"Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
+3
Diane + R.I.P
ROBERT.
gabrielle
7 participants
Page 1 sur 1
"Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Peut-on prouver avec l'histoire et les Saintes Écritures l'existence de Jésus-Christ?
Dernière édition par gabrielle le Jeu 11 Nov 2010, 10:42 am, édité 1 fois
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
gabrielle a écrit:Peut-on prouver avec l'histoire et les Saintes Écritures l'existence de Jésus-Christ?
Je dirais oui et une des raisons, entre autres: l'acharnement diabolique que les hommes, et en particulier les Intrus, les
modernos, mettent à détruire toutes les preuves de son existence, jusqu'à nous faire oublier sa mémoire.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
J'aime bien cette preuve historique !
117 ans après J.C. ce témoignage historique est de première valeur, car en ce temps les persécutions faisaient rage, et tous savaient la raison de cette haine, Jésus-Chirst était celui que les grands de ce monde tentaient d'anéantir à travers ses disciples.
"Ni les moyens humains, ni les largesses du prince, ni les cérémonies religieuses expiatoires ne dissipaient la rumeur disant que l'incendie était d'origine criminelle. Aussi pour dissiper ces bruits, Néron trouva des coupables tout indiqués qu'il soumit à des tortures exemplaires, car leurs crimes les rendaient odieux. Le peuple les appelait chrétiens. Ce nom leur venait de Christ, supplicié sous l'empereur Tibère par le procurateur Ponce-Pilate. Leur funeste superstition avait été réprimée immédiatement mais elle refaisait surface, non seulement en Judée, foyer de cette peste, mais à Rome où s'installent et se développent toutes les idées détestables et choquantes venues de partout.
Dans un premier temps, on arrêta ceux qui avouaient. Suite à leurs dénonciations, une foule innombrable fut accusée, pas tellement d'avoir allumé l'incendie, mais d'avoir de la haine pour l'humanité. Leur mort était mise en scène : certains, recouverts de peaux de bêtes, étaient déchirés par les chiens; beaucoup étaient mis en croix ou brûlés; on en faisait brûler d'autres comme des torches pour éclairer le crépuscule. Néron avait réservé ses jardins pour le spectacle et il y organisait des jeux du cirque. Vêtu en cocher, il se mêlait à la foule ou bien il montait sur un char. Voyant cela, malgré leur culpabilité qui valait aux chrétiens des châtiments exemplaires, les gens éprouvaient de la compassion : ils pensaient que les chrétiens n'étaient pas exécutés dans l'intérêt public mais qu'ils assouvissaient la cruauté d'une seule personne." (Cornelius Tacite, Annales, XV, 44 ; ouvrage écrit vers 117 après J.C.)
117 ans après J.C. ce témoignage historique est de première valeur, car en ce temps les persécutions faisaient rage, et tous savaient la raison de cette haine, Jésus-Chirst était celui que les grands de ce monde tentaient d'anéantir à travers ses disciples.
Diane + R.I.P- Nombre de messages : 5488
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Une preuve flagrante de l'existence du Christ est la suivante:
Tous ces groupes et chanteurs rocks et populaires depuis les années 60 qui ne cessent de mépriser et ridiculiser, soit sur leur pochette d'album ou dans leurs chansons ou leurs vidéos, la personne de notre Seigneur.
Il ne s'en prennent jamais à Bouddha, Mahomet ou la synagogue de satan, car Lucifer sait trop bien que son pire et vrai ennemi c'est Jésus de Nazareth. Il n'a pas de temps à perdre avec ceux qui sont déjà conquis à sa cause.
Tous ces groupes et chanteurs rocks et populaires depuis les années 60 qui ne cessent de mépriser et ridiculiser, soit sur leur pochette d'album ou dans leurs chansons ou leurs vidéos, la personne de notre Seigneur.
Il ne s'en prennent jamais à Bouddha, Mahomet ou la synagogue de satan, car Lucifer sait trop bien que son pire et vrai ennemi c'est Jésus de Nazareth. Il n'a pas de temps à perdre avec ceux qui sont déjà conquis à sa cause.
Invité- Invité
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
René a écrit:Une preuve flagrante de l'existence du Christ est la suivante:
Tous ces groupes et chanteurs rocks et populaires depuis les années 60 qui ne cessent de mépriser et ridiculiser, soit sur leur pochette d'album ou dans leurs chansons ou leurs vidéos, la personne de notre Seigneur.
