DÉSOLATION DANS LE LIEU SAINT- par Gloria Riestra.

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Message  Monique Lun 15 Juil 2019, 2:03 pm

DÉSOLATION DANS LE LIEU SAINT-, par Gloria Riestra.


Il n'y a pas eu dans l'histoire du monde de phénomène religieux plus significatif, ni qui affecte aussi négativement une civilisation, que celui que l'on rencontre actuellement dans l'Église catholique, par l'imposition en son sein d'une philosophie - qui n'atteint pas la doctrine en raison de sa complexité - totalement étrange et contraire à l'institution millénaire.

Il ne s'agit pas d'un schisme entre catholiques ; il s'agit de la barbare invasion judéo-maçonnique, une secte qui depuis des siècles avait programmé la destruction par infiltration, dont les résultats sont aujourd'hui propres et étranges.

Le pire de tout, c'est que tous les quartiers généraux de l'Église sont aujourd'hui usurpés, soit par les membres de la conspiration, soit par d'autres qui s'en accommodent ignominieusement. Mais la chose la plus grave consiste en l'occupation arbitraire du Siège romain, d'où descendent les enseignements et les slogans qui, dans l'ignorance de la situation, continuent à collaborer avec la Grande Synarchie les multitudes catholiques, ceci aussi avec de graves dommages.

Parler en signe de protestation et d'avertissement est le moins que nous, catholiques, puissions faire aujourd'hui, réaffirmant devant le monde, malgré tout, notre foi en la pérennité de l'Institution divine.

Sincèrement vôtre,

L'Auteur.

A suivre...

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Gloria Riestra de Wolff, amie et collaboratrice du Rev. P. Joaquín Sáenz y Arriaga. Mme Riestra est secrétaire générale et commissaire de presse de l'UNION CATHOLIQUE TRENTO du Mexique.


Dernière édition par Monique le Jeu 23 Avr 2020, 5:38 pm, édité 2 fois
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Message  Monique Mar 16 Juil 2019, 2:54 pm

Désolation dans le lieu Saint

Notes essentielles sur l'édition actuelle de la nouvelle messe


par Gloria Riestra


"La messe est le dîner. La messe est une assemblée. La Messe est un mémorial" (Définition de la Messe dans le Nouvel Ordo de Paul VI)



Introduction

Compte tenu des problèmes posés par l'existence de deux rites ou formes de célébration de la Messe qui existent actuellement dans l'Église, la Messe catholique du Concile dogmatique de Trente et le rite expérimental-évolutionnaire ou Messe de Paul VI, découlant du Concile Vatican II, une brève exposition des questions fondamentales est nécessaire pour tout catholique et pour les autres lecteurs intéressés au sujet.

Ce qui doit être exposé avant tout, c'est le type de Concile dont les deux rites sont issus, l'un, un Concile dogmatique, celui de Trente, célébré dans les années 1545-1565, sous les papes Paul III, Jules III et Pie IV ; l'autre un Concile Pastoral de Vatican II initié par Jean XXIII en 1962 et culminé par Paul VI en 1965. La première est une définition irréformable qui est la continuation et la réaffirmation des doctrines séculières de l'Église ; la seconde s'oppose manifestement aux doctrines dogmatiques de la première, tant dans la documentation expresse publiée (de Vatican II) que dans celle qui concerne les réformes ultérieures du culte et de la discipline.



Explication des Conseils de l'Église catholique

Tout d'abord, nous devons nous rappeler en quoi consiste un Conseil. C'est la réunion plénière de tous les évêques du monde et des Abbés (présents et par délégation) présidée par le Souverain Pontife romain pour traiter des questions relatives à la foi et à la morale selon la doctrine de l'Église, ou d'autres questions. Un Conseil dogmatique est un Conseil qui définit précisément les vérités de la foi, ou qui renouvelle la foi de l'Église dans ces vérités. Quant au dogme, c'est une vérité révélée par Dieu proposée à la foi des fidèles par le Magistère infaillible du Pape qui définit et confirme les décisions des Pères conciliaires. Les définitions des conciles dogmatiques ne peuvent jamais être réformées ou abrogées par leur nature même, c'est-à-dire telles qu'elles sont divinement révélées.

La perpétuité des chanoines dogmatiques est basée sur l'infaillibilité du Pontife romain. L'infaillibilité qui signifie que le Pape ne peut pas se tromper est fondée sur l'assistance de l'Esprit-Saint promise par le Christ à Pierre et à ses successeurs lorsqu'il lui dit : "Tu es Pierre, et sur cette pierre je fonderai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas sur elle...". je vous donnerai les clefs du royaume des cieux ; tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans les cieux " (Luc 22:31-32).

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La perpétuité des chanoines dogmatiques est basée sur l'infaillibilité du Pontife romain. L'infaillibilité qui signifie que le Pape ne peut pas se tromper est fondée sur l'assistance de l'Esprit-Saint promise par le Christ à Pierre et à ses successeurs lorsqu'il lui dit : "Tu es Pierre, et sur cette pierre je fonderai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas sur elle...". je vous donnerai les clefs du royaume des cieux ; tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans les cieux " (Luc 22:31-32).
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Message  Monique Mer 17 Juil 2019, 3:23 pm

Cette infaillibilité a des conditions. Le Pape est infaillible : 1. Lorsqu'il parle en sa qualité de Pasteur et d'Instructeur universel de l'Église, 2. Lorsqu'il manifeste une volonté de s'adresser à l'Église universelle et pas seulement à un groupe particulier, 3. Lorsqu'il définit une vérité révélée en termes de foi ou de coutume, ce qui signifie affirmer que cette vérité se trouve dans le dépôt de la révélation divine, à savoir que nous pouvons la trouver expressément manifeste dans une des deux sources de la Révélation qui sont la Sainte Écriture et la tradition. S'il ne parle pas dans ces conditions strictes, le Pape peut se tromper en parlant en tant que Docteur privé, c'est-à-dire, ne parlant pas ex cathedra. Ainsi, l'infaillibilité ne constitue pas une divinisation de sa personne ; c'est un attribut divin qui exige des conditions particulières pour son exercice ; le Pape peut même se tromper en enseignant l'hérésie dans ses sermons privés, dans ses audiences publiques dans ses documents à des groupes particuliers, dans ses dispositions disciplinaires, même dans ses écrits d'auteur privé. "Le Pape n'est pas destiné à la destruction, mais à l'édification de l'Église ", dit la doctrine catholique, et il est facile de déduire de ses enseignements s'il édifie ou détruit l'Église.

Le siège romain peut être vacant par l'enseignement hérétique d'un pape. Siège signifie chaise, lieu central où réside un pouvoir, en l'occurrence le pouvoir du Pape ; on l'appelle aussi Saint-Siège, Siège apostolique, Siège papal. De deux façons, l'Église enseigne que le Saint-Siège peut être vacant, ou vide de pouvoir, sans un Pape existant. Cela peut se produire de deux façons : par défaut d'élection invalide lorsqu'on découvre qu'un Pape est un hérétique avant son élection, ou dans le cas d'un Pape élu manifestement tombé dans l'hérésie. C'est de la foi que dans l'Église doit exister perpétuellement un successeur de saint Pierre, mais ce n'est pas de la foi qu'il ne peut y avoir d'interrègnes, c'est-à-dire un espace de temps, même prolongé, où le Siège est vacant.  Cette question est d'une importance vitale aujourd'hui, car les post-conciliaires font valoir aux catholiques que nous considérons que le Saint-Siège est actuellement vacant à cause de l'hérésie des Papes de Vatican II, un axiome qui dit : " Le Saint-Siège ne peut être jugé par personne ", mais omet le reste de la phrase qui dit : ".... à moins d'être pris en désaccord avec la religion.'' C'est la doctrine des Saints, des Docteurs et des Papes, recueillie dans les canons les plus anciens de l'Église.

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Message  Monique Ven 19 Juil 2019, 3:07 pm

Les Papes eux-mêmes ont parlé de la possibilité de l'hérésie d'un Pape et, par conséquent, de la vacance du Siège, ainsi que de l'obligation d'y résister. Le document le plus ancien dans lequel un Pape parle à un Concile de la possibilité d'une hérésie du Pape est celui d'Adrien II adressé au VIe Concile œcuménique III de Constantinople (années 678-681) ; dans ce document, invoqué en relation avec Honorius (un Pape excommunié par le Concile après sa mort) le droit des fidèles à résister au Pape hérétique dit : "Tous doivent résister et lutter, même si cela vient du Pape ... Il a dit que si l'Église romaine est considérée comme incarnée dans sa tête, c'est-à-dire dans le Pontife, il est certain qu'elle peut se tromper même dans les choses qui se réfèrent à la foi, affirmant l'hérésie par sa détermination ou par un décret".

Pour sa part le Pape Innocent IV, pour sa part, dit dans son sermon "En consécration du Souverain Pontife", Patrologie latine CCXVII, col. 653 : "Le Pontife peut être jugé par les hommes, ou plutôt, fait connaître s'il tombe dans l'hérésie, car celui qui ne croit pas est déjà jugé". Lui-même affirme : "Si, à cause de mes propres péchés - c'est-à-dire de mes péchés personnels - l'Église ne peut pas me juger comme un homme simple, elle peut le faire si j'échoue en matière de foi". Saint Thomas reprend cette doctrine lorsqu'il écrit : «"Il faut savoir que lorsqu'il y a danger imminent pour la foi, les prélats doivent être discutés, même publiquement, par leurs sujets. C'est pourquoi Paul, qui était le sujet de Pierre, pour le danger imminent d'un scandale contre la foi, argumenta contre Pierre, et donna un exemple à ceux qui gouvernent, afin que s'ils abandonnaient jamais le droit chemin, ils ne conduisent pas au mal ni ne croient que c'est contre leur dignité que leurs inférieurs leur apporteraient cette correction " (Saint Thomas d'Aquin, Commentaire de l’Épitre aux Galates II, VIII).

