Aimez-vous l'oignon?

Adorateur de l'oignon  
Jean Bourdin , Paris le 03 juin 2010

A quelle religion croyez-vous ? Depuis quand et comment êtes-vous devenu croyant ?

Je suis un adorateur de l'oignon, je regrette que cette religion soit encore méconnue et pourtant c'est la seule qui permettent d'accéder à la vie éternelle.

Que vous apporte cette religion au quotidien ? Quelles sont vos pratiques religieuses ?

Beaucoup de bienfaits pour la santé, l'oignon contient beaucoup de principes actifs que lui confère son caractère divin.

Que répondez-vous aux personnes sceptiques face à la religion ?

Qu'ils se privent de la vie éternelle.

« l’engagement de l’Église catholique dans le dialogue entre les religions qui ouvre la route vers la paix fait partie de sa mission d’origine. En effet, a-t-il poursuivi, l’Église cherche et apprécie dans toutes les religions la portion de vérité et de lumière que chacune d’elles contient et professe. »

ROBERT. a écrit:.
Saint Jean Chrysostôme a fait une belle diatribe sur cette "religion".

J'essaie de la retrouver et vous l'amène.  

Roger Boivin a écrit:
Le regret des oignons d'Égypte !

(Les Nombres XI, 5. )

extraits des trois liens ci-haut a écrit:

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…Septièmement enfin, ils [les Manichéens] abaissent Dieu jusqu'à l'homme; que dis-je ? Jusqu’au bois et à la plante. Et en effet, si notre âme est une portion de la substance divine, et si elle passe dans le corps des animaux, et même dans les plantes, comme les concombres, les melons et les raves, il est permis de dire que Dieu lui-même s'écoule en un concombre.  

(…)


Mais ce n'est pas la rave, direz-vous, qui est en Dieu, et c'est Dieu qui est dans la rave; car jamais la rave n'a été Dieu.

— Et pourquoi reculez-vous devant cet écoulement de la divinité dans les corps ?

— Parce que ce serait peu digne de Dieu.

— Mais votre système est mille fois plus indigne de lui.

— Je ne saurais l'avouer.

— Et pourquoi ?

— C'est qu'il n'est réellement indigne de Dieu que d'habiter dans l'homme.

— Découvrez-vous le venin de l'impiété ?
 
(…)

…Mais ce langage est intolérable, et nous ne devons plus l'écouter.

(…)
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