Marie Médiatrice
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Marie Médiatrice
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1. L'Eglise et le monde, 500-502.
2. Marie, médiatrice parfaite.
a) Marie tient lieu de l'humanité, 503.
b) Marie et le Dieu juste, 504.
3. Confiance traditionnelle des chrétiens en Marie, 505-506.
3 numéros : 507; 508; 509.
1 LÉON XIII, Lettre encyclique sur le Rosaire de Marie. AAS XXIV (1891-1892) 194-197.
2 PIE XII, Lettre au cardinal Maglione demandant des prières publiques pour la paix des nations. AAS xxxiv (1942) 126-127.
( Tiré de AUX SOURCES DE LA VIE SPIRITUELLE, p. 276-282, par P. CATTIN — H. TH. CONUS, des Frères Prêcheurs, Éd. St-Paul, 1951.)
Marie Médiatrice
A. Extrait de l'Encyclique de Sa Sainteté Léon XIII
du 22 septembre 1891 1
OCTOBRI MENSE
A. Extrait de l'Encyclique de Sa Sainteté Léon XIII
du 22 septembre 1891 1
OCTOBRI MENSE
1. L'Eglise et le monde, 500-502.
2. Marie, médiatrice parfaite.
a) Marie tient lieu de l'humanité, 503.
b) Marie et le Dieu juste, 504.
3. Confiance traditionnelle des chrétiens en Marie, 505-506.
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B. Extrait de la Lettre de Sa Sainteté Pie XII
du 15 avril 1942 2
DUM SAECULUM ARMORUM
du 15 avril 1942 2
DUM SAECULUM ARMORUM
3 numéros : 507; 508; 509.
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1 LÉON XIII, Lettre encyclique sur le Rosaire de Marie. AAS XXIV (1891-1892) 194-197.
2 PIE XII, Lettre au cardinal Maglione demandant des prières publiques pour la paix des nations. AAS xxxiv (1942) 126-127.
( Tiré de AUX SOURCES DE LA VIE SPIRITUELLE, p. 276-282, par P. CATTIN — H. TH. CONUS, des Frères Prêcheurs, Éd. St-Paul, 1951.)
Dernière édition par Louis le Mar 03 Sep 2013, 1:17 pm, édité 11 fois
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
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Re: Marie Médiatrice
500
1. L'Eglise et le monde
... Incroyable miracle ! le siècle va son pénible chemin, fort de son argent, de sa force, de ses armées, de son génie. L'Eglise tout au long des âges, marche d'un pas tranquille et sûr, ne mettant qu'en Dieu sa confiance, levant vers lui, jour et nuit en prière, ses regards et ses mains. En effet, si elle ne néglige, dans sa prudence, aucun des moyens humains que lui fournissent providentiellement les circonstances, ce n'est pourtant pas en eux qu'elle met sa principale espérance : c'est bien plutôt en Dieu : elle le prie, elle le supplie, elle l'implore. C'est là ce qui lui permet d'entretenir et de fortifier son souffle vital : la continuité de sa prière lui vaut une grande grâce : celle de rester à l'abri des vicissitudes du monde, de s'unir perpétuellement à la volonté divine, de vivre de la vie même de Notre-Seigneur Jésus-Christ, dans le calme et dans la paix. Elle est, pour ainsi dire, semblable au Christ lui-même qui, au milieu des horribles tourments qu'il a endurés pour le salut commun, n'a absolument rien perdu de l'illumination ni de la joie qui faisaient dès lors sa béatitude infinie d'Homme-Dieu.
