Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
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Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
«La lumière de la vérité et le témoignage des siècles, c’est-à-dire l’histoire, nous enseignent, à condition d’y apporter un jugement sage et des recherches diligentes, que la divine promesse donnée par Jésus- Christ : «Je suis avec vous … jusqu’à la fin du monde», n’a jamais cessé de se réaliser pour son Épouse, l’Église, et qu’à l’avenir cette promesse ne lui fera non plus jamais défaut.
Et même, plus furieuses sont les vagues qui battent au cours des siècles la nacelle divine de Pierre, plus se constatent la présence et l’efficacité de la grâce céleste.»
Encyclique Lux Veritatis Pie XI 1931
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
''..sachant que même un miracle jusqu’à la résurrection de Pie XII le 13 octobre 1958, à quatre heures de l'après-midi, a pu être nécessaire pour y parvenir. ..''
Citation extraite de l'avant-dernier paragraphe de ce long texte qui reproduit tout ce qui a été dit dans la video :
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=QRtUh7zxeY0
Candide
il y a 2 mois
Transcription de l'exposé : Page 1
Le Dogme de l'Infaillibilité et de la Perpétuité de l’Église, inchangé, hier comme aujourd'hui
Après le Concile du Vatican de 1870 définissant le Dogme de l’infaillibilité du Pontife Romain ex cathédra, s’est introduit sournoisement et progressivement un égarement au sein d’une partie du clergé inférieur et de l’élite laïque se croyant instruite, sous l’impulsion des libéraux catholiques, des américanistes puis des modernistes et enfin des progressistes des années 1950, pour limiter l’infaillibilité du Magistère aux seules définitions extraordinaires, soit du Pape seul ex cathedra soit des Conciles œcuméniques, oubliant l’infaillibilité du Magistère ordinaire et universel de l’Église, c’est-à-dire, l’enseignement ordinaire du Pape et des Évêques dispersés, omission dénoncée par le Pape Léon 13, dans son Encyclique de 1899 sur l’américanisme Testem benevolentiae. Ainsi en pratique, les modernistes ont nié l'infaillibilité du Magistère ordinaire et universel de l’Église, les libéraux l’ont ignoré en rabaissant le devoir dû à ce Magistère ordinaire à une simple obéissance extérieure, de façade, alors même que c'est un assentiment de l'intelligence qu’il exige, obligation qui est aisée puisqu’infaillible. Puis, plus récemment, certains traditionalistes l’ont travesti, en le réduisant à la simple doctrine du passé, alors qu’universel signifie en tout temps et en tout lieu et que Magistère indique non seulement un objet de l'infaillibilité : l'enseignement, mais d’abord un sujet de l’infaillibilité, c'est à dire des hommes en chair et en os : le Pape et les Evêques dispersés.
D’un autre côté, pour asseoir leur raisonnement, qui conclut à tort que le Siège de Pierre est vacant depuis 1958, nombre de sédévacantistes, tout en rappelant avec raison l’infaillibilité du Magistère ordinaire, sont tombés volontiers, dans une première erreur dialectique. Ils se sont concentrés, en effet, bien souvent exclusivement, sur la seule infaillibilité papale et non sur celle de l’Église, aux risques de voir confondus au regard de leurs contradicteurs, ces deux infaillibilités distinctes, l’infaillibilité du Pape seul ex cathédra et l’infaillibilité du Magistère ordinaire de l’Eglise, incluant Pape et Évêques dispersés.
En effet, tout en ayant le même objet, l'infaillibilité du Magistère du Pape seul ex Cathédra concerne des jugements doctrinaux solennels assortis de définitions, alors que l'infaillibilité du Magistère ordinaire et universel de l’Église (et non du Pape seul) porte sur l'enseignement sans définitions, ordinaire et unanime, de doctrines sur la Foi ou les Mœurs (qu’il s’agisse de vérités révélées ou de vérités connexes à la Révélation) de l'Évêque de Rome et de tous les Évêques actuels (comme passés) dispersés sur la terre et qui, sont (ou ont été) en communion publique avec le Pape légitime régnant (ou passé), qui les confirme et qui est appelé pour cette raison Magistère ordinaire et universel de l’Église. Le Magistère ordinaire et Universel de l’Église est en effet exactement constitué du même organe, que celui des Conciles œcuméniques, savoir l'Évêque de Rome et l’unanimité des Évêques en union avec le Pape, avec cette différence que dans le premier cas le Pape et les Évêques sont dispersés et enseignent ordinairement sans définitions, tandis que dans le second cas le Pape et les Évêques sont réunis et jugent de façon extraordinaire avec définitions. Mais, dans les deux situations, leurs enseignements ou définitions doivent être approuvés tacitement ou explicitement, par le Pape régnant ou passé, pour être infaillibles. On peut expliquer ce Magistère ordinaire, de cette façon, c’est parce que, le Pape est le vrai pape et donc assisté par l’Esprit-Saint pour confirmer ses frères Évêques dispersés, qu’alors à la fois son propre enseignement ordinaire et celui de l’unanimité des Évêques dispersés de l’univers, sont exempts d’erreurs et identiques.
Ainsi le vrai raisonnement, concluant au caractère de non pape de Jean 23, est de constater le fait d'évidence que depuis les années 1963, avec notamment, l’encyclique pacem in terris, le magistère ordinaire et commun du supposé pape régnant d'alors Jean 23 et des évêques dispersés en union avec lui, qui devrait constituer théoriquement le Magistère ordinaire et universel de l’Église que les fidèles Catholiques professent de Foi être infaillible (sur les vérités révélées comme sur les vérités connexes à la Révélation) enseigne désormais les erreurs du libéralisme et de l’œcuménisme, erreurs déjà réprouvées par la voie du Magistère infaillible ordinaire et universel de plusieurs Papes antérieurs et des Évêques dispersés en accord avec ces mêmes Papes et confirmés par eux. Il suffit de citer les Encycliques Mirari vos de Grégoire 16, Quanta cura et le Syllabus de Pie 9, Libertas, Immortale dei ou Satis cognitum de Léon 13, Mortalium animos de Pie 11 ou Mystici corporis de Pie 12. On peut alors pour clarifier, résumer la démonstration, sous forme de syllogisme conditionnel, qui s’exprime ainsi : si Jean 23 avait été un vrai Pape légitime, l’enseignement ordinaire de lui-même et de l’unanimité des Évêques des années 1963 unis à lui, soit censément le Magistère ordinaire et universel de l’Église, aurait été exempt de toute erreur dont spécifiquement les erreurs du libéralisme et de l’œcuménisme, or , l’enseignement ordinaire de lui-même et de l’unanimité des Évêques des années 1963 unis à lui, soit censément le Magistère ordinaire et universel de l’Église, n’a pas été exempt de toute erreur dont spécifiquement les erreurs du libéralisme et de l’œcuménisme, donc Jean 23 n’était pas un vrai Pape légitime.