Aussi le Docteur de l'église Saint Robert Bellarmin, suivant cette doctrine, affirme : "Le Pontife Romain, s'il tombe dans l'hérésie notoirement et publiquement divulguée, par le même fait, et même avant toute sentence déclaratoire de l'Église, est privé de son pouvoir de juridiction" (Saint Robert Bellarmin (Del Romano Pontífice 1, 2, chap. 30).

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Message  Monique Mer 24 Juil 2019, 7:40 am

Mais il y a un document qui peut être considéré comme fondamental en l'espèce, c'est une Bulle papale. La Bulle est l'un des documents publics les plus solennels émanant des Souverains Pontifes romains, qui a une forme extérieure fixe et un contenu varié selon l'intention du Pape. Le contenu peut être dogmatique ou disciplinaire. Un exemple de bulle dogmatique, la bulle "Quo Primum" du Pape Saint Pie V, par laquelle il remet à l'Église le Missel Romain restauré au Concile de Trente ; le Pape y parle avec infaillibilité. La Bulle fondamentale dont nous parlons en référence à la vacance éventuelle du Saint-Siège est celle intitulée "Cum ex - apostolatus officio" du Pape Paul IV. En cela, le Souverain Pontife confirme l'accord qu'il avait avec tous les cardinaux pour assurer la défense de l'Église dans le cas d'un Pape hérétique.

Nous reproduisons : "Considérant la gravité particulière de cette situation et ses dangers. Dans la mesure où le Souverain Pontife romain sur terre est Vicaire de Dieu et de Notre-Seigneur et a reçu la pleine puissance sur les peuples et les royaumes, et juge tout le monde et ne peut être jugé par personne dans ce monde, s'il est pris dans un écart de la foi, il pourrait être accusé ; Et comme là où un plus grand danger surgit, il faut le résoudre avec plus de diligence, afin que les faux prophètes et les autres personnes qui détiennent des juridictions séculières n'aient pas de liens lamentables avec les âmes simples, et qu'ils entraînent avec eux la perdition et la mort éternelle d'innombrables peuples, soumis à leur gouvernement en choses spirituelles ; et afin que, un jour peut-être, il ne se passe pas que l'abomination du désert, annoncée par le prophète Daniel, nous soit présente dans le lieu saint... Avec le désir de rejeter les loups loin du troupeau, de peur de ressembler à des chiens muets qui ne peuvent pas aboyer, nous déclarons que si à un moment quelconque...  un Pontife romain, qui s'est écarté de la foi catholique, est tombé dans l'hérésie, s'est livré à des schismes, les a élevés ou les a commis, la promotion ou la supposition, même si elle avait été faite en accord et à l'unanimité de tous les Cardinaux, est nulle, colérique et sans effet ; en aucune façon une telle supposition peut être considérée comme ayant acquis validité par acceptation du poste et sa consécration...., ou par le même intronisation que le Souverain Pontife romain ou par son adoration, ou par l'obéissance que tous lui ont donnée, quel que soit le temps qui s'est écoulé, selon les hypothèses précitées. Une telle présomption ne sera considérée comme légitime dans aucune de ses parties, et il ne sera pas possible de considérer qu'elle est accordée ou qu'une faculté quelconque d'administrer dans le temps ou dans l'esprit des choses à ceux ainsi promus dans de telles circonstances, en fonction du Pontife Romain, mais au contraire, tous leurs faits, actes et résolutions, manquent de force et ne donnent aucune validité, aucun droit aux personnes qui auraient été ainsi promus ; pour cette même raison et sans avoir à faire aucune déclaration supplémentaire, elles sont privées de toute dignité, place, honneur, titre, fonction et pouvoir". Et le Pape mentionne que sa déclaration inclut "ceux qui seront ainsi promus à l'avenir", avertissant l’Église de la situation possible d'un Pape hérétique. Il ajoute que "tant que les fidèles catholiques sont obligés de résister au Pape hérétique, ils peuvent à tout moment et en toute impunité se soustraire à son obéissance... en restant unis dans l'obligation d'obéissance stricte aux futurs hiérarchiques et au Pontife romain, qui est élu canoniquement".


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Message  Monique Dim 28 Juil 2019, 1:26 pm

Comme nous pouvons le voir, le Pape Paul IV confirme dans cette bulle ce qu'est le droit canonique dans l'Église :

1. Qu'il est possible que le Saint-Siège soit un jour vacant à cause des circonstances ci-dessus,

2. Qu'il est nécessaire pour un individu de servir comme Pape d'avoir la foi catholique nécessaire pour avoir une juridiction légitime dans l'Église,

3. Que si l'on découvre qu'un sujet occupant le Siège apostolique enseigne une hérésie ou provoque un schisme, les fidèles ont l'obligation de lui résister,

4. Que dans ce cas il y a la solution de la recherche de l'élection canonique d'un vrai Pape.

Ceux de l'Église conciliaire - ou de Vatican II - prétendent que cette Bulle est obsolète, qu'elle n'a plus de validité ou qu'elle a été abrogée. Ce qui est certain, c'est qu'il n'a été abrogé par aucun pape et que, s'il ne s'agit certainement pas d'un taureau dogmatique puisqu'aucun dogme n'y est défini, les questions qu'il traite ont une valeur éternelle car elles visent à défendre tous les dogmes de la foi, et l'institution divine de l'Église contre le très grave danger qui peut résulter de l'existence d'un usurpateur hérétique du Siège romain, élu invalide pour hérésie antérieure ou tombé en hérésie comme on a vu.

Insistance sur le lien entre la foi et la juridiction.


Il est nécessaire d'insister sur la question du lien inévitable qui doit exister entre la foi et la juridiction, c'est-à-dire que la juridiction du Pontife romain exige que le Pape ait la foi catholique, puisque le problème actuel de l'Église est un problème d'autorité ; celui qui n'a pas la foi ne peut avoir autorité comme Maître suprême de la foi, et ceci est de logique fondamentale même dans le monde profane ou non-catholique. Prenons des exemples communs et simples : les gouverneurs d'un peuple n'élisent pas leur chef, ni les indigènes leur chaman, ni les musulmans leur imam, ni les juifs leur rabbin, ni ne leur accordent d'autorité s'ils ne représentent pas leurs propres convictions ; comment l'Église pourrait-elle accepter comme chef - et dans ce cas, par succession divine - celui qui ne possède ou représente la foi de l'Église ? L'ignorance du lien foi-juridiction pendant les quarante années qui ont suivi Vatican II a rendu l'Église catholique méconnaissable devant le monde, réduisant à une condition de diaspora du clergé et des fidèles résistants à la destruction causée par les "pseudo-papes" de ce Concile.

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Message  Monique Mer 31 Juil 2019, 2:04 pm

Or, dans la situation actuelle de l'Église, quand l'excommunication reste en vigueur dans le droit canonique, quel que soit le Siège, en ce qui concerne le schisme ou l'hérésie selon le canon 188 qui dit : "Tous les sièges restent vacants si le clerc apostat publiquement la foi, les crimes contre la foi comprennent l'hérésie et le schisme" (2314). L'insistance sur cette question est redondante.


Le clergé et les fidèles catholiques peuvent reconnaître l'hérésie d'un Pape

Nous disons "Pape" en termes d'identification du sujet qui occupe le Siège de Pierre par référence, comme l'histoire appelle les Papes en général. On prétend aujourd'hui, comme un stratagème pour défendre les "Papes" de Vatican II contre lesquels nous dénonçons et n'acceptons pas leurs hérésies, qu'en particulier les fidèles n'ont pas le droit de juger de ce qui vient de ce que beaucoup considèrent comme une autorité légitime. Mais que les fidèles soient capables de reconnaître ce qui nous est imposé comme droit ou contraire à la foi, est inscrit dans le même droit canonique (2316) qui dit : "Quiconque, spontanément et en connaissance de cause, contribue de quelque manière que ce soit à répandre l'hérésie est soupçonné d'hérésie.''

Si nous, catholiques, n'étions pas capables de discerner où se trouve l'hérésie, cette loi n'aurait aucune raison d'être, car l'incapable de savoir quels seraient les motifs de suspicion ne peut être suspect de rien. C'est la doctrine de l'Église que tous les catholiques baptisés ont ce qu'on appelle par la grâce divine le sens de la foi qui nous permet de discerner ce qui est attentif à notre propre foi. En outre, nous possédons les dons du Saint-Esprit qui agissent sur lui, tels que ceux de la compréhension et de la sagesse, qui aident à connaître les choses de Dieu. Le sens de la foi des fidèles n'est pas un sens comme celui des électeurs ou des juges du monde, mais a une origine divine par la grâce de notre baptême.

