Est-ce encore nécessaire chez Ratzinger et ses semblables ?

O Dieu, qui par la très glorieuse Mère de votre Fils, avez daigné enrichir votre Église d'une nouvelle famille destinée à arracher les fidèles du Christ au pouvoir des païens, faites que, vénérant avec piété l'inspiratrice d'une si grande oeuvre, nous soyons par ses mérites et son intercession, délivrés de nos péchés et de la captivité du démon. Par le même Jésus-Christ, votre Fils, Notre Seigneur.

[Oraison de la Messe de Notre-Dame de la Merci, 24 septembre. Ordre fondé (10 août 1218) dans le but de délivrer les chrétiens du joug barbare des Sarrasins.]

Tiré d'un Missel de 1951

gabrielle a écrit:Que voulez-vous dire?

Pardon, mais je ne vous suis pas... je dois pas être tout à fait réveillé.

Comme on dit ici: Redite-le me le

Louis m'a dit qu'il sortait déjeuner... Il devrait être de retour vers midi ou tôt cet après-midi... Peut-être voulait-il parler de catholiques qui libèreraient le Vatican ?... ou peut-être s'est-il tout simplement trompé de fil ?

gabrielle a écrit:

(...)
Comme on dit ici: Redite-le me le

Louis a écrit:

gabrielle a écrit:

(...)
Comme on dit ici: Redite-le me le

Bonjour,

Je voulais tout simplement dire que pour Ratzinger, vu que l'on peut se sauver dans toutes les religions, il n'est désormais plus nécessaire d' arracher les fidèles du Christ au pouvoir des païens.

gabrielle a écrit:Merci de votre explication.

Elle vise dans le mille.

Avec l'oecuménisme du conciliabule, il est évident que l'oraison de la messe d'aujourd'hui est sans valeur.

D'accord avec vous deux, mais il faut quand même arracher les fidèles du Christ au pouvoir des conciliabulaires; il faut libérer le

Vatican de tous ces apostats et hérétiques...Me suis-je fait une fausse joie avec l'oraison que Louis a sortie de son Missel ce matin ?

La consolation dans tout ce gâchis, c'est la parole de Notre-Seigneur: De tous ceux que tu m'a donné je n'en ai perdu aucun...

Continuons à répandre la Vérité sur cet espace public... et sur Deo Juvante...

Et prions très fort.