Saint Laurent de Brendisi (1559-1619) et Ratzinger.

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Saint Laurent de Brendisi (1559-1619) et Ratzinger.  Empty Saint Laurent de Brendisi (1559-1619) et Ratzinger.

Message  Louis Mar 29 Mar 2011, 4:41 pm

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Mercredi dernier, le 23 mars, dans une audience générale, Ratzinger tentait de récupérer l'œuvre d'un Saint pour cautionner, propager son travail de destruction à Rome, en œuvre depuis bientôt cinquante ans: Saint Laurent de Brendisi (1559-1619), béatifié par le pape Pie VI, par un décret solennel, le 1er juin 1783. Je ne connaissais pas ce Saint.

Je me disais : il y a anguille sous roche. Je suis allé voir dans les petits Bollandistes ce qui en était au juste et voici ce que j’ai trouvé.


Ratzinger à propos des Juifs a écrit:Prédicateur efficace, il connaissait de façon si profonde non seulement la Bible, mais également la littérature rabbinique, que les rabbins eux-mêmes en étaient stupéfaits et admiratifs, manifestant à son égard estime et respect.
Les petits Bollandistes à propos des Juifs a écrit:… il eut plus tard à discuter avec les Juifs, à combattre l'hérésie ou à défendre, dans maintes circonstances délicates, les intérêts de la foi et de l'Église, il entra toujours dans la lice,…

… c'était le savant, le théologien, qui allait se servir de son érudition et de sa logique impitoyable pour confondre l'erreur et la fausse science des plus terribles ennemis de la foi. Informé du mérite du Père Laurent, le pape Clément VIII ne trouva pas d'instrument plus digne des hauts desseins qu'il méditait sur la conversion des Juifs dont il déplorait les erreurs en désirant ardemment de les éclairer ; il le fit donc venir, et lui ayant communiqué ses intentions, le bénit et le fit descendre dans l'arène. Chez lui, point de parti pris, point de prévention ni d'animosité: une bible hébraïque à la main, il se rend au milieu des rabbins qui, le voyant si plein de son sujet et si familier avec la langue qu'il leur parle, le prennent d'abord pour l'un des leurs ; ses manières affables, son ton courtois et poli lui concilient tout d'abord la bienveillance de ses adversaires ; ils sont curieux de l'entendre, ils se pressent en foule autour de lui ; l'intérêt fait place à la défiance, et l'attention de l'auditoire encourage le champion de la foi catholique. Les entretiens sont fréquents, ils se multiplient; le frère Laurent puise dans sa foi et dans son érudition des arguments irrésistibles; la foule des Juifs est émue ; ignorante comme toutes les foules, elle se laisse gagner par les insinuations du religieux. Ô triomphe ! quelques-uns des plus solides piliers du judaïsme se rangent à son avis, le doute envahit les autres, et un nombre considérable de prosélytes viennent demander le baptême, sans que les rabbins restés fidèles à leurs erreurs puissent accorder au soldat de Jésus-Christ autre chose que de l'admiration.

Ratzinger à propos des Protestants a écrit:A travers une présentation claire et douce, il montrait le fondement biblique et patristique de tous les articles de la foi mis en discussion par Martin Luther.

Les petits Bollandistes à propos des Protestants a écrit:

1)… lutte qu'il eut à soutenir contre le Danois Laiser, pour défendre la foi catholique contre les injures des hérétiques protestants. Ce théologien, disciple de Luther, ne craignit point de prêcher l'abolition du catholicisme en Autriche, et son parti, déjà nombreux et hardi, n'eût pas manqué de triompher de la faiblesse de l'empereur si le Père Laurent, avec sa parole vive et entraînante, n'eût mis un frein aux empiétements de ces audacieux, et rétorqué victorieusement leurs doctrines.

Une ligue protestante s'étant formée dans le nord de l'Allemagne pour la défense des intérêts luthériens, le duc de Bavière, catholique fervent, conçut le projet de constituer une ligue catholique pour protéger les Etats soumis au Saint-Siège contre les hérétiques et contre les Musulmans…

2)…De Madrid, notre Bienheureux se rendit en Bavière, où, sur les instances du duc Maximilien, il avait été nommé ambassadeur extraordinaire du roi d'Espagne avec l'assentiment du Pape. Toutes ces dignités pesaient lourdement sur le Père Laurent qui songeait depuis longtemps à rentrer dans l'obscurité, et à finir ses jours dans la retraite; mais Maximilien était le chef de la ligue, et, toujours menacé d'une attaque des hérétiques, il avait besoin des lumières du Père Laurent pour lequel il avait autant de vénération que d'amitié. (….)

3)…un court apostolat dans la Saxe et le Palatinat destiné à soutenir le zèle des catholiques et à les fortifier contre les doctrines perfides des hérétiques…

Ratzinger à propos des Musulmans a écrit:Un autre trait qui caractérise l'œuvre de ce fils de saint François est son action pour la paix. Les Souverains Pontifes, ainsi que les princes catholiques lui confièrent à plusieurs reprises d'importantes missions diplomatiques pour résoudre des controverses et favoriser la concorde entre les Etats européens, menacés à cette époque par l'empire ottoman.

Excusez pour la longueur du texte suivant; je n’ai pas le talent nécessaire pour être concis et précis. Parfois le contexte aide à mieux saisir l’esprit de la lettre et non pas à nous chloroformer comme le fait Ratzinger :

Les petits Bollandistes à propos des Musulmans a écrit:Ici commence pour le Père Laurent ce qu'on pourrait appeler son rôle politique, si, dans les différentes missions qu'il eut à remplir auprès des plus illustres souverains de l'Europe, les intérêts de la foi et de la religion n'eussent pas toujours été sa préoccupation unique et le seul but de ses négociations.

Nous le voyons d'abord partir pour l'Allemagne, avec onze frères de son Ordre et deux frères lais, pour instituer des couvents de Capucins à Prague et à Vienne ; accueilli d'abord avec bonté par l'archiduc Matthias, qui gouverne l'empire en l'absence de son frère Rodolphe, retenu en Hongrie par les armements menaçants de la Turquie, le Père Laurent se heurte bientôt au mauvais vouloir et aux embûches des hérétiques et des ennemis de la foi ; le célèbre astronome Tycho-Brahé, protestant endurci, gouverne à son gré l'esprit de l'empereur, auquel il enseigne les sciences : son ascendant est tel sur ce prince, qu'il le détermine à repousser les avances des Capucins, et même à les chasser de l'empire. Déjà les religieux rassemblent leur besace et leur bâton ; le Père Laurent renferme dans son écrin la petite statue de la sainte Vierge qu'il a apportée de l'Italie comme une sainte protectrice de l'œuvre qu'il voulait accomplir ; dans de touchants adieux, le saint religieux rappelle le but sacré qui l'avait conduit en Allemagne, la modestie de ses prétentions, ses regrets d'être obligé de reprendre le large, après avoir entrevu le port et la délivrance ; les bons catholiques, parmi lesquels sont des princes et des ministres de l'empire, ne peuvent cacher leur émotion et leurs larmes. Guidés par le doigt de Dieu, si visible dans tous ces événements, ils vont trouver l'empereur et se jettent à ses pieds.

Alors se passe une scène que raconte ainsi l'auteur que nous avons déjà cité :

« Sire », dirent-ils, « nous sommes pénétrés de la plus vive douleur, à cause du départ des Pères Capucins. Nous venons d'entendre le Père Laurent; il nous a fait des adieux si touchants que nous n'avons pu nous empêcher de pleurer ».

— « Mais», dit Rodolphe, « comment feront-ils pour emporter en Italie tous leurs bagages? »

— « Que Votre Majesté n'en prenne nul souci : le Père commissaire a publiquement protesté qu'étant venus ici ne portant avec eux qu'un crucifix, un bréviaire, un bâton de voyage, ils n'emporteraient avec eux que ces trois choses ».

Alors l'empereur, troublé et visiblement attendri, s'écria en levant vers le ciel des yeux pleins de larmes et de repentir : « Le Père Laurent, c'est un apôtre ! c'est un saint ! Je ne puis pas les bannir, ces religieux ; ils ne partiront pas, je ne veux pas qu'ils partent, je ne le veux pas ! »

Ainsi se réalisa la prophétie du Père Laurent, qui disait à ses frères pour les exhorter à la patience : « C'est la cause de Dieu, il saura la défendre ». Les dispositions de l'empereur étant ainsi heureusement modifiées, nos religieux purent fonder à Prague, à Vienne et à Gratz, trois couvents qui furent l'origine des trois provinces de l'Ordre de Saint-François d'Autriche, de Bohême et de Styrie.

1.) L'institution de ces trois couvents établit entre le religieux et l'empereur des relations étroites, dont tous deux n'eurent qu'à se féliciter ; l'occasion ne tarda pas à se présenter pour Rodolphe de mettre à profit les qualités éminentes qu'il avait reconnues dans le Père Laurent, et, lorsqu'il eut besoin, devant les menaces toujours plus pressantes des Turcs sur les frontières de l'empire, de faire appel à ses voisins pour l'aider à repousser une attaque imminente, il ne trouva personne plus digne d'une pareille mission que le saint religieux dont le renom de piété et de prudence était déjà universel. Le Père partit aussitôt et réussit pleinement : sa chaleureuse parole entraîna tous les princes d'Allemagne, même les plus timides; des secours en hommes et en argent arrivèrent de toutes parts, et une armée imposante fut réunie sous les ordres de l'archiduc Matthias.

