Montini-P6, le fils du MAL
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Javier
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
Les allégations d’homosexualité visant le pape Paul VI
Nous commencerons par les allégations émanant du collectif homosexuel lui-même.
Le pape Paul VI est qualifié d’homosexuel dans de nombreuses publications homosexuelles, et son nom apparaît sur presque toutes les listes d’éminents homosexuels que publient plusieurs sites Internet du collectif homosexuel.
Le collectif homosexuel a tendance à qualifier une personne de « gay » même si l’on sait peu de choses de la vie privé de celle-ci. Il part de l’hypothèse qu’en l’absence de preuve que quelqu’un est hétérosexuel, l’intéressé est ipso facto homosexuel. Il ne reste de place pour aucune autre possibilité. Par exemple, l’individu en question peut simplement être asexué ou peu porté sur le sexe. Il peut avoir sublimé ses pulsions sexuelles normales pour l’amour de son art, de sa profession ou – dans le cas d’un prêtre voué au célibat – de l’amour de Dieu.
Dans d’autres cas, le collectif peut être dans le vrai en estimant – dossier à l’appui – que l’intéressé s’adonnait à un vice sexuel particulier, mais que ce vice n’était peut-être pas l’homosexualité.
À ce propos, le nom de Hans Christian Andersen, auteur de contes de fées, vient immédiatement à l’esprit.
Son nom figure, en effet, dans plusieurs listes contemporaines d’éminents « gays » du passé. Ainsi le célèbre sexologue Magnus Hirschfeld a-t-il publiquement qualifié Andersen d’homosexuel, ou du moins d’homosexuel « latent ».
Des données biographiques plus récentes indiquent cependant qu’Andersen avait un tempérament hautement narcissique et qu’il s’adonnait habituellement et incurablement à la pratique de la masturbation solitaire. Comme Elias Bredsdorff, de l’Université de Cambridge, le note dans sa biographie de l’écrivain, il existe des preuves suffisantes qu’Andersen était hétérosexuel par nature, mais qu’il souffrait d’un sentiment d’infériorité lui rendant toute relation impossible avec une femme mûre. L’auto-érotisme lui permettait d’aimer la personne qu’il aimait le plus depuis sa jeunesse : lui-même.
Mais dans le cas du pape Paul VI, il ne semble pas que de telles erreurs d’interprétation aient été commises.
Il est significatif, en effet, que les milieux homosexuels aient décrit le pape Paul VI comme homosexuel longtemps avant que la question de l’homosexualité ne devienne un élément de la conscience américaine. En d’autres termes, la rumeur selon laquelle Montini était sexuellement attiré par les jeunes hommes faisait partie des potins qui s’échangeaient au sein du collectif bien avant que l’accusation d’homosexualité n’ait été publiquement formulée contre l’intéressé.
Aux États-Unis, lors de son assemblée constitutive du 2 décembre 1978 tenue au siège de l’Unitarian Community Church de Boston, la North American Man/Boy Love Association (NAMBLA : association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les garçons) proclamait : « … L’Église condamne la déviance sexuelle, mais elle est hypocrite, car elle tolère et même récompense l’hypocrisie sexuelle personnelle aux plus hauts niveaux de sa hiérarchie pour autant que les intéressés observent extérieurement leur allégeance au pouvoir central : le cardinal Spellman et Paul le Sixième [sic] en offrent des exemples récents ».
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
Le témoignage de Robin Bryans
Comme il le révèle dans les conclusions du chapitre relatif aux espions de Cambridge de son autobiographie publiée en 1992 sous le titre The dust has never settled (la poussière n’est jamais retombée), l’écrivain irlandais Robin Bryans, homosexuel avoué, soutient que son ami Hugh Montgomery lui a dit avoir été l’amant de Montini dans la jeunesse des deux hommes.
Rappelons que Hugh Montgomery était le frère de l’artiste bien connu Peter Montgomery, qui fut longtemps le partenaire sexuel d’Anthony Blunt, l’un des espions de Cambridge. Selon Bryans, Hugh Montgomery avait aussi été l’amant d’un soir de Sir Gilbert Laithwaite, diplomate homosexuel bien connu également.
Autour de 1935, Hugh Montgomery avait occupé un poste diplomatique au Vatican comme chargé d’affaires, sous l’autorité de Sir Alec Randall, représentant de la Grande-Bretagne auprès du Saint-Siège. C’est là qu’il rencontra un autre jeune diplomate plein d’avenir – italien, celui-ci – Mgr Battista Montini, qui partageait – paraît-il – les tendances sexuelles de Hugh, et l’on rapporte que les deux hommes s’engagèrent alors dans une aventure homosexuelle.
