Jean-Paul Bontemps se fait encore entuber !
2 participants
Page 1 sur 1
Jean-Paul Bontemps se fait encore entuber !
Le Roi-Raisin entubé-entubeur accumule une fois de plus les bêtises !
L'entubé et son entubeur auraient-ils l'obligeance de nous fournir les citations exactes des soi-disants passages références des deux canonistes en question (Gomez et Coronata),
c'est-à-dire les passages précisément où apparemment on étend le péril de mort au simple manque de prêtre en dehors de tout danger de mort ?
Étrange tout de même puisque nos entubeurs-entubés font une interprétation plutôt large d'un pouvoir de juridiction qui n'est ni ordinaire
ni délégué quand bien même :
Il faudrait également que les entubeurs-entubés nous expliquent comment les prêtres excommuniés qui ont été l'objet d'une sentence
condamnatoire ou déclaratoire, c'est-à-dire des ministres qui sont sujets aux prescriptions du canon 882 - lequel stipule que tous les
prêtres, qu'ils soient non approuvés, condamnés, dégradés, déposés, excommuniés et déclarés comme tels, peuvent absoudre validement et
licitement lorsque le fidèle est en danger de mort, donc, selon les entubeurs-entubés, lorsqu'il est privé de prêtre, puisque, toujours
selon entubeurs-entubés, « la suppléance de juridiction pour péril de mort (canon 882) peut être étendue à tous les cas où le
pénitent se trouve privé de prêtre ayant la juridiction ordinaire ou déléguée » - comment, dis-je, les prêtres excommuniés condamnés
et déclarés comme tels peuvent-ils être exclus du canon 2261, § 2, si celui-ci prévoit le cas où le fidèle est effectivement privé de prêtre, et donc là où s'applique le canon 882, selon entubeurs-entubés ?
Autre question pour les entubeurs-entubés, véritables maîtres de l'imposture théologique, pourquoi le canon 2261, § 3, régit-il les cas de
fidèle en péril de mort, si, déjà en son § 2, le même canon régie les cas de fidèle privé de ministre, c'est-à-dire, selon entubeurs-entubés,
l'équivalent d'un fidèle en danger de mort ?
Également, pour simple information pour les entubeurs-entubés, il se trouve que nous avons déjà demandé depuis belle lurette à Monsieur
Hervé Belmont de nous fournir les citations exactes des passages des deux canonistes en question sur lesquels ce même Monsieur Hervé
Belmont - et maintenant entubeur-entubé Bontemps - appuie sa petite usurpation juridictionnelle (je ne dis pas autorité de peur que
nos entubeurs-entubés ne tombent douloureusement sous le coup de leur propre sentence), et, devinez quoi, nous n'avons jamais eu de réponse ...
N'est-ce pas effectivement étrange de s'appuyer sur des citations que l'on se garde bien de citer ?
Si les R.P. Gomez et Coronata en question avaient été aussi explicites en affirmant effectivement que « la suppléance de juridiction pour péril
de mort (canon 882) peut être étendue à tous les cas où le pénitent se trouve privé de prêtre ayant la juridiction ordinaire ou déléguée » (
dixit les entubeurs-entubés) n'aurait-on pas vu alors Monsieur H. Belmont citer triomphalement et expressément de long en large les textes mêmes des-dits R.P. ?
D'autant plus que je possède les 5 tomes des Institutiones Iuris Canonici de Coronata, et je ne vois pas au n. 1760 du tome IV ce qui
pourrait appuyer la cause de nos entubeurs-entubés ...
Mais, peu importe, nos entubeurs-entubés préfèrent ici ne pas trop se casser la nut :
Ainsi, avant même que nos entubeurs-entubés aient pris la peine de fournir une seule des citations en question,
les voilà en train de décréter que celui qui s'oppose à ce qu'ils affirment ici, s'oppose directement à ce que Gomez et Coronata ont écrit (ce qui n'est pas le cas, et pour cause).
Voilà une jolie pétition de principe ...
Pour finir, voilà la cerise sur le gâteau :
Le Roi-Raisin lui-même nous dit qu'il est dans l'erreur !
Idiot !
Voilà encore, comme à son habitude, du temps que nous fait perdre l'entubeur-entubé.
JP B sur le Forum Foi Catholique a écrit:Un ami vient de m’adresser ce qui suit
[…]
Mais l'Eglise supplée la juridiction en certaines circonstances. Vous citez le document de l'Abbé Belmont qui s'appuie notamment sur les canonistes Gomez (De Censuris in genere, Canones 2241-2234, Angelicum, 1955) et Coronata (Institutiones Iuris Canonici, IV, n. 1760) : ces derniers expliquent que la suppléance de juridiction pour péril de mort (canon 882) peut être étendue à tous les cas où le pénitent se trouve privé de prêtre ayant la juridiction ordinaire ou déléguée ; et Gomez ajoute que même si cette condition n'était remplie que de façon douteuse, il y aurait également suppléance en raison du canon 209.(*)
Vous faites donc bien de renvoyer à ce document.
Dès lors, on ne comprend pas la réponse que vous fait ensuite(**) CMI. En effet, ce dernier rappelle que la juridiction est nécessaire de droit divin pour confesser. Mais de cela, nul ne disconvient : c'est précisément parce que la juridiction est nécessaire de droit divin pour confesser qu'il faut envisager – ou non – la suppléance de juridiction dans la présente situation. La seule réponse apparemment logique, de la part de CMI, aurait donc été de contester Coronata et Gomez. Je dis : apparemment logique… car il n'est pas certain que CMI, l'adepte du Droit-Canon-Assimil, soit plus compétent en la matière que des canonistes chevronnés…
L'entubé et son entubeur auraient-ils l'obligeance de nous fournir les citations exactes des soi-disants passages références des deux canonistes en question (Gomez et Coronata),
c'est-à-dire les passages précisément où apparemment on étend le péril de mort au simple manque de prêtre en dehors de tout danger de mort ?
Étrange tout de même puisque nos entubeurs-entubés font une interprétation plutôt large d'un pouvoir de juridiction qui n'est ni ordinaire
ni délégué quand bien même :
Can. 200
§ 1 Le pouvoir ordinaire de juridiction et le pouvoir délégué pour un ensemble d’affaires sont susceptibles d’une large interprétation; tout autre pouvoir de juridiction doit être strictement interprété. Toutefois celui à qui un pouvoir a été délégué est censé avoir reçu également l’autorisation d’exécuter tout acte sans lequel son pouvoir ne pourrait être exercé.
Il faudrait également que les entubeurs-entubés nous expliquent comment les prêtres excommuniés qui ont été l'objet d'une sentence
condamnatoire ou déclaratoire, c'est-à-dire des ministres qui sont sujets aux prescriptions du canon 882 - lequel stipule que tous les
prêtres, qu'ils soient non approuvés, condamnés, dégradés, déposés, excommuniés et déclarés comme tels, peuvent absoudre validement et
licitement lorsque le fidèle est en danger de mort, donc, selon les entubeurs-entubés, lorsqu'il est privé de prêtre, puisque, toujours
selon entubeurs-entubés, « la suppléance de juridiction pour péril de mort (canon 882) peut être étendue à tous les cas où le
pénitent se trouve privé de prêtre ayant la juridiction ordinaire ou déléguée » - comment, dis-je, les prêtres excommuniés condamnés
et déclarés comme tels peuvent-ils être exclus du canon 2261, § 2, si celui-ci prévoit le cas où le fidèle est effectivement privé de prêtre, et donc là où s'applique le canon 882, selon entubeurs-entubés ?
Can. 2261
[...]
§ 2 Les fidèles en tenant compte du Par.3, peuvent, pour toute juste cause, demander à un excommunié les sacrements et les sacramentaux, surtout si les autres ministres font défaut, et alors cet excommunié peut les administrer sans être tenu de s’informer de la cause de la demande.
§ 3 Mais quant aux excommuniés ‘à éviter’ ou aux autres excommuniés qui ont été l’objet d’une sentence condamnatoire ou déclaratoire, les fidèles ne peuvent qu’en danger de mort leur demander soit l’absolution sacramentelle, conformément aux Can. 882; Can. 2252 soit même, en l’absence d’autres ministres les autres sacrements et les sacramentaux.
Autre question pour les entubeurs-entubés, véritables maîtres de l'imposture théologique, pourquoi le canon 2261, § 3, régit-il les cas de
fidèle en péril de mort, si, déjà en son § 2, le même canon régie les cas de fidèle privé de ministre, c'est-à-dire, selon entubeurs-entubés,
l'équivalent d'un fidèle en danger de mort ?
Également, pour simple information pour les entubeurs-entubés, il se trouve que nous avons déjà demandé depuis belle lurette à Monsieur
Hervé Belmont de nous fournir les citations exactes des passages des deux canonistes en question sur lesquels ce même Monsieur Hervé
Belmont - et maintenant entubeur-entubé Bontemps - appuie sa petite usurpation juridictionnelle (je ne dis pas autorité de peur que
nos entubeurs-entubés ne tombent douloureusement sous le coup de leur propre sentence), et, devinez quoi, nous n'avons jamais eu de réponse ...
N'est-ce pas effectivement étrange de s'appuyer sur des citations que l'on se garde bien de citer ?
Si les R.P. Gomez et Coronata en question avaient été aussi explicites en affirmant effectivement que « la suppléance de juridiction pour péril
de mort (canon 882) peut être étendue à tous les cas où le pénitent se trouve privé de prêtre ayant la juridiction ordinaire ou déléguée » (
dixit les entubeurs-entubés) n'aurait-on pas vu alors Monsieur H. Belmont citer triomphalement et expressément de long en large les textes mêmes des-dits R.P. ?
D'autant plus que je possède les 5 tomes des Institutiones Iuris Canonici de Coronata, et je ne vois pas au n. 1760 du tome IV ce qui
pourrait appuyer la cause de nos entubeurs-entubés ...
Mais, peu importe, nos entubeurs-entubés préfèrent ici ne pas trop se casser la nut :
JP B et son entubeur a écrit:La seule réponse apparemment logique, de la part de CMI, aurait donc été de contester Coronata et Gomez. Je dis : apparemment logique… car il n'est pas certain que CMI, l'adepte du Droit-Canon-Assimil, soit plus compétent en la matière que des canonistes chevronnés…
Ainsi, avant même que nos entubeurs-entubés aient pris la peine de fournir une seule des citations en question,
les voilà en train de décréter que celui qui s'oppose à ce qu'ils affirment ici, s'oppose directement à ce que Gomez et Coronata ont écrit (ce qui n'est pas le cas, et pour cause).
Voilà une jolie pétition de principe ...
Pour finir, voilà la cerise sur le gâteau :
JP B sur le Forum Foi Catholique a écrit:Voilà qui pleinement nous rassure, nous qui pensons pouvoir nous confesser à nos Prêtres, même si, de bonne foi, nous nous trompons (car, alors, nous sommes dans le cas de « l’erreur commune ») puisque, effectivement, dans un cas (tel qu’envisagé par les canonistes Gomez et Coronata) comme dans l’autre (« l’erreur commune ») l’« Église supplée la juridiction pour le for tant externe qu’interne » !
Le Roi-Raisin lui-même nous dit qu'il est dans l'erreur !
Idiot !
Voilà encore, comme à son habitude, du temps que nous fait perdre l'entubeur-entubé.
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Jean-Paul Bontemps se fait encore entuber !
.
J'attends toujours comme vous, je pense cher C.M.I., les citations des canonistes Gomez et Coronata!
.
J'attends toujours comme vous, je pense cher C.M.I., les citations des canonistes Gomez et Coronata!
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum