Le mystérieux escalier

Fin

Saint Joseph, priez pour nous

Quel grand dommage que ce lieu soit profané!

Saint Joseph, priez pour nous!

.

Très bonne idée de nous avoir rapporté ce miracle en images... Saint Joseph en est l'édificateur, je n'en doute pas une seconde. Ce

saint lieu est profané, je n'en doute pas une seconde non plus...

ROBERT. a écrit:.

Très mystérieux escalier en effet.... Pour les pèlerinages on ne les fait que dans notre cœur...

.. ou dans notre cour;

..Les garde-fous ont été rajoutés plus tard ..à ce que j'ai lu ailleurs.

ROBERT. a écrit:

Laissons Dieu faire la cour à notre cœur...dans ce cas, pas besoin de garde-fous...

..et faisons de son sacré Coeur notre propre Cour, et nous serons sages de sa Sagesse même; ainsi nous serons des fous, mais des fous de Dieu, du Christ-Jésus...comme saint joseph le fut et qu'il l'est maintenant et à jamais dans les Jubés éternels ..Jubés que d'ailleurs Jacob, en songe, a dû, j'imagine, entrevoir quelque peu quand il y vit descendre et remonter des anges.

Je crois que la Croix, le chemin de la croix, la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Jésus-christ lui-même, que c'est ça l'Échelle de Jacob, l'Escalier que par la grâce de Dieu l'on doit gravir si l'on veut par une sainte violence, ravir le Ciel.

Faisons de notre Rosaire, - ou du moins dans certaines circonstance, du seul grain que peut-être l'on sera capable de dire, - le garde-fou ( Celui-là nous vient du Ciel ) pour s'y maintenir fidèlement, et héroïquement arriver là où ravis dans l'Amour de Dieu, l'on pourra avec le Choeur des Anges et de tous les Saints, chanter à sa gloire les Hymnes éternels.

Le Rosaire !? ..en fait on peut dire que c'est ça aussi d'une certaine façon, qui est cette échelle, cet escalier pour monter au ciel; car qu'est-ce que c'est, qu'est-ce qui en fait l'objet sinon l'Incarnation, la vie, la Passion, la Mort et la Résurection de Notre-Seigneur Jésus-Christ, en passant par sa Très sainte Mère; et en employant les plus simples et les plus belles prières chrétiennes qui soient.

Si les protestants et bien d'autres soit-disant religions, ne comprennent pas cela, c'est que tout simplement leur " religion " , toutes ces soit-disant religions ne viennent pas du bon Dieu mais du diable. D'ailleurs il n'y a qu'une seule Religion.

En passant, ce faux oecuminisme proné et mis en pratique par et depuis vatican II, il a raison de reconnaître que toutes les religions, je veux dire toutes les soit-disant religions, ont le même dieu, puisque ce même dieu c'est le diable. Le blasphème, le sacrilège surtout vient que le modernisme prétent assimiler LA vraie Religion, la seule digne de ce nom, l'Église Catholique et Apostholique, à cette sauce mortelle; quoiqu'en pratique ils ( de paul 6 à benoit 16 et compagnie ) la mettent non seulement de coté mais la calomnient, l'insultent, l'outragent, - mettez tout ce qu'on peut y dire -, pour espérer la faire disparaître et à jamais. Mais ils se mettent un gros doigt dans l'oeil et jusqu'au coude : Notre-Seigneur Jésus-Christ a vaincu la mort, le monde et le démon.



pal pal, jâz jâz ... il faut que je retoune au travail.

..excusez la digression.

Très belle disgression Roger.

Ce genre de disgression je pourrais en lire tous les jours.

Je me suis demandée quelle différence il y avait entre les mots: digression et disgression


Voici ce que j'ai trouvée dans l'Office Québécois de la langue française



On utilise parfois à tort le mot disgression pour digression. En effet, la forme disgression n’existe pas et constitue un barbarisme.


Le mot digression vient du latin digressio « action de s’éloigner ». En rhétorique, le mot latin digressio signifie plus précisément « action de s’écarter du sujet ». En français, le nom digression désigne couramment un développement oral ou écrit qui s’écarte du thème principal.



Exemples :



- Dans ses discours, Pierre se lance souvent dans des digressions philosophiques. (et non : disgressions)

- Après avoir fait une longue digression, il est revenu à notre sujet. (et non : disgression)

- J’aime bien cet auteur dont les textes sont toujours ponctués de digressions amusantes sur le genre humain. (et non : disgressions)


L’emploi erroné et très fréquent de disgression pour digression peut s’expliquer par l'influence de mots formés du préfixe dis-, qui indique la séparation, la différence ou le défaut, comme discontinuer, disjoindre, disjoncter, disparaître et disharmonie. Par analogie, on ajoute un s après di- pour rattacher digression à cette série lexicale. Comme le nom digression évoque l’idée d’une séparation d’avec le propos principal, la forme dis- semble s’être imposée dans l’esprit de certains locuteurs. En fait, digression vient du latin digressio, qui vient lui-même de digredi « s’éloigner du sujet » formé justement du préfixe dis- et de gredi « marcher, s’avancer ». Cependant, en latin le s de dis- disparaissait devant la consonne g.

Belle diSgression Monique !