Face aux preuves de la tentative de destruction de l'Église et de l'imposition de l'hérésie par les Papes hérétiques,
les fidèles peuvent donc juger ; mais il est nécessaire de préciser que non avec le droit officiel de l'autorité de l'Église auquel correspond le jugement définitif, ce serait en l'espèce a postériori comme il en fut dans les faits historiques, comme le cas du pape Honorius 1er excommunié après son décès au VI Concile III de Constantinople (678-681). C'est sur le clergé et les fidèles qui résistent dans l'Église de la diaspora que repose l'énorme responsabilité de la survie de l'Église catholique, car si l'institution d'origine divine ne peut avoir de fin, comme elle a été confiée aux hommes - et non aux anges - c'est aux hommes et même aux femmes de tous les temps (contre Sainte Catherine de Sienne) que le Seigneur a confié de garder et de travailler pour défendre le dépôt sacré de la foi au milieu des ténèbres de plusieurs siècles.  *

Si les catholiques d'aujourd'hui, face à autant d'évidences qu'il y a d'allégations de destruction de l'Église, n'étaient pas capables de reconnaître et de désigner les hérétiques qui commettent manifestement cette destruction, et nous ne considérons pas comme un devoir d'y résister, il faudrait affirmer que, ayant connaissance de tout mal, il nous serait possible au contraire, le devoir de l'accepter et de collaborer avec les hérétiques, perpétuellement, nous plaçant volontairement sous la même peine d'excommunication dans laquelle se trouvent les détracteurs de la foi.

(*Note de Javier : BRAVO, Mlle Riestra ! BRAVO !!!!!) Une affirmation très vraie et brillante, digne de son grand ami et maître, le Père Joaquín Sáenz y Arriaga. Les derniers catholiques sont appelés à résister fermement jusqu'à la fin, en gardant intact le Dépôt de la Foi. Quelle douleur et quelle tristesse énormes que vous avez été trompés et absorbés par la ligne sacrilège du Thuc ! A 90 ans, vous méritez une fin plus noble et plus héroïque. Malheureux "prêtres" et "évêques" Thuquistes, tirez vos sales mains de là et laissez Mlle Riestra tranquille !)



A SUIVRE... L'apostasie de "l'Église de Vatican II" est reconnaissable

DÉSOLATION DANS LE LIEU SAINT-  par Gloria Riestra.   I-Grande-7865-au-nom-du-christ-roi-jacques-cathelineau-general-vendeen.net

''(...) C'est sur le clergé et les fidèles qui résistent dans l'Église de la diaspora que repose l'énorme responsabilité de la survie de l'Église catholique, car si l'institution d'origine divine ne peut avoir de fin, comme elle a été confiée aux hommes - et non aux anges - c'est aux hommes et même aux femmes de tous les temps (contre Sainte Catherine de Sienne) que le Seigneur a confié de garder et de travailler pour défendre le dépôt sacré de la foi au milieu des ténèbres de plusieurs siècles.''
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Message  Monique Sam 03 Aoû 2019, 7:34 am

L'apostasie de "l'Église Vatican II" est reconnaissable


L'apostasie de l'Église conciliaire ou de Vatican II n'est pas une conjecture ; l'apostasie, c'est-à-dire la négation totale de la foi. A ce stade, aucune étude détaillée n'est nécessaire pour l'affirmer. Si un laïc qui veut connaître la situation catholique actuelle se voit confier l'étude de la doctrine antérieure à Vatican II et de la doctrine qui en est issue, il trouvera facilement qu'il s'agit de doctrines opposées : de deux Églises opposées et pas uniquement cela mais sera surpris par cette contradiction qui signifie que du siège suprême du magistère de l'Église catholique et au nom duquel elles se sont élevées une Église nouvelle lui est contraire.

C'est ce que le monde a appelé "l'autodestruction" de l'Église. Certes, toute doctrine a été niée, le culte liturgique et la discipline détruits, les institutions dévastées, et tout vestige du sacré dévasté autant que possible, ce qui permettrait d'identifier l'Église catholique devant le monde comme une institution visible, de sorte qu'une génération a suffi aux catholiques nés dans la nouvelle Église pour ne plus savoir ce que l'ancienne est.

Pour connaître l'hérésie enseignée par l'usurpation, il n'est pas nécessaire d'approfondir l'abondante littérature issue de Vatican II, où son évolution est observée. Il y a une hérésie fondamentale qui se traduit par la doctrine, les lois et les disciplines qui régissent la vie de l'Église conciliaire aujourd'hui. C'est une apostasie totale, en termes de déni de foi. Telle est la doctrine du salut universel inconditionnel : Cette hérésie est implicite dans les documents de Vatican II, source de toute la révolution. Nous pouvons affirmer qu'elle a motivé toutes les réformes et qu'elle est à l'origine de l'œcuménisme et de la synarchie des religions prêchées et imposées par les Papes conciliaires. Mais comme nous l'avons déjà dit, nous n'avons pas besoin d'aller très loin pour découvrir l'apostasie évidente. C'est Jean-Paul II qui a pris sur lui de résumer pour "son Église" en quelques mots l'hérésie mentionnée plus haut, avec un cynisme propre à celui qui se sait propriétaire de la situation parce qu'il n'a pas trouvé opposition à ses hérésies, ni à celles de ses prédécesseurs.

Sa prédication sur le "salut universel inconditionnel" a déjà eu lieu sous la forme d'une encyclique, le document officiel du Magistère de l'Église catholique. C'est celle intitulée "Redemptor Hominis" (Le Rédempteur de l'homme), Actes apostoliques Sedis 1979, pp. 283 et suivantes, adressée à l'Église comme rien de moins que le début de son "pontificat". Voici ce qu'il dit mot pour mot : "Il s'agit de l'homme dans toute sa vérité, dans toutes ses dimensions. Il ne s'agit pas de l'homme "abstrait" mais de l'homme réel, de l'homme "concret", de l'homme "historique". Il s'agit de chaque homme, parce que chacun a été inclus dans le Mystère de la Rédemption, et Jésus-Christ est uni à chacun à jamais par ce Mystère. Tout homme vient au monde conçu dans le sein de sa mère et né de sa mère, et - précisément à cause du Mystère de la Rédemption - il est confié à la sollicitude de l'Église.  Cette demande s'étend à l'homme tout entier et est centrée sur lui d'une manière singulière. L'objet de cette attention singulière est l'homme dans sa réalité humaine unique et irremplaçable, dans laquelle l'image et la ressemblance de Dieu lui-même vivent intactes (Gn 1, 27). C'est ce que nous rappelle le Concile Vatican II en parlant de cette ressemblance, lorsqu'il nous rappelle que "l'homme est la seule créature sur terre que Dieu a voulue pour lui-même" (Gaudium et Spes, n. 24). L'homme, tel que voulu par Dieu, choisi par lui, appelé, destiné à la grâce et au salut, est l'homme dans toute la plénitude du mystère auquel il vient participer par Jésus-Christ, et auquel chacun des quatre millions d'hommes qui vivent sur notre planète vient participer, dès le moment de sa conception près du cœur de sa mère " (Gaudium et Spes, n° 24). L'hérésie est si explicite qu'il ne semble pas nécessaire de faire de commentaires.

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Certes, toute doctrine a été niée, le culte liturgique et la discipline détruits, les institutions dévastées, et tout vestige du sacré dévasté autant que possible, ce qui permettrait d'identifier l'Église catholique devant le monde comme une institution visible, de sorte qu'une génération a suffi aux catholiques nés dans la nouvelle Église pour ne plus savoir ce que l'ancienne est. (...) C'est Jean-Paul II qui a pris sur lui de résumer pour "son Église" en quelques mots l'hérésie mentionnée plus haut, avec un cynisme propre à celui qui se sait propriétaire de la situation parce qu'il n'a pas trouvé opposition à ses hérésies, ni à celles de ses prédécesseurs.
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Message  Christian Sam 03 Aoû 2019, 10:27 am

Dommage qu'il en soit ainsi,croire en son propre univers sans Dieu.C'est triste et destructeur d'etre mené ainsi a la confusion par un imposteur.
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Message  Monique Lun 05 Aoû 2019, 9:24 am

Mais tirons les conclusions de Jean-Paul II, en résumé :

1. Que chaque homme concret du sein de sa mère a été inclus dans le Mystère de la Rédemption, par lequel Jésus-Christ est uni à chaque homme pour toujours par ce mystère...

2. Que chaque homme jouit de la plénitude du Mystère de la Grâce et du salut par Jésus-Christ, et que ce salut est partagé par chacun des quatre milliards d'hommes qui existent, dès le moment de sa conception dans le sein maternel. Ici, nous pourrions dire avec les paroles du Christ : "Que celui qui veut comprendre comprenne". Ici est niée la totalité de la révélation, en particulier l'Évangile, contredit par l'Évangile de l'Église en ce qui concerne le dogme de la rédemption. Jean-Paul II exprime ici clairement qu'il n'est même pas nécessaire de croire en Dieu pour atteindre le salut qui consiste en la vie éternelle avec Dieu. Il va sans dire qu'ici l'Église est obsolète, et que tout devoir moral et toute loi divine et humaine sont démolis. En tout cas, il implique que d'Adam jusqu'au dernier des hommes, a été racheté sans condition. C'est de l'apostasie. Il n'est pas possible de comprendre comment, après cette affirmation d'inconditionnalité pour le salut éternel, affirmée comme doctrine fondamentale pour initier son pontificat, Jean-Paul II peut parler de l'Église. Mais bien, il parle - quand il le fait d'une Église comprise à la manière de Vatican II, où il est possible d'atteindre la libération parfaite et l'illumination parfaite avec l'aide divine - en hindouisme.  Son Église est constituée de la communauté maçonnique que Paul VI appelle la palingénésie de l'humanité : "L'Église n'est rien d'autre que la construction de cette unité de la famille humaine" (L'Osservatore Romano, 18 mai 1975, audience générale). Ici, nous pouvons comprendre la synarchie de la religion avec l'Église catholique comme une secte ésotérique de plus.

