Le Père Maximilien Kolbe
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Le Père Maximilien Kolbe
Le Père Maximilien Kolbe
LE FOU DE NOTRE-DAME
Maria Winowska.
Editions Bonne Presse, Sixième Edition.
DECLARATION
Conformément au décret d'Urbain VIII, l'auteur déclare que tout ce qu'il a écrit dans cette biographie n'ayant que la certitude basée sur un témoignage humain, il fait toutes réserves sur les manifestations surnaturelles tant que l'Eglise ne s'est pas prononcée.
NIHIL OBSTAT : PARISIIS
DIE 1a MARTII 1950,
Y. JOINTER, A. A.
IMPRIMATUR : PARISIIS
DIE 6a MARTII 1950,
PETRUS BROT, V. G.
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Merveilleuse idée!
Je ne connais pas ce Père... sinon que par brides...
Lucie vous êtes une trésor d'idée
Je ne connais pas ce Père... sinon que par brides...
Lucie vous êtes une trésor d'idée
gabrielle- Nombre de messages : 19801
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
C'est un Père franciscain qui correspond parfaitement à notre époque.
Homme de science, génial humainement comme surnaturellement, il n'en pratique pas moins la Sainte Pauvreté, en faisant marcher son imprimerie partout avec sa revue : "Le Chevalier de l'Immaculée". Tout pour son imprimerie, et les œuvres de Dieu, quant à lui, entouré de ses coûteuses machines, il se contentait de vieux vêtements, de vieilles chaussures, etc...
En plus, sa société correspond à l'anti-franc-maçonnerie exacte, et fut créée comme telle en 1917, quand il assista aux processions franc-maçonnes où st Michel Archange était écrasé par Lucifer, avec pour inscription :
"Satan doit régner au Vatican, et le Pape sera son esclave".
Il voulait quelque chose qui transcende tous les Ordres, tous les états de vie, de toutes conditions, etc...
Il condamnait la judeo-maçonnerie et prônait la consécration totale à l'Immaculée. Cela correspond exactement aux besoins de notre époque.
Il utilisait le progrès pour Dieu, et enfin il est mort en camp de concentration. En fait, il aurait dû être mort depuis un certain nombre d'années, déjà, n'ayant plus qu'un quart de poumon. Sa vie tenait du miracle permanent. Tout le monde était déjà mort autour de lui, dans son bunker, quand on lui a injecté, la veille de l'Assomption, son injection létale.
Homme de science, génial humainement comme surnaturellement, il n'en pratique pas moins la Sainte Pauvreté, en faisant marcher son imprimerie partout avec sa revue : "Le Chevalier de l'Immaculée". Tout pour son imprimerie, et les œuvres de Dieu, quant à lui, entouré de ses coûteuses machines, il se contentait de vieux vêtements, de vieilles chaussures, etc...
En plus, sa société correspond à l'anti-franc-maçonnerie exacte, et fut créée comme telle en 1917, quand il assista aux processions franc-maçonnes où st Michel Archange était écrasé par Lucifer, avec pour inscription :
"Satan doit régner au Vatican, et le Pape sera son esclave".
Il voulait quelque chose qui transcende tous les Ordres, tous les états de vie, de toutes conditions, etc...
Il condamnait la judeo-maçonnerie et prônait la consécration totale à l'Immaculée. Cela correspond exactement aux besoins de notre époque.
Il utilisait le progrès pour Dieu, et enfin il est mort en camp de concentration. En fait, il aurait dû être mort depuis un certain nombre d'années, déjà, n'ayant plus qu'un quart de poumon. Sa vie tenait du miracle permanent. Tout le monde était déjà mort autour de lui, dans son bunker, quand on lui a injecté, la veille de l'Assomption, son injection létale.
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Lucie a écrit:C'est un Père franciscain qui correspond parfaitement à notre époque.
Homme de science, génial humainement comme surnaturellement, il n'en pratique pas moins la Sainte Pauvreté, en faisant marcher son imprimerie partout avec sa revue : "Le Chevalier de l'Immaculée". Tout pour son imprimerie, et les œuvres de Dieu, quant à lui, entouré de ses coûteuses machines, il se contentait de vieux vêtements, de vieilles chaussures, etc...
En plus, sa société correspond à l'anti-franc-maçonnerie exacte, et fut créée comme telle en 1917, quand il assista aux processions franc-maçonnes où st Michel Archange était écrasé par Lucifer, avec pour inscription :
"Satan doit régner au Vatican, et le Pape sera son esclave".
Il voulait quelque chose qui transcende tous les Ordres, tous les états de vie, de toutes conditions, etc...
Il condamnait la judeo-maçonnerie et prônait la consécration totale à l'Immaculée. Cela correspond exactement aux besoins de notre époque.
