Malheur à toi!
4 participants
Te Deum :: Te Deum :: ART :: Danse, théâtre et cinéma
Page 1 sur 1
Malheur à toi!
La pièce blasphématoire de Romeo Castellucci "Sur le concept du visage du fils de Dieu" se produira à Montréal
du 31 mai au 3 juin 2012, au théâtre Jean-Duceppe de la place des arts (sic).
Malheur à toi, ville aux cent clochers, tu laisses en tes murs le blasphème odieux se jouer.
Jadis la mélodie sacrée de saintes processions résonnait en ton enceinte, aujourd'hui, tu ne fais que vomir outrages et blasphèmes contre Dieu.
Que la terre s'entrouvre sous la main toute-puissante de Dieu, et qu'elle t'engouffre dans les antres de l'Enfer, que le soleil ne luise plus sur toi, que la douce rosée du matin s'éloigne, car tu es devenue abjecte, une vile prostituée, qui couche avec le Diable.
Que le Saint Visage de Dieu se détourne de toi, que sa colère te frappe, tu ne mérites plus de temps ni de miséricorde.
Je te renie, ville de ma naissance, province de ma naissance, pays de ma naissance, au milieu de vous, je ne suis qu'une exilée, je ne veux comme racine que la Céleste Patrie.
du 31 mai au 3 juin 2012, au théâtre Jean-Duceppe de la place des arts (sic).
Malheur à toi, ville aux cent clochers, tu laisses en tes murs le blasphème odieux se jouer.
Jadis la mélodie sacrée de saintes processions résonnait en ton enceinte, aujourd'hui, tu ne fais que vomir outrages et blasphèmes contre Dieu.
Que la terre s'entrouvre sous la main toute-puissante de Dieu, et qu'elle t'engouffre dans les antres de l'Enfer, que le soleil ne luise plus sur toi, que la douce rosée du matin s'éloigne, car tu es devenue abjecte, une vile prostituée, qui couche avec le Diable.
Que le Saint Visage de Dieu se détourne de toi, que sa colère te frappe, tu ne mérites plus de temps ni de miséricorde.
Je te renie, ville de ma naissance, province de ma naissance, pays de ma naissance, au milieu de vous, je ne suis qu'une exilée, je ne veux comme racine que la Céleste Patrie.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Malheur à toi!
- Spoiler:
- gabrielle a écrit:La pièce blasphématoire de Romeo Castellucci "Sur le concept du visage du fils de Dieu" se produira à Montréal
du 31 mai au 3 juin 2012, au théâtre Jean-Duceppe de la place des arts (sic).
Malheur à toi, ville aux cent clochers, tu laisses en tes murs le blasphème odieux se jouer.
Jadis la mélodie sacrée de saintes processions résonnait en ton enceinte, aujourd'hui, tu ne fais que vomir outrages et blasphèmes contre Dieu.
Que la terre s'entrouvre sous la main toute-puissante de Dieu, et qu'elle t'engouffre dans les antres de l'Enfer, que le soleil ne luise plus sur toi, que la douce rosée du matin s'éloigne, car tu es devenue abjecte, une vile prostituée, qui couche avec le Diable.
Que le Saint Visage de Dieu se détourne de toi, que sa colère te frappe, tu ne mérites plus de temps ni de miséricorde.
Je te renie, ville de ma naissance, province de ma naissance, pays de ma naissance, au milieu de vous, je ne suis qu'une exilée, je ne veux comme racine que la Céleste Patrie.
Je suis d'accord avec vous, chère Gabrielle.
_________________
Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Malheur à toi!
.
Les malheurs annoncés sur Tyr et Sidon par Notre-Seigneur ne sont rien, ne sont qu’une bien pâle figure sur ceux qui s’abattront sur des
villes naguère catholiques et qui ont connu les Saints Évangiles (Montréal, la ville aux cent clochers est devenue la ville sans clocher !!!)…
.
Les malheurs annoncés sur Tyr et Sidon par Notre-Seigneur ne sont rien, ne sont qu’une bien pâle figure sur ceux qui s’abattront sur des
villes naguère catholiques et qui ont connu les Saints Évangiles (Montréal, la ville aux cent clochers est devenue la ville sans clocher !!!)…
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
ROBERT. a écrit:.
