The Great Sacrilege (1971) - I. La « Communion »
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The Great Sacrilege (1971) - I. La « Communion »
Voir la note (a) en bas.
So much having been said, little imagination is required to anticipate what the devisers of the "New religion" want the Communion of their "mass" to be. After the merry-making of the Rite of Peace, everyone should be in a jovial enough mood to share a little "supper" as a sign of their freshly renewed affection and a kind of "memorial" of their chummy get-together. "Communion" in the "New Mass" is nothing more than a restoration of the ancient agape, the love-feast. In the very early days of the Church, it was a meal which followed the celebration of the Mass. St. Paul mentions it only to scold the people for their use of it to desecrate the Mass.
"When you come therefore together into one place, it is not now to eat the Lord's supper. For every one taketh beforehand his own supper to eat. And one indeed is hungry and another is drunk. What, have you not houses to eat and to drink it? Or despise ye the church of God: and put them to shame that have not? What shall I say to you? Do I praise you? In this I praise you not." I Corinthians XI: 20-22
What would this "Great Lion of God" say about the goings-on in "Catholic" churches today?
_____________________________traduction a écrit:Nous en avons tellement dit jusqu’à date, que ça ne prend pas beaucoup d’imagination pour anticiper ce que les comploteurs de la » Nouvelle Religion » veulent que la Communion de leur « messe » soit. Après les réjouissances du Rite de Paix, un tous et chacun devrait être d’humeur assez joviale pour partager un petit « repas » ("supper" ) comme signe de leur amitié fraîchement renouvelée et un espèce de « mémorial » de leur familiarité d’amis intimes. La « communion » dans la « nouvelle messe » n’est rien de plus qu’une restauration de l’agape ancienne. Dans les tout premiers temps de l’Église, c’était un repas qui suivait la célébration de la Messe. S. Paul n’en fait mention que pour réprimander les personnes qui s’en servent pour profaner la Messe.
« Lors donc que vous vous réunissez, ce n’est plus manger la cène du Seigneur. Car chacun anticipe le temps de prendre son repas. Et ainsi l’un souffre de la faim et l’autre regorge. N’avez-vous pas des maisons pour y manger et boire ? Ou méprisez-vous l’Église de Dieu, et voulez-vous faire honte à ceux qui n’ont rien ? Que vous dirais-je ? Vous en louerais-je ? Non je ne vous en loue point. »I Corinthiens XI: 20-22
Que dirait ce « fameux Lion de Dieu» sur ce qui se passe dans les églises « catholiques » de nos jours ?
(a) : Note de Missale : Tout ce qui touche J. B. Montini, alias « le Pape Paul VI », avec tous les autres qualificatifs que cela peut entraîner, n'implique nullement que nous le reconnaissions comme tel : bien au contraire...Tous ces termes ne sont reproduits ici que pour reproduire le plus fidèlement possible la pensée du Père James F. Wathen en 1971.
A suivreextraits de THE GREAT SACRILEGE , par le Père James F. Wathen, O.S.J., Tan Books and Publishers (Illinois, U.S.A), 1971.
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Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
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Re: The Great Sacrilege (1971) - I. La « Communion »
Voir la note (a) en bas.
May I call your attention at this point to Pope Paul VI's "decree" Missale Romanum. (Appendix II). Truly it is one of the most curious writings in the annals of the Papacy. And it is appropriate that we take notice of it here. This "decree" should be read carefully, for it is a classic example of "Pauline" circumlocution and eel-like ambiguity. You will notice throughout, for instance, the Pope nowhere clearly and dogmatically delineates the Catholic doctrine of the Holy Sacrifice, and, more particularly, that of the Blessed Eucharist. On the contrary, by a studied effort, he chooses his words so that they are easily susceptible of a Protestant interpretation. Presumably, Protestant minister do read this "decree." If so, they find nothing in the present day official understanding of the Church concerning the "mass" which prohibits their participation in it.
The Pope speaks of the three principal parts of the Mass, the Offertory, the Consecration, and the Communion, only to indicate that the "reform" has required their "simplification."
Also to be eliminated are elements which, with the passage of time, came to be duplicated, or were added with but little advantage, above all in the rites of offering the bread and wine, and in those of the breaking of the bread and of communion (Appendix II Par. 7).
The Offertory, as we have seen, has been suppressed.
_____________________________traduction a écrit:Laissez-moi vous parler du « décret » du Pape Paul VI Missale Romanum (Appendix II). Ce « décret » doit être lu attentivement comme un exemple classique de la circonlocution (ambage) « pauline » et le louvoiement de l’anguille. Vous noterez que dans tout le document le Pape nulle part ne délimite clairement et dogmatiquement la doctrine catholique sur le Saint Sacrifice, par exemple, et, plus particulièrement, sur le Saint Sacrement. Avec une minutie calculée, au contraire, il choisit les mots qui, finalement, peuvent être interprétés de façon protestante. Probablement que les pasteurs protestants ont lu ce « décret ». Si c’est le cas, ils ne trouvent rien, à ce jour dans les documents officiels de l’Église à propos de la « messe » qui les empêcherait d’y participer.
