Sous le pape Pie IX, brèche ouverte par où Satan entra dans Rome, la capital chrétienne.
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Sous le pape Pie IX, brèche ouverte par où Satan entra dans Rome, la capital chrétienne.
Dans son livre L'ANGÉLUS AU XIXe SIÈCLE, publié en 1885,
Mgr Gaume, à la page 365 à 368, nous fait le tableau
de la première brèche ouverte par où Satan et ses troupes
ont pu pénétrer dans Rome, la capital chrétienne :
Quelle est la situation actuelle de l'Église ? — Il y avait en Galilée une petite ville appelée Béthulie. Assise au sommet d'une montagne, cette ville était abreuvée par un aqueduc, qui se prolongeait hors des murs. Un jour, Holopherne, généralissime des armées de Nabuchodonosor, roi d'Assyrie, vient assiéger Béthulie, à la tête d'une armée de deux cent mille hommes. En reconnaissant la place, il voit l'aqueduc et ordonne de le couper. Bientôt l'eau manque aux assiégés ; et, sans le miracle que tu connais, Béthulie était prise, brûlée, rasée, et ses habitants ensevelis sous ses ruines.
Béthulie, c'est l'Église au dix-neuvième siècle. Holopherne c'est la Révolution, traînant à sa suite ses innombrables adeptes. Cachant son dessein sous un masque hypocrite, elle porte, il y a quelques années, la guerre en Italie, et marche de victoire en victoire ; mais rien ne la satisfait. Ce n'est ni Milan, ni Florence, ni Parme, ni Modène, ni Venise, ni Naples, ni Palerme qu'elle veut : c'est Rome. Son cri de ralliement, qui dévoile le fond intime de sa pensée, est le mot dont elle fait retentir tous les échos de l'Europe : Rome ou la mort, Borna o morte.
A force de lâchetés, de trahisons, d'ignominies et de monstrueuses iniquités, la Révolution s'empare de la ville des papes. Et qu'y fait-elle ? Il ya dix-huit cent ans, Rome était païenne et la capitale de Satan. Prise par saint Pierre, elle devint chrétienne, et Satan en fut chassé. Depuis cette époque, il n'a cessé de rôder autour de ses murailles, afin de trouver une brèche pour y entrer.
Le 20 septembre 1870, cette brèche fut ouverte, et Satan rentrait en triomphe dans son ancienne capitale. Pour se venger de son expulsion, il donne libre carrière à sa fureur. Il pille, il assassine, il brise tous les signes qui rappelent sa défait et le triomphe du christianisme.
En face du Vatican, d'où sortent les oracles de la vérité, il établit sa chaire de pestilence, d'où il inonde la ville entière de doctrines menteuses, de blasphèmes, d'impiétés et d'obscénités. Sous son inspiration, s'organisent d'ignobles et sacrilèges mascarades. Là, figurent, dans les travertissements les plus honteux, les prêtres, les religieux, les cardinaux, le Vicaire même de N.-S. Jésus-Christ.
Ces troupes de bacchantes échevelées, font retentir les rues de leurs cris sauvages et s'en viennent chanter, jusque sous les fenêtres de l'auguste vieillard : mort au pape : mort à la religion ; avec la tête de Pie IX nous jouerons aux boules.
N'est-ce pas là, mon cher ami, l'abomination de la désolation dans le lieu saint ! Un pareil spectacle, dont aucun siècle chrétien n'avait été témoin, Satan prétend le perpétuer. A la différence des anciens envahisseurs, dont aucun n'avait affiché la prétention de faire de Rome sa capitale, la Révolution déclare hautement un dessein contraire. Pour le réaliser, ses chefs s'installent à Rome tiennent le pape en prison et n'attendent que sa mort, pour s'établir au Vatican. Alors tout sera consommé.
L'ANGÉLUS AU XIXe SIÈCLE - Mgr gaume - 1885 - p. 365 à 368 : http://jesusmarie.free.fr/mgr_gaume_l_angelus.pdf
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Sous le pape Pie IX, brèche ouverte par où Satan entra dans Rome, la capital chrétienne.
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Montini a fait un pas de plus que son maître infernal.
Il est assis à la même place que Saint Pierre.
Tout le monde le prend pour le souverain Pontife.
Alors, commence l’Infâme Trahison, deuxième acte.
Le Diable crie déjà victoire …en attendant l’Antechrist,
troisième et dernier acte de cette parodie sacrilège et macabre.
Alors le deuxième Avènement de Notre-Seigneur Jésus-Christ survient…
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Montini a fait un pas de plus que son maître infernal.
Il est assis à la même place que Saint Pierre.
Tout le monde le prend pour le souverain Pontife.
Alors, commence l’Infâme Trahison, deuxième acte.
Le Diable crie déjà victoire …en attendant l’Antechrist,
troisième et dernier acte de cette parodie sacrilège et macabre.
Alors le deuxième Avènement de Notre-Seigneur Jésus-Christ survient…
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ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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