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Re: Marie Médiatrice
501
1. L'Eglise et le monde
Cette grande leçon de sagesse chrétienne, les chrétiens que leur vertu rendait dignes du nom qu'ils portaient l'ont de tout temps comprise et religieusement mise en pratique : leurs prières montaient vers Dieu plus ardentes et plus fréquentes toutes les fois que les ruses et la violence des méchants avaient attiré quelque catastrophe sur la sainte Eglise ou sur son chef. Les fidèles de l'Eglise naissante en fournissent un exemple remarquable, tout à fait digne d'être éternellement proposé à l'imitation de la postérité : saint Pierre, Vicaire de Jésus-Christ, Souverain Pontife de l'Eglise, avait été jeté en prison sur l'ordre du criminel Hérode ; il était voué à une mort certaine ; pour le tirer de là, nul moyen, nul secours. Eh si ! il y avait bien un secours, celui qu'une prière fervente peut obtenir de Dieu : l'Eglise, à ce que relate l'Histoire Sainte, répandait pour lui d'innombrables prières : L'Eglise priait sans relâche Dieu pour lui (2). Plus la crainte d'un tel malheur les tenaillait cruellement, plus était vive l'ardeur de tous à implorer Dieu. Comment leur prière fut exaucée, on le sait bien : saint Pierre fut miraculeusement délivré de ses liens, et le peuple chrétien célèbre encore aujourd'hui par une fête cet événement dont il garde l'heureux souvenir.
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(2) Actes XII, 5.
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Re: Marie Médiatrice
502
1. L'Eglise et le monde
Mais le Christ nous a donné un exemple plus remarquable encore ; et s'il nous a donné cet exemple divin, c'est pour en instruire son Eglise et la former à la sainteté intégrale, non seulement par son enseignement, mais encore à son modèle. En effet, toute sa vie il s'était appliqué à une prière fréquente et fervente ; mais, à l'approche de ses derniers moments, lorsqu'au jardin de Gethsémani son âme, plongée dans une mer d'amertume, languissait jusqu'à la mort, il priait son Père, et il le priait avec effusion (3). Et certes ce n'est pas pour lui qu'il l'a fait : il ne craignait rien ; il n'avait besoin de rien : il était Dieu. S'il l'a fait, c'est pour nous, c'est pour son Eglise, dont il accueillait déjà avec joie et bienveillance les prières et les larmes futures pour les rendre fécondes en grâces.
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(3) S. Luc XXII, 44.
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Re: Marie Médiatrice
503
a) Marie tient lieu de l'humanité
Mais le mystère de la Croix a consommé le salut de la race humaine ; l'Eglise, codispensatrice de ce même salut, a été fondée sur terre par le triomphe du Christ et régulièrement constituée. Depuis lors, pour un peuple nouveau, un ordre nouveau, établi par la divine Providence a commencé et a duré. Il faut ici considérer avec un profond sentiment de piété les desseins de Dieu. Le Fils éternel de Dieu a voulu prendre la nature humaine pour racheter et glorifier l'homme. Il se proposait par là de contracter un mystique mariage avec l'humanité. Mais il n'a pas accompli ce projet avant que le libre consentement de la Mère qui lui était désignée fût venu s'y ajouter. Marie représentait là en quelque sorte le genre humain, selon cette opinion bien connue et si juste de saint Thomas d'Aquin : « Dans l'Annonciation est attendu le consentement de la Vierge, jouant le rôle de toute l'humanité (4). » D'où l'on peut, avec non moins de vérité et en toute précision, affirmer que sans Marie absolument rien ne peut nous être distribué de cet immense trésor de toute grâce accumulé par Notre-Seigneur, puisque la grâce et la vérité ont été créées par Jésus-Christ (5). Ainsi, de même qu'on ne peut aller au Père éternel que par le Fils, on ne peut guère arriver au Christ que par sa Mère.
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(4) S. THOMAS, Somme théol. III, q. 30, art. 1. — (5) S. JEAN I, 17.
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Re: Marie Médiatrice
504
b) Marie et le Dieu juste
Qu'elles sont grandes la sagesse et la miséricorde qui resplendissent dans le dessein de Dieu ! Quelle convenance avec la faiblesse et la fragilité de l'homme ! En effet, si nous croyons infinie la bonté du Créateur et si nous la célébrons, nous croyons aussi infinie sa justice et nous la redoutons ; si nous aimons le Seigneur parce qu'il nous aime infiniment et qu'il a donné pour nous son sang et sa vie, nous le craignons aussi, parce que c'est le juge inexorable. Par conséquent, ceux que trouble le remords ont un besoin absolu d'un intercesseur et d'un protecteur qui soit d'une part en grande faveur auprès de Dieu et, d'autre part, assez bienveillant pour ne pas rejeter la cause des plus désespérés et pour ranimer les affligés et les abattus en leur permettant d'espérer que Dieu leur pardonnera. Cet intercesseur, c'est Marie, la Reine de gloire. Elle est puissante, certes, puisqu'elle est la Mère du Dieu tout-puissant ; mais, chose qui parle plus doucement à notre cœur, elle est bienveillante, elle est d'une extrême bonté, elle est d'une indulgence sans bornes.
Telle Dieu nous l'a donnée : en la choisissant comme mère de son Fils unique, ne lui a-t-il pas inspiré des sentiments infiniment maternels, qui ne respirent que l'amour et le pardon ?
Telle Jésus-Christ par sa propre conduite nous l'a montrée : n'a-t-il pas voulu de lui-même lui être soumis et lui obéir comme un fils à une mère ?
Telle il l'a proclamée du haut de sa croix : n'a-t-il pas confié à ses soins et à son amour la totalité du genre humain représenté par le disciple Jean ?
Telle enfin elle s'est donnée à nous elle-même : n'a-t-elle pas magnanimement recueilli l'héritage au labeur immense que lui avait légué son Fils expirant ? Ne s'est-elle pas mise aussitôt à l'accomplissement envers tous de ses devoirs de mère ?
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Re: Marie Médiatrice
505
3. Confiance traditionnelle des chrétiens en Marie
Ce plan d'une si aimante miséricorde, réalisé en Marie par Dieu et ratifié par l'Alliance scellée du sang du Christ, a été compris dès le commencement et accueilli avec une grande joie par les saints Apôtres et par les premiers fidèles ; ils le comprirent aussi, et ils en firent l'objet de leur enseignement, les vénérables Pères de l'Eglise ; et, en tout temps, toutes les nations chrétiennes furent unanimes à le comprendre et, même si la Tradition et les saintes Lettres étaient muettes, il est une voix qui jaillit de la poitrine de tout chrétien et qui parle avec la dernière éloquence.
C'est sans aucun doute sous une inspiration de foi divine que, par une sorte d'impulsion irrésistible, nous sommes poussés vers Marie et très doucement entraînés vers elle ; que nous n'avons rien de plus précieux ni de plus cher que de nous réfugier dans la tutélaire fidélité de celle à qui nous confions pleinement toutes nos affaires, projets et réalisations, innocence et pénitence, peines et joies, prières et souhaits ; que nous sommes saisis d'un joyeux et confiant espoir à la pensée que ce qui serait moins favorablement accueilli par Dieu, lui étant présenté par nous indignes, sera, une fois recommandé à sa très sainte Mère, reçu avec la plus grande faveur.
La vérité et la douceur de ces choses inspirent à l'âme une grande joie. Mais elles inspirent une aussi vive compassion pour ceux qui, n'ayant pas la foi, n'honorent pas Marie et ne l'ont pas pour mère ; une compassion plus vive encore pour ceux qui, malgré leur qualité de croyants, osent cependant taxer les personnes pieuses d'outrance et d'exagération dans le culte qu'elles ont pour Marie. C'est là gravement manquer à la piété filiale qui lui est due.
Note de Louis : Le texte ci-haut ne fait qu’un paragraphe dans mon livre.
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Re: Marie Médiatrice
506
3. Confiance traditionnelle des chrétiens en Marie (suite)
En conséquence, la tempête de maux au milieu de laquelle l'Eglise lutte si durement montre deux choses à tous ses pieux enfants : d'abord le saint devoir auquel ils sont assujettis de prier Dieu plus instamment, ensuite la manière dont ils doivent de préférence diriger leurs efforts pour que ces supplications aient le maximum d'efficacité. Suivant l'exemple de nos pères et de nos ancêtres qui étaient si pieux, recourons à Marie, recourons à Notre-Dame ; invoquons, implorons tous ensemble Marie, la Mère du Christ qui est aussi notre Mère : « Montrez que vous êtes notre Mère ; faites agréer nos prières par celui qui, né pour nous, a consenti à être votre fils (6) »...
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(6) Hymne des Vêpres à la Sainte Vierge.
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Re: Marie Médiatrice
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B. Extrait de la Lettre de Sa Sainteté Pie XII
du 15 avril 1942
DUM SAECULUM ARMORUM
du 15 avril 1942
DUM SAECULUM ARMORUM
507
... S'il est permis de tout espérer par Marie, souhaitons que tous aillent à elle, spécialement durant le mois prochain qui lui est consacré d'une façon particulière ; que les enfants surtout, dont les prières candides et confiantes ne peuvent pas ne pas être agréables à celle qui est la Mère très bonne de Dieu et de nous tous, aillent, conduits par leurs parents, prier au pied de ses autels.
Nul ne l'ignore, de même que le Christ Jésus est le Roi de l'univers, le Seigneur des seigneurs (2), et qu'il tient en mains le sort de tous les hommes et de tous les peuples, de même aussi Marie, sa sainte Mère, étant donné la grande puissance d'intercession devant Dieu qui lui a été octroyée, est honorée par tous les chrétiens comme la Reine du monde entier. Si le premier miracle accompli par le divin Rédempteur à Cana de Galilée (3) est dû à sa miséricorde suppliante, sur le point de mourir sur la croix il nous a donné ce qui lui restait de plus cher sut la terre, à savoir sa Mère pour qu'elle fût notre Mère ; si enfin, au cours des siècles, nos ancêtres, en tout danger soit public, soit privé, se sont réfugiés vers elle dans une prière pleine de confiance, comment, dans les maux terribles qui depuis si longtemps nous étreignent, ne confierions-nous pas nos biens et nos vies à sa très puissante protection.
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(2) I Tim. vi, 15 ; Apoc. xvii, 14 et xix, 16. — (3) Cf. S. JEAN II, 1-11.
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Re: Marie Médiatrice
508
Toutes choses obéissant à Dieu et se conformant à son vouloir éternel, on peut affirmer sans crainte d'erreur que la bonté du Fils unique de Marie exauce toujours les prières de la Vierge sa Mère, surtout depuis que cette bienheureuse Vierge jouit de la béatitude éternelle dans les cieux et a été couronnée et triomphalement acclamée Reine des anges et des hommes.
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Re: Marie Médiatrice
509
Mais si sa puissance est si grande auprès de Dieu, sa compassion n'en est pas diminuée envers nous, puisqu'elle est notre Mère très aimante. Que tous aillent donc à elle avec une foi vivante et un amour ardent, que non seulement on lui adresse des prières suppliantes, mais qu'on lui apporte de saintes œuvres de pénitence et de charité, grâce auxquelles la justice divine outragée par des crimes si nombreux et si considérables puisse être apaisée. La prière, en effet, pour reprendre une pensée de Léon XIII, Notre très docte prédécesseur, « contribue à fortifier l'âme, à la disposer aux œuvres vertueuses et à l'élever vers Dieu ; quant à la pénitence, elle nous donne la force de nous commander nous-mêmes, de dominer notre corps surtout, lequel est devenu, depuis la faute originelle, le plus terrible ennemi de la raison et de la loi évangélique. Ces deux exercices sont en connexion manifeste ; ils se renforcent l'un l'autre et tendent de concert à détacher des choses caduques l'homme né pour le ciel et à le faire entrer en quelque sorte dans l'amitié avec Dieu (4). »
Si ces exercices ont toujours été nécessaires aux chrétiens, la malice des temps actuels les exige bien davantage. Ils sont de la plus grande utilité, puisque c'est par eux que nous pouvons plus facilement, sous le patronage de la bienheureuse Vierge Marie, obtenir du Père des miséricordes (5) et du Dieu auteur des dons célestes, cette paix véritable, solide et durable, qu'engendrent la justice et la charité, cette paix que nous désirons tous et que nous attendons si ardemment...
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(4) LEON XIII, Lettre encyclique Octobri mense du 22 septembre 1891. ASS xxiv (1891-1892) 201. — (5) II Cor. I, 3.
FIN
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