Caritas in veritate
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Caritas in veritate
9a y est l'encyclique est sur le web !
Vite lisez avec attention et dites ce que vous y trouvez de bon !
J'ai juste jeté un coup d'oeil rapide mais il faut que je la relise avec attention !
Vite lisez avec attention et dites ce que vous y trouvez de bon !
J'ai juste jeté un coup d'oeil rapide mais il faut que je la relise avec attention !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Caritas in veritate
Je vais la lire...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Caritas in veritate
1. L’amour dans la vérité (Caritas in veritate), dont Jésus s’est fait le témoin dans sa vie terrestre et surtout par sa mort et sa résurrection, est la force dynamique essentielle du vrai développement de chaque personne et de l’humanité tout entière. L’amour – « caritas » – est une force extraordinaire qui pousse les personnes à s’engager avec courage et générosité dans le domaine de la justice et de la paix. C’est une force qui a son origine en Dieu, Amour éternel et Vérité absolue. Chacun trouve son bien en adhérant, pour le réaliser pleinement, au projet que Dieu a sur lui: en effet, il trouve dans ce projet sa propre vérité et c’est en adhérant à cette vérité qu’il devient libre (cf. Jn 8, 22). Défendre la vérité, la proposer avec humilité et conviction et en témoigner dans la vie sont par conséquent des formes exigeantes et irremplaçables de la charité. En effet, celle-ci « trouve sa joie dans ce qui est vrai » (1 Co 13, 6). Toute personne expérimente en elle un élan pour aimer de manière authentique: l’amour et la vérité ne l’abandonnent jamais totalement, parce qu’il s’agit là de la vocation déposée par Dieu dans le cœur et dans l’esprit de chaque homme. Jésus Christ purifie et libère de nos pauvretés humaines la recherche de l’amour et de la vérité et il nous révèle en plénitude l’initiative d’amour ainsi que le projet de la vie vraie que Dieu a préparée pour nous. Dans le Christ, l’amour dans la vérité devient le Visage de sa Personne. C’est notre vocation d’aimer nos frères dans la vérité de son dessein. Lui-même, en effet, est la Vérité (cf. Jn 14, 6).
Ça commence plutôt mal
En correspndand à la Volonté de Dieu nous ne trouvons pas "notre propre vérité" mais notre vocation en ce monde. Tel que dit, chacun trouverait "une vérité' qui lui est personnelle ce qui nous fait glisser dans le subjectivisme complet et dans le syncrétisme, ma vérité perso n'est pas nécessairement la même que celle de mon voisin Musulman , alors que tous deux selon V2 et l' AFC nous adorons le "Dieu Unique"
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Caritas in veritate
.
Caritas in veritatis: qui veulent-ils attraper avec çà ? Tous, sauf les catholiques, j'espère.... Sinon il faudra re-re-re...re citer Isaïe L 7-9
Caritas in veritatis: qui veulent-ils attraper avec çà ? Tous, sauf les catholiques, j'espère.... Sinon il faudra re-re-re...re citer Isaïe L 7-9
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Caritas in veritate
Comme vous Gabrielle j'ai sursauté en lisant :
!
Cela revient à dire que c'est en adhérant à la vérité personnelle que l'on s'est forgée qu'on devient libre !!! C'est dire n'importe quoi ! Où est donc passée la raison dans tout cela ? La vraie j'entends !
C'est en adhérant au projet de Dieu que l'on devient libre et non en adhérant à sa propre volonté car celle-ci, si elle n'est pas parfaitement éduquée et orientée dès le début vers Dieu, est conduite par une vérité personnelle subjective érigée en fait par son propre esprit (vérité illusoire, idéologie etc...) en fonction de ses propres conclusions personnelles provenant de l'expérience bien ou mal vécue d'une vie.
Exemple :
Dieu m'appelle à être moine, j'adhère et je dis "oui Seigneur je viens pour faire VOTRE volonté" ! et pourquoi je dis cela ? Parce que je VEUX faire passer VOTRE volonté AVANT la mienne en vertu du fait que VOUS ETES Seigneur, Le Chemin la Vérité et la Vie ! Et donc moi je m'efface devant VOUS pour VOUS ! Et cela je l'ai découvert parce que VOUS ME l'AVEZ REVELE !
Mais si Dieu m'appelle à être moine et que je dis ; "Mon Dieu je veux être pompier " et que je deviens pompier, ma volonté est passée avant celle de Dieu ! Ma vérité était : c'est mieux d'être pompier que d'aller m'enfermer dans une cellule alors que Vous Seigneur vous voulez que je m'y enferme ! Ma volonté a-t-elle été orientée dans ce cas par la Vérité ? Non ! Elle a été orientée par ma propre vérité à moi c'est à dire mon jugement personnel propre et non le jugement de Dieu sur moi !!! Et c'est de là, de ce refus, et aussi de la confusion qui règne dans les esprits, que découlent toutes les erreurs, les abus, les injustices, les guerres etc... elles découlent du fait que les gens font passer leur propre vérité émanant de conclusions erronnées et donc leur jugement propre pour accomplir leur propre volonté avant celle de Dieu !
Et voilà aussi pourquoi depuis la sortie d'Egypte, le Verbe a mis autant de temps pour s'incarner ! Dieu a attendu le "oui inconditionnel" de la Vierge Marie !
Ceci dit je conviens que le discernement ce n'est pas de la tarte ! Surtout si on élude le Saint Esprit !
Demandez la Verité et vous l'aurez !
Jésus nous l'a promis : "Demandez et vous recevrez "!
et il continue en disant :"il trouve dans ce projet SA vérité" !
!
!et c’est en adhérant à CETTE vérité qu’il devient libre
Cela revient à dire que c'est en adhérant à la vérité personnelle que l'on s'est forgée qu'on devient libre !!! C'est dire n'importe quoi ! Où est donc passée la raison dans tout cela ? La vraie j'entends !
C'est en adhérant au projet de Dieu que l'on devient libre et non en adhérant à sa propre volonté car celle-ci, si elle n'est pas parfaitement éduquée et orientée dès le début vers Dieu, est conduite par une vérité personnelle subjective érigée en fait par son propre esprit (vérité illusoire, idéologie etc...) en fonction de ses propres conclusions personnelles provenant de l'expérience bien ou mal vécue d'une vie.