C’est pourquoi, la vrai solution, pour les catholiques désemparés d’aujourd’hui en Occident, est d'en déduire non que Jean 23 (et naturellement aussi ses successeurs) est un hérétique ou un franc-maçon ou que sais-je, mais qu'il s'agit d'un non pape, d'un faux pape, d'un antipape, non légitime, c'est-à-dire d'un schismatique, incapable de confirmer infailliblement et universellement ses frères Évêques dans leur Magistère qui donc désormais errent, conclusion logique tirée du dogme de l'infaillibilité du Magistère unanime des Évêques dispersés en accord avec le Pape et donc de l’infaillibilité de leurs enseignements communs. Cette argumentation ne comporte aucun jugement prohibé, portant sur un vrai Pape, puisqu’en réalité il s’agit d’un faux pape. Tout devient alors limpide, l'hypothèse d'un pape hérétique est une absurdité et est même une hérésie à titre public (et d'ailleurs ne s'est même jamais vue à titre privé) alors que l'histoire de l’Église, nous montre de nombreux exemples d'antipapes, c'est-à-dire de papes entre guillemets, schismatiques, certains devenus aussi ultérieurement hérétiques, tel l'antipape Novatien, faits conséquents puisque non assistés par l'Esprit-Saint. Les textes mis en avant, par nombre de sédévacantistes, dont Saint Robert Bellarmin, sur l'hypothèse d'un pape hérétique à titre privé, (récusée d'ailleurs par ce dernier lui-même), ainsi que la Bulle incontestablement abrogée, depuis le code de droit canonique de 1917, Cum ex apostolatus de Paul 4 de 1559, sont des diversions inutiles, embrouillant l'esprit, qui cachent la seule et vraie conclusion essentielle Jean 23 est un schismatique, un antipape.
Tandis que le fait qu'il fut un cardinal hérétique public, reste à prouver, bien qu'il fût avec certitude un antipape libéral (le libéralisme religieux est une erreur, un péché contre la Foi, non une hérésie et ne fait pas perdre de soi la juridiction, exemple : Monseigneur Dupanloup). Si au prime abord , la conclusion de nombre de sédévacantistes que les papes, entre guillemets postérieurs à Pie 12, à commencer par Jean 23, sont des non-papes, paraît droite, relevant du neuvième article du Credo, où les fidèles Catholiques, professent croire que l’Église est Sainte et donc ne peut se tromper, la logique de leur démonstration est pourtant fausse si leur raisonnement, à partir de l'infaillibilité du Magistère ordinaire et universel de l’Église, aboutit à l'affirmation que Jean 23 est un hérétique, alors que la vraie conclusion, c'est qu'il s'agit d'un non pape, d'un antipape.
La deuxième et plus énorme insuffisance, cette fois-ci de tous les sédévacantistes, tels qu'ils se définissent, c'est de paraître ignorer malgré le neuvième article du Credo, que l’Église est Apostolique et que la mission des Évêques durera tous les jours, jusqu'à la fin du monde et que cette mission ne peut être attribuée que par un Pape légitime et personne d'autre (Canon 953 du Code de droit canonique de 1917).
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Transcription de l'exposé : Page 2
Ainsi, la mission qu'ont cru reconnaître, nombre de sédévacantistes, mais aussi de traditionalistes, parmi des évêques autoproclamés, sans juridiction d'origine papale légitime, ou curés de chapelles, sans mission d'un Évêque légitime, ni lettres dimissoriales, est une tromperie (Canon 953, 2370, 2372, 2374, 81, 13.1, 16.2, 17.1, 18 et 19), qui ne répond en rien au Dogme de la perpétuité du Magistère apostolique de l’Église, de même que ceux qui se proclament seuls fidèles en s'imaginant, comme la Petite église anticoncordataire du Poitou, être membres d'une église qui serait universellement sans Pape, sans Évêques et sans prêtres. C'est pourquoi, sous l'Empire français, refusant, lors du conciliabule de Paris de 1811, d'obtempérer aux ordres de Napoléon, d'instituer des Évêques, sans l'accord du Pape, (alors prisonnier à Fontainebleau), sous prétexte de risque d'extinction définitive de la hiérarchie, un Évêque de Gand, Monseigneur Maurice-Jean de Broglie, subit le martyre des geôles du Donjon de Vincennes, pour lui avoir adressé un mémoire, où l'on retient ces phrases lumineuses : « Il appartient donc à la Foi, que sans bulles pontificales on ne peut être Évêque légitime, que sans elles, on est Évêque schismatique, privé de juridiction, et séparé de la communion de l’Église Catholique » Canon 2370). Il résumait alors, la même doctrine que Pie 6, dans son bref Caritas de 1791 ou celle rappelée par Pie 12, dans son Encyclique du 29 Juin 1958, Ad Apostolorum principis, adressée à l’Eglise de Chine, que l’Eglise souterraine chinoise fidèle à Rome a nécessairement suivie, à moins qu’un Pape légitime se trouve en relation avec elle (Canon 953).
On arrive ainsi à la seconde conclusion, tirée du Dogme de la Perpétuité du Magistère de l’Église (après le caractère d'antipape de Jean 23 et donc de son élection nécessairement illégitime, le 28 octobre 1958, déduit du Dogme de l'infaillibilité du Magistère ordinaire et universel de l’Église, comprenant Évêques dispersés et Pape) qui est le maintien obligatoire d'une Apostolicité légitime au-delà du 28 Octobre 1958, date clôturant le Conclave ayant choisi l'antipape Jean 23. On s’étonnera d’ailleurs, que selon les Acta apostolicae sedis, le certificat de décès de Pie 12 ait été établi illégalement, 8 minutes après sa mort officielle, le 9 octobre 1958 à 3 heures 52, par le Cardinal Tisserant, doyen du Collège des Cardinaux, alors qu'il devait l'être juridiquement par le Cardinal Camerlingue de la Sainte Église Romaine, le Cardinal Masella, choisi seulement 8 heures plus tard, et aidé du Chancelier de la Sainte Église Romaine soit le deuxième personnage de l'Église après le Pape, à cette date le Cardinal Costantini, alors absent car hospitalisé et qui devait décéder le 17 Octobre 1958.
On ne doit pas se cacher l'objection, qui est le fait qu'aucun des 51 Cardinaux ayant participé au Conclave des 25 au 28 octobre 1958, n'ait contesté publiquement la canonicité de cette élection, cette dernière a donc toutes les allures extérieures de la légitimité (Canon 219).
