De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
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gabrielle
Benjamin
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De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
La méditation, une réponse à la quête d’intériorité
La méditation issue de la tradition bouddhiste suscite un réel engouement en France. Témoin, l’École occidentale de méditation, fondée il y a huit ans par le philosophe Fabrice Midal, dans un cadre laïque
Anthony, sacoche à la main, attend en haut des marches à l’entrée de l’immeuble situé au 53 de la rue Raymond-Losserand à Paris (14e arrondissement). Ce mercredi, tout juste sorti du travail, il se rend pour la première fois à l’École occidentale de méditation. Attiré depuis longtemps par le bouddhisme et la tradition orientale, lecteur de Matthieu Ricard, le moine bouddhiste à succès, et adepte de tai-chi et de yoga, cet informaticien de 37 ans découvre la méditation depuis un an. « J’essaie de pratiquer régulièrement. Pour moi, c’est une manière de chercher un apaisement, plus de sérénité. J’ai beaucoup lu, mais il me faut quelque chose de concret. » Son quotidien est un trop-plein d’émotions, d’activités, de pensées. Anthony cherche plus de confiance en lui et dans les autres. Dans le monde aussi, qu’il voudrait regarder pour autre chose que son « imperfection ».
« Changer soi-même et changer sa relation aux autres »
Laissant pour l’heure les chips qui attendent sagement dans des saladiers [???], le nouveau venu range ses chaussures dans le placard de l’entrée. Un ballet s’active encore un instant pour ordonner chaises et coussins sur le lino gris, puis chacun gagne sa place dans la salle à demi éclairée, où les joggings confortables se mêlent aux ensembles costard-chaussettes. Deux cents personnes sont venues pour cette soirée. Beaucoup sont des « explorateurs ». Comme Anthony, ils n’en sont pas à leur première expérience dans leur quête intérieure.
> Lire aussi : « Les pratiques de méditation aident à dégager l’accès au coeur profond »
Florence, éditrice de 34 ans, a lu plusieurs livres de Fabrice Midal. « Je m’intéresse depuis longtemps au développement personnel, explique-t-elle, je cherche tout ce qui peut en être le moyen. » Depuis quelques années, elle suit ainsi une psychothérapie. Ce qui la motive, c’est la perspective de « changer soi-même et changer sa relation aux autres ». Claire, sage-femme de 54 ans, qui rencontre des soucis de santé, espère que la méditation lui apprendra à « lâcher prise ». Jean-Charles, 39 ans, fréquente l’École depuis 2012, mais sa recherche personnelle a commencé en 2005. « Il n’y a pas eu de déclencheur, j’ai toujours eu besoin de mieux me comprendre, explique-t-il. J’ai essayé l’approche Zen, mais je n’ai pas tenu plus d’une séance : la posture en lotus est très difficile. » [???]
Ressentir son corps et sa respiration
Ici, au contraire, on s’assoit aussi bien sur une chaise qu’en tailleur. Cette liberté rend la méditation « plus accessible ». Jean-Charles est aussi passé par une autre voie méditative : celle de l’art. Élève au centre bouddhiste tibétain Shambhala, à Paris (10e arrondissement), il a travaillé l’art floral (ikebana) et la photographie contemplative (miksang, « le bon œil », en tibétain). « Depuis dix ans, j’apprends à adopter un autre regard », raconte-t-il.
Sur la scène, Fabrice Midal présente cette soirée d’introduction : deux exercices de dix minutes de méditation seront suivis d’un échange puis d’un enseignement.« Méditer est très simple, commence-t-il. Nous allons apprendre à faire attention, c’est-à-dire à être pleinement présent à notre être, à ce qui est. »
> Lire aussi : Méditer, pour mieux découvrir le Christ [???]
Le professeur guide ses élèves pour trouver la posture : une assise solide comme« une bouteille dans le sable », le dos droit « comme si un fil élevait la tête vers le ciel », les yeux ouverts, orientés devant soi vers le sol, la bouche à demi ouverte. [ ] Chacun ressent son corps, le mouvement naturel de sa propre respiration. Avant d’abandonner la salle silencieuse au glouglou du radiateur [???], Fabrice Midal donne un dernier conseil : « Immanquablement, l’esprit vagabonde. Ce n’est pas un problème. Ramenez votre attention à votre respiration, à votre corps. On peut dire à son moi : “bonjour”, comme pour se réjouir d’être simplement présent. »
Les apprentis trouvent ici un "espace de liberté"
Après ce premier exercice de méditation, Fabrice Midal répond à une série de questions avant de donner un court enseignement mêlant philosophie, psychologie et poésie, citations de Bouddha et vers de Rainer Maria Rilke. Thème du jour : « L’intimité, le point et le centre ». Parmi les participants, nombreux sont ceux qui s’intéressent à ces développements anthropologiques et éthiques : la perspective de la bienveillance et du care, « le soin », la critique de l’idéologie qui réduit l’homme à un statut de consommateur… Plusieurs apprentis méditants trouvent ici un « espace de liberté » pour réfléchir au calme, prendre leurs distances avec les discours préfabriqués dont ils se sentent bombardés.
