MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
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Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
gabrielle a écrit:
Et votre réflexion sur le fait que Dieu ne nous châtie pas immédiatement, j'estimais que vous aviez tort et je vous en ai donné la raison...
Et pour continuer sur le sujet de ce fil, d'autres exemples :
Respect au Crucifix !
Un jeune homme, fils d'un grand manufacturier de la Lorraine, revenant de la chasse, propose de tirer à la cible sur un Christ qui se trouvait près du village. Il tire le premier et lui brisa les jambes.
Le lendemain, il avait les deux jambes paralysées et, vingt-cinq ans après, il ne pouvait pas encore marcher .
Manuel d'instruction religieuse par M. l'Abbé Sabouret, p 175
Dans un petit village du diocèse de Saint-Dié, un homme ramassait des ordures. « Que voulez-vous en faire ? lui dit un passant.
- Je veux, lui répondit-il, les jeter sur le passage du Saint-Sacrement, le jour de la Fête-Dieu, dans trois jours. »
Qu'arriva-t-il ? Le jour de la Fête-Dieu, on portait son corps au cimetière.
Manuel d'instruction religieuse par M. l'Abbé Sabouret, p 175
Il y a quelques années, au mois d'avril, un jeune impie conduisant une voiture rencontra un colporteur qui vendait de petites statues de la Sainte Vierge. Il les acheta, les plaça sous les roues de son chariot et les broya.
Quelques mois plus tard, au mois de septembre, on trouvait, étendu sur la route, dans une mare de sang, un jeune homme gravement blessé à la tête.
C'était ce malheureux jeune homme qui, au mois d'avril précédent, avait brisé les statues de la Sainte Vierge.
Les roues de sa voiture, qui avaient broyé les statues, avaient passé sur son corps.
Ce fait s'est passé en 1900, dans le département des Deux-Sèvres.
Manuel d'instruction religieuse par M. l'Abbé Sabouret, p 175
Sandrine- Nombre de messages : 4297
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
Cela est très parlant sur la conduite de Dieu.
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
Merci Sandrine pour ces fiorettis. Si vous en avez d'autres, n'hésitez pas c'est tellement édifiant.
Invité- Invité
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
René a écrit:Merci Sandrine pour ces fiorettis. Si vous en avez d'autres, n'hésitez pas c'est tellement édifiant.
Je vais voir ce que je peux trouver !
Sandrine- Nombre de messages : 4297
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
Monique a écrit:D'après Louis Veuillot.Il y avait dans les Pyrénées, un savant et digne médecin, qu'on appelait le Docteur Fabas. Le Docteur vit arriver un jour, un homme qui portait à la jambe une plaie faite par un coup de feu. La plaie offrait un caractère particulier : il s'y formait des vers. Le Docteur essaya de faire disparaître au moins ces vers. Aucun moyen ne réussit.
Le malade lui dit un jour : « Docteur, restons-en là ; ne cherchez plus ; je mourrai avec cette horrible incommodité. » — « En effet, dit le médecin, il y a là quelque chose d'extraordinaire. Où donc avez-vous reçu cette blessure ?» — « En Espagne, comme je vous l'ai dit souvent. Je veux que vous sachiez enfin pourquoi je ne guérirai pas. »
Nous étions en 93. Nous partîmes trois de notre bourgade : Thomas, François et moi, tous trois incroyants. Traversant un village, nous vîmes une statue de la très sainte Vierge. Thomas nous proposa de tirer à la statue. Il chargea son fusil et tira. La balle atteignit la statue au front; François mit en joue à son tour et toucha dans la poitrine.
« Allons, me dirent-ils, à ton tour ! »
Je n'osai pas résister. J'ajustai en tremblant, je fermai involontairement les yeux et j'atteignis la statue...
« A la jambe ? » dit le médecin. — « Oui, à la jambe, au-dessus du genou ; là, où je suis blessé.
Une vieille femme qui nous avait vus, nous dit : « Vous allez à la guerre. Ce que vous venez de faire, ne vous portera pas bonheur. »
Le même soir, nous avions rejoint notre régiment. Quelques jours après, nous rencontrâmes l'ennemi. Un coup de fusil partit d'un rocher : Thomas tomba raide mort. La balle l'avait atteint au milieu du front, entre les deux yeux. Nous nous regardâmes François et moi!...
François, me serrant la main me dit : « C'est mon tour ; tu es heureux d'avoir mal visé ! »
L'infortuné ne se trompait pas. Un coup de feu part et François tombe la poitrine traversée.
» Ah ! quelle mort ! Il se roulait en demandant un prêtre !»
Rappelé en France, après la guerre, je ne pensais plus au crime ni au châtiment. A un jour de marche du village de la statue, par un accident inexplicable, un coup de feu partit de nos rangs, m'atteignit où vous le voyez !
« Cette blessure a été un remède pour beaucoup et surtout pour mon âme ! j'espère fermement mourir dans la grâce de Dieu par l'entremise de Celle que j'ai outragée ! »
Belle histoire, je ne dirai pas qu'ils eurent ce qu'ils méritaient. Car seul notre Dieu a la sagesse pour jugé. On ne se moque pas de Dieu puissent t il faire grâce aux personnes qu'ils ne le respect pas. Notre tendre mère des cieux pardonne leur.
Gauthier-c- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 02/01/2011
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
Gauthier-c a écrit:
Tout d'accord avec vous, cher ami.
Vive la Très Sainte Vierge Marie !!!
