Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
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Roger Boivin
Benjamin
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Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
En Allemagne, les femmes veulent participer au gouvernement de [la secte]
Les chantiers du G8 (3/4) Dans son entretien aux revues "jésuites", [l'antipape] a reconnu la nécessité de « réfléchir sur la place précise des femmes, aussi là où s’exerce l’autorité » dans [la secte].
En Allemagne, les "évêques" se sont récemment engagés à avancer sur le sujet.
La participation des femmes au gouvernement de [la secte] ? Le sujet est ancien en Allemagne, mais le sentiment général, c’est que « rien ne bouge », avance Klaus Nientiedt, rédacteur en chef de la revue "diocésaine" de Karlsruhe. « Dès les années 1970, le "synode" du "diocèse" de Würzburg (Bavière) a proposé l’ouverture du diaconat aux femmes. Mais ce que le "cardinal" Walter Kasper a proposé devant l’assemblée des "évêques", cet hiver, c’était bien moins que cela, puisqu’il a plaidé uniquement pour la création d’un diaconat féminin différent de celui des hommes ! »
Cette proposition n’a pas été reprise, du reste, dans son discours final par "Mgr" Robert Zollitsch, président de la conférence "épiscopale" et "archevêque" de Fribourg-en-Brisgau. « Nous devons préciser théologiquement ce que signifie gouverner dans [la secte] : qu’est-ce qui est nécessairement lié au "sacrement" de l’ordre, et à l’inverse, quels postes de gouvernement peuvent être confiés à des hommes et à des femmes ? », s’interrogeait-il, tout en affirmant la volonté des évêques « d’augmenter la proportion des femmes occupant des postes de direction ».
« Il y a encore beaucoup à faire »
Dans la pratique, toutefois, la situation a déjà beaucoup évolué. De nombreux postes, autrefois occupés par des prêtres, le sont aujourd’hui par des laïcs. Et au sein des "diocèses", un poste de direction sur cinq est occupé par une femme. Ainsi à Osnabrück (en Basse-Saxe) ou à Rottenburg (Bade-Wurtemberg), des femmes ont des responsabilités au sein de la "curie diocésaine", y compris dans la pastorale. Dès qu’un poste est à pourvoir dans un diocèse, la « responsable » du droit des femmes est consultée, afin de vérifier si l’une d’elles ne serait pas mieux à même de l’occuper… « C’est une question de crédibilité pour "l’évêque" », assure Klaus Nientiedt.
L’exemple de [la secte] luthérienne, avec ses femmes "pasteurs" et même "évêques", n’est sans doute pas sans influence dans ce débat. Tout comme l’engagement de longue date de puissantes associations féminines – la Communauté des femmes [conciliaires] d’Allemagne (KFD), la Ligue des femmes [conciliaires] allemandes (KDFB). Résultat : le sujet est partagé par la majeure partie des [conciliaires] allemands.
« Ces progrès se sont accélérés depuis le lancement du processus de dialogue en 2010. Mais il y a encore beaucoup à faire », confirme Brigitte Vielhaus, directrice du département "Théologie" et "Église" à la KFD. Celle-ci s’est fixé pour objectif de parvenir à ce que « les femmes aient plus d’influence au sein de [la secte]. »
« Beaucoup ont le sentiment que [la secte] n’a pas besoin d’elles »
Professeur de "théologie" à l’université Albert-Ludwig de Fribourg-en-Brisgau, Ursula Nothelle-Wildfeuer a elle aussi « l’impression d’une prise de conscience, depuis 2010, du fait que les femmes ont un rôle important à jouer au sein de [la secte], et pas seulement dans le secteur caritatif ». « Il est également devenu clair, estime-t-elle, que leur implication dans la vie quotidienne des paroisses ne devrait pas dépendre uniquement de la “bonne volonté” du "prêtre". »
Lors de leur assemblée plénière, en février, les "évêques" allemands ont décidé d’augmenter sensiblement, au cours des cinq prochaines années, le nombre de femmes en responsabilité dans [la secte]. « Ils ont pris conscience qu’il y avait plus de marge de manœuvre qu’ils ne pensaient pour renforcer le rôle des femmes », analyse "Sœur" Margareta Gruber, "théologienne" franciscaine.
Du fait de l’existence, en Allemagne, de cours de "religion" à l’école publique, les femmes sont également très nombreuses à s’orienter vers la "théologie" et à l’enseigner à l’université. Avec un même niveau que les "prêtres". Pourtant, Margareta Gruber, qui a réalisé récemment un sondage auprès d’étudiantes en "théologie", affirme que « beaucoup ont le sentiment que [la secte] n’a pas besoin d’elles ».
« J’en ai fait part aux "évêques", qui m’ont écoutée avec attention, assure-t-elle. Depuis des années, l’égalité des sexes est une question centrale dans nos sociétés. Je crois que [la secte] doit participer à ce dialogue. C’est une question d’égalité. »
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/En-Allemagne-les-femmes-veulent-participer-au-gouvernement-de-l-Eglise-2013-10-02-1031356 )
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Ce que les protestants ont de plus que les " conciliaires", c'est qu'eux, les protestants, ne cachent pas qu'ils sont protestants.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit:En Allemagne, les femmes veulent participer au gouvernement de [la secte]...
Les chantiers du G8 (3/4) Dans son entretien aux revues "jésuites", [l'antipape] a reconnu la nécessité de « réfléchir sur la place précise des femmes, aussi là où s’exerce l’autorité » dans [la secte]....
...L’exemple de [la secte] luthérienne, avec ses femmes "pasteurs" et même "évêques", n’est sans doute pas sans influence dans ce débat. ...
...C’est une question d’égalité. »
L’idée fait son petit bonhomme de chemin à la manière que vous avez décrite hier:
Manœuvre classique de conditionnement des esprits, sur ce sujet comme tant d'autres :
- d'abord, Bergoglio laisse entendre un changement avec des petites phrases disitillées dans les médias
- ensuite, les médias donnent la parole à quelques conciliaires qui approuvent ce changement par intérêt personnel (comme si leur avis importait...)
- enfin, on nous fait croire que tout le monde est ainsi d'accord pour changer un point de "doctrine", de "mœurs" ou de "discipline" de la secte, comme si dans la secte ces matières étaient soumises à la "démocratie" (qui n'est qu'une "démocratie" orchestrée pour que le résultat soit garanti d'avance), et comme si la "pression populaire" (supposée ou réelle) justifiait un tel changement...
https://messe.forumactif.org/t5185-bergoglio-et-le-mariage#99509
Si Bergoglio n’est pas plus luthérien que le plus luthérien des luthériens, il le deviendra à coup sûr !!
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
La secte prendra appui sur le fait que les diaconnesses existaient dans l'Église primitive, mais, elles n'avaient aucun pouvoir d'ordre... de pieuses femmes qui faisaient le catéchisme et préparaient les femmes au Baptême.
Le mouvement féministe est en marche et il finira par percer au grand jour dans la secte....
Le mouvement féministe est en marche et il finira par percer au grand jour dans la secte....
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Charche-don, Gabrielle, ils auront peut-être une papesse !
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
gabrielle a écrit:La secte prendra appuie sur le fait que les diaconnesses existaient dans l'Église primitive, mais, elles n'avaient aucun pouvoir d'ordre... de pieuses femmes qui faisaient le catéchisme et préparaient les femmes au Baptême.
Le mouvement féministe est en marche et il finira par percer au grand jour dans la secte....
Vous venez de régler la question par une simple expression : diaconesses existaient... aucun pouvoir d'ordre...
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Quel rapport entre le fait que certains Cardinaux aient été laïcs (tel Teodolfo Mertel), et "l'ouverture" du "cardinalat" (de la secte) aux femmes ???Le Vatican dément une éventuelle création de femmes cardinales
« C’est une absurdité… même si c’est possible théologiquement et théoriquement » : c’est en ces termes que le "P." Federico Lombardi, directeur de la Salle de presse du "Saint-Siège", a réagi aux rumeurs d’une éventuelle création par [l'antipape] François de femmes cardinales lors du consistoire du 22 février 2014.
Depuis que, fin septembre, l’historienne italienne Lucetta Scaraffia, « plume féministe » de L’Osservatore Romano, a interpellé [l'antipape] François sur l’opportunité de créer des femmes cardinales, manière concrète, selon elle, de « conférer de l’autorité et d’augmenter la respectabilité des femmes au sein de [la secte] », la presse internationale se fait insistante sur le sujet, allongeant, de jour en jour, la liste possible des femmes « porporabili ».
Dernier exemple en date, l’hebdomadaire britannique Sunday Time a proposé la candidature de la "théologienne" irlandaise Linda Hogan, qui enseigne au Trinity College de Dublin.
Théoriquement possible
Si les cardinaux étaient à l’origine des prêtres et diacres du diocèse de Rome, auxquels se sont joints ensuite les évêques des diocèses de la banlieue romaine (donnant ainsi naissance aux trois ordres du Sacré Collège, cardinaux-évêques, cardinaux-prêtres et cardinaux-diacres), le cardinalat n’a, dans l’histoire, pas toujours été réservé aux clercs, ce qui pourrait, en toute théorie, permettre la création d’un quatrième ordre de « cardinaux-laïcs » auxquels des femmes pourraient accéder.
En 1586, par la constitution Postquam verus ille réformant le Sacré Collège, le pape Sixte V ne fait pas obligation aux cardinaux d’être clercs, demandant seulement qu’ils aient reçu les ordres mineurs depuis moins d’un an.
Le dernier cardinal laïc fut ainsi l’Italien Teodolfo Mertel (1806-1899), qui exerça plusieurs fonctions au sein de la Curie romaine et fut l’équivalent du ministre de la justice des États pontificaux jusqu’à sa création comme cardinal en mars 1858 par Pie IX. Il fut toutefois ordonné diacre quelques semaines après sa création, mais jamais prêtre.
Du ressort du seul pape
C’est le Code de droit canonique de 1917 qui réserva le cardinalat aux prêtres tandis que, par le [soi-disant] "motu proprio" Cum gravissima du 15 avril 1962, "Jean XXIII" fit obligation aux cardinaux d’être évêques, disposition reprise par le [soi-disant] "Code de droit canonique" de 1983 (canon 351 § 1).
Le pape peut toutefois dispenser certains cardinaux de cette obligation, ce qui est fréquent pour les cardinaux créés après leur quatre-vingtième anniversaire et qui ne participeront jamais à un conclave : ainsi les "cardinaux" Henri de Lubac (1983) ou Yves Congar (1994), ou plus récemment le "cardinal" Domenico Bartolucci créé en 2010.
Ainsi, si la tradition n’interdit pas formellement d’élever des laïcs au cardinalat, cette décision – qui nécessiterait toutefois une modification du Code de droit canonique, toujours adaptable – relève du pape et de lui seul.
