, ils ne possèdent pas régulièrement le pouvoir, et ils n'en usent pas régulièrement. Que cependant les uns et les autres possèdent le pouvoir, c'est évident du fait que, comme le remarque saint Augustin au même endroit -, lorsqu'ils reviennent à l'unité de l'Église, ils ne sont pas réordonnés, mais on les réintègre dans leurs ordres. Et, parce que la consécration de l'eucharistie est un acte qui découle du pouvoir d'ordre, ceux qui ont été séparés de l'Église par l'hérésie, le schisme ou l'excommunication, peuvent bien consacrer l'eucharistie, et celle-ci, consacrée par eux, contient vraiment le corps et le sang du Christ ; mais ils ne le font pas régulièrement, car ils pèchent en le faisant. C'est pourquoi ils ne perçoivent pas le fruit du sacrifice, qui est le sacrifice spirituel.
Solutions :
1. Ces textes et d'autres semblables doivent s'entendre en ce sens qu'il n'est pas régulier d'offrir le sacrifice hors de l'Église. C'est pourquoi, hors de l'Église, il ne peut y avoir le sacrifice spirituel, qui est le vrai sacrifice, quant à la réalité de ses fruits, bien que ce sacrifice, offert hors de l'Église, soit un vrai sacrifice quant à la vérité sacramentelle. De même que, on l'a vu plus haut, le pécheur mange le corps du Christ sacramentellement, mais non spirituellement.
2. Parmi les sacrements donnés par des hérétiques et des schismatiques, le baptême seul est admis comme valable, parce qu'ils peuvent baptiser licitement en cas de nécessité. Mais en aucun cas ils ne peuvent licitement consacrer l'eucharistie, ou conférer les autres sacrements.
3. Le prêtre, dans les prières qu'il prononce à la messe, parle bien en tenant la place de l'Église, parce qu'il se tient dans son unité. Mais dans la consécration du sacrement, il parle en tenant la place du Christ, dont il joue le rôle alors par son pouvoir d'ordre. Et c'est pourquoi, si un prêtre séparé de l'unité de l'Église célèbre la messe, il consacre vraiment le corps et le sang du Christ parce qu'il n'a pas perdu le pouvoir d'ordre ; mais, parce qu'il est séparé de l'unité de l'Église, ses prières n'ont pas d'efficacité.
C'est quoi l'Opifex ? ( https://messe.forumactif.org/t9422p75-les-choses-au-clair-pour-zins-et-omeloneur#167118 )
Roger Boivin- Nombre de messages : 13211
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
@ Éric.
Tout à fait d'accord avec toi.
@Roger
Je fais regarder si y quelque chose pour les fidèles spécifiquement.
Tout à fait d'accord avec toi.
@Roger
Je fais regarder si y quelque chose pour les fidèles spécifiquement.
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Article 9 ‒ Ceux qui reçoivent la communion donnée par de tels prêtres commettent-ils un péché ?
Objections :
1. Il semble qu'il soit licite de recevoir la communion de prêtres hérétiques ou excommuniés, voire pécheurs, et d'entendre leur messe. Saint Augustin écrit en effet : "Soit dans l'homme bon soit dans l'homme mauvais, que personne ne fuie les sacrements de Dieu." Mais les prêtres, qu'ils soient pécheurs, hérétiques ou excommuniés, consacrent un vrai sacrement. Il apparaît donc qu'on ne doit pas éviter de recevoir d'eux la communion, ou d'entendre la messe qu'ils célèbrent.
2. Le vrai corps du Christ est représentatif du Corps mystique, comme on l'a dit plus haut. Mais de tels prêtres consacrent le vrai corps du Christ. Il apparaît donc que ceux qui appartiennent au corps mystique peuvent communier à leurs sacrifices.
3. Beaucoup de péchés sont plus graves que la fornication. Mais il n'est pas interdit d'entendre la messe des prêtres qui commettent d'autres péchés. Donc il ne doit pas être interdit non plus d'entendre la messe des prêtres fornicateurs.
Cependant :
Il est dit dans les Décrets : "Que nul n'entende la messe d'un prêtre dont il sait évidemment qu'il vit en concubinage." Et saint Grégoire le Grand : "Le père incroyant envoya à son fils un évêque arien, pour lui faire recevoir la communion consacrée par une main sacrilège ; mais l'homme fidèle à Dieu adressa à l'évêque arien, lorsqu'il se présenta, les reproches qu'il méritait."
Conclusion :
Comme nous l'avons déjà dit, les prêtres qui sont hérétiques, schismatiques ou excommuniés, ou encore pécheurs, bien qu'ils aient le pouvoir de consacrer l'eucharistie, n'en usent pas régulièrement ; au contraire, ils pèchent en exerçant ce pouvoir. Or, quiconque communie avec autrui dans le péché partage à son tour son péché. C'est pourquoi on lit dans la 2ème épître de saint Jean (v. 11) que "celui qui aura dit : Salut "à l'hérétique" communie à ses oeuvres mauvaises". Et c'est pourquoi il n'est pas permis de recevoir la communion ou d'entendre la messe célébrée par de tels prêtres.
Cependant il y a une différence entre ces diverses catégories. Car les hérétiques, les schismatiques et les excommuniés sont privés par sentence ecclésiastique d'exercer le pouvoir de consacrer. Aussi pèche-t-on si l'on entend leur messe ou si l'on reçoit d'eux le sacrement. Mais tous les pécheurs ne sont pas privés par sentence de l'Église de l'exercice de ce pouvoir. Et ainsi, bien qu'ils soient suspens en ce qui les concerne par sentence divine, ils ne le sont pas à l'égard des autres par sentence de l'Église. Et c'est pourquoi, jusqu'à ce que l'Église ait prononcé sa sentence, il est permis de recevoir d'eux la communion et d'entendre leur messe. Aussi, commentant saint Paul (1 Co 5, 11) : "Ne pas même prendre de repas avec un tel homme", la Glose d'Augustin dit-elle : "Par cette parole, il n'a pas voulu que l'homme fût jugé par l'homme sur un simple soupçon, ou même par un jugement extraordinaire, mais plutôt en vertu de la loi de Dieu, selon l'ordre de l'Église, soit qu'il ait avoué ensuite, soit qu'il ait été accusé et convaincu."
Solutions :
1. Du fait que nous évitons d'entendre la messe de ces prêtres, ou de recevoir d'eux la communion, nous ne fuyons pas les sacrements de Dieu, nous les vénérons plutôt. C'est pourquoi l'hostie consacrée par de tels prêtres doit être adorée et, si elle est réservée, elle peut être licitement consommée par un prêtre en situation régulière. Ce que nous fuyons, c'est la faute de ceux qui exercent indignement le ministère.
2. L'unité du Corps mystique est le fruit du vrai corps que l'on a reçu. Mais ceux qui le reçoivent ou l'administrent indignement sont privés de son fruit, on l'a dit plus haut. Et c'est pourquoi ceux qui sont dans l'unité de l'Église ne doivent pas consommer le vrai corps du Christ qui leur serait dispensé par de tels prêtres.
3. Bien que la fornication ne soit pas plus grave que d'autres péchés, cependant les hommes y sont davantage enclins à cause de la convoitise de la chair. Et c'est pourquoi l'Église a spécialement interdit ce péché aux prêtres, et défendu qu'on entende la messe d'un prêtre concubinaire. Mais cela doit s'entendre d'un pécheur notoire : soit "par sentence" portée contre celui qui a été convaincu de péché, soit "par aveu juridiquement obtenu", soit quand "le péché ne peut être caché parce qu'indubitable"
Opifex est un mot latin signifiant artisan ou fabricant
Pour finir, j'espère ne pas mélanger les esprits avec ces passages de la Somme.
Ce qui est clair , c'est que valide ou invalide, c'est sacrilège.
.
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
@ Roger
L'Opifex, c'est la messe de Saint Joseph artisan, qui a été introduite en 1955, et concoctée par Bugnini, de sinistre mémoire. Elle a remplacé la Solennité de saint Joseph, patron de l’Église universelle, dotée d'une octave commune, introduite par Pie IX en 1847, abandonnée sans vraie motivation d'un trait de plume et littéralement en deux mots ("abolita habeatur" AAS 48, 237) par un décret de la S. Congrégation des Rites du 24 avril 1956.
Or, cette fête de Saint Joseph Patron de l'Eglise était si importante et si providentielle, si l'on en croit Dom Guéranger:
que l'annuler sans explication est une grande tristesse, et le retrait d'un secours si puissant pour notre temps. D'autant plus que ceux qui l'ont fait sont les mêmes qui quelques temps plus tard, Pie XII décédé n'étant plus un obstacle, ont tout détruit.
Mais il y a plus, si on lit la secrète de cette messe bugninienne:
Cela ressemble furieusement à la nouvelle "messe" de Montini:
Idem pour l'offertoire.
En gros, c'est le ballon d'essai de ce qui deviendra plus tard le monstre liturgique montinien.
Maintenant, voilà ce que je pense: Le Pape n'a peut-être pas saisi la portée de la secrète de l'Opifex, qui n'est autre chose que la liturgie vaticandeuse en gestation, et je ne crois pas qu'il ait lui même célébré cette messe les deux dernières années qu'il a encore vécues, en 1957 et 1958, car il fut longtemps malade pendant ses derniers mois. Enfin, les faits sont là, et nous n'en connaissons qu'aujourd'hui les conséquences. Mais attention ! je ne dis nullement que cette messe soit hérétique ou même mauvaise, je dis qu'elle est infiniment moins bonne que celle établie par saint Pie X, qui lui a toujours énergiquement agi contre les modernos, et qu'il n'a malheureusement pas été assez suivi en cela par son prédécesseur.
L'Opifex, c'est la messe de Saint Joseph artisan, qui a été introduite en 1955, et concoctée par Bugnini, de sinistre mémoire. Elle a remplacé la Solennité de saint Joseph, patron de l’Église universelle, dotée d'une octave commune, introduite par Pie IX en 1847, abandonnée sans vraie motivation d'un trait de plume et littéralement en deux mots ("abolita habeatur" AAS 48, 237) par un décret de la S. Congrégation des Rites du 24 avril 1956.
Or, cette fête de Saint Joseph Patron de l'Eglise était si importante et si providentielle, si l'on en croit Dom Guéranger:
Il s’agit d’ériger par la piété du peuple chrétien un monument de reconnaissance au puissant Protecteur, à Joseph, le recours et l’appui de tous ceux qui l’invoquent avec confiance. Assez de bienfaits lui ont mérité cet hommage ; la sainte Église se propose aujourd’hui, dans l’intérêt de ses enfants, de diriger leur confiance vers un secours si puissant et si opportun.
La dévotion à saint Joseph avait été réservée pour ces derniers temps. Le culte de cet admirable personnage, culte fondé sur l’Évangile même, ne devait pas se développer dans les premiers siècles de l’Église ; non pas que les fidèles, considérant le rôle sublime de saint Joseph dans l’économie du mystère de l’Incarnation, fussent entravés en quelque chose dans les honneurs qu’ils auraient voulu lui rendre ; mais la divine Providence avait ses raisons mystérieuses pour retarder le moment où la Liturgie devait prescrire chaque année les hommages publics à offrir à l’Époux de Marie. L’Orient précéda l’Occident, ainsi qu’il est arrivé d’autres fois, dans le culte spécial de saint Joseph ; mais au XVe siècle l’Église latine l’avait adopté tout entière ; et depuis lors il n’a cessé de faire les plus heureux progrès dans les âmes catholiques. Les grandeurs de saint Joseph ont été exposées au 19 mars ; le but de la présente fête n’est pas de revenir sur cet inépuisable sujet. Elle a son motif spécial d’institution qu’il est nécessaire de faire connaître.