« Je suis touchée par ce que dit Fabrice Midal de la relation. On a besoin de recréer du lien », avance Sylvie, 56 ans. Cette consultante sur les nouvelles technologies fréquente l’École depuis 2010. Une année de « rupture », où elle a notamment démissionné de son entreprise, dont elle désavouait le comportement avec les collaborateurs. Par la méditation, Sylvie cherche à se défaire de « l’agressivité » qui rend infernal le quotidien : au volant, dans les files d’attente… « On doit savoir s’opposer, contester. Il ne s’agit pas de feindre qu’il n’y a pas de conflit ni de s’écraser en silence. Mais il faut trouver le ton juste. C’est cela, entrer en relation. »
La méditation dans un cadre laïque et "occidental"
Le succès de l’École de méditation tient aussi sûrement à son caractère laïque et « occidental ». Florence, l’éditrice, est brouillée avec son éducation [conciliaire]. Elle n’aurait pas franchi le seuil d’une organisation confessionnelle. « Le cadre proposé est sécurisant. Il n’y a rien à soupçonner derrière », estime-t-elle. Pour Steban, la trentaine, aux manettes de la sonorisation des soirées, l’École répond à sa conception de la recherche spirituelle, qui doit « dépasser le cadre fermé proposé par chaque "religion" ».
> Lire aussi : Pourquoi faut-il prier pour la France ?
« L’École rend la méditation abordable parce qu’elle la propose à l’intérieur de notre référentiel occidental », estime Sylvie, la consultante. Philosophie classique, poésie, exemples concrets issus de notre mode de vie… constituent un terrain connu et praticable pour cette femme, qui a toutefois voyagé en Asie et s’intéresse à ses cultures. « Cela autorise ensuite à faire le lien avec l’Orient. »
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Issue de la tradition bouddhique
La méditation est l’union du recueillement et de la connaissance (samatha, « se poser », et vipashyana, « discernement »). Importée dès les années 1960, démocratisée et laïcisée, elle est connue sous le nom de méditation de « pleine conscience » (mindfulness). Il existe plusieurs écoles :
Le theravada. Né en Thaïlande. Il s’agit de nettoyer la pensée de la convoitise et de la haine, afin d’accéder au « plan de la tranquillité et de la claire perception ».
Le tchan. Né en Chine au Ve siècle, il se fonde sur l’expérience et la simplicité. La méditation est un geste de détente et de confiance. Selon le maître Lin Tsi, l’idéal du méditant n’est plus un surhomme à la parfaite maîtrise de soi, mais l’homme ordinaire.
Le zen. Issu du tchan, il s’en distingue par son austérité et ses règles. Au Japon, il s’institutionnalise.
La tradition tibétaine. Transmise de maître à disciple, elle est un aboutissement, l’état de la plus haute simplicité.
Vipashyana. En Birmanie, S. N. Goenka (1924-2013) met de côté les rituels bouddhistes. La méditation est transmise lors de retraites aboutissant à la « méditation de bonne volonté vis-à-vis de tous » (maitri).
Mantra. Certaines écoles pratiquent la récitation d’un même mot (mantra) : elle vise à « protéger l’esprit » de la confusion.
Découvrir la méditation chrétienne : – L’Oraison thérésienne, par Emmanuel Renault, Éd. du Carmel, 105 p., 7 €.
– Initiation à la vie spirituelle, par André Louf, ancien abbé trappiste du Mont-des-Cats, à partir du chemin de la méditation et de l’oraison selon Thérèse d’Avila, Seuil, 96 p., 6 €.
Source : La Méditation, par Fabrice Midal, PUF, « Que Sais-je ? », 128 p., 9 €.
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Spiritualite/La-meditation-une-reponse-a-la-quete-d-interiorite-2014-12-26-1285262 )
L'article est un condensé pitoyable du monde moderne.
Mais que vient faire le nom de Sainte Thérèse d'Avila dans cet article de foire aux bouddhistes ???