Mais ce n'était pas assez pour Rodolphe que le concours du Père Laurent lui eût aidé à doubler ses forces ; il sentit qu'un homme d'aussi bon conseil et d'une foi si ardente, serait d'un grand secours au milieu même de l'armée, et, sûr d'avance de l'assentiment du saint religieux, il fit demander au Pape la faveur de donner cet aumônier général à ses troupes.

On vit alors le Père Laurent au milieu des camps, exhortant partout les soldats à la discipline, leur rappelant qu'ils étaient avant tout chrétiens et qu'ils devaient se fier à Dieu avant de compter sur leur épée. Le jour de la bataille arrivé, il monte à cheval et paraît aux premiers rangs, vêtu de son habit religieux et le crucifix à la main.

L'attaque des Turcs est furieuse, mais l'armée catholique résiste et se serre autour de l'homme de Dieu : elle se précipite à sa suite et charge à son tour vigoureusement les infidèles ; un moment le Père Laurent est cerné par l'ennemi ; on le dégage, et quand on veut lui signifier que ce n'est pas là sa place : « Vous vous trompez », dit-il, « c'est bien ici que je dois être ; avançons, avançons, et la victoire est à nous ». A ces paroles, l'élan des troupes est tel, que l'ennemi, culbuté, frappé de terreur, s'enfuit dans toutes les directions.

Lors de la béatification du bienheureux, on voyait, au-dessus d'une des portes du Vatican, un médaillon rappelant ce glorieux épisode de sa vie, avec cette inscription : « Le bienheureux Laurent de Brindes sauve l'Autriche en détresse, et le crucifix à la main, met en déroute les ennemis du nom chrétien(a) ».

Cette victoire amena la retraite des Turcs de toutes les positions qu'ils occupaient au-delà du Danube, et les mit pour longtemps dans l'impossibilité de rien tenter contre la main qui venait de les châtier si rudement…

2.)...nonce apostolique et ambassadeur extraordinaire du Saint-Siège en Autriche ; l’empereur Rodolphe était de nouveau assailli d'embarras de toutes sortes; les Turcs étaient toujours en armes sur ses frontières, et son frère Matthias , qu'il avait nommé au gouvernement de l'Autriche proprement dite et de la Hongrie, ne songeait à rien moins qu'à se faire proclamer roi de ces deux provinces. L'empereur de mandait avec instance un conseiller prudent et habile dans ces circonstances difficiles, et le Père Laurent, qui connaissait déjà ces contrées, qui avait rendu au souverain de si réels services, était désigné d'avance pour une pareille mission. Il se résigna et partit; cette fois encore il sut faire preuve de la sagesse prudente et de l'habileté consommée que nous lui connaissons déjà ; sa seule présence en Autriche contient les infidèles qui le craignent comme la foudre(b) et n'osent s'exposer à une nouvelle déroute...


Notes de Louis :
(a) Est-ce que Ratzinger le crucifix à la main, met en déroute les ennemis du nom chrétien?...
(b) Est-ce que les infidèles craignent Ratzinger comme la foudre ?...

3.) (Une ligue protestante s'étant formée dans le nord de l'Allemagne pour la défense des intérêts luthériens, le duc de Bavière, catholique fervent, conçut le projet de constituer une ligue catholique pour protéger les Etats soumis au Saint-Siège contre les hérétiques et contre les Musulmans;) et comme le roi de France, Henri IV, avait promis son concours à la première, la ligue catholique n'hésita pas, pour contre-balancer cette puissante influence, à demander l'appui de Philippe III, roi d'Espagne. Ce fut encore le Père Laurent qui fut chargé de sonder les intentions de ce souverain et de le gagner à la cause sainte. Philippe reçut le religieux comme un homme dont il connaissait depuis longtemps la piété et le mérite, et prêta une oreille bienveillante à ses ouvertures. Le Père Laurent n'eut pas de peine à le convaincre ; puis, le succès de sa mission une fois assuré, il conçut le projet de profiter de sa présence en Espagne pour rendre à la cause de l'Église un service plus direct et plus immédiat. D'accord avec les intentions du pape Paul V, il proposa à Sa Majesté Catholique de tenter un effort pour expulser les Maures d'Espagne. On vit alors se renouveler presque identiquement les faits qui s'étaient passés quelques années auparavant sur les bords du Danube. Sous la conduite de Pierre de Tolède, un petit corps d'armée se dirige vers les possessions des Maures, confiant dans son valeureux chef et surtout dans la présence du saint religieux qui a déjà fait ses preuves contre les infidèles. L'espoir des troupes n'est point déçu ; malgré leur infériorité numérique, elles expulsent rapidement les Maures de leurs meilleures positions, châtient les rébellions, et font un nombre considérable de prisonniers. (…)

Voici un autre extrait des petits Bollandistes :

Les petits Bollandistes a écrit:Le portrait qu'a tracé de notre Bienheureux l'abbé Tisbiardo dans son panégyrique prononcé à Modène :

…Devenu le fléau de l'hérésie et de l'impiété, il leur porta, par la seule puissance de sa parole, de plus rudes coups que n'auraient pu faire les princes de la terre avec leurs armées….

Voici un autre extrait des petits Bollandistes :

Les petits Bollandistes a écrit:… quoique le ministère important de prêcher la parole de Dieu ne soit pas ordinairement confié aux diacres, les talents distingués et la piété exemplaire de Laurent déterminèrent ses supérieurs à le faire monter en chaire avant qu'il fût promu au sacerdoce ; s'il n'en eut pas une grande joie, modeste et défiant de lui-même comme il était, il le fit par obéissance. Ce fut à Venise, dans l'église Saint-Jean, en présence de sa famille, que notre religieux se fit entendre pour la première fois ; dès les premiers mots, l'on put se persuader qu'il ne tromperait point les espérances que l'on avait placées en lui. Sa parole, pleine et sonore, commandait et captivait d'abord l'attention ; puis elle devenait insinuante et pénétrait plus avant dans les cœurs ; lorsqu'il les avait ainsi préparés et qu'il les tenait comme suspendus à ses lèvres, il donnait libre cours aux flots de son éloquence et répandait partout avec profusion les lumières de la vérité. Aussi, dès les premiers jours du Carême qu'il prêcha à Venise, nombre d'âmes égarées se rendirent au tribunal de la pénitence, ramenées au bercail par la pénétrante parole de Laurent…(c)

(c) Note de Louis: Ca change des inepties, pour ne pas dire plus, « prêchées » par Cantalamessa durant le Carême à Rome.


Ratzinger dans son allocution du 23 mars dernier a écrit:…Parmi tant de travaux, Laurent cultiva une vie spirituelle d'une ferveur exceptionnelle, consacrant beaucoup de temps à la prière et, de manière particulière, à la célébration de la Messe, qu'il prolongeait souvent pendant des heures, absorbé et ému par le mémorial de la Passion, de la Mort et de la Résurrection du Seigneur.

Note de Louis :Ça fait changement avec ceux qui disent que d’être devant le Tabernacle pendant des heures c’est une perte de temps; pourtant, n’est-ce pas supposé être le même Notre-Seigneur Jésus-Christ avec son Corps, son Sang, son Âme et sa Divinité ?


Dernière édition par Louis le Mar 29 Mar 2011, 4:43 pm, édité 1 fois (Raison : Balisage.)

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Message  Invité Mar 29 Mar 2011, 5:38 pm

Superbe travail Louis.

Merci de nous faire voir une, fois de plus, la fourberie de ratzinger.

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Message  ROBERT. Mar 29 Mar 2011, 5:53 pm

Louis a écrit:.
Mercredi dernier, le 23 mars, dans une audience générale, Ratzinger tentait de récupérer l'œuvre d'un Saint pour cautionner, propager son travail de destruction à Rome, en œuvre depuis bientôt cinquante ans: Saint Laurent de Brendisi (1559-1619), béatifié par le pape Pie VI, par un décret solennel, le 1er juin 1783. Je ne connaissais pas ce Saint.

Je me disais : il y a anguille sous roche. Je suis allé voir dans les petits Bollandistes ce qui en était au juste et voici ce que j’ai trouvé.


Spoiler:

Merci Louis pour ce beau dossier sur Saint Laurent de Brindisi qui montre éloquemment le modernisme pervers de Ratzinger : b.16 ne

cite qu’une partie des Petits Bollandistes, seulement ce qui accrédite son travail de destruction, et d’édification de la religion universelle

noachide, sur les ruines de toutes les croyances. Vous dites : anguille sous roche; je dirais plutôt du moderniste le plus fourbe,

l’œcommuniste le plus retors et l’Intrus le plus terrible : nuée de serpents sous une montagne

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Message  gabrielle Mer 30 Mar 2011, 10:14 am

C'est le cas de le dire, Ratzinger à l'art de défigurer les saints et les oeuvres qu'ils ont fait.

C'est une manie chez Ratzi de se servir d'un saint et de déformer sa vie et sa pensée pour ensuite faire passer son venin d'hérésie.

Rien ne reste vrai sous la plume de cet homme, il est un virus à deux pattes.
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