Il utilisait le progrès pour Dieu, et enfin il est mort en camp de concentration. En fait, il aurait dû être mort depuis un certain nombre d'années, déjà, n'ayant plus qu'un quart de poumon. Sa vie tenait du miracle permanent. Tout le monde était déjà mort autour de lui, dans son bunker, quand on lui a injecté, la veille de l'Assomption, son injection létale.
J'ai entendu parler du Père Kolbe dans les années '80 par le billet de la revue des Capucins à Pointe-aux-Trembles...
"Satan doit régner au Vatican, et le Pape sera son esclave".
La FM jubile avec Ratzou et autres Intrus, car ils conjuguent maintenant cette citation au présent :
SATAN RÈGNE AU VATICAN, ET RATZOU EST SON ESCLAVE.
Dois-je comprendre que vous mettrez en ligne un livre sur le Père Kolbe ?
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
[quote="ROBERT."]
J'ai entendu parler du Père Kolbe dans les années '80 par le billet de la revue des Capucins à Pointe-aux-Trembles...
[b]La FM jubile avec Ratzou et autres Intrus, car ils conjuguent maintenant cette citation au présent :
SATAN RÈGNE AU VATICAN, ET RATZOU EST SON ESCLAVE.
Cher Robert:
Oui! RÈGNE[/u] AU VATICAN, ET BLATTEZINGER XVI EST[/u] SON ESCLAVE. [/size]
Lucie a écrit:C'est un Père franciscain qui correspond parfaitement à notre époque.
.
J'ai entendu parler du Père Kolbe dans les années '80 par le billet de la revue des Capucins à Pointe-aux-Trembles...
"Satan doit régner au Vatican, et le Pape sera son esclave".
[b]La FM jubile avec Ratzou et autres Intrus, car ils conjuguent maintenant cette citation au présent :
SATAN RÈGNE AU VATICAN, ET RATZOU EST SON ESCLAVE.
Cher Robert:
Oui! RÈGNE[/u] AU VATICAN, ET BLATTEZINGER XVI EST[/u] SON ESCLAVE. [/size]
Wulfrano- Nombre de messages : 902
Date d'inscription : 22/04/2010
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Dois-je comprendre que vous mettrez en ligne un livre sur le Père Kolbe ?
C'est dans mes projets, étant donné qu'il est d'une écrasante actualité, tant au niveau de la dévotion mariale qu'au niveau de la science et au niveau de la franc-maçonnerie. Et même ses idées :
Père Maximilien Kolbe :
Maria Winowska, Le fou de Notre-Dame, Père Maximilien Kolbe, Bonne presse, 6ème Edition, Nihil obstat, imprimatur, 1950.(Oportet studere) insimul motus antireligiosos nostrae aetatis, fontes eorum, methodos, effectus etc. distinguendo in talibus motibus quid mali (contineant) quia non est alius efficacior modus ad malum motum extinguendum, quam cognoscere quid boni contineant et applicare statim hoc bonum in causam nostram. OMISSIONES CIRCA HOC PRODUXERUNT DEPLORATOS EVENTUS IN MEXICO ET HISPANIA.
Je voudrais, dit Maria Winowska, que ce texte soit affiché dans tous les bureaux de l'Action catholique ! En voici la traduction :
"Il faut étudier les mouvements religieux de notre époque, leurs méthodes, réalisations, etc. Il faut surtout distinguer ce qu'il y a en eux de bon et ce qu'il y a de mauvais, car il n'y a pas de manière plus efficace pour combattre et vaincre un mauvais courant que de reconnaître la part de bien qu'il contient et de l'appliquer immédiatement à notre cause. Les omissions en ce domaine ont entraîné des conséquences déplorables au Mexique et en Espagne..."
SATAN RÈGNE AU VATICAN, ET RATZOU EST SON ESCLAVE.
RÈGNE AU VATICAN, ET BLATTEZINGER XVI EST SON ESCLAVE.
C'est exactement ça... quels que soient les noms...
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
PLANS DE CONQUETE ET AMOUR SANS LIMITES
Comment faisait-il pour tant travailler avec ses maux de tête continuels et sa santé délabrée ? Non seulement il passe tous ses examens, mais il les passe brillamment, summa cum laude. Le voici, en 1915, docteur en philosophie, à l'âge de 21 ans. Et il prépare avec zèle un autre doctorat, en théologie, qu'il subira quatre ans après, avec le même succès. je pense que c'est l'une des raisons pour laquelle ses supérieurs ne le croyaient pas si gravement atteint. Un malade se présente-il avec tant de désinvolture à tous les examens, les passe-t-il "comme en se jouant" ?