Le Pape parle des 3 principales parties de la Messe à savoir l’Offertoire, la Consécration et la Communion, mais seulement pour indiquer que la « réforme » exigeait leur « simplification »
On a aussi fait disparaître ceux qui, au cours des âges, ont été redoublés ou ajoutés sans grande utilité, surtout dans les rites d'offrande du pain et du vin, et dans ceux de la fraction du pain et de la communion. (Appendix II Par. 7).
Comme nous l’avons vu l’Offertoire a été supprimé.
(a) : Note de Missale : Tout ce qui touche J. B. Montini, alias « le Pape Paul VI », avec tous les autres qualificatifs que cela peut entraîner, n'implique nullement que nous le reconnaissions comme tel : bien au contraire...Tous ces termes ne sont reproduits ici que pour reproduire le plus fidèlement possible la pensée du Père James F. Wathen en 1971.
A suivreextraits de THE GREAT SACRILEGE , par le Père James F. Wathen, O.S.J., Tan Books and Publishers (Illinois, U.S.A), 1971.
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Louis- Admin
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Re: The Great Sacrilege (1971) - I. La « Communion »
Voir la note (a) en bas.
Now, how many Catholics know that the term "the breaking of the bread" (the "Fractio Panis") is a scriptural phrase which the early Christians used to refer to the Holy Sacrifice of the Mass? (Acts 2:42). But you must realize that no Protestant thinks of the term in that way. The unavoidable question is, why does Pope Paul use this expression to refer to the Consecration, since among Catholics it is by no means a normal way of speaking of it. He pretends that this expression is quite familiar to us, but it is not, anymore than it is natural for us to refer to each other as "brothers and sisters."
_____________________________traduction a écrit:Maintenant, combien de catholiques savent que le terme « fraction du pain » (le « Fractio Panis ») est une phrase scripturale employée par les premiers chrétiens pour parler du Saint Sacrifice de la Messe (Actes 2, 42). Mais vous devez réaliser qu’aucun protestant ne pense de cette façon. La question inévitable est pourquoi le Pape Paul emploie cette expression pour parler de la Consécration quand, chez les catholiques, ce n’est pas une manière habituelle d’en parler. Il prétend que cette expression nous est tout-à-fait familière : elle ne l’est pas, pas plus d’ailleurs que c’est naturel pour nous de s’appeler les uns les autres « frères et sœurs ».
(a) : Note de Missale : Tout ce qui touche J. B. Montini, alias « le Pape Paul VI », avec tous les autres qualificatifs que cela peut entraîner, n'implique nullement que nous le reconnaissions comme tel : bien au contraire...Tous ces termes ne sont reproduits ici que pour reproduire le plus fidèlement possible la pensée du Père James F. Wathen en 1971.
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Re: The Great Sacrilege (1971) - I. La « Communion »
Voir la note (a) en bas.
Now read the following excerpt from Pope Paul VI's Missale Romanum:
All this (he says) is wisely ordered in such a way that there is developed more and more among the faithful a "hunger for the Word of God" (Amos 8:11), which, under the guidance of the Holy Spirit, leads the people of the New Covenant to the perfect unity of the Church. We are fully confident that both priests and faithful will prepare their hearts more devoutly and together at the Lord's Supper, meditating more profoundly on Sacred Scripture, and at the same time they will nourish themselves more day by day with the words of the Lord. It will follow then that according to the wishes of the perpetual source of spiritual life, an instrument of prime value for transmitting Christian doctrine, and finally the center of all theology. (Appendix II, Par. 10).
_____________________________traduction a écrit:Maintenant lisez cette citation du Pape Paul VI de Missale Romanum:
Tout cela est sagement ordonné, de telle manière que se développe de plus en plus chez les fidèles « la faim de la Parole de Dieu (14) » qui, sous la conduite de l'Esprit-Saint, achemine le peuple de la Nouvelle Alliance vers l'unité parfaite de l'Eglise. Nous avons vivement confiance que, de la sorte, prêtres et fidèles prépareront plus saintement leur coeur à la Cène du Seigneur et aussi, méditant plus profondément les Saintes Ecritures, se nourriront de jour en jour davantage des paroles du Seigneur. Il s'ensuivra que, selon les souhaits du Ile Concile du Vatican, les Saintes Lettres seront pour tous à la fois une source perpétuelle de vie spirituelle, un instrument de première valeur pour transmettre la doctrine chrétienne et, enfin, la moelle de toute la théologie. (Appendix II, Par. 10).
(a) : Note de Louis: Tout ce qui touche J. B. Montini, alias « le Pape Paul VI », avec tous les autres qualificatifs que cela peut entraîner, n'implique nullement que nous le reconnaissions comme tel : bien au contraire...Tous ces termes ne sont reproduits ici que pour reproduire le plus fidèlement possible la pensée du Père James F. Wathen en 1971.