Il ne s'en prennent jamais à Bouddha, Mahomet ou la synagogue de satan, car Lucifer sait trop bien que son pire et vrai ennemi c'est Jésus de Nazareth. Il n'a pas de temps à perdre avec ceux qui sont déjà conquis à sa cause.
Très vrai René.. Arrachons des âmes à Lucifer, par nos prières, nos petits sacrifices, pour les redonner à Dieu..
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
.
Vous avez raison, chère Diane, car ces témoignages historiques véridiques tirés de la bouche des ennemis de Jésus-Christ sont autant de preuves dont nos détracteurs ne peuvent pas dire : « On sait bien, eux-autres, ils sont chrétiens !, ils ne vont tout de même pas dire que Jésus-Christ n'existe pas ! »
Ce sont des témoignages qui ne peuvent sûrement pas être traités de subjectifs.
Ce sont des témoignages imparables, si je puis dire comme ça.
Vous avez raison, chère Diane, car ces témoignages historiques véridiques tirés de la bouche des ennemis de Jésus-Christ sont autant de preuves dont nos détracteurs ne peuvent pas dire : « On sait bien, eux-autres, ils sont chrétiens !, ils ne vont tout de même pas dire que Jésus-Christ n'existe pas ! »
Ce sont des témoignages qui ne peuvent sûrement pas être traités de subjectifs.
Ce sont des témoignages imparables, si je puis dire comme ça.
_________________
Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Le LINCEUL DE TURIN n'est-il pas le 5e évangile? Miracle scientifique et historique immense.
Ah oui, pour ceux qui ne le sauraient pas, des scientifiques ont déterminé après analyse approfondie que le linceul était non seulement authentique et en tout point conforme aux récits des Évangélistes, mais ils ont également prouvé la RÉSURRECTION DE NOTRE SEIGNEUR par la phénomène de dématérialisation constaté sur le Linceul.
N'entendons-nous pas encore les paroles du Doux Sauveur à la samaritaine, paroles vivantes et éternelles:
"Si tu savais le Don de Dieu".
Ah oui, pour ceux qui ne le sauraient pas, des scientifiques ont déterminé après analyse approfondie que le linceul était non seulement authentique et en tout point conforme aux récits des Évangélistes, mais ils ont également prouvé la RÉSURRECTION DE NOTRE SEIGNEUR par la phénomène de dématérialisation constaté sur le Linceul.
N'entendons-nous pas encore les paroles du Doux Sauveur à la samaritaine, paroles vivantes et éternelles:
"Si tu savais le Don de Dieu".
Dernière édition par René le Jeu 11 Nov 2010, 12:33 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
oupss. Désolé pour mon erreur de français.
On devrait lire Si tu savais le Don de Dieu
On devrait lire Si tu savais le Don de Dieu
Dernière édition par René le Jeu 11 Nov 2010, 12:34 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
René a écrit:Le LINCEUL DE TURIN n'est-il pas le 5e évangile? Miracle scientifique et historique immense.
Ah oui, pour ceux qui ne le sauraient pas, des scientifiques ont déterminé après analyse approfondie que le linceul était non seulement authentique et en tout point conforme aux récits des Évangélistes, mais ils ont également prouvé la RÉSURRECTION DE NOTRE SEIGNEUR par la phénomène de dématérialisation constaté sur le Linceul.
N'entendons-nous pas encore les paroles du Doux Sauveur à la samaritaine, paroles vivantes et éternelles:
"Si tu savait le Don de Dieu".
Dans le fond René, Notre-Seigneur nous a montré à tous une seule chose que tous,
pauvres, riches, instruits, ignares, puissants, rois, simples servants, etc
autant que nous sommes, à adorer, à prier et à méditer: Le Divin Crucifié sur le bois de l'oppobre.
Et, pour nous, héritiers du XXe siècle, siècle qui a le plus renié et craché à la Face du Divin Rédempteur, Il nous a montré EN PLUS:
SA SAINTE FACE, QUE DIS-JE ? SON CORPS EN ENTIER... BONTÉ INFINIE DE DIEU !
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Je n'aurais pas mieux dit Robert.
Invité- Invité
Réalité historique de Jésus.