Selon Bryans, Hugh Montgomerry et son ami Battista Montini fraternisèrent à cette époque avec quelques personnages plutôt eccentriques, dont le vicomte Evan Tredegar, aristocrate converti au catholicisme, qui avait fait office de chambellan privé auprès du pape Benoît XV.
Le vicomte aimait titiller ses amis en leur narrant ses exploits sexuels et en leur parlant d’occultisme, y compris des messes noires auxquelles il avait assisté et au cours desquelles on se servait de sang, d’urine et de sperme humains. Après la mort de Benoît XV et l’élection de son successeur Pie XI, Tredegar perdit automatiquement sa position honoraire de chambellan privé. Il renonça à son rêve de devenir prêtre et retourna dans la maison de ses aïeux, au pays de Galles, où il se maria. Selon un ami proche, Tredegar conservait une photographie montrant le jeune Montini assis sur sa table de nuit et se tenant « joue contre joue avec un “robuste” matelot » ; cette photographie voisinait avec celles d’un membre de la famille royale.
Lors d’un entretien avec l’écrivain britannique Stephen Dorril, co-auteur de Honeytrap – The Secret Worlds of Stephen Ward, Bryans répéta l’histoire de l’aventure entre Hugh Montgomery et Montini. Dorril a dit depuis qu’il avait trouvé Bryans très précis dans l’évocation de ses jeunes années, au cours desquelles il faisait partie de l’« élite » homosexuelle londonienne.
Hugh Montgomery se convertit ensuite au catholicisme, s’inscrivit au Beta College et fut ordonné prêtre catholique. On n’en sait pas beaucoup plus sur ce clerc controversé.
S’il est vrai que Montini a eu une aventure homosexuelle lorsqu’il était jeune diplomate au Vatican, il est presque certain qu’au moins certains membres de la Curie Romaine en ont eu vent. Mais comme l’intéressé était bien protégé par sa famille – politiquement puissante – et par d’autres prélats influents, dont Eugenio Pacelli, le futur Pie XII, il n’aurait guère été possible de lui retirer ses fonctions diplomatiques.
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Javier- Nombre de messages : 4271
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
Les allégations de Roger Peyrefitte
Roger Peyrefitte, romancier et ancien ambassadeur de France, est né en 1907. C’était un homosexuel avoué, connu pour son franc-parler en défense des « droits des gays ».
En 1976, Peyrefitte accorda une interview à D.W. Gunn et J. Murat, représentants de la Gay Sunshine Press, au sujet de l’homosexualité alléguée du pape Paul VI.
Il leur déclara qu’en janvier de cette année-là, le pape avait fait un discours public dans lequel il condamnait l’homosexualité, la masturbation et les relations sexuelles avant le mariage. Il ajouta que l’hypocrisie du pape le mettait en colère, car on savait dans certains milieux que lorsque Montini était archevêque de Milan, il avait eu une aventure homosexuelle avec un jeune acteur de cinéma, dont Peyrefitte connaissait le nom. L’écrivain français dit tenir cette information « non des communistes ou des concierges », mais de membres de la haute noblesse italienne qu’il connaissait bien. Ses sources milanaises l’auraient informé que dans certains milieux, c’était un secret politique que Montini se rendait dans une « maison discrète » pour y rencontrer des garçons et qu’il avait parmi ceux-ci un favori prénommé Paul.
Après la condamnation de l’homosexualité par Paul VI, un reporter français du journal Lui vint interviewer Peyrefitte. C’est alors que Peyrefitte divulgua le passé homosexuel de Montini à Milan.
L’interview de Lui fut reprise par l’hebdomadaire italien Tempo à Rome, le 26 avril 1976. Peyrefitte déclara que c’était comme si une bombe à retardement avait explosé.
Le Vicaire de Rome et la Conférence épiscopale italienne instituèrent une « Journée de la consolation » pour les calomnies répandues contre le Saint-Père. Le Dimanche des Rameaux, le pape lut depuis le balcon du Vatican une déclaration traitant « … Delle cose orribili et calumniose… ». Peyrefitte déclara que ses accusations contre le pape circulaient dans le monde entier.
Dans O Vatican ! A Slightly Wicked View of the Holy See (Ô Vatican ! Une vision cruelle du Saint-Siège), Paul Hofmann, ancien correspondant à Rome du New York Times, reprend les accusations de Peyrefitte contre Montini. Il cite nommément Paolo Carlini, acteur italien connu, dont Montini aurait fait la connaissance à Milan lorsqu’il était archevêque de cette ville et qui devait ensuite rendre de fréquentes visites au pape Paul VI dans les appartements privés de celui-ci, au Vatican.
