La face cahée du NOM
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La face cahée du NOM
Les auteurs impies du NOM n'ont pas visé à faire une messe catholique ayant les apparences d'une Cène protestante, dans le but de la faire accepter par les protestants, ce qui, sans être honnête , aurait pu s'expliquer. Non ! Ils ont voulu faire une Cène protestante, mais en s'étudiant à lui garder les apparences d'une Messe catholique dans le but de la faire "gober" par les catholiques. Résultat: le monde catholique a basculé dans l'union dans l'hérésie.
Ce plan diabolique , jamais aucun hérésiarque avant Montini ne l'avait même rêvé....
Ce plan diabolique , jamais aucun hérésiarque avant Montini ne l'avait même rêvé....
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La face cahée du NOM
.
Ce ne sont pas les protestants qui se sont convertis au catholicisme, mais les catholiques qui se sont pervertis vers le protestantisme !!!
Terrible !!! Diaboliques ces INTRUS !!
Ce ne sont pas les protestants qui se sont convertis au catholicisme, mais les catholiques qui se sont pervertis vers le protestantisme !!!
Terrible !!! Diaboliques ces INTRUS !!
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: La face cahée du NOM
Dans le canon du NOM
"nous te présentons ce vin, fruit de la vigne et du travail des hommes" il deviendra pour nous...
Dans le judaisme, avant de boire du vin les juifs pieux disent :
"Béni sois-tu Notre Dieu Roi de l'Univers qui créé le fruit de la vigne." Amen
Il n'est jamais question du travail de l'homme dans cette bénédiction !
Le juif considère que l'on n'a pas le droit de manger quelque chose sans bénir Dieu avant car cela appartient à Dieu et avant de pouvoir en manger, on bénit Dieu et par le fait de bénir cela autorise le fidèle d'utiliser cette nourriture.
Ils mettent l'accent sur l'action de Dieu qui crée le vin et non sur l'action de l'homme qui transforme les grains de raisin en vin ! le terme en hébreu est vraiment un terme "boré" qui indique "crée" ! (libro = créer)
Le fruit de la vigne c'est le vin ! Ce n'est pas les grains de raisin eux-mêmes mais le produit/le jus ou liquide fermenté coulant de ces grains ! C'est le procédé de maturation qui fait le vin, mais c'est Dieu qui travaille pas l'homme !
Les grains de raisin avant d'être mangés nécessitent un autre type de bénédiction car ce sont les grains d'un arbre fruitier !
Il n'est jamais question chez le juif par cette bénédiction d'offrir le fruit d'un travail! On bénit Dieu pour ce qu'il a créé : le fruit de la vigne. Point.
De même pour le pain , il n'est pas question du travail des hommes, la bénédiction consiste en :
"Béni sois-tu Adonaï Notre Dieu Roi de l'Univers qui fait sortir le pain de la terre. Amen" Le terme en hébreu est bien de "faire sortir" le pain et non de le créer ! (Engendré non pas créé: cela ne vous rappelle rien ? Une phrase du Credo !)
Là aussi dans cette bénédiction il n'est pas du tout question du travail de l'homme pour la transformation du blé ou autre céréale en pain ! Non !
C'est Dieu qui fait sortir la céréale de terre pour la transformer en pain, tandis que pour le vin : il crée le vin !
Là aussi c'est Dieu que l'on bénit, et non la nourriture ! Là aussi on insiste sur l'action de Dieu et non l'action de l'homme !
Si on considère que les premiers "rabbins" ou "anciens sages" ou "premiers prêtres hébreux justes dans le Temple" qui ont institué ces deux bénédictions (à moins qu'elles aient été reçues oralement des Anciens du temps d'Aaron, je ne sais), on peut envisager qu'ils avaient au départ une bonne intention : celle de louer Dieu et l'action de Dieu uniquement et cela dans les deux types de bénédiction sans vouloir mêler l'action/le travail de l'homme dans l'affaire !
Mais les adeptes montiniens infiltrés ont ajouté à ces bénédictions les termes que nous connaissons : "fruit de la vigne et du travail des hommes" et aussi "ce pain fruit de la terre et du travail des hommes" ...
Pour les juifs, le mot "pain" n'est pas un fruit de la terre car comme nous le verrons plus bas il existe une autre bénédiction pour les fruits de la terre qui le confirme.