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Le-Vatican-dement-une-eventuelle-creation-de-femmes-cardinales-2013-11-05-1056193 )
En quoi le fait que des Cardinaux aient été laïcs, permettrait-il que les Cardinaux soient des femmes ?
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
En quoi une chose possible théologiquement et théoriquement serait-elle une absurdité?Lombardi a écrit: « C’est une absurdité… même si c’est possible théologiquement et théoriquement »
Une absurdité est quelque chose qui ne fait aucun sens, décidément Lombbardi perd les pédales, il en a plein les bras avec son anti-pape...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
gabrielle a écrit:En quoi une chose possible théologiquement et théoriquement serait-elle une absurdité?Lombardi a écrit: « C’est une absurdité… même si c’est possible théologiquement et théoriquement »
Une absurdité est quelque chose qui ne fait aucun sens, décidément Lombbardi perd les pédales, il en a plein les bras avec son anti-pape...
On les connait les astuces machiavéliques des Intrus: Lancement d’un ballon pour sonder les réactions diverses, à savoir: des rumeurs à propos que des femmes pourraient accéder à des postes de cardinaux-laïcs… Lombardi dit que c’est possible…même si c’est absurde !! A ce compte-là, c’est Lombardi qui souffre d’absurdite aigüe…
Étape deuxio de la machine à rumeurs: le lavage des cerveaux se poursuit (se poursuivra) par le battage médiatique (Twitter, facebook, etc)… A remarquer que l’ "absurdité" de Lombardi est devenue chose du passé…
Étape troisio: le triturage des âmes et des cœurs étant rendu à maturité, il ne faudrait pas être surpris outre-mesure que, ce qui était une "rumeur" au début, soit devenu la triste réalité. Et le tour est joué…
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
[L'antipape] réclame « une présence féminine plus décisive dans [la secte] »
Recevant le samedi 25 janvier une association féminine italienne, [l'antipape] François a répété son souhait « que s'élargissent les espaces » de responsabilités ouverts aux femmes dans [la secte], sans oublier leur « rôle irremplaçable dans la famille ».
Le congrès national d'une grande association féminine italienne d'inspiration chrétienne née il y a bientôt 70 ans, Cif (Centro italiane femminile), a offert l'occasion [à l'antipape] François de réitérer son souhait « que s'élargissent les espaces pour une présence féminine plus décisive dans [la secte] ». Recevant une délégation de 300 personnes de cette association, il s'est déjà « réjoui de voir de nombreuses femmes partager certaines responsabilités pastorales avec les "prêtres" dans l'accompagnement des personnes, des familles et des groupes, comme dans la réflexion théologique ».
Le contexte de réforme de la "Curie"
Ces propos surviennent à un moment où, dans le cadre de la réforme de la "Curie", les huit "cardinaux" conseillant [l'antipape] estiment nécessaires de confier davantage de responsabilités à des laïcs, et en particulier à des femmes, pour de hauts postes non cléricaux.
En voulant une « présence féminine plus décisive », [l'antipape] reprend ce qu'il a exprimé à ce propos dans sa conférence de presse lors du vol retour de Rio le 29 juillet, dans son entretien aux revues jésuites en septembre et, de manière plus solennelle, dans son "exhortation apostolique" Evangelii gaudium (La joie de l'Évangile) rendue publique fin novembre 2013. Dans ce texte, il invite "pasteurs" et "théologiens" à réfléchir « au rôle possible de la femme là où se prennent des décisions importantes, dans les divers milieux de [la secte] ».
Dans cette même exhortation, [l'antipape] argentin borne toutefois la réflexion en rappelant que le « sacerdoce réservé aux hommes […] ne se discute pas ». Il a aussi exclu l'idée de femmes "cardinales" dans son entretien au quotidien italien La Stampa du 15 décembre 2013.
[L'antipape] argentin veille aussi à se placer dans le sillage de ses prédécesseurs, se référant en particulier à la "lettre apostolique" de 1988, Mulieris dignitatem, de "Jean-Paul II", un « document en phase avec l'enseignement du [conciliabule] Vatican II », qui a reconnu la force morale et spirituelle de la femme. Jorge Bergoglio a aussi cité le message pour la Journée mondiale de la Paix de 1995 du même "Jean-Paul II" sur le thème « La femme, éducatrice de paix ».
« Apport du génie féminin »
Surtout, borne incontournable dans cette réflexion demandée par [l'antipape] François, celle du « rôle irremplaçable de la femme dans la famille », qu'il a rappelé à son auditoire féminin du 25 janvier. « Les qualités de délicatesse, de sensibilité et de tendresse, dont l'âme féminine est riche, représentent non seulement une force pour la vie des familles, pour la création d'un climat de sérénité et d'harmonie, mais une réalité sans laquelle la vocation humaine serait irréalisable », leur a-t-il dit, lisant son texte debout dans l'imposante Salle Clémentine du Vatican.
« Dans le monde du travail et de la sphère publique il est indéniable, a poursuivi [l'antipape] François, que l'apport plus décisif du génie féminin soit important », mais « cet apport reste indispensable dans le contexte de la famille, qui pour nous chrétiens n'est pas seulement un lieu privé, mais cette 'Église domestique', dont la bonne santé et prospérité est essentielles pour la santé et la prospérité de l'Église et de la société elle-même. » « La présence de la femme dans le cadre domestique se révèle donc plus que jamais nécessaire pour la transmission aux générations futures de solides principes moraux et pour la transmission de la foi », a insisté celui dont la grand-mère a joué un rôle essentiel pour découvrir personnellement sa propre foi.