Pourtant la logique du Dogme de l'infaillibilité du Magistère ordinaire et universel de l’Église, nous fait conclure l'inverse et que Jean 23 est un antipape, et donc son élection non canonique. Le seul motif, pour résoudre cette contradiction apparente, c'est que le Conclave n'avait pas le droit de se réunir le 25 octobre 1958 et qu'un événement antérieur est survenu assurant la pérennité d'une Papauté légitime, avant le 25 octobre 1958. Quel est cet événement ? Jusqu'à aujourd'hui, on l'ignore en Occident, mais comme les Catholiques japonais des 17ème et 18ème siècle qui croyaient en récitant le Credo en la persistance d'une hiérarchie catholique légitime dans le monde, bien qu'ils fussent dans leurs contrées, sans prêtres ni Évêques légitimes, on est certain de cette pérennité, par les promesses de Notre-Seigneur à ses Apôtres (non aux disciples), quand Il leur ordonnait d'enseigner : « Je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. » (Saint Mathieu 28, 18) et « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. » (Saint Luc, 21, 33). On remarquera d'ailleurs que dans l'histoire de l’Église, toujours les antipapes ont été élus alors qu'un pape légitime existait auparavant, et non l'inverse.
En effet, tous les jours dans l’Église doit se maintenir, à côté d’un ministère visible, d’un gouvernement visible, un Magistère d’enseignement visible, formé d’Évêques, eux-mêmes institués par un Pape légitime (on notera que le dernier Évêque créé par Pie 12 est décédé en 2001). Pas une minute, ce Magistère ne peut disparaître, affirmait ainsi Bossuet, dans une de ses controverses avec les protestants. Un ministère et un gouvernement pérenne, se maintient-il, pourtant partiellement, pour le bien des Fidèles, par suppléance dans les Cardinaux et Évêques de l'antipape Jean 23 et de son successeur l’antipape Paul 6, promus par eux ou unis à eux ? La réponse est oui, (seulement jusqu'en 1969, voir explications ci-dessous), exactement comme lors du grand Schisme de 1378 à 1417, avec la lignée de l'antipape Clément 7, à laquelle a adhéré, un temps, le grand Saint Vincent Ferrier. En effet, tous les Cardinaux et Évêques, promus de 1958 à 1969, ont possédé une juridiction de suppléance, conformément au Code de droit canonique de 1917 (Canon 209), quand bien même leur institution provient d'un antipape, admis par erreur commune en Occident et dans une partie de l'Orient (la Chine étant alors isolée), comme Pape légitime et tant que dure évidemment cette erreur générale.
Ce ne sont que les Cardinaux et les Évêques, apostats publics de la Foi Catholique qui perdent ipso facto leur juridiction, sans déclaration, puisqu’il ne s’agit alors ni d’un jugement, ni d’une peine (Canon 188.4), mais la conséquence d’un acte personnel volontaire, la renonciation publique au culte catholique, où s’exprime cette Foi. Or c'est le fait, de tous les Cardinaux et des Évêques, unis à l'antipape Paul 6, à compter de 1969, qui ont adoptés la cène calviniste, lors de l'introduction du nouvel ordo missae de l'antipape Paul 6, ne professant plus et donc ne réalisant plus désormais le caractère sacrificiel et propitiatoire de la Messe. Il faut bien distinguer, en effet, les ecclésiastiques, apostats publics de la Foi catholique du Canon 188.4, c'est-à-dire ceux qui ne professent plus publiquement, dans l'usage de leurs rites la Foi Catholique, avec les hérétiques simples ou les schismatiques, qui continuent à professer la Foi Catholique par l'emploi public de rites orthodoxes, tout en confessant par ailleurs des hérésies ou participant à un schisme de fait. Les premiers perdent ipso facto leur juridiction, alors que les seconds la conservent, jusqu'à ce qu'ils soient jugés en propre, bien qu'ils soient excommuniés ipso facto (avec les réserves exposées immédiatement plus bas, pour l'excommunication).
Ainsi, les Cardinaux et Évêques, unis à l'antipape Jean 23, puis à l'antipape Paul 6, promus avant 1958 ou entre 1958 et 1969, bien que schismatiques de fait à compter du 28 Octobre 1958, ne subissent aucune peine d'excommunication ipso facto (Canon 2314.1) en l'absence de dol et d'imputabilité (Canon 2218.2). Et d'ailleurs les Cardinaux ne peuvent subir une peine que directement de la part du Pape légitime (Canon 2227.2). Même des Cardinaux ou Évêques hérétiques modernistes, occultes, publics ou notoires, gardent leur juridiction, tant qu'elle ne leur a pas été retirée par le jugement propre d'un vrai pape (Canon 1557.2 et 3). Par exemple, un Cardinal que les historiens savent désormais avoir été déjà hérétique occulte, à cette date, Odet de Coligny, frère de l’Amiral, fut nommé pourtant en 1559 Grand Inquisiteur par Pie 4 et il aurait pu participer légitimement la même année, à son élection. Cependant, s’il avait été élu à la place de Pie 4, il aurait été soumis à la Bulle de Paul 4 Cum ex apostolatus, alors toujours en vigueur (hypothèse que Benoît 15, nous démontre comme devant être impossible, en l’abrogeant dans son code de 1917). Et même des Évêques hérétiques, modernistes, qu'ils soient occultes, publics ou notoires, quoique excommuniés ipso facto Canon 2314.1 (les Cardinaux, répétons-le, eux ne peuvent être excommuniés que par le Pape, Canon 2227.2) demeurent des excommuniés tolérés tant qu'ils n'ont pas été nommément déclarés comme tels par le Pape légitime (décision de l'Extravagante Ad evitanda scandala de Martin 5 de 1418 modifiant la législation antérieure et codifiée à l'identique dans son esprit dans le droit canon actuel de 1917 de Benoît 15 Canon 2258.2). Et encore, ce n'est seulement qu'en cas d'hérésie notoire que l'on est en droit au for externe d'en exiger l'observation (Canon 2232.1 et 2259.2).