Tous ses professeurs et condisciples sont d'accord pour signaler ses extraordinaires capacités, voir son génie scientifique. Remarquable en tout, il excelle en mathématiques et continue à dérouter ses plus éminents professeurs. "Ce garçon _ disait le Père Bondini, recteur du collège_ me pose des questions auxquelles je ne sais que répondre." Le Père Léon Cicchito me dit qu'une fois emballé il ne s'arrêtait plus, trouvait tout le temps de nouvelles objections, passait d'un problème à l'autre par de subtils enchaînements et faisait rebondir chaque solution par un nouveau : "pourquoi ?"
_ En promenade il ne me quittait pas et m'interrogeait tout le temps, une vraie scie, ajouta le Père en riant.
Puis, très sérieux :
_ C'était le garçon le plus doué qui me soit passé par les mains, pendant les années de mon rectorat. Il avait une intelligence formidable : un ingegno formidabile.
Son esprit s'orientait surtout dans le sens des découvertes scientifiques. Il état à l'affût de tout progrès technique et au courant de toutes les récentes conquêtes. Un jour, déclare le Père Echer, provincial de Padoue, il fit le plan d' appareil doué d'une vélocité extraordinaire. il traça le graphique d'une main experte, analysa minutieusement toutes les lois physico-mécaniques qui le justifiaient et me chargea de présenter ce schéma à mon professeur de la grégorienne, le Père Gianfranceschi, qui l'examina avec beaucoup de soin et déclara qu'en principe rien ne s'opposait à réaliser ce projet audacieux.
Il n'y a aucun doute : ce garçon extraordinaire se vouait aux études corps et âme. Pensait-il peut-être à une carrière scientifique à laquelle ses talents semblaient le prédisposer ? Eh non, ses visées étaient essentiellement pratiques.
Là encore tous les témoignages concordent. "Il étudiait _ dit en substance le Père Pal, son condisciple _ pour pouvoir confondre les incroyants."
Comment faisait-il pour tant travailler avec ses maux de tête continuels et sa santé délabrée ? Non seulement il passe tous ses examens, mais il les passe brillamment, summa cum laude. Le voici, en 1915, docteur en philosophie, à l'âge de 21 ans. Et il prépare avec zèle un autre doctorat, en théologie, qu'il subira quatre ans après, avec le même succès. je pense que c'est l'une des raisons pour laquelle ses supérieurs ne le croyaient pas si gravement atteint. Un malade se présente-il avec tant de désinvolture à tous les examens, les passe-t-il "comme en se jouant" ?
Tous ses professeurs et condisciples sont d'accord pour signaler ses extraordinaires capacités, voir son génie scientifique. Remarquable en tout, il excelle en mathématiques et continue à dérouter ses plus éminents professeurs. "Ce garçon _ disait le Père Bondini, recteur du collège_ me pose des questions auxquelles je ne sais que répondre." Le Père Léon Cicchito me dit qu'une fois emballé il ne s'arrêtait plus, trouvait tout le temps de nouvelles objections, passait d'un problème à l'autre par de subtils enchaînements et faisait rebondir chaque solution par un nouveau : "pourquoi ?"
_ En promenade il ne me quittait pas et m'interrogeait tout le temps, une vraie scie, ajouta le Père en riant.
Puis, très sérieux :
_ C'était le garçon le plus doué qui me soit passé par les mains, pendant les années de mon rectorat. Il avait une intelligence formidable : un ingegno formidabile.
Son esprit s'orientait surtout dans le sens des découvertes scientifiques. Il état à l'affût de tout progrès technique et au courant de toutes les récentes conquêtes. Un jour, déclare le Père Echer, provincial de Padoue, il fit le plan d' appareil doué d'une vélocité extraordinaire. il traça le graphique d'une main experte, analysa minutieusement toutes les lois physico-mécaniques qui le justifiaient et me chargea de présenter ce schéma à mon professeur de la grégorienne, le Père Gianfranceschi, qui l'examina avec beaucoup de soin et déclara qu'en principe rien ne s'opposait à réaliser ce projet audacieux.
Il n'y a aucun doute : ce garçon extraordinaire se vouait aux études corps et âme. Pensait-il peut-être à une carrière scientifique à laquelle ses talents semblaient le prédisposer ? Eh non, ses visées étaient essentiellement pratiques.
Là encore tous les témoignages concordent. "Il étudiait _ dit en substance le Père Pal, son condisciple _ pour pouvoir confondre les incroyants."
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Dès ce temps-là il les affrontait volontiers et provoquait parfois des discussions en public, avec des inconnus ; soit dans le train _ ce sera un jour sa méthode préférée de "pêche à l'hameçon" _ soit en pleine rue. Un jour à Rome il eut devant lui un gros poisson qui vociférait contre le pape et l'Eglise. Au cours d'une discussion serrée l'inconnu s'exclama : "Je m' entends, jouvenceau ! Je suis docteur en philosophie." _ Et moi aussi _ riposta le petit frère de 21 ans qui en paraissait seize. Le monsieur le regarda avec stupeur et changea de ton. C'est qu'il faut être correct entre confrères ! Patiemment, inexorablement, le jeune docteur le faisait battre en retraite, l'acculait au mur. " vers la fin de la discussion _ déclare le Père Pal de qui nous tenons cet épisode savoureux _ le mécréant se tut et semblait profondément réfléchir."
