Le Jazz juif devient notre musique nationale

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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 12:25 am

Henry Ford : Le juif international



Chapitre XI



Le Jazz juif devient notre musique nationale




Pour ne pas détruire prématurément les institutions des chrétiens, nous y avons touché d'une main savante; nous avons pris dans nos mains les ressorts de leur mécanisme. Ces ressorts étaient disposés dans un ordre sévère, mais juste ; nous l'avons remplacé par un arbitraire désordonné. Nous avons touché à la juridiction, aux élections, à la presse, à la liberté individuelle, et surtout à l'instruction et à l'éducation qui sont les pierres angulaires de l'existence libre. Nous avons mystifié, hébété et corrompu la jeunesse des non-Juifs par une éducation fondée sur des principes et des théories que nous savons faux, mais qui sont inspirés par nous. Par-dessus les lois existantes, sans les changer essentiellement, mais en les défigurant seulement par des interprétations contradictoires, nous avons obtenu des résultats prodigieux.

(Extrait du 9e protocole, page 55)



On s'est demandé d'où déferlait, vague après vague, cette fange musicale qui submerge les honnêtes gens et pousse la jeunesse de cette génération à imiter ce genre imbécillités. La musique dite populaire est un monopole juif. Or, le jazz est de facture juive. Cette bouillie musicale, accommodée tantôt à l'eau de rose, tantôt à la fange la plus fétide, où suggestions sournoises le disputent à la sensualité débridée de notes instables, est d'extraction juive.

Dialogues de singes, cris aigus des profondeurs de la jungle, grognements, glapissements, halètements suggestifs d'amours immatures, ces bruitages sont à peine camouflés par quelques notes fiévreuses et pénètrent dans les familles, d'où tout cet affligeant fatras devrait être éjecté avec horreur, s'il ne se présentait pas sous la forme enregistrée de « musique en conserve ».

Ces pages de musique d'agités trahissent des expressions nous venant en droite ligne des cloaques des capitales modernes, source de l'argot quotidien et des remarques inconsidérément articulées par nos jeunes gens


Qu'il est surprenant de constater que, quelle que soit la direction où l'on se tourne pour retrouver la source des courants d'influence nuisibles qui s'écoulent dans la société, l'on rencontre toujours un groupe de Juifs ! Corruption dans le monde du base-bail ? Un groupe de Juifs ! Finance exploiteuse ? Un groupe de Juifs ! Dégénérescence du théâtre ? Un groupe de Juifs ! Propagande pour la consommation d'alcool ? Un groupe de Juifs ! Contrôle national de la politique de guerre? Un groupe de Juifs! Contrôle de la presse au moyen de pressions commerciales et financières? Un groupe de Juifs ! Profiteurs de guerres à 80% ? Des Juifs ! Actifs opposants aux lois et coutumes chrétiennes ? Encore et toujours, les Juifs !

Derrière ces miasmes de prétendue musique populaire, où la faiblesse d'esprit rivalise avec la débauche ou sa suggestion, de nouveau les Juifs ! L'influence juive sur la musique américaine est sans doute considérée comme sérieuse par les connaisseurs ; il n'y a du reste une protestation croissante contre la judaïsation de nos quelques grands orchestres, car force est de constater que les Juifs remplissent la scène des concerts et des plateaux populaires de leurs propres congénères à l'exclusion de tous les autres. S'ils s'avéraient des artistes hors pair, il n'y aurait rien à dire ; mais s'ils sont mieux connus que les autres, ce n'est que parce qu'ils sont racialement favorisés par les cercles musicaux juifs. « Qu'on me laisse composer les chants de la nation et peu importera qui fait les lois ! » disait-on déjà. Mais dans ce pays, les Juifs ont ratissé large : ils ont fait et l'un et l'autre.

Le but de ce chapitre est de faire connaître la vérité en ce qui concerne la musique dégénérée habituellement fredonnée, chantée ou criée, nuit et jour, pour le plus grand profit des propagandistes juifs et de montrer la matraque du Juif, jusqu'alors invisible, mais agitée et menaçante pour la tête des récalcitrants. Au moment précis où la scène et le cinéma américains passaient sous contrôles financier et artistique juifs, ô mercantilisme avide et destructeur, les « chansons populaires » devinrent une juteuse industrie yiddish ; en effet, les premiers à exploiter ce filon furent, pour la plupart, des Juifs nés en Russie, dont certains avaient un passé aussi peu recommandable que celui de nombreuses figures juives du théâtre et du cinéma mentionnées auparavant.

Au début des années 1920, Irving Berlin, Léo Feist et d'autres personnages importants de sept corporations new-yorkaises d'éditions musicales, furent accusés, lors d'un procès intenté par le gouvernement des Etats-Unis, d'avoir violé la loi Sherman antitrust. Les accusés, prétendait-on, contrôlaient 80% des chansons sous droits d'auteurs utilisées par les manufactures de phonographes, de rouleaux enregistreurs et d'autres instruments de reproduction musicale, et fixaient les prix de vente de ces instruments au public. Les sociétés impliquées dans la cause, toutes de New York, étaient les suivantes :

< Consolidated Music Corporation Irving Berlin, Inc.

( Francis, Day & Hunter, Inc.

( Shapiro, Bernstein & Cie.

( Watterson, Berlin & Snyder, Inc.

( M. Vitmark & Sons, Inc.

Le monopole que le gouvernement des Etats-Unis cherchait à dénoncer était censé prévoir que les accusés n'établiraient de contrat qu'avec la Consolidated Music Corporation qu'ils avaient eux-mêmes mise sur pied. Les autres 20% ressortissant au commerce de la chanson étaient contrôlés par d'autres entreprises juives de musique non incluses dans ce monopole.


http://archive.org/stream/LeJuifInternationalLePlusGrandProblmeDuMonde/FORDf#page/n81/mode/2up



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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 12:31 am




Comment le Trust juif de la chanson vous fait chanter !

Les Juifs n'ont pas créé la chanson populaire, mais ils l'ont avilie. Le moment où les Juifs se sont saisis du contrôle de la chanson populaire coïncide avec le déclin de la moralité de celle-ci. La chanson populaire, avant de devenir une industrie juive, était réellement populaire. Le peuple s'y adonnait et n'avait pas de raison de le cacher. Aujourd'hui cet art est d'une composition si discutable que les exécutants, pourvus d'un minimum de décence, doivent apprécier les dispositions de leur auditoire avant de chanter. Les citoyens d'âge adulte se souviendront des étapes franchies par la chanson populaire ces dernières décennies. Quelques vieilles chansons populaires persistèrent après la guerre de Sécession et furent peu à peu intégrées dans des chansons plus récentes, pittoresques, romantiques, propres. Les mêmes chansons et balades connurent un bref renouveau durant la Première Guerre mondiale : ce n'était pas des produits d'usine à chansons, mais des créations provenant d'amateurs naturellement doués pour ce genre d'expression, ne travaillant pas pour le seul profit, mais par plaisir et pour les artistes de la scène et du music-hall. Pour eux, la chanson ne fut jamais à l'origine de grandes fortunes, mais leur procura la joie d'avoir répondu au goût du public qui, comme tout autre goût, est avide de ce qu'on lui présente. Le public ignore les sources de ce qui l'anime et s'accommode de ce qu'on lui sert. Le goût du public s'améliore ou dégénère, selon que le spectacle est de haute tenue ou de qualité cruellement médiocre.

En un quart de siècle, étant donné que tous les vecteurs publicitaires possibles, soit le théâtre, le cinéma, la chanson populaire, les journaux et la radio, avaient passé sous la coupe d'agences et d'entreprises immorales, afin de modeler l'opinion public à travers ses goûts et ses divertissements, en un quart de siècle seulement, l'affaire était dans la poche !

Autrefois les gens qui avaient l'habitude de chanter ou de fredonner des mélodies, ne le faisaient pas comme aujourd'hui, avec cet air de drogués, ni ne s'abrutissaient dans une interminable mélopée ; ils chantaient parce qu'ils en avaient envie et non par automatisme pulsionnel incontrôlé ; ils chantaient des chansons qui n'étaient pas forcément des chefs d'œuvres musicaux et littéraires : des chansons sentimentales, des chansons héroïques, mais les chansons véreuses, outrageantes, étaient hors-la-loi. De plus, les vieilles chansons reviennent rapidement en mémoire et, bien que des années aient passé depuis leur vogue, leur qualité était telle qu'elles ne sont pas tombées dans l'oubli. Car enfin, qui donc connaît le nom de la chanson populaire (ndt : on dirait aujourd'hui le « tube ») du mois dernier ? En revanche, il y a des chansons de jadis dont les titres sont familiers même à ceux qui ne les ont jamais chantées. Quelle place ces chansons laissaient-elles aux aspects bassement suggestifs et insidieusement émotionnels ? Le sentiment n'y faisait pourtant pas défaut, mais il n'était pas outrageant.

Alors vinrent les Juifs... et la chanson populaire subit une mutation tératogène. De nouveaux titres apparurent, qui autorisèrent une moisson entièrement nouvelle ; ils traitaient d'une série de sujets fort différents de ceux des chansons qu'ils évinçaient. Chanteurs et chansonniers talentueux, chantant juste et bien, disparurent. Ce fut la jungle qui envahit l'espace alors vacant, la jungle de la période juive et africaine, jungle dans ses rythmes, ses motifs et sa loi ; cette vogue ne s'appelait-elle pas « Congo » ? Jungle encore dans d'autres compositions qui dégénérèrent rapidement en un comportement que nous qualifierons de bestial, sachant cependant ce terme impropre, parce qu'aucune bête ne s'y abaisserait. Suivant cette tendance « fétide » apparut le style « ragtime », résultant du développement de la chanson nègre authentique. Les paroles disparurent pour faire place aux nombreuses chansons « cake-walk » qui saturaient les oreilles du public. Des rythmes syncopés, se voulant charmeurs, submergeaient l'harmonie de la chanson elle-même. L'art de la chanson nègre prit un nouvel essor : de séduisants jeunes gens marmonnèrent des mélopées inaudibles, de voluptueuses femelles aux gestes grossièrement provocants, proférèrent en gémissant des sons nasillards inaccessibles à tout musicien. Les « numéros pianistiques » firent fureur; de même que les orchestres de jazz. Peu à peu, mais cependant de manière aisément perceptible, à subir l'audition des chansons ordurières dont les dernières décennies sont saturées, nous avons pu juger du déclin de la relève de la chanson populaire. Les sentiments se sont mués en sensualité bassement suggestive. Les idylles ont sombré dans l'érotisme. Le rythme musical populaire est devenu « ragtime » et celui-ci s'est fait coiffer par le jazz, puis par la chanson dite « de charme ». Quant aux thèmes des chansons, ils sortent tout droit des bas-fonds de la pègre.

Le premier « roi du jazz » au style personnalisé fut un Juif nommé « Frisco ». Les promoteurs de cette décadence musicale furent des Juifs. Il leur fallut juste cette touche d'astuce pour camoufler la pollution morale et l'élever un demi degré au-dessus du niveau zéro, ou elle n'engendrerait alors plus rien d'autre que le dégoût absolu.

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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 12:34 am



L'art du plagiat

Dans le « business » qu'est devenu la chanson populaire, les Juifs, comme d'habitude, se sont montrés sans originalité, mais ont fait preuve d'une grande adaptabilité, terme charitable pour signifier ce qui n'est autre que du plagiat. Ce terme, son tour, est un euphémisme voilant pudiquement le crime de viol mental. Les Juifs ne créent pas, ils copient une œuvre faite par autrui et font quelques retouches pour mieux l'exploiter. Le plagiat n'est que le produit d'artistes médiocres, actionnés par des promoteurs qui le sont encore plus, pour fournir quelque chose qui, présenté avec suffisamment d'attractivité, permet de drainer l'argent du public. Les Juifs ont remanié, trafiqué, toutes les vieilles chansons, les mutilant dans leur beauté intrinsèque ; ils ont fait de même avec les partitions d'opéras, les recueils de chants et chansons populaires, comme le prouve l'analyse de quelques-uns des plus grands succès (« hits ») récents du trust de la chanson. C'est, bien sûr, l'argent, et non le talent, qui inspire la chanson yiddish, mais vous pourrez aisément constater qu'elles sont tissées sur le motif et la mélodie des bonnes chansons populaires. Une musique simiesque, un interprète grotesque, des sentiments dégoulinants de mièvre sensualité, voilà la recette du succès dans le monde obscène du spectacle. A cause du contrôle juif absolu du marché de la chanson, tant sur scène que sur enregistrement, il est quasiment impossible qu'une chanson autre que de facture juive soit mise sur ce marché, ou si elle venait à l'être, jouisse d'un succès d'audience. Preuve en est que le trust yiddish monopolise ce commerce et que les « hits » de la chanson portent tous des noms juifs.

Le caractère insidieux de la menace juive contre notre culture artistique est partiellement due à la fausseté, au charme superficiel et à la suggestivité frelatée de l'art hébreux, à son clinquant, à la juxtaposition violente des extrêmes de la passion, à son érotisme démesuré, à son pessimisme poignant, mais elle est également due au fait que la tendance qui nous pousse à nous y opposer, cette très profonde et fondamentale tendance de notre nature, est diluée et confondue dans une centaine d'autres tendances qui sont le propre de cette époque juive. L'ensemble des qualités anglo-saxonnes et le point de vue anglo-saxon constituent le centre vital du tempérament américain. Or l'emprise juive sur l'art musical est un indice probant de la menace de submersion et de crétinisation de notre culture en général.

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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 12:39 am



L'allée des casseroles

Les Américains ne chantent pas ce qu'ils aiment , mais ce que ces guignols de prometteurs de chansons à succès et de vaudevilles popularisent à coups d'effets répétitifs, jusqu'à ce que les esprits faibles, à leur tour, s'abrutissent à les répéter machinalement.

Les agents de promotion du théâtre, du vaudeville, de la radio, sont des énergumènes payés par les agences yiddishs de la chanson. C'est évidemment l'argent et non le mérite qui domine les deux styles de cette musique d'oligophrènes, soit le « jazz » et le « swing ». La musique non juive est qualifiée d'« intellectuelle ». Les gens sont gavés jour après jour par des élucubrations de débiles mentaux qui s'écoulent tel un cloaque de « l'allée des casseroles », principale fabrique de saletés new-yorkaises, habitée par les « Abies », les « Izzies » et les « Moes », constituant les états-majors des différentes institutions. « L'allée des casseroles » est le nom donné du quartier parcouru par la 28e Avenue, entre Broadway et la 6e Avenue, où le premier industriel yiddish de la chanson a commence sa besogne. Des cohortes de midinettes, qui pensaient pouvoir se lancer dans la chanson ou s'imaginaient pouvoir en rédiger les textes, affluaient dans le voisinage, alléchées par les annonces malhonnêtes qui promettaient davantage que ce que les promoteurs yiddishs en herbe ne pouvaient tenir. Est-il besoin de dire que le scandale commença à éclater, comme c'est souvent le cas, quand des filles non juives en sont réduites à la nécessité de rechercher les faveurs des Juifs. Ce furent les incessants éclats de voix, les rires gras et bruyants des soirées qui finissent à l'aube, la percussion des pianos, le beuglement des trombones, qui donnèrent à ce district le nom « d'allée des casseroles ». Maintenant, toute l'Amérique est devenue une « allée des casseroles » : ses divertissements, sa jeunesse, sa politique, tout est recouvert par le raz de marée de la musique juive.

Tout observateur un peu évolué ne manquera pas de relever la ruse diabolique qui a permis de créer et de maintenir une atmosphère corrompue et délétère dans toutes les classes de la société grâce à la même influence. Il y a quelque chose de satanique dans cette emprise, quelque chose de calculé, de prémédité avec une astuce démoniaque. Ainsi va le courant, charriant toujours plus d'ordures, entraînant la déchéance morale des non-Juifs de pair avec l'accroissement des fortunes juives.

Ecclésiastiques, éducateurs, réformateurs, parents, citoyens, sont stupéfaits de constater la croissance du laxisme dans la population, et en stigmatisent les tristes résultats ; hélas, ils voient un mauvais produit, alors ils attaquent le produit ; ils fulminent contre les jeunes gens qui marchent à fond dans le piège de la dépravation et de la suggestion de bas-étage ; ils déplorent la licence sexuelle, la délinquance et l'infantilisme des jeunes gens. Mais ce fleuve d'immondices a une source ! Pourquoi ne pas s'en prendre à la source ? Quand une nation baigne dans les visions, les sons et les idées d'une certaine nature, qu'elle en est saturée, qu'elle finit par s'y noyer, tout cela étant systématiquement, délibérément, intentionnellement organisé, c'est la cause qu'il convient d'éliminer, pas l'effet.

Mais voilà, cette cause subsiste, probablement du fait de l'ignorance, mais surtout à cause de la peur. Il ne sert pas à grand'chose de blâmer les gens : ce ne sont que des victimes de l'imperfection de la nature humaine. Donnons libre cours au commerce de l'alcool et l'on aura une population d'ivrognes, d'alcooliques invétérés et de noceurs ! C'est toute la population qui pourrait devenir toxicomane, si le réseau illicite des narcotiques jouissait de la même liberté dont bénéficient aujourd'hui les industriels yiddishs de la chanson populaire. Dans de telles conditions, il est évident qu'il serait stupide de s'en prendre aux toxicomanes : le sens commun postule avec insistance la mise au pilori des fournisseurs et des trafiquants.

Un épouvantable narcotique aux effets officiellement reconnus comme modestes et le recours à de puissants aphrodisiaques ont été impliqués dans le présent engouement pour les chansons des « crooners » ; il s'agit donc bien d'une agression délibérée contre la santé et la personnalité des victimes. Et ces victimes sont partout. Trop peu nombreux, malheureusement, sont les adversaires de ces empoisonnements de masse qui jugent utile de prévenir les jeunes gens ainsi abêtis.

Là encore, c'est le sens commun qui requiert une mise à jour et une explication claire et nette des origines du mal ; or la source en est le groupe yiddish des industriels de la chanson qui en contrôlent toute la production : eux sont responsables de la dépravation des mœurs qu'elle entraîne et des immenses profits qu'elle engendre !

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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 12:52 am



Pas si « populaire » que ça !

On peut, conjointement à la mise en accusation de la chanson dite « populaire », se livrer à l'accusation inverse, soit que cette sorte de chanson n'est pas populaire ; en effet, elle ne suscite pas d'engouement populaire spontané, mais une popularité artificielle, obtenue par un constant battage publicitaire : un pur serinage mécanique, un martelage des mentalités, qu'on sert à tous les spectateurs, sur tous les écrans, sur toutes les scènes ; et qui se poursuit au moyen de publicités lumineuses, d'enregistrements phonographiques assénés jour et nuit ; les orchestres de danse s'y mettent aussi et la radio apporte sa peu glorieuse contribution. Ainsi, à coups de répétitions et d'abrutissantes suggestions, la chanson s'incruste dans les cerveaux en attendant qu'une autre s'y substitue. C'est la vieille combine de l'incitation à l'achat pour accélérer le débit du commerce.

La méthode juive veut que rien ne dure : ni le style de vêtements, ni les films, ni les chansons, il y a toujours quelque chose de « nouveau » pour stimuler le flux de l'argent quittant la poche du cochon de payant pour se retrouver dans celle des marchands de musique dégénérée.

Deux faits relatifs à la chanson dite « populaire » sont connus de tous : le premier est que, pour la plupart des gens, il est indécent qu'il constitue l'agent de pollution morale le plus actif du pays ou, du moins, rivalise à cet égard avec le cinéma ; le second est que l'industrie de la chanson populaire est une activité exclusivement juive.

Il y aurait ici du travail pour la Ligue anti-diffamation ! Cette ligue sait parfaitement comment mettre sous pression quiconque aurait un comportement désobligeant face aux Juifs ! Sur les éditeurs de journaux les plus importants jusque sur ceux des canards de province les plus insignifiants, la Ligue anti-diffamation pèse de tout son poids. Elle trouve à intervenir dans les domaines du cinéma, du théâtre, de l'industrie de la chanson populaire. Pourquoi donc cette association n'exerce-t-elle aucune pression sur les Juifs qui ont perverti le cinéma, ont induit les gens dans la débauche de leurs « arts » dégénérés, les sports truqués et les divertissements frelatés ? Sur ceux qui ont entaché d'opprobre le nom de leur race ? Pourquoi ? La réponse est-elle que seuls les non-Juifs sont soumis à contrôle et que les Juifs ont carte blanche ? La réponse est-elle que les aimables non-Juifs pourraient être réfrénés, alors que la question ne se pose même pas pour les Juifs ?

La juiverie américaine est inquiète à l'idée d'ouvrir ne fut-ce qu'une seule brèche dans sa cuirasse à l'occasion d'une enquête ou d'une réforme. Les Juifs ont une peur bleue de l'ampleur que pourrait prendre l'incendie que représente à leurs yeux une correction de trajectoire.


Henry Ford : Le juif international

LE JUIF INTERNATIONAL

Le plus grand problème du monde
(The World's Foremost Problem)

Recueil d'articles publiés en 1920 dans le périodique de la FORD MOTOR COMPANY

THE DEARBORN INDEPENDANT

sous la direction de
HENRY FORD I

(1863-1947)



Version abrégée, traduite de l'américain, et publiée en septembre 2001 par l'Association

Vérité & Justice,

Case postale 355, CH-1618 Châtel-Saint-Denis, Suisse.


Mise au Net: AAARGH, août 2003, en même temps que la version originale:
<http://aaargh-international.org/fran/livres/livres.html>

http://archive.org/stream/LeJuifInternationalLePlusGrandProblmeDuMonde/FORDf#page/n1/mode/2up


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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 9:11 am


WIKIPÉDIA : Henry Ford (1863-1947) :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Ford#Antis.C3.A9mitisme_pr.C3.A9sum.C3.A9


[..]

The International Jew

Se justifiant à ce sujet, il explique dans son livre The International Jew (Le Juif International), que l’antisémitisme n’est selon lui que le pendant de l’antigoyisme de la communauté juive. The International Jew est un ouvrage en quatre volumes publié sous le nom d’Henry Ford qui rassemble des articles parus dans le journal The Dearborn Independent. Une phrase dans un texte dédié à la salutaire « réaction de l’Allemagne contre le Juif » illustre l’esprit prétendument scientifique de l’ouvrage et dont le langage est chargé de métaphores médicales : il s’agit d’une question d’« hygiène politique », parce que « la principale source de la maladie du corps national allemand [...], c’est l’influence des Juifs ».

Dans plusieurs autres passages, les Juifs sont présentés comme un « germe » qui doit faire l’objet d’un « nettoyage ». Adolf Hitler et ses collaborateurs reprendront cette terminologie pour justifier leurs crimes. Le Juif n’est plus défini par sa religion mais par sa « race », « une race dont la persistance a vaincu tous les efforts faits en vue de son extermination ». Il faut donc réveiller chez les jeunes la « fierté de la race ». Ford s’inspire des Protocoles des Sages de Sion, un ouvrage qui serait « trop terriblement vrai pour être une fiction, trop profond dans sa connaissance des rouages secrets de la vie pour être un faux », cité et commenté abondamment, comme preuve ultime et irréfutable de la conspiration juive pour s’emparer du pouvoir à l’échelle mondiale. Cet ouvrage est par ailleurs vivement critiqué par le Times. Il y est souvent fait référence à l’Allemagne qui est décrite comme dominée par les Juifs malgré le fait qu’il « n’y a pas dans le monde de contraste plus fort que celui entre la pure race germanique et la pure race sémite ».

Le thème de la complicité entre le judéo-bolchevisme et la finance capitaliste juive, dans une conspiration pour imposer à la planète un gouvernement mondial juif est abondamment repris par le nazisme. Trois volumes ont pour objet la place des Juifs aux États-Unis. Selon Ford, leur émigration massive d’Europe de l’Est en Amérique du Nord n’a rien à voir avec de prétendues persécutions : les pogroms ne sont que de la propagande ; il s’agit bel et bien d’une véritable invasion : le « Juif international » peut déplacer un million de personnes de la Pologne vers l’Amérique « comme un général déplace son armée ». Les Juifs sont responsables de l’introduction dans les arts de la scène aux États-Unis d’une « sensualité orientale » sale et indécente, « instillant un poison moral insidieux ».

La contribution de Ford à la propagation de l’antisémitisme va au-delà de l’imprimé. Il travaille activement à former une communauté. Au départ réunis autour du Dearborn Independent, ces hommes constituent une force importante dans l’évolution américaine de l’antisémitisme, et incluent un grand nombre de pro-fascistes.

[..]
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Message  Roger Boivin Lun 18 Fév 2013, 12:01 pm



Ces sources ne sont pas de ce qu'il y a de plus sûr, mais prenons ça comme des opinions.
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