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Transcription de l'exposé : Page 3
C'était déjà le cas antérieurement, par exemple d’un Évêque d'Albi, comme Monseigneur Mignot, des années 1900, ami de Loisy et moderniste quasi public, bien qu’hérétique et excommunié ipso facto selon le droit canon de l'époque, mais toléré en l'absence de déclaration, conservait cependant toute sa juridiction d’Évêque, tout comme au 18ème siècle les Évêques jansénistes hérétiques plus ou moins occultes. Ainsi, conséquence de l'erreur commune, entre 1958 et 1969, tous les Cardinaux et Évêques, de fait schismatiques, qu'ils soient pleinement orthodoxes, notamment de 1958 à 1960, «conservateurs» ou libéraux ou carrément modernistes hérétiques (pour ces derniers excommuniés tolérés) publics ou occultes, ont possédé de droit une juridiction et leurs sacrements donnés selon les rites catholiques inchangés ont été valides et licites pour les fidèles, y compris auprès d'ecclésiastiques modernistes qui, quoiqu’hérétiques, restaient seulement des excommuniés tolérés car non dénoncés nommément (Canon 2261.2). Alors qu'après 1969, acceptant la cène calviniste et apostasiant la Foi Catholique, leur juridiction est devenue inexistante (Canon 188.4), et leurs sacrements altérés de l'Eucharistie et de l'Ordre par défaut de forme, mais aussi celui de la Pénitence (pour cette dernière, du fait de la perte de juridiction Canon 872) sont désormais invalides et aussi illicites (Canon 1258).
Quant aux 4 autres Sacrements, ce n'est pas le sujet d'en évoquer ici la validité ou non, puisque même supposés hypothétiquement valides, tout au moins certainement, pour seulement deux d’entre eux, le Baptême (sauf changement de matière ou de forme) et le Mariage (en l'absence d'empêchements dirimants), il n'est pas permis de toute façon aux fidèles (sauf obligation de politesse avec attitude passive), d'assister activement ou de prendre part, sous quelque forme que ce soit, aux rites sacrés non catholiques (Canon 1258).
Une vacance persistante jusqu’à aujourd’hui du Saint-Siège (64 ans !), alors que tous les Cardinaux de Pie 12 et y compris tous les Cardinaux de suppléance ( Canon 209 du Code de droit canonique de 1917), des antipapes Jean 23 et Paul 6, ( jusqu'en 1969, et non au-delà, puisqu’après cette date, établissant la cène calviniste, tous sont devenus apostats de la Foi catholique et ont perdu leur juridiction ipso facto, Canon 188.4) sont tous décédés, fait conclure à une impossibilité d'obtenir un successeur légitime sur le siège de Saint-Pierre. Or, c'est une affirmation insoutenable, comme l'écrit Saint François de Sales, « Saint Pierre a eu des successeurs, en a encore et aura jusqu'à la consommation du siècle ».
Certains, attendent un miracle dans le futur pour sauver la pérennité du Magistère de l’Église, mais ce miracle doit nécessairement déjà avoir eu lieu, entre le 9 octobre et le 25 octobre 1958, soit entre le décès de Pie 12 et la réunion du Conclave élisant l'antipape Jean 23, période où Cardinaux et Évêques n'étaient pas encore devenus schismatiques de fait, vu qu'un Magistère légitime doit tous les jours se maintenir. C’est ici que l'on doit prêter attention, à un fait miraculeux rapporté par le Cardinal Tedeschini dans un discours solennel à Fatima, en tant que légat apostolique au Portugal le 13 Octobre 1951 : le renouvellement du spectacle du miracle du soleil, aux yeux du Pape Pie 12, dans les jardins du Vatican à 4 heures de l'après-midi, un an auparavant, le premier Novembre 1950, date de la proclamation infaillible « ex Cathédra » du Dogme de l'Assomption, ainsi que la veille, l'avant-veille, puis dans l’Octave de la Toussaint, tableau reproduisant une danse du soleil avec impression imminente de sa chute et de fin du monde, comme à la Cova da Iria lors des apparitions aux enfants de Fatima le 13 Octobre 1917.
Ses hagiographes avaient d'ailleurs déjà, de son vivant, souligné la coïncidence de date entre le jour de la consécration épiscopale du Pape Pie 12 et le miracle du soleil survenu à Fatima le 13 octobre 1917. Or, le Pape Pie 12 a été inhumé le 13 octobre 1958 à 4 heures de l'après-midi, (son tombeau provisoire devait être la Chapelle de la Bocciata, dans les grottes de la Basilique du Vatican, quand un changement de dernière minute fit choisir son emplacement actuel et définitif, face à la Chapelle Clémentine, à quelques mètres des ossements aux vertus miraculeuses de Saint-Pierre, lui-même ayant guéri des malades rien qu’avec son ombre, ou ayant ressuscité des morts, tel Tabitha ou même après 40 jours après leur décès, avec l’aide de son bâton, le prêtre Saint Austriclinien ou l’Evêque Saint Materne, ou encore Saint Georges, Evêque du Puy. On se rappellera que lors des cérémonies des funérailles des Papes, la tradition avait l’habitude d’exposer sur le fronton de l’autel de la chapelle Sixtine, une tapisserie représentant la Résurrection de Lazare, lui-même ressuscité au quatrième jour. Avec de tels signes, on peut être certain que la Vierge de Fatima est intervenue, auprès de son Fils, assistée des prières de Saint-Pierre, pour que les portes de l'enfer, ne prévalent pas, le 13 octobre 1958, à 4 heures de l'après-midi, comme Notre-Seigneur nous l’a prédit lui-même dans son Evangile. Et le quatrième mémoire de 1941, de la voyante de Fatima, Sœur Lucie (la vraie), formant les premières phrases du troisième vrai Secret jamais révélé, nous orientent vers la solution, des attaques infernales contemporaines contre l’Église : « Au Portugal, se conservera toujours le Dogme de la Foi ».
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Transcription de l'exposé : Page 4
Or, qu'est-ce que le principe de la Foi, si ce n'est la Papauté? En sachant que le Portugal, en 1941, outre son territoire métropolitain, comprenait aussi ses provinces ultramarines depuis l'Angola, le Mozambique, le Cap-Vert, la Guinée Bissao, le Timor oriental, l’Inde portugaise ou Macao (sous souveraineté portugaise perpétuelle, selon le traité de Pékin de 1887).
On remarquera, que lors des apparitions du 13 octobre 1917, depuis l’extrême pointe occidentale de l’Europe, la Vierge de Fatima s’est éloignée en ligne rectiligne vers l’Est. On mentionnera d’ailleurs, un fait quasi caché par les médias occidentaux, la reproduction du miracle du soleil de Fatima, le 23 mai 1995 sur le lieu du pèlerinage national de Notre-Dame de Chine de Donglu, à 180 kilomètres de Pékin, qui serait survenu devant 30.000 pèlerins, en présence de 4 Evêques de l’Eglise souterraine chinoise et reconnue par l’Evêque du lieu. On se rappellera que cette région fut occupée par 15.000 Français, lors de la révolte des Boxers en 1900, où de très nombreux catholiques furent martyrisés et que lors de la défense de la Cathédrale de Pékin, où s’illustra l’enseigne de vaisseau Paul Henry, cette dernière, reçut aussi, comme à Donglu, l’insigne visite de la Vierge (le curé de Donglu d’alors était un Français le lazariste René Flament et son Evêque Monseigneur Fabrègues).