Les malheurs annoncés sur Tyr et Sidon par Notre-Seigneur ne sont rien, ne sont qu’une bien pâle figure sur ceux qui s’abattront sur des
villes naguère catholiques et qui ont connu les Saints Évangiles (Montréal, la ville aux cent clochers est devenue la ville sans clocher !!!)…
.
Bien dit, cher Robert.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Malheur à toi!
Pour tous ceux qui veulent écrire un commentaire sur cette pièce maudite... voici le lien du Journal de Montréal ( quotidien de la ville)
http://www.journaldemontreal.com/2012/05/31/une-oeuvre-qui-derange
PS: pour que le commentaire puisse s'afficher, il faut ouvrir un compte Disqus, la publication des commentaires passe par ce truc.
Juste en haut de la boite de commentaire, disqus est affiché, il faut remplis les données et activer le courriel de retour.
http://www.journaldemontreal.com/2012/05/31/une-oeuvre-qui-derange
PS: pour que le commentaire puisse s'afficher, il faut ouvrir un compte Disqus, la publication des commentaires passe par ce truc.
Juste en haut de la boite de commentaire, disqus est affiché, il faut remplis les données et activer le courriel de retour.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Malheur à toi!
Dans la même lignée que Andres Serrano, l'excécrable provocateur et blasphémateur Romeo Castellucci est, mais vis-à-vis du Christ, ce qui est incomparablement pire, est un Luka Rocco Magnotta, en son genre.
Et que sont maintenant les Montini et comparses et successeurs !? Qu'est-ce qui ne se fait pas comme blasphèmes et scandales dans tous les lieux, autrefois catholiques, par cette parodie sacrilège que sont ces "messes " dites de Paul VI, et ces messes tridentines célébrées par de faux pasteurs en union avec ces imposteurs et antéchrists !?
« Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce que l'homme aura semé, il le récoltera. » (Galate, 6, 7).
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
Voici ce que j'ai trouvé en écrivant tout simplement Romeo Castelluccilà, là ( je souligne en noir quelques passages entre autres ..) :
http://blog.lefigaro.fr/theatre/2011/10/romeo-castellucci-adresse-aux.html
« Désolé, mais l'art n'est champion que de la liberté d'expression. ». Que veut-il dire par là ?
Une chose est certaine, c'est que la liberté n'est point la licence.
Voici ce qu'en dit Mgr L.-A. Paquet de l'université Laval dans « ÉTUDES et APPRÉCIATIONS, Nouveaux fragments apologétiques, Québec 1934, et dûment approuvé :
« Cette image du Christ de la douleur n'appartient pas à l'illustration anesthésiée de la doctrine dogmatique de la foi ».
Ça veut dire quoi encore ça, « illustration anesthésiée de la doctrine de la foi » ? Serait-ce là un mépris de sa part envers la sainte doctrine de la sainte Église catholique ? Au reste, ce monsieur a vu le jour en 1960 ; que connait-il de la vraie et authentique doctrine dogmatique de la foi catholique et apostolique ? celle faussée et enseignée par ces apostats de " l'Église conciliaire ", selon leur appellation propre ? Alors autant dire qu'il lui faudrait refaire complètement ses classes.
http://blog.lefigaro.fr/theatre/2011/10/romeo-castellucci-adresse-aux.html
- Spoiler:
Romeo Castellucci : adresse aux agresseurs
Par Armelle Héliot le 24 octobre 2011 13h11 | 51 Commentaires
"Je veux pardonner à ceux qui ont essayé par la violence d'empêcher le public d'avoir accès au Théâtre de la Ville à Paris.
Je leur pardonne car ils ne savent pas ce qu'ils font.