Le pain c'est bien le résultat de la transformation des céréales issues de la terre mais par l'action du travail de Dieu et non par l'action du travail de l'homme !
Le fruit de la terre ce sont les produits qui sortent directement du sol : tous les produits du potager ! Et les termes en hébreu sont bien différents pour chacune des catégories !
"Boré péri haadama" = qui crée le fruit de la terre
"hamotzi lehem minhaaretz = qui fait sortir le pain de la terre, dans le mot "faire sortir" il y a le processus du "si le grain de blé - donc la céréale - tombé en terre ne meurt il ne peut donner du fruit"
"Boré péri haets = qui crée le fruit de l'arbre !
Le fruit nous le savons bien c'est le produit de la Grace Divine et surtout quand ils sont bons !
Pour les produits "manufacturés" ou autres, comme de l'eau par exemple, du beurre, du fromage, ou des confitures, des bonbons, du chocolat etc... lorsqu'ils sont consommés sans pain, ils disent :
"béni sois-tu Adonaï Notre Dieu qui créé tout par sa parole" ! Là encore on voit l'action de Dieu même dans les produits transformés par main d'homme c'est à dire fabriqués par transformation du fruit initial pour obtention d'un aliment, l'action de l'homme n'est même pas mentionnée ! Tout est créé par sa parole !
J''ai voulu préciser tout ceci pour montrer l'importance du blasphème de la liturgie NOM vu par une juive convertie au catholicisme !!
Pour quelle raison les Nomistes ont-ils rajouté "le travail des hommes" ? Pour quelle raison ont-ils remplacé le processus de la transformation de la céréale en pain par Dieu donc l'action de Dieu par tout simplement les mots "fruit de la terre" ? (Je reviens encore sur le "engendré non pas créé" du Credo !) c'est tout simplement parce qu'ils ne sont pas d'accord sur la nature divine de Notre Seigneur Jésus-Christ qu'ils attachent à la nature humaine terrestre et non à la nature divine surnaturelle céleste !
Parce qu'ils savent que les juifs vont se convertir en masse à la fin des temps et par conséquent pour tromper aussi ceux-là, les démons de l'œcuménisme croyant qu'ils pourront empêcher cela, ils ont subtilement réalisé le glissement de faire croire que le pain est un pur produit/aliment naturel direct de la terre un fruit de la terre alors qu'il est bien le fruit du travail divin de Dieu !
Les gens voulant à tout prix que l'on valorise leur travail car en valorisant leur travail ils sont valorisés eux-mêmes au lieu de valoriser l'action de Dieu, ils en arrivent à l'autosatisfaction c'est à dire jusqu'au point de tomber dans l'orgueil spirituel péché contre l'Esprit Saint et donc irrémissible !! Si cela arrivait les démons gagneraient !
Or si on dit qu'un fruit provient de la terre c'est qu'il ne provient pas du ciel !
Or la manne d'où est-elle arrivée si ce n'est qu'elle est tombée du ciel ? !
Notre Seigneur Jésus-Christ vient du Ciel puisqu'il est le Verbe Divin Incarné ! Il est le pain du Ciel ! La manne cachée !
Et donc dire "fruit de la terre et du travail des hommes" lorsqu'ils parlent du pain c'est assimiler le Verbe à la nature purement terrestre, à la terre, au lieu de lui conserver sa dimension céleste et divine !
Quand les juifs mangent un fruit provenant de la terre ils disent : "
"béni sois-tu Adonaï Notre Dieu Roi de l'Univers qui as créé le fruit de la terre Amen" I
Les juifs disent cette bénédiction pour la banane, la tomate, la pomme de terre, tous les légumes du jardin potager (agriculture) et les fruits qui poussent dans la terre et non sur un arbre par exemple : la pastèque, le melon, etc...
Pour tous les fruits qui poussent sur les arbres ils disent : "béni sois-tu Adonaï Notre Dieu Roi de l'Univers qui a créé le fruit de l'arbre" ! On le dit pour les pommes, les poires, les figues, les dattes, les mûres etc...mais aussi...pour les grains de raisin eux-mêmes car le Cep c'est un arbre ! et par conséquent il faut faire la bénédiction des fruits de l'arbre !
