LES SAINTES ÉCRITURES ET LA RÈGLE DE LA FOI..

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Message  Roger Boivin Dim 21 Avr 2013, 2:45 pm


Illusion de ceux qui croient que chaque fidèle lisant pieusement les Saintes Écritures, reçoit du Saint-Esprit un secours spécial, une illumination surnaturelle pour en comprendre le véritable sens. - Ce système ne s'appuie pas sur la parole de Dieu ; il suppose la lecture de la Bible et par conséquent ne saurait s'appliquer à tout le monde ; il est propre à produire des illusions et le fanatisme religieux.

Certains réformateurs, s'apercevant que la raison, abandonnée à ses propres forces, est impuissante à discerner les vérités révélées clans les Écritures, et ne peut être en définitive que le tombeau de toutes les croyances religieuses, imaginèrent de lui substituer l'illumination surnaturelle et intérieure de l'Esprit-Saint se communiquant aux individus suffisamment bien disposés. Luther lui-même semble n'avoir pas été étranger, ni hostile à celte règle de foi.

Dans ce système, tout est subordonné à l'inspiration, même la Sainte Écriture. C'est dans cette illumination qu'ils font consister leur règle de foi prochaine. Toutefois certaines conditions sont requises pour que le Saint-Esprit éclaire ainsi les lecteurs de la Bible. Voici comment s'exprimait sur ce sujet le ministre Monnot, convertisseur des Lyonnais : « Prenez donc la Bible...lisez-la, mais à genoux ;... le Saint-Esprit qui l'a écrite s'expliquera lui-même à votre cœur... Que si quelques-uns persistent à soutenir que la Bible est obscure, qu'ils sachent qu'elle n'est obscure que pour eux et par leur faute.» Plusieurs autres écrivains protestants s'expriment dans le même sens. Telle paraît être la doctrine des Anabaptistes, des Quakers, des Méthodistes modernes ou Wesleyens, des Swedenborgiens, des Mennonites, des Frères Moraves, etc. Suivant eux, l'Église, les rites, les sacrements, les symboles, la tradition apostolique : tout est humain ; l'Écriture seule est divine.

Mais cette règle de foi a plusieurs défauts graves, essentiels même, et entre autres 1° de ne pas s'appuyer sur la parole de Dieu ; 2° d'être impraticable pour la plupart des hommes ; 3° de produire bien des illusions et un fanatisme obstiné ; 4° de rendre inutiles tous nos Livres Saints.



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Quum ex Seminarii Quebecensis pracscripto recognitum
fueril opus cui titulus est i La Sainte ÉciHlure et la règle de
foi, par l'Abbé L. N. Bcgin, > nihil obstat quin typis mandetur.

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Message  ROBERT. Dim 21 Avr 2013, 2:57 pm

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Excellent dossier en perspective, Roger.
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Message  Roger Boivin Dim 21 Avr 2013, 2:59 pm


I. Ce principe ou cette règle de foi ne s'appuie ni sur la parole de Dieu conservée par la tradition, - et d'ailleurs ils n'admettent pas la tradition, - ni sur la parole de Dieu écrite. Quand on parcourt les Livres inspirés, on voit bien que l'assistance du Saint-Esprit a été promise aux Apôtres et à leurs successeurs pour enseigner toute vérité, tout ce que Jésus-Christ leur a lui-même enseigné, mais on ne trouve nulle part que cette promesse ait été faite à chacun des fidèles. Tous les textes sacrés qu'ils apportent pour soutenir leur thèse étrange, prouvent bien que Dieu dispose constamment les cœurs par sa sainte grâce et les rend dociles, qu'il gouverne le genre humain par sa bénigne Providence, qu'il donne quelquefois des lumières extraordinaires à ses élus pour les faire arriver au sommet de la perfection ; mais ils ne démontrent en aucune manière que Dieu ait promis de donner à chacun une inspiration ou une illumination immédiate, qui lui fasse connaître le sens dogmatique de l'Écriture en général, et qui le constitue juge suprême de la foi.

D'ailleurs ces textes, qui servent de base à ce système, sont interprétés dans un sens différent, non seulement par les catholiques, mais encore par tous les protestants qui n'admettent pour règle de foi que l'examen privé des Écritures, dont il a été question dans l'article précédent. Cette divergence d'opinions sur le sens de ces textes devrait être de nature à inspirer aux partisans de l'illumination directe la crainte d'avoir pu se tromper. Si la piété et la bonne volonté suffisaient pour faire projeter sur les Écritures les rayons de la lumière divine, comment l'eunuque de la reine d'Éthiopie, comment saint Jérôme, saint Augustin, saint Chrysostôme et tant d'autres personnages, illustres par leur vie pieuse et leur amour sincère de la vérité, n'ont-ils pas reçu, eux aussi, ces illuminations célestes qui les eussent empêchés de se plaindre de l'obscurité des Écritures ? Cette prétendue inspiration individuelle n'a donc aucun fondement dans la parole de Dieu écrite.



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Message  ROBERT. Dim 21 Avr 2013, 3:11 pm

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Merci d'avoir répondu si vite Roger...