...
La révélation de ce nouveau refuge préparé pour les derniers temps a été d’abord communiquée, selon l’usage que Dieu garde pour l’ordinaire, à des unies privilégiées auxquelles elle était confiée comme un germe précieux ; ainsi en fut-il pour l’institution de la fête du Saint-Sacrement, pour celle du sacré Cœur de Jésus, et pour d’autres encore.
...
À la veille des grandes tribulations de l’Église, Pie IX, par un instinct surnaturel, appelait Joseph au secours du troupeau confié au successeur de Pierre. Nous avons vu comment le titre et les honneurs de Patron de l’Église universelle sont venus, au temps marqué, donner satisfaction entière à la piété des fidèles, et confirmer leur confiance envers le puissant Protecteur qui jamais n’eut tant de maux à combattre, ni tant de fléaux a détourner.
que l'annuler sans explication est une grande tristesse, et le retrait d'un secours si puissant pour notre temps. D'autant plus que ceux qui l'ont fait sont les mêmes qui quelques temps plus tard, Pie XII décédé n'étant plus un obstacle, ont tout détruit.
Mais il y a plus, si on lit la secrète de cette messe bugninienne:
Quas tibi, Domine, de operibus manuum nostrarum offerimus hostias, sancti Ioseph interposito suffragio, pignus facias nobis unitatis et pacis.
Nous vous offrons, Seigneur, ces hosties fruit du travail de nos mains : qu’à la prière de saint Joseph, elles soient pour nous le gage de l’unité et de la paix.
Cela ressemble furieusement à la nouvelle "messe" de Montini:
Benedictus es, Domine, Deus universi, quia de tua largitate accepimus panem, quem tibi offerimus, fructum terræ et operis manuum hominum : ex quo nobis fiet panis vitæ.
Tu es béni, Dieu de l'univers, toi qui nous donnes ce pain, fruit de la terre et du travail des hommes ; nous te le présentons : il deviendra le pain de la vie.
Idem pour l'offertoire.
En gros, c'est le ballon d'essai de ce qui deviendra plus tard le monstre liturgique montinien.
Maintenant, voilà ce que je pense: Le Pape n'a peut-être pas saisi la portée de la secrète de l'Opifex, qui n'est autre chose que la liturgie vaticandeuse en gestation, et je ne crois pas qu'il ait lui même célébré cette messe les deux dernières années qu'il a encore vécues, en 1957 et 1958, car il fut longtemps malade pendant ses derniers mois. Enfin, les faits sont là, et nous n'en connaissons qu'aujourd'hui les conséquences. Mais attention ! je ne dis nullement que cette messe soit hérétique ou même mauvaise, je dis qu'elle est infiniment moins bonne que celle établie par saint Pie X, qui lui a toujours énergiquement agi contre les modernos, et qu'il n'a malheureusement pas été assez suivi en cela par son prédécesseur.
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Maintenant, j'aimerais répondre à Gabrielle, et aussi défendre le Pape Pie XII, concernant les réformes liturgiques de 1955:
Il n'y a pas de théorie du complot ma Gaby, il y a eu complot ! Ils ont comploté dans l'ombre pour détruire l'Eglise, comme Anne et Caïphe ont comploté dans l'ombre pour tuer notre doux Seigneur !
Ils ? Montini, Bugnini et Bea, plus leurs assistants, qui sont à l'origine de la prétendu réforme liturgique dite novus ordo et du prétendu concile V2.
Voici l'introduction d'une étude, d'un certain Stefano Carusi, qui résume bien l'affaire. Je vous prie de bien vouloir être attentifs au passages en gras, et particulièrement aux noms qui y sont cités:
On retrouve donc les Bugnini, Montini, Bea et consorts déjà à la manœuvre, avec leurs méthodes de modernistes hypocrites: le secret, le court-circuitage par leur commission de la Sacrée Congrégation des rites, la façon dont on tenait Pie XII au courant, avec des méthodes détournées des circuits classiques... Qui sait à quel point Bea a pu mentir à Pie XII ? Selon certaines personnes, la fameuse maladie de l'estomac de Papa Pacelli était tout sauf naturelle, et lesdites personnes subodorent un empoisonnement, dans le but justement de faire passer en force la réforme.
Gabrielle a écrit:Il était le chef de l'Église, alors, personne autre que Dieu ne peut le juger, encore moins nous.
Il a fait des réformes, alors, c'est elle qu'on doit suivre.
Il n'a obliger personne à communier le Vendredi Saint, pas plus qu'à assister à la messe le soir.
Faut pas commencer à élaborer une théorie du complot autour de ces réformes, sans ça en s'en vas direct de le mur du prostatisme , de ceux qui choisissent ce qui convient à leur petite personne. De plus, cela peux et va ébranler des âmes qui en arrachent pour garder la foi.
Il me semble que faut pas charrier
Il n'y a pas de théorie du complot ma Gaby, il y a eu complot ! Ils ont comploté dans l'ombre pour détruire l'Eglise, comme Anne et Caïphe ont comploté dans l'ombre pour tuer notre doux Seigneur !
Ils ? Montini, Bugnini et Bea, plus leurs assistants, qui sont à l'origine de la prétendu réforme liturgique dite novus ordo et du prétendu concile V2.
Voici l'introduction d'une étude, d'un certain Stefano Carusi, qui résume bien l'affaire. Je vous prie de bien vouloir être attentifs au passages en gras, et particulièrement aux noms qui y sont cités:
Au cours des dernières années, la publication de nombreuses études relatives à l’histoire du débat théologico-liturgique des années cinquante a jeté une lumière nouvelle sur la formation et sur les intentions – pas toujours ouvertement déclarées à l’époque – de ceux qui furent les rédacteurs matériels de certains textes majeurs de la réforme liturgique.
En ce qui concerne l’œuvre de réforme de la Semaine Sainte de 1955-56, nous voudrions ici nous arrêter sur les déclarations, enfin publiées aujourd’hui, du célèbre lazariste Annibale Bugnini, de son étroit collaborateur et secrétaire au "Consilium ad reformandam liturgiam", le P. Carlo Braga, et du futur cardinal Ferdinando Antonelli, afin d’établir d’une part si leur œuvre de réforme liturgique répondait ou non à un plus vaste dessein théologique, et pour analyser d’autre part la validité ou non des critères utilisés à cette époque et repris ensuite dans les réformes successives. Nous prendrons aussi en considération les annotations et les comptes-rendus des discussions de la commission préparatoire, conservés principalement dans les archives de la Congrégation des rites, mais qui, récemment publiés dans les travaux monumentaux de recherche en histoire de la liturgie de Mons. Nicola Giampietro, témoignent enfin de la teneur des débats.
En octobre 1949, auprès de la Congrégation des rites, fut formée une commission liturgique qui aurait dû s’occuper du rite romain en étudiant d’éventuelles réformes à envisager, et à appliquer si nécessaire. Malheureusement, le calme nécessaire à un tel travail ne fut jamais rendu possible, à cause des sollicitations continuelles des épiscopats français et allemands qui réclamaient, dans la plus grande précipitation, des changements immédiats. La Congrégation des Rites et la Commission s’étaient vues obligées de régler le problème des horaires de la Semaine Sainte, afin de bloquer les fantaisies de certaines "célébrations autonomes", en particulier dans le cas de la Vigile Pascale. Dans ce contexte, fut approuvé ad experimentum un document qui permettait de célébrer dans la soirée le rite du Samedi Saint : Ordo Sabbati Sancti, du 9 février 1951[2].
Dans les années 1948-49, cette Commission liturgique avait été érigée sous la présidence du Cardinal-Préfet Clemente Micara, remplacé en 1953 par le card. Gaetano Cicognani, et composée de Mons. Alfonso Carinci, des PP. Giuseppe Löw, Alfonso Albareda, Agostino Bea et Annibale Bugnini, auxquels fut adjoint en 1951 Mons. Enrico Dante, et en 1960 Mons. Pietro Frutaz, Don Luigi Rovigatti, Mons. Cesario d’Amato et enfin le P. Carlo Braga[3]. Ce dernier, en tant que proche collaborateur d’Annibale Bugnini, participa aux travaux des années 1955-56, bien que n’étant pas encore membre de la Commission[4], et fut en outre le co-auteur, avec Bugnini, des textes historico-critiques et pastoraux portant sur la Semaine Sainte[5], qui devaient se révéler par la suite être une sorte de sauf-conduit scientifique pour les modifications apportées. La Commission travaillait en secret et agissait sous la pression des épiscopats centre-européens[6] –dont on ne sait pas très bien s’ils se chargeaient de la seconder ou au contraire d’entraver ses travaux ; le secret fut d’ailleurs si bien conservé que la publication improvisée et inattendue de l’Ordo Sabbati Sancti instaurati, au début de mars 1951, « prit par surprise les membres de la Congrégation des rites eux-mêmes », comme en témoigne l’un des membres de la Commission, Annibale Bugnini[7]. C’est le même qui nous renseigne aussi sur la façon singulière selon laquelle les résultats des travaux étaient transmis au pape Pie XII : il était « tenu au courant par Mons. Montini, mais plus encore, chaque semaine, par le P. Bea, son confesseur » et il ajoute : « Grâce à cet intermédiaire, on put atteindre des résultats notables, même pendant les périodes où la maladie du Pape empêchait quiconque de s’en approcher »[8]. Une grave maladie de l’estomac obligeait en effet le Pape à une longue convalescence, et ce fut ainsi Montini et le futur card. Bea – qui eurent tant d’importance dans les réformes postérieures – qui assumèrent les rapports avec Pie XII, et non le cardinal-Préfet de la Congrégation des Rites, responsable de la Commission.
Les travaux de la Commission se prolongèrent jusqu’en 1955, au moment de la publication, le 16 novembre, du décret « Maxima Redemptionis nostrae Mysteria », qui devait entrer en vigueur pour Pâques de l’année suivante. L’épiscopat accueillit le décret de manières assez diverses, et, au-delà du triomphalisme de façade, nombreuses furent les plaintes contre les nouveautés introduites, au point que les demande pour pouvoir conserver le rite traditionnel se multiplièrent[9]. Mais désormais, la machine de la réforme liturgique avait été mise en marche, et en arrêter le progrès se révèlera impossible, et surtout inavouable, comme l’histoire le démontrera.
