LA RELIGION MAHOMÉTANE NE PEUT ÊTRE UNE VRAIE RELIGION. - Saint Alphonse Marie de Liguori

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Message  Roger Boivin Mar 22 Déc 2015, 9:15 pm


CHAPITRE IV

La religion mahométane ne peut être une vraie religion.



1. Voyons d'abord les qualités de Mahomet, fondateur de cette religion, ou, pour mieux dire, de cette secte infâme, qui a été cause de la damnation d'un si grand nombre d'âmes. Il possédait quelques dons naturels, une belle figure, un esprit pénétrant, des manières courtoises, un cœur porté à la libéralité et à la reconnaissance pour les bienfaits qu'il avait reçus. Mais il était dominé par le vice de la concupiscence, et pour le satisfaire, il eut jusqu'à quinze femmes et plus de vingt-quatre concubines, en faisant accroire que Dieu lui en avait donné la permission, car il ne permettait pas aux autres plus de quatre femmes ; de là vient encore que, dans son Alcoran, il fait consister la plus grande partie du bonheur éternel dans les plaisirs des sens. Il fut aussi très orgueilleux, ce qui quelquefois le rendit cruel. Qu'il nous suffise de rappeler qu'un jour qu'on lui avait volé quelques chameaux, les auteurs de ce vol étant tombés en son pouvoir, il leur fit couper les mains et les pieds, et crever les yeux avec un fer ardent, et puis les fit lâcher ainsi mutilés jusqu'à ce qu'ils rendissent l'âme 1.

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Message  Roger Boivin Mar 22 Déc 2015, 9:16 pm


1. Mahomet était d'origine arabe, et il naquit à la Mecque en 571. Il descendait d'une famille très-noble. Après la mort de son père, ses parents le destinèrent au commerce ; avant cette époque, il avait été élevé chez son aïeul, et ensuite chez un de ses oncles, qui le conduisit en Syrie à l'âge de treize ans ; il retourna dans sa patrie à l'âge de vingt-cinq, à vingt-huit il devint l'homme d'affaires d'une veuve noble et riche nommée Kadia. Placé ainsi dans une condition plus élevée, Mahomet médita de changer de religion et d'en faire changer à toute sa patrie, dans l'intention de guérir les Arabes de l'idolâtrie, dans laquelle lui-même avait été élevé, et de rendre au monde (disait-il) la religion primitive d'Adam, de Noé, d'Abraham, de Moïse, et même du Christ, enfin de tous les prophètes du vrai Dieu ; c'est pour cela qu'il feignit d'avoir des entretiens avec l'ange Gabriel dans la grotte d'Hira, qui n'était pas éloignée de la Mecque, où il se retirait souvent.

Arrivé à l'âge de quarante ans, et ayant été idolâtre jusqu'à cette époque, il entreprit de se faire prophète, et se fit regarder comme tel, d'abord par sa femme et par quelques-uns de ses parents et de ses domestiques ; ensuite par Abubeker, homme de grande autorité, à l'aide duquel il attira dans son parti plusieurs des principaux habitants de la Mecque. Trois ans après, il réunit dans un banquet quarante personnes avec Aly, son cousin, et alors il découvrit sa mission prétendue divine. Mais tous, excepté Aly, se moquèrent de lui. Cependant Mahomet ne se découragea point : il constitua Aly son vicaire et commença à prêcher publiquement à la Mecque. D'abord, il fut écouté de ses compatriotes -, mais quand ensuite il se mit à réprouver leurs dieux, ils le persécutèrent avec acharnement ; et il en aurait été victime, si un certain Abotaleb ne l'eût sauvé par sa prudence et son autorité. Cependant les habitants de la Mecque résolurent de n'avoir plus aucun commerce ni avec Mahomet, ni avec ses adhérents. Mahomet, qui pendant ce temps n'en avait pas moins composé déjà une partie de l'Alcoran, défiait ses adversaires de faire rien de semblable, en leur disant qu'ils n'auraient jamais pu parvenir à en composer même un seul chapitre. Lorsqu'on lui demandait quelque miracle en preuve de sa mission, il répondait que Dieu l'avait envoyé, non pour faire des miracles, mais seulement pour prêcher la vérité.

Les mahométans disent, en conséquence, que le miracle du législateur a été la propagation de leur foi, qui s'est faite dans la plus grande partie du monde. Mais il est facile de leur répondre que la propagation d'une croyance qui autorise à vivre plutôt d'après les appétits des sens que d'après la raison, n'est pas un miracle ; que c'est, en outre, dans l'Arabie qu'elle s'est répandue, pays dont la plupart des habitants étaient païens, où il y avait très-peu de chrétiens, et où le reste se composait de juifs, ou d'hérétiques ariens et nestoriens, qui s'y étaient réfugiés par suite des édits des empereurs ; et tous ces gens-là vivaient dans l'ignorance la plus complète. Ce qui est plutôt un miracle, c'est la propagation de l'Evangile, qui enseigne une loi contraire aux penchants de la chair. Voici cependant, à dire vrai, un grand miracle que Mahomet se vantait d'avoir fait (miracle de bouffon de comédie) : il disait dans l'Azoara 64 de son Alcoran, qu'un morceau de la lune étant tombé dans sa manche, il avait eu l'habileté de la raccommoder. Et c'est pour cette raison que l'empire des Turcs a pris pour emblème le croissant ou une demi-lune.

Ensuite, la mort lui ayant enlevé sa femme Kadia et son ami Abotaleb, Mahomet, dans la dixième année de sa prétendue mission, se vit abandonné par presque tous ses adhérents, et il fut ainsi obligé de se retirer de la Mecque à Tayef, qui en était distante de soixante milles. Mais un mois après il revint à la Mecque, où il eut pour protecteur Al-Notaam Abn-Avi. Dans la douzième année, il publia la fable de son voyage nocturne à Jérusalem et de là au ciel ; mais cette fable sembla si ridicule, qu'il aurait été entièrement abandonné de tous, si un nommé Abu-Ker n'eût dit qu'il ne pouvait refuser sa foi à Mahomet. Dans cette même année, un grand nombre d'habitants de Medine, et parmi ceux-ci le prince de la tribu Avos, firent serment de suivre Mahomet. Mahomet avait déclaré que Dieu ne lui avait ordonné que de prêcher la vérité, et non de forcer les hommes à le croire ; mais quand il se fut enfui de Medine pour éviter la mort que les habitants de la Mecque avaient tramée contre lui, il déclara ouvertement qu'on devait persécuter les infidèles par les armes, et propager la foi par des victoires. A partir de ce temps-là il ne discontinua pas de faire la guerre, tantôt vaincu, mais plus souvent vainqueur.

Ensuite il se porta à la Mecque avec quatorze cents soldats, et il obtint une trêve de ses ennemis, mais à condition qu'ils permettraient à tous ceux qui voudraient le suivre de s'enrôler sous ses drapeaux. Il écrivit, après cela, des lettres aux rois de Perse, d'Ethiopie et de Rome, en les invitant à embrasser sa religion. Il s'empara de la Mecque et y établit sa secte, après en avoir chassé les idolâtres ; et, dans l'année suivante, il reçut les ambas- sadeurs de toutes les tribus de l'Arabie, qui, voyant subjuguée la plus puissante tribu de la nation, embrassèrent la religion de Mahomet. Enfin, il mourut âgé de soixante-trois ans, et on prétend que ce fut de poison.



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Message  Roger Boivin Mar 22 Déc 2015, 9:17 pm


2. Voyons maintenant ce que c'est que l'Alcoran de Mahomet, et quels sont les dogmes et les préceptes qu on y apprend. Alcoran signifie leçon, ou livre des leçons. Les titres du livre diffèrent selon les diverses éditions. Il est partagé en 114 sures ou azoares ; et les sures se divisent en ayat, c'est-à-dire paragraphes de longueurs diverses, traitant des attributs de Dieu et des préceptes ou jugements de choses admirables ; ces paragraphes se terminent par le rhythme correspondant au vers précédent. L'Alcoran est écrit en arabe pur, d'un style élégant, et qui imite celui des prophètes. On y trouve des sentences, des histoires et des exhortations. Aux sentences appartiennent les lois, non-seulement pour les choses sacrées, telles que prières, pèlerinages et jeûnes ; mais aussi pour ce qui intéresse la politique, tel que tribunaux, mariages et héritages. Aux histoires appartiennent grand nombre de récits, tirés en partie des livres saints, mais altérés, et en partie de livres apocryphes, et spécialement du Talmud des Juifs. Aux exhortations appartiennent les invitations à la religion nouvelle, à la guerre pour la défense de cette religion, aux prières et aux aumônes, avec menaces pour les transgresseurs des peines de l'enfer et promesses des délices du paradis pour ceux qui l'observeraient fidèlement ; tantôt c'est Dieu, ou l'ange qui est supposé y parler ; tantôt c'est Mahomet lui-même, qui adresse la parole, soit aux habitants de la Mecque, soit aux Juifs ou aux chrétiens ; d'autres fois il fait parler les bienheureux du paradis, ou les damnés de l'enfer ; de manière que l'Alcoran est une sorte de drame, où prennent la parole divers interlocuteurs.

3. Les mahométans disent que l'Alcoran n'a été composé ni par Mahomet ni par d'autres hommes, mais par Dieu seul qui l'aurait donné à Mahomet. Ils débitent mille inepties sur la manière et les circonstances où il aurait été ainsi donné. Les uns prétendent que l'Alcoran est de toute éternité, toujours présent devant le trône de Dieu, sur une table, où étaient écrites toutes les choses passées, présentes et à venir. D'autres disent que ce livre descendit du trône de Dieu, pendant une nuit du mois de Ramadan, où ils supposent que Dieu disposa toutes choses ; d'autres, que l'ange Gabriel révéla à Mahomet tout ce qui est écrit dans l'Alcoran ; d'autres, que Mahomet recevait, de temps à autre, quelques vers, qu'il faisait conserver dans une caisse, et mille autres sottises semblables. Au reste, dans les exemplaires que nous avons aujourd'hui de l'Alcoran se trouvent plusieurs variantes qui modifient le sens des phrases. Nos écrivains disent que tout l'Alcoran a été composé ou par Mahomet, soit qu'il y ait travaillé seul, soit qu'il ait été aidé dans ce travail par un moine nommé Sergius, ou par d'autres. Ceux qui voudront en savoir davantage sur la composition de l'Alcoran peuvent lire Marraci dans son prodrome à la réfutation de l'Alcoran (part. 4, cap. XXVII).

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Message  Roger Boivin Mar 22 Déc 2015, 9:18 pm


4. Pour ce qui regarde la théologie de l'Alcoran, ce livre est rempli d'un fatras confus de fables, de préceptes et de dogmes absurdes, excepté ce qu'il en a emprunté à la loi hébraïque et chrétienne. Mahomet reconnaissait pour divine la mission de Moïse et de Jésus-Christ ; il reconnaissait aussi pour légitime l'autorité de nos saintes Ecritures, au moins en grande partie, disant que le reste en a été altéré ; et c'est pour cela qu'il voulait réformer et perfectionner la religion judaïque et chrétienne, par sa religion prétendue (laquelle, disait-il, était la même que celle de Moïse et de Jésus-Christ). Mais, dans la réalité, il ne fit que former une secte différente de l'une et de l'autre. Mahomet croyait qu'il y a un Dieu, et l'on voit, par la sure 4, vers 17, qu'il croyait aussi à la trinité des personnes dans la nature divine : Neque dicant tres (Deos), Deus enim unus est ; il admettait l'existence des anges, mais il leur donnait un corps, et les croyait de différents sexes (sure 2 et 7). Il prétendait que chaque homme a deux anges gardiens, et que ceux-ci changent tous les jours ; qu'il existe en outre des anges et des démons de plusieurs sortes, appelés génies, qui mangent, boivent et se multiplient, et peuvent, après leur mort, être sauvés ou damnés.

5. Ensuite, il y a dans l'Alcoran bien des choses indignes de Dieu. Il y est écrit (c'est le même blasphème que celui des Juifs talmudistes) que Dieu fut obligé de dire un mensonge pour rétablir la paix entre Abraham et Sara. On y fait jurer Dieu par les vents, par les anges, et par les démons mêmes, tandis que Dieu ne peut jurer que par lui même, et non par les créatures. En outre, dans la sure 43, on y fait prier Dieu pour Mahomet : Cum Deus, et angeli propter prophetam exorent. Dans la sure 56, Mahomet dit que Dieu lui a permis de violer un serment, et, dans la sure 43, qu'il lui a donné la permission d'avoir commerce avec toutes les femmes, même mariées et ses propres parentes, à quoi il ajoute encore nombre de mensonges. Dans la sure 17, il écrit que Dieu ordonna aux anges d'adorer Adam, et que tous lui obéirent, excepté Belzébut ; dans la sure 13, que Marie, mère de Jésus, est adorée par les chrétiens comme une divinité ; dans la sure 27, que Dieu l'enleva dans les cieux pour l'instruire dans les mystères ; enfin, dans la sure 25, que Dieu a créé le démon par le moyen d'un feu pestilentiel.

6. On trouve une infinité de contradictions dans l'Alcoran. Dans la sure 11, il appelle Jésus-Christ esprit de Dieu et son messager : Jesus Mariœ filius Dei nuntius, suusque spiritus ; ensuite, il nie qu'il soit Dieu, et dit que Jésus n'a pas été crucifié ; mais qu'à sa place on a crucifié un autre homme qui lui ressemble. Dans la même sure 11, il dit que tout homme, quel qu'il soit, juif ou chrétien, sera aimé de Dieu et se sauvera, quand même il abandonnerait sa religion pour une autre, pourvu qu'il adore Dieu, et qu'il soit honnête homme ; et dans la sure 3, il dit que les mahométans se damneront s'ils abandonnent leur loi ; dans la sure 20, qu'on ne doit forcer personne à croire ; et dans la sure 9, qu'on doit mettre à mort les infidèles. Dans la sure 2, il dit que chacun, soit juif, chrétien, ou sabaïte peut se sauver dans sa propre religion 1 Mais dans la sure 3, il dit le contraire 2 Les mahométans avouent ces contradictions, mais ils disent que c'est Dieu lui-même qui s'est rétracté.



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1. Qui crediderint et Judaei et Christiani, et Sabaitae in Deum, et fecerint bonum, ipsis erit merces apud Dominum.
2. Et qui secutus fuerit aliam religionem praeter ipsam, ipse in futuro saeculo erit ex pereuntibus.


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Message  Roger Boivin Mar 22 Déc 2015, 9:21 pm