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Roger Peyrefitte
Montini et son "ami favori", l'acteur Paolo Carlini.
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
Les accusations de l’abbé de Nantes
À l’été 1993, l’abbé Georges de Nantes, fondateur en 1969 de la Ligue de la Contre-Réforme Catholique à Troyes, France, explicita les accusations d’homosexualité portées contre le pape Paul VI dans le numéro de juin-juillet de La Contre-Réforme Catholique au XXème Siècle.
L’abbé déclara que ses commentaires répondaient à l’annonce formulée par le pape Jean-Paul II le 13 mai 1993, jour de la fête de Notre-Dame de Fatima, et aux termes de laquelle le processus de canonisation du pape Paul VI avançait selon la procédure diocésaine préliminaire conduite à Milan en 1992.
« J’ai reçu la nouvelle de l’ouverture du processus de canonisation de mon prédécesseur Paul VI. Il était un père pour moi, au sens personnel du terme. C’est pourquoi je ne saurais exprimer ma grande joie et ma grande gratitude », avait déclaré le pape Jean-Paul II.
L’accusation d’homosexualité portée contre le pape Paul VI dans la Contre-Réforme commence avec le rappel par l’abbé de Nantes des accusations de Paul Hofmann relatives à la Mafia milanaise, c’est-à-dire aux liens notoires que l’archevêque Montini entretenait à Milan avec la Mafia et la franc-maçonnerie.
L’abbé de Nantes cite ensuite un ouvrage en sa possession, dont il n’indique pas la référence et où il est question d’un cardinal non italien, « homme grand, affable et aux yeux perçants », que le pape Paul VI a nommé à un poste-clé du Vatican et qui a la réputation d’entretenir des relations pédérastes avec des ragazzi, les garçons habitant le quartier situé derrière le Vatican. Il dit avoir appris qu’après l’élection de Montini au trône de Pierre, on avait constaté une augmentation incroyable du nombre de séminaristes et de prêtres homosexuels aux États-Unis comme aux Pays-Bas. Pourtant, Rome n’a rien fait, ajoute-t-il.
Enfin, l’abbé rappelle un incident qui se produisit la veille du conclave de 1963, à l’issue duquel Montini devait être élu pape. Selon lui, l’abbé de Saint-Avit, de la basilique de Saint-Paul-hors-les-Murs, l’a informé le soir de l’ouverture du conclave que la brigade des mœurs de la police de Milan avait un dossier sur Montini. Par conséquent, le nouveau pape ne pourrait être et ne serait pas Montini. Mais ce fut pourtant Montini.
L’abbé de Nantes s’adresse ensuite au pape Jean-Paul II :
"Donc, après que l’élection d’un homosexuel avéré au Trône de saint Pierre a empoisonné l’Église, Vous, Très Saint Père, voudriez le faire revivre et se renforcer en élevant ce même misérable Paul VI aux autels, ainsi qu’en offrant ses os comme reliques aux pieux baisers des fidèles et sa face tourmentée à leurs fervents regards dans la Gloire du Bernin ? Ah non, c’est impossible. Ce ne sera pas !"
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L'abbé de Nantes
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
Les révélations de Franco Bellegrandi
Dans son dernier ouvrage en date, Vatican II, Homosexuality & Pedophilia, Atila Sinke Guimarães soulève la question de l’homosexualité de Paul VI. Guimarães cite Franco Bellegrandi, ancien membre de la Garde noble pontificale (élément de l’armée du pape) qui a été témoin des funestes changements intervenus au Vatican après l’entrée en fonction du pape Paul VI.
Bellegrandi réitère l’accusation selon laquelle lorsqu’il était archevêque de Milan, Montini s’est fait ramasser en civil par la police local au cours d’une de ses visites nocturnes dans les bordels masculins de la ville.
L’ancien garde du Vatican décrit le processus de colonisation homosexuelle qui, selon lui, avait commencé sous le pape Jean XXIII, mais s’est accéléré sous Montini – processus avec lequel le lecteur devrait maintenant être tout à fait familiarisé. Bellegrandi déclare que d’anciens employés du Vatican furent licenciés pour faire place aux favoris de Montini affligés du même vice que lui. Ces derniers, à leur tour, firent venir leurs gitons – « des jeunes gens efféminés arborant d’élégants uniformes et se maquillant pour masquer leur barbe », souligne-t-il.
Bellegrandi rapporte encore que selon ce que lui a dit un fonctionnaire du service de sécurité du Vatican, l’acteur ami de Montini avait libre accès aux appartements pontificaux, et on le voyait emprunter l’ascenseur du pape la nuit.
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Franco Bellegrandi
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
La question du chantage
L’une des déclarations de Bellegrandi qui ont retenu mon attention est qu’à peine élu pape, Paul VI avait été soumis à un chantage de la part des francs-maçons italiens. En échange de leur silence concernant les séjours furtifs de l’archevêque Montini en Suisse, où il avait rendez-vous avec son amant acteur, qui semble n’avoir guère caché ses relations avec le prélat, les maçons exigèrent du pape la levée de l’interdiction que l’Église avait toujours opposée à la crémation après la mort. Le pape s’inclina.
Ce n’était d’ailleurs pas la première fois que les perversions sexuelles de Montini lui valaient d’être en butte à des maîtres chanteurs.
À l’occasion de l’échange de lettres que j’eus avec un écrivain britannique connu pour être au courant des opérations du MI6 (le service britannique de renseignement à l’étranger), mon correspondant me dit se demander si l’homosexualité de Montini n’avait pas exposé celui-ci au chantage d’agents secrets britanniques ou soviétiques durant la deuxième Guerre mondiale. Il pensait que les Britanniques (le MI6) et les Américains (l’OSS) étaient au courant de l’homosexualité de Montini et avaient utilisé cette information pour s’assurer la coopération de l’intéressé dans la gestion, après la guerre, des filières d’exfiltration du Vatican et des Alliés.
Il existe d’autres sources d’information au sujet du chantage que le KGB et le GRU soviétiques auraient pu exercer sur Montini après la guerre.
Un Parisien âgé, qui avait travaillé au début des années cinquante comme interprète officiel pour le compte de clercs haut placés du Vatican, a dit à l’auteur que les Soviétiques avaient exercé un chantage sur Montini pour qu’il leur révèle les noms des prêtres que le Vatican avait envoyés clandestinement derrière le Rideau de Fer pendant la Guerre froide afin d’exercer leur sacerdoce auprès des catholiques d’Union Soviétique. La police secrète soviétique attendait ces prêtres infiltrés dès qu’ils avaient franchi la frontière de l’Union Soviétique, et ils étaient alors abattus ou expédiés au Goulag.
On ne saura sans doute jamais dans quelle mesure le pape Paul VI a subi le chantage des ennemis de l’Église. Il se peut qu’en ce qui concerne les communistes et les socialistes, ce chantage ait été entièrement inutile, étant donné la fascination que la gauche a toujours exercée sur Montini et les affinités qu’il a eues avec elle toute sa vie durant. En revanche, il est probable que les francs-maçons italiens, le MI6 et l’OSS d’abord, la CIA et la Mafia ensuite, ont usé de chantage et d’extorsion contre Montini dès le début de sa carrière de jeune diplomate, puis comme archevêque de Milan, et enfin comme pape.
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Javier- Nombre de messages : 4271
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Re: Montini-P6, le fils du MAL
La chute du paravent
L’homosexualité du pape Paul VI a indéniablement favorisé le changement de paradigme qui a accompagné la montée du collectif homosexuel dans l’Église catholique (*Javier-la secte conciliaire) aux États-Unis, au Vatican et dans le monde entier au milieu du vingtième siècle.
Paul VI a joué un rôle décisif dans le choix et l’avancement de nombreux membres homosexuels de la hiérarchie américaine, notamment les cardinaux Joseph Bernardin, Terence Cooke et John Wright, l’archevêque Rembert Weakland, ainsi que les évêques George H. Guifoyle, Francis Mugavero, Joseph Hart, Joseph Ferrario, James Rausch et leurs successeurs.
La connaissance du fait qu’un homosexuel occupait le Siège de Pierre – connaissance qui s’est répandue comme un feu de brousse dans le milieu cancanier des « gays » – a sûrement donné à des homosexuels mâles l’envie de devenir prêtres tout en envisageant l’impensable, c’est-à-dire un ordre religieux ou une communauté religieuse se composant exclusivement de sodomites.
Il y a plus : le quasi-secret longtemps gardé sur la vie homosexuelle de Paul VI contribue depuis des décennies au silence et à la dissimulation de la hiérarchie américaine sur la question de l’homosexualité, en général, et celle des activités criminelles des prêtres pédérastes, en particulier.
Mais ce n’est plus un secret.
Car la dernière pièce du puzzle est désormais en place.
« Notre-Dame de Fatima, priez pour nous. »
* * * * *
(tiré de Virgo-Maria) « The Rite of Sodomy : Homosexuality and the Roman Catholic Church » paru en juillet 20062 qui documente l’historique de la pénétration des groupes homosexuels au sein de l’Église catholique au XXème siècle pour faire le bilan de la situation épouvantable actuelle de l’église Conciliaire sous ce rapport.
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