Voilà pourquoi et comment les Montiniens ont réussi à profaner la liturgie du Saint Sacrifice de la messe : ces bénédictions juives étant un appât pour les juifs qui envisageraient de se convertir au catholicisme, et un poison pour les autres c'est à dire les catholiques qui étaient sur le chemin du salut jusqu'à la mort de S.S.Pie XII, en les conduisant imperceptiblement , malgré eux, à profaner la gloire de Dieu sans même sans rendre compte par leur assistance à cette liturgie au nom de l'obéissance aveugle !
Ils ont transformé le Saint Sacrifice de la messe en une Cène-repas même pas protestante mais plutôt "cachère libérale" c'est à dire "taref" = impure ou impropre à la consommation pour les juifs pieux, et pas du tout "glat cachère" (glat cachère = supercachère, l'ultra cachère du cachère !) bien qu'ils se vantent de vouloir revenir aux sources anciennes de la liturgie !
Mais Notre Seigneur nous a promis qu'ils ne pourraient pas tromper les élus ! (les élus = les catholiques fidèles bien sûr !)
Conclusion Le NOM est un cocktail infernal dangereux pour les âmes, et un blasphème permanent ! A éviter absolument !
J'espère que je me suis bien expliquée car ce n'est pas un sujet facile les subtilités linguistiques hébraiques sont difficiles à rendre ! Et si j'ai dit une bêtise concernant la foi vous me le dites hein!
"nous te présentons ce vin, fruit de la vigne et du travail des hommes" il deviendra pour nous...
Dans le judaisme, avant de boire du vin les juifs pieux disent :
"Béni sois-tu Notre Dieu Roi de l'Univers qui créé le fruit de la vigne." Amen
Il n'est jamais question du travail de l'homme dans cette bénédiction !
Le juif considère que l'on n'a pas le droit de manger quelque chose sans bénir Dieu avant car cela appartient à Dieu et avant de pouvoir en manger, on bénit Dieu et par le fait de bénir cela autorise le fidèle d'utiliser cette nourriture.
Ils mettent l'accent sur l'action de Dieu qui crée le vin et non sur l'action de l'homme qui transforme les grains de raisin en vin ! le terme en hébreu est vraiment un terme "boré" qui indique "crée" ! (libro = créer)
Le fruit de la vigne c'est le vin ! Ce n'est pas les grains de raisin eux-mêmes mais le produit/le jus ou liquide fermenté coulant de ces grains ! C'est le procédé de maturation qui fait le vin, mais c'est Dieu qui travaille pas l'homme !
Les grains de raisin avant d'être mangés nécessitent un autre type de bénédiction car ce sont les grains d'un arbre fruitier !
Il n'est jamais question chez le juif par cette bénédiction d'offrir le fruit d'un travail! On bénit Dieu pour ce qu'il a créé : le fruit de la vigne. Point.
De même pour le pain , il n'est pas question du travail des hommes, la bénédiction consiste en :
"Béni sois-tu Adonaï Notre Dieu Roi de l'Univers qui fait sortir le pain de la terre. Amen" Le terme en hébreu est bien de "faire sortir" le pain et non de le créer ! (Engendré non pas créé: cela ne vous rappelle rien ? Une phrase du Credo !)
Là aussi dans cette bénédiction il n'est pas du tout question du travail de l'homme pour la transformation du blé ou autre céréale en pain ! Non !
C'est Dieu qui fait sortir la céréale de terre pour la transformer en pain, tandis que pour le vin : il crée le vin !
Là aussi c'est Dieu que l'on bénit, et non la nourriture ! Là aussi on insiste sur l'action de Dieu et non l'action de l'homme !
Si on considère que les premiers "rabbins" ou "anciens sages" ou "premiers prêtres hébreux justes dans le Temple" qui ont institué ces deux bénédictions (à moins qu'elles aient été reçues oralement des Anciens du temps d'Aaron, je ne sais), on peut envisager qu'ils avaient au départ une bonne intention : celle de louer Dieu et l'action de Dieu uniquement et cela dans les deux types de bénédiction sans vouloir mêler l'action/le travail de l'homme dans l'affaire !
Mais les adeptes montiniens infiltrés ont ajouté à ces bénédictions les termes que nous connaissons : "fruit de la vigne et du travail des hommes" et aussi "ce pain fruit de la terre et du travail des hommes" ...
Pour les juifs, le mot "pain" n'est pas un fruit de la terre car comme nous le verrons plus bas il existe une autre bénédiction pour les fruits de la terre qui le confirme.