Belle histoire, je ne dirai pas qu'ils eurent ce qu'ils méritaient. Car seul notre Dieu a la sagesse pour jugé. On ne se moque pas de Dieu puissent t il faire grâce aux personnes qu'ils ne le respect pas. Notre tendre mère des cieux pardonne leur.
Tout d'accord avec vous, cher ami.
Vive la Très Sainte Vierge Marie !!!
Javier- Nombre de messages : 4271
Localisation : Ilici Augusta (Hispania)
Date d'inscription : 26/02/2009
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
Dieu pardonne lorsqu'on l'offense, il pardonne rarement lorsqu'on insulte sa Mère. Saint Anselme dit à ce sujet : « Celui qui a de l'aversion pour Marie périt misérablement.
« Lorsque des âmes en viennent au mépris de la très sainte Vierge et en font un trophée, on peut dire que c'en est fait d'eux. »
Malheur à qui insulte Marie ! Le châtiment est terrible ; car l'outrage à Marie est comme un stigmate sur le front, c'est un signe de damnation, c'est le fer rouge qui marque les réprouvés.
Méditons quelques leçons de l'histoire.
Au troisième siècle de l'Église, l'impie Nestorius blasphème contre Marie, en niant sa divine Maternité ; et sa langue est dévorée par les vers.
L'empereur Constantin Copronyme porte un édit qui défend de donner à la Vierge Marie le titre de Mère de Dieu ; quelques jours après, une affreuse maladie le saisit, et, dans son agonie, il avoue avec désespoir qu'il est frappé par Dieu à cause de son édit contre l'insigne privilège de Marie.
Luther, dans ses odieux propos de table, se plaît à lancer des insultes à l'adresse de la Mère de Dieu. Sa mort présente tous les caractères d'une malédiction éternelle.
Malade, Voltaire multiplie hypocritement ses invocations à la très sainte Vierge. A toute extrémité, il vomit des blasphèmes horribles contre l'Immaculée. Oserait-on le rapporter ? Au dire de son médecin, cet orgueilleux meurt en avalant ses immondices.
En 1883, un enfant de Laval lève la main pour donner un soufflet à une statue de Marie ; et son bras devient à l'instant paralysé.
En cette même année, un gentilhomme Italien, dans un moment de rage impie, tire une balle de revolver sur une statue de la très sainte Vierge. Au même moment, sur sa jambe, à l'endroit où la balle a frappé la statue, s'ouvre une plaie qu'aucun remède ne peut fermer.
Anathème à qui déshonore sa Mère !
L'homme le plus avili qui garde en son cœur une dernière étincelle d'honneur ne se permettra jamais de jeter une insulte à sa mère. Les hommes ont une mère céleste dont le cœur s'attendrit sur toute souffrance, dont la main sait panser toute blessure, dont le sourire adoucit toute épreuve, dont la miséricorde s'étend sur tout homme coupable. Respect donc à Marie ?
« Lorsque des âmes en viennent au mépris de la très sainte Vierge et en font un trophée, on peut dire que c'en est fait d'eux. »
Malheur à qui insulte Marie ! Le châtiment est terrible ; car l'outrage à Marie est comme un stigmate sur le front, c'est un signe de damnation, c'est le fer rouge qui marque les réprouvés.
Méditons quelques leçons de l'histoire.
Au troisième siècle de l'Église, l'impie Nestorius blasphème contre Marie, en niant sa divine Maternité ; et sa langue est dévorée par les vers.
L'empereur Constantin Copronyme porte un édit qui défend de donner à la Vierge Marie le titre de Mère de Dieu ; quelques jours après, une affreuse maladie le saisit, et, dans son agonie, il avoue avec désespoir qu'il est frappé par Dieu à cause de son édit contre l'insigne privilège de Marie.
Luther, dans ses odieux propos de table, se plaît à lancer des insultes à l'adresse de la Mère de Dieu. Sa mort présente tous les caractères d'une malédiction éternelle.
Malade, Voltaire multiplie hypocritement ses invocations à la très sainte Vierge. A toute extrémité, il vomit des blasphèmes horribles contre l'Immaculée. Oserait-on le rapporter ? Au dire de son médecin, cet orgueilleux meurt en avalant ses immondices.
En 1883, un enfant de Laval lève la main pour donner un soufflet à une statue de Marie ; et son bras devient à l'instant paralysé.
En cette même année, un gentilhomme Italien, dans un moment de rage impie, tire une balle de revolver sur une statue de la très sainte Vierge. Au même moment, sur sa jambe, à l'endroit où la balle a frappé la statue, s'ouvre une plaie qu'aucun remède ne peut fermer.
Anathème à qui déshonore sa Mère !
L'homme le plus avili qui garde en son cœur une dernière étincelle d'honneur ne se permettra jamais de jeter une insulte à sa mère. Les hommes ont une mère céleste dont le cœur s'attendrit sur toute souffrance, dont la main sait panser toute blessure, dont le sourire adoucit toute épreuve, dont la miséricorde s'étend sur tout homme coupable. Respect donc à Marie ?
Monique- Nombre de messages : 13764
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: MALHEUR aux ENNEMIS de MARIE
Monique a écrit:
(...)Les hommes ont une mère céleste dont le cœur s'attendrit sur toute souffrance, dont la main sait panser toute blessure, dont le sourire adoucit toute épreuve, dont la miséricorde s'étend sur tout homme coupable. Respect donc à Marie ?
Comment, en effet,démontrer de l'ingratitude, de la sécheresse,
de l'aigreur et de la méchanceté envers une telle Mère ?
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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