Et "méditer pour mieux découvrir le Christ"... ? Vu l'article, c'est quelle "méthode" qu'ils nous proposent ? La thaïlandaise, la birmane, la tibétaine... ?
Une chose est sûre, ce n'est pas en répétant le "mantra" Ber-lin-got, Ber-lin-got, Ber-lin-got que nos déracinés du cerveau vont aboutir à quoi que ce soit...
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
les yeux ouverts, orientés devant soi vers le sol, la bouche à demi ouverte.
Cela résume le bouddhisme... l'inversion. L'orientation vers soi-même. L'esprit ne dépasse pas le "petit moi ".
Quant à la bouche: je me dis, que celui qui adopte cette fausse philosophie en reste bouche bée, tellement cela est stupide.
Pour Sainte Thérèse, moi non plus je ne sais ce qu'elle vient faire dans ça... de la récupération de bas étage d'une très grande sainte contemplative.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Bon d'accord j'arrête.
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Ce moment de détente est payé par La Croix..qui arrive à ne pas rire de ses articles.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
les yeux ouverts, orientés devant soi vers le sol, la bouche à demi ouverte.
[ ] Avant d’abandonner la salle silencieuse au glouglou du radiateur [???]
Le bouddhisme, c'est du nombrilisme. Ommmm. Je-me-moi.
Le "radiateur", c'est leur nombril qui fait glouglou, je suppose ?
Quel animal glougloute ? Une dinde si je me souviens...
Et j'ajoute que ce n'est pas une farce...
S'ils ne peuvent rire de leur stupidité, faisons-le à leur place !
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Benjamin a écrit:
Une chose est sûre, ce n'est pas en répétant le "mantra" Ber-lin-got, Ber-lin-got, Ber-lin-got que nos déracinés du cerveau vont aboutir à quoi que ce soit...
Ou plutôt, ils vont aboutir à: , , et à
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
- Spoiler:
- gabrielle a écrit:Benjamin a écrit:
Benjamin a écrit:
Bon d'accord j'arrête.gabrielle a écrit:
Ce moment de détente est payé par La Croix..qui arrive à ne pas rire de ses articles.
Ch'ten plein châ !!
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Plus ou moins en rapport avec le sujet, en Septembre dernier, "la croix" faisait de la publicité pour les juifs :
https://messe.forumactif.org/t5914-la-croix-ou-la-kippa
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
.
On ne peut tourner en ridicule la praxis de tous ces bouddhistes ?
Voyez le raisonnement de Saint Jean Chrysostôme face aux élucubrations des manichéistes…
qui se rapprochent de celles des bouddha et autres za-zen, en passant.
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102039
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102060
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102061
Saint Jean Chrysostôme, dans le troisième "post", a bien raison de conclure:
Suivons le sage conseil de Saint Jean Chrysostôme face à tous ces charlatans, ces diseux de bonne aventure,
ces tricoteux de paniers, ces cordeux de bran de scie… enfin, vous voyez le topo.
On ne peut tourner en ridicule la praxis de tous ces bouddhistes ?
Voyez le raisonnement de Saint Jean Chrysostôme face aux élucubrations des manichéistes…
qui se rapprochent de celles des bouddha et autres za-zen, en passant.
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102039
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102060
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102061
Saint Jean Chrysostôme, dans le troisième "post", a bien raison de conclure:
Mais ce langage est intolérable, et nous ne devons plus l'écouter.
Suivons le sage conseil de Saint Jean Chrysostôme face à tous ces charlatans, ces diseux de bonne aventure,
ces tricoteux de paniers, ces cordeux de bran de scie… enfin, vous voyez le topo.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Les chemins de traverse d’un moine bouddhiste
Marqué par ses neuf mois passés dans un monastère bénédictin français, le Vénérable Hyangjok, moine bouddhiste sud-coréen s’attache à encourager un dialogue intermonastique encore balbutiant.
(...)
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Les-chemins-de-traverse-d-un-moine-bouddhiste-2015-04-01-1297924 )
Parce que la secte accueille des "moines" bouddhistes dans des monastères de "bénédictins" maintenant ?
Selon l'article les faits remontent à 1989... Ils avaient dû trop regarder les apprentis jardiniers syncrétistes d'Assise à la télévision
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
N'importe quel quidam païen peut séjourner dans les monastères de la secte...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
.
La secte est l'égout collecteur de tous les paganismes.