Discernement
C'est avec ces jalons en place que [l'antipape] jésuite appelle au « discernement nécessaire ». Un temps dans lequel « la réflexion sur la réalité de la femme dans la société d'aujourd'hui, mais aussi la prière, assidue et persévérante » sont essentielles. « C'est dans le dialogue avec Dieu, irrigué par la grâce des sacrements, que la femme chrétienne cherche toujours et constamment à répondre à cet appel du Seigneur, dans tous les aspects concrets de sa condition ».
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Le-pape-reclame-une-presence-feminine-plus-decisive-dans-l-Eglise-2014-01-26-1096717 )
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
La secte aime faire la jasette ...
Ça fait des lunes que les femmes se sont infiltrés dans plusieurs niveau de la secte... ça commencer doucement, la secte s'était servit des enfants, tout à coup, hop! une petite fille en "servant" de messe avec un petit garçon... le monde trouvait ça tellement beau!
Après, les religieuses en habits laïcs sont venues et depuis elle sont partout.
Ça fait des lunes que les femmes se sont infiltrés dans plusieurs niveau de la secte... ça commencer doucement, la secte s'était servit des enfants, tout à coup, hop! une petite fille en "servant" de messe avec un petit garçon... le monde trouvait ça tellement beau!
Après, les religieuses en habits laïcs sont venues et depuis elle sont partout.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
gabrielle a écrit:
...Ça fait des lunes que les femmes se sont infiltrés dans plusieurs niveau de la secte... ça commencer doucement, la secte s'était servit des enfants, tout à coup, hop! une petite fille en "servant" de messe avec un petit garçon... le monde trouvait ça tellement beau!
Après, les religieuses en habits laïcs sont venues et depuis elle sont partout.
Je n'aurais pu mieux décrire la situation boule-de-neige: sur le sommet d’une haute montagne,
on fait glisser vers le bas un minuscule boule de neige.
On voit le résultat aujourd’hui avec Berlingot ! ... L'avalanche n’a pas encore dévalé toute la pente !
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Le gouvernement de [la secte] cherche à renforcer le rôle des femmes
Le comité Études et projets « hommes et femmes » organisait mercredi 5 novembre, à Lourdes, un débat sur la place des femmes dans le gouvernement de [la secte], après avoir entendu, la veille, les interventions de la bibliste Anne-Marie Pelletier et de Pascal Balmand, secrétaire général de l’enseignement [conciliaire].
Les femmes formées sont de plus en plus nombreuses dans les conseils "diocésains", sans être toujours associées aux prises de décision.
« Je me suis toujours positionnée dans une attitude de service et non de revendication », rappelle France Seemuller qui a travaillé six ans à la coordination, puis à la direction du service de communication du "diocèse" du Mans. Si elle n’était pas membre du conseil "épiscopal" du Mans, France Seemuller était très souvent consultée et appelée à intervenir sur divers sujets, n’ayant « jamais eu le sentiment d’être écartée. Au contraire, il y avait une attente de ce que j’avais à dire en tant que laïque ! » poursuit-elle en reconnaissant avoir eu « la chance de travailler dans des rapports de confiance avec deux "évêques" à l’écoute ».
Même constat positif chez Christine Martin, 40 ans, première femme à participer au conseil "presbytéral", comme observatrice, du "diocèse" de Metz, qui assure avoir « des relations très agréables » avec "l’évêque", les "vicaires" généraux et "épiscopaux".
« Quand un "prêtre" a le sens du dialogue, il l’a avec tous et le fait d’être femme ne change rien ! » lance cette mère de quatre enfants, également membre du conseil "pastoral" "diocésain" en tant que déléguée "épiscopale" pour les mouvements et les associations de "fidèles". « Mais comme partout, il faut faire ses preuves », poursuit-elle, en considérant, pour avoir travaillé auparavant en entreprise, que « la place des femmes est plus un problème sociétal qu’ "ecclésial" ».
« Les grandes orientations restent essentiellement "épiscopales" »
« C’est vraiment une question de personnalité et de conception de [la secte] », renchérit Frédérique de Watrigant, 57 ans, qui a été pendant six ans rédactrice en chef de Paris Notre-Dame, l’hebdomadaire du "diocèse" de Paris et qui a raconté son expérience (1).
« Beaucoup de "prêtres" n’ont pas peur des femmes, mais quelques-uns restent crispés », constate-t-elle, en regrettant que certains jeunes "prêtres", notamment dans les "diocèses" « encore riches en "vocations" », soient tentés par une "cléricalisation" et prennent peu en considération les femmes.
Cependant, ces femmes en responsabilité "diocésaine" savent bien que, ne pouvant accéder aux "ministères" "ordonnés", elles ne peuvent participer aux décisions qui sont du ressort ultime de "l’évêque". Ce qui fait dire à Isabelle Morel, 42 ans, responsable à Besançon des services "diocésains" de la "catéchèse" et du "catéchuménat", tout en enseignant à la "Catho" de Paris, que « si par gouvernement de [la secte], on veut parler de ses structures de fonctionnement, cela fait longtemps que l’on y entend des femmes, mais si on veut parler des grandes orientations, celles-ci restent essentiellement "épiscopales" ».
« Ce n’est pas parce que tu as des enfants que tu ne peux être là tout le temps ! »
Ces femmes nommées dans des instances "diocésaines" doivent avoir suffisamment d’expérience et de liberté de parole pour être prises en considération. En ce sens, « les femmes ont de grands atouts puisque, n’ayant pas accès à "l’ordination", elles risquent moins le carriérisme ou la crainte d’éventuelles sanctions », soutient Isabelle Morel.