Malgré qu’on ait voulu que le chœur des liturgistes chantât à l’unisson, afin de faire montre d’une certaine unité d’intentions, quelques voix discordantes se levèrent parmi les spécialistes les plus autorisés, promptement réduites au silence malgré leur compétence. Ce fut non seulement le cas de certains épiscopats, mais aussi de certains liturgistes comme Léon Gromier, lequel – connu aussi pour son célèbre commentaire sur le Caerimoniale Episcoporum[10] – était consulteur auprès de la Congrégation des Rites et membre de l’Académie Pontificale de Liturgie. En juillet 1960, à Paris, il exprima dans son style corrosif mais avec une solide argumentation toutes les ambiguïtés et les contradictions de la réforme de la Semaine Sainte[11]. Le pape Jean XXIII lui-même, lorsqu’il célébra en 1959 le Vendredi Saint à Sainte-Croix de Jérusalem, suivit les usages traditionnels[12], prouvant ainsi qu’il ne partageait pas les innovations introduites depuis peu, et prenant acte de la valeur expérimentale de ces changements : certaines réformes introduites expérimentalement en 1955-56 se révélèrent d’ailleurs si incongrues dans le tissu rituel qu’elles durent être corrigées à nouveau par la réforme liturgique de 1969 – mais cela mériterait une étude à part.
Pour mettre en évidence l’importance de cette réforme de la Semaine Sainte, tant au niveau liturgique qu’au niveau historique, il faut mentionner ici une réflexion de deux des plus grands protagonistes de cet évènement, afin de mieux cerner les intentions de ceux qui y travaillèrent avec le plus de vigueur : le P. Carlo Braga, bras droit de Bugnini et directeur durant des années de la célèbre revue liturgique Ephemerides Liturgicae, décrit avec audace la réforme du Samedi Saint comme « un bélier qui a pénétré dans la forteresse de notre liturgie jusqu’ici bien trop statique »[13] ; le futur card. Ferdinando Antonelli, lui, la qualifie en 1956 comme étant « l’acte le plus important dans l’histoire de la liturgie depuis saint Pie V »[14].
[1] Cf. S. Congregatio Rituum, Decr. Dominicae Resurrectionis, 9 février 1951, AAS 43 (1951), pp. 128 sv. ; Decr. Maxima redemptionis nostrae mysteria, 16 novembre 1955, AAS 47 (1955), pp. 838 sv.
[2] N. Giampietro, « A cinquant’anni della riforma liturgica della Settimana Santa », Ephemerides liturgicae, 120 (2006), n. 3, p. 295.
[3] A. Bugnini, La riforma liturgica (1948-1975), Rome, 1983, pp. 17 sv.
[4] C. Braga, « “Maxima Redemptionis Nostrae Mysteria” 50 anni dopo (1955-2005) », Ecclesia Orans, 23 (2006), p. 11.
[5] A. Bugnini, C. Braga, Ordo Hebdomadae Sanctae instauratus, « Bibliotheca Ephemerides Liturgicae – sectio historica », 25 , Rome, 1956. Sur la question des commentaires historico-critiques, voir aussi S. Congregatio Rituum, De instauratione liturgica maioris hebdomadae. Positio, Typis Polyg. Vaticanis, (sectio historica 90), 1955. Pour les publications de Bugnini visant à préparer la réforme, voir A. Bugnini, « De solemni Vigilia Paschali instauranda. Commentarium ad decretum 9 febr. 1951 », Ephemerides Liturgicae, 65 (1951), suppl. ad fasc. I (publié aussi dans la collection « Bibliotheca Ephemerides Liturgicae – sectio historica », 24) ; Id., « Il primo esperimento della Veglia Pasquale restaurata », Ephemerides Liturgicae, 66 (1952).
[6] N. Giampietro, op. cit., p. 300.
[7] A. Bugnini, La riforma liturgica, op. cit., p. 19.
[8] Ibidem.
[9] N. Giampietro, op. cit., p. 320-327. La célébration de la semaine sainte selon le rite traditionnel resta cependant possible en Terres Sainte jusqu’en l’an 2000.
[10] L. Gromier, Commentaire du Caerimoniale Episcoporum, Paris, 1959.
[11] L. Gromier, « La Semaine Sainte restaurée », Opus Dei, 2 (1962), pp. 76-90.
[12] Cf. la documentation photographique ainsi que la confirmation donnée par Mons. Bartolucci, maître de chœur, qui avait reçu l’ordre de Mons. Dante, cérémoniaire du Pape, de suivre les rites d’avant 1955 (cf. P. Cipriani, S. Carusi, « Interview de Mons. Domenico Bartolucci », Disputationes Theologicae, 2009).
[13] C. Braga, op. cit., p. 33.
[14] F. Antonelli, “La riforma liturgica della Settimana Santa: importanza, attualità, prospettive”, in La restaurazione liturgica nell’opera di Pio XII. Atti del primo Congresso Internazionale di Liturgia Pastorale, Assisi-Roma, 12-22 settembre 1956, Gênes, 1957, pp. 179-197 (cité in C. Braga, op. cit., p. 34).
On retrouve donc les Bugnini, Montini, Bea et consorts déjà à la manœuvre, avec leurs méthodes de modernistes hypocrites: le secret, le court-circuitage par leur commission de la Sacrée Congrégation des rites, la façon dont on tenait Pie XII au courant, avec des méthodes détournées des circuits classiques... Qui sait à quel point Bea a pu mentir à Pie XII ? Selon certaines personnes, la fameuse maladie de l'estomac de Papa Pacelli était tout sauf naturelle, et lesdites personnes subodorent un empoisonnement, dans le but justement de faire passer en force la réforme.
Rosalmonte- Nombre de messages : 1985
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Rosalmonte a écrit: Mais attention ! je ne dis nullement que cette messe soit hérétique ou même mauvaise, je dis qu'elle est infiniment moins bonne que celle établie par saint Pie X,
Un peu comme si l'une était l'offrande d'Abel et l'autre celle de Cain!
J'ai lu ton grand texte. Cela ne change pas mon avis sur l'obéissance à la réforme de Pie XII. Ces choses je savais.
Tu sais, il faut agir avec prudence, pensez à ceci:
Origène., Chaine d'Or. Ev St. Mathieu 18,6 a écrit:Or, dans la multitude innombrable de ceux qui ont embrassé la foi, il en est qui sont nouvellement convertis et qui travaillent à devenir semblables à des enfants, mais qui ne le sont pas encore devenus ; ces derniers sont faibles en Jésus-Christ et peuvent être facilement scandalisés.
Avoue que c'est décourageant pour des nouveaux de lire que dans ce Pie XII nous a laissé y va falloir faire le tri.
Moi, je ne veux pas le faire. Avant, quand nous avions la messe, j'ai assisté à celle de Saint Joseph Artisan et la réforme de la semaine Sainte de Pie XII. L'abbé Coulombe suivait cela par contre l'abbé Bleau suivait avant la réforme. Bof!
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Canon 1556
Le premier Siège n'est jugé par personne.
_________________
Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17500
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Le texte de Pie XII ne prête pas à confusion. Par quelle mouche vous êtes vous laissés piquer.
Par ailleurs l’exercice illégale de l’ordre, du sacerdoce comme du diaconat est gravissime. Personne ne peut faire l’économie de ce travail de recherche, de compréhension et de positionnement parce qu’il en va du salut. Il y a aussi l’aveuglement (châtiment) et la mauvaise foi (mensonge).
La synagogue de satan a un pris du temps pour minutieusement échafauder ce monde moderne totalisant, avec, pour le diriger, un système de commandement pyramidal, pour qu’à tous les niveaux, en tous ses interstices, celui qui veut faire quoi que ce soit puisse être cadré ou recadré s’il ne marche pas droit (à l’envers). Ces pauvres prêtres illégitimes sont complètement cernés, et tenus (s’ils n’en sont pas). Comme les éditeurs, écriveurs, youtubeurs.
Pourtant ils pourraient faire autrement avec leur sacerdoce dont ils sont privés de l’exercice.
Il n’y a pas de raison que la gauchiasserie ou la paganerie new age vive en eco village autonomes fonctionnels avec des règlements stricts pour la bienveillance universelle de l’indifférence profonde, et que les catholiques n’arrivent à rien.
Concernant donc cette Constitution Apostolique Vacantis Apostolicae sedis, Sur la vacance du Siège Apostolique et l'élection du Pontife Romain, 8 décembre 1945, https://laportelatine.org/formation/magistere/constitution-apostolique-vacantis-apostolicae-sedis-1945-vacance-siege-apostolique-election-pontife-romain-2 :
C’est un texte qui fait 24 pages, titré et chapitré ainsi :
Titre premier
De la vacance du Siège Apostolique
Chapitre Premier
Du pouvoir du Sacré Collège des Cardinaux durant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre II
Des Congrégations (ou réunions) des cardinaux
Chapitre III
De quelques offices particuliers pendant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre IV
Des Sacrées Congrégations et tribunaux romains et de leurs pouvoir durant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre V
Des funérailles du Pontife Romain
Titre II
De l’élection du Pontife Romain
Chapitre Premier
Des électeurs du Pontife Romain
Chapitre II
Des conclavistes et des autres personnes prenant part au Conclave
Chapitre III
De l’entrée en Conclave
Chapitre IV
De la fermeture du Conclave et du secret qui doit être gardé en tout ce qui se fait au Conclave
Chapitre V
De la forme de l’élection
Chapitre VI
De ce qui doit être observé ou évité dans l’élection du Pontife Romain
Chapitre VII
De l’acceptation et de la proclamation de l’élection ainsi que de la consécration et du couronnement du nouveau Pontife
Voici reproduit le titre premier du chapitre premier (1/2 page) : cela concerne les actes pris par le Collège des cardinaux pendant la vacance du Siège Apostolique, cela ne concerne pas les évêques hérétiques schismatiques qui agissent et ont toujours agi en dehors de l’Église, et sans son autorisation.
Titre premier
De la vacance du Siège Apostolique
Chapitre Premier
Du pouvoir du Sacré Collège des Cardinaux durant la vacance du Siège Apostolique
1. Pendant la vacance du Siège apostolique, le Sacré Collège des cardinaux n’aura absolument ni pouvoir ni juridiction en ce qui était du ressort du Souverain Pontife de son vivant, ni pour accorder des faveurs, ni pour exercer la justice, ni pour faire exécuter les décisions prises par le pontife défunt, mais il sera tenu de réserver tout cela au futur pontife[1]. C’est pourquoi Nous décrétons nul et sans valeur tout ce que, durant la vacance de l’Eglise, le Collège des cardinaux croirait de son propre chef devoir exercer du pouvoir ou de la juridiction appartenant au Pontife romain, de son vivant (si ce n’est dans la mesure expressément permise dans notre présente constitution) [2].
2. De même Nous prescrivons que le Sacré Collège des cardinaux ne puisse d’une manière quelconque disposer des droits du Siège apostolique et de l’Eglise romaine, et qu’il ne s’avise de léser directement ces droits en aucun point, ni qu’il semble leur porter atteinte par quelque connivence ou par la dissimulation de forfaits perpétrés contre eux, même après la mort du pontife ou pendant la vacance ; bien plus, Nous voulons que le Collège des cardinaux soit tenu de les sauvegarder et de les défendre de toutes ses forces[3].
3. Les lois portées par les Pontifes romains ne peuvent aucunement être corrigées ou changées par l’assemblée des cardinaux de l’Eglise romaine durant la vacance, rien ne peut y être soustrait ou ajouté, ni aucune dispense accordée pour l’ensemble ou une partie de ces lois. Cela vaut principalement pour les constitutions pontificales publiées pour régler l’élection du Pontife romain [4]. Bien plus, si on faisait ou si on cherchait à faire quoi que ce soit contre cette prescription, de Notre autorité suprême, Nous le déclarons nul et sans valeur.