Dans le coin inférieur gauche du texte, on peut lire "l'Abbé L.N. Bcgin."

Serions-nous en présence du futur Cardinal Bégin ?

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Message  Roger Boivin Dim 21 Avr 2013, 3:13 pm


II. Cette règle de foi est impraticable pour la plupart des hommes. Voilà une assertion bien étrange, dira-t-on ; si le Saint-Esprit veut bien lui-même enseigner les hommes, quel moyen plus facile et plus sûr peut-on imaginer?

C'est vrai ; mais aussi cet enseignement divin suppose la lecture de la Bible ; on vous dit en effet de lire l'Écriture, mais pieusement et à genoux.

A pareil système il n'est pas besoin de donner une réponse bien sérieuse ; je me contenterais de dire à ces partisans de l'inspiration divine : Oui, lisez la Bible pieusement, vous tous, protestants qui ne savez pas lire ; surtout ne manquez pas de la lire à genoux ! autrement le Saint-Esprit pourrait ne pas vous illuminer, et le livre sacré demeurerait pour vous inintelligible et scellé comme celui que l'Apôtre saint Jean pleurait de ne pouvoir ouvrir! Vous tous qui ignorez si ce qu'on vous présente comme la Bible, est bien en réalité un Livre inspiré de Dieu, vous qui ignorez si la version qu'on vous donne est authentique, complète et fidèle, lisez toujours la Bible pieusement et à genoux ! L'Esprit de Dieu dira à votre intelligence si elle est exacte et complète ou altérée et incomplète ; il vous suggèrera le sens de chaque passage ; il vous donnera un cours d'exégèse biblique ! Que de miracles pour faire comprendre l'Écriture à tout le monde !

Mais alors plus d'obscurités, plus d'incertitudes ; tout devient clair comme le soleil ! C'est sans doute parce que certains protestants ne lisent pas leur Bible à genoux et pieusement, que leurs coreligionnaires leur reprochent souvent de la comprendre bien peu ou de l'interpréter si mal. A moins toutefois qu'on ne doive regarder comme vraies et dictées par l'Esprit-Saint toutes ces interprétations si contradictoires de nos illumines modernes, et que le Saint-Esprit, - dont quelques-uns peut-être ne reconnaissent plus la divinité, - ne puisse leur suggérer le oui et le non, !e vrai et le faux, selon les circonstances : énoncer pareille proposition, c'est aux yeux d'un catholique proférer un blasphème.

Toutefois, je suis loin de nier que le Saint-Esprit éclaire quelquefois les hommes d'une manière toute particulière, pourvu qu'ils cherchent sincèrement la vérité et surtout par les moyens établis de Dieu, par le ministère des pasteurs légitimes.



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Message  Roger Boivin Dim 21 Avr 2013, 3:50 pm


III. Cette même rêgle de foi protestante est propre à produire bien des illusions et un aveugle fanatisme. Qui ne sait que l'homme peut très souvent, surtout lorsque son imagination est vive ou un peu frappée, prendre pour du surnaturel, pour de l'inspiration divine ce qui ne vient que de son propre fonds, ce qui n'est qu'un enthousiasme passager, une surexcitation du moment ? L'histoire est là pour témoigner des fréquentes illusions, auxquelles un homme de bonne foi peut se laisser entraîner sous l'empire de cette prétendue illumination. A quelles folies ne se sont pas portés les Montanistes, guidés par Montan et Priscille ? Montan ne se déclarait-il pas exempt d'erreur, supérieur par sa doctrine au Christ même, et ne se croyait-il pas le Paraclet promis au monde par Jésus-Christ ? Que dire des extravagances de certaines sectes gnostiques des premiers siècles de l'Église et des hérétiques illuminés du moyen-âge, qui joignaient bien souvent à leurs rêveries bizarres la plus profonde immoralité et le fanatisme le plus opiniâtre ? Nos illuminés modernes refuseront peut-être d'abriter sous leurs drapeaux les auteurs de tant d'excentricités et de forfaits ; toutefois ils devront au moins reconnaître que leur principe, étant le même, peut conduire à des conséquences également funestes.

Examinons cependant un peu ce qu'a produit ce système depuis la réforme. Quiconque a lu l'histoire connaît les excès, les violences, la brutalité sauvage des Anabaptistes, à Munster et dans d'autres villes de l'Allemagne et des Pays-Bas, le délire redoutable d'un Thomas Munzer, d'un Jean de Leyde, d'un Rotlman, d'un Knipperdolling et autres. Dans leurs moments d'inspiration, ils ravagèrent les villes, firent d'affreux massacres, proclamèrent la polygamie, etc. David Georges alla jusqu'à se dire le véritable Fils de Dieu. Qu'on veuille bien se rappeler aussi le délire frénétique du cordonnier George Fox, chef de la secte des Quakers, et les prétendues illuminations, les commotions étranges, les agitations, les tremblements, les soupirs de ses coreligionnaires au milieu de leurs assemblées, lorsque l'Esprit de Dieu vient les visiter.

Que de choses n'y aurait-il pas à dire des campmeetings des méthodistes et de leurs ministres qui, -au témoignage du prédicant Rauschenbusch1, n'ont aucune connaissance réelle de la Bible, et sont étrangers à toute culture scientifique ? Le même écrivain ajoute2 que, pendant leur service divin, la prédication ou la prière, ils font un tel vacarme en criant tous à la fois, qu'il est absolument impossible de comprendre celui qui prêche ou qui déclame une prière. Ils prennent toutes ces illusions, ces gémissements artificiels et cette surexcitation extraordinaire pour l'action surnaturelle de l'Esprit-Saint.

Quel bruit n'a pas fait en Angleterre la visionnaire Jeanne Southcott qui, à la fin du siècle dernier et au commencement du dix-neuvième, agissait toujours sous la direction de l'Esprit de Dieu, donnait des passe-ports pour le ciel, munis de trois sceaux, et promettait de donner bientôt au monde un nouveau Messie ? Elle eut un grand nombre de partisans et elle en a encore, dit-on, bien qu'elle soit descendue dans la tombe en 1814, et que son Messie ne soit pas encore venu. Après sa mort, des luttes très graves éclatèrent entre ses partisans.

On conçoit facilement qu'avec le principe si élastique, que « chacun est libre de suivre l'esprit intérieur dont il se sent inspiré, » on peut aller fort loin. Il en est plusieurs qui ont même poussé la folie jusqu'à proclamer que l'adultère, l'homicide et tous les crimes ne rendent pas l'homme plus désagréable à Dieu ; que la grâce abonde là où le péché avait abondé, etc. Du moment que quelqu'un se croit sous l'influence du Saint-Esprit, il peut faire ce que bon lui semble, se livrer aux plus graves désordres, devenir même dangereux pour la société ; il n'y a rien à dire ; c'est Dieu qui le mène et qui lui inspire ces actes ; de là cette exaltation opiniâtre que l'on remarque chez ces sectaires, lorsqu'ils se persuadent d'agir d'après les inspirations du ciel ; aucun obstacle ne saurait les arrêter ; les conseils deviennent inutiles. On en a vu qui, condamnés à mort et rendus au pied du gibet, croyaient voir le ciel ouvert et Jéhovah qui leur tendait les bras pour les accueillir dans son royaume. Il est incontestable que si ce principe était universellement adopté, le christianisme deviendrait, à certains points de vue, pire que le paganisme, et serait de nature à exercer sur les masses l'influence la plus désastreuse.

Qu'on ne dise pas que les exemples rapportés plus haut sont exceptionnels ; ce sont des cas qui se reproduisent souvent et inévitablement chez toutes ces sectes d'illuminés. Il est facile de s'en convaincre, en parcourant les annales de l'histoire, qui renferment par milliers des faits analogues à ceux dont j'ai parlé.

(1) Bie Nackte de» Western, p. 32, Barmen, 1847.
(2) Ibid. p.43.




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Message  Roger Boivin Dim 21 Avr 2013, 4:02 pm


IV. Ce principe de l'inspiration individuelle, une fois admis, rendrait les Écritures inutiles. Car si Dieu eût choisi cet enseignement intérieur de l'Esprit-Saint comme moyen de conduire tous les hommes à la vérité, il aurait sans doute été suffisant et alors il n'y avait plus besoin d'enseignement extérieur.

Cependant nous savons que Dieu a voulu nous donner une révélation extérieure, et qu'il nous a parla même assujettis à un enseignement venant du dehors. Dieu aurait pu sans aucun doute adopter un autre moyen, de même qu'il aurait pu nous rendre parfaits en un instant; mais il ne l'a pas voulu ; à nous de nous soumettre à ses adorables décrets.

Avec celte doctrine de l'inspiration, à quoi servent les Écritures ? à quoi bon l'apostolat ? de quelle utilité peut être une Église enseignante ? Erreur funeste qui anéantit l’œuvre de Jésus-Christ, qui la soumet aux caprices et aux aberrations d'esprit de chacun, et qui permet de supprimer la rédemption des hommes comme une œuvre inutile.


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LA SAINTE ÉCRITURE ET LA RÈGLE DE LA FOI - par l'Abbé Louis-Nazaire Bégin, Docteur en Théologie, Professeur à la Faculté de Théologie de l'Université Laval - pages 92 à 100 :

http://www.archive.org/stream/lasaintecritur00bguoft#page/92/mode/2up

FIN

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Message  Roger Boivin Dim 21 Avr 2013, 4:10 pm

ROBERT. a écrit:.

Merci d'avoir répondu si vite Roger...

Dans le coin inférieur gauche du texte, on peut lire "l'Abbé L.N. Bcgin."

Serions-nous en présence du futur Cardinal Bégin ?

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Sans doute (?) :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Nazaire_B%C3%A9gin

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Message  ROBERT. Dim 21 Avr 2013, 4:46 pm

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Excellente lecture Roger ! Merci.

Il me vint une pensée en lisant :


L'homme n'est ni ange, ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête. (Pascal)


P.s.: n'en doutez plus cher ami: il s'agit bien du Cardinal Louis-Nazaire BÉGIN.
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Message  Roger Boivin Dim 18 Déc 2016, 1:04 pm

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