C'était la méthode que Père Maximilien appliquera souvent avec beaucoup de succès : comme dans la boxe elle consistait à ne pas laisser respirer l'adversaire, à le poursuivre avec des questions de plus en plus serrées, à épouser en apparence ses propres positions pour le battre enfin sur son propre terrain.
"Pour ce faire _ pensait Frère Maximilien avec son esprit lucide _ il faut bien que je sois à la page."
S'il n'avait dépendu que de lui, les catholiques seraient, partout et toujours, les premiers en tout. Si Dieu permet qu'il monte sur les autels comme nous l'espérons de tous nos vœux, il devrait être promu patron des techniciens et des savants qui luttent en première ligne pour introduire le Christ dans les chantiers et les laboratoires.
C'était la méthode que Père Maximilien appliquera souvent avec beaucoup de succès : comme dans la boxe elle consistait à ne pas laisser respirer l'adversaire, à le poursuivre avec des questions de plus en plus serrées, à épouser en apparence ses propres positions pour le battre enfin sur son propre terrain.
"Pour ce faire _ pensait Frère Maximilien avec son esprit lucide _ il faut bien que je sois à la page."
S'il n'avait dépendu que de lui, les catholiques seraient, partout et toujours, les premiers en tout. Si Dieu permet qu'il monte sur les autels comme nous l'espérons de tous nos vœux, il devrait être promu patron des techniciens et des savants qui luttent en première ligne pour introduire le Christ dans les chantiers et les laboratoires.
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Qui donc lui a inspiré cet esprit éminemment moderne et même, au temps où il étudiait, tellement en avance sur son époque ? En vain ai-je essayé de repérer quelque filiation. Les cours qu'il fréquentait semblaient plutôt servilement fidèles des théories périmées. Un de ses professeurs ne défendait-il pas, au nom de saint Thomas, le système de Ptolémée ? Dans ce milieu l'esprit de frère Maximilien nous semble doublement original et novateur, de cette hardiesse surnaturelle qui caractérisa précisément en son temps le Docteur Angélique : que serait-il advenu de la philosophie médiévale si saint Thomas et d'autres grands scolastiques avaient boudé Aristote comme certains catholiques à l'esprit étroit boudent la pensée moderne, en la condamnant en bloc ? "Ce qu'il faut _ pensait le Père Maximilien _ c'est faire servir tout progrès à la gloire de Dieu et le convertir en arme de conquête.
Dans son admirable allocution exaltant les vertus de sainte Jeanne de Lestonnac, Pie XII relève l'extraordinaire actualité des saints que Dieu fait monter sur les autels. Ils sont choisis dans la foule des élus, turba magna, parce qu'ils répondent à un besoin exprès de notre temps et qu'ils doivent nous servir de guides et de maîtres aujourd'hui.
( Pie XII : C'est Dieu Lui-même qui, après avoir sanctionné, par des miracles incontestables 3 le jugement des hommes sur l'héroïque sainteté de certains parmi ses innombrables élus, dispose les événements et les cœurs en vue de leur glorification solennelle par l'autorité suprême de son représentant sur la terre.
Si sainte Jeanne de Lestonnac, ayant vécu il y a plus de trois siècles, n'a été canonisée qu'en 1949, c'est sans doute parce que sa vie comporte des enseignements particulièrement lumineux pour notre temps :
Qui oserait scruter les mystérieux desseins de sa Providence ? Définir les raisons de son choix entre tant de héros de l'Église triomphante ? Les motifs pour lesquels il a déterminé le temps et les circonstances de leur apothéose ici-bas ? Il est pourtant permis et louable de constater et d'admirer humblement les aspects qui donnent à l'exemple et au patronage des nouveaux saints une opportunité tout actuelle. C'est particulièrement sur cette actualité de votre Mère que Nous voudrions vous inviter, chères filles, à fixer aujourd'hui votre attention.
Chaque fois que l'Église est troublée par de nouvelles hérésies ou ébranlée par de nouveaux assauts de ses ennemis, elle expérimente la promesse de son fondateur : « Voici que je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde » (Mt 28,20). Jamais le Christ ne saurait manquer à sa très pure Épouse ; jamais ne saurait s'éteindre en elle l'éclat de la sainteté qui invite les égarés à rentrer dans la voie de la vérité, rappelle les pécheurs sur le droit chemin, tire de leur torpeur les indolents.