4. Si certains doutes cependant naissaient sur le sens des prescriptions contenues dans Notre présente constitution, ou sur la façon dont elles doivent être mises en pratique, ou relativement à tout autre point de cette constitution, Nous ordonnons et décrétons que le pouvoir de porter sur elles une sentence appartienne uniquement au Sacré Collège des cardinaux ; pour cette affaire, Nous accordons à ce même Collège des cardinaux le plein pouvoir d’interpréter Notre présente constitution et d’en éclaircir les points douteux. En ce domaine, comme dans les autres sur lesquels il y aurait lieu de délibérer selon les directives de Notre constitution, à l’exception de l’acte même de l’élection, il sera pleinement suffisant que la majorité des cardinaux assemblés soit du même avis [5].
5. Pareillement, dans le cas d’une affaire urgente qui, d’après le vote de la majorité des cardinaux réunis, ne peut être renvoyée à plus tard, le Sacré Collège peut et doit, selon l’avis de la majorité, fixer la solution opportune [6].
Voilà le texte, il n’y a aucune possibilité de tirer la conclusion que sont nulles les ordinations épiscopales conférées par des évêques hérétiques et schismatiques, au prétexte que le Collège des Cardinaux n’a pas pu leur donner l’autorisation à la place du pape comme le préconise le texte de Pie XII, PUISQUE ces évêques se trouvant, par le fait de leurs hérésies et schisme, EN DEHORS DE L’EGLISE agissent précisément sans Son autorisation et sans mandat pontifical pour procéder à des ordinations épiscopales. Cela entraîne / a toujours entraîné la confusion car il y a notamment la présence réelle mais nous commettons un péché grave en nous y compromettant.
Après, c’est vrai qu’on se demande comment Dieu peut permettre que le saint sacrifice soit offert en dehors de son Eglise.
Je dirais: l’histoire du monde depuis l’avènement de NSJC et de son Eglise est comme rythmée par ces défections des hommes de Dieu, qui partent/sortent de l’Eglise avec leurs super pouvoirs que l’Église leur a donnés, influencés par des princes et des hommes de pouvoir avides de conquêtes terrestres, d’argent, etc. et ce qui va avec, eux-mêmes sous la coupe d’hommes-liges de la synagogues de satan poursuivant le double but d’accaparement de la terre entière, de prise de pouvoir total sur la terre entière pour au final détruire la création de Dieu, et de damnation du plus grand nombre dans le mensonge.
Par ailleurs les ennemis de l’Église ont comme besoin de la messe. C’est une thèse de Saint Bonaventure que la fin du monde arrivera quand le dernier prêtre offrant le saint sacrifice aura disparu. Parce qu’en définitive, ce qui apaise la colère de Dieu, c’est la sainte messe, « c'est à la messe que nous devons la conservation de ce globe. Sans elle les péchés des hommes auroient depuis long-temps amené la destruc tion de la terre". (Selva ou choix de sujets destinés à servir de matériaux aux prédicateurs , deuxième partie, p.7, saint alphonse de liguori). https://books.google.fr/books?id=i99UeKNMRBMC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
Autrement dit, pour la synagogue de satan, maîtriser un vivier de prêtres (illégitimes) en dehors de l’Église, c’est maîtriser le temps. Ce qu’ils visent c’est détruire la Création de Dieu, ils Le combattent, ils déploient toute leur haine et leur force pour détruire, par la technologie, ce que Dieu a créé, l’être humain, le ciel, la terre. Ils croient vraiment à leur truc, probablement pensent-t-ils même parvenir à défoncer le firmament. C’est probablement ce qu’il y a derrière toutes les conneries qu’on nous raconte sur la conquête de l’espace. Pour cela aussi qu’on nous a menti sur la forme de la terre, sur l’univers infini, etc. Tout est tellement énorme. Échafauder tous ces mensonges pour faire en sorte que les gens tournent en rond et se perdent dans un monde désormais complètement falsifié et inhumain… et finalement laissent corrompre et détruire leur humanité par la technologie.
Bref, tant qu’ils ne sont pas techniquement/technologiquement/scientifiquement prêts pour tout défoncer, ce que Dieu ne permettra de toute façon jamais c’est ce qu’ils ne comprennent pas, ils ont besoin d’un vivier de vrais prêtres (illégitimes) sous leur contrôle, offrant le saint sacrifice pour apaiser la colère de Dieu, et ainsi avoir la maîtrise sur le temps pour mener leur plan.
La grande impasse de la tradision peut aussi s’expliquer comme ça, avec Mgr L de l’agentur, placé pour faire patienter, tromper et faire perdre le temps, dérouter les meilleurs, qui se sont fait engloutir dans le monde moderne faute d’y avoir réfléchi, empêcher de prendre la route du Ciel.
Les élucubrations de teresa benns de même, faire tourner en rond, faire perdre le temps, dérouter les meilleurs, empêcher de consacrer du temps à régler sérieusement sa vie, conformément à Dieu et non pas au monde frelaté.
Par ailleurs l’exercice illégale de l’ordre, du sacerdoce comme du diaconat est gravissime. Personne ne peut faire l’économie de ce travail de recherche, de compréhension et de positionnement parce qu’il en va du salut. Il y a aussi l’aveuglement (châtiment) et la mauvaise foi (mensonge).
La synagogue de satan a un pris du temps pour minutieusement échafauder ce monde moderne totalisant, avec, pour le diriger, un système de commandement pyramidal, pour qu’à tous les niveaux, en tous ses interstices, celui qui veut faire quoi que ce soit puisse être cadré ou recadré s’il ne marche pas droit (à l’envers). Ces pauvres prêtres illégitimes sont complètement cernés, et tenus (s’ils n’en sont pas). Comme les éditeurs, écriveurs, youtubeurs.
Pourtant ils pourraient faire autrement avec leur sacerdoce dont ils sont privés de l’exercice.
Il n’y a pas de raison que la gauchiasserie ou la paganerie new age vive en eco village autonomes fonctionnels avec des règlements stricts pour la bienveillance universelle de l’indifférence profonde, et que les catholiques n’arrivent à rien.
Concernant donc cette Constitution Apostolique Vacantis Apostolicae sedis, Sur la vacance du Siège Apostolique et l'élection du Pontife Romain, 8 décembre 1945, https://laportelatine.org/formation/magistere/constitution-apostolique-vacantis-apostolicae-sedis-1945-vacance-siege-apostolique-election-pontife-romain-2 :
C’est un texte qui fait 24 pages, titré et chapitré ainsi :
Titre premier
De la vacance du Siège Apostolique
Chapitre Premier
Du pouvoir du Sacré Collège des Cardinaux durant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre II
Des Congrégations (ou réunions) des cardinaux
Chapitre III
De quelques offices particuliers pendant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre IV
Des Sacrées Congrégations et tribunaux romains et de leurs pouvoir durant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre V
Des funérailles du Pontife Romain
Titre II
De l’élection du Pontife Romain
Chapitre Premier
Des électeurs du Pontife Romain
Chapitre II
Des conclavistes et des autres personnes prenant part au Conclave
Chapitre III
De l’entrée en Conclave
Chapitre IV
De la fermeture du Conclave et du secret qui doit être gardé en tout ce qui se fait au Conclave
Chapitre V
De la forme de l’élection
Chapitre VI
De ce qui doit être observé ou évité dans l’élection du Pontife Romain
Chapitre VII
De l’acceptation et de la proclamation de l’élection ainsi que de la consécration et du couronnement du nouveau Pontife
Voici reproduit le titre premier du chapitre premier (1/2 page) : cela concerne les actes pris par le Collège des cardinaux pendant la vacance du Siège Apostolique, cela ne concerne pas les évêques hérétiques schismatiques qui agissent et ont toujours agi en dehors de l’Église, et sans son autorisation.
Titre premier
De la vacance du Siège Apostolique
Chapitre Premier
Du pouvoir du Sacré Collège des Cardinaux durant la vacance du Siège Apostolique
1. Pendant la vacance du Siège apostolique, le Sacré Collège des cardinaux n’aura absolument ni pouvoir ni juridiction en ce qui était du ressort du Souverain Pontife de son vivant, ni pour accorder des faveurs, ni pour exercer la justice, ni pour faire exécuter les décisions prises par le pontife défunt, mais il sera tenu de réserver tout cela au futur pontife[1]. C’est pourquoi Nous décrétons nul et sans valeur tout ce que, durant la vacance de l’Eglise, le Collège des cardinaux croirait de son propre chef devoir exercer du pouvoir ou de la juridiction appartenant au Pontife romain, de son vivant (si ce n’est dans la mesure expressément permise dans notre présente constitution) [2].
2. De même Nous prescrivons que le Sacré Collège des cardinaux ne puisse d’une manière quelconque disposer des droits du Siège apostolique et de l’Eglise romaine, et qu’il ne s’avise de léser directement ces droits en aucun point, ni qu’il semble leur porter atteinte par quelque connivence ou par la dissimulation de forfaits perpétrés contre eux, même après la mort du pontife ou pendant la vacance ; bien plus, Nous voulons que le Collège des cardinaux soit tenu de les sauvegarder et de les défendre de toutes ses forces[3].
3. Les lois portées par les Pontifes romains ne peuvent aucunement être corrigées ou changées par l’assemblée des cardinaux de l’Eglise romaine durant la vacance, rien ne peut y être soustrait ou ajouté, ni aucune dispense accordée pour l’ensemble ou une partie de ces lois. Cela vaut principalement pour les constitutions pontificales publiées pour régler l’élection du Pontife romain [4]. Bien plus, si on faisait ou si on cherchait à faire quoi que ce soit contre cette prescription, de Notre autorité suprême, Nous le déclarons nul et sans valeur.
4. Si certains doutes cependant naissaient sur le sens des prescriptions contenues dans Notre présente constitution, ou sur la façon dont elles doivent être mises en pratique, ou relativement à tout autre point de cette constitution, Nous ordonnons et décrétons que le pouvoir de porter sur elles une sentence appartienne uniquement au Sacré Collège des cardinaux ; pour cette affaire, Nous accordons à ce même Collège des cardinaux le plein pouvoir d’interpréter Notre présente constitution et d’en éclaircir les points douteux. En ce domaine, comme dans les autres sur lesquels il y aurait lieu de délibérer selon les directives de Notre constitution, à l’exception de l’acte même de l’élection, il sera pleinement suffisant que la majorité des cardinaux assemblés soit du même avis [5].
5. Pareillement, dans le cas d’une affaire urgente qui, d’après le vote de la majorité des cardinaux réunis, ne peut être renvoyée à plus tard, le Sacré Collège peut et doit, selon l’avis de la majorité, fixer la solution opportune [6].
Voilà le texte, il n’y a aucune possibilité de tirer la conclusion que sont nulles les ordinations épiscopales conférées par des évêques hérétiques et schismatiques, au prétexte que le Collège des Cardinaux n’a pas pu leur donner l’autorisation à la place du pape comme le préconise le texte de Pie XII, PUISQUE ces évêques se trouvant, par le fait de leurs hérésies et schisme, EN DEHORS DE L’EGLISE agissent précisément sans Son autorisation et sans mandat pontifical pour procéder à des ordinations épiscopales. Cela entraîne / a toujours entraîné la confusion car il y a notamment la présence réelle mais nous commettons un péché grave en nous y compromettant.