Exemple :
Dieu m'appelle à être moine, j'adhère et je dis "oui Seigneur je viens pour faire VOTRE volonté" ! et pourquoi je dis cela ? Parce que je VEUX faire passer VOTRE volonté AVANT la mienne en vertu du fait que VOUS ETES Seigneur, Le Chemin la Vérité et la Vie ! Et donc moi je m'efface devant VOUS pour VOUS ! Et cela je l'ai découvert parce que VOUS ME l'AVEZ REVELE !
Mais si Dieu m'appelle à être moine et que je dis ; "Mon Dieu je veux être pompier " et que je deviens pompier, ma volonté est passée avant celle de Dieu ! Ma vérité était : c'est mieux d'être pompier que d'aller m'enfermer dans une cellule alors que Vous Seigneur vous voulez que je m'y enferme ! Ma volonté a-t-elle été orientée dans ce cas par la Vérité ? Non ! Elle a été orientée par ma propre vérité à moi c'est à dire mon jugement personnel propre et non le jugement de Dieu sur moi !!! Et c'est de là, de ce refus, et aussi de la confusion qui règne dans les esprits, que découlent toutes les erreurs, les abus, les injustices, les guerres etc... elles découlent du fait que les gens font passer leur propre vérité émanant de conclusions erronnées et donc leur jugement propre pour accomplir leur propre volonté avant celle de Dieu !
Et voilà aussi pourquoi depuis la sortie d'Egypte, le Verbe a mis autant de temps pour s'incarner ! Dieu a attendu le "oui inconditionnel" de la Vierge Marie !
Ceci dit je conviens que le discernement ce n'est pas de la tarte ! Surtout si on élude le Saint Esprit !
Demandez la Verité et vous l'aurez !
Jésus nous l'a promis : "Demandez et vous recevrez "!
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Caritas in veritate
Il débloque totalement, l'aboutissement de toute cette recherche sera, "l'homme" et son service. Inversion totale, la fin la seule fin est Dieu .
Certes, notre vie dans le monde sera parsemée de visage de d'hommes, de main tendue, d'esprit égaré, mais tout ceci n'est pas en soi un fin, puisque tout ce beau monde il faut les attirer vers Jésus-Christ vers la Vérité Éternelle, qui n'est nullement liée à notre expérience perso...
Je continue à lire...
Certes, notre vie dans le monde sera parsemée de visage de d'hommes, de main tendue, d'esprit égaré, mais tout ceci n'est pas en soi un fin, puisque tout ce beau monde il faut les attirer vers Jésus-Christ vers la Vérité Éternelle, qui n'est nullement liée à notre expérience perso...
Je continue à lire...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Caritas in veritate
Je replace ici, le premier commentaire d'Humilis qui se trouvait dans un autre dossier
Le crime d'écriture de Ratzinger au complet ici:
http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/encyclicals/documents/hf_ben-xvi_enc_20090629_caritas-in-veritate_fr.html#_ednref154
Humilis Miles a écrit:La religion chrétienne et les autres religions ne peuvent apporter leur contribution au développement seulement si Dieu a aussi sa place dans la sphère publique, et cela concerne les dimensions culturelle, sociale, économique et particulièrement politique. La doctrine sociale de l’Église est née pour revendiquer ce « droit de cité» [135] de la religion chrétienne. La négation du droit de professer publiquement sa religion et d’œuvrer pour que les vérités de la foi inspirent aussi la vie publique a des conséquences négatives sur le développement véritable. L’exclusion de la religion du domaine public, comme, par ailleurs, le fondamentalisme religieux, empêchent la rencontre entre les personnes et leur collaboration en vue du progrès de l’humanité. La vie publique s’appauvrit et la politique devient opprimante et agressive. Les droits humains risquent de ne pas être respectés soit parce qu’ils sont privés de leur fondement transcendant soit parce que la liberté personnelle n’est pas reconnue. Dans le laïcisme et dans le fondamentalisme, la possibilité d’un dialogue fécond et d’une collaboration efficace entre la raison et la foi religieuse s’évanouit. La raison a toujours besoin d’être purifiée par la foi, et ceci vaut également pour la raison politique, qui ne doit pas se croire toute puissante. A son tour, la religion a toujours besoin d’être purifiée par la raison afin qu’apparaisse son visage humain authentique. La rupture de ce dialogue a un prix très lourd au regard du développement de l’humanité.
C'est tout le programme de la maçonnerie : purifier la religion chrétienne de tout ce qui n'est pas raisonnable !!!!!
Le crime d'écriture de Ratzinger au complet ici:
http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/encyclicals/documents/hf_ben-xvi_enc_20090629_caritas-in-veritate_fr.html#_ednref154
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Caritas in veritate
Aye aye aye ! Je suis arrivée à la fin du 1er chapitre ! J'ai du aller lire "Progressio machin chouette" (que je n'avais jamais lu) pour comprendre plus en profondeur ce à quoi le chef de l'AFC fait allusion ! Ah la prise de tête !
Et là ma chère, je découvre "l'homme intégral" et "l'humanisme intégral" dans toute leur splendeur ! Cela m'a même fait penser au pain intégral que l'on trouve au supermarché Carrefour (le pain bio complet aux céréales) !
Bref, cette encyclique n'est pas fortuite : elle vient juste pour le G8 qui se tient à l'Aquila (non fortuitement non plus), elle répond directement aux détracteurs de V2 (la FSSPX) pour confirmer à ces charmants clercs qu'il ne faut pas se faire d'illusions sur une possible réécriture des termes ambigus de ce conciliabule en termes appropriés et catholiques !
Ce n'est ni plus ni moins qu'une apologie de P6, de ses acolytes de V2, et de la mondialisation qu'il accepte tout comme ses prédecesseurs et présentée comme une chose toute naturelle en soi !!!! Une mondialisation évidente !
Et là ma chère, je découvre "l'homme intégral" et "l'humanisme intégral" dans toute leur splendeur ! Cela m'a même fait penser au pain intégral que l'on trouve au supermarché Carrefour (le pain bio complet aux céréales) !
Bref, cette encyclique n'est pas fortuite : elle vient juste pour le G8 qui se tient à l'Aquila (non fortuitement non plus), elle répond directement aux détracteurs de V2 (la FSSPX) pour confirmer à ces charmants clercs qu'il ne faut pas se faire d'illusions sur une possible réécriture des termes ambigus de ce conciliabule en termes appropriés et catholiques !
Ce n'est ni plus ni moins qu'une apologie de P6, de ses acolytes de V2, et de la mondialisation qu'il accepte tout comme ses prédecesseurs et présentée comme une chose toute naturelle en soi !!!! Une mondialisation évidente !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Caritas in veritate
L'humanisme intégral ne vient-il pas de Maritain?
Toutes ces vipères de l'AFC des G8 etc... convergent vers un même vut :le gouvernement mondial.
C'est sur que Ratzi parsème çi et là sa lettre de bout de phrase catho, mais c'est pour faire passer le poison..
Et pour la FSSP comment une relecture de ce qui est mauvais en soi pourra-t-elle se faire. C'est comme dire: on va relire Calvin et Luther et à force de tordre le sens, il finiront bien par être de bons catholiques.
Chapeau Via de vous être tapé Populorum bidulle....
Il est des livres inséparables de leur temps et qui en même temps le marquent. C'est le cas de celui que Jacques Maritain publie en 1936, année de la Guerre civile en Espagne, du Front populaire en France et de la montée irrésistible des régimes totalitaires en Europe. « Humanisme intégral » plaide pour une « nouvelle chrétienté », une « chrétienté profane » qui, dix ans après la condamnation de l'idéologie nationaliste de l'Action française, s'oppose à la sacralisation de la politique, qui fut le mal du siècle. Lu et interprété diversement, souvent incompris, mais aussi bien reçu par toute une génération de catholiques, bien au-delà de la France, cet essai frappe l'historien du XXe siècle par sa clairvoyance. Il est ici présenté avec clarté et compétence, nous permettant de comprendre – ce qui est rarement souligné – combien il a préparé la pensée de Vatican II sur les rapports de l'Église, des chrétiens et du monde.
Toutes ces vipères de l'AFC des G8 etc... convergent vers un même vut :le gouvernement mondial.
C'est sur que Ratzi parsème çi et là sa lettre de bout de phrase catho, mais c'est pour faire passer le poison..
Et pour la FSSP comment une relecture de ce qui est mauvais en soi pourra-t-elle se faire. C'est comme dire: on va relire Calvin et Luther et à force de tordre le sens, il finiront bien par être de bons catholiques.
Chapeau Via de vous être tapé Populorum bidulle....
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Caritas in veritate
Via Crucis a écrit:Ce n'est ni plus ni moins qu'une apologie de P6, de ses acolytes de V2
Vous ne parelz pas à travers votre chapeau, chère amie...
J'ai relevé les références, en rouge celles qui ne remontent pas à l'AFC..
[1] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 22: AAS 59 (1967), 268; La Documentation catholique (par la suite: DC ) 64 (1967) col. 682; cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 69, §1.
[2] Paul VI, Allocution de la messe pour la Journée du développement, Bogota, 23 août 1968: AAS 60 (1968) pp. 626-627; DC 65 (1968) col. 1547.
[3] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de prière pour la Paix 2002: AAS 94 (2002), 132-140; DC 99 (2002) pp. 4-8.
[4] Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. Past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 26.
[5] Cf. Jean XXIII, Lett. enc. Pacem in terris (11 avril 1963), nn. 68-70: AAS 55 (1963), 268-270; DC 60 (1963) col. 525-526.
[6] Cf. n. 16: loc. cit., 265; DC 64 (1967) col. 680.
[7] Cf. ibid., n. 82: loc. cit., 297; DC 64 (1967) col. 701.
[8] Ibid., n. 42: loc. cit., 278; DC 64 (1967) col. 689.
[9] Ibid., n. 20: loc. cit., 267; DC 64 (1967) col. 681.
[10] Cf. Conc. œcum. Vat. II; Const. Past sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n.36; Paul VI, Lett. apost. Octogesima adveniens (14 mai 1971), n. 4: AAS 63 (1971), 403-404; DC 68 (1971) pp. 502-503; Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 43: AAS 83 (1991), 847; DC 88 (1991) p. 540.
[11] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 13: loc. cit., 263-264; DC 64 (1967) col. 679.
[12] Cf. Conseil pontifical pour la Justice et la Paix, Compendium de la Doctrine Sociale de l’Église, n. 76.
[13] Cf. Benoît XVI, Discours d’inauguration de la Ve Conférence générale de l’Épiscopat d’Amérique latine et des Caraibes, Aparecida 13 mai 2007; DC 104 (2007) pp. 532-541.
[14] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), nn. 3.4.5: loc. cit., 258-260; DC 64 (1967) col. 675-676.
[15] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), nn. 6.7: AAS 80 (1988), 517-519; DC 85 (1988) p. 235.
[16] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 14: loc. cit., 264; DC 64 (1967) col. 679.
[17] Benoît XVI, Lett. enc. Deus caritas est (25 décembre 2005), n 18: AAS 98 (2006), 232; DC 103 (2006) p. 175.
[18] Ibid., n. 6: loc. cit., 222; DC, ibid. p. 169.
[19] Cf. Benoît XVI, Discours à la Curie Romaine pour la présentation des vœux de Noël; L’Osservatore Romano en langue française (par la suite: Oss. Rom. fr.) n. 52 (2005) pp. 3-5.
[20] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 3: loc. cit., 515; DC 85 (1988) p. 234.
[21] Cf. ibid. n. 1: loc. cit. , 513-514; DC 85 (1988) p. 234.
[22] Cf. ibid. n. 3: loc. cit., 515; DC 85 (1988) p. 234.
[23] Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 3: AAS 73 (1981), 583-584; DC 78 (1981) p. 837.
[24] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 3: loc. cit., 794-796; DC 88 (1991) pp. 518-519.
[25] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 3: loc. cit., 258; DC 64 (1967) col. 675.