Ils n'ont jamais vu le spectacle ; ils ne savent pas qu'il est spirituel et christique ; c'est-à-dire porteur de l'image du Christ. Je ne cherche pas de raccourcis et je déteste la provocation. Pour cette raison, je ne peux accepter la caricature et l'effrayante simplification effectuées par ces personnes. Mais je leur pardonne car ils sont ignorants, et leur ignorance est d'autant plus arrogante et néfaste qu'elle fait appel à la foi. Ces personnes sont dépourvues de la foi catholique même sur le plan doctrinal et dogmatique ; ils croient à tort défendre les symboles d'une identité perdue, en brandissant menace et violence. Elle est très forte la mobilisation irrationnelle qui s'organise et s'impose par la violence.
Désolé, mais l'art n'est champion que de la liberté d'expression.
Ce spectacle est une réflexion sur la déchéance de la beauté, sur le mystère de la fin. Les excréments dont le vieux père incontinent se souille ne sont que la métaphore du martyre humain comme condition ultime et réelle. Le visage du Christ illumine tout ceci par la puissance de son regard et interroge chaque spectateur en profondeur. C'est ce regard qui dérange et met à nu ; certainement pas la couleur marron dont l'artifice évident représente les matières fécales. En même temps - et je dois le dire avec clarté - il est complètement faux qu'on salisse le visage du Christ avec les excréments dans le spectacle.
Ceux qui ont assisté à la représentation ont pu voir la coulée finale d'un voile d'encre noir, descendant sur le tableau tel un suaire nocturne.
Cette image du Christ de la douleur n'appartient pas à l'illustration anesthésiée de la doctrine dogmatique de la foi. Ce Christ interroge en tant qu'image vivante, et certainement il divise et continuera à diviser. De plus, je tiens à remercier le Théâtre de la Ville en la personne d'Emmanuel Demarcy-Mota, pour tous les efforts qui sont faits afin de garantir l'intégrité des spectateurs et des acteurs."
Romeo Castellucci
Sociètas Raffaello Sanzio
Paris, le 22 octobre 2011
« Désolé, mais l'art n'est champion que de la liberté d'expression. ». Que veut-il dire par là ?
Une chose est certaine, c'est que la liberté n'est point la licence.
Voici ce qu'en dit Mgr L.-A. Paquet de l'université Laval dans « ÉTUDES et APPRÉCIATIONS, Nouveaux fragments apologétiques, Québec 1934, et dûment approuvé :
- Spoiler:
- Rien, fait observer Léon XIII, (1) ne saurait être dit ou imaginé de plus absurde et de plus contraire au bon sens que cette assertion : l'homme, étant libre par nature, se trouve exempt de toute contrainte juridique. Au contraire, le fait même de notre liberté naturelle, sujette à tous les écarts, réclame impérieusement l'empire et les directions d'une loi. C'est la loi qui guide l'homme dans ses actions, et c'est elle qui, par la sanction des récompenses et des peines, l'invite à bien faire et le détourne du péché.
D'où il appert que l'art ne saurait s'autoriser d'une liberté sans bornes ; que la liberté morale de tout écrire, de tout sculpter, et de tout peindre, réclamée par des voix audacieuses, n'existe pas ; que les artistes sont justiciables de la loi, de la loi naturelle gravée au fond des consciences, de la loi religieuse, et de la loi civile ; qu'une censure de ces divers tribunaux peut légitimement les atteindre ; et que, pour y échapper, ils n'ont qu'un moyen, d'ailleurs très sûr et très honorable : consulter les lumières de la saine raison, les prescriptions de la foi, et le sens commun de la tradition chrétienne.
Partout, au sein des classes qui forment le monde social, la liberté se voit enclose, par des lois et des règlements, dans de justes limites. La nature matérielle elle-même où l'homme exerce son activité, n'est-elle pas soumise à un régime de coercition ? N'a-t-elle pas des digues pour contenir ses torrents ? des voiles pour protéger sa pudeur ? des cages de fer pour claquemurer ses fauves ? Pourquoi l'art qui s'inspire de la nature, et dont s'honore la société, se déroberait-il à tout contrôle, à toute loi et à toute censure compétente ?
Revendiquerait-il, par hasard, le droit de s'égarer, d'égarer et de scandaliser le public ?
(1). Encycl. Libertas prœstantissimum.
https://messe.forumactif.org/t3695p15-les-deviations-de-l-art#73537
« Cette image du Christ de la douleur n'appartient pas à l'illustration anesthésiée de la doctrine dogmatique de la foi ».
