Espagne:" les croix doivent disparaître"

Espagne : les croix doivent disparaître d’une salle de classe

Une famille d’Almendralejo, dans le sud de l’Espagne, a obtenu de la justice que les crucifix et tout autre symbole religieux soient ôtés dans l’école fréquentée par leurs enfants. Après cinq ans de disputes, la Haute cour de justice de la région d’ Extremadura a donné raison à cette famille. La cour a estimé que la croix et les autres symboles religieux comme les statues de Marie sont contraires au droit des parents d’élever leurs enfants selon leurs propres convictions. De même, les fêtes catholiques traditionnelles et cérémonies ne doivent plus se dérouler à l’école, a rapporté le 10 novembre la radio espagnole.

C'est le grand livre qui parle à l'écolier de Dieu, de la chute originelle, de la Rédemption ; c'est le manuel sublime qui lui enseigne la science du Ciel !

Un petit bonhomme résolut de protester à sa façon contre la mesure sauvage ; écoutons-le raconter tout triomphant son naïf exploit : « Maman m'avait donné un crucifix ; je l'ai pris, je l'ai porté en classe ; dans mon pupitre, je l'ai attaché avec un clou, - et maintenant le bon Dieu est dans l'école ! »

roger a écrit:ici

roger a écrit:

LE CRUCIFIX À L'ÉCOLE

LÉCOLE est l'atelier mystérieux où l'enfant, jeune apprenti, sous la direction d'un maître habile, élabore cet or pur qu'est son âme ; il le burine, il le cisèle, il l'ornes des brillantes pierreries de la science humaine et des gemmes étincelantes de la science divine.
Travail laborieux. - Pour adoucir ses efforts, l'Église, l'institutrice autorisée des peuples ( car c'est à elle et non à un autre que Jésus a dit : Docete, enseignez ! ) L'Église, de tout temps, s'est plu à suspendre un crucifix au mur des écoles.
Que de fois la vue de ce Christ souffrant a donné force et courage à la gent écolière ! A cet âge il fait si bon gambader et courir ! Quel instrument de supplice que ce banc de bois, où il faut rester assis, des heures, sans bouger !
Un regard sur le crucifix inspirait la patience au jeune supplicié. Voyant les membres de son dieu immobiles, fixés par quatre clous sur la croix de bois, il trouvait moins intolérables et les clous rigides d'un règlement de fer et la longue immobilité sur le banc de bois.
Le crucifix, force et soutien de l'écolier volage et remuant, était encore pour son âme une muette et éloquente leçon.
L'Église a toujours tenu à honneur d'enseigner les sciences humaines ; sur les murs des écoles elle a donc placé cartes et tableaux destinés à inculquer les connaissances terrestres ; mais, comme la science humaine est bien courte, si elle n'est complétée par la science divine, à la place d'honneur, sous les yeux des enfants, elle a mis le crucifix. C'est le grand livre qui parle à l'écolier de Dieu, de la chute originelle, de la Rédemption ; c'est le manuel sublime qui lui enseigne la science du Ciel !
Eh bien, les suppôts de l'enfer ne veulent plus que l'enfant lise les feuillets sanglants de ce livre divin.
Sous le couvert d'une prétendue neutralité, ils ont lacéré ces pages, enluminées par le sang d'un Dieu.
Ils ont décroché de la muraille le crucifix que la foi des ancêtres avait planté là...
Cette proscription sacrilège a été un des grands scandales de notre siècle. La franc-maçonnerie a soustrait aux regards des enfants l'image de celui qui disait : « Laissez venir à moi les petits enfants. »
Cet acte de haine envers le crucifix a, comme toujours, suscité des actes d'amour et de réparation, réparation des maîtres chrétiens, réparation des écoliers, réparation des populations entières. J'ai connu une maîtresse d'école qui obtint de garder le Christ arraché de sa classe ; elle le plaça dans sa chambre à coucher, et le soir, agenouillée devant le Christ proscrit, les bras en croix, elle priait, elle souffrait pour réparer l'injure.
Ailleurs on venait encore de chasser le bon Dieu de l'école.
Un petit bonhomme résolut de protester à sa façon contre la mesure sauvage ; écoutons-le raconter tout triomphant son naïf exploit : « Maman m'avait donné un crucifix ; je l'ai pris, je l'ai porté en classe ; dans mon pupitre, je l'ai attaché avec un clou, - et maintenant le bon Dieu est dans l'école ! »
Plus d'une fois l'instituteur athée se fit l'instrument docile des Loges et, en présence même de ses élèves, enleva brutalement le Crucifix des murs de l'école. - Mais plus d'une fois aussi on vit les maires, défenseurs courageux des croyances d'une population chrétienne, remettre à sa place d'honneur le Crucifix proscrit. Souvent la révocation fut le prix de leur courage. Honneur à eux ! Leur nom prendra place dans la liste d'or - elle est longue déjà - de ces catholiques convaincus qui depuis dix-neuf siècles, se sont fait une gloire de pâtir pour le Christ !