[26] Cf. ibid., n. 34: loc. cit., 274 ; DC 64 (1967) col. 686.
[27] Cf. nn. 8-9: AAS 60 (1968), 485-487; DC 65 (1968) col. 1445-1446; Benoît XVI, Audience au Congrès International organisé à l’occasion du 40e anniversaire d’Humanæ vitæ, 10 mai 2008; Oss. Rom. fr. n. 20 (2008) p. 5.
[28] Cf. Lett. enc. Evangelium vitæ (25 mars 1995), n. 93: AAS 87 (1995), 507-508; DC 92 (1995) pp. 397-398.
[29] Cf. ibid., n. 101: loc. cit., 516-518; DC 92 (1995) p. 401-402.
[30] n. 29: AAS 68 (1976), 25; DC 73 (1976) p. 6.
[31] Ibid., n. 31: loc. cit., 26; DC 73 (1976) p. 6.
[32] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 41: loc. cit., 570-572; DC 85 (1988) p. 251.
[33] Cf. ibid.; Idem, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), nn. 5.54: loc. cit., 799.859-860; DC 88 (1991) pp. 520-521, 545-546.
[34] N. 15: loc. cit., 265; DC 64 (1967) col. 679.
[35] Cf. ibid., n. 2; DC 64 (1967) col. 675; Léon XIII, Lett. enc. Rerum novarum (15 mai 1891), n. 1: Leonis XIII P.M. Acta, XI, Romæ 1892, 97; Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 8: loc. cit., 519-520; DC 85 (1988) pp. 235-236; Idem., Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 5: loc. cit., 799; DC 88 (1991) pp. 520-521.
[36] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), nn. 2. 13; DC 64 (1967) col. 675. 679.
[37] Ibid., n. 42: loc. cit., 278; DC 64 (1967) col. 689.
[38] Ibid., n. 11; DC 64 (1967) col. 678 ; cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 25: loc. cit., 822-824; DC 88 (1991) pp. 230-231.
[39] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 15: loc. cit., 265; DC 64 (1967) col. 679.
[40] Ibid., n. 3: loc. cit., 258; DC 64 (1967) col. 675.
[41] Ibid., n. 6: loc. cit., 260; DC 64 (1967) col. 676.
[42] Ibid., n. 14: loc. cit., 264; DC 64 (1967) col. 679.
[43] Ibid.; cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), nn. 53-62: loc. cit., 859-867; DC 88 (1991) pp. 545-548; Idem, Lett. enc. Redemptor hominis (4 mars 1979), n. 13-14: AAS 71 (1979), 282-286; DC 76 (1979) pp. 308-309.
[44] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 12: loc. cit., 262-263; DC 64 (1967) col. 678.
[45] Conc. œcum. Vat. II, Const. past sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 22.
[46] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 13: loc. cit., 263-264; DC 64 (1967) col. 679.
[47] Cf. Benoît XVI, Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006, Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) p. 3-4.
[48] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 16: loc. cit., 265 ; DC 64 (1967) col. 680.
[49] Ibid.
[50] Benoît XVI, Discours aux jeunes, Sydney 17 juillet 2008; DC 105 (2008) p. 778.
[51] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 20: loc. cit., 267; DC 64 (1967) col. 681.
[52] Ibid., n. 66: loc. cit., 289-290; DC 64 (1967) col. 696.
[53] Ibid., n. 21: loc. cit., 267-268; DC 64 (1967) col. 681.
[54] Cf. nn. 3.29.32: loc. cit., 258.272.273; DC 64 (1967) col. 675. 684-685.
[55] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 28: loc. cit., 548-550; DC 85 (1988) p. 244.
[56] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 9: loc. cit., 261-262; DC 64 (1967) col. 677.
[57] Cf. Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 20: loc. cit., 536-537; DC 85 (1988) pp. 240-241.
[58] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), passim; DC 88 (1991) pp. 518-550, passim.
[59] Cf. nn. 23.33: loc. cit., 268-269.273-274; DC 64 (1967) col. 682. 685-686.
[60] Cf. loc. cit., 135.
[61] Conc. œcum. Vat. II, Const. past. Sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 63.
[62] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 24: loc. cit., 821-822; DC 88 (1991) p. 431.
[63] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Veritatis splendor (6 août 1993), nn. 33.46.51: AAS 85 (1993), 1160.1169-1171; DC 90 (1993) pp. 913, 917, 918-920; Id., Message à l’Assemblée des Nations-Unies, 5 octobre 1995, 3; DC 92 (1995) p. 918.
[64] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 47: loc. cit., 280-281; DC 64 (1967) col. 690-691; Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 42: loc. cit., 572-574; DC 85 (1988) p. 252.
[65] Cf. Benoît XVI, Message à la FAO pour la Journée mondiale de l’alimentation 2007: AAS 99 (2007), 933-935; DC 105 (2008) pp. 55-56.
[66] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Evangelium vitæ (25 mars 1995), nn. 18.59.63-64: loc. cit.,419-421.467-468.472-475; DC 92 (1995) pp. 359, 381, 383, 384.
[67] Cf. Benoît XVI, Message pour la Journée mondiale de la paix 2007, n. 5; DC 104 (2007) p. 57.
[68] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de la Paix 2002, nn. 4-7,12-15: AAS 94 (2002), 134-136.138-140; DC 99 (2002) pp. 5-6, 7-8; Id., Message pour la Journée mondiale de la Paix 2004, n. 8: AAS 96 (2004), 119; DC 101 (2004) pp. 7; Id., Message pour la Journée mondiale de la Paix 2005, n. 4: AAS 97 (2005), 177-178; DC 102 (2005) p. 5; Benoît XVI, Message pour la Journée mondiale de la Paix 2006, nn. 9-10: AAS 98 (2006), 60-61; DC 103 (2006) pp. 4-5; Id., Message pour la Journée mondiale de la Paix 2007, nn. 5.14: loc. cit., 778, 782-783; DC 104 (2007) pp. 57. 59-60.
[69] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de la Paix 2002, n. 6: loc. cit, 135; DC 99 (2002) pp. 5-6; Benoît XVI, Message pour la Journée mondiale de la Paix 2006, nn. 9-10: loc. cit., 60-61; DC 103 (2006) pp. 4-5.
