LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
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LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
https://messe.forumactif.org/t8615-la-bestia-de-sodoma-y-gomorra-canonizada-por-la-roma-apostata-y-heretica#150661
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http://www.unavox.it/ArtDiversi/DIV2658_Paolo_VI_per_immagini.html
*Les citations sont de moi
LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE
(*Note : le titre est mon invention )
Après la "canonisation" de Paul VI, effectuée par "François" le 14 octobre 2018, il reste le souci que le pire de la crise dans l'Église, au lieu de faire allusion à l'arrêt, continue à montrer des signes de volonté d'accentuation.
Où va-t-on finir ? Quand pouvons-nous espérer avoir un peu de répit ?
Il est clair que si le Seigneur permet tout cela, il y aura une raison qui reste insondable pour nous, mais en ce qui nous concerne, nous ne pouvons qu'essayer, avec l'aide de Dieu, de rester fermes dans la foi et de persévérer dans l'adhésion à la vérité et dans le rejet, la dénonciation et la lutte contre les erreurs ; avec nos modestes forces et les talents que le Seigneur a voulu nous assigner.
C’est dans cet esprit que nous examinons aujourd’hui la «canonisation» de Paul VI et, consternés, nous tournons notre regard vers les années au cours desquelles Giovanni Battista Montini a dirigé le destin du monde catholique de 1963 à 1978; quinze années cruciales pour la vie de l'équipe catholique ... Vatican II, nouvelle messe, nouveaux sacrements, nouvelle discipline ecclésiastique, nouvelle pastorale, nouvelle doctrine, accompagnée d'une persécution moins masquée contre ceux qui, clercs ou laïcs, veulent rester fidèles à l'Église de tous les temps.
En un mot : révolution ! Une révolution qui a immédiatement donné et continue de donner les fruits néfastes qui constituent ce qu'on appelle communément une crise dans l'Église : la diminution progressive des fidèles, du clergé et des laïcs, le début d'une apostasie rampante qui s'est répandue comme un incendie, l'abandon de la morale catholique, la perte de la foi et son remplacement par les valeurs du monde, des plus pernicieuses aux plus honteuses.
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Monique- Nombre de messages : 13758
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Re: LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
Au cours de ces dernières semaines, il y a eu de nombreuses interventions relatives à cette canonisation sans précédent, dont certaines ont été publiées sur ce site ; à ce sujet, donc, nous y faisons référence, il nous a paru opportun de fixer ici quelques moments du pontificat de Paul VI surtout par des images, et ce non pas tant parce que les images restent souvent en mémoire mieux que les écrits, mais parce que l'on sait que le pape fait du magistère, pas uniquement par des documents, mais aussi des actions et gestes.
Ce que nous présentons, par conséquent, n'est pas un aspect secondaire du Magistère de Paul VI : ce qu'il a suggéré, conseillé, offert comme un exemple de vie chrétienne. Logiquement, les images sont accompagnées à la fois de références et de citations tirées des différentes déclarations faites à cette occasion.
Les premières images sont génériques, mais particulièrement significatives pour encadrer la figure de Giovanni Battista Montini.
Paul VI renonce à la tiare et la dépose pour la vendre
Le 13 novembre 1964, un an après son couronnement, Paul VI renonça à la tiare dont il avait été couronné et la déposa sur l'autel pour la vente. Le geste presque sacrilège et certainement désobligeant pour l'Église et ses prédécesseurs était intentionnellement démagogique.
Si par hasard vous voulez faire l'hypothèse qu'il s'agissait d'une aspiration à la pauvreté, souvenez-vous que la tiare, avec ses trois couronnes, symbolise le triple pouvoir du Pape : Vicaire du Christ et donc Père des Princes et des Rois, Régent du monde ; Elle symbolise aussi la triple constitution de l'Église : militante, purgative et triomphante ; ainsi que le pouvoir conféré par le Christ à son Vicaire sur les trois mondes : Ciel, terre et enfers, comme le rappelle saint Paul dans sa Lettre aux Philippiens, 2, 10-11 : "qu'au nom de Jésus, tout genou se plie dans le ciel, sur terre et sous terre ; que toute langue annonce que Jésus-Christ est Seigneur, pour la gloire de Dieu le Père".