( https://no.wikipedia.org/wiki/Donglü )
On observera enfin, que si les informations portant sur l’Eglise catholique dite souterraine en Chine qui nous parviennent en Occident, relèvent quasi toujours de la désinformation où les autorités Communistes athées ( les Saducéens d’aujourd’hui) et Pharisiennes modernistes devenus apostates, toutes deux persécutrices, sont complices derrière une opposition de façade, conforme à la dialectique marxiste, il n’empêche que certains faits de nature publique et extraordinaire tels celui de Donglu leur sont plus difficiles à masquer.
On ajoutera que le projet venu de Chine, avec la covid 19, de contrôle universel de la population par la géolocalisation, voire déjà avec la reconnaissance faciale, n’est peut-être pas indifférent, avec un but réel de tenter d’interdire toute tentative de communication d’étrangers avec cette Eglise clandestine chinoise.
En effet, celle-ci représente la véritable Eglise Catholique, constituée d’Evêques, issues nécessairement d’un Pape légitime, conformément à l’Encyclique de Pie XII du 29 juin 1958, Ad apostolorum principis et répond aux souhaits de sa Lettre apostolique Veritas, du 27 mars 1952 : « Nous désirons baiser les chaînes de ceux qui, injustement emprisonnés, pleurent et s'affligent pour les attaques contre la religion, pour la ruine des institutions sacrées, pour le salut éternel de leur peuple mis en péril, plus que pour leurs propres souffrances et pour leur liberté perdue ».
Alors que les puissances de l'enfer croient avoir atteint leur objectif de détruire l'Église, tentant depuis plus de deux siècles de la pénétrer secrètement de l'intérieur comme un cheval de Troie, avec, selon le témoignage du célèbre jésuite Barruel, le projet connu depuis 1806 de la franc-maçonnerie universelle, héritière du complot janséniste de Bourg-Fontaine, d’introduire l'un d'entre ses membres, au sommet de la hiérarchie, nous devons comprendre qu'elles n'ont pu produire qu'un antipape désormais dévoilé Jean 23, et aussi avec Paul 6 et ses successeurs depuis 1969, que des apostats de la foi catholique.
Soyons également certains, conformément aux promesses divines, qu'avant, comme après, la date du conclave nécessairement non canonique du 25 octobre 1958, un magistère apostolique romain a subsisté et perdure, car comme l'a expliqué le pape Pie 12 dans sa dernière encyclique Meminisse Iuvat du 14 juillet 1958, avec ces paroles de marbre : " La société fondée par le Christ peut être attaquée, mais non vaincue, parce qu'elle ne tire pas sa force des hommes mais de Dieu ".
Or qui dit Société organique, comme le Corps mystique de Notre-Seigneur, dit un Chef, des corps intermédiaires, et des sujets, soit un pasteur le Pape, des brebis les Évêques, et des agneaux les Fidèles.
Par conséquent, un pape légitime doit nécessairement persister dans le monde aujourd'hui, ou en cas d'une vacance du Saint-Siège, un collège d'électeurs légitimes, visiblement (c'est-à-dire qui peut être vu), même s'il a lieu au fond d’une grotte, d'une montagne ou d'une catacombe, comme lors de la persécution de Dioclétien, ainsi que des évêques légitimes (au moins trois pour consacrer un autre évêque), et des fidèles unis à ces mêmes autorités légitimes et participant aux mêmes sacrements, voire seulement, que spirituellement et professant toutes les vérités enseignées par le magistère de l'Église depuis deux mille ans, sachant que même un miracle jusqu’à la résurrection de Pie XII le 13 octobre 1958, à quatre heures de l'après-midi, a pu être nécessaire pour y parvenir.
La conclusion, peut être résumée dans un texte de 1799, du Camaldule Maur Cappellari, futur Grégoire 16, dans son ouvrage, Triomphe du Saint-Siège et de L’Église : « la partie des Pasteurs, qui au milieu des contradictions les plus adroites, des prétentions les moins fondées, des usurpations les plus illégitimes, en un mot à travers les plus épaisses ténèbres du fanatisme, de la violence et de l'ambition, opposerait une résistance invincible et seule échapperait à la séduction, ce clergé, dis-je, composerait exclusivement la véritable Église, et aurait par conséquent, les notes et les qualités de la véritable Église, qui ne peut en être dépouillée, non plus que de la connaissance théorique et pratique de son gouvernement ».
Donc, si j'ai bien compris, le pape Pie XII aurait ressuscité. Et ensuite, qu'est-il arrivé de lui ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Merci Roger pour le texte.
Un flot d'ineptie semblable est incroyable.
FRANC, ne vous avisez plus de poster de tels aberrations , elles seront immédiatement enlevées.
Un flot d'ineptie semblable est incroyable.
FRANC, ne vous avisez plus de poster de tels aberrations , elles seront immédiatement enlevées.
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Tu sais Roger, FRANC n'a jamais eu le courage de ses convictions, généralement il ne répond pas, sinon que par un autre texte... tout ce qu'il sait faire, est de venir placé un texte tordu et de s'enfuir.... je me demande qui se cache sous se pseudo?
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
C'est juste des hypothèses ; avec ça on va pas loin.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Roger Boivin a écrit:
C'est juste des hypothèses ; avec ça on va pas loin.
En fait, ce genre d'hypothèses ne servent qu'à une chose jeter le discrédit sur les véritables catholiques.
C'est un travail de sape
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
"FRANC", comme le diacounet VMZ, joue sur deux tableaux afin d'être presque certain de ne pas perdre la face.gabrielle a écrit:Roger Boivin a écrit:
C'est juste des hypothèses ; avec ça on va pas loin.
En fait, ce genre d'hypothèses ne servent qu'à une chose jeter le discrédit sur les véritables catholiques.
C'est un travail de sape
C'est astucieux mais, surtout, minable !
Eric- Nombre de messages : 4550
Date d'inscription : 18/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Les braves "FRANC" et VMZ partant pour la Chine, main dans la main, afin de retrouver les vestiges de la succession apostolique "perdue de vue derrière le rideau de bambou" .
La belle image !
La belle image !
Eric- Nombre de messages : 4550
Date d'inscription : 18/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Par l'intermédiaire de la voyante de Fatima, Sœur Lucie ( la vraie ), Notre Dame de Fatima, nous a laissé un message, pour nous éclairer : « Em Portugal se Conservará sempre o Dogma da Fé », ce qui se traduit ainsi « Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours conservé »
( cf. « Fatima : the facts », RP. Joao de Marchi, missionnaire de la Congrégation de la Consolata, imprimatur et Nihil obstat 1950
https://archive.org/details/fatimafacts0000marc/page/67/mode/1up
https://archive.org/details/fatimafacts0000marc/page/227/mode/1up )
c’est-à-dire, « Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours gardé »
( https://crisco4.unicaen.fr/des/synonymes/conserver ).
Or qui est le gardien du dogme ? la réponse nous est donnée, dans l'allocution de Saint Pie X, tenue le 18 novembre 1912 aux prêtres de l'association de « l'union apostolique », que vous avez reproduite récemment, très à propos, le 27 Octobre 2022 à 12h 10,
( https://messe.forumactif.org/t9370-quand-on-aime-le-pape-18-novembre-1912#164030 )
: « Le Pape est le gardien du Dogme ».
Conclusion : Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours gardé par un Pape, le seul, qui est susceptible de garder le Dogme de la Foi, les autres fidèles n’étant pas des gardiens du Dogme mais des croyants au Dogme.
Soit en résumé, au Portugal, par un Pape, gardien du Dogme, sera toujours conservé le Dogme de la Foi.
Pour le reste, toute la question est de savoir si l’on croit ou non dans le Dogme Catholique de la Perpétuité du Magistère de l’Eglise, jusqu’à la fin du monde.
PS. : Ne pas être abusé par toutes les tentatives pour saboter depuis les années 1960, par les antipapes «conciliaires», le Message de Notre-Dame de Fatima, depuis le silence sur les règles de la dévotion au Coeur immaculée de Marie, la nouvelle architecture de son Sanctuaire, l’invention d’une fausse sœur Lucie, ainsi que d’un faux troisième Secret, avec toute la littérature qui lui est annexe, raison pour laquelle je n’ai fait référence qu’à un ouvrage des années 1950.
( cf. « Fatima : the facts », RP. Joao de Marchi, missionnaire de la Congrégation de la Consolata, imprimatur et Nihil obstat 1950
https://archive.org/details/fatimafacts0000marc/page/67/mode/1up
https://archive.org/details/fatimafacts0000marc/page/227/mode/1up )
c’est-à-dire, « Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours gardé »
( https://crisco4.unicaen.fr/des/synonymes/conserver ).
Or qui est le gardien du dogme ? la réponse nous est donnée, dans l'allocution de Saint Pie X, tenue le 18 novembre 1912 aux prêtres de l'association de « l'union apostolique », que vous avez reproduite récemment, très à propos, le 27 Octobre 2022 à 12h 10,
( https://messe.forumactif.org/t9370-quand-on-aime-le-pape-18-novembre-1912#164030 )
: « Le Pape est le gardien du Dogme ».
Conclusion : Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours gardé par un Pape, le seul, qui est susceptible de garder le Dogme de la Foi, les autres fidèles n’étant pas des gardiens du Dogme mais des croyants au Dogme.
Soit en résumé, au Portugal, par un Pape, gardien du Dogme, sera toujours conservé le Dogme de la Foi.
Pour le reste, toute la question est de savoir si l’on croit ou non dans le Dogme Catholique de la Perpétuité du Magistère de l’Eglise, jusqu’à la fin du monde.
PS. : Ne pas être abusé par toutes les tentatives pour saboter depuis les années 1960, par les antipapes «conciliaires», le Message de Notre-Dame de Fatima, depuis le silence sur les règles de la dévotion au Coeur immaculée de Marie, la nouvelle architecture de son Sanctuaire, l’invention d’une fausse sœur Lucie, ainsi que d’un faux troisième Secret, avec toute la littérature qui lui est annexe, raison pour laquelle je n’ai fait référence qu’à un ouvrage des années 1950.
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Et ce pape il se nomme?
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
gabrielle a écrit:Et ce pape il se nomme?
Si Dieu permet de nous le faire ignorer, dans notre Occident, il doit avoir ses suprêmes raisons de justice et de miséricorde, que je vous laisse découvrir.
Raisons pour remercier avec ferveur, Notre-Dame de Fatima, de ne pas nous abandonner, en nous laissant par son message de Fatima, ces quelques signes, nous assurant que Jésus-Christ reste souverainement fidèle dans ses promesses, de toujours maintenir la barque de Pierre.
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
FRANC a écrit: « Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours conservé »
« Le Pape est le gardien du Dogme ».
Conclusion : Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours gardé par un Pape, le seul, qui est susceptible de garder le Dogme de la Foi, les autres fidèles n’étant pas des gardiens du Dogme mais des croyants au Dogme.
Ce n'est pas le même verbe.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Exact Roger, mais dans le même contexte:Roger Boivin a écrit:FRANC a écrit: « Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours conservé »
« Le Pape est le gardien du Dogme ».
Conclusion : Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours gardé par un Pape, le seul, qui est susceptible de garder le Dogme de la Foi, les autres fidèles n’étant pas des gardiens du Dogme mais des croyants au Dogme.
Ce n'est pas le même verbe.
Conserver c'est dans le sens préserver quelque chose dans son état actuel, ne pas en modifier l'état ou très peu.
Garder c'est plutôt dans le sens, avoir la garde de quelque chose, en avoir la possession, l'avoir sous sa surveillance.
Monique- Nombre de messages : 13764
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
FRANC a écrit:Soit en résumé, au Portugal, par un Pape, gardien du Dogme, sera toujours conservé le Dogme de la Foi.
Et lors de ces vacances du Saint-Siège, entre :
saint Marcelin et saint Marcel 1er, 304-308,
Honorius 1er et Séverin, 638-640,
Clément IV et saint Grégoire X, 1268-1271,
Nicolas IV et saint Célestin V, 1292-1294,
Clément V et Jean XXII, 1314-1316,
Jean XXIII et Martin V, 1415-1417,
comment le Dogme s'est-il conservé ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Monique a écrit:
Exact Roger, mais dans le même contexte:
Conserver c'est dans le sens préserver quelque chose dans son état actuel, ne pas en modifier l'état ou très peu.
Garder c'est plutôt dans le sens, avoir la garde de quelque chose, en avoir la possession, l'avoir sous sa surveillance.
Pour traduire la phrase en cause depuis le portugais, je me suis servi du logiciel DeepL ainsi que la traduction anglaise mot à mot de l’ouvrage rapportée, traduction peut-être imparfaite ( « Au Portugal, le Dogme de la Foi sera toujours conservé » )
Pour être exact, dans la majorité des traductions en français, la phrase est donnée ainsi : « Au Portugal, se conservera toujours le Dogme de la Foi ».