Ça veut dire quoi encore ça, « illustration anesthésiée de la doctrine de la foi » ? Serait-ce là un mépris de sa part envers la sainte doctrine de la sainte Église catholique ? Au reste, ce monsieur a vu le jour en 1960 ; que connait-il de la vraie et authentique doctrine dogmatique de la foi catholique et apostolique ? celle faussée et enseignée par ces apostats de " l'Église conciliaire ", selon leur appellation propre ? Alors autant dire qu'il lui faudrait refaire complètement ses classes.
Dernière édition par roger le Dim 03 Juin 2012, 4:19 pm, édité 2 fois (Raison : Italique oublée pour la citation de S.S. Léon XIII)
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
roger a écrit:Voici ce que j'ai trouvé en écrivant tout simplement Romeo Castelluccilà, là :
http://blog.lefigaro.fr/theatre/2011/10/romeo-castellucci-adresse-aux.html
- Spoiler:
Romeo Castellucci : adresse aux agresseurs
Par Armelle Héliot le 24 octobre 2011 13h11 | 51 Commentaires
"Je veux pardonner à ceux qui ont essayé par la violence d'empêcher le public d'avoir accès au Théâtre de la Ville à Paris.
Je leur pardonne car ils ne savent pas ce qu'ils font.
Ils n'ont jamais vu le spectacle ; ils ne savent pas qu'il est spirituel et christique ; c'est-à-dire porteur de l'image du Christ. Je ne cherche pas de raccourcis et je déteste la provocation. Pour cette raison, je ne peux accepter la caricature et l'effrayante simplification effectuées par ces personnes. Mais je leur pardonne car ils sont ignorants, et leur ignorance est d'autant plus arrogante et néfaste qu'elle fait appel à la foi. Ces personnes sont dépourvues de la foi catholique même sur le plan doctrinal et dogmatique ; ils croient à tort défendre les symboles d'une identité perdue, en brandissant menace et violence. Elle est très forte la mobilisation irrationnelle qui s'organise et s'impose par la violence.
Désolé, mais l'art n'est champion que de la liberté d'expression.
Ce spectacle est une réflexion sur la déchéance de la beauté, sur le mystère de la fin. Les excréments dont le vieux père incontinent se souille ne sont que la métaphore du martyre humain comme condition ultime et réelle. Le visage du Christ illumine tout ceci par la puissance de son regard et interroge chaque spectateur en profondeur. C'est ce regard qui dérange et met à nu ; certainement pas la couleur marron dont l'artifice évident représente les matières fécales. En même temps - et je dois le dire avec clarté - il est complètement faux qu'on salisse le visage du Christ avec les excréments dans le spectacle.
Ceux qui ont assisté à la représentation ont pu voir la coulée finale d'un voile d'encre noir, descendant sur le tableau tel un suaire nocturne.
Cette image du Christ de la douleur n'appartient pas à l'illustration anesthésiée de la doctrine dogmatique de la foi. Ce Christ interroge en tant qu'image vivante, et certainement il divise et continuera à diviser. De plus, je tiens à remercier le Théâtre de la Ville en la personne d'Emmanuel Demarcy-Mota, pour tous les efforts qui sont faits afin de garantir l'intégrité des spectateurs et des acteurs."
Romeo Castellucci
Sociètas Raffaello Sanzio
Paris, le 22 octobre 2011
Ce Romeo a un front de beu blasphémateur.
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
roger a écrit:
Dans la même lignée que Andres Serrano, l'excécrable provocateur et blasphémateur Romeo Castellucci est, mais vis-à-vis du Christ, ce qui est incomparablement pire, est un Luka Rocco Magnotta, en son genre.
Et que sont maintenant les Montini et comparses et successeurs !? Qu'est-ce qui ne se fait pas comme blasphèmes et scandales dans tous les lieux, autrefois catholiques, par cette parodie sacrilège que sont ces "messes " dites de Paul VI, et ces messes tridentines célébrées par de faux pasteurs en union avec ces imposteurs et antéchrists !?
« Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce que l'homme aura semé, il le récoltera. » (Galate, 6, 7).
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
roger a écrit:
Roméo aurait tout intérêt à lire ce dossier pour le salut de son âme.
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Romeo Castellucci - « Sur le concept du visage du Fils de Dieu ».
Ce qui est affirmé gratuitement, peut tout aussi bien être rejeté gratuitement.Romeo Castellucci a écrit :
« Désolé, mais l'art n'est champion que de la liberté d'expression. » http://blog.lefigaro.fr/theatre/2011/10/romeo-castellucci-adresse-aux.html
Quand on exprime le Laid Moral, il faut toujours en contre-poids y opposer le Beau Moral, de façon à ce que le Beau puisse en révéler tout ce que le laid possède de haïssable, de repoussant, d'indigne, de malicieux, etc., afin que le laid moral, que cet immoralité, soit anathématisé, rejeté ; et surtout afin que l'on puisse aimer tout ce qui lui est tout à fait opposé, tout en le faisant briller : le beau moral.
Il en est de même pour le faux dont l'opposé est le vrai, et le mal dont l'opposé est le bien.
Ceci est confirmé dans :L'Idée du beau dans la philosophie de Saint Thomas d'Aquin, par P. Vallet, page 370 ,
http://www.archive.org/stream/lidedubeaudans00vall#page/370/mode/2up :
(..)
La laideur intellectuelle et morale va plus loin encore : elle provoque le mépris et l'indignation de l'honnête homme, échauffe sa verve ; vienne un artiste, un poète, il s'armera de la satire facit indifjnatio versum. Pour rendre la laideur plus méprisable, il l'enlaidira encore, jusqu'à en faire le type d'un vice, ou bien il la montrera expiant dans cette vie ou dans l'autre sa monstruosité volontaire. Le supplice des damnés dans l'Enfer du Dante, le Satan de Milton, le Néron de Racine, sont autant d'exemples illustres du droit que s'attribue l'artiste d'introduire la laideur intellectuelle et morale dans ses peintures. Il peut l'y introduire encore, mais avec sobriété et précaution, dans l'intérêt de la beauté elle-même; grâce à la puissance du contraste, le beau mis en face du laid brille d'un nouveau lustre et projette sur les spectateurs une plus saisissante lumière. 1
(1) La représentation de la laideur peut aussi avoir sa beauté relative comme preuve de l'intelligence et du talent qui brillent dans la vérité de l'imitation : « Il n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui par l'art imité ne puisse plaire aux yeux. » Boileau, Art poét., III, 1-2.
(..)
La prière exprimée par les enfants lapidant le Visage du Christ avec des grenades, est exactement la même prière que la prière outrageante et haineuse que fit le mauvais larron envers Jésus cloué sur la croix tout à côté de lui : « N'es-tu pas le Christ ? le Sauveur ? Sauve-toi donc, et nous aussi. ».
Et voici, en opposition, en défenseur, ce que lui répliquât le bon larron : « Tais-toi. Pour nous, c'est justice ; mais lui n'a rien fait de mal. » ; et, à son tour, se tournant vers Jésus, il lui fit cette prière sublime : « Seigneur , souviens-toi de moi, lorsque tu reviendras dans ton Royaume ». Ce à quoi Jésus lui répondit : « En vérité, je te le dis, aujourd'hui tu seras avec moi dans le Paradis ! »
Dans la pièce de théâtre de mr Romeo Castellucci, « Sur le concept du visage du Fils de Dieu », on est à l'antipode de ça.
De plus, - et ce n'est pas à l'honneur de mr Romeo Castellucci -, voici un extrait d'un texte que j'ai trouvé ( 13e et 14e paragraphes) :(..)
L’auteur est un manipulateur. Il s’en tire en prétendant qu’à la fin du spectacle, l’image du visage du Christ se recouvre uniquement « d’un voile d’encre noire descendant tel un suaire nocturne ». Un symbole de deuil, en quelque sorte.
