Montréal sous l'emprise de la sorcellerie!

En perpétuelle quête de spiritualité, le sorcier cubain Omar Sosa recherche constamment les liens qui unissent les vivants aux esprits des ancêtres. À la fois explosif ou intimiste, percussif ou aérien, il redéfinit les frontières du latin jazz et des autres musiques cubaines, intégrant aussi bien musique de chambre que spoken word, hip-hop, be-bop, rumba, gnawa, blues et musique afro-équatorienne à l'esprit des orishas de la Santeria, la religion afro-caraïbéenne qui descend en droite ligne de celle des Yorubas. Et la connexion se poursuit avec Afreecanos, son plus récent disque, qu'il vient transmettre ce soir à l'Espace Dell'Arte, à Montréal.


«Ne vous attendez pas à la reproduction exacte du projet, puisque sur disque nous étions plus de 20 musiciens alors qu'en scène nous serons quatre», dit-il. Mais cela n'est pas une surprise de la part de celui qui se pointe toujours là où on ne l'attend pas. «Afreecanos est un concept par lequel on essaie de répandre l'esprit de l'Afrique, non seulement par la musique que l'on fait, mais par la manière de la ressentir dans le moment présent.»

Sur Afreecanos, Sosa explore les parallèles entre les traditions cubaines et les racines africaines des Yorubas, des Fulanis, des Wolofs et des Bambaras. Le disque fait également entendre le balafon, le ngoni, la flûte peuhl et la kora, qui se fondent dans un jazz doucement incantatoire. Comme toutes les autres, les pièces de cet album apparaissent comme des prières. Est-ce bien l'intention?

«Certainement, répond le compositeur-pianiste-percussionniste. Nous ne faisons que véhiculer les messages d'amour et de paix contenus dans les prières que nous transmettent nos ancêtres. Pour les capter, nous devons demeurer libres au fond de notre âme. La Santeria nous fournit l'occasion de parcourir ce chemin. À chaque moment, l'important est d'exprimer ce qui pénètre à l'intérieur de soi. La musique est plus ancienne que tout. C'est l'air et la nature.»

Dans le même esprit, Sosa fera paraître incessamment Across the Divide, un disque qui ouvre aux chants des autochtones américains. Une autre façon de se remettre en rapport avec la profondeur du monde ancestral.

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Épître aux Galates 5:19-20-21

"Elles sont bien connues, les oeuvres de la chair: se sont fornication, impureté, libertinage, IDOLÂTRIE, MALÉFICES, .... CEUX QUI FONT DE PAREILLES CHOSES NE POSSÉDERONT PAS LE ROYAUME DES CIEUX."

comparé à Apocalypse 21:8,...

mais pour les lâches, les renégats, les infâmes, les meurtriers, les impudiques, les SORCIERS..leur part est dans l'étang embrasé de feu et de soufre: c'est la seconde mort"

22:15

Dehors les chiens, les SORCIERS, les impudiques, les meurtriers, les IDOLÂTRES et tous ceux qui aiment et commettent le mensonde...

Actes des Apôtres 8:9, 13:6 au sujet de Simon le magicien...le magicien Juif, Bar-Jésus

Ville-Marie... faudrait changer pour Ville-Lucifer