Le verbe « conserver » devient alors pronominal et ici au sens passif, puisque le sujet (le dogme) subit l’action, mais ne l’accomplit pas. Certes l’agent actif (le Pape), comme bien souvent dans l’usage de la forme pronominale passive, n’est pas indiqué, mais on le devine, puisque dans l’Eglise, seul le Pape, est capable de toujours conserver le Dogme. C’est justement l’objet de l’allocution de Saint Pie X, de 1912, qui a été retranscrite, par un membre du forum : « le Pape est le gardien du Dogme ».
Si on interroge, un dictionnaire, comme celui du CNRTL au verbe « conserver », dans sa forme pronominale, passive ( https://www.cnrtl.fr/lexicographie/conserver ) et celui de l’ATILF pour le verbe « garder », toujours dans sa forme pronominale, passive ( http://stella.atilf.fr/Dendien/scripts/tlfiv5/visusel.exe?109;s=384391080;r=2;nat=;sol=13; ), on obtient la même signification, avec notamment pour exemple : « Ça se garde très bien la choucroute, tu sais… » et pour équivalent « se conserver »…
En sachant, pour suivre cet exemple trivial, qu’afin que se conserve la choucroute, il faut un charcutier, le vin un sommelier, et le Dogme un Pape…
Votre remarque est pourtant très juste, le verbe se conserver est en fait plus fort que se garder, pour expliquer le caractère de préservation contre l'altération, privilège que seul possède le Pape au regard du Dogme.
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Et lors de vacance, comment se conservait le Dogme s'il n'y avait pas de pape ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Roger Boivin a écrit:
Et lors de ces vacances du Saint-Siège, entre :
saint Marcelin et saint Marcel 1er, 304-308,
Honorius 1er et Séverin, 638-640,
Clément IV et saint Grégoire X, 1268-1271,
Nicolas IV et saint Célestin V, 1292-1294,
Clément V et Jean XXII, 1314-1316,Jean XXIIIGrégoire XII et Martin V, 1415-1417,
comment le Dogme s'est-il conservé ?
Pendant une vacance pontificale, l’Eglise a toujours, au ciel, un même Chef invisible, Jésus-Christ (cf. Encyclique Mystici corporis de Pie XII du 29 Juin 1943), qui assure par l’assistance continuelle du Saint-Esprit (Canon 1322.1), que se conserve toujours sur la terre, le Dogme de la Foi, dont le primordial, dans ces circonstances, est celui de la Constitution monarchique de l’Eglise Romaine, par les électeurs de droit, que sont les Cardinaux, réalisation pourvue en pratique, avec plus ou moins de célérité, en suivant les Constitutions du dernier Pape défunt.
Une explication claire en est donnée par le Chanoine Jean-François Bétemps (9 Mai 1763 -8 Décembre 1843), confesseur et conseiller de Pauline Jaricot et du Saint Curé d’Ars (cf. https://messe.forumactif.org/t3517p705-liens-ou-signets-de-livres-catholiques-numerises#111623 ), dans son ouvrage, « Doctrine du Clergé de France, approuvée par le Saint-Siège », daté de 1822.
https://books.google.fr/books?id=mlijqgTLf8QC&hl=fr&pg=PA161
Pour notre temps, comme il a déjà été démontré que Jean XXIII est un antipape, c’est-à-dire celui qui s’oppose à un vrai Pape, nous sommes ainsi certains qu’antérieurement à Jean XXIII, il existait déjà un vrai pape.
Quant aux autres dogmes, durant une vacance pontificale, aucun ne peut être défini en concile œcuménique, qui n’a pas le droit de se réunir durant une vacance pontificale (Canon 229 du CIC de 1917). C’est pourquoi, durant les premières sessions illégales du Concile de Constance (car non convoqué alors par le Pape légitime Grégoire XII), ce dernier a professé l’erreur de la supériorité du concile sur le pape.
Par ailleurs selon le canon 1326, les Evêques individuellement ne sont pas infaillibles : « Quoiqu’individuellement ou réunis en concile particuliers ils ne jouissent pas de l'infaillibilité dans leur enseignement, les évêques sont aussi, sous l'autorité du pontife romain, les vrais docteurs et les vrais maîtres des fidèles confiés à leurs soins. »
Pie XI, dans son Encyclique Mortalium animos du 6 Janvier 1928, précise aussi : « le Magistère de l'Eglise - lequel, suivant le plan divin, a été établi ici-bas pour que les vérités révélées subsistent PERPETUELLEMENT intactes et qu'elles soient transmises facilement et sûrement à la connaissance des hommes - s'exerce chaque jour par le Pontife Romain et par les évêques en communion avec lui; »
Dernière édition par FRANC le Sam 31 Déc 2022, 3:30 pm, édité 1 fois
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Y-a-t'il une limite décrétée par l'Église pour une vacance pontificale ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Roger Boivin a écrit:
Y-a-t'il une limite décrétée par l'Église pour une vacance pontificale ?
Notre-Dame de Fatima nous a laissé le Message : « Au Portugal, se conservera toujours le Dogme de la Foi », cela ne peut être visiblement par Jésus-christ, qui est au Ciel, cela ne peut être visiblement par les Cardinaux ou Evêques de Pie XII, tels qu'ils nous ont été connus en Octobre 1958, qui sont désormais tous morts, cela ne peut être par les Fidèles, dont le devoir est de croire, non d'être les gardiens du Dogme. Il reste à conclure : seul un Pape légitime, autre que l'antipape Jean XXIII, a pu assurer le maintien du Dogme. Inutile, par ailleurs de chercher une limite théorique de vacance pontificale, quand tous les électeurs potentiels d'un pape, sont tous décédés, à moins de supposer une église sans hiérarchie, hypothèse contraire à tout l'enseignement de l'Eglise depuis 2000 ans.
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Franc, existe-t-il une limite, oui ou non !?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Roger Boivin a écrit:
Franc, existe-t-il une limite, oui ou non !?
L'Eglise n'a pas défini de limite à une vacance pontificale, mais ce qu'Elle a toujours enseignée, c'est que son chef, le Pape aura toujours un successeur, quelque soit la célérité pour y parvenir et que cette même société est dans sa constitution, une société parfaite. Or, un proverbe populaire du 13e siècle, exprimant le bon sens commun, affirme : « qui veut la fin veut les moyens ». Donc Dieu a assuré et assurera toujours à l'Eglise, un moyen pour avoir un successeur, sinon Elle serait inférieure aux Constitutions des sociétés humaines, pourtant passagères, qui y pourvoient que cela ait été dans le passé français, par exemple, la Monarchie capétienne avec le droit de primogéniture ou dans le présent notre 5e République avec le suffrage universel. Ces moyens, pour avoir un successeur au Pape défunt, selon la Constitution de l'Eglise, c'est le Collège des Cardinaux. Or les 55 Cardinaux de Pie XII, vivants et légitimes, au 9 Octobre 1958, sont tous décédés, le dernier en 1991. Concluez, puisque, comme déjà démontré, la lignée de Jean XXIII est schismatique, et même depuis 1969, apostate : Dieu a déjà donné auparavant un Pape légitime, à son Eglise, afin que se perpétue ces moyens que sont les Cardinaux, puisque lui seul est habilité à les choisir.