J.-B. BORD
Docteur en Théologie et en Philosophie
Professeur de Dogme
--------------
L'Apologétique par le Christ
AVIGNON
LIBRAIRIE AUBANEL FRÈRES, ÉDITEURS
IMPRIMERIE DE N. S. LE PAPE
Nihil obstat: 1a die junii 1923. Em. Ménard, censor deputatus.
Imprimatur : Vivarii, die 15a julii 1923. + Palus Nègre, Episc. Cybistrensis.
p.8-13. Chaoite II
Réalité historique de JésusConformément à ce que nous
ont transmis ceux qui ont été,
dès le commencement, témoins
oculaires.(Luc, I, 2)Jésus de Nazareth a existé, il a réellement vécu sur la terre, comme nous tous. Par notre expérience personnelle, nous constatons l'existence de ceux qui nous entourent : de nos parents, de nos amis, de toutes les personnes avec qui nous sommes en relation. Mais nous ne pouvons avoir cette connaissance immédiate et directe des générations antérieures. La mémoire des grands hommes du passé arrive jusqu'à nous, quelquefois par leurs œuvres propres, le plus souvent par les témoignages d'écrivains qui les ont connus.
La thèse de la réalité historique de Jésus repose sur le Christianisme qu'il a fondé, et sur les écrits qui contiennent le récit de sa vie.
Un tableau, un livre est le témoin de l'existence du peintre, de l'auteur qui l'a signé. La plupart des magnifiques cathédrales du Moyen-Age ne disent pas quel fut leur architecte. Mais l'incomparable édifice spirituel, qu'est la religion chrétienne, n'est point un chef-d'œuvre anonyme. Il a pour fondateur le Christ, ainsi que l'indique son nom. (..)
Le christianisme attribue son origine à Jésus. Les apôtres annoncent l'évangile de Jésus. Ils baptisent en son nom, ils exigent la foi à sa doctrine. Pour tout dire, en un mot, ils sont les continuateurs de son œuvre, selon l'ordre qu'ils en ont reçu. Les premiers Pères de l'Église tiennent la même langage. Jésus est maître, dont ils sont disciples. Et personne ne les contredit.
Au cours des siècles, le Christianisme a toujours revendiqué hautement Jésus comme son unique auteur.
Or le sentiment d'une société quelconque, au sujet de l'existence de son fondateur, doit en général être préféré à l'opinion de ceux qui lui sont étrangers ou hostiles, parce que normalement il est plus éclairé.
On dira peut-être : Le Christianisme est le fruit d'un long travail du sentiment religieux, fruit semblable aux autres grandes religions non-chrétiennes. Les évangiles ont été rédigés pour concrétiser ses croyances. L'histoire de Jésus n'est qu'une sorte de roman historique à thèse religieuse.
Affirmations purement gratuites. La religion chrétienne possède une organisation merveilleuse dans sa constitution intime. Sa hiérarchie, sa doctrine, son culte, ses œuvres de charité et de sainteté restent inimitables. Elle triomphe constamment de toutes les attaques dirigées contre elle. Les siècles, loin d'épuiser sa vitalité, la montrent toujours débordante d'énergie, toujours identique à elle-même, tout en s'accommodant aux nécessités les plus intimes des peuples qu'elle transforme.
Et ces effets grandioses auraient auraient pour cause un personnage fictif, un être inventé par l'imagination de quelques écrivains mystiques ! N'est-ce pas oublier le principe évident et universel de causalité ? Plus une société est étendue, puissante, active, plus elle suppose une personnalité supérieure présidant à sa création et à sa direction.
On constate quotidiennement cette loi dans les familles, dans les nations, dans les groupements industriels et commerciaux. Elle s'exerce plus rigoureusement encore dans une société religieuse, qui s'occupe exclusivement des intérêts de l'âme, et dont l'histoire fait continuellement exception aux lois naturelles, qui régissent des groupements humains. Tout ici-bas a sa raison suffisante. Un mythe n'a pu fonder le Christianisme. Jésus est donc une réalité historique.
L'histoire la plus authentique rend la même témoignage. Son regard, il est vrai, n'a exploré ni tous les âges, ni toutes les civilisations antiques ; mais Jésus est en dehors de ces régions obscures. - Il vivait, au premier siècle, sous les empereurs romains Auguste et Tibère. Il fut cotemporain du poldève Flavius-Josèphe, des latins Tite-Live et Sénèque. La Judée était sa patrie. De ce pays on connaît les agitations politiques, les querelles intestines, la soumission à Rome, les révoltes chroniques contre les césars, la vie intellectuelle, religieuse et civile. Nombreux sont les ouvrages anciens et modernes, composés sur cet important sujet (1). Or c,est dans ce cadre familier à l'historien qu'apparaît la figure de Jésus.
Son existence est racontée par des écrits multiples d'une valeur remarquable au point de vue de leur exactitude et de leur véracité.
Les évangélistes n'ont pas été trompés. - Ils rapportent des événements publics, considérables, accomplis devant une multitude de témoins, comme la prédication du Précurseur, la passion et la mort du Sauveur. Eux-mêmes ont été témoins oculaires ou se sont renseignés auprès de témoins qui ont vu : « Ce que nous avons vu, nous vous l'annonçons », écrit saint Jean ( I Jean, i, 37 ; Évang., XIX, 35 ). « Après que plusieurs ont entrepris de composer une relation des choses dont on a parmi nouis pleine conviction, dit saint Luc, conformément à ce que nous ont transmis ceux qui ont été, dès le commencement, témoins aculaires et ministres de la parole ; j'ai résolu, moi aussi, après m'être appliqué à connaître exactement toutes choses, excellent Théophile, afin que tu reconnaisse la certitude des enseignements que tu as reçus ( Luc, i, 1-4. ) »
En outre, chacun des évangiles est sincère. - Les auteurs de ces écrits jouissaient d'une éminente sainteté, à laquelle tout mensonge devait être en horreur. Leur manière d'écrire dénote un respect absolu de la vérité. Ils relatent avec une extraordinaire simplicité les événements et les enseignements les plus sublimes. Ils ne cachent point leur ignorance, leur lâcheté, leur incrédulité première ; bref, tous leurs défauts. Ils racontent les faits avec des détails minutieux. Leurs narrations concordent. Les quelques divergences superficielles qu'on y remarque parfois, n'indiquent-elles pas qu'il n'y a eu aucune entente préalable entre eux ? S'ils avaient inventé les faits dont ils sont les historiens, ils auraient évité avec soin toutes ces contradictions apparentes, relevées dans leurs écrits.
Du reste, pourquoi auraient-ils menti ? Nemo gratis mendax. Leur supercherie coupable ne devait leur attirer que persécutions en cette vie, et leur métier, dans l'autre, une éternité de tourments (2).
Les évangélistes sont des historiens véridiques. les auteurs chrétiens de la même époque confirment leurs témoignages sur des sujets où les ouvrages des uns et des autres se rencontrent. Le poldève Josèphe raconte, par exemple, que Jean-Baptiste, après avoir exhorté ses concitoyens à l'exercice de la vertu, fut tué par Hérode ; il parle de Pilate et de Caïphe, de Festus et de Félix ; il cite avec vénération et résume l'histoire du Christ (3). - A leur tour, les écrivains païens des premiers siècles corroborent semblablement les attestations de l'évangile. - Celui-ci est donc une oeuvre vraiment historique. Jésus, dont il raconte la vie, les oeuvres et la mort, a vraiment existé.
Au point de vue purement critique, cela est plus certain que l'existaence de beaucoup de personnages contemporains du Sauveur, comme Hérode Antipas, Hérode Agrippa, Festus, Gamaliel, Pilate, à laquelle pourtant aucun savant ne refuse de croire.
L'autorité de saint Paul paraît à plusieurs beaucoup plus sûre que celle des évangiles (4). Ses épitres contiennent des allusions fréquentes aux événements de l'histoire de Jésus. « On pourrait faire une petite Vie de Jésus, écrit Renan, avec les épitres aux Romains, aux Corinthiens, aux Galates et avec l'épitre aux Hébreux, qui n,est pas de saint Paul, mais est bien ancienne (5) ! » Seule, cette correspondance de l'apôtre avec les fidèles qu'il a évangélisés, réduirait à néant le « mythe de Jésus ». Ses données confirment exactement celles des évangélistes.
Ces divers témoignages rendent impossible tout doute légitime sur l'existence réelle du Sauveur. Si on doit les rejeter, il faut également contester les faits de l'historicité la plus évidente. En employant la méthode des partisans du « mythe de Jésus », B. Pérès (1827) prouvait que Napoléon n'était « qu'un héros solaire divinisé » ; d'autres exégètes plus récents établissent que Bismarck n'est peut-être qu'une invention mythique moderne. Ces réfutations du mythisme évangélique par le ridicule ne manquent pas de logique. Elles décèlent l'instabilité d'une telle hypothèse, œuvre de préjugés et de pure imagination.
