2ème dimanche après la Pentecôte

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Homélie de saint Grégoire Pape


Voici la différence, frères très chers, qu'il y a ordinairement entre les jouissances du corps et celles de l'âme. Les jouissances du corps, quand on ne les a point, allument en nous un violent désir ; mais quand on s'en repaît avidement, elles tournent bientôt, chez celui qui en use, en dégoût provoqué par la satiété. Les jouissance spirituelles, au contraire, quand on ne les a point, n'inspirent aucun goût ; mais quand on les a, elles provoquent le désir, et celui qui les goûte les savoure d'autant plus qu'il les goûte davantage. Chez celles-là, le désir plaît, l'usage déplaît ; chez celles-ci, le désir est peu de chose, et l'usage augmente le plaisir. Chez celles-là, le désir engendre la satiété, la satiété le dégoût ; chez celles-ci, au contraire, le désir fait naître la satiété, la satiété le désir.

Cher Arthur,

vous nous donner deux bons exemples à suivre:

Le premier c'est de comprendre les avantages réels que nos actes de vertus nous procurent véritablement ainsi que les faux avantages que le démons nous fait briller pour que l'on pèche comme il a tenté Eve.

Et le second bon exemple que vous nous donnez, c'est de suivre la sainte Liturgie et lire les sermons que des grands saint ou mieux des papes ont composé pour chacun des dimanches de l'année. Or, sans doute, vous avez lu l'homélie de Saint Grégoire le Grand pour le second dimanche de la Pentecôte.

Merci de votre bon exemple et de vos exhortations !

Merci cher Gérard pour vos encouragements.