La secte est l'égout collecteur de tous les paganismes.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
La pagode du bois de Vincennes retrouvée
Après un an de travaux, cette grande pagode qui sert de lieu de rassemblement à tous les courants du bouddhisme, a été inaugurée ce week-end, pour la Fête du bouddhisme.
(...)
http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/La-pagode-du-bois-de-Vincennes-retrouvee-2015-05-31-1318087
Et alors ? Est-on bien ici sur un journal qui s'appelle "la croix" dans la page "religion" ?
Cela me fait penser que j'étais tombé sur un site qui permet de faire des parodies de vraies pages Internet, l'aspect original de la page est conservé mais l'on peut changer le texte et les images... Ici cet article de "la croix" n'est malheureusement pas une parodie, mais cela m'a donné des idées Si je retrouve le site qui permet de faire cela, et s'il n'y a pas de problème, je ferai peut-être quelque chose.
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
.
(Re)lire les "posts" de Saint Jean Chrysostôme à propos des manichéens qui sont proches des bouddhistes nombrilistes:
(Re)lire les "posts" de Saint Jean Chrysostôme à propos des manichéens qui sont proches des bouddhistes nombrilistes:
On ne peut tourner en ridicule la praxis de tous ces bouddhistes ?
Voyez le raisonnement de Saint Jean Chrysostôme face aux élucubrations des manichéistes…
qui se rapprochent de celles des bouddha et autres za-zen, en passant.
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102039
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102060
• https://messe.forumactif.org/t5380-suite-du-commentaire-des-actes-des-apotres-par-saint-jean-chrysostome#102061
Saint Jean Chrysostôme, dans le troisième "post", a bien raison de conclure:Mais ce langage est intolérable, et nous ne devons plus l'écouter.
Suivons le sage conseil de Saint Jean Chrysostôme face à tous ces charlatans, ces diseux de bonne aventure,
ces tricoteux de paniers, ces cordeux de bran de scie… enfin, vous voyez le topo.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
" Cela résume le bouddhisme... l'inversion. L'orientation vers soi-même. L'esprit ne dépasse pas le "petit moi "."
Désolé, mais aucune religion ne pratique plus la compassion plus que le bouddhisme. Error 404.
Syd Barrett- Nombre de messages : 3
Date d'inscription : 23/06/2015
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Syd Barrett a écrit:Désolé, mais aucune religion ne pratique plus la compassion plus que le bouddhisme. Error 404.
Merci de nous l'apprendre car jusque là, nous pensions que le boudhisme est hiérarchisé en castes les plus hauts sont les purs et les plus bas les manants impurs.
Quelle compassion pour les pauvres !
Les parias, ou Intouchables.
A ces quatre Varnas, s'ajoutent un cinquième groupe à part, les Dalits, groupe en dehors des castes, appelés "Intouchables", "Harijans", "Enfants de Dieu". Les Intouchables sont considérés comme impurs, et effectuent les besognes les moins nobles, comme le travail du cuir, le nettoyage des rues, etc...
Ils occupent la plus basse place dans l'échelle sociale, sont rejetés de la population, et vivent en général dans la misère, à l'écart des autres castes et même des zones urbaines.
Qu'a dit ou fait Boudha à part de s'auto proclamé infiniment au-dessus de tous les autres et qu'a-t-il accepté comme humiliation pour se faire l'ami des petits et des pauvres. Etait-ce la bonne méthode pour gagner le titre du plus compatissant des hommes.
Vous ne voyez pas dans l'histoire quelqu'un qui l'a battu à plate couture dans ce domaine ?
Comment se fait-il que votre religion qui aurait pour vous la plus grande compassion n'a produit qu'une grande facture entre les immensément riches et les horriblement pauvres au point qu'on n'a jamais vu dans le monde une disparité si extrême comme en a toujours vu en Inde infesté par la boudhisme ?
Et les occidentaux baba cool, petits bourgeois bordés de nouilles, qui payent plusieurs centaines d'Euros pour aller écouter le Daï Lama dans ses confférences ont-ils changé quelque chose à cette triste réalité ?
Invité- Invité
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Syd Barrett a écrit:Désolé, mais aucune religion ne pratique plus la compassion plus que le bouddhisme. Error 404.
Quelle que soit la "compassion du bouddhisme" c'est une fausse religion qui perd les âmes. C'est la seule chose qui importe.
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Benjamin a écrit:Syd Barrett a écrit:Désolé, mais aucune religion ne pratique plus la compassion plus que le bouddhisme. Error 404.
Quelle que soit la "compassion du bouddhisme" c'est une fausse religion qui perd les âmes. C'est la seule chose qui importe.
Exact!