Après, c’est vrai qu’on se demande comment Dieu peut permettre que le saint sacrifice soit offert en dehors de son Eglise.
Je dirais: l’histoire du monde depuis l’avènement de NSJC et de son Eglise est comme rythmée par ces défections des hommes de Dieu, qui partent/sortent de l’Eglise avec leurs super pouvoirs que l’Église leur a donnés, influencés par des princes et des hommes de pouvoir avides de conquêtes terrestres, d’argent, etc. et ce qui va avec, eux-mêmes sous la coupe d’hommes-liges de la synagogues de satan poursuivant le double but d’accaparement de la terre entière, de prise de pouvoir total sur la terre entière pour au final détruire la création de Dieu, et de damnation du plus grand nombre dans le mensonge.
Par ailleurs les ennemis de l’Église ont comme besoin de la messe. C’est une thèse de Saint Bonaventure que la fin du monde arrivera quand le dernier prêtre offrant le saint sacrifice aura disparu. Parce qu’en définitive, ce qui apaise la colère de Dieu, c’est la sainte messe, « c'est à la messe que nous devons la conservation de ce globe. Sans elle les péchés des hommes auroient depuis long-temps amené la destruc tion de la terre". (Selva ou choix de sujets destinés à servir de matériaux aux prédicateurs , deuxième partie, p.7, saint alphonse de liguori). https://books.google.fr/books?id=i99UeKNMRBMC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
Autrement dit, pour la synagogue de satan, maîtriser un vivier de prêtres (illégitimes) en dehors de l’Église, c’est maîtriser le temps. Ce qu’ils visent c’est détruire la Création de Dieu, ils Le combattent, ils déploient toute leur haine et leur force pour détruire, par la technologie, ce que Dieu a créé, l’être humain, le ciel, la terre. Ils croient vraiment à leur truc, probablement pensent-t-ils même parvenir à défoncer le firmament. C’est probablement ce qu’il y a derrière toutes les conneries qu’on nous raconte sur la conquête de l’espace. Pour cela aussi qu’on nous a menti sur la forme de la terre, sur l’univers infini, etc. Tout est tellement énorme. Échafauder tous ces mensonges pour faire en sorte que les gens tournent en rond et se perdent dans un monde désormais complètement falsifié et inhumain… et finalement laissent corrompre et détruire leur humanité par la technologie.
Bref, tant qu’ils ne sont pas techniquement/technologiquement/scientifiquement prêts pour tout défoncer, ce que Dieu ne permettra de toute façon jamais c’est ce qu’ils ne comprennent pas, ils ont besoin d’un vivier de vrais prêtres (illégitimes) sous leur contrôle, offrant le saint sacrifice pour apaiser la colère de Dieu, et ainsi avoir la maîtrise sur le temps pour mener leur plan.
La grande impasse de la tradision peut aussi s’expliquer comme ça, avec Mgr L de l’agentur, placé pour faire patienter, tromper et faire perdre le temps, dérouter les meilleurs, qui se sont fait engloutir dans le monde moderne faute d’y avoir réfléchi, empêcher de prendre la route du Ciel.
Les élucubrations de teresa benns de même, faire tourner en rond, faire perdre le temps, dérouter les meilleurs, empêcher de consacrer du temps à régler sérieusement sa vie, conformément à Dieu et non pas au monde frelaté.
Credo- Nombre de messages : 34
Date d'inscription : 24/07/2023
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Merci beaucoup pour la lecture de ce document du pape Pie XII, Vacantis Apostolicae sedis (8 décembre 1945), sur la vacance du Siège Apostolique et l'élection du Pontife Romain.
Il y est stipulé que le pape élu est immédiatement vrai pape (Vacantis Apostolicae sedis, 1945, 101).
Or, en 1958, un pape a été élu: il ne s’est jamais présenté au balcon mais les cinq minutes de fumée blanche (26 octobre 1958, 17h55) nous informent qu’un pape a été élu.
Cependant, deux jours plus tard, le 28 octobre 1958, Roncalli/Jean23 a été proclamé pape à la face du monde.
Ainsi, son élection n’a pas été obtenue conformément au texte de Pie XII, qui stipule que « si l’élection a été obtenue autrement [que par une des trois manières exposées dans le texte points 66 à 89] ; que cette élection soit nulle et invalide par le fait même et sans déclaration, et qu’elle n’accorde aucun droit à celui qui aura été ainsi élu. » ( Titre II
De l’élection du Pontife Romain, Chapitre V De la forme de l’élection, point 90).
Le texte de Pie XII précisant que l’assemblée de cardinaux ne peut rien changer à ces règles (TitreIChapI.1.2.3.4).
Ainsi, la synagogue de satan a usurpé l’autorité légitime de la Sainte Eglise de Dieu, en plaçant Roncalli/Jean23 sur le siège de Pierre.
La Sainte Eglise catholique est ainsi éclipsée par une secte non catholique suite à cette malversation opérée lors du conclave de 1958, où un pape canoniquement élu le 26 octobre 1958 a été remplacé par un personnage faussement proclamé pape le 28 octobre 1958, sous le nom d’un antipape du 15e siècle, jean23 ; lequel a dès lors convoqué un faux concile (Vatican2, 1962-65), manœuvré par les ennemis de l’Église pour installer au sein même des structures de l’Église catholique, une fausse église au service de la synagogue de satan pour mener la guerre contre Dieu, tromper les fidèles et perdre les âmes.
Concernant le chef de file choisi par l’agentur pour mener la bataille de l’opposition sous contrôle, ayant signé les documents hérétiques de vatican2 (https://catholicapedia.net/Documents/cahier-saint-charlemagne/documents/C070_Heresies-de-Vatican-II_et_de-J-P%20II_12p.pdf), il est sorti de par ce fait de l’Église (canon 188.4, apostasie publique) et les ordinations qu’il a opérées bien que valides sont gravement illégitimes (canon 2372, privation de l’exercice de l’ordre reçu dans l’hérésie ou le schisme). De même, le fait que Mgr L ait procédé à ces ordinations en désobéissant à un pape qu’il disait publiquement reconnaître comme pape, conduit pareillement à illicéité de ces ordinations (canon 2372, privation de l’exercice de l’ordre reçu dans l’hérésie ou le schisme).
Voici le texte :
Titre II De l’élection du Pontife Romain, Chapitre V De la forme de l’élection [57]
65. Le matin qui suit la nuit où le conclave a été fermé, après la sonnerie habituelle de la clochette, les cardinaux présents au conclave et non empêchés par la maladie se rendent à la chapelle désignée, et après la célébration de la messe accoutumée et la communion de ceux des cardinaux qui, pour quelque motif que ce soit, se seraient spontanément abstenus de dire la messe [58] et après la récitation par le sacriste de l’hymne Veni, Creator Spiritus, avec l’oraison du Saint-Esprit, lecture ayant été faite par le préfet des cérémonies apostoliques des procès-verbaux de la double fermeture du conclave, ils doivent immédiatement procéder à l’opération de l’élection, qui doit être accomplie selon une seule des trois manières ou formes exposées ci-après, autrement l’élection est frappée de nullité.
Points 66 à 89 sont détaillés les trois manières d’élire le pape (par inspiration, par compromis ou par scrutin).
Et point 90 est répétée la nullité de l’election qui ne suivrait pas ces règles :
« 90. Si l’élection a été obtenue autrement que dans un scrutin par les suffrages secrets exprimés par les deux tiers des bulletins des cardinaux présents au conclave, et l’adjonction d’un suffrage en plus ; ou autrement que par voie de compromis fait par tous les cardinaux présents au conclave et dans un accord qui ne rencontre aucune opposition de personne, et de manière que personne ne se soit élu soi-même ; ou autrement que par une sorte d’inspiration, sans tractation préalable sur une personne spéciale, de tous les cardinaux présents au conclave, à l’unanimité, sans aucune divergence non plus, par le mot : « j’élis », émis d’une voix intelligible ou, s’il ne peut l’être, exprimé par écrit ; que cette élection soit nulle et invalide par le fait même et sans déclaration, et qu’elle n’accorde aucun droit à celui qui aura été ainsi élu [63]. »
Le texte de Pie XII précisant que l’assemblée de cardinaux ne peut rien changer à ces règles (TitreIChapI.1.2.3.4) :
1. Pendant la vacance du Siège apostolique, le Sacré Collège des cardinaux n’aura absolument ni pouvoir ni juridiction en ce qui était du ressort du Souverain Pontife de son vivant, ni pour accorder des faveurs, ni pour exercer la justice, ni pour faire exécuter les décisions prises par le pontife défunt, mais il sera tenu de réserver tout cela au futur pontife[1]. C’est pourquoi Nous décrétons nul et sans valeur tout ce que, durant la vacance de l’Eglise, le Collège des cardinaux croirait de son propre chef devoir exercer du pouvoir ou de la juridiction appartenant au Pontife romain, de son vivant (si ce n’est dans la mesure expressément permise dans notre présente constitution) [2].
2. De même Nous prescrivons que le Sacré Collège des cardinaux ne puisse d’une manière quelconque disposer des droits du Siège apostolique et de l’Eglise romaine, et qu’il ne s’avise de léser directement ces droits en aucun point, ni qu’il semble leur porter atteinte par quelque connivence ou par la dissimulation de forfaits perpétrés contre eux, même après la mort du pontife ou pendant la vacance ; bien plus, Nous voulons que le Collège des cardinaux soit tenu de les sauvegarder et de les défendre de toutes ses forces[3].
3. Les lois portées par les Pontifes romains ne peuvent aucunement être corrigées ou changées par l’assemblée des cardinaux de l’Eglise romaine durant la vacance, rien ne peut y être soustrait ou ajouté, ni aucune dispense accordée pour l’ensemble ou une partie de ces lois. Cela vaut principalement pour les constitutions pontificales publiées pour régler l’élection du Pontife romain [4]. Bien plus, si on faisait ou si on cherchait à faire quoi que ce soit contre cette prescription, de Notre autorité suprême, Nous le déclarons nul et sans valeur.
4. Si certains doutes cependant naissaient sur le sens des prescriptions contenues dans Notre présente constitution, ou sur la façon dont elles doivent être mises en pratique, ou relativement à tout autre point de cette constitution, Nous ordonnons et décrétons que le pouvoir de porter sur elles une sentence appartienne uniquement au Sacré Collège des cardinaux ; pour cette affaire, Nous accordons à ce même Collège des cardinaux le plein pouvoir d’interpréter Notre présente constitution et d’en éclaircir les points douteux. En ce domaine, comme dans les autres sur lesquels il y aurait lieu de délibérer selon les directives de Notre constitution, à l’exception de l’acte même de l’élection, il sera pleinement suffisant que la majorité des cardinaux assemblés soit du même avis [5].
Et, enfin, il est bien préciser, titre II, De l’élection du Pontife Romain, chapitre VII De l’acceptation et de la proclamation de l’élection ainsi que de la consécration et du couronnement du nouveau Pontife, point 101, que le pape élu est immédiatement vrai pape, ce qui est aussi mentionné aux points 66, 67, et 86 qui décrivent les trois manières d’élire le pape et précisent donc à chaque fois que celui qui est élu par la méthode en question « est canoniquement et vraiment pape ».
« 101. Ce consentement ayant été donné dans un espace de temps qui, dans la mesure où il est nécessaire, doit être déterminé par le sage jugement des cardinaux à la majorité des votes, l’élu est immédiatement vrai pape, et il acquiert par le fait même et peut exercer une pleine et absolue juridiction sur l’univers entier[/color] [73]. Dès lors, si quelqu’un ose attaquer des lettres ou décisions concernant n’importe quelles affaires, émanant du Pontife romain avant son couronnement, Nous le frappons de la peine d’excommunication à encourir ipso facto [74]. »
Est prescrit le secret : Titre II De l’élection du Pontife Romain Chapitre IV De la fermeture du Conclave et du secret qui doit être gardé en tout ce qui se fait au Conclave :
61. En outre, comme il a été exprimé dans les formules de serment relatées ci-dessus, tant pour les cardinaux de la Sainte Eglise romaine que pour les conclavistes, Nous prescrivons et ordonnons sévèrement à tous ceux qui participent au conclave de garder très fidèlement le secret en tout ce qui a rapport à l’élection du Pontife romain, et pour tout ce qui se fait au conclave et au lieu de l’élection. Dès lors, ils sont tenus d’éviter et de s’interdire absolument tout ce qui pourra, directement ou indirectement, violer le secret de quelque façon, soit en paroles, soit en écrits, soit en signes ou par d’autres manifestations [55], de telle sorte que les violateurs de cette loi encourent l’excommunication latæ sententiæ, et que de cette peine, comme de toute autre peine d’excommunication imposée et portée dans cette constitution ou devant être imposée ou portée dans la suite contre n’importe quelles personnes, nul, pas même le grand pénitencier, ne puisse en vertu de quelque faculté que ce soit, hormis le Pontife romain, les absoudre, si ce n’est à l’article de la mort [56].
Voici les liens:
Le dimanche 26 octobre 1958, 5 minutes de fumée blanche s'élevaient de la cheminée de la chapelle Sixtine entre 17h55 et 18h00, indiquant qu'un Pape avait été élu, — mais aucun Pape n'apparut au balcon. Ainsi l’eclipse de l’Église a été opérée par le détournement du conclave de 1958 et le remplacement du pape élu par un faux pape, apparu deux jours après, sous les acclamations de la presse mondiale. (https://whitesmoke1958-com.translate.goog/introduction/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr, cité par l’article ci-dessous)
https://gloria.tv/post/y7U4WiENTGjs1nynCBMyyxvoi / https://novusordowatch.org/2016/10/smoke-signals-white-smoke-1958/ :
« Comme après la mort de chaque Pape, les cardinaux se réunirent en 1958 dans la Chapelle Sixtine de la Cité du Vatican pour déterminer qui succéderait à feu Pie XII, mort le 9 octobre. Le conclave a ouvert ses portes le samedi 25 octobre. […] quelque chose de curieux s'est produit le dimanche 26 octobre, le deuxième jour du conclave : De la fumée blanche, signalant l'élection réussie d'un Pape, s'échappa de la cheminée de la chapelle Sixtine vers 18 h ce jour-là. Pas seulement quelques bouffées, comme cela peut facilement arriver à tout moment lorsque la paille lutte pour prendre feu, mais une grande quantité de fumée clairement blanche, d'une durée totale de cinq minutes. […] En plus de la fumée blanche, les cloches de Saint-Pierre commencèrent à sonner pour confirmer le succès de l'élection papale, et les gardes suisses se hâtèrent de préparer l'accueil du nouveau Pape à leurs postes assignés. La foule s'est rassemblée sur la place Saint-Pierre pour applaudir. Radio Vatican a annoncé avec confiance : « Il n'y a absolument aucun doute. Un Pape a été élu. » […] Le problème, c'est qu'aucun Pape n'est jamais apparu. Au bout de cinq minutes, la fumée a commencé à grisonner, ce qui a semé la confusion. Au bout d'une demi-heure environ, la foule s'est dispersée et Radio Vatican a dû annoncer qu'une erreur avait apparemment été commise.
Tout cela a été rapporté par Associated Press et dans divers journaux à travers le monde le lendemain, 27 octobre. Puis, le 28 octobre, le conclave produisit à nouveau de la fumée blanche, et cette fois le cardinal Roncalli apparut comme "Pape Jean XXIII".
[…]
N'oubliez pas que ce conclave - celui de 1958 - est celui qui a tout changé pour les catholiques. C'était, pour ainsi dire, le début officiel de l'Église Novus Ordo, car c'est Jean XXIII qui a commencé à faire basculer les choses et a appelé le Concile Vatican II comme par hasard, exigeant qu'il commence même sans préparation suffisante.
[...]
Une autre particularité de ce conclave était le fait qu'après sa fameuse apparition sur le balcon, Jean XXIII ordonna à tous les cardinaux de revenir dans le conclave pour 24 heures supplémentaires - au grand dam des éminences âgées et malades.
[…]
Qui sait si Roncalli voulait vraiment simplement « consulter » ses cardinaux, ou s'il leur expliquait clairement quelles seraient les conséquences au cas où l'un d'entre eux aurait un jour laissé entendre qu'il avait usurpé la chaise papale.
[…]
Bref, la religion que le monde d'aujourd'hui connaît (faussement) sous le nom de "catholicisme romain" n'existait pas jusqu'à cette époque. Tout cela a commencé avec l'élection de Jean XXIII. Ainsi, s'il y a un événement décisif qui a marqué la transition de l'Église catholique à la secte Novus Ordo, c'est bien ce conclave - un conclave qui a produit un faux pape - et il est certainement légitime de se demander quelle pourrait être la raison/cause de ce gigantesque désastre qui nous a frappé depuis. Un vrai Pape élu avant Jean XXIII expliquerait certainement beaucoup de choses, indépendamment, pour le moment, de qui était ce vrai Pape. »
https://novusordowatch-org.translate.goog/kramer-hindered-papal-election/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr:
Le P. Herman Kramer en 1956 : « Si Satan parvenait à empêcher une élection papale, l’Église souffrirait de grandes difficultés. ». « Nous mentionnons cette interprétation de l'Apocalypse 12 :1-5 car il semble qu'elle ait pu s'accomplir lors du conclave papal controversé de 1958 , qui s'est réuni du 25 au 28 octobre pour élire un successeur au pape Pie XII. Au lieu de produire un vrai pape, cependant, il a produit l' anti-pape Jean XXIII , l'ancien cardinal Angelo Roncalli de Venise, qui a convoqué le Concile Vatican II et a préparé le terrain pour la religion Novus Ordo en posant ses fondations. Depuis la mort de Pie XII, il n'y a plus eu de pape valide (connu), et le résultat est précisément « l'interrègne prolongé dans la papauté » [le résultat est l’éclipse de l’Eglise] que le P. Kramer a mis en garde contre cela, provoquant « une angoisse intense pour l’Église » et un « grand travail ».[/color]
Il y est stipulé que le pape élu est immédiatement vrai pape (Vacantis Apostolicae sedis, 1945, 101).
Or, en 1958, un pape a été élu: il ne s’est jamais présenté au balcon mais les cinq minutes de fumée blanche (26 octobre 1958, 17h55) nous informent qu’un pape a été élu.
Cependant, deux jours plus tard, le 28 octobre 1958, Roncalli/Jean23 a été proclamé pape à la face du monde.
Ainsi, son élection n’a pas été obtenue conformément au texte de Pie XII, qui stipule que « si l’élection a été obtenue autrement [que par une des trois manières exposées dans le texte points 66 à 89] ; que cette élection soit nulle et invalide par le fait même et sans déclaration, et qu’elle n’accorde aucun droit à celui qui aura été ainsi élu. » ( Titre II
De l’élection du Pontife Romain, Chapitre V De la forme de l’élection, point 90).
Le texte de Pie XII précisant que l’assemblée de cardinaux ne peut rien changer à ces règles (TitreIChapI.1.2.3.4).
Ainsi, la synagogue de satan a usurpé l’autorité légitime de la Sainte Eglise de Dieu, en plaçant Roncalli/Jean23 sur le siège de Pierre.
La Sainte Eglise catholique est ainsi éclipsée par une secte non catholique suite à cette malversation opérée lors du conclave de 1958, où un pape canoniquement élu le 26 octobre 1958 a été remplacé par un personnage faussement proclamé pape le 28 octobre 1958, sous le nom d’un antipape du 15e siècle, jean23 ; lequel a dès lors convoqué un faux concile (Vatican2, 1962-65), manœuvré par les ennemis de l’Église pour installer au sein même des structures de l’Église catholique, une fausse église au service de la synagogue de satan pour mener la guerre contre Dieu, tromper les fidèles et perdre les âmes.
Concernant le chef de file choisi par l’agentur pour mener la bataille de l’opposition sous contrôle, ayant signé les documents hérétiques de vatican2 (https://catholicapedia.net/Documents/cahier-saint-charlemagne/documents/C070_Heresies-de-Vatican-II_et_de-J-P%20II_12p.pdf), il est sorti de par ce fait de l’Église (canon 188.4, apostasie publique) et les ordinations qu’il a opérées bien que valides sont gravement illégitimes (canon 2372, privation de l’exercice de l’ordre reçu dans l’hérésie ou le schisme). De même, le fait que Mgr L ait procédé à ces ordinations en désobéissant à un pape qu’il disait publiquement reconnaître comme pape, conduit pareillement à illicéité de ces ordinations (canon 2372, privation de l’exercice de l’ordre reçu dans l’hérésie ou le schisme).
Voici le texte :
Titre II De l’élection du Pontife Romain, Chapitre V De la forme de l’élection [57]
65. Le matin qui suit la nuit où le conclave a été fermé, après la sonnerie habituelle de la clochette, les cardinaux présents au conclave et non empêchés par la maladie se rendent à la chapelle désignée, et après la célébration de la messe accoutumée et la communion de ceux des cardinaux qui, pour quelque motif que ce soit, se seraient spontanément abstenus de dire la messe [58] et après la récitation par le sacriste de l’hymne Veni, Creator Spiritus, avec l’oraison du Saint-Esprit, lecture ayant été faite par le préfet des cérémonies apostoliques des procès-verbaux de la double fermeture du conclave, ils doivent immédiatement procéder à l’opération de l’élection, qui doit être accomplie selon une seule des trois manières ou formes exposées ci-après, autrement l’élection est frappée de nullité.
Points 66 à 89 sont détaillés les trois manières d’élire le pape (par inspiration, par compromis ou par scrutin).