Avec la déposition de la tiare, Paul VI a voulu jeter tout cela au rebut, suscitant de nombreuses réactions d'indignation, parmi lesquelles celle du cardinal François Joseph Spellmann (*Note de Javier : Spellman, ami intime de Montini et, comme celui-ci, un sodomite sous couverture, comme le montre Randy Engel dans son livre Le rite de la sodomie), Archevêque de New York, qui avec un abonnement de plus d'un million de dollars a acheté la tiare au Vatican et la fit déposer dans la Basilique de l'Immaculée Conception de Washington, où elle est encore située.
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Monique- Nombre de messages : 13758
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Re: LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
Paul VI commande une horrible sculpture en bronze qui devrait représenter la Résurrection et qui se trouve encore aujourd'hui dans la salle d'audience du Vatican.
Paul VI a commandé la sculpture en 1965, deux ans après son accession à la papauté. Pericle Fazzini a commencé à travailler en 1970 et l'a terminé en 1975.
Paul VI l'ami des communistes
Le 3 novembre 1954, Mgr Montini, suppléant de la Secrétairerie d'État de Pie XII, est nommé archevêque de Milan et donc destitué du Vatican. Au-delà des quelques nouvelles certaines sur l'événement, presque tout le monde s'accorde à dire qu'il a perdu la confiance de Pie XII parce qu'il a appris que son Monseigneur rencontrait secrètement, à son insu, les représentants du communisme international et italien : avec l'aide de Don Giuseppe De Luca il a rencontré à Milan avec Togliatti. Parmi les différentes voix qui se sont élevées à cet égard, nous nous souvenons de celle du cardinal Siri, qui n'était certainement pas à la Curie de Rome et qui a dit avoir entendu parler de raisons politiques.
Le fait est que, devenu pape, Paul VI a donné une audience au Vatican à tous les dirigeants communistes des pays d'Orient, où les catholiques étaient persécutés et emprisonnés.
Rencontres répétées avec Andrej Gromiko
Paul VI s'est réuni cinq fois (1965, 1966, 1970, 1974 et 1975) Andrej Gromyko, ministre des Affaires étrangères de l'Union soviétique ; la première réunion de 1965 a eu lieu à New York pendant son voyage aux États-Unis les 4 et 5 octobre, tous les autres au Vatican. L'initiative de ces rencontres est venue du Vatican, car Paul VI voulait échanger avec le ministre soviétique sur diverses questions. On peut supposer que de ces questions il a exagéré celle de la percution soviétique contre la religion et en particulier contre les catholiques.
D'autre part, il a suivi l'exemple de Jean XXIII, qui avait voulu rencontrer Gromyko en 1963.
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Monique- Nombre de messages : 13758
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Re: LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
Audience accordée à Nikolaj Porgorny
Le 30 janvier 1967, Paul VI a accordé une audience au Vatican à Nikolaj Podgornyj, président du Présidium du Soviet suprême de l'Union soviétique. C'était la première audience publique papale accordée à un dirigeant communiste. Paul VI, dans une poignée de main chaleureuse, a parlé avec Podgornyj pendant soixante-dix minutes : on se demande s'ils ont parlé des millions de victimes du communisme et des dizaines de milliers de personnes tuées et déportées entre clercs et laïcs chrétiens, ainsi que des 50.000.000 de catholiques qui ont subi les plus horribles persécutions derrière le Rideau de fer. Les victimes du communisme peuvent être consultées sur différentes pages Internet, dont celle de l'Osservatore Romano :
http://www.vatican.va/news_services/or/or_quo/cultura/2010/276q04b1.html
Paul VI voulait que le Vatican se souvienne de cette occasion spéciale avec une "carte postale".
Audience accordée à Josip Broz Tito
Le 29 mars 1971, Paul VI reçoit au Vatican Josip Broz Tito, un dictateur yougoslave aux mains tachées du sang des dizaines de milliers de victimes du Foibe, dont des centaines de prêtres. L'archevêque de Zagreb, Alojzije Stepinac, cardinal créé par Pie XII et maintenant béni, a été jugé et condamné à 16 ans de prison, mort en 1960 pour mauvais traitements et probablement empoisonné. Néanmoins, le 25 juin 1966, Paul VI fait signer au Cardinal Casaroli à Belgrade un protocole d'accord avec le dictateur communiste Josip Broz Tito. Pour la première fois dans l'histoire, le Saint-Siège a conclu un accord avec un État marxiste à l'Est.