Au XVIIe siècle, dans le sud-ouest de la France, le protestantisme s'étendait rapidement ; la nouvelle sainte apporta sa contribution pour enrayer cette avance :
Cette assistance divine parut aux temps de Jeanne de Lestonnac. Une nouvelle hérésie, née en Allemagne, se propageait en France et dans les autres pays. Le déclin et la corruption des mœurs privées et publiques ne frayaient que trop la voie aux erreurs et aux vices. La France ressentit l'action des novateurs au point de voir compromise sa traditionnelle unité religieuse.
Vains efforts ! Dieu suscita, dans le sein même de la fille aînée de l'Église, des hommes et des femmes d'une sainteté éminente. Aidés de la grâce de Dieu, ils arrêtèrent la vague montante de l'hérésie et l'empêchèrent d'inonder leur patrie bien-aimée.)
Or, il y a des saints qui semblent tourner le dos à leur époque. Des âmes d'élite _ mais qui boudent le temps présent. Des héros de vertu _ mais qui ont peur du progrès. Père Maximilien n'est certas pas de leur nombre. joyeusement optimiste, il croit éperdument que le progrès est bon, pourvu qu'il serve ad maximam Dei gloriam. Ce qu'il faut, c'est s'en emparer et lui donner un sens.
Dans son admirable allocution exaltant les vertus de sainte Jeanne de Lestonnac, Pie XII relève l'extraordinaire actualité des saints que Dieu fait monter sur les autels. Ils sont choisis dans la foule des élus, turba magna, parce qu'ils répondent à un besoin exprès de notre temps et qu'ils doivent nous servir de guides et de maîtres aujourd'hui.
( Pie XII : C'est Dieu Lui-même qui, après avoir sanctionné, par des miracles incontestables 3 le jugement des hommes sur l'héroïque sainteté de certains parmi ses innombrables élus, dispose les événements et les cœurs en vue de leur glorification solennelle par l'autorité suprême de son représentant sur la terre.
Si sainte Jeanne de Lestonnac, ayant vécu il y a plus de trois siècles, n'a été canonisée qu'en 1949, c'est sans doute parce que sa vie comporte des enseignements particulièrement lumineux pour notre temps :
Qui oserait scruter les mystérieux desseins de sa Providence ? Définir les raisons de son choix entre tant de héros de l'Église triomphante ? Les motifs pour lesquels il a déterminé le temps et les circonstances de leur apothéose ici-bas ? Il est pourtant permis et louable de constater et d'admirer humblement les aspects qui donnent à l'exemple et au patronage des nouveaux saints une opportunité tout actuelle. C'est particulièrement sur cette actualité de votre Mère que Nous voudrions vous inviter, chères filles, à fixer aujourd'hui votre attention.
Chaque fois que l'Église est troublée par de nouvelles hérésies ou ébranlée par de nouveaux assauts de ses ennemis, elle expérimente la promesse de son fondateur : « Voici que je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde » (Mt 28,20). Jamais le Christ ne saurait manquer à sa très pure Épouse ; jamais ne saurait s'éteindre en elle l'éclat de la sainteté qui invite les égarés à rentrer dans la voie de la vérité, rappelle les pécheurs sur le droit chemin, tire de leur torpeur les indolents.
Au XVIIe siècle, dans le sud-ouest de la France, le protestantisme s'étendait rapidement ; la nouvelle sainte apporta sa contribution pour enrayer cette avance :
Cette assistance divine parut aux temps de Jeanne de Lestonnac. Une nouvelle hérésie, née en Allemagne, se propageait en France et dans les autres pays. Le déclin et la corruption des mœurs privées et publiques ne frayaient que trop la voie aux erreurs et aux vices. La France ressentit l'action des novateurs au point de voir compromise sa traditionnelle unité religieuse.
Vains efforts ! Dieu suscita, dans le sein même de la fille aînée de l'Église, des hommes et des femmes d'une sainteté éminente. Aidés de la grâce de Dieu, ils arrêtèrent la vague montante de l'hérésie et l'empêchèrent d'inonder leur patrie bien-aimée.)
Or, il y a des saints qui semblent tourner le dos à leur époque. Des âmes d'élite _ mais qui boudent le temps présent. Des héros de vertu _ mais qui ont peur du progrès. Père Maximilien n'est certas pas de leur nombre. joyeusement optimiste, il croit éperdument que le progrès est bon, pourvu qu'il serve ad maximam Dei gloriam. Ce qu'il faut, c'est s'en emparer et lui donner un sens.
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Nous avons pu recueillir plusieurs épisodes caractéristiques de sa manière de voir qui n'était pas toujours d'accord avec celle de son milieu !