[70] Cf. Benoît XVI, Homélie pour la messe sur l’Islinger Feld de Ratisbonne, 12 septembre 2006; DC 103 (2006) pp. 921-923.
[71] Cf. Benoît XVI, Lett. enc. Deus caritas est (25 décembre 2005), n. 1: loc. cit., 217-218; DC 103 (2006) p. 166.
[72] Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 2 8: 548-550; DC 85 (1988) p. 244.
[73] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 19: loc. cit., 266-267; DC 64 (1967) col. 681.
[74] Ibid., n. 39: loc. cit., 276-277; DC 64 (1967) col. 688.
[75] Ibid., n. 75: loc. cit., 293-294; DC 64 (1967) col. 699.
[76] Cf. Benoît XVI, Lett. enc. Deus caritas est (25 décembre 2005), n. 28: loc. cit., 238-240; DC 103 (2006) pp. 178-180.
[77] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 59: loc. cit., 864; DC 88 (1991) p. 547.
[78] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), nn. 40.85: loc. cit., 277.298-299; DC 64 (1967) col. 688. 702.
[79] Ibid., n. 13: loc. cit., 263-264; DC 64 (1967) col. 679.
[80] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Fides et ratio (14 septembre 1998), n. 85: AAS 91 (1999), 72-73; DC 104 (1998) p. 932.
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Re: Caritas in veritate
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[81] Cf. Ibid., n. 83: loc. cit., 70-71; DC 104 (1998) p. 931.
[82] Benoît XVI, Discours à l’Université de Ratisbonne, 12 septembre 2006; DC 103 (2006) pp. 924-929.
[83] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 33: loc. cit., 273-274; DC 64 (1967) col. 685.
[84] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de la Paix 2000, n. 15: AAS 92 (2000), 366; DC 97 (2000) pp. 4-5.
[85] Catéchisme de l’Église catholique, n. 407. Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 25: loc. cit., 822-824. DC 88 (1991), pp. 530-531.
[86] Cf. n.17: AAS 99 (2007), 1000. DC 105 (208) p. 22.
[87] Cfr. ibid., n. 23: loc. cit., 1004-1005. DC 105 (2008) pp. 24-25.
[88] Saint Augustin expose de façon détaillée cet enseignement dans le dialogue sur le libre arbitre (De libero arbitrio II 3, 8 ss.). Il indique l’existence dans l’âme humaine d’un « sens interne ». Ce sens consiste en un acte qui se réalise en dehors des fonctions normales de la raison, acte spontané et quasi instinctif, pour lequel la raison, se rendant compte de sa condition éphémère et faillible, admet au-dessus de soi l’existence de quelque chose d’éternel, d’absolument vrai et certain. Le nom que saint Augustin donne à cette vérité intérieure est parfois celui de Dieu (Confessions X, 24, 35; XII, 25, 35; De libero arbitrio II 3, 8, 27), plus souvent celui du Christ (De magistro 11, 38; Confessions VII, 18, 24; XI, 2, 4).
[89] Benoît XVI, Lett. enc. Deus caritas est (25 décembre 2005), n. 3: loc. cit., 219. DC 103 (2006) p. 167.
[90] Cf. n. 49: loc. cit., 281. DC 64 (1967) col. 691.
[91] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 28: loc. cit., 827-828. DC 88 (1991) p. 532.
[92] Cf. n. 35: loc. cit., 836-838. DC 88 (1991) pp. 535-536.
[93] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 38: loc. cit., 565-566. DC 858 (1988) pp. 249-250.
[94] N. 44: loc. cit., 279. DC 64 (1967), col. 690.
[95] Cf. ibid., n. 24: loc. cit., 269. DC 64 (1967) col. 682-683.
[96] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 36: loc. cit., 838-840. DC 88 (1991) pp. 248-249.
[97] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 24: loc. cit., 269. DC 64 (1967) col. 682-683.
[98] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 32: loc. cit., 832-833. DC 88 (1991) pp. 246-247; Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 25: loc. cit., 269-270. DC 64 (1967) col. 683.
[99] Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 24: loc. cit., 637-638. DC 78 (1981) p. 852.
[100] Ibid., n. 15: loc. cit., 616-618. DC 78 (1981) p. 846.
[101] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 27: loc. cit., 271. DC 64 (1967) col. 684.
[102] Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Instruction Libertatis conscientia (22 mars 1987), n. 74: AAS 79 (1987), 587. DC 83 (1986) p. 405.
[103] Cf. Jean-Paul II, Interview au quotidien catholique La Croix, du 20 août 1997.
[104] Jean-Paul II, Discours à l’Académie des Sciences sociales, 27 avril 2001; Oss. Rom. fr. 19 (2001), p. 9.
[105] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 17: loc. cit., 265-266; DC 64 (1967) col. 680.
[106] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2003, n. 5: AAS 95 (2003), 343; DC 85 (2003) p. 6.
[107] Cf. ibid.
[108] Cf. Benoît XVI, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2007, n. 13: loc. cit., 781-782; DC 89 (2007) p. 59.
[109] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 65: loc. cit., 289; DC 64 (1967) col. 674-704.
[110] Cf. ibid. nn. 36.37: loc. cit., 275-276; DC 64 (1967) col. 687.
[111] Cf. ibid. n. 37: loc. cit., 275-276; DC 64 (1967) col. 687.
[112] Cf. Conc. œcum. Vat. II, Décr. Apostolicam actuositatem, n. 11.
[113] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 14: loc. cit., 264; Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 32: loc. cit., 832-833; DC 88 (1991) p. 534.
[114] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967) n 77: loc. cit., 295; DC 64 (1967) p. 700.
[115] Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1990, n. 6: AAS 82 (1990), 150; DC 89 (1990) p. 10.
[116] Héraclite d’Ephèse (Ephèse 535 av. J-C environ – 475 av. J-C environ), Fragment 22B124, en H. Diels e W. Kranz, Die Fragmente der Vorsokratiker, Weidmann, Berlin 19526.
[117] Cf. Conseil Pontifical pour la Justice et la Paix, Compendium de la Doctrine Sociale de l’Église, nn. 451-487.
[118] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1990, n. 10: loc. cit., 152-153; DC 89 (1990) p. 11.
[119] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 65: loc. cit., 289; DC 64 (1967) col. 696.
[120] Benoît XVI, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2008, n. 7: AAS 100 (2008), 41; DC 105 (2008) p. 4.
[121] Cf. Benoît XVI, Discours aux membres de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies, New York, 18 avril 2008; DC 105 (2008) pp. 533-537.
[122] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1990, n. 13: loc. cit., 154-155; DC 97 (1990) pp. 11-12.
[123] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 36: loc. cit., 36; DC 88 (1991) pp. 536-537.
[124] Ibid. n. 38: loc. cit., 840-841; DC 88 (1991) pp. 537-538; Benoît XVI, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2007, n.8: loc. cit., 779; DC 104 (2007) pp. 57-58.
[125] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 41: loc. cit., 843-845; DC 88 (1991) pp. 538-539.
[126] Cf. ibid.
[127] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Evangelium vitæ (25 mars 1995), n. 20: loc. cit., 422-424; DC 92 (1995) p. 360.
[128] Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 85: loc. cit., 298-299; DC 64 (1967) p. 702.
[129] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1998, n. 3: AAS 90 (1998), 150; DC 95 (1998) pp. 2-3; Id., Discours aux membres de la Fondation Centesimus annus pro Pontefice, 9 mai 1998, n. 2; Oss. Rom. fr. n. 20 (1998) p. 2; Id., Discours aux Autorités et au Corps diplomatique, Vienne, 20 juin 1998, n. 8; DC 95 (1998) p. 689 ; Id., Message au Recteur de l’Université catholique du Sacré-Cœur, 5 mai 2000, n. 6; Insegnamenti di Giovanni Paolo II XXIII, 1 (2000), 759-760.
[130] Selon saint Thomas « ratio partis contrariatur rationi personae » in III Sent. D. 5, 3, 2; et aussi « Homo non ordinatur ad communitatem politicam secundum se totum et secundum omnia sua » in Summa Theologiae I-II, q. 21, a. 4, ad 3um.
[131] Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. dogm. sur l’Église Lumen gentium, n.1.
[132] Cf. Jean-Paul II, Discours à la VIe séance publique des Académies Pontificales, 8 novembre 2001, n. 3; Oss. Rom. fr. n. 47 (2001) p. 6.
[133] Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Déclaration Dominus Jesus (6 août 2000), n. 22: AAS 92 (2000), 763-764; DC 97 (2000) p. 820; Id., Note doctrinale à propos de questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique (24 novembre 2002), n. 8; DC 100 (2003) p. 136.
[134] Benoît XVI, Lett. enc. Spe salvi (30 novembre 2007), n. 31: loc. cit., 1010; DC 105 (2008) p.28; Id. Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006; Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) pp. 3-5.
[135] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 5: loc. cit., 798-800; DC 88 (1991) p. 521; Benoît XVI, Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006; Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) pp. 3-5.
[136] N. 12.
[137] Cf. Pie XI, Lett. enc. Quadragesimo anno (15 mai 1931): AAS 23 (1931) 203; Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 48: loc. cit., 852-854; DC 88 (1991) p. 543; cf. Catéchisme de l’Église catholique, n.1883.
[138] Cf. Jean XXIII, Lett. enc. Pacem in terris (11 avril 1963), n. 74: loc. cit., 274; DC 60 (1963) col. 526-527.
[139] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), nn. 10.41: loc. cit., 262.277-278; DC 64 (1967) col. 677-678. 688-689.
[140] Cf. Benoît XVI, Discours aux membres de la Commission théologique internationale, 5 octobre 2007; DC 104 (2007) pp. 1084-1086 ; Id., Discours au Congrès international sur la loi naturelle, Université pontificale du Latran, 12 février 2007; DC 104 (2007) pp. 354-356.
[141] Cf. Benoît XVI, Discours aux évêques de Thaïlande en visite ad limina, 16 mai 2008; DC 105 (2008) p. 652. Oss. Rom. fr. n. 22 (2008) p. 10.
[142] Cf. Conseil pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en déplacement, Instruction Erga migrantes caritas Christi, 3 mai 2004: AAS 96 (2004), 762-822; DC 101 (2004) p. 658-692.
[143] Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 8: loc. cit., 594-598; DC 78 (1981) p. 840.
[144] Jean-Paul II, Jubilé des Travailleurs, Discours au terme de la concélébration eucharistique; DC 97 (2000) p. 455.
[145] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 36: loc. cit., 838-840; DC 88 (1991) p. 536.
[146] Cf. Benoît XVI, Discours aux membres de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies, New York, 18 avril 2008; DC 105 (2008) pp. 533-537.
[147] Cf. Jean XXIII, Lett. enc. Pacem in terris (11 avril 1963): loc. cit., 293; DC 60 (1963) col. 526-527; Conseil pontifical pour la Justice et la Paix, Compendium de la Doctrine Sociale de l’Église, n. 441.
[148] Cf. Conc. Œcum. Vat. II, Const. Past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 82.
[149] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 43: loc. cit., 574-575; DC 85 (1988) pp. 252-253.
[150] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 41: loc. cit., 277-278; DC 64 (1967) col. 688; cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 57, § 4.
[151] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 5: loc. cit., 586-589; DC 78 (1981) p. 838.
[152] Cf. PaulVI, Lett. ap. Octogesima adveniens (14 mai 1971), n. 29: loc. cit., 420; DC 68 (1971) p. 508.
[153] Cf. Benoît XVI, Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006; Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) pp. 3-5 ; Id. Homélie pour la messe sur l’Islinger Feld de Ratisbonne, 12 septembre 2006, 12 septembre 2006; DC 103 (2006) pp. 921-923.
[154] Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Instruction Dignitas personae sur quelques questions de bioéthique (8 septembre 2008): AAS 100 (2008), 858-887; DC 104 (2009) pp. 23-38.
[155] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 3: loc. cit., 258. DC 64 (1967) col. 675.
[156] Conc. œcum. Vat. II, Const. past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 14.