Nous ne devons pa juger un chose d'après la compassion du moine X, mais d'après la doctrine et la doctrine de Bouddha est la négation du Catholicisme, de la Rédemption et de la Résurrection.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
BOUDDHAD'après le pan-bouddisme, la religion chrétienne ne serait qu'une forme du culte bouddhique. Cette théorie a obtenu un certain succès en ces derniers temps. A des degrés divers, elle a été défendue, en Angleterre, par Carpenter(1) et Cheyne (2); en Allemagne, par R.Seydel (3) et Pfleiderer (4); en France, par plusieurs articles de la Revue d'Histoire des religions et quelques ouvrages imbus du même esprit. M. Anesaki, professeur à Tokyo a, publié un livre sur le même sujet (5).
Ces auteurs fondent leur hypothèse, d'une part, sur des analogies entre la vie et la doctrine de Bouddha et la vie et la doctrine du Christ, et, d'autre part, sur des ressemblances entre le Bouddhisme et le Christianisme. Ces deux religions prescrivent des observances morales communes : le mépris du monde, la mortification de la chair, le sentiment profond de notre misère et des difficultés de la vertu, la bienveillance envers les hommes.
De ces prémisses faut-il conclure que Jésus n'est que le Bouddha transformé et que Bouddha était le Christ avant le Christ ?
- Non, il est impossible d'assimiler et de confondre la légende de Bouddha avec l'histoire de Jésus, son enseignement avec l'évangile chrétien.
Nous avons dit : la légende de Bouddha. C'est qu'en effet les documents anciens qui nous renseignent sur ce personnage, sont rares et d'une authenticité plus que douteuse ; ils ont été composés plusieurs siècles après la mort du héros qu'ils célèbrent.
Les historiens bouddhistes racontent que Gotama Fo, appelé aussi Çakya-Mouni ( solitaire de la race de Çakya ) et Bouddha ( sage, illuminé ) naquit miraculeusement de la reine Maya, entre l'an 550 et 370 avant Jésus-Christ. Peu après sa naissance, il fut porté dans un temple par son père qui l'offrit aux dieux. Là un vieillard, nommé Asita, prédit la sublime vocation religieuse de cet enfant. Celui-ci grandit au milieu des savants et du luxe fastueux de la maison paternelle. Puis il se maria. Vers l'âge de vingt-sept ans, il abandonna sa famille et s'enfuit dans une solitude ; sept années durant, il s'y livra à la pénitence et à la mortification ; il lutta victorieusement contre des esprits mauvais. Ses vertus et ses mérites furent récompensés : il découvrit enfin la sagesse suprême, qui consiste à connaître les causes des maux et leurs remèdes.
Touché des malheurs des hommes, Bouddha résout de les secourir en leur communiquant le trésor de sa sagesse. Pendant qurante-cinq ans environ, il prêche dans les Indes, il forme des disciples et les groupe en monastères, il opère des miracles et meurt des suites d'un repas trop copieux. Des prodiges accompagnent sa mort comme ils avaient signalé sa naissance (6).
De l'Inde, le Bouddhisme s'étendit dans l'île de Ceylan (IIIe siècle avant Jésus-Christ), dans le royaume de Siam, au Japon (VIe siècle après Jésus-Christ), puis dans le Thibet et les régions voisines.
La doctrine de Bouddha est moins spéculative que pratique. - La théodicée en est absente, Bouddha semble ignorer l'existence d'un être suprême et d'un culte à lui rendre. Admet-il, dans l'homme, une âme spirituelle ? Non, puisqu'il soutien l'égalité essentielle de tous les êtres. La métempsychose avec toutes ses conséquences est l'un de ses dogmes fondamentaux. L'homme, dans une série plus ou moins longue de vies successives, s'achemine par une purification de plus en plus parfaite jusqu'au nirvâna, dont la nature n,est pas clairement définie. Le nirvâna marque la fin de la souffrance pour l'individu, qui, selon les uns, est totalement annihilé, et, d'après les autres, totalement absorbé par l'être universel, privé de toute conscience et de toute activité, jouissant d'un repos parfait, complet, qui semble voisin du néant.
La morale bouddhique part de ce principe pessimiste (7) que le plus grand des maux physique est la vie. Celle-ci est la punition des fautes commises par l'homme dans ses vies antérieures. Le mal moral consiste dans le désir de vivre et de jouir, c'est la concupiscence. Par suite, la perfection tend à la suppression de la douleur, elle réside dans le renoncement à la concupiscence et aux voluptés, elle empêche la domination du corps sur l'âme, cette domination est le principe de toute faute, par suite des existences et des douleurs qui en seront le châtiment.
Les adeptes du Bouddhisme se divisent en deux classes, les parfaits et les laïques. Les premiers aspirent à la sainteté. Ils observent la pauvreté, la chasteté et la charité, entendues au sens bouddhique. Ils consacrent leur vie à la méditation de la doctrine du Bouddha qui donne la sagesse ; ils doivent s'abstenir de travailler, parce que le travail les distrairait de la contemplation. Les parfaits rappellent à certains égards les moines chrétiens. L'idéal qu'ils poursuivent est irréalisable dans les conditions ordinaire de la vie.
Aux laïques est imposée une morale moins austère. On ne leur interdit ni la polyandrie (État d'une femme mariée à plusieurs hommes en même temps), ni aucun péché de la chair sauf l'adultère. Il leur est défendu surtout de tuer un être vivant, de voler, de pécher avec une femme mariée, de mentir et de boire des liqueurs enivrantes. L'aumône aux moines bouddhistes répare toutes les fautes et permet l'espoir de renaître, après la mort, à une vie meilleure.
Que conclure de ce bref exposé du Bouddhisme ? - Bouddha ne ressemble pas au Christ. Quelle distance entre l'un et l'autre !
Un véritable envoyé de Dieu confirme sa mission par des miracles et ne propage aucune erreur. Dieu ne peut demander aux hommes de croire à tout prophète se présentant en son nom, sans en fournir des preuves, et il est incapable de se tromper et de tromper.
Mais Bouddha ne fait appel à aucun miracle pour établir la divinité de sa doctrine : cela ne lui paraît point nécessaire. Ses prétendus prodiges sont destinés uniquement à montrer qu'il a acquis la suprême sagesse par ses propres forces. - Mais ces prodiges sont-ils vraiment authentiques ? Le témoignage des historiens de Bouddha ne mérite pas créance, nous l'avons déjà noté. Sur le Bouddhisme, déclare M. Barth (1894), nous n'avons pas même l'histoire au sens le plus modeste du mot. Les miracles faits autour du berceau et de la tombe de Bouddha ressemblent tellement à ceux de la nativité de Jésus et du Calvaire, que nombre d'auteurs placent du IIIe au Ve siècle de notre ère la composition de l'histoire bouddhique et voient en elle une reproduction partielle des évangiles ( 8 ). Quant aux miracles, que Çakya-Mouni aurait accomplis lui-même, plusieurs sont d'un ridicule tel qu'on ose les attribuer à Dieu comme cause principale et ils jettent le discrédit sur tous les autres. Ainsi, les historiens de Bouddha le représentent traversant l'espace de l'orient à l'accident en projetant de l'eau par un de ses yeux et du feu par l'autre ! Une autre fois leur héros change tout son corps en flamme dans une lutte qu'il livre au roi des serpents !
Les erreurs manifestes, renfermées dans la doctrine de Bouddha, sont un signe indubitable de la non-transcendance de son œuvre. - Nous en signalerons deux seulement. elles vicient radicalement l'enseignement dogmatique et moral du Bouddhisme.
La première est l'athéisme. La religion a pour but primordial le culte du Créateur : la raison nous l'affirme. Mais Bouddha ne parle jamais de Dieu. « En tuant Dieu on tue la moral », a-t-on dit ; à plus forte raison, par le même moyen, supprime-t-on toute religion. Ainsi la Bouddhisme est en contradiction formelle avec l'évangile dont chaque page dit et redit le nom du Père qui est aux cieux, et décrit l'admirable religion de Jésus envers lui.
La seconde erreur fondamentale de Bouddha fausse toute son éthique. La religion soumet l'homme à Dieu, son premier principe et sa fin dernière. De cette dépendance essentielle à la nature humaine découle pour elle le rigoureux devoir de l'adoration, de l'humilité et de la prière, rendu plus pressant encore par l'expérience constante de notre faiblesse. Mais le Bouddhisme ignore cette obligation. Le fidèle de Bouddha ne recherche point Dieu qui lui est inconnu. Lui-même tient la place de la divinité, il est le centre de sa religion. L'amour de soi et l'égoïsme sont le premier mobile de ses vertus. Il n'aspire qu'à l'obtention du nirvâna, c'est-à-dire de sa propre félicité, acquise avec les seuls moyens dont il dispose. L'orgueil au service du moi, voilà l'essence intime de la morale bouddhique (9).
Le prédicateur qui enseigne une doctrine condamnée par la simple raison n'est pas député de Dieu, car Dieu ne peut soutenir le mensonge (10). Mais bouddha prêche et l'athéisme et une morale indépendante, « autonome », étrangère à toute métaphysique, semblable à celle de plusieurs philosophes modernes hétérodoxes.
Il contraste singulièrement avec Jésus dont les préceptes moraux sont ordonnés avant tout à la glorification du Père, à l'extension de son royaume et à la sanctification de son nom, soit en cette vie, soit dans l'autre ; la vie future apportera à l'homme juste un bonheur parfait par la possession du Dieu trois fois saint, admiré, aimé et loué éternellement.
Bouddha n'est pas un missionnaire de Dieu ; à fortiori n'est-il pas Dieu. Dieu sait qu'il existe et il n'est point docteur d'erreur.
Plus tard, les bouddhiste ont divinisé leur maître et, avec lui, quelques-uns de ses disciples les plus renommés. Un absurde polythéisme a de la sorte succédé à l'athéisme initial de Çakya-Mouni. Par conséquent la religion de bouddha n'est pas d'origine divine, elle n'est pas la véritable religion.
Le Christ et son œuvre diffèrent essentiellement de Bouddha et de sa secte, comme un envoyé du ciel se distingue d'un envoyé de l'enfer. Jésus et Bouddha s'opposent l'un à l'autre comme Dieu au démon. On le constate aisément si, au lieu de s'arrêter aux traits superficiels de ces deux fondateurs de religion et des sociétés qui remontent jusqu'à eux, on pénètre jusqu'aux principes qui sont comme l'âme de leur conduite et de leur doctrine théorique et pratique. « Je serais reconnaissant, écrivait M. Müller lui-même, à celui qui pourrait me montrer les canaux à travers lesquels le Bouddhisme aurait pu faire passer son influence sur le Christianisme primitif. Pour ma part, j'ai cherché toute ma vie ces canaux, et jusqu'à présent, je n'ai rien trouvé (10).
_____
1. Carpenter, The obligation of the New Testament to Budhism.
2. Cheyne, Bible problems and the new material for their solution.
3. Seydel, Die Budhalegende und das Leben Jesus nach den Evangelien, Weimar, 1907.
4. Pfleiderer, Das Christus Bild des Urchristlichen Glauden, Berlin, 1897.
5. Anesaki, Budhist and christian Golspels, now first compared from the original, 1904.
6. Sur le Bouddhisme : Burnouf, Introduction à l'histoire du Bouddhisme indien, 1844. - Senart, Essai sur la légende du Bouddha. - Barthé lemy Saint-Hilaire, Le Bouddha et sa religion, 1859. - Oldenberg, Le Bouddha, sa vie, sa doctrine, sa communauté, trad. Foucher, Paris, 1903. - Abbé de Broglie, Problèmes et conclus. de l'Hist. des Religions, c.VI. - De la Vallée-Poussin, Bouddhisme, opinions sur l'Hist. de la Dogmatique, Paris, 1909. - Otto Wecker, Budhismus und Christenthum, Münster, 1908. - Hugueny, Critique et catholique, Paris, 1910, pp. 179-190. - Thomas, Christianisme et Bouddhisme, 2 vol. (Science et Religion). - Ami du Clergé, 1er juin 1905.
7. Oldenberg, Le Bouddha, trad. Foucher, IIe p., c,I.
8. Wilmers, De Religione Revelata, Ratisbonne, 1897, p. 432.
9. Oldenberg, op. cit., pp. 290-292 : utilitarisme de cette morale.
10. Müller, India what it can teach us ? 1883, p. 279.
Re: PRINCIPAUX FONDATEURS DES RELIGIONS NON-CHRÉTIENNES : https://messe.forumactif.org/t5263-principaux-fondateurs-des-religions-non-chretiennes#100410
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
gabrielle a écrit:Benjamin a écrit:Syd Barrett a écrit:Désolé, mais aucune religion ne pratique plus la compassion plus que le bouddhisme. Error 404.
Quelle que soit la "compassion du bouddhisme" c'est une fausse religion qui perd les âmes. C'est la seule chose qui importe.
Exact!
Nous ne devons pa juger un chose d'après la compassion du moine X, mais d'après la doctrine et la doctrine de Bouddha est la négation du Catholicisme, de la Rédemption et de la Résurrection.
Cordiale bienvenue sur Te Deum, Syd Barrett.
