Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
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Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
" Le sédévacantisme est une erreur ! "
Faible comme qualificatif ; d'autres ont dit que c'était un péché.
MichelT sur l'Arche de Marie :
« Or, contrairement à ce qu’imaginent les sédévacantistes plusieurs, docteurs, théologiens et papes ont enseigné qu’un pape peut professer des hérésies contre la foi. Le pape Adrien VI († 1523) dit que : « Si dans l’Église Romaine, on considère la tête ou le pontife, il est hors de question qu’un Pape peut errer dans les domaines touchant à la foi. Il le fait quand il enseigne une hérésie par son jugement propre ou par ses décrets. En vérité, beaucoup de Pontifes Romains ont été hérétiques« . Honorius (625-638), par exemple, a été condamné en 680 par le 3e Concile de Constantinople à cause de ses lettres au Patriarche Sergius, lesquelles étaient favorables à l’hérésie Monothélite. Le dernier en date à avoir été hérétique, fut le Pape Jean XXII (†1334). » Le Bienheureux Pape Pie IX (†1878) a reconnu le danger qu’un pape soit hérétique et « enseigne (…) contrairement à la foi Catholique », et il a ordonné: « ne le suivez pas ». Il dit encore: « Si, dans le futur, un pape enseigne quoi que ce soit contre la foi Catholique, ne le suivez pas. » (Lettre à Mgr. Brizen). Par ailleurs un document pontifical officiel admet qu’un pape peut tomber dans l’hérésie. Il s’agit d’un document du Pape Adrien II, daté de plus de 200 ans après la mort d’Honorius: « Après sa mort, Honorius a été anathématisé par l’Église d’Orient; mais nous ne devons pas oublier qu’il était accusé d’hérésie, le seul crime qui rendait légitime la résistance des inférieurs aux ordres de leurs supérieurs et le refus de leurs doctrines malicieuses. » »
Faible comme qualificatif ; d'autres ont dit que c'était un péché.
MichelT sur l'Arche de Marie :
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Re: Est-ce le visage du Sédévacantisme
Message par MichelT Aujourd'hui à 2:04
Le sédévacantisme est une erreur !
6 septembre 2010
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Le sédévacantisme est un poison spirituel très dangereux !
Le pape n’a pas de supérieur sur la terre capable de le juger,
Seul Jésus-Christ peut démettre le pape de ses fonctions.
La thèse sédévacantiste (Le mot « sédévacantisme » est composé de deux mots latins qui signifient « la Chaire [du Pape] est vacante »), que l’on rencontre parfois dans le milieu traditionaliste, est simplement une thèse erronée, inexacte et fausse, que nous ne devons, ni ne pouvons tolérer dans un esprit de charité, car le sédévacantisme est un poison spirituel très dangereux. Il conduit à une attitude qui n’est pas catholique mais schismatique !
Les mirages séducteurs du sédévacantisme, éloignent de l’Église et des sacrements. L’état d’esprit des sédévacantiste est caractérisé par une idée fixe, qui est presque une obsession : l’éloignement de la hiérarchie suprême de l’Eglise de la foi catholique intégrale. Apparemment, leur esprit s’est figé sur le problème du pape hérétique, qui leur apparaît comme étant très sérieux et sans remède. C’est un cas typique, de par son pessimisme outré, de « Désolation Spirituelle ».