Nous devons insister sur le fait que cette théorie de Jean-Paul II n'était pas nouvelle dans l'Église avant son élection. Elle a été connue, acceptée et traduite en dispositions de réformes de toutes sortes. Jean-Paul II, auparavant "cardinal", s'est montré un exposant de cette hérésie en l'exposant à différentes occasions. Un exemple significatif est ce qu'il a dit lors de quelques exercices spirituels auxquels Paul VI l'a invité à donner à la Curie du Vatican. Les sermons prononcés à cette occasion ont été publiés plus tard dans un livre de Jean-Paul II intitulé "Signe de contradiction", qui a parcouru le monde, traduit en de nombreuses langues et a servi de nourriture spirituelle aux naïfs ou aux complices.  C'est ainsi qu'il dit dans ce paragraphe expressif : "En rachetant l'homme par son sacrifice, Jésus-Christ l'a rendu "tout nouveau" : pour ainsi dire conçu à nouveau, il entre dans la nouvelle trajectoire du plan de Dieu, que le Père a préparé dans la vérité de la parole et dans le don de l'amour. C'est à ce moment que l'histoire de l'homme recommence, indépendamment, si on peut parler ainsi, de conditionnement humain. Ce point appartient à l'ordre divin, à la manière divine de voir l'homme et le monde. Les catégories humaines du temps et de l'espace sont presque absolument secondaires. Tous les hommes, du commencement du monde à la fin, ont été rachetés et justifiés par le Christ et sa Croix" (Signe de contradiction, p. 4). Il convient de noter ici comment Jean-Paul II utilise la Croix, réaffirmant le salut par le déni de la Croix (n'est-ce pas là une "théologie" barbare et diabolique'' ?). Parce que selon cet enseignement, il n'est pas nécessaire d'accepter la Croix pour être sauvé par la Croix,
Car, selon cet enseignement, ce n'est pas ce que nous pouvons trouver explicite dans un autre ouvrage intitulé "Franchir le seuil de l'espérance" de Jean-Paul II, autre véhicule de la même hérésie quand il dit : "Tout homme qui cherche le salut, même non chrétien, doit s'arrêter devant la Croix du Christ, acceptera-t-il ou non la vérité du mystère pascal ? croire-t-il ? C'est une autre question. Ce mystère du salut est un fait accompli (la phrase est soulignée dans l'œuvre). Dieu a embrassé chacun avec la Croix et la Résurrection de son Fils. Dieu embrasse chacun avec la vie qu'Il a révélée dans la Croix et dans la Résurrection, et qui est toujours recommencée par elle. Le Mystère a déjà été greffé dans l'histoire de l'humanité, dans l'histoire de chaque homme, comme le veut l'allégorie de la "Vigne et des sarments" recueillie par Jean (cf. Jean XV, 1, 8)" (signe de contradiction, p. 88). Ainsi, après la mort, tout homme peut être embrassé par le Christ, après avoir renié sa Croix.

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Message  Monique Jeu 08 Aoû 2019, 9:59 am

Pour ceux qui désirent d'autres preuves, voici ce paragraphe tiré des sermons adressés à la Curie de Paul VI : "Tout mourant porte en lui le Mystère de la vie que le Christ a apporté et greffé dans l'humanité. Toute mort humaine sans exception a cette dimension, même si l'homme mourant, ou ceux qui l'entourent, ne sont pas conscients d'une telle réalité. Cela ne vient pas de la conscience de l'homme, mais du dessein de la Révélation de Dieu. Comme tous les hommes ont été sanctifiés dans le Christ-Jésus (cf. Corinthiens 1, 2, 3), le sens de sa mort est aussi de prolonger cette vie dans le Christ " (Méditations p. 206).

"Il y a un lien avec le Dieu vivant, un lien indissoluble qui s'est réalisé avec chaque personne et avec tout le genre humain par la mort et la résurrection libératrices du Christ" (Signe de contradiction, Méditations p. 120). Ainsi, selon la théologie ou la doctrine ésotérique issue de Vatican II, qui trouve son expositeur maximum dans Jean-Paul II, tout le Cosmos a été rendu à Dieu par Jésus-Christ : "Jésus-Christ est le nouveau commencement de toute chose ; tout en lui converge, est reçu et rendu au Créateur d'où il vient... si, d'une part, Dieu en le Christ parle de Lui-même à l'humanité, d'autre part, dans le Christ lui-même, toute l'humanité et toute la création parlent de Lui à Dieu ; en effet, ils se donnent à Dieu. Tout revient ainsi à son commencement ; Jésus-Christ est la compilation de tout " (idem p. 92).

Le fait qu'il s'agisse d'une doctrine ésotérique orientale est clairement exprimé par Jean-Paul II lui-même lorsqu'il dit : "Si le monde n'est pas catholique du point de vue confessionnel, il est certainement profondément pénétré par l’Évangile. La vérité selon laquelle l'homme est appelé à tout faire pour la fin ultime de sa vie, le salut et la divinisation, trouve son expression dans la tradition orientale sous la forme de la synergie. L'homme "crée le monde avec Dieu".... L'œuvre de rédemption est l'œuvre qui élève la création à un nouveau niveau. Tout ce qui a été créé est pénétré d'une sanctification rédemptrice, voire d'une divinisation. Elle reste comme attirée par l'orbite de la divinité, de la vie intime de Dieu "( Franchir le seuil de l'espérance, p. 125, 194, 142).

Maintenant, il faut expliquer brièvement quelle est l'origine de cette négation totale de la doctrine de l'Église catholique supplantée par les doctrines ésotériques orientalistes, que Jean-Paul II lui-même exprime comme elles sont. Certes, la révolution doctrinale tendant à la destruction de l'Église a eu de nombreux incitateurs à travers les âges, mais à la fin du XIXe siècle (1881) est né le plus grand de tous dont la pensée inspire Vatican II ; l'ancien jésuite Pierre Teilhard de Chardin, scientifique évolutionnaire devenu théologien et disciple d'une secte ésotérique, fut le créateur d'étranges théories qui circulèrent dans l'Église, trouvant des orateurs et des commentateurs qui influencèrent des générations de clergé, tous poussés par l'infiltration judéo-maçonnique qui avait eu lieu dans l'Église depuis la Révolution française.

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Message  Monique Dim 11 Aoû 2019, 11:36 am

Les théories fondamentales de Teilhard de Chardin que l'on retrouve dans la doctrine de Vatican II et des Papes conciliaires sont :

Un concept d'"union créatrice" qui rend la création presque nécessaire à Dieu ; un concept des relations entre le Cosmos et Dieu par lequel l'évolution du Cosmos transforme Dieu lui-même. L'admission d'une troisième nature dans le Christ, ni humaine ni divine, mais "cosmique" ; la présentation du Christ comme la culmination cosmique naturelle. Theilhard affirme qu'il n'y a pas de création sans incarnation de la Parole, ni d'incarnation sans rédemption ; d'où "l'incarnation par elle-même rédemptrice". D'où toute celle de la "palingénésie" de l'humanité, dont parle Paul VI ; "le Christ qui est en tout homme" de Vatican II ; "l'homme qui crée le monde avec Dieu" ou les synergismes de Jean Paul II (Signe de contradiction, p. 16).

Parmi les œuvres les plus significatives de Teilhard figurent "L'énergie humaine", "L'avenir de l'homme", "Le médium divin" et "Le phénomène humain". Au cours de sa vie, il reçut du Saint-Siège et de ses supérieurs jésuites des sanctions et des interdictions de publier ses œuvres et son enseignement, et après sa mort en 1957, le Saint-Office ordonna le retrait de toutes les œuvres de Teilhard des bibliothèques, séminaires et instituts religieux, ainsi que des librairies catholiques. Malgré toutes ces sanctions et mesures contre ses hérésies, les théories de Teilhard ont envahi les domaines de l'Église infestant les théologiens, ayant une multitude de commentateurs en faveur de ses œuvres qui diffusent ses idées à travers le monde, afin que les experts de Vatican II puissent proposer leurs thèses à travers les Décrets du Concile.

La preuve de la manière dont la pensée de Teilhard avait infesté le clergé depuis le début du siècle est la façon dont les Papes de Vatican II ont été immergés dans leurs hérésies. L'intention manifeste de Teilhard était, comme il l'a dit, de "changer la foi" et de changer la foi, de changer l'Église dont il disait qu'elle serait revitalisée, d'accepter que le christianisme n'était rien de plus qu'une région de pensée humaine et l'Église elle-même une forme de manifestation de l'état évolutif de l'amour. Ce ne sont là que quelques-unes des idées hérétiques contenues dans la soi-disant "cristogenèse".

