Petite parabole pour notre temps !
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Petite parabole pour notre temps !
Un camionneur travaille pour un homme très riche depuis plusieurs années. Il a toujours bien accompli ce que son patron lui demandait. Un jour, celui-ci lui dit : « C’est ton dernier voyage, et je te donnerai ta récompense; tu seras héritier de mon royaume. Il te restera toutefois une difficulté à accomplir pour aller à mon château; le chemin n’est pas trop carrossable, ton vieux camion va certainement en souffrir. Mais, pense à ta récompense, et tu auras le courage d’aller jusqu’au bout.
« Toutefois, je dois te dire qu’à côté de cette vieille route, on en a construit une, dernièrement, toute bien pavée d’asphalte, il n’y a plus d’obstacles, on peut rouler sans difficulté. Mais, il y a un « mais » : Cette route conduit à un « abîme » dont on ne peut sortir. On ignore où se trouve cet abîme. Elle se présente à nous subitement sans qu’on puisse l’éviter, et c’est la fin. A toi de choisir : le château avec ses difficultés, avec tout ce que cela peut causer d’ennuis ou l’abîme sans fin. Bonne chance! Que Dieu te protège! »
Les parents, les amis, son épouse, les enfants l’accompagnent dans son camion. Ce n’est pas facile, il est obligé de stopper fréquemment pour enlever les obstacles, le trajet est long et périlleux, de plus en plus difficile. Dans le camion, on prie pour lui pour qu’il persévère jusqu’à la fin. Sur la route, il y a des haltes fixées par la voirie. À ce moment, il peut communiquer avec ses amis qui voyagent sur la route parallèle à toute allure. Il raconte ses tracas à ses amis, et eux lui suggèrent de changer de route; on l’invite à des réunions splendides, et lui, résiste toujours.
Un jour, un homme se faisant passer pour le surintendant de la voirie lui dit : « Tu sais, « l’affaire de l’abîme », ce n’est pas si sûr que çà. C’est une sorte « d’adage », de peur, qui se transmet de génération en génération. Personne n’est venu nous dire si la chose était vraie. Allez, suivez-moi, n’ayez aucune crainte! »
Notre camionneur devient de plus en plus perplexe, indécis. Ses compagnons le quittent pour la nouvelle route. Puis, convaincu par les paroles d’autorité de l'usurpateur d'intendance, il se laisse fléchir, et le voilà sur le chemin du précipice, tout en pensant atteindre plus rapidement le château et son héritage.
Un de ses amis ne cesse de l’avertir. Mais c’est en vain. Il est ennuyé de ces avertissements répétés.
Devant le danger imminent, connu depuis des siècles, est-ce que cet ami devrait abandonner ses avertissements? Ne pas avertir quelqu’un d’un danger menaçant, n’est-ce pas non seulement une lâcheté, mais un manquement grave à la charité .
CLÉ de la parabole :
Le camion : l’Église Catholique;
Le chauffeur : ce sont les prêtres et les laïcs qui ont abandonné l’Église les uns après les autres;
Le riche propriétaire : Dieu;
Le château : le Paradis;
L’abîme : l’Enfer;
Le pseudo surintendant : les antipapes
Son opinion sur l’abîme : une des multiples hérésies de ce sinistre personnage.
L’ami : ce sont tous ceux qui ont conservé la vraie foi catholique et qui veulent secourir leurs frères en danger de périr.
« Toutefois, je dois te dire qu’à côté de cette vieille route, on en a construit une, dernièrement, toute bien pavée d’asphalte, il n’y a plus d’obstacles, on peut rouler sans difficulté. Mais, il y a un « mais » : Cette route conduit à un « abîme » dont on ne peut sortir. On ignore où se trouve cet abîme. Elle se présente à nous subitement sans qu’on puisse l’éviter, et c’est la fin. A toi de choisir : le château avec ses difficultés, avec tout ce que cela peut causer d’ennuis ou l’abîme sans fin. Bonne chance! Que Dieu te protège! »
Les parents, les amis, son épouse, les enfants l’accompagnent dans son camion. Ce n’est pas facile, il est obligé de stopper fréquemment pour enlever les obstacles, le trajet est long et périlleux, de plus en plus difficile. Dans le camion, on prie pour lui pour qu’il persévère jusqu’à la fin. Sur la route, il y a des haltes fixées par la voirie. À ce moment, il peut communiquer avec ses amis qui voyagent sur la route parallèle à toute allure. Il raconte ses tracas à ses amis, et eux lui suggèrent de changer de route; on l’invite à des réunions splendides, et lui, résiste toujours.
Un jour, un homme se faisant passer pour le surintendant de la voirie lui dit : « Tu sais, « l’affaire de l’abîme », ce n’est pas si sûr que çà. C’est une sorte « d’adage », de peur, qui se transmet de génération en génération. Personne n’est venu nous dire si la chose était vraie. Allez, suivez-moi, n’ayez aucune crainte! »
Notre camionneur devient de plus en plus perplexe, indécis. Ses compagnons le quittent pour la nouvelle route. Puis, convaincu par les paroles d’autorité de l'usurpateur d'intendance, il se laisse fléchir, et le voilà sur le chemin du précipice, tout en pensant atteindre plus rapidement le château et son héritage.
Un de ses amis ne cesse de l’avertir. Mais c’est en vain. Il est ennuyé de ces avertissements répétés.
Devant le danger imminent, connu depuis des siècles, est-ce que cet ami devrait abandonner ses avertissements? Ne pas avertir quelqu’un d’un danger menaçant, n’est-ce pas non seulement une lâcheté, mais un manquement grave à la charité .
CLÉ de la parabole :
Le camion : l’Église Catholique;
Le chauffeur : ce sont les prêtres et les laïcs qui ont abandonné l’Église les uns après les autres;
Le riche propriétaire : Dieu;
Le château : le Paradis;
L’abîme : l’Enfer;
Le pseudo surintendant : les antipapes
Son opinion sur l’abîme : une des multiples hérésies de ce sinistre personnage.
L’ami : ce sont tous ceux qui ont conservé la vraie foi catholique et qui veulent secourir leurs frères en danger de périr.
Diane + R.I.P- Nombre de messages : 5488
Date d'inscription : 28/01/2009
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