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Re: The Great Sacrilege (1971) - I. La « Communion »
Voir la note (a) en bas.
This is from a comparatively long explanation of how the Sacred Scriptures have been given a great prominence in the "New Mass." I ask you to take careful note:
• First, the imagery which we Catholics normally associate with the reception of the Body of Our Lord is used throughout in connection with our hearing of the reading of the Scriptures.
• Second, Holy Communion is given the Protestant terminology, the "Lord's Supper."
• Third, not the reception of the Blessed Eucharist but the hearing of the word of God "leads the people of the New Covenant to the unity of the Church" (typical Protestant biblical phraseology).
• Fourth, the reception of Holy Communion I intertwined with the listening to the word of God, which occurs during the early part of the "mass."
• Fifth, the reception of the Eucharist is strictly communal-no mention of the personal union of the soul with its Spouse and King. (The community, in case it needs to be said, cannot receive Sacraments, only its members; but further, you should be a member of the Mystical Body of Christ to do so).
• Sixth, the community, having shared the "Lord's Supper," will nourish themselves, not on the Body of Christ, but "with the words of the Lord!"
• Seventh, again, as if to identify the words of Christ with the Word in the Flesh, … the Pope says, the Sacred Scriptures, not the Blessed Eucharist will be "a perpetual source of the spiritual life."
• Eighth, nowhere in all this discussion about the Holy Scriptures does the Pope warn that its interpretation is strictly subject to the divine Magisterium of the Church, and understandably enough. No Protestant would hear of such a thing!
There is not a line in all this writing that is heretical, you understand. Yet, with such words as these, the Bishop of Rome, the Successor of St. Peter, whose patronal namesake is the "Apostle of the Gentiles," the spiritual sovereign of the world introduces his Revolutionary Instrument. For this incredible "decree" stands in the same place in the Novus Ordo Missae as Quo Primum does in the Missale Romanum.
traduction a écrit:Ce qui suit est tiré d’un long exposé qui explique comment les Saintes Écritures ont acquis une grande importance dans la « nouvelle messe ». Notez-les bien.
• D'abord, le langage imagé que nous, catholiques, associons habituelle à la réception du Corps de Notre Seigneur est toujours employé selon notre compréhension de la lecture des Saintes Écritures.
• En second lieu, à la Sainte Communion sainte est donnée le sens de « cène du Seigneur » Terminologie protestante.
• Troisièmement, ce n’est pas la réception de la Sainte Eucharistie mais d'entendre la parole de Dieu qui « conduit le peuple de la Nouvelle Alliance à l’unité de l’Église » (phraséologie biblique protestante typique).
• Quatrièmement, la réception de la Sainte Communion est accolée avec l’audition de la parole de Dieu, qui se produit au début de la « messe. »
• Cinquièmement, la réception de l'eucharistie est strictement communautaire—aucune mention de l’union personnelle de l'âme avec son Épouse et son Roi conjoint et roi. (La communauté, si on doit le dire, ne peut pas recevoir des sacrements, seulement ses membres ; de plus, vous devez être un membre du corps mystique du Christ pour ce faire).
• Sixièmement, la communauté, ayant partagé de « la cène du Seigneur, » se nourrira non du Corps du Christ, mais « des paroles du Seigneur ! »
• Septièmement, encore, de nouveau, comme pour identifier les paroles du Christ avec le Verbe fait chair, le Pape dit que les Saintes Écritures et non la sainte Eucharistie sera « une source perpétuelle de vie spirituelle. »
• Huitièmement, nulle part dans toute cette discussion à propos des Saintes Écritures, le Pape prévient que son interprétation est sujette strictement au divin Magistère de l’Église, et c’est assez compréhensible : aucun protestant ne voudrait entendre une pareille chose !
Vous comprendrez que dans tout ce texte il n’y a aucune ligne qui soit hérétique. Encore qu’avec de tels mots, l’Évêque de Rome, le Successeur de S. Pierre, dont l’homonyme est l, « Apôtres des Gentils » , les souverain spirituel du monde entier a fait adopter son Infâmie Révolutionnaire. Car ce « décret » incroyable occupe la même place dans le Novus Ordo Missæ que Quo Primum dans le Missale Romanum
Fin de cette section.
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(a) : Note de Louis: Tout ce qui touche J. B. Montini, alias « le Pape Paul VI », avec tous les autres qualificatifs que cela peut entraîner, n'implique nullement que nous le reconnaissions comme tel : bien au contraire...Tous ces termes ne sont reproduits ici que pour reproduire le plus fidèlement possible la pensée du Père James F. Wathen en 1971.
extraits de THE GREAT SACRILEGE , par le Père James F. Wathen, O.S.J., Tan Books and Publishers (Illinois, U.S.A), 1971.
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