Les Stygmates de saint François d'Assise
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Les Stygmates de saint François d'Assise
Contemplation des souffrances du Christ
Si vous contemplez avec foi, avec piété les souffrances du Christ, vous aurez la révélation de l'amour et de la justice de Dieu.
Cette contemplation est comme un sacramental qui fait participer l'âme à cette tristesse divine qui envahit l'âme de Jésus au jardin des Oliviers, à ses sentiments de religion, de zèle et d'abandon aux volontés de son Père.
Les âmes saintes sont touchées quand elles considèrent les souffrances du Christ. La nuit de la Passion, Pierre, le prince des apôtres, auquel le Christ avait révélé sa gloire sur le Thabor, qui venait de recevoir des mains de Jésus la sainte communion, Pierre, à la voix d'une servante, renie son Maître. Bientôt après, le regard de Jésus, abandonné aux caprices de ses ennemis mortels, rencontre celui de Pierre. L'apôtre comprend, sort, et des larmes amères coulent de ses yeux : Flevit amare.
Semblable effet se produit dans l'âme qui contemple les souffrances de Jésus avec foi : elle aussi rencontre le regard du divin Crucifié, et c'est pour elle une vraie grâce.
Attachons-nous souvent en faisant le "chemin de croix", aux pas du Christ souffrant. " Vois, nous dira Jésus, ce que j'ai souffert pour toi; j'ai enduré une agonie de trois heures, supporté l'abandon de mes disciples, les faux témoins, la lâcheté de Pilate et la dérision d'Hérode. le poids de la croix sous laquelle j'ai succombé, la nudité du gibet, les sarcasmes amers de mes plus mortels ennemis, la soif qu'on a voulu apaiser avec du fiel et du vinaigre, et par-dessus tout, l'abandon de mon Père. C'est pour toi, par amour pour toi. "
Pourrions-nous rester insensibles à ces évocations ?
Dom Marmion
(PAROLES DE VIE EN MARGE DU MISSEL)
Si vous contemplez avec foi, avec piété les souffrances du Christ, vous aurez la révélation de l'amour et de la justice de Dieu.
Cette contemplation est comme un sacramental qui fait participer l'âme à cette tristesse divine qui envahit l'âme de Jésus au jardin des Oliviers, à ses sentiments de religion, de zèle et d'abandon aux volontés de son Père.
Les âmes saintes sont touchées quand elles considèrent les souffrances du Christ. La nuit de la Passion, Pierre, le prince des apôtres, auquel le Christ avait révélé sa gloire sur le Thabor, qui venait de recevoir des mains de Jésus la sainte communion, Pierre, à la voix d'une servante, renie son Maître. Bientôt après, le regard de Jésus, abandonné aux caprices de ses ennemis mortels, rencontre celui de Pierre. L'apôtre comprend, sort, et des larmes amères coulent de ses yeux : Flevit amare.
Semblable effet se produit dans l'âme qui contemple les souffrances de Jésus avec foi : elle aussi rencontre le regard du divin Crucifié, et c'est pour elle une vraie grâce.
Attachons-nous souvent en faisant le "chemin de croix", aux pas du Christ souffrant. " Vois, nous dira Jésus, ce que j'ai souffert pour toi; j'ai enduré une agonie de trois heures, supporté l'abandon de mes disciples, les faux témoins, la lâcheté de Pilate et la dérision d'Hérode. le poids de la croix sous laquelle j'ai succombé, la nudité du gibet, les sarcasmes amers de mes plus mortels ennemis, la soif qu'on a voulu apaiser avec du fiel et du vinaigre, et par-dessus tout, l'abandon de mon Père. C'est pour toi, par amour pour toi. "
Pourrions-nous rester insensibles à ces évocations ?
Dom Marmion
(PAROLES DE VIE EN MARGE DU MISSEL)
Arthur- Nombre de messages : 1614
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Les Stygmates de saint François d'Assise
Priez, pour nous
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
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