Nous sommes en 1917. Le cinéma n'est qu'à ses débuts. Il suscite une certaine méfiance des milieux bien-pensants, tandis que les masses, envoûtées, s'y ruent. La plupart des films sont d'une valeur morale fort douteuse, flattent les plus basses passions. (que dirait Maria Winowska aujourd'hui, je me le demande...) Les impresarios ne demandent qu'une seule chose : s'enrichir. C'est la guerre, triste période où non seulement les muses, mais aussi les vertus sommeillent.
Évidemment, à San Teodore il est souvent question de cinéma. Je vois très bien certains professeurs déplorant cet engin de perdition. Les films qu'à ce moment-là on tournait à Rome étaient loin d'être une école de vertu ! Frère Maximilien écoutait et son esprit vif et indépendant cherchait une solution.
Supprimer le cinéma ? D'abord, c'est impossible. Puis, serait-ce utile ? N'est-il pas beaucoup plus simple de le convertir ? De s'en emparer et de le faire servir au bien autant et plus encore qu'il ne sert au mal ?
Un jour il faillit scandaliser un condisciple quelque peu rigide. Pendant une promenade la question fut nettement posée. Frère Maximilien ne cacha pas sa pensée :
_ Le cinéma peut et doit servir au bien social : c'est à nous de l'orienter.
_ Ne voyez-vous donc pas _ s'écria son camarade _ que le démon et ses suppôts s'emparent de toutes les inventions et de toutes les conquêtes du progrès pour les convertir en mal ?
_ Raison de plus _ répondit Frère Maximilien _ pour nous réveiller enfin et nous mettre à l'œuvre afin de reconquérir les positions prises par l'ennemi.
Le temps donna raison à l'humble religieux franciscain : pensa-t-il à cette lointaine discussion lorsque le Pape Pie XI consacra officiellement le cinéma comme moyen d'apostolat et instrument d'action catholique ? Aussi les cinéastes français devraient l'invoquer comme patron !
Pie XI :
Or, parmi les divertissements modernes, le cinéma prend, de toute évidence, une place de première importance. Dans tous les pays, il a reçu droit de cité. A peine est-il besoin de redire que des millions de spectateurs le fréquentent chaque jour. Le nombre des salles de cinéma s'accroît sans cesse chez tous les peuples, quel que soit leur degré de culture. A tous, riches ou pauvres, il offre le même plaisir et le même délassement.
D'autre part, la nature des images mouvantes, la facilité d'accès des spectacles, même pour les masses populaires, et l'ensemble des circonstances qui entourent ce genre de récréation font en sorte qu'il est impossible de découvrir, aujourd'hui, un moyen d'influence quelconque capable d'exercer sur les foules une action plus efficace.
[...]
N'est-il pas évident pour tous que les scènes scandaleuses exercent une grande influence sur l'esprit des spectateurs? Elles fournissent une occasion de péché dans la mesure même où elles chantent les louanges des passions et des vices. Elles entraînent la jeunesse en dehors du droit chemin. Elles projettent une fausse lumière sur la vie. Elles énervent et ridiculisent les conseils évangéliques de perfection. Elles suppriment l'amour chaste, la sainteté du mariage, l'intimité familiale. Elles sont de nature, enfin, à susciter des préjugés et de faux jugements entre les hommes, entre les classes sociales, entre les nations et les races.
Par contre, lorsque le cinéma se met au service de l'idéal, combien salutaire n'est pas son influence! Il délasse et divertit; il encourage et stimule au bien; il donne les meilleurs conseils; il fait connaître les gloires et les actions de toutes les nations; il propose la vérité et la vertu sous un jour attrayant; il fait naître et favorise dans les diverses classes de la société, dans les divers pays et les races diverses, le désir d'une meilleure connaissance mutuelle; il soutient la cause de la justice; il entraîne tous et chacun à la vertu; enfin, il collabore de tout son pouvoir à l'élaboration d'un nouveau et meilleur statut de l'humanité.
http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/fr/gqh.htm
Nous sommes en 1917. Le cinéma n'est qu'à ses débuts. Il suscite une certaine méfiance des milieux bien-pensants, tandis que les masses, envoûtées, s'y ruent. La plupart des films sont d'une valeur morale fort douteuse, flattent les plus basses passions. (que dirait Maria Winowska aujourd'hui, je me le demande...) Les impresarios ne demandent qu'une seule chose : s'enrichir. C'est la guerre, triste période où non seulement les muses, mais aussi les vertus sommeillent.
Évidemment, à San Teodore il est souvent question de cinéma. Je vois très bien certains professeurs déplorant cet engin de perdition. Les films qu'à ce moment-là on tournait à Rome étaient loin d'être une école de vertu ! Frère Maximilien écoutait et son esprit vif et indépendant cherchait une solution.
Supprimer le cinéma ? D'abord, c'est impossible. Puis, serait-ce utile ? N'est-il pas beaucoup plus simple de le convertir ? De s'en emparer et de le faire servir au bien autant et plus encore qu'il ne sert au mal ?