Ceci suppose aussi « que les femmes soient solidement formées », insiste Régine Maire, 75 ans, qui a été membre du conseil "épiscopal" de Lyon pendant sept ans et qui a aujourd’hui la responsabilité de "l’interreligieux" et de l’accueil des personnes concernées par l’homosexualité. [quel rapport ? c'est assez révélateur de l'état de la secte de voir quelqu'un qui peut dire : "je suis chargé de "l'interreligieux" et de l'homosexualité" ]
Enfin, la plupart de ces femmes habituellement satisfaites de leur place et de leur rôle dans [la secte] ont souvent une indélicatesse d’homme [de la secte] en mémoire. Ainsi, Christine Martin se souvient d’un "prêtre" qui l’avait défiée : « Ce n’est pas parce que tu as des enfants que tu ne peux être là tout le temps ! »
« Des résistances majeures pour prendre en compte les femmes formées »
Quant à la "théologienne" Marie-Jo Thiel, 57 ans, professeur à l’université Marc-Bloch de Strasbourg et directrice du Centre européen d’enseignement et de recherche en éthique (Ceere), elle ne mâche pas ses mots. « Qu’un "évêque", lors d’un dîner, ne s’adresse pas une seule fois aux trois femmes présentes, c’est insupportable ! Il n’est plus possible que des hommes [de la secte] affichent un tel mépris des femmes ! Pourquoi d’ailleurs n’a-t-on pas invité davantage de femmes au "Synode" sur la famille ? »
Pour cette laïque, médecin de formation, il reste encore, chez certains hommes [de la secte], « des résistances majeures pour prendre en compte les femmes formées. Ils préfèrent les cantonner dans des rôles traditionnels », regrette-t-elle en rappelant qu’il ne devrait pas en être dans [la secte] comme dans le monde de l’entreprise, puisque « le baptême fonde l’égalité entre l’homme et la femme avec des rôles différenciés ».
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Le-gouvernement-de-l-Eglise-cherche-a-renforcer-le-role-des-femmes-2014-11-05-1259941 )
J'ai dû rajouter beaucoup de guillemets dans cet article
Commentaire d'un lecteur sur la page de l'article, un bien mal-nommé "Michel Médiéviste" :
Comme toujours l'Eglise à un train de retard. Ce n'est pas cette timide avancée qui serait suffisante. On dit que Rome ne s'est pas fait en un jour, mais de la a avoir pris des années, voire des dizaines d'années de retard................... (...)
Donc cela ne va pas assez vite ?
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit: ...Donc cela ne va pas assez vite ?
Cà ne va jamais assez vite à leur goût !
La révolution est toujours pressée… de faire la révolution…
pour être toujours de plus en plus pressée… de faire la révolution, etc.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Sur le même sujet :
"Mgr" Ulrich : « Trouver comment associer davantage les femmes au gouvernement de [la secte] »
Réunis à Lourdes pour leur Assemblée plénière jusqu’au 9 novembre, les "évêques" doivent discuter dans l’après-midi du mercredi 5 novembre de la place des femmes dans le gouvernement de [la secte].
Pour "Mgr" Laurent Ulrich, "archevêque" de Lille, qui pilote le comité Études et Projet sur « Hommes et femmes », "l’épiscopat" ne peut en rester à une réflexion théorique mais doit pouvoir avancer des propositions très concrètes pour associer davantage les femmes au gouvernement de [la secte].
Dans quel contexte avez-vous lancé cette réflexion des "évêques" sur la place des femmes dans le gouvernement de [la secte] ?
"Mgr" Laurent Ulrich : La réalité de la présence des femmes dans [la secte] ne me semble pas assez soulignée. Je m’étais formulé cette question et j’ai été heureux de lire dans "l’exhortation" "apostolique" Evangelii Gaudium [de l'antipape] François cette invitation à ce que la place des femmes dans des postes à responsabilité soit plus visiblement acceptée dans [la secte], que leur prise de participation à la vie de [la secte] soit rendue manifeste.
Il ne faut pas que, sous prétexte que la porte du "sacerdoce" leur est fermée, toute autre piste pratique soit écartée. Tout ne se résume pas au "prêtre" dans la vie de [la secte]. J’ai aimé entendre Anne-Marie Pelletier (NDLR : "exégète" invitée mardi 4 novembre pour parler des rapports hommes/femmes dans l'Église à partir des Écritures) rappeler que ce que Dieu veut manifestement, c’est un témoignage conjoint des hommes et des femmes.
Nous confions déjà des responsabilités à des femmes et ce n’est pas pour bien faire, mais pour tenir compte du témoignage évangélique qui soit celui d’une Église d’hommes et de femmes.
Les "prêtres" comme les "évêques" doivent veiller à ce que ce témoignage soit complet, qu’il ne se limite pas à une moitié de l’humanité. La vocation du "prêtre", c’est d’être au service de toutes les "vocations".
Nous bénéficions déjà de tout un argumentaire sur la place des femmes dans [la secte] – beaucoup ont réfléchi à la question – mais il nous faut aujourd’hui réfléchir à des propositions pratiques.
Par exemple ?
"Mgr" L.U. : Donner plus de place aux femmes dans l’enseignement, dans la responsabilité "théologique", dans la prise de décision sur la vie de [la secte]… Au niveau de notre "synode" "diocésain", Lille-Arras-Cambrai, par exemple, nous avons autant de femmes que d’hommes.
Sentez-vous des résistances du côté de vos confrères "évêques" ?