[157] Cf. n. 42: loc. cit., 278; DC 64 (1967) col. 689.
[158] Cf. Benoît XVI, Lett. enc. Spe salvi (30 novembre 2007), n. 35: loc. cit., 1013-1014; DC 105 (2008) pp. 29-30.
[159] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 42: loc. cit., 278; DC 64 (1967) col. 689.
[81] Cf. Ibid., n. 83: loc. cit., 70-71; DC 104 (1998) p. 931.
[82] Benoît XVI, Discours à l’Université de Ratisbonne, 12 septembre 2006; DC 103 (2006) pp. 924-929.
[83] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 33: loc. cit., 273-274; DC 64 (1967) col. 685.
[84] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de la Paix 2000, n. 15: AAS 92 (2000), 366; DC 97 (2000) pp. 4-5.
[85] Catéchisme de l’Église catholique, n. 407. Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 25: loc. cit., 822-824. DC 88 (1991), pp. 530-531.
[86] Cf. n.17: AAS 99 (2007), 1000. DC 105 (208) p. 22.
[87] Cfr. ibid., n. 23: loc. cit., 1004-1005. DC 105 (2008) pp. 24-25.
[88] Saint Augustin expose de façon détaillée cet enseignement dans le dialogue sur le libre arbitre (De libero arbitrio II 3, 8 ss.). Il indique l’existence dans l’âme humaine d’un « sens interne ». Ce sens consiste en un acte qui se réalise en dehors des fonctions normales de la raison, acte spontané et quasi instinctif, pour lequel la raison, se rendant compte de sa condition éphémère et faillible, admet au-dessus de soi l’existence de quelque chose d’éternel, d’absolument vrai et certain. Le nom que saint Augustin donne à cette vérité intérieure est parfois celui de Dieu (Confessions X, 24, 35; XII, 25, 35; De libero arbitrio II 3, 8, 27), plus souvent celui du Christ (De magistro 11, 38; Confessions VII, 18, 24; XI, 2, 4).
[89] Benoît XVI, Lett. enc. Deus caritas est (25 décembre 2005), n. 3: loc. cit., 219. DC 103 (2006) p. 167.
[90] Cf. n. 49: loc. cit., 281. DC 64 (1967) col. 691.
[91] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 28: loc. cit., 827-828. DC 88 (1991) p. 532.
[92] Cf. n. 35: loc. cit., 836-838. DC 88 (1991) pp. 535-536.
[93] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 38: loc. cit., 565-566. DC 858 (1988) pp. 249-250.
[94] N. 44: loc. cit., 279. DC 64 (1967), col. 690.
[95] Cf. ibid., n. 24: loc. cit., 269. DC 64 (1967) col. 682-683.
[96] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 36: loc. cit., 838-840. DC 88 (1991) pp. 248-249.
[97] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 24: loc. cit., 269. DC 64 (1967) col. 682-683.
[98] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 32: loc. cit., 832-833. DC 88 (1991) pp. 246-247; Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 25: loc. cit., 269-270. DC 64 (1967) col. 683.
[99] Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 24: loc. cit., 637-638. DC 78 (1981) p. 852.
[100] Ibid., n. 15: loc. cit., 616-618. DC 78 (1981) p. 846.
[101] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 27: loc. cit., 271. DC 64 (1967) col. 684.
[102] Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Instruction Libertatis conscientia (22 mars 1987), n. 74: AAS 79 (1987), 587. DC 83 (1986) p. 405.
[103] Cf. Jean-Paul II, Interview au quotidien catholique La Croix, du 20 août 1997.
[104] Jean-Paul II, Discours à l’Académie des Sciences sociales, 27 avril 2001; Oss. Rom. fr. 19 (2001), p. 9.
[105] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 17: loc. cit., 265-266; DC 64 (1967) col. 680.
[106] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2003, n. 5: AAS 95 (2003), 343; DC 85 (2003) p. 6.
[107] Cf. ibid.
[108] Cf. Benoît XVI, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2007, n. 13: loc. cit., 781-782; DC 89 (2007) p. 59.
[109] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 65: loc. cit., 289; DC 64 (1967) col. 674-704.
[110] Cf. ibid. nn. 36.37: loc. cit., 275-276; DC 64 (1967) col. 687.
[111] Cf. ibid. n. 37: loc. cit., 275-276; DC 64 (1967) col. 687.
[112] Cf. Conc. œcum. Vat. II, Décr. Apostolicam actuositatem, n. 11.
[113] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 14: loc. cit., 264; Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 32: loc. cit., 832-833; DC 88 (1991) p. 534.
[114] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967) n 77: loc. cit., 295; DC 64 (1967) p. 700.
[115] Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1990, n. 6: AAS 82 (1990), 150; DC 89 (1990) p. 10.
[116] Héraclite d’Ephèse (Ephèse 535 av. J-C environ – 475 av. J-C environ), Fragment 22B124, en H. Diels e W. Kranz, Die Fragmente der Vorsokratiker, Weidmann, Berlin 19526.
[117] Cf. Conseil Pontifical pour la Justice et la Paix, Compendium de la Doctrine Sociale de l’Église, nn. 451-487.
[118] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1990, n. 10: loc. cit., 152-153; DC 89 (1990) p. 11.
[119] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 65: loc. cit., 289; DC 64 (1967) col. 696.
[120] Benoît XVI, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2008, n. 7: AAS 100 (2008), 41; DC 105 (2008) p. 4.
[121] Cf. Benoît XVI, Discours aux membres de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies, New York, 18 avril 2008; DC 105 (2008) pp. 533-537.
[122] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1990, n. 13: loc. cit., 154-155; DC 97 (1990) pp. 11-12.
[123] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 36: loc. cit., 36; DC 88 (1991) pp. 536-537.
[124] Ibid. n. 38: loc. cit., 840-841; DC 88 (1991) pp. 537-538; Benoît XVI, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 2007, n.8: loc. cit., 779; DC 104 (2007) pp. 57-58.
[125] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 41: loc. cit., 843-845; DC 88 (1991) pp. 538-539.
[126] Cf. ibid.
[127] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Evangelium vitæ (25 mars 1995), n. 20: loc. cit., 422-424; DC 92 (1995) p. 360.