En fait, c’est bien le vieillard lui-même qui, dans le scénario, est censé répandre ses matières fécales sur le visage du Christ, puisque dans la pièce originale jouée à Avignon, on l’entendait rire d’une manière sardonique pendant qu’il montait l’escalier derrière l’image du Christ, et que se déversait ce liquide représentant ses selles liquides ! Ce rire diabolique a été supprimé pour les représentations de la pièce à Paris et à Rennes ! Pourquoi ? Sinon parce que le démenti de Castelluci sur la coulée de matières fécales sur le visage du Christ ne serait plus recevable, s’il n’avait pas pris la précaution de retirer du scenario ce rire qui prouve le contraire.
(..)
http://paroissedemontoire.over-blog.net/article-sur-le-concept-du-visage-du-fils-de-dieu-de-romeo-castellucci-89767904.html
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
Très bonne recherche, Roger.
Tu montres l'horreur de cette pièce qui est le reflet de nouvelle messe de Montini
Tu montres l'horreur de cette pièce qui est le reflet de nouvelle messe de Montini
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Malheur à toi!
Très intéressant, Gabrielle !gabrielle a écrit:Très bonne recherche, Roger.
Tu montres l'horreur de cette pièce qui est le reflet de nouvelle messe de Montini
Pourrais-tu développer, ça vaut la peine ?
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
roger a écrit:Très intéressant, Gabrielle !gabrielle a écrit:Très bonne recherche, Roger.
Tu montres l'horreur de cette pièce qui est le reflet de nouvelle messe de Montini
Pourrais-tu développer, ça vaut la peine ?
Je viens de voir ta question
Je fais revenir sur ce point cette semaine...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Malheur à toi!
Bon, me revoilà!
Les hérésies de V2 sont arrivées avant la parodie de Montini.
Il fallait pour ces traitres cristalliser ces monstruosités en une seule chose et par le fait même ouvrir la porte aux futures hérésies que Wojtyla ou Ratzinger allaient commettre, spécialement la réunion apostate d'Assise , c'est là qu'entre en jeu la "nouvelle messe".
Dans la "messe" de Montini la toile de fond est Notre-Seigneur.
Or, que retrouve-t-on dans cette saleté?
Un ramassis d'hérésies protestantes, un "offertoire" puisé directement chez les J.uifs, une déification plus qu'évidente de l'homme et un rabaissement jamais vu de la Majesté Divine.
Qui dit hérésie et négation de tout le dogme catholique, dit outrage suprême envers Dieu, cet outrage n'est pas différente de la m*** de RC dans sa pièce.
Ce qui fait que la pièce choque c'est la visibilité de la chose, pourtant, une seule "messe" de Montini est la reproduction exacte du torchon de RC..
Son concept sur le Visage de Dieu a pour finalité de salir ce Visage, la parodie de Montini a la même finalité la seule différence est l'enveloppe, la pièce n'en a pas tandis que le truc de Montini en a une... celui de la respectabilité,( encens, signe de croix, certain décorum dans les cérémonies de Rome etc.) mais tout cela ne sert qu'à cacher l'hypocrisie , la traitrise, l'ordure méprisable de cette parodie sacrilège.
En fait, cette "nouvelle messe" est la plus grande des hérésies, car en elle toutes les autres sont cachées.
Les hérésies de V2 sont arrivées avant la parodie de Montini.
Il fallait pour ces traitres cristalliser ces monstruosités en une seule chose et par le fait même ouvrir la porte aux futures hérésies que Wojtyla ou Ratzinger allaient commettre, spécialement la réunion apostate d'Assise , c'est là qu'entre en jeu la "nouvelle messe".
Dans la "messe" de Montini la toile de fond est Notre-Seigneur.
Or, que retrouve-t-on dans cette saleté?
Un ramassis d'hérésies protestantes, un "offertoire" puisé directement chez les J.uifs, une déification plus qu'évidente de l'homme et un rabaissement jamais vu de la Majesté Divine.
Qui dit hérésie et négation de tout le dogme catholique, dit outrage suprême envers Dieu, cet outrage n'est pas différente de la m*** de RC dans sa pièce.
Ce qui fait que la pièce choque c'est la visibilité de la chose, pourtant, une seule "messe" de Montini est la reproduction exacte du torchon de RC..