Et point 90 est répétée la nullité de l’election qui ne suivrait pas ces règles :
« 90. Si l’élection a été obtenue autrement que dans un scrutin par les suffrages secrets exprimés par les deux tiers des bulletins des cardinaux présents au conclave, et l’adjonction d’un suffrage en plus ; ou autrement que par voie de compromis fait par tous les cardinaux présents au conclave et dans un accord qui ne rencontre aucune opposition de personne, et de manière que personne ne se soit élu soi-même ; ou autrement que par une sorte d’inspiration, sans tractation préalable sur une personne spéciale, de tous les cardinaux présents au conclave, à l’unanimité, sans aucune divergence non plus, par le mot : « j’élis », émis d’une voix intelligible ou, s’il ne peut l’être, exprimé par écrit ; que cette élection soit nulle et invalide par le fait même et sans déclaration, et qu’elle n’accorde aucun droit à celui qui aura été ainsi élu [63]. »
Le texte de Pie XII précisant que l’assemblée de cardinaux ne peut rien changer à ces règles (TitreIChapI.1.2.3.4) :
1. Pendant la vacance du Siège apostolique, le Sacré Collège des cardinaux n’aura absolument ni pouvoir ni juridiction en ce qui était du ressort du Souverain Pontife de son vivant, ni pour accorder des faveurs, ni pour exercer la justice, ni pour faire exécuter les décisions prises par le pontife défunt, mais il sera tenu de réserver tout cela au futur pontife[1]. C’est pourquoi Nous décrétons nul et sans valeur tout ce que, durant la vacance de l’Eglise, le Collège des cardinaux croirait de son propre chef devoir exercer du pouvoir ou de la juridiction appartenant au Pontife romain, de son vivant (si ce n’est dans la mesure expressément permise dans notre présente constitution) [2].
2. De même Nous prescrivons que le Sacré Collège des cardinaux ne puisse d’une manière quelconque disposer des droits du Siège apostolique et de l’Eglise romaine, et qu’il ne s’avise de léser directement ces droits en aucun point, ni qu’il semble leur porter atteinte par quelque connivence ou par la dissimulation de forfaits perpétrés contre eux, même après la mort du pontife ou pendant la vacance ; bien plus, Nous voulons que le Collège des cardinaux soit tenu de les sauvegarder et de les défendre de toutes ses forces[3].
3. Les lois portées par les Pontifes romains ne peuvent aucunement être corrigées ou changées par l’assemblée des cardinaux de l’Eglise romaine durant la vacance, rien ne peut y être soustrait ou ajouté, ni aucune dispense accordée pour l’ensemble ou une partie de ces lois. Cela vaut principalement pour les constitutions pontificales publiées pour régler l’élection du Pontife romain [4]. Bien plus, si on faisait ou si on cherchait à faire quoi que ce soit contre cette prescription, de Notre autorité suprême, Nous le déclarons nul et sans valeur.
4. Si certains doutes cependant naissaient sur le sens des prescriptions contenues dans Notre présente constitution, ou sur la façon dont elles doivent être mises en pratique, ou relativement à tout autre point de cette constitution, Nous ordonnons et décrétons que le pouvoir de porter sur elles une sentence appartienne uniquement au Sacré Collège des cardinaux ; pour cette affaire, Nous accordons à ce même Collège des cardinaux le plein pouvoir d’interpréter Notre présente constitution et d’en éclaircir les points douteux. En ce domaine, comme dans les autres sur lesquels il y aurait lieu de délibérer selon les directives de Notre constitution, à l’exception de l’acte même de l’élection, il sera pleinement suffisant que la majorité des cardinaux assemblés soit du même avis [5].
Et, enfin, il est bien préciser, titre II, De l’élection du Pontife Romain, chapitre VII De l’acceptation et de la proclamation de l’élection ainsi que de la consécration et du couronnement du nouveau Pontife, point 101, que le pape élu est immédiatement vrai pape, ce qui est aussi mentionné aux points 66, 67, et 86 qui décrivent les trois manières d’élire le pape et précisent donc à chaque fois que celui qui est élu par la méthode en question « est canoniquement et vraiment pape ».
« 101. Ce consentement ayant été donné dans un espace de temps qui, dans la mesure où il est nécessaire, doit être déterminé par le sage jugement des cardinaux à la majorité des votes, l’élu est immédiatement vrai pape, et il acquiert par le fait même et peut exercer une pleine et absolue juridiction sur l’univers entier[/color] [73]. Dès lors, si quelqu’un ose attaquer des lettres ou décisions concernant n’importe quelles affaires, émanant du Pontife romain avant son couronnement, Nous le frappons de la peine d’excommunication à encourir ipso facto [74]. »
Est prescrit le secret : Titre II De l’élection du Pontife Romain Chapitre IV De la fermeture du Conclave et du secret qui doit être gardé en tout ce qui se fait au Conclave :
61. En outre, comme il a été exprimé dans les formules de serment relatées ci-dessus, tant pour les cardinaux de la Sainte Eglise romaine que pour les conclavistes, Nous prescrivons et ordonnons sévèrement à tous ceux qui participent au conclave de garder très fidèlement le secret en tout ce qui a rapport à l’élection du Pontife romain, et pour tout ce qui se fait au conclave et au lieu de l’élection. Dès lors, ils sont tenus d’éviter et de s’interdire absolument tout ce qui pourra, directement ou indirectement, violer le secret de quelque façon, soit en paroles, soit en écrits, soit en signes ou par d’autres manifestations [55], de telle sorte que les violateurs de cette loi encourent l’excommunication latæ sententiæ, et que de cette peine, comme de toute autre peine d’excommunication imposée et portée dans cette constitution ou devant être imposée ou portée dans la suite contre n’importe quelles personnes, nul, pas même le grand pénitencier, ne puisse en vertu de quelque faculté que ce soit, hormis le Pontife romain, les absoudre, si ce n’est à l’article de la mort [56].
Voici les liens:
Le dimanche 26 octobre 1958, 5 minutes de fumée blanche s'élevaient de la cheminée de la chapelle Sixtine entre 17h55 et 18h00, indiquant qu'un Pape avait été élu, — mais aucun Pape n'apparut au balcon. Ainsi l’eclipse de l’Église a été opérée par le détournement du conclave de 1958 et le remplacement du pape élu par un faux pape, apparu deux jours après, sous les acclamations de la presse mondiale. (https://whitesmoke1958-com.translate.goog/introduction/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr, cité par l’article ci-dessous)
https://gloria.tv/post/y7U4WiENTGjs1nynCBMyyxvoi / https://novusordowatch.org/2016/10/smoke-signals-white-smoke-1958/ :
« Comme après la mort de chaque Pape, les cardinaux se réunirent en 1958 dans la Chapelle Sixtine de la Cité du Vatican pour déterminer qui succéderait à feu Pie XII, mort le 9 octobre. Le conclave a ouvert ses portes le samedi 25 octobre. […] quelque chose de curieux s'est produit le dimanche 26 octobre, le deuxième jour du conclave : De la fumée blanche, signalant l'élection réussie d'un Pape, s'échappa de la cheminée de la chapelle Sixtine vers 18 h ce jour-là. Pas seulement quelques bouffées, comme cela peut facilement arriver à tout moment lorsque la paille lutte pour prendre feu, mais une grande quantité de fumée clairement blanche, d'une durée totale de cinq minutes. […] En plus de la fumée blanche, les cloches de Saint-Pierre commencèrent à sonner pour confirmer le succès de l'élection papale, et les gardes suisses se hâtèrent de préparer l'accueil du nouveau Pape à leurs postes assignés. La foule s'est rassemblée sur la place Saint-Pierre pour applaudir. Radio Vatican a annoncé avec confiance : « Il n'y a absolument aucun doute. Un Pape a été élu. » […] Le problème, c'est qu'aucun Pape n'est jamais apparu. Au bout de cinq minutes, la fumée a commencé à grisonner, ce qui a semé la confusion. Au bout d'une demi-heure environ, la foule s'est dispersée et Radio Vatican a dû annoncer qu'une erreur avait apparemment été commise.
Tout cela a été rapporté par Associated Press et dans divers journaux à travers le monde le lendemain, 27 octobre. Puis, le 28 octobre, le conclave produisit à nouveau de la fumée blanche, et cette fois le cardinal Roncalli apparut comme "Pape Jean XXIII".
[…]
N'oubliez pas que ce conclave - celui de 1958 - est celui qui a tout changé pour les catholiques. C'était, pour ainsi dire, le début officiel de l'Église Novus Ordo, car c'est Jean XXIII qui a commencé à faire basculer les choses et a appelé le Concile Vatican II comme par hasard, exigeant qu'il commence même sans préparation suffisante.
[...]
Une autre particularité de ce conclave était le fait qu'après sa fameuse apparition sur le balcon, Jean XXIII ordonna à tous les cardinaux de revenir dans le conclave pour 24 heures supplémentaires - au grand dam des éminences âgées et malades.
[…]
Qui sait si Roncalli voulait vraiment simplement « consulter » ses cardinaux, ou s'il leur expliquait clairement quelles seraient les conséquences au cas où l'un d'entre eux aurait un jour laissé entendre qu'il avait usurpé la chaise papale.
[…]
Bref, la religion que le monde d'aujourd'hui connaît (faussement) sous le nom de "catholicisme romain" n'existait pas jusqu'à cette époque. Tout cela a commencé avec l'élection de Jean XXIII. Ainsi, s'il y a un événement décisif qui a marqué la transition de l'Église catholique à la secte Novus Ordo, c'est bien ce conclave - un conclave qui a produit un faux pape - et il est certainement légitime de se demander quelle pourrait être la raison/cause de ce gigantesque désastre qui nous a frappé depuis. Un vrai Pape élu avant Jean XXIII expliquerait certainement beaucoup de choses, indépendamment, pour le moment, de qui était ce vrai Pape. »
https://novusordowatch-org.translate.goog/kramer-hindered-papal-election/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr:
Le P. Herman Kramer en 1956 : « Si Satan parvenait à empêcher une élection papale, l’Église souffrirait de grandes difficultés. ». « Nous mentionnons cette interprétation de l'Apocalypse 12 :1-5 car il semble qu'elle ait pu s'accomplir lors du conclave papal controversé de 1958 , qui s'est réuni du 25 au 28 octobre pour élire un successeur au pape Pie XII. Au lieu de produire un vrai pape, cependant, il a produit l' anti-pape Jean XXIII , l'ancien cardinal Angelo Roncalli de Venise, qui a convoqué le Concile Vatican II et a préparé le terrain pour la religion Novus Ordo en posant ses fondations. Depuis la mort de Pie XII, il n'y a plus eu de pape valide (connu), et le résultat est précisément « l'interrègne prolongé dans la papauté » [le résultat est l’éclipse de l’Eglise] que le P. Kramer a mis en garde contre cela, provoquant « une angoisse intense pour l’Église » et un « grand travail ».[/color]
Credo- Nombre de messages : 34
Date d'inscription : 24/07/2023
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Credo a écrit:Le texte de Pie XII ne prête pas à confusion. Par quelle mouche vous êtes vous laissés piquer.
- Spoiler:
Par ailleurs l’exercice illégale de l’ordre, du sacerdoce comme du diaconat est gravissime. Personne ne peut faire l’économie de ce travail de recherche, de compréhension et de positionnement parce qu’il en va du salut. Il y a aussi l’aveuglement (châtiment) et la mauvaise foi (mensonge).
La synagogue de satan a un pris du temps pour minutieusement échafauder ce monde moderne totalisant, avec, pour le diriger, un système de commandement pyramidal, pour qu’à tous les niveaux, en tous ses interstices, celui qui veut faire quoi que ce soit puisse être cadré ou recadré s’il ne marche pas droit (à l’envers). Ces pauvres prêtres illégitimes sont complètement cernés, et tenus (s’ils n’en sont pas). Comme les éditeurs, écriveurs, youtubeurs.
Pourtant ils pourraient faire autrement avec leur sacerdoce dont ils sont privés de l’exercice.
Il n’y a pas de raison que la gauchiasserie ou la paganerie new age vive en eco village autonomes fonctionnels avec des règlements stricts pour la bienveillance universelle de l’indifférence profonde, et que les catholiques n’arrivent à rien.
Concernant donc cette Constitution Apostolique Vacantis Apostolicae sedis, Sur la vacance du Siège Apostolique et l'élection du Pontife Romain, 8 décembre 1945, https://laportelatine.org/formation/magistere/constitution-apostolique-vacantis-apostolicae-sedis-1945-vacance-siege-apostolique-election-pontife-romain-2 :
C’est un texte qui fait 24 pages, titré et chapitré ainsi :
Titre premier
De la vacance du Siège Apostolique
Chapitre Premier
Du pouvoir du Sacré Collège des Cardinaux durant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre II
Des Congrégations (ou réunions) des cardinaux
Chapitre III
De quelques offices particuliers pendant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre IV
Des Sacrées Congrégations et tribunaux romains et de leurs pouvoir durant la vacance du Siège Apostolique
Chapitre V
Des funérailles du Pontife Romain
Titre II
De l’élection du Pontife Romain
Chapitre Premier
Des électeurs du Pontife Romain
Chapitre II
Des conclavistes et des autres personnes prenant part au Conclave
Chapitre III
De l’entrée en Conclave
Chapitre IV
De la fermeture du Conclave et du secret qui doit être gardé en tout ce qui se fait au Conclave
Chapitre V
De la forme de l’élection
Chapitre VI
De ce qui doit être observé ou évité dans l’élection du Pontife Romain
Chapitre VII
De l’acceptation et de la proclamation de l’élection ainsi que de la consécration et du couronnement du nouveau Pontife
Voici reproduit le titre premier du chapitre premier (1/2 page) : cela concerne les actes pris par le Collège des cardinaux pendant la vacance du Siège Apostolique, cela ne concerne pas les évêques hérétiques schismatiques qui agissent et ont toujours agi en dehors de l’Église, et sans son autorisation.
Titre premier
De la vacance du Siège Apostolique
Chapitre Premier
Du pouvoir du Sacré Collège des Cardinaux durant la vacance du Siège Apostolique
1. Pendant la vacance du Siège apostolique, le Sacré Collège des cardinaux n’aura absolument ni pouvoir ni juridiction en ce qui était du ressort du Souverain Pontife de son vivant, ni pour accorder des faveurs, ni pour exercer la justice, ni pour faire exécuter les décisions prises par le pontife défunt, mais il sera tenu de réserver tout cela au futur pontife[1]. C’est pourquoi Nous décrétons nul et sans valeur tout ce que, durant la vacance de l’Eglise, le Collège des cardinaux croirait de son propre chef devoir exercer du pouvoir ou de la juridiction appartenant au Pontife romain, de son vivant (si ce n’est dans la mesure expressément permise dans notre présente constitution) [2].
2. De même Nous prescrivons que le Sacré Collège des cardinaux ne puisse d’une manière quelconque disposer des droits du Siège apostolique et de l’Eglise romaine, et qu’il ne s’avise de léser directement ces droits en aucun point, ni qu’il semble leur porter atteinte par quelque connivence ou par la dissimulation de forfaits perpétrés contre eux, même après la mort du pontife ou pendant la vacance ; bien plus, Nous voulons que le Collège des cardinaux soit tenu de les sauvegarder et de les défendre de toutes ses forces[3].
3. Les lois portées par les Pontifes romains ne peuvent aucunement être corrigées ou changées par l’assemblée des cardinaux de l’Eglise romaine durant la vacance, rien ne peut y être soustrait ou ajouté, ni aucune dispense accordée pour l’ensemble ou une partie de ces lois. Cela vaut principalement pour les constitutions pontificales publiées pour régler l’élection du Pontife romain [4]. Bien plus, si on faisait ou si on cherchait à faire quoi que ce soit contre cette prescription, de Notre autorité suprême, Nous le déclarons nul et sans valeur.
4. Si certains doutes cependant naissaient sur le sens des prescriptions contenues dans Notre présente constitution, ou sur la façon dont elles doivent être mises en pratique, ou relativement à tout autre point de cette constitution, Nous ordonnons et décrétons que le pouvoir de porter sur elles une sentence appartienne uniquement au Sacré Collège des cardinaux ; pour cette affaire, Nous accordons à ce même Collège des cardinaux le plein pouvoir d’interpréter Notre présente constitution et d’en éclaircir les points douteux. En ce domaine, comme dans les autres sur lesquels il y aurait lieu de délibérer selon les directives de Notre constitution, à l’exception de l’acte même de l’élection, il sera pleinement suffisant que la majorité des cardinaux assemblés soit du même avis [5].
5. Pareillement, dans le cas d’une affaire urgente qui, d’après le vote de la majorité des cardinaux réunis, ne peut être renvoyée à plus tard, le Sacré Collège peut et doit, selon l’avis de la majorité, fixer la solution opportune [6].
Voilà le texte, il n’y a aucune possibilité de tirer la conclusion que sont nulles les ordinations épiscopales conférées par des évêques hérétiques et schismatiques, au prétexte que le Collège des Cardinaux n’a pas pu leur donner l’autorisation à la place du pape comme le préconise le texte de Pie XII, PUISQUE ces évêques se trouvant, par le fait de leurs hérésies et schisme, EN DEHORS DE L’EGLISE agissent précisément sans Son autorisation et sans mandat pontifical pour procéder à des ordinations épiscopales. Cela entraîne / a toujours entraîné la confusion car il y a notamment la présence réelle mais nous commettons un péché grave en nous y compromettant.
Après, c’est vrai qu’on se demande comment Dieu peut permettre que le saint sacrifice soit offert en dehors de son Eglise.
Je dirais: l’histoire du monde depuis l’avènement de NSJC et de son Eglise est comme rythmée par ces défections des hommes de Dieu, qui partent/sortent de l’Eglise avec leurs super pouvoirs que l’Église leur a donnés, influencés par des princes et des hommes de pouvoir avides de conquêtes terrestres, d’argent, etc. et ce qui va avec, eux-mêmes sous la coupe d’hommes-liges de la synagogues de satan poursuivant le double but d’accaparement de la terre entière, de prise de pouvoir total sur la terre entière pour au final détruire la création de Dieu, et de damnation du plus grand nombre dans le mensonge.
Par ailleurs les ennemis de l’Église ont comme besoin de la messe. C’est une thèse de Saint Bonaventure que la fin du monde arrivera quand le dernier prêtre offrant le saint sacrifice aura disparu. Parce qu’en définitive, ce qui apaise la colère de Dieu, c’est la sainte messe, « c'est à la messe que nous devons la conservation de ce globe. Sans elle les péchés des hommes auroient depuis long-temps amené la destruc tion de la terre". (Selva ou choix de sujets destinés à servir de matériaux aux prédicateurs , deuxième partie, p.7, saint alphonse de liguori). https://books.google.fr/books?id=i99UeKNMRBMC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
Autrement dit, pour la synagogue de satan, maîtriser un vivier de prêtres (illégitimes) en dehors de l’Église, c’est maîtriser le temps. Ce qu’ils visent c’est détruire la Création de Dieu, ils Le combattent, ils déploient toute leur haine et leur force pour détruire, par la technologie, ce que Dieu a créé, l’être humain, le ciel, la terre. Ils croient vraiment à leur truc, probablement pensent-t-ils même parvenir à défoncer le firmament. C’est probablement ce qu’il y a derrière toutes les conneries qu’on nous raconte sur la conquête de l’espace. Pour cela aussi qu’on nous a menti sur la forme de la terre, sur l’univers infini, etc. Tout est tellement énorme. Échafauder tous ces mensonges pour faire en sorte que les gens tournent en rond et se perdent dans un monde désormais complètement falsifié et inhumain… et finalement laissent corrompre et détruire leur humanité par la technologie.
Bref, tant qu’ils ne sont pas techniquement/technologiquement/scientifiquement prêts pour tout défoncer, ce que Dieu ne permettra de toute façon jamais c’est ce qu’ils ne comprennent pas, ils ont besoin d’un vivier de vrais prêtres (illégitimes) sous leur contrôle, offrant le saint sacrifice pour apaiser la colère de Dieu, et ainsi avoir la maîtrise sur le temps pour mener leur plan.
La grande impasse de la tradision peut aussi s’expliquer comme ça, avec Mgr L de l’agentur, placé pour faire patienter, tromper et faire perdre le temps, dérouter les meilleurs, qui se sont fait engloutir dans le monde moderne faute d’y avoir réfléchi, empêcher de prendre la route du Ciel.
Les élucubrations de teresa benns de même, faire tourner en rond, faire perdre le temps, dérouter les meilleurs, empêcher de consacrer du temps à régler sérieusement sa vie, conformément à Dieu et non pas au monde frelaté.
Mais à qui vous adressez-vous?
Qui a nié la Constitution de Pie XII... ?
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
gabrielle a écrit:Credo a écrit:Le texte de Pie XII ne prête pas à confusion. Par quelle mouche vous êtes vous laissés piquer.
Mais à qui vous adressez-vous?
Qui a nié la Constitution de Pie XII... ?
"Credo" reproche à certains, non pas d'avoir nié la Constitution de Pie XII, mais de l'avoir mal lue et mal comprise.
chartreux- Nombre de messages : 57
Date d'inscription : 13/10/2017
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
chartreux a écrit:gabrielle a écrit:Credo a écrit:Le texte de Pie XII ne prête pas à confusion. Par quelle mouche vous êtes vous laissés piquer.
Mais à qui vous adressez-vous?
Qui a nié la Constitution de Pie XII... ?
"Credo" reproche à certains, non pas d'avoir nié la Constitution de Pie XII, mais de l'avoir mal lue et mal comprise.
Ah bon! Merci, ce n'est pas mon fort de lire entre les lignes.
gabrielle- Nombre de messages : 19766
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
Décidémment, le pilpoul c'est pas votre truc Gabrielle, laissez donc cela aux rabbzins :^)
@Eric
Regardez, M. Zins continue de nous mettre du catéchismeludique ludovique, mais ça a l'air d'être du réchauffé, qqun de la boutique (chartreux par ex) peut-il confirmer ?
@Eric
Regardez, M. Zins continue de nous mettre du catéchisme
omeloneur- Nombre de messages : 532
Date d'inscription : 07/12/2022
Re: Les choses au clair pour Zins et omeloneur
C'est juste.omeloneur a écrit:@Eric
Regardez, M. Zins continue de nous mettre du catéchismeludiqueludovique, mais ça a l'air d'être du réchauffé, qqun de la boutique (chartreux par ex) peut-il confirmer ?
Il est bien noté en marge :
Le pauvre Alexandre doit se sentir aujourd'hui un peu pris en otage dans cette affaire....enregistrées en 2021
Ne compte pas sur "chartreux" pour avoir l'air de critiquer (même simplement dans la façon de faire) l’œuvre de son gourou !
Eric- Nombre de messages : 4550
Date d'inscription : 18/02/2009
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