[b]Comment cela a-t-il pu se produire au sein même de l'Église ?[/b] Pour le comprendre, il faudrait remonter à l'histoire, en remontant quatre cents ans en arrière, comme nous l'avons noté, à la conspiration maçonnique développée à partir de la Révolution française en particulier, en abordant l'immense quantité de littérature dans laquelle les membres de la maçonnerie, clergé et profane, ont prédit, selon eux, la fin de l’Église catholique vers l'an deux mille ; le Abate Roca, les documents du Alta Venta, le Jésuite Malachi Martin et le reste encore à nos jours.

Les fruits de la doctrine de Vatican II.

Connaissant ces théories, nous pouvons expliquer ce qu'ils appellent "l'esprit de Vatican II". C'est cet esprit qui inspire tous les changements doctrinaux, liturgiques et disciplinaires dans l'Église conciliaire, qui occupe aujourd'hui les sièges les plus élevés et toutes les institutions. Il ne s'agit pas ici de traiter de manière exhaustive de ces changements, un sujet auquel de nombreuses études ont déjà été consacrées par les théologiens catholiques. Mais nous pouvons insister sur la question du "salut universel inconditionnel" qui est l'hérésie fondamentale de l'Église conciliaire, a cet égard, il serait opportun de rappeler la doctrine catholique sur la justification obtenue par le Christ ; deux canons dogmatiques du Concile de Trente sont applicables : "Si quelqu'un dit que la justification de la foi n'est autre que la confiance de la miséricorde divine qui pardonne les péchés à cause de Christ, ou que cette confiance est la seule chose par laquelle nous sommes justifiés sans la justice du Christ, par laquelle nous méritons d'être justifiés, ou que par elle-même les hommes sont officiellement justes, qu'il soit  anathème " (Canons sur la justification, 12 et 10 Concile de Trente).

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Message  Monique Jeu 19 Sep 2019, 8:58 am

Le Vatican II, fondement de la grande synarchie des religions, le salut
inconditionnelle à la base



On peut dire que l'ensemble du Concile Vatican II est orienté, dans l'hypothèse d'un salut universel inconditionnel, vers la synarchie religieuse, ou l'union de toutes les religions dans une grande fraternité dont fait déjà partie l'Église postconciliaire. Sans qu'il soit nécessaire de citer de manière exhaustive les points doctrinaux sur lesquels cette affirmation peut se fonder, puisque, comme le dit le Christ : "Par leurs fruits, vous les reconnaîtrez", à ce stade, il est facile, avec tant de preuves, de conclure que le but du concile précité était de promouvoir cette synarchie, faisant couler l’Église catholique dans le sillon indistinct des religions païennes et des sectes protestantes.


L'œcuménisme comme premier moyen de syncrétisme religieux



L'œcuménisme de Vatican II fut le premier moyen de promouvoir la synarchie religieuse. L'œcuménisme protestant consiste en un mouvement visant l'unification de toutes les Églises dans une confédération panchrétienne. Cet œcuménisme exclut l'Église catholique en se concrétisant pour tenter d'unir les différentes branches du protestantisme. Mais l'œcuménisme de l'Église conciliaire de Vatican II consiste en l'unification de l'Église catholique avec les Églises protestantes considérées comme une Église de plus, sans distinction aucune. Le mouvement commence avec le Décret sur l'œcuménisme de Vatican II et se termine aujourd'hui par une conclusion sans précédent : l'Église œcuménique conciliaire a réussi à faire tomber le nom même de l'Église catholique et rien de plus diabolique que ce triomphe.


Aujourd'hui, nous pouvons lire et entendre comment l'Église est appelée par le clergé catholique "Église chrétienne catholique" à laquelle appartiennent les "chrétiens catholiques". Nous trouvons les termes constamment exprimés dans les écrits, les sermons et toutes sortes d'enseignements, humblement acceptés par les catholiques qui, dans l'obéissance aveugle et l'ignorance, n'ont pas réalisé l'énormité de l'hérésie à laquelle ils ont été conduits. Les notes distinctives de l'Église catholique soulignées dans le Concile de Nicée Constantinople (an 553-555) contenues dans le symbole des apôtres, définissent l'unique Église du Christ comme distincte des sectes déjà depuis lors sous le titre "Une, Sainte, catholique et apostolique Église",comme elle a été reconnue dans le monde au cours des siècles. Heureusement, la fausse Église de Vatican II a renoncé à porter le titre définitif, se désignant comme une Église parmi les Églises chrétiennes. Les catholiques qui ont été piégés dans le réseau de l'"Église chrétienne catholique" ne savent même pas qu'ils sont déjà protestants ! Mais le slogan de Vatican II "donner à l'Église une définition plus exhaustive" s'est réalisé.

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Message  Monique Lun 30 Sep 2019, 10:19 am

Vatican II a jeté les bases expresses de l'initiation du processus en commençant à décréter la nouvelle traduction des Saintes Écritures à partir des langues originales, contrairement à ce qui a été décrété dans le Concile de Trente avec l'intention de préserver l'intégrité de la foi dans un sens et une phrase : Que la traduction latine de la Bible appelée Vulgate (faite par saint Jérôme en 420) soit préservée dans l'Église et que les traductions en langues vernaculaires soient faites strictement dans ce texte à l'avenir. Ce décret a été donné à cause de la libre interprétation des protestants, qui ont basé leurs erreurs sur de fausses traductions, affectant ainsi, entre autres doctrines, le rite du Saint Sacrifice de la Messe, dont l'œcuménisme post-conciliaire indique certainement maintenant la destruction. Le Concile de Trente avait défini l'authenticité, son immunité contre toute erreur en matière de foi et de morale, comme la source divine de la Révélation.


Suivant un décret valable pour tous les temps, l'Église a toujours prescrit dans l'enseignement, dans la prédication et dans la liturgie que des traductions de la Vulgate soient faites.
Le Vatican II a démoli le monument sûr d'exposition et de défense de la foi qui constituait la Vulgate latine, prescrivant de nouvelles traductions des langues originales qui sont loin de la traduction de la Vulgate. Mais il a fait encore plus pour consommer la destruction : dans la constitution "Dei Verbum" prescrit que les traductions de la Bible soient écrites avec la collaboration des "frères séparés", c'est-à-dire les protestants, traductions qu'il dit "pouvoir être utilisées pour tous les chrétiens". Cela a ouvert la porte à une liberté sans précédent pour la falsification des textes et les mauvaises interprétations. Cela affecte directement la libre traduction du texte de la nouvelle Messe, puisque le clergé de la nouvelle église ne se contente pas de la traduction dans la langue vernaculaire qui lui est officiellement offerte, mais en fait des variations selon son bon vouloir, étant donné que selon Vatican II, chaque prêtre est libre de faire des "adaptations" en tous sens "selon les usages et façons de parler des différents groupes locaux". Cela explique aussi pourquoi les membres du clergé utilisent leurs propres versions scripturaires dans toutes sortes de sermons et de conférences.


Nous pouvons appeler tout ce libéralisme biblique qui, avec d'autres déviations, a fait que plus de 60 millions de catholiques, en particulier latino-américains, qui sont allés au protestantisme, à des sectes ésotériques, ou qui ont perdu leur foi, déserdent l'Église en s'intégrant au protestantisme. Dans la nouvelle église il n'y a pas d'unité de foi ; c'est une église anti-dogmatique qui a démoli tous les dogmes par de fausses traductions bibliques, car comme le dit le Pape Pie VII dans son Encyclique "Magno et Acerbo" parlant de fausses traductions bibliques : elles sont capables de faire vaciller la même foi, surtout lorsque la vérité d'un dogme est connue par une seule syllabe.

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Message  Monique Mar 08 Oct 2019, 9:00 am

Depuis Vatican II, la protestanisation de l'Église au niveau du "peuple de Dieu" est devenue de plus en plus évidente ; il est facile de voir comment les activités des chrétiens catholiques et des protestants sont confondues dans les yeux ; il ne suffit pas d'observer et d'écouter les émissions de télévision et de radio de l'un ou l'autre ; le même style, les mêmes expressions et louanges dans les sermons, les mêmes rythmes et chants pieux, les mêmes excentricités des soi-disant guérisons et imprécations à l'Esprit-Saint par les mêmes pentecôtistes, danses, applaudissements, cris et contorsions, comme il est prescrit aux "chrétiens catholiques" dans le rituel de la célébration eucharistique dans les temples.


Il y a le travail commun des traductions bibliques ; l'étude conjointe des catholiques et des protestants sur des sujets théologiques, dont les résultats sont toujours au détriment de la foi catholique. En outre, le soi-disant "œcuménisme spirituel" est prescrit, qui consiste à fournir aux catholiques, aux protestants et aux orthodoxes, des lieux de culte pour leurs célébrations, leurs rituels et leurs réunions.


Ainsi, sous Paul VI, le projet du Secrétariat pour l'union des chrétiens a été mis en marche en partant du principe d'une foi fondamentale d'où émergerait un rituel œcuménique de Messe approprié aux catholiques et aux protestants, comme nous le verrons plus loin.


