Bergoglio champion du monde de l'hypocrisie (ou bien parti pour le devenir)

Durant le Carême, [l'antipape] veut « réveiller notre conscience endormie »

Faisant du Carême un temps fort du "Jubilé", [l'antipape] François a adressé un message pour qu’il soit l’occasion, y compris pour les plus riches, de se savoir « rien d’autre qu’un pauvre mendiant ».

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http://www.la-croix.com/Religion/Durant-Careme-pape-veut-reveiller-notre-conscience-endormie-2016-01-26-1200735412

Benjamin a écrit:  ...Je suppose qu'il se considère comme "bien réveillé"...

L'antipape Bergoglio dort comme une bûche et il ne s'en aperçoit même pas !

La corruption, péché plus « facile » quand on est au pouvoir

"Homélie" matinale du 29 janvier 2016

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http://fr.zenit.org/articles/la-corruption-peche-plus-facile-quand-on-est-au-pouvoir/

Zénith a écrit:Le pape François met une nouvelle fois en garde contre la corruption, « un péché plus facile pour nous tous qui avons un quelconque pouvoir »

gabrielle a écrit:

Zénith a écrit:Le pape François met une nouvelle fois en garde contre la corruption, « un péché plus facile pour nous tous qui avons un quelconque pouvoir »

Il parle par expérience...

La mondanité spirituelle, un narcissisme chrétien

Comprise comme la recherche de soi, cette attitude est le principal péril de [la secte], selon [l'antipape] François. Le Carême est l’occasion de lutter contre cette tentation.

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http://www.la-croix.com/Religion/Religion-et-spiritualite/La-mondanite-spirituelle-narcissisme-chretien-2016-02-01-1200736716

D’homélies en exhortations, il ne cesse de mettre en garde contre ce qu’il appelle un « cancer », une « lèpre », un « ver rongeur qui détruit lentement », une menace « plus dangereuse, car plus subtile, que l’apostasie ».

La centralité de cette notion étonne d’autant plus qu’elle n’appartient pas au vocabulaire traditionnel de l’Église. Si le pape en attribue l’origine au cardinal Henri de Lubac qui, dans Méditation sur l’Église (1953), en parle comme du « plus grand péril », le père de l’expression est en fait Dom Anschaire Vonier, l’abbé d’un monastère bénédictin anglais (2). Ce dernier précise que le sens qu’il donne à l’expression ne correspond pas à ce « qu’on entend généralement ».

gabrielle a écrit:

D’homélies en exhortations, il ne cesse de mettre en garde contre ce qu’il appelle un « cancer », une « lèpre », un « ver rongeur qui détruit lentement », une menace « plus dangereuse, car plus subtile, que l’apostasie ».

La centralité de cette notion étonne d’autant plus qu’elle n’appartient pas au vocabulaire traditionnel de l’Église. Si le pape en attribue l’origine au cardinal Henri de Lubac qui, dans Méditation sur l’Église (1953), en parle comme du « plus grand péril », le père de l’expression est en fait Dom Anschaire Vonier, l’abbé d’un monastère bénédictin anglais (2). Ce dernier précise que le sens qu’il donne à l’expression ne correspond pas à ce « qu’on entend généralement ».

Faut croire que Bergoglio  qui a sauté les deux pieds dans l'apostasie... va avoir du mal a reconnaître la mondanité spirituelle.

ROBERT. a écrit:

gabrielle a écrit:

D’homélies en exhortations, il ne cesse de mettre en garde contre ce qu’il appelle un « cancer », une « lèpre », un « ver rongeur qui détruit lentement », une menace « plus dangereuse, car plus subtile, que l’apostasie ».

La centralité de cette notion étonne d’autant plus qu’elle n’appartient pas au vocabulaire traditionnel de l’Église. Si le pape en attribue l’origine au cardinal Henri de Lubac qui, dans Méditation sur l’Église (1953), en parle comme du « plus grand péril », le père de l’expression est en fait Dom Anschaire Vonier, l’abbé d’un monastère bénédictin anglais (2). Ce dernier précise que le sens qu’il donne à l’expression ne correspond pas à ce « qu’on entend généralement ».

Faut croire que Bergoglio  qui a sauté les deux pieds dans l'apostasie... va avoir du mal a reconnaître la mondanité spirituelle.

Henri de Lubac: La référence pour le moderno apostat accompli qu'est l'antipape Bergoglio.

1946-1960 : l'affaire de la « nouvelle théologie » et les années silencieuses

En 1946 paraît Surnaturel. Études historiques, qui fait scandale. Il est alors soupçonné par le Saint Office de modernisme. L'encyclique Humani Generis de 1950 semblant le viser directement, il est interdit d'enseignement par le général des jésuites3, et ses livres sont retirés des écoles et instituts de formation. Tout ceci, sans qu'il puisse jamais se défendre officiellement. Il est contraint de quitter Lyon pour Paris où il continuera d'écrire.

1960-1991 : de la lente réhabilitation au cardinalat

Ce n'est qu'en 1958 qu'il est autorisé à reprendre ses cours. Il s'intéresse à l'exégèse médiévale, en particulier la théorie des quatre sens. La même année, il est élu à l'Académie des sciences morales et politiques. En 1960, il est nommé par Jean XXIII consultant (peritus) de la Commission théologique préparatoire à Vatican II. La véritable réhabilitation commence avec sa nomination en tant qu'expert du concile4. Il devient alors un théologien écouté et respecté, même s'il peine à trouver sa place dans la vaste organisation conciliaire. Son influence sera surtout liée à ses publications des années précédentes5 : Catholicisme en premier lieu, mais surtout Méditation sur l'Eglise (1953). Un livre que le futur pape Paul VI distribuait à son clergé et qui influença nombre des Pères conciliaires.

Signe supplémentaire de reconnaissance : en 1983, sa création comme cardinal avec le titre de cardinal-diacre de Santa Maria in Domnica par Jean-Paul II. Partagé entre la joie et l'inquiétude face à ce qu'il considère comme des « dérives post-conciliaires », il explique sa vision du concile principalement dans Paradoxe et Mystère de l'Église en 1967 et Entretien autour de Vatican II. Souvenirs et réflexions en 1985. Lui-même publia trois commentaires majeurs de constitutions conciliaires : Paradoxe et Mystère de l'Église (sur le document Lumen Gentium) ; Athéisme et sens de l'homme (sur le document Gaudium et Spes) et La Révélation divine (sur le document Dei Verbum).

Il meurt le 4 septembre 1991, à l'âge de 95 ans, après quelques années passées à Paris dans la communauté des Jésuites rue de Grenelle. Il était devenu le cardinal le plus âgé du Sacré Collège à la mort du cardinal letton Julijans Vaivods le 23 mai 1990. C'est l'Italien Ferdinando Giuseppe Antonelli qui lui succède comme cardinal le plus âgé.

Il fit dans sa vie de très nombreuses rencontres dont notamment avec l'abbé Pierre ou encore Jules Monchanin.

Henri de Lubac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Lubac

L'abbé Jules Monchanin (ayant choisi de se faire appeler Swami Paramarubyananda), né le 10 avril 1895 à Fleurie (Rhône), et décédé le 10 octobre 1957 à Paris1,2, était un prêtre catholique, moine et ermite, ardent promoteur du dialogue interreligieux hindou-chrétien.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Monchanin

Roger Boivin a écrit:Henri de Lubac  

En 1946 ...soupçonné par le Saint Office de modernisme.

1960-1991 : de la lente réhabilitation au cardinalat

...Méditation sur l'Eglise (1953). Un livre  [de De Lubac] que le futur [antipape] Paul VI distribuait à son clergé et qui influença nombre des Pères conciliaires.

....Il fit dans sa vie de très nombreuses rencontres dont notamment avec l'abbé Pierre ou encore Jules Monchanin.

Henri de Lubac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Lubac

Roger Boivin a écrit:

L'abbé Jules Monchanin (ayant choisi de se faire appeler Swami Paramarubyananda), né le 10 avril 1895 à Fleurie (Rhône), et décédé le 10 octobre 1957 à Paris1,2, était un prêtre catholique, moine et ermite, ardent promoteur du dialogue interreligieux hindou-chrétien.

Tiens ! On pourrait le "cataloguer" avec  l’intrus Tauran, entre autres.  

Il matche parfaitement avec De Lubac..

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Monchanin

L’humilité, "homélie"

"Messe" du 1er février

2 février 2016 Marina Droujinina [Antipape] François

(...)

http://fr.zenit.org/articles/lunique-voie-pour-lhumilite-est-lhumiliation-homelie/

[L'antipape] François souhaite paix et joie à tous les Français

Télégrammes aux chefs d’Etat des pays survolés

(...)

https://fr.zenit.org/articles/le-pape-francois-souhaite-paix-et-joie-a-tous-les-francais/

Benjamin a écrit:

[L'antipape] François souhaite paix et joie à tous les Français

Je suis sûr, mon cher Benjamin, que vous ne voulez pas de la "paix" et de la "joie" de l'antipape François.

ROBERT. a écrit:

Benjamin a écrit:

[L'antipape] François souhaite paix et joie à tous les Français

Je suis sûr, mon cher Benjamin, que vous ne voulez pas de la "paix" et de la "joie" de l'antipape François.

Benjamin a écrit:  ...Tenez, vous reprendrez bien une cuillère de "migrants", c'est Trudeau qui offre... Oups, excusez, il en a mis partout ; ce qu'il peut être maladroit...

Trudeau, maladroit ?  Il "joue" au maladroit, le roi des "selfies" (2^ième position après l'antipape Bergoglio)

Il faut être très adroit pour jouer au maladroit. Il a de qui tenir. Mister spot lui-même.    Je ne vous donne pas le surnom de son père.    

Benjamin a écrit:

Travail : « Dieu demandera des comptes aux ‘‘esclavagistes’’ d’aujourd’hui »

Rencontre [de l'antipape] avec entrepreneurs et travailleurs du Mexique

(...)

https://fr.zenit.org/articles/travail-lorsque-le-bien-commun-est-au-service-du-profit-cela-sappelle-lexclusion/

Donc à ses frères aînés.

( source : https://messe.forumactif.org/t6152-bergoglio-sur-twitter-plus-jamais-d-esclaves#126057 )

.. « Dieu demandera des comptes aux ‘‘esclavagistes’’ d’aujourd’hui »

«Dire et ne pas faire, c’est un mensonge», "homélie"

"Messe" du 23 février à Sainte-Marthe

(...)

https://fr.zenit.org/articles/dire-et-ne-pas-faire-cest-un-mensonge-homleie/

«Si tu ne te sens pas pécheur, tu es mal parti», "homélie"

(...)

https://fr.zenit.org/articles/si-tu-ne-te-sens-pas-pecheur-tu-es-mal-parti-homelie/

Benjamin a écrit:

«Si tu ne te sens pas pécheur, tu es mal parti», "homélie"

(...)

https://fr.zenit.org/articles/si-tu-ne-te-sens-pas-pecheur-tu-es-mal-parti-homelie/

« C’est cela l’histoire, l’histoire de cette fidélité manquée, a dit le pape, l’histoire des cœurs fermés, des cœurs qui ne laissent pas entrer la miséricorde de Dieu, qui ont oublié le mot « pardon »