Mgr L.U. : Oui, il peut y avoir des résistances chez certains. Il nous faut encore sortir de certaines représentations mentales. Je retiens là encore les propos d’Anne-Marie Pelletier soulignant que les hommes sont portés à ne pas voir les femmes, là où elles sont. C’est peut-être lié à la tradition masculine du sacerdoce… Mais je ne pense pas que la problématique de la domination masculine soit propre à [la secte].
Et il ne serait pas juste d’oublier que nous confions déjà des responsabilités aux femmes dans [la secte]. Quand j’ai choisi une femme à la direction de l’enseignement "diocésain", c’était pour ses compétences. Et lorsque j’étais "évêque" de Chambéry, j’ai nommé une femme économe "diocésain" pour les mêmes raisons, et non pour assurer une présence symbolique. Je ne connais pas de "diocèse" aujourd’hui où les femmes n’ont pas de responsabilités. Il y a certainement des "évêques" qui résistent encore à nommer des femmes dans leur conseil "épiscopal", mais ils ne résistent pas à tout !
Pensez-vous que ce soit une question de génération ?
"Mgr" L.U. : Je ne crois pas, non. Quand des femmes sont invitées à enseigner dans les "séminaires" par exemple, ce ne sont pas forcément les "évêques" ou les "prêtres" qui réagissent le plus durement, mais certains jeunes eux-mêmes…
L’intervention de Pascal Balmand (NDLR : secrétaire général de l’enseignement [conciliaire], qui intervenait également devant les "évêques" mardi 4 novembre) sur la place des hommes et des femmes dans l’éducation était de ce point de vue très intéressante : comment éduquer à cette juste complémentarité ? Pendant des siècles, la pédagogie s’est construite à l’exemple de l'Église. Il serait dommage que l’enseignement [conciliaire] perde sa vocation et ne soit pas pilote en la matière.
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Il-nous-faut-trouver-comment-associer-davantage-les-femmes-au-gouvernement-de-l-Eglise-2014-11-05-1259868 )
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit: J'ai dû rajouter beaucoup de guillemets dans cet article
Çà doit vous prendre plus de temps pour mettre les guillemets que de lire l'article !
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit:
- Spoiler:
Le gouvernement de [la secte] cherche à renforcer le rôle des femmes
Le comité Études et projets « hommes et femmes » organisait mercredi 5 novembre, à Lourdes, un débat sur la place des femmes dans le gouvernement de [la secte], après avoir entendu, la veille, les interventions de la bibliste Anne-Marie Pelletier et de Pascal Balmand, secrétaire général de l’enseignement [conciliaire].
Les femmes formées sont de plus en plus nombreuses dans les conseils "diocésains", sans être toujours associées aux prises de décision.
« Je me suis toujours positionnée dans une attitude de service et non de revendication », rappelle France Seemuller qui a travaillé six ans à la coordination, puis à la direction du service de communication du "diocèse" du Mans. Si elle n’était pas membre du conseil "épiscopal" du Mans, France Seemuller était très souvent consultée et appelée à intervenir sur divers sujets, n’ayant « jamais eu le sentiment d’être écartée. Au contraire, il y avait une attente de ce que j’avais à dire en tant que laïque ! » poursuit-elle en reconnaissant avoir eu « la chance de travailler dans des rapports de confiance avec deux "évêques" à l’écoute ».
Même constat positif chez Christine Martin, 40 ans, première femme à participer au conseil "presbytéral", comme observatrice, du "diocèse" de Metz, qui assure avoir « des relations très agréables » avec "l’évêque", les "vicaires" généraux et "épiscopaux".
« Quand un "prêtre" a le sens du dialogue, il l’a avec tous et le fait d’être femme ne change rien ! » lance cette mère de quatre enfants, également membre du conseil "pastoral" "diocésain" en tant que déléguée "épiscopale" pour les mouvements et les associations de "fidèles". « Mais comme partout, il faut faire ses preuves », poursuit-elle, en considérant, pour avoir travaillé auparavant en entreprise, que « la place des femmes est plus un problème sociétal qu’ "ecclésial" ».
« Les grandes orientations restent essentiellement "épiscopales" »
« C’est vraiment une question de personnalité et de conception de [la secte] », renchérit Frédérique de Watrigant, 57 ans, qui a été pendant six ans rédactrice en chef de Paris Notre-Dame, l’hebdomadaire du "diocèse" de Paris et qui a raconté son expérience (1).
« Beaucoup de "prêtres" n’ont pas peur des femmes, mais quelques-uns restent crispés », constate-t-elle, en regrettant que certains jeunes "prêtres", notamment dans les "diocèses" « encore riches en "vocations" », soient tentés par une "cléricalisation" et prennent peu en considération les femmes.
Cependant, ces femmes en responsabilité "diocésaine" savent bien que, ne pouvant accéder aux "ministères" "ordonnés", elles ne peuvent participer aux décisions qui sont du ressort ultime de "l’évêque". Ce qui fait dire à Isabelle Morel, 42 ans, responsable à Besançon des services "diocésains" de la "catéchèse" et du "catéchuménat", tout en enseignant à la "Catho" de Paris, que « si par gouvernement de [la secte], on veut parler de ses structures de fonctionnement, cela fait longtemps que l’on y entend des femmes, mais si on veut parler des grandes orientations, celles-ci restent essentiellement "épiscopales" ».