Paul VI, à son tour, a brillé devant le monde en accomplissant des actes significatifs tels que : de donner un calice - objet sacré de transsubstantiation dans la Messe catholique - au luthérien Max Thurian qui n'y croit pas, et observateur pour l'élaboration du nouveau rite ; d'apparaître un dimanche sur le balcon principal du Palais du Vatican avec l'archevêque anglican Ramsey mettant sa bague papale à son doigt, l'invitant à bénir la multitude catholique ; en donnant à Rome le Temple de Saint Étienne des Abyssiniens pour la célébration de leur rite à un groupe de clercs anglicans accompagnés de leurs épouses, et ainsi de suite sur leurs innombrables activités œcuméniques. Paul VI a fait savoir dès le début de son pontificat que la protestanisation de l'Église était un fait accompli, par l'intermédiaire de son ami luthérien de Bavière ; tout le monde savait ce qui s'était passé pendant le Congrès eucharistique international de Colombie quand cet évêque a eu l'occasion de prononcer, comme dans un forum mondial, l'homélie initiale en disant ces mots :


"J'appartiens à l’Église qui remercie Dieu pour la réforme luthérienne, et aujourd'hui je me permets de saluer le Congrès eucharistique de Bogotá ; comment cela a-t-il été possible ? Tout d'abord, je rends grâce à Dieu et à l'Esprit-Saint qui, en ces jours, a mis tout le christianisme en mouvement sur la terre et qui, partout, a fait briller la vérité oubliée que le christianisme est une : l'"église sainte, catholique, apostolique", et ainsi on découvre l'injustice de sa propre autosuffisance, dans laquelle nous, chrétiens de toutes confessions et doctrines, nous nous sommes rencontrés depuis si longtemps ; et ajoute la note "que pendant le même congrès, dans un acte de fraternité émotif, la Sainte Communion fut accordée aux protestants qui ont exprimé leur désir de la recevoir". Ce dernier était un avant-goût de ce que Paul VI allait faire : ouvrir officiellement les portes à la participation des protestants à la communion eucharistique.


A SUIVRE... Jean-Paul II et le salut inconditionnel de Luther
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Message  Monique Sam 12 Oct 2019, 11:43 am

Jean-Paul II et le salut inconditionnel de Luther


La première étape du projet de protestantisme de l'Église s'est déroulée sous le signe de la "justification par la foi seule" de Luther. Jean-Paul II suit cette position dans sa théorie du salut inconditionnel qui finit par affirmer le salut sans foi. Mais à la suite de l'Église chrétienne catholique (ce nouveau titre apparaît dans les documents de Vatican II), il met directement l'accent sur la revendication de Luther lui-même ; vu notre espace limité, il suffit de citer quelques exemples : une tendance à favoriser en particulier " l'Église de Réconciliation " de Taizé, une communauté œcuménique fondée par des luthériens dont ils font les éloges dans leurs visites successives. Dans l'un d'eux, il appelle la communauté ou l'église "Eau vive promise par le Christ" et dans un autre, il les exhorte à être communs : "Vous aiderez tous ceux que vous rencontrerez à être fidèles à leur appartenance ecclésiale qui est le fruit de leur éducation et du choix de leur conscience".


Sa revendication de Luther est connue dans le monde entier lors de ses visites dans les pays d'origine du protestantisme, en particulier en Allemagne ; quelques phrases suffisent ; à Francfort : "Aujourd'hui je viens à vous, au patrimoine spirituel de Martin Luther, je viens en pèlerin. A l'occasion du cinquième centenaire de la naissance de Luther, il adresse une lettre au cardinal Willebrands dans laquelle il dit : " (tel était l'esprit religieux du destructeur de la Messe).


Parmi les nombreuses autres activités connues dans le monde entier, on peut citer : la visite d'un temple protestant pour une cérémonie à l'occasion de l'anniversaire susmentionné, où le rituel commence par la lecture d'une prière composée par Luther ; une visite à la cathédrale de Westminster où il manifeste " il va au service de l'humilité dans l'amour humble et réaliste du repentant pêcheur " ; une visite dans la cathédrale anglicane de Canterbury où il déclare " Je suis également disposé à pleurer cette longue séparation entre chrétiens.... pour rendre grâce au Seigneur pour l'inspiration de l'Esprit-Saint qui nous remplit d'un ardent désir de surmonter nos divisions et d'aspirer à un témoignage commun de Notre-Seigneur et Sauveur. Il est évident que la doctrine de Vatican II suivie par les Papes conciliaires cherche, non pas le retour des protestants dans l'Église, mais la réalisation du panchristianisme protestant avec l'Église catholique incluse. C'est ainsi qu'il est possible pour Jean-Paul II d'enseigner à travers ses écrits destinés au grand public que : " l'Église se réjouit quand d'autres chrétiens proclament l'Évangile avec elle " (Franchir le seuil de l'espérance).


On peut dire que la protestanisation est la première humiliation de l'Église, qui a eu lieu dans l'esprit de Vatican II, un esprit qui peut être résumé par le Père Yves Congar, un des conseillers experts de Vatican II qui a collaboré à la préparation des documents.  ré au quotidien français Le Monde. Congar est l'auteur de nombreux ouvrages largement diffusés à travers le monde. C'est ainsi qu'il a confié au journal français Le Monde: «Luther est l'un des plus grands génies religieux de toute l'histoire. À cet égard, je l'ai mis sur le même plan que saint Augustin, saint Thomas d'Aquin ou Pascal, et à certains égards plus grand qu'eux. » Congar est l'auteur de nombreuses œuvres largement diffusées dans le monde entier.


A SUIVRE... Origine de l’Église Universelle Synarchic de Vatican II
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Message  Monique Dim 20 Oct 2019, 11:47 am

Origine de l'Église Synarchique Universelle de Vatican II


La protestanisation de l'Église créée au Concile Vatican II est suivie par le plan de la synarchie des religions, qui est ouvertement en accord avec le projet de la franc-maçonnerie. Depuis le début du XVIIIe siècle, la Maçonnerie avait annoncé l'établissement d'une religion qui les engloberait tous dans une Église Synarchique Universelle. Cette synarchie aurait un but précis : la création d'un nouvel ordre mondial sous un gouvernement mondial ; cela ne pourrait se faire sans la démolition des frontières religieuses, principal obstacle à l'unification du monde en un seul appelé Jean-Paul II (village global). Comme l'homme a par nature un esprit religieux, il fallait parvenir à l'abolition du dogmatisme, sous le prétexte d'une "foi fondamentale en un seul Dieu". La grande barrière avait été l'Église catholique, qui devait non seulement renoncer à son autorité dogmatique, mais aussi, étant donné sa puissante influence dans le monde, devenir le dernier bastion du mouvement.

 Voici comment le maçon de la secte martiniste Saint Yves D'Alvedrey décrit le plan synergique dans son œuvre, Mission des souverains ; l'union des religions aurait lieu dans cet ordre :


1. L'Église évangélique -ou catholique- avec ses autorités, épiscopat, Pape, Concile.
2. L'Église mosaïque avec la Torah et son autorité le Gaon de Jérusalem.
3. L'Église des Védas - c'est-à-dire l'Hindouisme avec ses branches - et son autorité et la Loge Agartha.


Il ajoute que le protestantisme de Luther avec l'islam et le bouddhisme de Mahomet sont les trois branches de ce triple tronc de l'Église universelle.


Ce plan remonte à l'époque pré-révolutionnaire française, en mettant l'accent sur le placement, par infiltration, d'un maçon au Vatican, ou pape, qui présiderait un concile qui transformerait totalement l'Église. S'il s'agissait de faussetés ou de simples suppositions, l'Église n'aurait pas ouvertement dénoncé et condamné les projets maçonniques.

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Message  Monique Dim 27 Oct 2019, 3:35 pm

Cette dénonciation et condamnation commença en 1738 avec le Pape Clément XII et se poursuivit au cours du temps sous six pontificats jusqu'au Saint-Siège. Léon XIII (1884), qui dans son Encyclique " Humanum Genus " parle expressément de la synarchie revendiquée par la Franc-maçonnerie, affirmant qu'il est bien conscient de ce projet qu'il appelle " iniquité suprême ", affirme que le plan maçonnique est totalement vérifié " par des signes manifestes, par des processus ordonnés, par la publication des lois, rites et annales, ajoutant souvent les déclarations des complices eux-mêmes à cela ". En particulier, le Pape avait connu les plans de la "Alta Venta" du Carbonari italien sur la revendication du Pape maçonnique.


Évidemment, l'ancien plan synarchique pour faire apparaître l'Église catholique à la tête de la synarchie a été réalisé et les juifs et les maçons s'en vantent ouvertement. Les preuves abondantes qu'il serait possible de réunir à cet égard peuvent être résumées dans ce qui a été écrit ces dernières années par le jésuite juif Malachi Martin, disciple du cardinal juif Agustin Bea, membre de la Curie du Vatican ; Malachi résume en quelques mots la victoire de la conspiration dans son œuvre, Le conclave final, répandu dans le monde, où il écrit :


"Le grand événement a eu lieu... beaucoup avant l'an 2000, il n'y aura pas d'institution religieuse reconnaissable comme l'Église Catholique Romaine d'aujourd'hui. Cela a été préparé pendant environ quatre cents ans, et devenir une réalité n'a pris que quarante ans"
(se référant sûrement à ceux qui ont précédé Vatican II).


Tel a été le fruit prouvé de l'infiltration maçonnique dans l'Église. Il faut rappeler que bien avant la Révolution française, la maçonnerie avait infiltré et contaminé le clergé par sa philosophie, de sorte qu'un bon nombre de clercs n'ont pas résisté à la révolution ni collaboré ouvertement avec elle, tout comme le clergé d'aujourd'hui se conduit par rapport à l'hérésie de Vatican II.


L'infiltration dans l'Église s'est faite notamment à travers la secte martiniste, le Grand Orient de France, la Grande Loge d'Angleterre, la secte des Carbonarios de la Alta Venta d'Italie et l'Ordre des Rose-Croix, ce dernier donnant naissance à l'"Ordre Kabbaliste du Rose-Croix catholique" qui porte un nom significatif. Les sectes susmentionnées ont eu à leur tour des ramifications dans le monde entier.


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Message  Monique Sam 02 Nov 2019, 9:07 am

Les trois papes de Vatican II n'ont pas seulement consommé le travail de synarchie, mais ils ont aussi plaidé pour ce qui est de leur but ultime : l'établissement que nous avons mentionné, d'un gouvernement mondial. Paul VI et Jean-Paul II l'ont fait ouvertement dans leurs discours lors de leurs voyages à l'ONU. Paul VI quitte significativement le Conseil pour aller rendre hommage - comme il l'exprime ouvertement - aux membres de l'organisation, en exprimant son adhésion à ses idéaux, et il faut noter entre autres mots de son discours ces mots extrêmement significatifs : "Je viens à vous comme le voyageur qui après un long voyage lui remet la lettre qui lui a été confiée". Jean-Paul II, à son tour, effectue deux visites à l'ONU et réitère la nécessité de la création d'une " Autorité internationale pour agir sur le plan juridique et social ". Qui dicterait les lois que ce gouvernement imposerait au monde entier, qui serait l'objet de crimes devant ce Tribunal international, c'est le "Village global" suspect préconisé par Jean-Paul II.


Il faut noter que les paroles de celui-ci dans ses discours à l'ONU correspondent ouvertement au langage ésotérique et maçonnique ; il abonde en symbolismes de la "pierre angulaire", "le temple qui se construit", et d'autres dont le sens serait prolixe à démêler, mais qui témoignent d'une idéologie commune avec les sectaires.


Les deux derniers papes conciliaires ont été marqués par leurs fréquents contacts fraternels avec la judéo-maçonnerie et d'une manière particulière Jean-Paul II s'est déclaré ouvertement partisan des idéaux de la Révolution française ; lors de sa visite en France, il a déclaré, en dirigeant son discours au Premier Ministre, que la devise franciscaine "liberté, égalité, fraternité" avait constitué un héritage précieux pour l'humanité.


Les témoignages à manifester de l'identification des Papes conciliaires avec les idéaux maçonniques rempliraient les livres, mais la citation est suffisamment significative.


A SUIVRE... Le document fondamental du Vatican en faveur de la synarchie
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Message  Monique Dim 10 Nov 2019, 11:40 am

Le document fondamental du Vatican en faveur de la synarchie


Le document fondamental où l'intrigue du syncrétisme "chrétien catholique" est découverte est celle intitulée "Nostra Aetate", déclaration sur les relations de l'Église avec les religions non chrétiennes. De ce document, on peut dire qu'il constitue l'aberration des aberrations et le blasphème des blasphèmes ; la négation et la répudiation de toute Révélation chrétienne, et donc le mépris public et total de Jésus -Christ; la consommation de l'apostasie du Concile et la dernière humiliation de l'Église. Le document regorge de sarcasmes et répond très bien à la nouvelle définition de l'Église proclamée par Vatican II dès le début : "Sacrement et signe de l'unité du genre humain tout entier". La déclaration exalte avec éclat les valeurs des religions non chrétiennes, en exprimant même qu'en elles il y a quelque chose de saint, et qu'à travers elles on peut atteindre ce que l'Église enseigne est seulement accompli par l'œuvre de l'Esprit-Saint. On peut dire que dans la présentation louable des religions païennes, on choisit implicitement entre elles, ou qu'il est possible d'atteindre le salut et la sanctification à la marge de Jésus-Christ. C'est la dernière étape du salut hérétique inconditionnel prêché par Jean-Paul II.


Il vaut la peine de citer exactement les paragraphes les plus significatifs du document visant à réaliser le syncrétisme des religions menées par l'Église, dit-il :


"Dans l'hindouisme, les hommes explorent le Mystère Divin et l'expriment (c'est-à-dire qu'ils le connaissent pour eux-mêmes) à travers la profondeur inépuisable des mythes et à travers les efforts pénétrants de la philosophie, et cherchent la libération de l'angoisse de notre condition, soit par les modalités de la vie ascétique, ou par une profonde méditation, ou en cherchant refuge, avec amour et foi en Dieu.


«... Dans le bouddhisme, selon ses différentes formes, la voie est enseignée par laquelle les hommes, avec un esprit pieux et confiant, peuvent acquérir soit l'état de libération parfaite, soit l'illumination suprême, par leurs propres efforts ou soutenus par une aide supérieure".



"De même, les autres religions du monde s'efforcent de répondre de diverses manières à la préoccupation du cœur humain en proposant des voies, c'est-à-dire des doctrines, des normes de vie et des rites sacrés...,L'Église regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le seul Dieu vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes (c'est-à-dire que la révélation d'Allah à Mahomet est vraie) auxquels ils cherchent à se soumettre de toute leur âme, comme ils se sont soumis à Dieu Abraham, que la foi islamique regarde avec suffisance...".


"L'Église catholique ne rejette rien de ce qui est saint et vrai dans ces religions ; elle considère avec un respect sincère leurs manières de travailler et de vivre, leurs préceptes et leurs doctrines, et exhorte ses enfants à reconnaître, garder et promouvoir avec prudence et charité, par le dialogue et la collaboration avec les fidèles des autres religions..., ces biens spirituels et les valeurs socio-culturelles qui existent en eux.''


C'est ainsi que la religion catholique et les religions païennes sont présentées sur un pied d'égalité. Au contraire, les catholiques sont encouragés à respecter et même à promouvoir leurs erreurs, les laissant dans l'ignorance de Jésus-Christ, ce qui a constitué une sérieuse diminution dans les Missions, conduisant certaines congrégations missionnaires à une activité simplement philanthropique, comme celle de Mère Teresa de Calcutta, dans la maison principale de laquelle se trouve la Roue Bouddhiste, un cercle dans lequel apparaissent bouddhisme, Hindouisme, Christianisme et Islam. La non-conversion du monde, la ligne directrice exprimée par Vatican II, trouve sa plus grande manifestation dans les paroles de Paul VI dans son discours d'ouverture de la deuxième section de Vatican II - 29 septembre 1963 :


"Que le monde sache : l'Église la regarde avec une profonde compréhension, avec une admiration sincère et avec un dessein sincère, non pas pour la conquérir, mais pour la servir ; non pour la mépriser, mais pour la valoriser, non pour la condamner, mais pour la consoler et la sauver.''


A SUIVRE... Le judaïsme dans la synarchie de Vatican II
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Message  Monique Dim 24 Nov 2019, 3:17 pm

Le judaïsme dans la synarchie de Vatican II


Vatican II met l'accent sur le judaïsme, soulignant "les liens avec lesquels le peuple du Nouveau Testament est spirituellement uni à la race d'Abraham", et autour de cela tourne toute l'écriture qui regorge de sophismes tels que les suivants : "Christ, notre paix, a réconcilié les juifs et les païens, et des deux, il n'a fait qu'une chose en lui-même" ; ici, le sens de la phrase de l'apôtre saint Paul semble être mal interprété, ce qu'il exprime en réalité comme étant l'union dans le Christ des juifs et des païens convertis à lui.


Exhortant à l'amour mutuel entre juifs et chrétiens, il affirme implicitement que saint Jean dit : "Celui qui n'aime pas tous les hommes ne connaît pas Dieu", et celui qui n'aime pas les juifs ne connaît pas Dieu. Il ajoute : " Ce saint Concile veut encourager et recommander la connaissance et l'appréciation mutuelles entre eux - juifs et chrétiens - qui se réalisent avant tout par des études bibliques et théologiques et par le dialogue fraternel.... ". "Le Saint Concile exhorte juifs et chrétiens à rechercher sincèrement la compréhension mutuelle et à défendre et promouvoir ensemble la justice sociale, les biens moraux, la paix et la liberté pour tous les hommes.'' Voici une observation : on ne voit pas comment ils peuvent travailler ensemble à la préservation des biens moraux, de la paix, etc., qui ont des concepts opposés du bien et une vision différente du point de vue religieux.


Après Vatican II, Paul VI commença à se conformer à ce qui était prescrit au sujet du judaïsme ; il établit les "relations religieuses de l'Église avec le judaïsme" - comme on dit dans l'étreinte entre Caïphe et saint Pierre. D'où les Orientations et Suggestions pour l'application de la déclaration "Nostra Aetate" aux relations de l'Église avec le judaïsme. Parmi d'autres déclarations significatives contenues dans ce document, il convient de souligner ce qui suit : "Les catholiques doivent s'efforcer de comprendre la difficulté que l'âme hébraïque éprouve devant le Mystère de l'Incarnation, étant donné la notion élevée et pure de transcendance divine" (c'est-à-dire que les catholiques ont une notion basse et impure à cet égard).


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Message  Monique Lun 02 Déc 2019, 11:31 am

Dans cet espace, il n'est pas possible de consigner les activités de Paul VI dans l'accomplissement du mandat de Vatican II à l'égard des juifs, mais il suffit de connaître quelques faits : Paul VI a ouvert les portes du Vatican aux communautés juives pour un dialogue fraternel et une collaboration conjointe, en retirant même le crucifix d'une des salles pour les recevoir, et parfois il portait sur sa poitrine l'Ephod, emblème du Souverain Prêtre juif ; objet quadrangulaire avec douze pierres précieuses marquetées symbolisant les douze tribus d'Israël.


En ce qui concerne Jean-Paul II par principe, il convient de mentionner qu'à la suite de son élection, de nombreuses communautés juives ont manifesté leur complaisance en lui souhaitant plein succès dans son pontificat... ( ?); l'intrus polonais a créé de nombreux comités d'études judéo-chrétiennes mixtes, et a reçu au Vatican les membres de plus de vingt organisations juives du Comité juif mondial, les internant pour leurs réunions dans la Salle du Consistoire où les Cardinaux sont élus au Vatican, leur donnant des discours effusifs et confirmant le but de la collaboration mutuelle dans le travail pour le bien de l'humanité. En outre, il a visité les synagogues de Jérusalem et de Rome, où il a été reçu avec enthousiasme par des hymnes juifs et des discours dignes d'éloges, où il a obtenu une place préférentielle aux côtés du Grand Rabbin (son grand ami est le Grand Rabbin Elio Toaff) dans la Teva - lieu de lecture des écrits des juifs. C'est au cours d'une de ces visites que Jean-Paul II a proclamé que les juifs sont "nos frères aînés dans la foi" (dans quelle foi ?). Pour entrer dans la synagogue, il accepta de retirer le crucifix à la demande des Juifs.


A SUIVRE... La devise synarchique des Papes Conciliaires


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Montini et Wojtyla, serviteurs répugnants de la synagogue de Satan, soient tous deux anathème pour les siècles des siècles !
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Message  Monique Dim 08 Déc 2019, 4:20 pm

La devise synarchique des Papes conciliaires


Dès le début de son pontificat, Paul VI a commencé à répandre le mythe selon lequel "nous avons le même Dieu, juifs, musulmans et chrétiens". Il convient ici de noter la gravité de ce sophisme blasphématoire. Il n'est pas possible d'affirmer de la part d'un vrai Pontife au nom de l'Église catholique - mais est-ce un Pape catholique - que ceux qui appartiennent à ce que Paul VI et Jean-Paul II appellent les "trois grandes religions monothéistes" ont indistinctement le même Dieu ; la Très Sainte Trinité et le Verbe incarné ne sont pas la même chose que l'imagination de Mohammed sur son Allah, ou le millénaire Yahvé des juifs qui constitue le déni de la révélation chrétienne. Cette aberration place le christianisme sur un pied d'égalité avec les autres religions mentionnées.


Sur la base de ces théories, depuis Vatican II, il y a eu une succession d'activités en commun avec les non-chrétiens, en particulier avec les musulmans de la part de Paul VI et de Jean-Paul II dans une activité synarchique évidente ; les relations sont non seulement en termes de communication mais également de participation active au culte. Par exemple, Paul VI invite soixante-quinze moines bouddhistes à apporter les offrandes à la messe pour célébrer l'Année Sainte 1975.


Pour sa part, Jean-Paul II, porte jusqu'au bout le plan synarchique ; les réunions de toutes les religions pour les prières de paix initiées dans la ville d'Assise en 1986, où des représentants de plus de cent cinquante religions se sont rendus pour prier leurs dieux respectifs sur un pied d'égalité avec l'Église, ont constitué des actes significatifs, comme une statue du Bouddha près d'un tabernacle.


Les rencontres se sont poursuivies au Vatican, animées par la Communauté de Saint-Egide et les focolares, instruments du Pape pour la synarchie. Ainsi, le Vatican est devenu un point de rencontre pour les bouddhistes, les hindous, les Africains, les musulmans et toutes les fausses religions, convoqués non pas pour les inviter à la conversion mais pour démontrer leur foi dans le Dieu unique des conseils. Jean-Paul II s'est voulu lui-même lors de ses voyages hors de Rome par son identification aux adorateurs de tous les dieux des pays infidèles ; en Afrique, il buvait volontiers l'alcool des adorateurs de serpents, mais en particulier ses actions lors de ses voyages en Asie sont remarquables. Là, le cercle rouge des adorateurs de Shiva, déesse considérée comme la troisième incarnation de Dieu après Brahma par les hindous, était placé sur son front.


A SUIVRE...

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Message  Monique Dim 15 Déc 2019, 11:21 am

Il convient ici de noter en particulier l'inclination marquée de Jean-Paul II pour l'hindouisme ; il suffit de rappeler ses allusions à la synergie, une théorie hindoue qu'il répète sur tout l'univers attiré par l'orbite divine (Franchir le seuil de l'espérance). Mais ce qui est le plus éloquent, c'est ce qu'il affirme dans son encyclique "Foi et raison" ; là, on peut lire quelque chose d'inouï ; il manifeste que "l'Église catholique ne possède pas sa propre philosophie... elle doit prendre des éléments de la philosophie hindoue afin de s'enrichir".


En ce qui concerne le bouddhisme libérateur et éclairant recommandé par Vatican II, il montre aussi sa complaisance à cet égard. Lors d'une visite à Bangkok, en Thaïlande, il rencontre Vasana Tara, le patriarche suprême des bouddhistes, suivant le rituel de salutation qui consiste à se voir de longues minutes en silence absolu.


En ce qui concerne les musulmans, il y a beaucoup à consigner ; l'invitation aux serviteurs d'Allah à rencontrer les théologiens du Vatican pour l'étude conjointe de leurs religions et méthodes respectives de prosélytisme est remarquable. En mai 1996 a eu lieu le "Colloque de l'Association mondiale de l'appel islamique et du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux". Le résultat de ce colloque est que D'Wah et la Mission catholique apparaissent sur un pied d'égalité. Un commentaire qui fait autorité se lit comme suit : " Musulmans et chrétiens ont souligné l'importance de vivre leur propre foi et de promouvoir à leur manière l'Alliance de l'Humanité avec leur Dieu respectif ; les méthodes respectives du prosélytisme ont été étudiées dans le cadre de colloques fraternels ".


Jean-Paul II a promu la propagation de l'islam en Europe de bien des manières : il a parrainé la construction de la plus grande mosquée d'Europe dans la ville de Rome, malgré les protestations même des membres de la Curie. Paul VI avait rendu de manière significative aux Turcs le drapeau que les catholiques avaient gagné à eux lors de la bataille de Lépante (1571) et qui était au pied d'une image de la Vierge. Jean-Paul II a apparemment fait beaucoup plus avec ses conventions catholiques-islamiques avec les résultats connus dans le monde entier ; et en cela il ne fait que se conformer aux prescriptions de Vatican II concernant la promotion des biens moraux, des coutumes, etc. des religions païennes. L'islamisme supplante la catholicité décadente en Europe. Il est facile de voir comment des temples catholiques vides, en particulier en France et en Espagne, sont remis à des musulmans pour être utilisés comme mosquées, alors que les catholiques les marient facilement. La deuxième invasion mahométane de l'Europe est venue, cette fois pour y rester pour toujours et pacifiquement, grandissant sur la base des plus de dix millions de mahométans répartis dans divers pays et par une immigration constante. Mais ironiquement, ces derniers jours, Jean-Paul II a demandé aux catholiques de ne pas épouser des musulmans.


A SUIVRE... Les chrétiens catholiques jetés dans le tourbillon de la Grande Synarchie

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Message  Monique Lun 23 Déc 2019, 4:19 pm

Les chrétiens catholiques jetés dans le maelström de la Grande Sinarchie


On peut dire des chrétiens catholiques qu'il n'est pas possible de discerner ce qu'ils sont vraiment, entraînés dans le maelström du syncrétisme religieux. Ils sont amenés à agir comme des protestants en leur imposant le rite hérétique de Luther et de Cranmer, qui leur impose des attitudes et des rituels juifs et orientaux. Ainsi, en ce qui concerne le judaïsme, la représentation qu'on leur apprend à faire du repas pascal juif en même temps que la présentation de la Cène du Christ, la présence du candélabre à sept bras, symbole de la Loi mosaïque -alors que le Crucifix est banni- leur est imposée dans les temples ; on leur enseigne des chants en hébreu -qui n'est pas latin- : "Shalom, Shalom !" et ils ignorent que la prière par laquelle la prière de l'Offertoire de la Messe est changée est la bénédiction de la table  juive.


En ce qui concerne leur identification avec les autres religions et la préservation de leur sainteté, on leur fait prier dans une attitude de yoga ou de bouddhisme, en leur indiquant qu'ils doivent se tenir debout pendant la prière, respirer profondément en fermant les yeux et croiser les mains sur la poitrine - et le yoga catholique. Il leur est demandé de se faire face avec leur partenaire de culte et de se regarder dans les yeux comme dans le rituel de la salutation bouddhiste ; il ne leur reste plus - et cela ne tardera pas à venir - qu'à recevoir l'ordre de se prosterner comme les mahométans et de s'exclamer " Allah est grand ".


Les chrétiens catholiques qui se prosternent devant la table vide dans les temples usurpés de l'Église catholique ne sont pas conscients des terribles symboles qu'ils font ainsi. Une telle table signifie à la fois la Teva des juifs, la Caaba des mahométans, l'autel du Bouddha, le pilier de Shiva, la table de Luther..., et le site du rire du diable.


A SUIVRE... La messe catholique de Trente avant le rituel de Paul VI
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