Vous êtes tous deux dans l'exactitude, cher Benjamin et Gabrielle.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: De la pub pour la "méditation bouddhiste" sur le site conciliaire "la croix"
Gabrielle a écrit :
"....d'après la doctrine et la doctrine de Bouddha est la négation du Catholicisme, de la Rédemption et de la Résurrection."
Le Boudhisme nie l'identité de l'homme qui n'est qu'un chat ou une autre bête transformée mille fois et qui peut devenir ce que l'on veut. C'est à dire que l'homme n'est pas là sur la terre pour bénéficier du salut du Dieu rédempteur mais pour faire mille essais bons ou mauvais et cette succession interminable de changement est supposée bénéfique et élévatrice mais si on y réfléchit bien ce n'est qu'une doctrine qui concerne plutôt les chiens et les chats en passant par les vaches sacrées plutôt que les hommes et même sur les animaux cette doctrine est absurde et ne correspond qu'au cerveau illuminée d'un personnage conduit par l'orgueil de sa pensée.
Alors, évidemment, l'homme rebelle à Dieu, qui ne veut pas plaire à Dieu pendant cette vie pour opérer son salut, court après ce genre de fable pour laisser à une autre vie et à un autre personnage ou animal qu'il ne sera jamais le temps de faire mieux.
Par conséquent, lorsque Gabrielle dit que nous devons juger les choses d'après la Saine doctrine et non pas d'après les élucubrations des hommes, elle se fait l'écho de Saint Paul qui nous dit :
"Parce qu'Ils n'ont pas voulu croire la saine doctrine, la vérité, ils croiront des fables"
Si vous croyez au boudhisme, c'est que vous ne voulez pas de J-C qui veut vous sauver en cette vie. J-C vous donne une vie sur la terre pour vous sauver une vie dans le ciel pour vous récompenser.
Or, vous ne voulez que la vie sur la terre et comme elle ne peut satisfaire personne, nous, nous la vivons pour la vie du Ciel et vous vous entrez dans la fiction et vous multipliez vos vies sur la terre dont vous supposez que les suivantes seront meilleures mais à votre mort, vous n'en vivrez jamais d'autres et vous n'aurez comme conclusion de votre maudite vie que la condamnation à l'enfer que vous avez choisie parce que vous avez préféré la folie d'un illuminé à la bonté et à la toute Puissance et aux lumières du vrai Dieu qui vous a donné son Fils pour vous sauver.
"....d'après la doctrine et la doctrine de Bouddha est la négation du Catholicisme, de la Rédemption et de la Résurrection."
Le Boudhisme nie l'identité de l'homme qui n'est qu'un chat ou une autre bête transformée mille fois et qui peut devenir ce que l'on veut. C'est à dire que l'homme n'est pas là sur la terre pour bénéficier du salut du Dieu rédempteur mais pour faire mille essais bons ou mauvais et cette succession interminable de changement est supposée bénéfique et élévatrice mais si on y réfléchit bien ce n'est qu'une doctrine qui concerne plutôt les chiens et les chats en passant par les vaches sacrées plutôt que les hommes et même sur les animaux cette doctrine est absurde et ne correspond qu'au cerveau illuminée d'un personnage conduit par l'orgueil de sa pensée.
Alors, évidemment, l'homme rebelle à Dieu, qui ne veut pas plaire à Dieu pendant cette vie pour opérer son salut, court après ce genre de fable pour laisser à une autre vie et à un autre personnage ou animal qu'il ne sera jamais le temps de faire mieux.
Par conséquent, lorsque Gabrielle dit que nous devons juger les choses d'après la Saine doctrine et non pas d'après les élucubrations des hommes, elle se fait l'écho de Saint Paul qui nous dit :
"Parce qu'Ils n'ont pas voulu croire la saine doctrine, la vérité, ils croiront des fables"
Si vous croyez au boudhisme, c'est que vous ne voulez pas de J-C qui veut vous sauver en cette vie. J-C vous donne une vie sur la terre pour vous sauver une vie dans le ciel pour vous récompenser.
Or, vous ne voulez que la vie sur la terre et comme elle ne peut satisfaire personne, nous, nous la vivons pour la vie du Ciel et vous vous entrez dans la fiction et vous multipliez vos vies sur la terre dont vous supposez que les suivantes seront meilleures mais à votre mort, vous n'en vivrez jamais d'autres et vous n'aurez comme conclusion de votre maudite vie que la condamnation à l'enfer que vous avez choisie parce que vous avez préféré la folie d'un illuminé à la bonté et à la toute Puissance et aux lumières du vrai Dieu qui vous a donné son Fils pour vous sauver.
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