« Ce n’est pas parce que tu as des enfants que tu ne peux être là tout le temps ! »
Ces femmes nommées dans des instances "diocésaines" doivent avoir suffisamment d’expérience et de liberté de parole pour être prises en considération. En ce sens, « les femmes ont de grands atouts puisque, n’ayant pas accès à "l’ordination", elles risquent moins le carriérisme ou la crainte d’éventuelles sanctions », soutient Isabelle Morel.
Ceci suppose aussi « que les femmes soient solidement formées », insiste Régine Maire, 75 ans, qui a été membre du conseil "épiscopal" de Lyon pendant sept ans et qui a aujourd’hui la responsabilité de "l’interreligieux" et de l’accueil des personnes concernées par l’homosexualité. [quel rapport ? c'est assez révélateur de l'état de la secte de voir quelqu'un qui peut dire : "je suis chargé de "l'interreligieux" et de l'homosexualité" ]
Enfin, la plupart de ces femmes habituellement satisfaites de leur place et de leur rôle dans [la secte] ont souvent une indélicatesse d’homme [de la secte] en mémoire. Ainsi, Christine Martin se souvient d’un "prêtre" qui l’avait défiée : « Ce n’est pas parce que tu as des enfants que tu ne peux être là tout le temps ! »
« Des résistances majeures pour prendre en compte les femmes formées »
Quant à la "théologienne" Marie-Jo Thiel, 57 ans, professeur à l’université Marc-Bloch de Strasbourg et directrice du Centre européen d’enseignement et de recherche en éthique (Ceere), elle ne mâche pas ses mots. « Qu’un "évêque", lors d’un dîner, ne s’adresse pas une seule fois aux trois femmes présentes, c’est insupportable ! Il n’est plus possible que des hommes [de la secte] affichent un tel mépris des femmes ! Pourquoi d’ailleurs n’a-t-on pas invité davantage de femmes au "Synode" sur la famille ? »
Pour cette laïque, médecin de formation, il reste encore, chez certains hommes [de la secte], « des résistances majeures pour prendre en compte les femmes formées. Ils préfèrent les cantonner dans des rôles traditionnels », regrette-t-elle en rappelant qu’il ne devrait pas en être dans [la secte] comme dans le monde de l’entreprise, puisque « le baptême fonde l’égalité entre l’homme et la femme avec des rôles différenciés ».
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Le-gouvernement-de-l-Eglise-cherche-a-renforcer-le-role-des-femmes-2014-11-05-1259941 )Benjamin a écrit:
Sur le même sujet :
- Spoiler:
"Mgr" Ulrich : « Trouver comment associer davantage les femmes au gouvernement de [la secte] »
Réunis à Lourdes pour leur Assemblée plénière jusqu’au 9 novembre, les "évêques" doivent discuter dans l’après-midi du mercredi 5 novembre de la place des femmes dans le gouvernement de [la secte].
Pour "Mgr" Laurent Ulrich, "archevêque" de Lille, qui pilote le comité Études et Projet sur « Hommes et femmes », "l’épiscopat" ne peut en rester à une réflexion théorique mais doit pouvoir avancer des propositions très concrètes pour associer davantage les femmes au gouvernement de [la secte].
Dans quel contexte avez-vous lancé cette réflexion des "évêques" sur la place des femmes dans le gouvernement de [la secte] ?
"Mgr" Laurent Ulrich : La réalité de la présence des femmes dans [la secte] ne me semble pas assez soulignée. Je m’étais formulé cette question et j’ai été heureux de lire dans "l’exhortation" "apostolique" Evangelii Gaudium [de l'antipape] François cette invitation à ce que la place des femmes dans des postes à responsabilité soit plus visiblement acceptée dans [la secte], que leur prise de participation à la vie de [la secte] soit rendue manifeste.
Il ne faut pas que, sous prétexte que la porte du "sacerdoce" leur est fermée, toute autre piste pratique soit écartée. Tout ne se résume pas au "prêtre" dans la vie de [la secte]. J’ai aimé entendre Anne-Marie Pelletier (NDLR : "exégète" invitée mardi 4 novembre pour parler des rapports hommes/femmes dans l'Église à partir des Écritures) rappeler que ce que Dieu veut manifestement, c’est un témoignage conjoint des hommes et des femmes.
Nous confions déjà des responsabilités à des femmes et ce n’est pas pour bien faire, mais pour tenir compte du témoignage évangélique qui soit celui d’une Église d’hommes et de femmes.
Les "prêtres" comme les "évêques" doivent veiller à ce que ce témoignage soit complet, qu’il ne se limite pas à une moitié de l’humanité. La vocation du "prêtre", c’est d’être au service de toutes les "vocations".
Nous bénéficions déjà de tout un argumentaire sur la place des femmes dans [la secte] – beaucoup ont réfléchi à la question – mais il nous faut aujourd’hui réfléchir à des propositions pratiques.
Par exemple ?
"Mgr" L.U. : Donner plus de place aux femmes dans l’enseignement, dans la responsabilité "théologique", dans la prise de décision sur la vie de [la secte]… Au niveau de notre "synode" "diocésain", Lille-Arras-Cambrai, par exemple, nous avons autant de femmes que d’hommes.
Sentez-vous des résistances du côté de vos confrères "évêques" ?
Mgr L.U. : Oui, il peut y avoir des résistances chez certains. Il nous faut encore sortir de certaines représentations mentales. Je retiens là encore les propos d’Anne-Marie Pelletier soulignant que les hommes sont portés à ne pas voir les femmes, là où elles sont. C’est peut-être lié à la tradition masculine du sacerdoce… Mais je ne pense pas que la problématique de la domination masculine soit propre à [la secte].
Et il ne serait pas juste d’oublier que nous confions déjà des responsabilités aux femmes dans [la secte]. Quand j’ai choisi une femme à la direction de l’enseignement "diocésain", c’était pour ses compétences. Et lorsque j’étais "évêque" de Chambéry, j’ai nommé une femme économe "diocésain" pour les mêmes raisons, et non pour assurer une présence symbolique. Je ne connais pas de "diocèse" aujourd’hui où les femmes n’ont pas de responsabilités. Il y a certainement des "évêques" qui résistent encore à nommer des femmes dans leur conseil "épiscopal", mais ils ne résistent pas à tout !
Pensez-vous que ce soit une question de génération ?
"Mgr" L.U. : Je ne crois pas, non. Quand des femmes sont invitées à enseigner dans les "séminaires" par exemple, ce ne sont pas forcément les "évêques" ou les "prêtres" qui réagissent le plus durement, mais certains jeunes eux-mêmes…
L’intervention de Pascal Balmand (NDLR : secrétaire général de l’enseignement [conciliaire], qui intervenait également devant les "évêques" mardi 4 novembre) sur la place des hommes et des femmes dans l’éducation était de ce point de vue très intéressante : comment éduquer à cette juste complémentarité ? Pendant des siècles, la pédagogie s’est construite à l’exemple de l'Église. Il serait dommage que l’enseignement [conciliaire] perde sa vocation et ne soit pas pilote en la matière.
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Il-nous-faut-trouver-comment-associer-davantage-les-femmes-au-gouvernement-de-l-Eglise-2014-11-05-1259868 )
A écouter ces tricoteux de paniers, ces cordeux de bran de scie,
ces défonceurs de portes ouvertes, les femmes n'ont rien fait, ou presque, dans l'Église catholique ?
Ah ! c'est vrai... les femmes n'existaient pas avant v2 !!
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ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
ROBERT. a écrit:Benjamin a écrit: J'ai dû rajouter beaucoup de guillemets dans cet article
Çà doit vous prendre plus de temps pour mettre les guillemets que de lire l'article !
Je le fais en même temps que je lis l'article
En fait, voici comment je fais en général :
1°) Je vais sur la page "Religion" de "la croix" (ou sur zenit)
2°) Je repère les éventuels articles avec le titre et le résumé, et je clique dessus
3°) Je copie-colle l'article, avant même de l'avoir entièrement lu (un repérage suffit), dans la fenêtre de rédaction de message sur le Forum
4°) Je lis dans cette fenêtre, et en même temps je mets les guillemets, les crochets, ainsi que ce à quoi je pense d'autre sur le moment (taille, gras, soulignés)
5°) Je prévisualise, vois ce que cela donne, et ajuste au besoin les passages impliquant une taille, du gras ou du souligné, et j'en ajoute si j'en ai oublié
6°) Nouvelle(s) prévisualisation(s) et envoi
Si c'est possible, autant éviter de lire la chose une première fois sans rien faire puis de repasser avec une deuxième lecture pour mettre les guillemets...
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit:
...3°) Je copie-colle l'article, avant même de l'avoir entièrement lu (un repérage suffit), dans la fenêtre de rédaction de message sur le Forum
Ce qui vous sauve beaucoup de temps, en effet ! Excellent.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit:Si c'est possible, autant éviter de lire la chose une première fois sans rien faire puis de repasser avec une deuxième lecture pour mettre les guillemets...
Continuer cher Benjamin de les articles ce qui vous sauve beaucoup de temps. Beau travail.
Monique- Nombre de messages : 13758
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin est plus patient que moi, je me contente de , jjj c'est vrai qu'il est plus jeune...
Pour les articles, il sera inévitable que la secte fasse un pas vers les femmes en mal de gloriole, la secte anglicane avance vite en ce domaine.
Pour les articles, il sera inévitable que la secte fasse un pas vers les femmes en mal de gloriole, la secte anglicane avance vite en ce domaine.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
gabrielle a écrit:Benjamin est plus patient que moi, je me contente de, jjjc'est vrai qu'il est plus jeune...
Ah bon ?
gabrielle a écrit:Pour les articles, il sera inévitable que la secte fasse un pas vers les femmes en mal de gloriole, la secte anglicane avance vite en ce domaine.
Je crois que "avancer vite" est une expression encore un peu faible pour désigner ceci :
Benjamin a écrit:
Sachant que :L’Église anglicane autorise l’ordination "d’évêques" homosexuels unis civilement
Et que :"L’ordination" des femmes "évêques" dans "l’Église" anglicane est officiellement autorisée
Sans oublier que :L’adhésion à l’extrême droite devient une infraction pour le "clergé" anglican anglais
Il est donc désormais tout à fait possible de voir chez les anglicans une femme à la fois soi-disant "évêque" ET "homosexuelle unie civilement" ET "d'extrême-gauche" !
(puisque seule "l'extrême-droite" semble ne pas être la bienvenue...)
( source : https://messe.forumactif.org/t4669p15-l-anglicanisme-a-la-pointe-dans-les-deviances#110662 )
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Ben, disons à la vitesse du son.........
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Benjamin a écrit:gabrielle a écrit:Benjamin est plus patient que moi, je me contente de, jjjc'est vrai qu'il est plus jeune...
Ah bon ?
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Bientôt des femmes "diacres" et participant au "gouvernement" de la secte ?
Pourtant j'avais cru lire sous la plume de JPB (?) ou de quelqu'un d'autre que vous ressemblez à ceci, je ne comprends plus :
Qui croire ?
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
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