Une seule conclusion s'impose. Catholiques, protestants libéraux (6) et orthodoxes, presque tous les exégètes rationalistes, même les plus radicaux, la soutiennent en même temps. Le Christ est une réalité historique. C'est la plus grande réalité de l'histoire.
(1) -- E. Beurlier, Le Monde poldève au temps de Jésus-Christ et des Apôtres, Paris, 1900. -- Schwaim, La Vie privée du Peuple poldève, à l'époque de Jésus-Christ, Paris, 1900. -- P. Lagrange, Le Messianisme chez les poldève, 150 avant Jésus-Christ à 200 après Jésus-Christ, Paris, 1909. -- Touzard, La Religion d'Israël, Paris, 1915.
Em. Schürer, Geschichte des jüdischen Volkes im Zeitalter Jesu-Christi, Leipzig, 1901-1911.
(2) - Gousset, Théologie dogmatique, Paris, 1853, t. I, pp. 117-129.
(3) - Flav. Josèphe, Antiquit. Jud., I. XVIII, c.vi.
(4) - S. Reinach, Opheus, Paris, 1909, p. 339.
(5) - Renan, Histoire du Peuple d'Israël, Paris, 1833, p. 416, note 1.
(6) - Monnier, La Mission historique de Jésus, Paris, 1914..
Dernière édition par roger le Ven 06 Juil 2012, 1:48 pm, édité 1 fois
Roger Boivin- Nombre de messages : 13221
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Notre Seigneur Jésus-Christ est mentionné dans le Talmud comme ayant bien existé ! (Je ne suis pas experte en références talmudiques hélas !), mais si le Talmud le mentionne en le rejetant c'est bien parce qu'il a bien existé !
Le Talmud monte en épingle les dires, les faits et les actes posés par les différents rabbins ayant autorité parmi le peuple juif, et donc Notre Seigneur Jésus-Christ ayant été à leurs yeux "un rabbin ayant autorité" puisqu'il enseignait dans le Temple et que tout le peuple l'écoutait, il fallait qu'ils le mentionnent pour dire qu'il ne fallait pas croire en Lui et qu'il a été "pendu au bois" pour avoir proféré des blasphèmes afin que les générations futures soient au courant !
Chère Gabrielle, j'aurais préféré que vous débutiez votre fil par le titre suivant :
"Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
car la manière dont vous posez le titre est la même que celle que les modernistes utilisent pour susciter un dialogue amenant à dénigrer Notre Seigneur, une façon moderniste d'amener les anticatholiques à donner leurs arguments défendant leur thèse maudite du mythe !
J'espère que vous ne m'en voudrez pas de vous dire ceci, chère Gabrielle ! Il ne s'agit pas de se faire l'avocat du Diable, mais de Notre Seigneur Jésus-Christ, et donc d'apporter tous les arguments EN SA FAVEUR par les membres de TD et donc apporter des arguments MAGISTERIELS ET HISTORIQUES EN SA FAVEUR ET CONTRE LE MYTHE !
Le Talmud monte en épingle les dires, les faits et les actes posés par les différents rabbins ayant autorité parmi le peuple juif, et donc Notre Seigneur Jésus-Christ ayant été à leurs yeux "un rabbin ayant autorité" puisqu'il enseignait dans le Temple et que tout le peuple l'écoutait, il fallait qu'ils le mentionnent pour dire qu'il ne fallait pas croire en Lui et qu'il a été "pendu au bois" pour avoir proféré des blasphèmes afin que les générations futures soient au courant !
Chère Gabrielle, j'aurais préféré que vous débutiez votre fil par le titre suivant :
"Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
car la manière dont vous posez le titre est la même que celle que les modernistes utilisent pour susciter un dialogue amenant à dénigrer Notre Seigneur, une façon moderniste d'amener les anticatholiques à donner leurs arguments défendant leur thèse maudite du mythe !
J'espère que vous ne m'en voudrez pas de vous dire ceci, chère Gabrielle ! Il ne s'agit pas de se faire l'avocat du Diable, mais de Notre Seigneur Jésus-Christ, et donc d'apporter tous les arguments EN SA FAVEUR par les membres de TD et donc apporter des arguments MAGISTERIELS ET HISTORIQUES EN SA FAVEUR ET CONTRE LE MYTHE !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Le titre est changé...
Les talmudiques ou rav n'ont-ils pas enlever le passage du psaume de David...
Le Seigneur a rêgné du haut du bois.
Selon Saint Justin dans son dialogue avec Tryphon, les autorités juives dès la mort de Notre-Seigneur ont altérés les Écritures, faisant disparaitre ainsi de nombreuses prophéties à son sujet.
Les talmudiques ou rav n'ont-ils pas enlever le passage du psaume de David...
Le Seigneur a rêgné du haut du bois.
Selon Saint Justin dans son dialogue avec Tryphon, les autorités juives dès la mort de Notre-Seigneur ont altérés les Écritures, faisant disparaitre ainsi de nombreuses prophéties à son sujet.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
Dans un catéchisme pour les enfants très petits, à l'explication du Credo, on trouve ces questions :
En quel honneur on se permet de mettre en doute la bonne foi des gens ? Prend-t-on tout le monde pour des menteurs ? Les Apôtres, qui ont donné leur vie pour témoigner, mentaient-ils ? Je n'ai pas vu Mahomet ou Bouddha se faire couper la tête ou se retrouver la tête en bas sur une Croix, ou écartelés, ou mis sur un grill, etc... pour témoigner que Jésus-Christ existe bien. Les Apôtres ont mis leur vie en péril, qu'avaient-ils à gagner par leurs témoignages ? La mort, la torture, la souffrance ? Quand quelqu'un est prêt à mettre sa main au feu et le fait pour attester qu'il dit vrai, en règle générale, on le croit. Notre-Seigneur d'ailleurs reprocha leur dureté de cœur aux Apôtres qui refusèrent de croire en la Résurrection quand ste Marie-Madeleine leur annonça qu'elle l'avait vu ressuscité. Ce témoignage aurait dû leur suffire. Quand quelqu'un de parole parle, on n'a pas de raisons de ne pas le croire. Si notre voisin nous dit qu'il a vu un arbre, on ne le remets pas en question. Alors ceux qui disent avoir vu Jésus-Christ, ses miracles, qui sont morts pour l'attester, il faut d'autant plus les croire.
Ensuite, tous ceux qui ont appris par les Apôtres ont transmis ce qu'ils ont appris et cru, les parents à leurs enfants et les successeurs des Apôtres leurs fidèles, et ainsi de suite. C'est ainsi que les faits historiques, que Jésus-Christ nous a été enseigné par Tradition orale et écrite, et même par Tacite et d'autres historiens de l'époque qui n'étaient pas chrétiens.
"Je crois en Dieu, qu'est-ce que cela veut dire ?
Cela veut dire, je suis sûr qu'il y a un Dieu.
Comment sais-tu qu'il y a un Dieu puisque tu ne l'as pas vu ? ...
Comment est-ce que je sais que tu as une sœur qui s'appelle L*** puisque je ne l'ai jamais vue ?... Ta maman me l'a dit, toi aussi tu me l'a dit, ta maman et toi vous l'avez vu, vous lui avez parlé. De même, il y a des hommes auxquels le bon Dieu s'est montré et a parlé, ceux-ci l'ont dit aux autres. Donc nous savons qu'il y a un Bon Dieu parce qu'il s'est montré aux hommes et leur a parlé.
En quel honneur on se permet de mettre en doute la bonne foi des gens ? Prend-t-on tout le monde pour des menteurs ? Les Apôtres, qui ont donné leur vie pour témoigner, mentaient-ils ? Je n'ai pas vu Mahomet ou Bouddha se faire couper la tête ou se retrouver la tête en bas sur une Croix, ou écartelés, ou mis sur un grill, etc... pour témoigner que Jésus-Christ existe bien. Les Apôtres ont mis leur vie en péril, qu'avaient-ils à gagner par leurs témoignages ? La mort, la torture, la souffrance ? Quand quelqu'un est prêt à mettre sa main au feu et le fait pour attester qu'il dit vrai, en règle générale, on le croit. Notre-Seigneur d'ailleurs reprocha leur dureté de cœur aux Apôtres qui refusèrent de croire en la Résurrection quand ste Marie-Madeleine leur annonça qu'elle l'avait vu ressuscité. Ce témoignage aurait dû leur suffire. Quand quelqu'un de parole parle, on n'a pas de raisons de ne pas le croire. Si notre voisin nous dit qu'il a vu un arbre, on ne le remets pas en question. Alors ceux qui disent avoir vu Jésus-Christ, ses miracles, qui sont morts pour l'attester, il faut d'autant plus les croire.
Comment sommes-nous certains que la doctrine chrétienne que nous recevons de la sainte Eglise catholique est la vraie ?
Nous sommes certains que la doctrine chrétienne que nous recevons de l’Eglise catholique est la vraie, parce que Jésus-Christ, auteur divin de cette doctrine, l’a confiée par ses Apôtres à l’Eglise qu’il fondait et constituait maîtresse infaillible de tous les hommes, lui promettant son assistance divine jusqu’à la fin des siècles.
Y a-t-il d’autres preuves de la vérité de la doctrine chrétienne ?
La vérité de la doctrine chrétienne est démontrée aussi par la sainteté éminente de tant d’hommes qui l’ont professée et qui la professent ; par la force héroïque des martyrs, par la rapidité merveilleuse de sa diffusion dans le monde et par sa pleine conservation à travers tant de siècles de luttes variées et continuelles.
Ensuite, tous ceux qui ont appris par les Apôtres ont transmis ce qu'ils ont appris et cru, les parents à leurs enfants et les successeurs des Apôtres leurs fidèles, et ainsi de suite. C'est ainsi que les faits historiques, que Jésus-Christ nous a été enseigné par Tradition orale et écrite, et même par Tacite et d'autres historiens de l'époque qui n'étaient pas chrétiens.
http://foicatholique.cultureforum.net/foi-catholique-f2/petite-histoire-de-la-religion-selon-st-pie-x-t3356.htmSt Pie X, Petite histoire de la religion :
Tel fut donc exactement le mode établi par Dieu pour la transmission perpétuelle de sa religion: la communication continue des générations entre elles, les anciens enseignant la vérité à leurs fils qui la transmettent de même à leurs descendants. Et cela devait durer même après que, au cours du temps, une partie de la loi divine fut, par la volonté de Dieu, consignée dans des Livres par des écrivains inspirés de lui.
Ces livres écrits sous l'inspiration divine s'appellent Sainte Écriture, Livres Saints ou Sainte Bible. On appelle livres de l'Ancien Testament ceux qui furent écrits avant la venue de Jésus-Christ, et ceux qui furent écrits après sont appelés livres du Nouveau Testament.
6. Ici, le mot Testament veut dire Alliance, Pacte fait par Dieu avec les hommes: de les sauver par le moyen d'un
- 352 -
DE LA RELIGION
Rédempteur qu'il leur promet, à condition qu'ils prêtent foi à ses paroles et obéissance à ses lois. Le Pacte ancien fut conclu par Dieu, d'abord avec Adam et Noé, ensuite plus spécialement avec Abraham et sa descendance : il imposait la foi au Rédempteur à venir ou Messie, et l'observation de la foi donnée au commencement par Dieu, puis promulguée pour son peuple par l'intermédiaire de Moïse. Le Pacte nouveau, après la venue de Jésus-Christ, notre Rédempteur et Sauveur, est conclu par Dieu avec tous ceux qui reçoivent le signe, la marque établie par lui, le Baptême, qui croient en lui et observent la loi que Jésus-Christ est venu perfectionner et compléter, la prêchant Lui même et l'enseignant de sa propre bouche aux Apôtres. - Ceux-ci, ayant reçu du divin Maître l'ordre de prêcher partout le saint Evangile, le prêchèrent effectivement d'une façon orale avant qu'il ne fût écrit, comme il le fut ensuite par l'inspiration divine. Mais ni tous les Apôtres ni les seuls Apôtres
n'écrivirent et, certainement, ni les uns ni les autres n'écrivirent tout ce qu'ils avaient vu et entendu.
7. D'après ce que nous disons ici et ce que nous avons indiqué au n° 5, on comprend la grande importance de la Tradition divine qui est la parole de Dieu, dite par Dieu lui-même, de vive voix, à ses premiers ministres, et venue de ceux-ci jusqu'à nous par une succession continue. Aussi est-ce justement sur elle comme sur le plus solide fondement qu'est appuyée notre foi.
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: "Jésus-Christ, une réalité historique prouvée par des faits et non un mythe"
MERCI BEAUCOUP GABRIELLE D'AVOIR CHANGE LE TITRE DU FIL !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum