Pour le "Primat des Gaules"...

Une dernière chose : l’auteur recommande, si jamais nous nous trouvions sur les lieux d’un accident et que nous pouvions approcher la victime, de réciter, à haute voix, pour elle ou avec elle, l’acte de contrition et ce, même si la personne appartient à une autre religion ; c’est peut être la grâce de conversion qui fera la différence entre le ciel ou l’enfer pour elle. Il va s’en dire que si nous devons assister un malade en danger de mort, la même pratique est recommandée.
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Source

Louis a écrit:.

A Philippe Barbarin, qui incite les catholiques à la profession de foi de l'islam :

Une dernière chose : l’auteur recommande, si jamais nous nous trouvions sur les lieux d’un accident et que nous pouvions approcher la victime, de réciter, à haute voix, pour elle ou avec elle, l’acte de contrition et ce, même si la personne appartient à une autre religion ; c’est peut être la grâce de conversion qui fera la différence entre le ciel ou l’enfer pour elle. Il va s’en dire que si nous devons assister un malade en danger de mort, la même pratique est recommandée.
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Louis a écrit:.

A Philippe Barbarin, qui incite les catholiques à la profession de foi de l'islam :

Une dernière chose : l’auteur recommande, si jamais nous nous trouvions sur les lieux d’un accident et que nous pouvions approcher la victime, de réciter, à haute voix, pour elle ou avec elle, l’acte de contrition et ce, même si la personne appartient à une autre religion ; c’est peut être la grâce de conversion qui fera la différence entre le ciel ou l’enfer pour elle. Il va s’en dire que si nous devons assister un malade en danger de mort, la même pratique est recommandée.
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Louis a écrit:.

A Philippe Barbarin, qui incite les catholiques à la profession de foi de l'islam :

Une dernière chose : l’auteur recommande, si jamais nous nous trouvions sur les lieux d’un accident et que nous pouvions approcher la victime, de réciter, à haute voix, pour elle ou avec elle, l’acte de contrition et ce, même si la personne appartient à une autre religion ; c’est peut être la grâce de conversion qui fera la différence entre le ciel ou l’enfer pour elle. Il va s’en dire que si nous devons assister un malade en danger de mort, la même pratique est recommandée.
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Il va sans dire et il va s'en dire

(...)

Par ailleurs, il importe de ne pas confondre la préposition sans avec son homophone s’en, qui est une combinaison de deux pronoms (se et en).

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=4804

gabrielle a écrit:La doctrine catholique est tout le contraire de la doctrine de Ti-clin Barbarin.