[128] Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 85: loc. cit., 298-299; DC 64 (1967) p. 702.
[129] Cf. Jean-Paul II, Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1998, n. 3: AAS 90 (1998), 150; DC 95 (1998) pp. 2-3; Id., Discours aux membres de la Fondation Centesimus annus pro Pontefice, 9 mai 1998, n. 2; Oss. Rom. fr. n. 20 (1998) p. 2; Id., Discours aux Autorités et au Corps diplomatique, Vienne, 20 juin 1998, n. 8; DC 95 (1998) p. 689 ; Id., Message au Recteur de l’Université catholique du Sacré-Cœur, 5 mai 2000, n. 6; Insegnamenti di Giovanni Paolo II XXIII, 1 (2000), 759-760.
[130] Selon saint Thomas « ratio partis contrariatur rationi personae » in III Sent. D. 5, 3, 2; et aussi « Homo non ordinatur ad communitatem politicam secundum se totum et secundum omnia sua » in Summa Theologiae I-II, q. 21, a. 4, ad 3um.
[131] Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. dogm. sur l’Église Lumen gentium, n.1.
[132] Cf. Jean-Paul II, Discours à la VIe séance publique des Académies Pontificales, 8 novembre 2001, n. 3; Oss. Rom. fr. n. 47 (2001) p. 6.
[133] Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Déclaration Dominus Jesus (6 août 2000), n. 22: AAS 92 (2000), 763-764; DC 97 (2000) p. 820; Id., Note doctrinale à propos de questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique (24 novembre 2002), n. 8; DC 100 (2003) p. 136.
[134] Benoît XVI, Lett. enc. Spe salvi (30 novembre 2007), n. 31: loc. cit., 1010; DC 105 (2008) p.28; Id. Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006; Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) pp. 3-5.
[135] Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 5: loc. cit., 798-800; DC 88 (1991) p. 521; Benoît XVI, Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006; Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) pp. 3-5.
[136] N. 12.
[137] Cf. Pie XI, Lett. enc. Quadragesimo anno (15 mai 1931): AAS 23 (1931) 203; Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 48: loc. cit., 852-854; DC 88 (1991) p. 543; cf. Catéchisme de l’Église catholique, n.1883.
[138] Cf. Jean XXIII, Lett. enc. Pacem in terris (11 avril 1963), n. 74: loc. cit., 274; DC 60 (1963) col. 526-527.
[139] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), nn. 10.41: loc. cit., 262.277-278; DC 64 (1967) col. 677-678. 688-689.
[140] Cf. Benoît XVI, Discours aux membres de la Commission théologique internationale, 5 octobre 2007; DC 104 (2007) pp. 1084-1086 ; Id., Discours au Congrès international sur la loi naturelle, Université pontificale du Latran, 12 février 2007; DC 104 (2007) pp. 354-356.
[141] Cf. Benoît XVI, Discours aux évêques de Thaïlande en visite ad limina, 16 mai 2008; DC 105 (2008) p. 652. Oss. Rom. fr. n. 22 (2008) p. 10.
[142] Cf. Conseil pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en déplacement, Instruction Erga migrantes caritas Christi, 3 mai 2004: AAS 96 (2004), 762-822; DC 101 (2004) p. 658-692.
[143] Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 8: loc. cit., 594-598; DC 78 (1981) p. 840.
[144] Jean-Paul II, Jubilé des Travailleurs, Discours au terme de la concélébration eucharistique; DC 97 (2000) p. 455.
[145] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Centesimus annus (1er mai 1991), n. 36: loc. cit., 838-840; DC 88 (1991) p. 536.
[146] Cf. Benoît XVI, Discours aux membres de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies, New York, 18 avril 2008; DC 105 (2008) pp. 533-537.
[147] Cf. Jean XXIII, Lett. enc. Pacem in terris (11 avril 1963): loc. cit., 293; DC 60 (1963) col. 526-527; Conseil pontifical pour la Justice et la Paix, Compendium de la Doctrine Sociale de l’Église, n. 441.
[148] Cf. Conc. Œcum. Vat. II, Const. Past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 82.
[149] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Sollicitudo rei socialis (30 décembre 1987), n. 43: loc. cit., 574-575; DC 85 (1988) pp. 252-253.
[150] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 41: loc. cit., 277-278; DC 64 (1967) col. 688; cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 57, § 4.
[151] Cf. Jean-Paul II, Lett. enc. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 5: loc. cit., 586-589; DC 78 (1981) p. 838.
[152] Cf. PaulVI, Lett. ap. Octogesima adveniens (14 mai 1971), n. 29: loc. cit., 420; DC 68 (1971) p. 508.
[153] Cf. Benoît XVI, Discours aux participants du IVe Congrès ecclésial national italien, Vérone, 19 octobre 2006; Oss. Rom. fr. n. 43 (2006) pp. 3-5 ; Id. Homélie pour la messe sur l’Islinger Feld de Ratisbonne, 12 septembre 2006, 12 septembre 2006; DC 103 (2006) pp. 921-923.
[154] Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Instruction Dignitas personae sur quelques questions de bioéthique (8 septembre 2008): AAS 100 (2008), 858-887; DC 104 (2009) pp. 23-38.
[155] Cf. Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 3: loc. cit., 258. DC 64 (1967) col. 675.
[156] Conc. œcum. Vat. II, Const. past. sur l’Église dans le monde de ce temps Gaudium et Spes, n. 14.
[157] Cf. n. 42: loc. cit., 278; DC 64 (1967) col. 689.
[158] Cf. Benoît XVI, Lett. enc. Spe salvi (30 novembre 2007), n. 35: loc. cit., 1013-1014; DC 105 (2008) pp. 29-30.
[159] Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 42: loc. cit., 278; DC 64 (1967) col. 689.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Caritas in veritate
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Et même dans les 5 références catholiques, seulement deux sont assez faciles à vérifier(celles de Léon XIII et Pie IX); il est beaucoup plus
difficile de le faire en ce qui concerne les 3 autres...
Et même dans les 5 références catholiques, seulement deux sont assez faciles à vérifier(celles de Léon XIII et Pie IX); il est beaucoup plus
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ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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