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Eric a écrit:
"FRANC", comme le diacounet VMZ, joue sur deux tableaux afin d'être presque certain de ne pas perdre la face.
C'est astucieux mais, surtout, minable !
Je crois deviner à travers l'avatar VMZ, le diacre illicite Zins, ordonné sans lettres dimissoriales, avec lequel, je n'ai rien à voir.
Pourriez-vous cependant éclairer ma lanterne, quels sont les deux tableaux que vous évoquez ?
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
FRANC a écrit:Roger Boivin a écrit:
Franc, existe-t-il une limite, oui ou non !?
L'Eglise n'a pas défini de limite à une vacance pontificale, mais ce qu'Elle a toujours enseignée, c'est que son chef, le Pape aura toujours un successeur, quelque soit la célérité pour y parvenir et que cette même société est dans sa constitution, une société parfaite. Or, un proverbe populaire du 13e siècle, exprimant le bon sens commun, affirme : « qui veut la fin veut les moyens ». Donc Dieu a assuré et assurera toujours à l'Eglise, un moyen pour avoir un successeur, sinon Elle serait inférieure aux Constitutions des sociétés humaines, pourtant passagères, qui y pourvoient que cela ait été dans le passé français, par exemple, la Monarchie capétienne avec le droit de primogéniture ou dans le présent notre 5e République avec le suffrage universel. Ces moyens, pour avoir un successeur au Pape défunt, selon la Constitution de l'Eglise, c'est le Collège des Cardinaux. Or les 55 Cardinaux de Pie XII, vivants et légitimes, au 9 Octobre 1958, sont tous décédés, le dernier en 1991. Concluez, puisque, comme déjà démontré, la lignée de Jean XXIII est schismatique, et même depuis 1969, apostate : Dieu a déjà donné auparavant un Pape légitime, à son Eglise, afin que se perpétue ces moyens que sont les Cardinaux, puisque lui seul est habilité à les choisir.
C'est Franc du haut de sa chaire qui tire cette conclusion : ''Concluez, puisque, comme déjà démontré, la lignée de Jean XXIII est schismatique, et même depuis 1969, apostate : Dieu a déjà donné auparavant un Pape légitime, à son Eglise, afin que se perpétue ces moyens que sont les Cardinaux, puisque lui seul est habilité à les choisir.''
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Roger Boivin a écrit:
C'est Franc du haut de sa chaire qui tire cette conclusion : ''Concluez, puisque, comme déjà démontré, la lignée de Jean XXIII est schismatique, et même depuis 1969, apostate : Dieu a déjà donné auparavant un Pape légitime, à son Eglise, afin que se perpétue ces moyens que sont les Cardinaux, puisque lui seul est habilité à les choisir.''
Les sédévacantistes sont les premiers à pontifier du haut de leur chaire, affirmant : "le Siège Romain est vacant", sans souligner, que selon leur théorie, il n'y a plus désormais non seulement d'électeurs légitimes susceptibles d'assurer la succession du dernier Pape défunt, c'est-à-dire pour eux Pie XII, ni même d'Evêques dispersés légitimes, à moins de s'en inventer contrairement aux règles du droit canon. La seule différence, c'est que je n'affirme pas comme réalité, des faits qui entrainent une contradiction entre un Dogme de Foi ( le Dogme de la Visibilité et de la Perpétuité du Magistère ordinaire et universel de l’Eglise : le Pape ET les Evêques dispersés ) et la raison.
Je ne fais que tenter de suivre les définitions du Concile du Vatican de 1870, dans sa Constitution Dei filius : « il ne peut jamais y avoir de véritable désaccord entre la foi et la raison » ( https://archive.org/details/bub_gb_7i0WycUR2BEC/page/n269/mode/1up ) et : « Si quelqu’un dit que les fidèles et ceux qui ne sont pas encore parvenus à la foi seule véritable sont dans une même situation, de telle sorte que les catholiques peuvent avoir de justes motifs de mettre en doute la foi qu’ils ont reçue sous le magistère de l’Eglise, en suspendant leur assentiment jusqu’à ce qu’ils aient obtenu la démonstration scientifique de la crédibilité et de la vérité de leur foi ; qu’il soit anathème. » ( https://archive.org/details/bub_gb_7i0WycUR2BEC/page/n279/mode/1up ).
Même si dans les détails, mes explications sur les faits sont insuffisantes ou fausses, elles ne sont pas en contradiction avec le Dogme alors que c'est le cas pour la théorie sédévantiste, pour laquelle il est du devoir de suivre la règle du même Concile du Vatican qui proclame : «Nous déclarons toute proposition contraire à une vérité attestée par la foi, absolument fausse » https://archive.org/details/bub_gb_7i0WycUR2BEC/page/n269/mode/1up
Une chose est certaine, depuis le décès de Pie XII, un Magistère visible et perpétuel, ordinaire et universel de l’Eglise a persisté et perdure: avec un Evêque de Rome légitime ou des Cardinaux électeurs légitimes ET des Evêques dispersés légitimes, même si une persécution ( cf dictionnaire Gaffiot, verbe persecare, couper ) nous coupe de celui-ci et nous interdit en Occident, d'entrer en contact avec ce Magistère.
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Le Dogme de l'infaillibilité et de la Perpétuité de l'Eglise Catholique, inchangé, hier comme aujourd'hui
Citation :Eric a écrit:Les braves "FRANC" et VMZ partant pour la Chine, main dans la main, afin de retrouver les vestiges de la succession apostolique "perdue de vue derrière le rideau de bambou" .
La belle image !
« Dans une nonchalance continue, le sceptique contemporain ne prend pas la peine de réfuter ; il ne tente même pas la controverse ; il se borne habituellement à nier ; il y ajoute parfois le dédain systématique, dont il couvre l'ignorance de son étude incomplète. Tout au plus couvre-t-il son indolence systématique, qui veut être spirituelle : il fait « des mots » qui ne reflètent que mieux l'oisiveté de celui qui croit les créer »
Pr François Guermonprez
in https://archive.org/details/lassassinatmdic00guergoog/page/n24/mode/1up
FRANC- Nombre de messages : 1415
Date d'inscription : 31/10/2011
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