Mise au point.

Sandrine a écrit:C'est une excellente réflexion mon cher Louis ( et qui tombe vraiment à propos en ce qui me concerne ).

Merci à vous de nous rappeler un point essentiel, évident en théorie mais pas forcément toujours évident en pratique ( je parle pour moi bien sûr ).

Que Dieu vous garde cher ami

Méditons cette mise au point toute empreinte de charité et que cette méditation nous soit fructueuse

roger a écrit:

gabrielle a écrit:

«..Il suffit parfois qu'un parte le bal et tous les autres rigolent… ce n'est pas mieux… c'est juste moins apparent. ..»

C'est tu comme celui qui a écrit à l'adresse de nos détracteurs : LA BARBE ! ?



« ..ce qui ne veut pas dire que nous devons prendre un ton mielleux,..»

c'est quoi la différence d'avec cette autre parole ? :

«.. car comme disait Saint François de Sales: on prend plus de mouches avec un peu de miel qu'avec un baril de vinaigre…»

gabrielle a écrit:

roger a écrit:

gabrielle a écrit:

«..Il suffit parfois qu'un parte le bal et tous les autres rigolent… ce n'est pas mieux… c'est juste moins apparent. ..»

C'est tu comme celui qui a écrit à l'adresse de nos détracteurs : LA BARBE ! ?



« ..ce qui ne veut pas dire que nous devons prendre un ton mielleux,..»

c'est quoi la différence d'avec cette autre parole ? :

«.. car comme disait Saint François de Sales: on prend plus de mouches avec un peu de miel qu'avec un baril de vinaigre…»

"LA BARBE" n'avait rien d' offensant ou de blessant, c'était plutôt un bon jeu de mot. Sa signification : ne m’importune pas!

Un ton mielleux est celui qui cache une intention mauvaise... un peu comme la fable du corbeau et du renard...

Flatter, dans le but de prendre l'autre dans un piège..

Le miel signifie la douceur.

Arthur a écrit:Je suis entièrement d'accord avec votre réflexion cher Louis !

Arthur a écrit:Je suis entièrement d'accord avec votre réflexion cher Louis !

Lucie a écrit:Un dossier important serait bien sur la douceur, la patience et la clémence. La clémence est différente de la douceur.
Et un dossier sur l'humilité, les deux vertus du Sacré-Cœur. Merci Louis.

Ce qu'il faut bien savoir c'est la différence qui existe entre la vraie charité et la fausse!

Via Crucis a écrit:Diane a écrit :

Ce qu'il faut bien savoir c'est la différence qui existe entre la vraie charité et la fausse!

Et oui ! Et ce n'est pas aussi simple que l'on croit de faire cette différence !

La vraie charité c'est celle de la Vérité ! Dire la Vérité, la transmettre sans la déformer, et ne pas s'énerver lorsque celui qui est en face la reçoit mal ! Mais cela c'est une autre paire de manches à cause de nos caractères qui, en général, ne supportent pas d'être contrariés. On aimerait tellement avoir raison mais quand on découvre qu'on a tort pour certains c'est comme s'ils avaient tout perdu car toute leur vie est remise en question d'un seul coup !

OUi, la vraie charité est Vérité !

Nous devons méditer souvent l’Hymne de Saint-Paul sur la charité, elle nous aide à comprendre en profondeur cette sublime vertu!

L'arthrose de l'âme et de l'esprit ça existe !

Via Crucis a écrit:L'arthrose de l'âme et de l'esprit ça existe !

Oui ! malheureusement ! Et elle n'a pas d'âge et s'épaissit de plus en plus avec l'aveuglement...

Diane a écrit:
Nous devons méditer souvent l’Hymne de Saint-Paul sur la charité, elle nous aide à comprendre en profondeur cette sublime vertu!

La charité est patiente; elle est douce; la charité n’est point envieuse; elle n’agit pas

insolemment; elle ne s’enfle point; Elle n’est point ambitieuse; elle ne cherche pas son

propre intérêt; elle ne s’irrite point; elle ne pense pas le mal; Elle ne se réjouit pas de

l’iniquité, mais elle met sa joie dans la vérité; Elle souffre tout, elle croit tout, elle espère

tout, elle endure tout. La charité ne finira jamais (…) (I Cor. XIII, 4-8)

Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis comme un airain sonnant ou une cymbale retentissante.

Et quand j’aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères et toute la science; quand j’aurais toute la foi, au point de transporter les montagnes, si je n’ai point la charité, je ne suis rien.

Et quand je distribuerais tout mon bien pour la nourriture des pauvres et que je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai point la charité, cela ne me sert de rien.

La charité est patiente; elle est douce; la charité n’est point envieuse; elle n’agit pas insolemment; elle ne s’enfle point;

Elle n’est point ambitieuse; elle ne cherche pas son propre intérêt; elle ne s’irrite point; elle ne pense pas le mal;

Elle ne se réjouit pas de l’iniquité, mais elle met sa joie dans la vérité;

Elle souffre tout, elle croit tout, elle espère tout, elle endure tout.

La charité ne finira jamais, pas même lorsque les prophéties s’anéantiront, que les langues cesseront, et que la science sera détruite.

Car c’est imparfaitement que nous connaissons, et imparfaitement que nous prophétisons.

Mais quand viendra ce qui est parfait, alors s’anéantira ce qui est imparfait.

Quand j’étais petit enfant, je parlais comme un petit enfant, j’avais les goûts d’un petit enfant; mais quand je suis devenu homme, je me suis dépouillé de ce qui était de l’enfant.

Nous voyons maintenant à travers un miroir en énigme; mais alors nous verrons face-à-face. Maintenant je connais imparfaitement; mais alors je connaitrai aussi bien que je suis connu moi-même.

Maintenant demeurent toutes les trois, la foi, l’espérance, la charité : mais la plus grande des trois est la charité.

(I Cor. XIII)