L'horreur et son droit de parole.

Témoignage d'un lecteur du Salon Beige:
29 mai 2011
Mme Veil invitée dans une école catholique privée dirigée par les Jésuites


"Alors que je me rendais aux journées missionnaires du lycée Saint-Louis de Gonzagues (ou lycée Franklin, Paris 16è), j'ai eu la surprise de voir que Madame Veil avait été invitée à ces journées.

Je lui ai dit, clairement mais sans insulte ou agressivité déplacée, que j'étais indigné de sa présence et qu'elle n'avait rien à faire ici.

Puis je m'éloigne, me promène parmi les stands. Quelques minutes après, un membre de la sécurité m'intime l'ordre de partir. Ne voulant pas faire d'esclandre, j'ai obtempéré.

J'ai naturellement écrit au diocèse de Paris et à l'Ordre des Jésuites pour demander des éclaircissements".

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/05/mme-veil-invit%C3%A9e-dans-une-%C3%A9cole-catholique-priv%C3%A9e-dirig%C3%A9e-par-les-j%C3%A9suites-.html

Mais qui est cette femme?

Elle entre dans la magistrature comme haut fonctionnaire jusqu'à sa nomination comme ministre de la Santé, en mai 1974. À ce poste, elle fait notamment adopter la « loi Veil », promulguée le 17 janvier 1975, qui légalise le droit à l'avortement en France.

Cette meurtrière, aujourd'hui au nom de la liberté d'expression et du droit de V2, répand sa pensée meurtrière dans un lycée.

Qui de Veil ou de Montini sera le plus coupable?

Montini, car sans son concile maudit, cette femme n'aurait jamais eu le droit de répandre ses théories partout.

Les renégats de jésuites qui tiennent ce collège, ont les mains couvertes du sang des innocents tués sous les bons auspices de Veil.

Les "jésuites" tuent les âmes, depuis quand on invite une meurtrière à donnée une conférence.

Bah! Ça va avec leur religion, l'homme déifié par V2 a droit aux trois petits coups d'encensoir même s'il est une corrupteur des âmes.


Liberté d'expression... je me demande si dans le code de droit des conciliaires il existe encore une peine pour celui qui insulte le pape....


Si oui, la liberté d'expression on la réduit en quatrième vitesse.