J. HOPPENOT
LE CRUCIFIX
DANS L'HISTOIRE
DANS L'ART
DANS L'AME DES SAINTS
ET DANS NOTRE VIE
IMPRIMATUR :
Insulis, 10 decembris 1924.
G. delbroucq, vic. gen.

Merci Roger pour vos textes montrant le parallèle entre entre les FM et communistes du Mexique et des FM mondialistes espagnols. L'on voit que plus çà change, plus c'est pareil... Les modernos avancent de plus en plus à cause de la faiblesse des catholiques et surtout en châtiment du rejet de Notre-Seigneur par ces derniers.

Magnifique votre texte LE CRUCIFIX À L'ÉCOLE ! Il fut un temps à la C.E.C.M. où il y avait un crucifix dans chaque local des écoles. Malheureusement, même dans ce temps-là, les modernistes étaient à l'œuvre... Parlant d'école, je dois vous quitter, devant continuer mon grand balayage...

René a écrit:Lâchez pas votre balayage Robert, pendant que sur le forum nous tentons de balayer la souillure ratzinger.

René a écrit:Lâchez pas votre balayage Robert, pendant que sur le forum nous tentons de balayer la souillure ratzinger.

René a écrit:Lâchez pas votre balayage Robert, pendant que sur le forum nous tentons de balayer la souillure ratzinger.

Merci René.

Entre deux coups de balai, je viens, de temps en temps, faire un tour sur le forum !

En parlant de souillure ratzinger, vous parlez de celle-ci ?

Çà va vous prendre le balai de la Foi et de la Doctrine mon ami...

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Car celui qui aura rougi de moi et de mes paroles, le Fils de l’homme rougira de lui, lorsqu’il viendra dans sa majesté et dans celle du Père et des saints anges.

( Luc. IX, 26. Glaire)
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Nous ne rappellerons jamais assez que c'est la secte conciliaire qui est la responsable de tout ceci, car c'est bien elle qui a forcé Franco a dé-catholiciser l'Espagne CATHOLIQUE !

Arthur a écrit:JCMD a écrit :

Nous ne rappellerons jamais assez que c'est la secte conciliaire qui est la responsable de tout ceci, car c'est bien elle qui a forcé Franco a dé-catholiciser l'Espagne CATHOLIQUE !

Vous avez tout-à-fait raison ! Ceux, qui s'opposent à l'abolition de la prière ou du crucifix et qui reconnaissent Ratzinger comme pape, se tirent dans le pied !

Javier a écrit:Bonsoir, mes chers frères et soeurs dans la Foi.

Je viens de lire tout cela et je peux vous assurer dans ma qualité d'espagnol que c'est totalement vrai

En effet, cher JCMD, vous dites bien,"c'est la secte conciliaire qui est la responsable de tout ceci, car c'est bien elle qui a forcé Franco a dé-catholiciser l'Espagne CATHOLIQUE !"

Le pauvre Franco avait avoué un peu avant sa morte que ses plus grands ennemis n'étaient pas les politiciens, mais le Vatican maçonnique et moderniste de Montini-P6 et ses revolutionnaires !!!

Aujourd'hui je n'aime pas vivre ici en Espagne, car un pays qui a trahi le Christ ne mérite que le mépris... Malheureusement, on pourrait dire la même chose sur presque tous les pays dans ce monde d'iniquité !!

SANTIAGO APÓSTOL, RUEGA POR NOSOTROS !!!

NTRA. SEÑORA DEL PILAR, RUEGA POR NOSOTROS !!!