Un jour il faillit scandaliser un condisciple quelque peu rigide. Pendant une promenade la question fut nettement posée. Frère Maximilien ne cacha pas sa pensée :
_ Le cinéma peut et doit servir au bien social : c'est à nous de l'orienter.
_ Ne voyez-vous donc pas _ s'écria son camarade _ que le démon et ses suppôts s'emparent de toutes les inventions et de toutes les conquêtes du progrès pour les convertir en mal ?
_ Raison de plus _ répondit Frère Maximilien _ pour nous réveiller enfin et nous mettre à l'œuvre afin de reconquérir les positions prises par l'ennemi.
Le temps donna raison à l'humble religieux franciscain : pensa-t-il à cette lointaine discussion lorsque le Pape Pie XI consacra officiellement le cinéma comme moyen d'apostolat et instrument d'action catholique ? Aussi les cinéastes français devraient l'invoquer comme patron !
Pie XI :
Or, parmi les divertissements modernes, le cinéma prend, de toute évidence, une place de première importance. Dans tous les pays, il a reçu droit de cité. A peine est-il besoin de redire que des millions de spectateurs le fréquentent chaque jour. Le nombre des salles de cinéma s'accroît sans cesse chez tous les peuples, quel que soit leur degré de culture. A tous, riches ou pauvres, il offre le même plaisir et le même délassement.
D'autre part, la nature des images mouvantes, la facilité d'accès des spectacles, même pour les masses populaires, et l'ensemble des circonstances qui entourent ce genre de récréation font en sorte qu'il est impossible de découvrir, aujourd'hui, un moyen d'influence quelconque capable d'exercer sur les foules une action plus efficace.
[...]
N'est-il pas évident pour tous que les scènes scandaleuses exercent une grande influence sur l'esprit des spectateurs? Elles fournissent une occasion de péché dans la mesure même où elles chantent les louanges des passions et des vices. Elles entraînent la jeunesse en dehors du droit chemin. Elles projettent une fausse lumière sur la vie. Elles énervent et ridiculisent les conseils évangéliques de perfection. Elles suppriment l'amour chaste, la sainteté du mariage, l'intimité familiale. Elles sont de nature, enfin, à susciter des préjugés et de faux jugements entre les hommes, entre les classes sociales, entre les nations et les races.
Par contre, lorsque le cinéma se met au service de l'idéal, combien salutaire n'est pas son influence! Il délasse et divertit; il encourage et stimule au bien; il donne les meilleurs conseils; il fait connaître les gloires et les actions de toutes les nations; il propose la vérité et la vertu sous un jour attrayant; il fait naître et favorise dans les diverses classes de la société, dans les divers pays et les races diverses, le désir d'une meilleure connaissance mutuelle; il soutient la cause de la justice; il entraîne tous et chacun à la vertu; enfin, il collabore de tout son pouvoir à l'élaboration d'un nouveau et meilleur statut de l'humanité.
http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/fr/gqh.htm
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Il y a cependant une autre arme, plus efficace encore [que le cinéma] que les catholiques devraient apprendre à manier (comment le Père Maximilien Kolbe utiliserait-il Internet ? qui cumule à la fois l'audio-visuel, la presse écrite, les forums de discussion, messenger, etc... certainement l'arme la plus efficace de nos jours. ll en profiterait probablement pour aller à la pêche aux âmes et engager la conversation selon sa méthode, pour étudier l'ennemi de près dans ses idéologies, pour créer des sites de valeur bleus et blancs aux couleurs de la Vierge...) : c'est la grande presse dont l'influence, depuis cent ans, ne cesse de grandir. Au dire de ses condisciples, Frère Maximilien en parlait souvent, pendant son séjour à Rome, soit en récréation, soit en promenade. Dès ce temps-là, il rêvait d'une revue qui enseignerait l'évangile à tous les peuples, sous la blanche protection de l'Immaculée. Les jeunes religieux écoutaient, émerveillés, puis ils oubliaient ces rêves grandioses et retournaient à leurs petits devoirs habituels. Mais pour Frère Maximilien, ce n'étaient pas des rêves ! C'était tout un plan et un plan de bataille ! Au milieu de ses Frères en religion il devait se sentir, parfois, singulièrement isolé. Je ne vois personne dans leur nombre, qui l'ait réellement compris. Était-ce leur faute ? Certes pas ! Qui pouvait se mesurer avec cette âme ardente qui aurait pu faire sienne la parole de sainte Catherine de Sienne "ma nature c'est le feu" ? Il fut un homme de grands, très grands désirs, passionnément épris de conquêtes universelles, voué par vocation au "toujours plus, toujours mieux". C'est ce qui déroutait son entourage et lui fut toute sa vie un lent martyre. Que voulez-vous faire d'un homme qui ne voit pas de limites à ses désirs et à ses plans de sauvetage ? Comment le suivre sans manquer de souffle, si l'on n'a pas le même élan et la même charité dévorante ? Ce n'est pas de sa faute s'il fut un saint !
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
Le Père Kolbe disait :
"Seules les caisses insondables de la Providence peuvent faire concurrence aux lingots du Prince de ce monde..."
Sa revue, le Chevalier de l'Immaculée, avait des bases économiques providentielles :
Il recherchait d'abord le Royaume de Dieu, avec la confiance tranquille que tout le reste ne manquerait pas d'être surajouté.
Si je vous dis, dit Maria Winowska, que le saint est une provocation ambulante, un vrai défi lancé à Dieu : "Seigneur, vous l'avez bien dit, eh bien, je vous prends au mot : il faut bien vous exécuter !"
D'abord on envoyait la revue pour rien à quiconque la demandait. Vous imaginez que les candidats à ces abonnements gratuits ne manquaient pas ! Parfois les Frères s'effarouchaient un peu, mais jamais, jusqu'au bout, le Père Maximilien ne voulut renoncer à cette forme de "propagande" ! Il faisait à ses lecteurs une confiance absolue, mais il engageait leur conscience !
Il écrivait par exemple : "Très volontiers, nous offrons des abonnements gratuits à quiconque ne peut rien offrir pour l'œuvre de l'Immaculée, même en se privant un peu"... Le coup portait.
Et voici que commençaient à affluer des lettres touchantes où tel disait : "Je renonce à fumer pour pouvoir payer mon abonnement et aussi celui de mon voisin qui est mécréant".
Ou bien : "Après la grand'messe j'avais l'habitude d'aller au bistro : je n'y vais plus et offre ces quelques sous à l'Immaculée".
Ou d'autres encore : "Au lieu de m'acheter une robe, je vous envoie cet argent, cela vous permettra d'ouvrir quelques abonnements gratuits".
Avec son instinct très sûr, le Père Maximilien avait touché juste : il y a dans notre peuple [les Polonais] d'insondables ressources de générosité, mais pour les faire vibrer il faut lui faire confiance !
"Seules les caisses insondables de la Providence peuvent faire concurrence aux lingots du Prince de ce monde..."
Sa revue, le Chevalier de l'Immaculée, avait des bases économiques providentielles :
Il recherchait d'abord le Royaume de Dieu, avec la confiance tranquille que tout le reste ne manquerait pas d'être surajouté.
Si je vous dis, dit Maria Winowska, que le saint est une provocation ambulante, un vrai défi lancé à Dieu : "Seigneur, vous l'avez bien dit, eh bien, je vous prends au mot : il faut bien vous exécuter !"
D'abord on envoyait la revue pour rien à quiconque la demandait. Vous imaginez que les candidats à ces abonnements gratuits ne manquaient pas ! Parfois les Frères s'effarouchaient un peu, mais jamais, jusqu'au bout, le Père Maximilien ne voulut renoncer à cette forme de "propagande" ! Il faisait à ses lecteurs une confiance absolue, mais il engageait leur conscience !
Il écrivait par exemple : "Très volontiers, nous offrons des abonnements gratuits à quiconque ne peut rien offrir pour l'œuvre de l'Immaculée, même en se privant un peu"... Le coup portait.
Et voici que commençaient à affluer des lettres touchantes où tel disait : "Je renonce à fumer pour pouvoir payer mon abonnement et aussi celui de mon voisin qui est mécréant".
Ou bien : "Après la grand'messe j'avais l'habitude d'aller au bistro : je n'y vais plus et offre ces quelques sous à l'Immaculée".
Ou d'autres encore : "Au lieu de m'acheter une robe, je vous envoie cet argent, cela vous permettra d'ouvrir quelques abonnements gratuits".
Avec son instinct très sûr, le Père Maximilien avait touché juste : il y a dans notre peuple [les Polonais] d'insondables ressources de générosité, mais pour les faire vibrer il faut lui faire confiance !
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
.
Merci Lucie pour ce début étoffé du livre traitant du Père Kolbe.
J'y porterai attention.
Merci Lucie pour ce début étoffé du livre traitant du Père Kolbe.
J'y porterai attention.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
ROBERT. a écrit:.
Merci Lucie pour ce début étoffé du livre traitant du Père Kolbe.
J'y porterai attention.
Un seul bémol: il faudra oublier sa "canonisation" par jp2 en 1992 (wiki)
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Père Maximilien Kolbe
ROBERT. a écrit:ROBERT. a écrit:.
Merci Lucie pour ce début étoffé du livre traitant du Père Kolbe.
J'y porterai attention.
Un seul bémol: il faudra oublier sa "canonisation" par jp2 en 1992 (wiki)
Tout le monde l'a oublié, cher Robert.
Lucie- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 02/04/2009
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