Audience accordée à Nicolae Ceauşescu
Le 26 mai 1973, Paul VI reçoit en audience au Palais Apostolique le dictateur de la République Socialiste de Roumanie, Nicolae Ceauşescu, accompagné de son épouse.
Dans le pays qui est devenu une force communiste après la Seconde Guerre mondiale, la police a dit du Vatican et du Pape : " Les possibilités d'information du Vatican, dans tous les pays où l'Église catholique existe, sont vastes, surtout grâce au fait que le Souverain Pontife a à sa disposition une armée entière de prêtres bien préparés, disciplinés, facilement manœuvrables, sans être liés par des biens ou une famille. Tout prêtre de l'Église catholique romaine est, en même temps, un parfait agent d'information pour le Pape de Rome, qui transmet de tous les coins du monde, au moyen d'échelles hiérarchiques, toutes les données à caractère politique, social, économique et religieux qu'il recueille au sein de sa communauté religieuse".
https://www.avvenire.it/agora/pagine/romania-martiri-dimenticati
Il semble que Paul VI ne se souciait pas de la haine anti-catholique qui animait le communisme roumain dirigé par Ceauşescu, ni du sort horrible que ce régime de terreur réservait à Mgr Vasile Aftenie ; en fait, il se tournait vers la personne responsable de la haine et de la terreur :
"C'est la première fois que Son Excellence est au Vatican, et je dois vous dire que nous y attachons une grande importance, car nous ne voulons avoir de bonnes relations qu'en toute dévotion et respect. Nous sommes les héritiers d'une histoire qui n'est pas parfaite en soi, mais nous devons la perfectionner pour le bien des peuples. L’État, et donc plus que jamais l’Église catholique, doit agir pour une nouvelle vision sociale dans le monde".
http://www.ziuaveche.ro/exclusiv-zv/dosare-ultrasecrete-exclusiv-zv/dosare-
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Monique- Nombre de messages : 13758
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Re: LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
Audience accordée à Janos Kadar
Le 9 juin 1977, Paul VI reçoit en audience au Vatican Janos Kadar, président du Conseil de Hongrie, persécuteur du cardinal Mindszenty, arrêté deux fois par le régime communiste hongrois et condamné à la prison à vie, puis libéré seulement après l'insurrection anticommuniste de 1956.
A l'occasion de l'audience, Paul VI a adressé les paroles suivantes au dirigeant communiste :
"La visite qu'elle nous rend aujourd'hui est, sans aucun doute, un événement d'une signification singulière et d'une importance particulière... Cela nous donne des raisons de croire que sa visite, en plus de couronner, dans un certain sens, un tronçon important du chemin déjà parcouru, est une annonce et une promesse de nouveaux progrès sur le chemin des contacts mutuels, de la compréhension mutuelle et de la coopération positive au service des nobles causes qui touchent non seulement le peuple hongrois mais aussi les autres peuples et l'humanité entière, notamment la défense de la paix, le développement économique, culturel et moral des nations.''
https://w2.vatican.va/content/paul-vi/it/speeches/1977/june/
documents/hf_p-vi_spe_1977070609_janos-kadar.html
Audience accordée à Edward Gierek
Le 1er décembre 1977, Paul VI a reçu en audience au Vatican Edward Gierek, premier secrétaire du Comité central du Parti ouvrier unifié polonais, c'est-à-dire du Parti communiste qui a dirigé la dictature en Pologne.
A cette occasion, Paul VI adressa ces paroles au dirigeant communiste :
"Nous accueillons avec reconnaissance les expressions que vous avez voulu avoir pour le travail accompli par le Saint-Siège et par nous personnellement au service de la paix, en Europe et dans le monde. Répondre à la conviction profonde d'un devoir qui nous est imposé par notre propre mission, distinct mais non détaché de ce qui nous incombe au service de l'Église catholique, des intérêts religieux et des droits humains des individus et des peuples.
https://w2.vatican.va/content/paul-vi/it/speeches/1977/
décembre/documents/hf_p-vi_spe_19771201_edward-gierek.html
Paul VI e Mons. Helder Camara
Paul VI avait une amitié particulière pour Mgr Helder Camara, une amitié qui remonte à 1950 et qui s'est progressivement renforcée. L'excellente compréhension des deux dans le Concile Vatican II a poussé à la réalisation de la collégialité épiscopale, tandis que l'encyclique Populorum progressio, publiée par Paul VI le 26 mars 1967, comptait sur la collaboration de Camara.
Paul VI rencontra plusieurs fois son ami brésilien, connu sous le nom d'"évêque rouge", et on dit que chaque fois qu'ils se rencontraient, au Vatican ou ailleurs, ils échangeaient ce salut significatif : "Le voici, notre "archevêque rouge""... "En l'humble présence du "pape communiste".
Camara, devenu archevêque de Recife et d'Olinda (Brésil) en 1964, était passé du militantisme du parti brésilien pro-nazi (1934) à la promotion du communisme sous toutes ses formes (1947) : des révolutions sud-américaines et la lutte armée au Brésil, à la théologie de la libération. Il était un promoteur de l'avortement, du divorce et de l'ordination des femmes. Déclarée par le gouvernement brésilien "Patron brésilien des droits de l'homme", la cause de béatification a été lancée le 25 février 2015.
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Monique- Nombre de messages : 13758
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Re: LA BÊTE DE SODOME ET GOMORRE "CANONISÉE" PAR LA ROME APOSTATE ET HÉRÉTIQUE (espagnol/français)
Paul VI impose l'abandon de la Sainte Messe des Apôtres
Le premier document préparé par Vatican II fut la Constitution sur la sainte Liturgie : Sacrosanctum Concilium, promulguée par Paul VI le 4 décembre 1963. Avec lui, "Le Concile sacré vise à faire grandir de plus en plus la vie chrétienne parmi les fidèles, à mieux adapter aux besoins de notre temps les institutions soumises au changement, à favoriser ce qui peut contribuer à l'union de tous les croyants dans le Christ" (SC No. 1).
Entre-temps, dans plusieurs paroisses, on commençait déjà à célébrer selon ce nouvel "esprit", en violation des normes encore existantes pour la célébration de la Sainte Messe de tous les temps ; en effet, la nouvelle Messe fut promulguée par Paul VI le 3 avril 1969 avec la Constitution Missale Romanum. Néanmoins, déjà en 1965, un nouveau Missel a été utilisé avec l'Ordinaire et le Propre a changé, souvent à volonté.
Paul VI n'a pas perdu de temps non plus et, le 25 janvier 1964, il a institué le Concile pour l'application de la Constitution sur la sainte Liturgie (Consilium), composé d'environ 50 cardinaux et évêques qui ont suivi les conseils de quelque 200 experts, dont Paul VI qui a voulu que l'on compte six pasteurs protestants, lesquels devaient, probablement, faire correspondre le nouveau missel à leurs vues et plaisait au monde protestant hors Église et contre celui-ci.
Le secrétaire polyvalent de ce Consilium était Annibale Bugnini, étrangement dans l'odeur de la Franc-maçonnerie: celui-là même qui écrivait en 1967 : "il faudra donner de nouvelles structures à des rites entiers. Il s'agit d'un renouveau complet, je dirais presque d'une refondation et dans certains cas ce sera une création nouvelle" et en 1974 il déclarait que "la nouvelle messe est la plus grande conquête de l’Église catholique".
Avant même la promulgation du nouveau Missel, c'est Paul VI qui a commencé à célébrer la Messe d'une nouvelle manière. Presque comme pour donner l'exemple de la nouvelle célébration "à volonté", il célébra la Sainte Messe toujours en italien, réalisant la première grande contradiction qui met en évidence le double visage de ce pape qui, dit-on, pleura de chagrin en signant le Novus Ordo Missae.
Paul VI célèbre la Sainte Messe du Tridentin... en italien
Le 7 mars 1965, Paul VI célébra pour la première fois la Sainte Messe jamais célébrée en italien, dans la paroisse de Toussaint, sur la voie des Appariens, à Rome. Dans son homélie, il a dit : "Extraordinaire est la nouvelle façon d'aujourd'hui de prier, de célébrer la Sainte Messe... La norme fondamentale est désormais celle de prier en comprenant les phrases et les mots individuels, de les compléter par nos sentiments personnels et de les conformer à l'âme de la communauté, qui choisit avec nous".
Monique- Nombre de messages : 13758
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