7. Les mahométans disent que, dès qu'un homme est mort et enseveli, deux personnages, Moncker et Hakir, se présentent dans le tombeau pour peser sa conduite dans deux plats de balance, qui égalent la superficie du ciel et de la terre. Ils disent aussi qu'il y a le pont Sorat, d'où les pécheurs tomberont dans l'enfer, où les infidèles resteront pour toujours ; mais que ceux qui auront cru en Dieu n'y resteront que quelque temps, et pas plus de mille ans, après quoi ils passeront dans la maison de la paix ; qu'avant d'entrer dans cette maison, ils boiront de l'eau de la piscine de Mahomet. C'est pour cela que les mahométans, quand ils se font raser la tête, laissent une petite touffe de cheveux, dans l'espoir que Mahomet, en les prenant par cette touffe, les tirera de l'enfer. Ils espèrent que, du moins au jour du jugement universel, Mahomet sauvera, par ses prières, tous ses prosélytes. Le paradis que l'Alcoran promet, est un paradis qui ferait rougir de honte les bêtes mêmes : c'est un paradis où il n'y a d'autres plaisirs que les plaisirs sensuels. Il dit qu'il a deux jardins garnis d'arbres, de fontaines, de fruits, et de femmes ; que chacun aura dans le ciel autant de femmes qu'il en aura eu dans ce monde, et que les autres seront des concubines. Voici ce qu'on lit dans la sure 86 et 88 : Ubi dulcissimas aquas, pomaque multimoda, fructus varios, et decentissimas mulieres, omne que bonum in œternum possidebunt. Le mahométan Avicenne, ayant, honte d'une telle promesse faite pour la vie éternelle, nous dit que Mahomet s'était exprimé ainsi par manière d'allégorie ; mais on ne trouve justifiée nulle part, dans l'Alcoran, cette explication rêvée par Avicenne. Pour ce qui est des obligations, naturelles, l'Alcoran enseigne principalement la loi naturelle ; encore excuse-t-il ceux qui la violeraient par motif de crainte. Nous avons déjà dit qu'il permet d'avoir plusieurs femmes, et même jusqu'à quatre, pourvu que la paix puisse être gardée entre toutes : autrement, il ordonne qu'on en prenne au moins une, et il permet qu'on répudie une femme jusqu'à deux fois. Il défend expressément de disputer sur l'Alcoran et sur les saintes écritures en disant (dans les sures 22 et 29) que c'est un précepte divin. Du reste ce n'est qu'avec beaucoup de ménagements que cet imposteur a donné un tel précepte ; puisque toute la force de sa loi consiste dans l'ignorance.

Il se trouve en outre, dans l'Alcoran, d'autres lois positives pour les purifications, les oraisons, les aumônes, les jeûnes dans le mois Ramadan et le pèlerinage à la Mecque. Un auteur digne de foi nous apprend que Mahomet plaçait du froment dans son oreille, et qu'une colombe qu'il avait habituée venait y becqueter, pour faire croire ainsi aux autres, par ce moyen, qu'il était inspiré de Dieu sur les choses qu'il enseignait. Et ce qui confirme cette assertion, c'est le rapport que nous lisons dans Bayle, de deux Maronites, témoignant qu'il se trouve à la Mecque des colombes que les Turcs respectent comme sacrées, dans la persuasion où ils sont qu'elles descendent de celle qui parlait à Mahomet.

8. Ainsi donc, ni la religion des païens ne peut être vraie, ni celle des Juifs ( https://messe.forumactif.org/t6844-la-religion-juive-ne-saurait-etre-la-veritable-saint-alphonse-marie-de-liguori ), ni celle des mahométans non plus : donc la religion chrétienne est la seule qui le soit. Mais comme il se trouve dans la religion chrétienne plusieurs églises différentes qui ne s'accordent pas avec l'Eglise catholique romaine, voyons enfin quelle est, entre toutes, la vraie Eglise et, par conséquent, la religion véritable ( Page 362 de ce même livre, le 1er tome des OEUVRES de S. Alphonse de Liguori).



Source :
OEUVRES de Saint Alphonse de Liguoei - Tome 1er - Édition 1876 - p. 355, Chapitre IV :

https://archive.org/stream/07430208.1635.emory.edu/07430208_1635#page/n363/mode/2up
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Message  Roger Boivin Mar 22 Déc 2015, 11:01 pm


Voir aussi :


Re: PRINCIPAUX FONDATEURS DES RELIGIONS NON-CHRÉTIENNES  
( par J.-B. BORD, Docteur en Théologie et en Philosophie, Professeur de Dogme - L'Apologétique par le Christ - AVIGNON - LIBRAIRIE AUBANEL FRÈRES, ÉDITEURS - IMPRIMERIE DE N. S. LE PAPE ) :

MAHOMET (570-632 ) : https://messe.forumactif.org/t5263-principaux-fondateurs-des-religions-non-chretiennes#100411


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