Or, contrairement à ce qu’imaginent les sédévacantistes plusieurs, docteurs, théologiens et papes ont enseigné qu’un pape peut professer des hérésies contre la foi. Le pape Adrien VI († 1523) dit que : « Si dans l’Église Romaine, on considère la tête ou le pontife, il est hors de question qu’un Pape peut errer dans les domaines touchant à la foi. Il le fait quand il enseigne une hérésie par son jugement propre ou par ses décrets. En vérité, beaucoup de Pontifes Romains ont été hérétiques« . Honorius (625-638), par exemple, a été condamné en 680 par le 3e Concile de Constantinople à cause de ses lettres au Patriarche Sergius, lesquelles étaient favorables à l’hérésie Monothélite. Le dernier en date à avoir été hérétique, fut le Pape Jean XXII (†1334). » Le Bienheureux Pape Pie IX (†1878) a reconnu le danger qu’un pape soit hérétique et « enseigne (…) contrairement à la foi Catholique », et il a ordonné: « ne le suivez pas ». Il dit encore: « Si, dans le futur, un pape enseigne quoi que ce soit contre la foi Catholique, ne le suivez pas. » (Lettre à Mgr. Brizen). Par ailleurs un document pontifical officiel admet qu’un pape peut tomber dans l’hérésie. Il s’agit d’un document du Pape Adrien II, daté de plus de 200 ans après la mort d’Honorius: « Après sa mort, Honorius a été anathématisé par l’Église d’Orient; mais nous ne devons pas oublier qu’il était accusé d’hérésie, le seul crime qui rendait légitime la résistance des inférieurs aux ordres de leurs supérieurs et le refus de leurs doctrines malicieuses. »
Selon Francisco Suarez (1548-1617),
la juridiction ecclésiale peut être parfaitement maintenue,
après que le clerc soit tombé dans l’hérésie.
Evidemment l’Écriture Sainte et la Tradition enseignent clairement qu’il y a une profonde incompatibilité in radice (dans la racine) entre la condition d’hérétique et la possession d’un titre de juridiction ecclésiastique, parce qu’un hérétique cesse d’être un membre de l’Église. Cependant une telle incompatibilité n’est pas absolue, c’est pourquoi les théologiens utilisent l’expression in radice (à la racine). De la même manière qu’une plante peut rester verte un certain temps après avoir été déracinée, de même la juridiction peut être maintenue, quoique de manière précaire après que le clerc soit tombé dans l’hérésie (cf. Suarez). Les théologiens basent leur argumentation sur le Droit Canon, Can. 2314: « Tous les apostats de la foi Chrétienne, et chaque véritable hérétique et schismatique encourent l’excommunication ipso facto. S’ils ne respectent pas les avertissements, ils seront privés de leur bénéfice, dignité, office… et, s’ils sont clercs, après les avertissements nécessaires, ils seront déposés. » Puis, le Can. 2264 déclare illicite, mais pas automatiquement invalide, les actes de juridiction posés par quelqu’un qui a été excommunié: « Un acte de juridiction posé par une personne excommuniée, que ce soit au for interne ou au for interne, est illicite; cependant si une sentence condamnatoire a été prononcée, il devient invalide, sans porter préjudice aux prescriptions du Can. 2261; sinon il est valide. »
De ce fait le pape hérétique perd donc effectivement son pontificat sur une déclaration officielle d’hérésie. Néanmoins, et c’est là que réside la difficulté majeure, il est clair qu’une telle déclaration ne peut être juridique, car le pape n’a pas de supérieur sur la terre qui soit capable de le juger, de la sorte même s’il tombe dans une hérésie notoire, le pape ne perd jamais son pontificat. Ce serait seulement un acte non juridique par lequel Jésus-Christ Lui-même démettrait le pape de ses fonctions. Telle est l’opinion défendue par Cajetan et Suarez
Il y a donc deux dangers gigantesques potentiels dans le sédévacantisme : le risque de tomber dans l’hérésie du Conciliarisme – qui a été condamnée par l’Église (en effet qui peut nous dire, de façon certaine, qu’une déclaration d’hérésie venant d’un groupe d’évêques n’est pas une tentative de déposition?) – et de tomber gravement dans le subjectivisme en s’imaginant compétent, à la place du Christ, puisque le pape n’a pas de supérieur sur cette terre, pour juger et déposer le Souverain Pontife, ce qui est une pure folie.
Peu importe comment ils essayent de justifier leur position, il nous faut admettre que la thèse sédévacantiste n’est pas basée sur des faits objectifs, mais plutôt sur du subjectivisme luthérien. Le seul critère objectif requis par la théologie Catholique pour la reconnaissance d’un vrai pape est la reconnaissance de l’élu par les cardinaux, les évêques et par toute l’Église. Dans le cerveau des sédévacantistes, ce critère ne peut plus être objectif, mais devra nécessairement faire appel à une source qui est fondamentalement subjective, même si on essayera de se justifier en la faisant apparaître comme objective. Ainsi, parce que l’attitude sédévacantiste n’est pas basée sur les principes sûrs et objectifs de la théologie, mais sur le subjectivisme qui fait imaginer que le pape est déposé, elle fonctionne comme un puissant repoussoir à l’égard de l’Eglise et agit dans l’esprit selon le mode de la « Désolation Spirituelle » qui est un mal intérieur de l’âme extrêmement grave.
Le subjectivisme, caractéristique du sédévacantisme,
agit dans l’esprit selon le mode de la « Désolation Spirituelle »,
mal intérieur de l’âme extrêmement grave.
Dans le livre des Exercices Spirituels, St. Ignace de Loyola donne les règles du Discernement des Esprits. Voici celles qui devraient être appliquées au cas de Désolation Spirituelle des sédévacantistes: contre-attaquer la tentation par la prière et la pénitence (6e règle); poser un acte de volonté par lequel on refuse de se laisser enfermer dans une controverse qu’on est pas qualifié pour résoudre (12e règle). Pour atteindre ce but, il faut pratiquer une stricte discipline intellectuelle et une mortification de la volonté propre, autrement dit l’humilité. Dans notre vie de tous les jours, il y a beaucoup de problèmes que nous sommes incapables de résoudre, car nous ne sommes pas qualifiés pour. Il nous faut savoir le reconnaître avec humilité. Plus encore, il est nécessaire de calmer et de dédramatiser le problème du pape: quand vous allez apparaître devant St. Pierre, ne pensez pas qu’il vous demandera quelle opinion vous avez eu au sujet de l’un de ses successeurs. Soyons clair: nous ne prétendons pas vouloir évacuer le problème réel de l’Église depuis Vatican II, mais simplement donner quelques règles simples de discipline intellectuelle pour dédramatiser la question sédévacantiste, qui apparaît clairement comme un cas de Désolation Intellectuelle. Souvenons-nous toujours que le démon est un menteur. Il se sert du parasite sédévacantiste pour détourner certaines âmes pieuses des moyens de sanctification, la messe et les sacrements. Soyez sur vos gardes !
St. Ignace enseigne qu’il faut, en cas de Désolation Spirituelle,
contre-attaquer la tentation par la prière et la pénitence .
Quand nous apparaîtrons devant le Christ, il ne nous demandera pas notre opinion sur la légitimité des pontificats de Jean XXIII, Paul VI ou Jean-Paul II. Il nous demandera plutôt si nous avons gardé la foi, et si nous l’avons nourrie en assistant à la messe et en recevant les sacrements.
Certes nous résistons aux autorités ecclésiastiques quand elles s’écartent de la Tradition. Cependant soyons clairs: ce n’est pas par un jugement particulier que nous choisissons ce que nous voulons suivre dans les enseignements des Papes Jean XXIII, Paul XVI, Jean-Paul II ou Benoît XVI, mais c’est en vertu du critère objectif qu’est la Tradition.
Nous professons une communion parfaite avec Pierre
et son successeur légitime, le Pape,
et pour rien au monde nous ne nous séparerons de Pierre,
le Rocher sur lequel Jésus-Christ a fondé son Église !
Nous avons le droit de refuser les documents officiels qui s’écartent des 2000 ans de Tradition. Citons quelques théologiens de renom. St. Thomas d’Aquin enseigne que, dans des situations extrêmes, il est licite de s’opposer publiquement à une décision papale, comme St. Paul résista à St. Pierre (Galates II, 14). Mais comme Catholiques, nous sommes tenus de croire que l’Église est Une, Sainte, Catholique et Apostolique et nous désirons de tout notre cœur mourir dans cette foi, car hors de l’Église il n’y a pas de salut. Nous professons aussi une communion parfaite avec Pierre et avec son successeur légitime, et pour rien au monde nous ne nous séparerons de Pierre, le Rocher sur lequel Jésus-Christ a fondé son Église. Nous croyons fermement à l’infaillibilité pontificale telle qu’elle a été définie par le Premier Concile du Vatican. Nous reconnaissons que le pouvoir du pape n’est pas absolu, mais qu’il est délimité par la Sainte Écriture et la Tradition.
Enfin à Dieu seul nous rendons une obéissance illimitée et inconditionnelle !
Source: La Question
Providas Romanorum lien permanent
6 septembre 2010 00:21
En effet, quelles que soient les fautes personnelles, les crimes, les forfaitures, quels que soient les actes schismatiques et les enseignements hérétiques dont les personnes constituées en autorité se rendent coupables à nos yeux, et en premier le Pape, nul d’entre nous n’est habilité de son propre mouvement, de par sa décision personnelle à déclarer déchu de sa charge et dépouillé de ses pouvoirs un membre quelconque de la hiérarchie catholique.
Répondre Hilaire lien permanent
6 septembre 2010 09:59
Le subjectivisme, dont souffre le sédévacantisme, est assimilable au luthéranisme dans son rejet du Pape
.Serrus lien permanent
6 septembre 2010 11:02
En août 1971, le jésuite mexicain Joaquin Saenz y Arriaga publie un livre La Nouvelle Église Montinienne dont la conclusion est que le pape Paul VI avait fondé une nouvelle religion, distincte du catholicisme romain traditionnel. En 1973, il publie un autre travail, « Sede Vacante », où il affirme nettement que Paul VI, ayant versé dans l’hérésie, avait perdu son autorité papale en vertu de la bulle de Paul IV Cum ex Apostolatus reprise dans le code de droit canon de 1917.
On pêut considérer que les écrits de Saenz donnèrent naissance au mouvement sédévacantiste.
..sixte lien permanent
6 septembre 2010 09:20
La difficulté majeure du sédévacantisme est de pouvoir expliquer comment l’Église peut continuer d’exister d’une manière visible, alors qu’elle aurait été dépouillée de sa tête.
St. Robert Bellarmin expose la croyance universelle et constante dans la visibilité de l’Église. Il dit qu’il est prouvé que pour un catholique il est nécessaire de reconnaître la tête visible de l’Église, fusse-t-elle pécheresse, sous peine de damnation éternelle. La visibilité de l’Église est directement liée au Pontife Romain.
Par ailleurs le Concile Vatican I a enseigné que la permanence et la source de l’unité de l’Église dépendent de l’existence perpétuelle du Pontife Romain ; on ne peut donc en aucun cas s’éloigner du trône de Pierre.
Répondre .wendrock lien permanent
6 septembre 2010 09:25
Attention, les sédévacantistes prétendent qu’ils ne rejettent pas la papauté, la primauté et l’indéfectibilité de l’Église, mais la papauté actuelle qui est hérétique (ce qui est le cas sur certains points : Droits l’homme, liberté religieuse, etc.)
Mais c’est un fait évident, en balayant trop rapisement d’un revers de mains la hiérarchie de l’Eglise actuelle, qu’ils ne peuvent pas nous dire de façon objective qui sera le prochain pape, et par qui il sera élu. Voilà la difficulté principale de leur thèse.
Répondre Sulpice lien permanent
7 septembre 2010 09:52
Et cette gravissime difficulté conduit le sédévacantisme a une impasse formelle indépassable qui ruine toute sa thèse qui tient d’ailleurs en quelques mots : nul pape ne peut être hérétique, hors le pape soutenant Vatican II professe des hérésies, donc il n’est pas pape.
Cette façon d’envisager le problème n’est logique qu’en apparence, car l’Histoire nous apprend que par le passé des papes ont soutenu des thèses hérétiques. Que l’Eglise a même reconnu des antipapes lors du grand schisme d’Occident. Le sédévacantisme est donc le produit d’un syllogisme.
Et en effet, un syllogisme peut être logique tout en étant faux. Car tout dépend des prémisses desquelles on tire une conclusion.
Si une prémisse est fausse (nul pape ne peut être hérétique), on arrive, par un raisonnement en lui-même logique, à une conclusion fausse (donc le pape n’est pas le pape). Avant de commencer à raisonner en bon logicien, il est donc indispensable de s’assurer que les bases sur lesquelles s’appuie le raisonnement correspondent à la réalité. « La plupart des erreurs des hommes viennent moins de ce qu’ils raisonnent mal en partant de principes vrais, que de ce qu’ils raisonnent bien en partant de jugements inexacts ou de principes faux » (Charles Augustin Sainte-Beuve: Causeries du lundi, Paris 1851-1862, t. X, p. 36)
Hors de l’Eglise point de salut !
MichelT
Date d'inscription: 06/02/2010
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« Or, contrairement à ce qu’imaginent les sédévacantistes plusieurs, docteurs, théologiens et papes ont enseigné qu’un pape peut professer des hérésies contre la foi. Le pape Adrien VI († 1523) dit que : « Si dans l’Église Romaine, on considère la tête ou le pontife, il est hors de question qu’un Pape peut errer dans les domaines touchant à la foi. Il le fait quand il enseigne une hérésie par son jugement propre ou par ses décrets. En vérité, beaucoup de Pontifes Romains ont été hérétiques« . Honorius (625-638), par exemple, a été condamné en 680 par le 3e Concile de Constantinople à cause de ses lettres au Patriarche Sergius, lesquelles étaient favorables à l’hérésie Monothélite. Le dernier en date à avoir été hérétique, fut le Pape Jean XXII (†1334). » Le Bienheureux Pape Pie IX (†1878) a reconnu le danger qu’un pape soit hérétique et « enseigne (…) contrairement à la foi Catholique », et il a ordonné: « ne le suivez pas ». Il dit encore: « Si, dans le futur, un pape enseigne quoi que ce soit contre la foi Catholique, ne le suivez pas. » (Lettre à Mgr. Brizen). Par ailleurs un document pontifical officiel admet qu’un pape peut tomber dans l’hérésie. Il s’agit d’un document du Pape Adrien II, daté de plus de 200 ans après la mort d’Honorius: « Après sa mort, Honorius a été anathématisé par l’Église d’Orient; mais nous ne devons pas oublier qu’il était accusé d’hérésie, le seul crime qui rendait légitime la résistance des inférieurs aux ordres de leurs supérieurs et le refus de leurs doctrines malicieuses. » »
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
MichelT sur l'Arche de Marie :
« Or, contrairement à ce qu’imaginent les sédévacantistes plusieurs, docteurs, théologiens et papes ont enseigné qu’un pape peut professer des hérésies contre la foi.
Comment concilier cette affirmation avec le dogme de l'infaillibilité du Pape ?
Arthur- Nombre de messages : 1614
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
Le raisin reprend un texte du blog « la Question » ... pauvre nigaud !
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
Il "scrape" Saint Robert Bellarmin et s'attache à une citation fantôme...
Faut le faire.
Faut le faire.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
gabrielle a écrit:Il "scrape" Saint Robert Bellarmin et s'attache à une citation fantôme...
Faut le faire.
C'est un vieux texte du blog « La question » ...
Carolus.Magnus.Imperator.- Nombre de messages : 4192
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Selon certains : " Le sédévacantisme est une erreur ! "
Carolus.Magnus.Imperator. a écrit:gabrielle a écrit:Il "scrape" Saint Robert Bellarmin et s'attache à une citation fantôme...
Faut le faire.
C'est un vieux texte du blog « La question » ...
Entre toi et moi, ça montre la qualité doctrinale du blog "la question" les modernos viennent s'y approvisionner.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
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