Son concept sur le Visage de Dieu a pour finalité de salir ce Visage, la parodie de Montini a la même finalité la seule différence est l'enveloppe, la pièce n'en a pas tandis que le truc de Montini en a une... celui de la respectabilité,( encens, signe de croix, certain décorum dans les cérémonies de Rome etc.) mais tout cela ne sert qu'à cacher l'hypocrisie , la traitrise, l'ordure méprisable de cette parodie sacrilège.
En fait, cette "nouvelle messe" est la plus grande des hérésies, car en elle toutes les autres sont cachées.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Malheur à toi ..Romeo Castellucci ! - « Sur le concept du visage du Fils de Dieu ».
Exactement, Gabrielle ! je suis en plein accord avec toi !gabrielle a écrit:Bon, me revoilà!
Les hérésies de V2 sont arrivées avant la parodie de Montini.
Il fallait pour ces traitres cristalliser ces monstruosités en une seule chose et par le fait même ouvrir la porte aux futures hérésies que Wojtyla ou Ratzinger allaient commettre, spécialement la réunion apostate d'Assise , c'est là qu'entre en jeu la "nouvelle messe".
Dans la "messe" de Montini la toile de fond est Notre-Seigneur.
Or, que retrouve-t-on dans cette saleté?
Un ramassis d'hérésies protestantes, un "offertoire" puisé directement chez les J.uifs, une déification plus qu'évidente de l'homme et un rabaissement jamais vu de la Majesté Divine.
Qui dit hérésie et négation de tout le dogme catholique, dit outrage suprême envers Dieu, cet outrage n'est pas différente de la m*** de RC dans sa pièce.
Ce qui fait que la pièce choque c'est la visibilité de la chose, pourtant, une seule "messe" de Montini est la reproduction exacte du torchon de RC..
Son concept sur le Visage de Dieu a pour finalité de salir ce Visage, la parodie de Montini a la même finalité la seule différence est l'enveloppe, la pièce n'en a pas tandis que le truc de Montini en a une... celui de la respectabilité,( encens, signe de croix, certain décorum dans les cérémonies de Rome etc.) mais tout cela ne sert qu'à cacher l'hypocrisie , la traitrise, l'ordure méprisable de cette parodie sacrilège.
En fait, cette "nouvelle messe" est la plus grande des hérésies, car en elle toutes les autres sont cachées.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Malheur à toi!
roger a écrit:Exactement, Gabrielle ! je suis en plein accord avec toi !gabrielle a écrit:Bon, me revoilà!
Les hérésies de V2 sont arrivées avant la parodie de Montini.
Il fallait pour ces traitres cristalliser ces monstruosités en une seule chose et par le fait même ouvrir la porte aux futures hérésies que Wojtyla ou Ratzinger allaient commettre, spécialement la réunion apostate d'Assise , c'est là qu'entre en jeu la "nouvelle messe".
Dans la "messe" de Montini la toile de fond est Notre-Seigneur.
Or, que retrouve-t-on dans cette saleté?
Un ramassis d'hérésies protestantes, un "offertoire" puisé directement chez les J.uifs, une déification plus qu'évidente de l'homme et un rabaissement jamais vu de la Majesté Divine.
Qui dit hérésie et négation de tout le dogme catholique, dit outrage suprême envers Dieu, cet outrage n'est pas différente de la m*** de RC dans sa pièce.
Ce qui fait que la pièce choque c'est la visibilité de la chose, pourtant, une seule "messe" de Montini est la reproduction exacte du torchon de RC..
Son concept sur le Visage de Dieu a pour finalité de salir ce Visage, la parodie de Montini a la même finalité la seule différence est l'enveloppe, la pièce n'en a pas tandis que le truc de Montini en a une... celui de la respectabilité,( encens, signe de croix, certain décorum dans les cérémonies de Rome etc.) mais tout cela ne sert qu'à cacher l'hypocrisie , la traitrise, l'ordure méprisable de cette parodie sacrilège.
En fait, cette "nouvelle messe" est la plus grande des hérésies, car en elle toutes les autres sont cachées.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Te Deum :: Te Deum :: ART :: Danse, théâtre et cinéma
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum