Un bel exemple de "curé" de la secte...

Namur: l'ancien "curé" menait une double vie


Édouard Kabongo, ancien "curé", a mené une double vie durant 12 ans. Il touchait des aides sociales comme demandeurs d'asile et était père de famille à Malines en plus d'un salaire de "prêtre" à Namur. Il était donc poursuivi pour escroquerie.


Edouard Kabongo, qui a officié comme "curé" dans différentes "paroisses" et notamment à Loyers (province de Namur), a écopé lundi au tribunal correctionnel de Namur d'une peine de travail de 200 heures. Le Congolais était poursuivi pour faux, usage de faux et escroquerie. Le prévenu est "soulagé" et "content" selon son conseil, Me Bernès. L'homme avait utilisé deux noms: Kabongo et Kapenda. Deux noms qu'il expliquait par la tradition orale de coutume dans son pays à sa naissance. Il contestait toutefois avoir utilisé un faux nom, estimant que ces deux identités étaient les siennes. La justice lui reprochait notamment des faux documents concernant sa demande d'asile, un faux passeport, et d'avoir signé sous un faux nom une série d'autres documents: documents bancaires ou relatifs à la mutuelle, fiches de paie, etc, et surtout des documents pour recevoir des allocations au préjudice de plusieurs CPAS.


Pas de confiscations

Le prévenu menait plusieurs vies: père de famille et "curé". Pour le tribunal, certaines préventions ne sont pas établies. Il estime qu'Edouard Kabongo portait bien deux noms. L'homme a toutefois bénéficié d'allocations auxquelles il n'avait pas droit. "Ce qu'on retient aujourd'hui, c'est le fait qu'il a perçu, pour une période limitée, des indemnités alors qu'il était payé comme "prêtre" et qu'il a travaillé comme assistant social aussi", a commenté Me Bernès. Pour rendre son jugement, le tribunal retient notamment l'ancienneté des faits, l'absence d'antécédent du prévenu, et les deux mois de détention préventive subis. Le tribunal estime également qu'il n'y a pas lieu de faire droit aux confiscations.


( source : http://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/1100881/namur-l-ancien-cure-menait-une-double-vie )

INFO NICE-MATIN. Un réseau de prostitution nigériane mis au jour à Nice

Publié le vendredi 24 avril 2015 à 09h13  - 13

Un vaste réseau de prostitution organisé autour d’un "prêtre" officiant au sein de la communauté nigériane azuréenne a été démantelé par la Sûreté départementale des Alpes-Maritimes.

Une quinzaine de personnes dont plusieurs prostituées ont été interpellées ce mardi et placées en garde à vue.

Les cinq responsables présumés de ce réseau en place depuis plus d'un an doivent être présentés ce vendredi au juge d'instruction en charge du dossier.

Il s'agit du "pasteur", d'un complice et trois femmes considérées comme des "mamas", anciennes prostituées montées en grade.

L'argent repartait au Nigéria par deux systèmes. Par les "mamas" qui ponctionnaient une commission à la source et par le système dit de "l’Hawala", qui consiste à envoyer de l'argent par virements.

Une grosse somme d'argent (plus de 20.000 euros) a été saisie.

Les prostituées nigérianes, nombreuses, officient essentiellement dans le quartier Gambetta de Nice.

( source : http://www.nicematin.com/nice/info-nice-matin-un-reseau-de-prostitution-nigeriane-mis-au-jour-a-nice.2188696.html )

Benjamin a écrit: ...De toute façon, conciliaire ou protestant...

Constitutions de Clarendon ( Henri II)

En fait, il fait recueillir ces statuts pour affirmer la juridiction royale sur l'Église et les lois civiles. Une des dispositions porte sur l'impossibilité désormais aux clercs coupables de meurtre d'échapper à la justice royale par un tribunal ecclésiastique institué par Guillaume le Conquérant.

Le roi demande aux évêques d'apposer leur sceau sur ces constitutions et de signer une promesse de les observer. L'archevêque de Cantorbéry Thomas Becket ose seul refuser sa signature. Il doit s’exiler en France en octobre. Le pape Alexandre III condamne dix des seize articles de Clarendon qu'il déclare être contraires aux libertés du clergé.

gabrielle a écrit:Si la secte était l'Église, elle n'autoriserait  pas que des prêtres soient jugés par un tribunal civil, le seul tribunal qui peut juger un prêtre est celui de la Sainte Église.

Mais comme elle n'est qu'une secte alors, c'est politiquement correct de laisser faire les pouvoirs civils, ce qui jette le discrédit sur la Sainte Église qui avaient ses propres tribunaux, pour la Sainte Église cela était une question très importante, car cela fait partie de son indépendance et de sa liberté dans les pays.

[La secte] du Mali dans la tourmente des Swiss Leaks

Antoine d’Abbundo et Nicolas Senèze (à Rome), le 01/06/2017 à 15h30
Mis à jour le 01/06/2017 à 17h30  Envoyer par email

La conférence "épiscopale" du Mali dément les informations du quotidien « Le Monde » faisant état de l’existence de sept comptes bancaires ouverts en Suisse pour un avoir de 12 millions d’euros.

(...)

http://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Monde/LEglise-du-Mali-dans-la-tourmente-des-Swiss-Leaks-2017-06-01-1200851857