Le pain c'est bien le résultat de la transformation des céréales issues de la terre mais par l'action du travail de Dieu et non par l'action du travail de l'homme !
Le fruit de la terre ce sont les produits qui sortent directement du sol : tous les produits du potager ! Et les termes en hébreu sont bien différents pour chacune des catégories !
"Boré péri haadama" = qui crée le fruit de la terre
"hamotzi lehem minhaaretz = qui fait sortir le pain de la terre, dans le mot "faire sortir" il y a le processus du "si le grain de blé - donc la céréale - tombé en terre ne meurt il ne peut donner du fruit"
"Boré péri haets = qui crée le fruit de l'arbre !
Le fruit nous le savons bien c'est le produit de la Grace Divine et surtout quand ils sont bons !
Pour les produits "manufacturés" ou autres, comme de l'eau par exemple, du beurre, du fromage, ou des confitures, des bonbons, du chocolat etc... lorsqu'ils sont consommés sans pain, ils disent :
"béni sois-tu Adonaï Notre Dieu qui créé tout par sa parole" ! Là encore on voit l'action de Dieu même dans les produits transformés par main d'homme c'est à dire fabriqués par transformation du fruit initial pour obtention d'un aliment, l'action de l'homme n'est même pas mentionnée ! Tout est créé par sa parole !
J''ai voulu préciser tout ceci pour montrer l'importance du blasphème de la liturgie NOM vu par une juive convertie au catholicisme !!
Pour quelle raison les Nomistes ont-ils rajouté "le travail des hommes" ? Pour quelle raison ont-ils remplacé le processus de la transformation de la céréale en pain par Dieu donc l'action de Dieu par tout simplement les mots "fruit de la terre" ? (Je reviens encore sur le "engendré non pas créé" du Credo !) c'est tout simplement parce qu'ils ne sont pas d'accord sur la nature divine de Notre Seigneur Jésus-Christ qu'ils attachent à la nature humaine terrestre et non à la nature divine surnaturelle céleste !
Parce qu'ils savent que les juifs vont se convertir en masse à la fin des temps et par conséquent pour tromper aussi ceux-là, les démons de l'œcuménisme croyant qu'ils pourront empêcher cela, ils ont subtilement réalisé le glissement de faire croire que le pain est un pur produit/aliment naturel direct de la terre un fruit de la terre alors qu'il est bien le fruit du travail divin de Dieu !
Les gens voulant à tout prix que l'on valorise leur travail car en valorisant leur travail ils sont valorisés eux-mêmes au lieu de valoriser l'action de Dieu, ils en arrivent à l'autosatisfaction c'est à dire jusqu'au point de tomber dans l'orgueil spirituel péché contre l'Esprit Saint et donc irrémissible !! Si cela arrivait les démons gagneraient !
Or si on dit qu'un fruit provient de la terre c'est qu'il ne provient pas du ciel !
Or la manne d'où est-elle arrivée si ce n'est qu'elle est tombée du ciel ? !
Notre Seigneur Jésus-Christ vient du Ciel puisqu'il est le Verbe Divin Incarné ! Il est le pain du Ciel ! La manne cachée !
Et donc dire "fruit de la terre et du travail des hommes" lorsqu'ils parlent du pain c'est assimiler le Verbe à la nature purement terrestre, à la terre, au lieu de lui conserver sa dimension céleste et divine !
Quand les juifs mangent un fruit provenant de la terre ils disent : "
"béni sois-tu Adonaï Notre Dieu Roi de l'Univers qui as créé le fruit de la terre Amen" I
Les juifs disent cette bénédiction pour la banane, la tomate, la pomme de terre, tous les légumes du jardin potager (agriculture) et les fruits qui poussent dans la terre et non sur un arbre par exemple : la pastèque, le melon, etc...
Pour tous les fruits qui poussent sur les arbres ils disent : "béni sois-tu Adonaï Notre Dieu Roi de l'Univers qui a créé le fruit de l'arbre" ! On le dit pour les pommes, les poires, les figues, les dattes, les mûres etc...mais aussi...pour les grains de raisin eux-mêmes car le Cep c'est un arbre ! et par conséquent il faut faire la bénédiction des fruits de l'arbre !
Voilà pourquoi et comment les Montiniens ont réussi à profaner la liturgie du Saint Sacrifice de la messe : ces bénédictions juives étant un appât pour les juifs qui envisageraient de se convertir au catholicisme, et un poison pour les autres c'est à dire les catholiques qui étaient sur le chemin du salut jusqu'à la mort de S.S.Pie XII, en les conduisant imperceptiblement , malgré eux, à profaner la gloire de Dieu sans même sans rendre compte par leur assistance à cette liturgie au nom de l'obéissance aveugle !
Ils ont transformé le Saint Sacrifice de la messe en une Cène-repas même pas protestante mais plutôt "cachère libérale" c'est à dire "taref" = impure ou impropre à la consommation pour les juifs pieux, et pas du tout "glat cachère" (glat cachère = supercachère, l'ultra cachère du cachère !) bien qu'ils se vantent de vouloir revenir aux sources anciennes de la liturgie !
Mais Notre Seigneur nous a promis qu'ils ne pourraient pas tromper les élus ! (les élus = les catholiques fidèles bien sûr !)
Conclusion Le NOM est un cocktail infernal dangereux pour les âmes, et un blasphème permanent ! A éviter absolument !
J'espère que je me suis bien expliquée car ce n'est pas un sujet facile les subtilités linguistiques hébraiques sont difficiles à rendre ! Et si j'ai dit une bêtise concernant la foi vous me le dites hein!
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: La face cahée du NOM
Gabrielle a écrit:
Le NOM est appelé le nouvel ordo de Montini ou le nouvel ordo de Bunigni. En 1968, 3 ans après la fin du Concile, il semble que les évêques du Concile n'étaient pas concerné et recevaient cette nouvelle du NOM pour les uns progressistes avec enthousiasme bien qu'ils n'aient pas participé à son élaboration et les autres comme une nouvelle voire très mauvaise nouvelle comme pour Mgr Lefèbvre.
Je voudrais simplement faire remarquer que le NOM est inscrit dans le Concile et le 7 décembre 1965, TOUS les évêques réunis à Rome avait déjà approuvé le nouvel Ordo qui devait arriver dans les années suivantes.
POURQUOI je me permets une telle affirmation, une telle charge qui pourrait paraître calomnieuse.
Depuis 1995, où j'ai eu enfin la bonne idée d'étudier le Concile Vatican II par moi-même dans "Vatican d'eux", je me suis aperçu que la plus grave atteinte du Concile contre la doctrine n'était pas la liberté religieuse. Je ne dis pas que cette liberté religieuse proclamée en dogme n'étaient pas hérétiques mais malheureusement, depuis des lustres, si ce n'était pas tous les évêques qui l'avaient accepté, presque plus aucun d'eux ne s'attaquaient à ce chancre bien installé. Il ne faut pas oublier non plus que tous les évêques de France depuis le Concordat sont D'ABORD choisis par le gouvernement républicain et maçon de la France et il ne faudrait pas croire que ce sont des enfants de coeur qui vont choisir des évêques qui vont combattre la laïcité de l'Etat...parce que la Liberté religieuse se trouve bien là;
Plus grave encore dans le Concile et plus centrale, c'est la "Constitution dogmatique sur l'Eglise" qui est le centre et la concentration des hérésies de Vatican II. Quand Marcel a dit que ce concile n'était pas dogmatique, il a dû chaque fois qu'il a lu cette Constitution avoir un flash dans les yeux pour affirmer que le Concile n'était pas dogmatique.
Si c'était l'Eglise catholique qui avait été l'auteur de cette "Constitution dogmatique sur l'Eglise", nous aurions eu, sans doute dans ce document central du Concile TOUTE la doctrine de l'EGlise catholique. Mais, ici, dans ce document central du Concile, c'est l'église conciliaire qui élabore ses bases.
Mais, voilà, Marcel non seulement a signé "Lumen Gentium" mais même après, il s'est fait une gloire de l'avoir signé et il s'est fait une gloire de l'avoir signé dans son livre "j'accuse le Concile":
Dans “J’accuse le concile”, page 100, Mgr Lefebvre se réfère à “Lumen Gentium” qui tout comme “Satis cognitum” de Léon XIII, nous dit-il, expose clairement la fonction des évêques et du Pape.
Remarquons bien que Monseigneur Lefebvre place “Lumen Gentium” au niveau de “Satis Cognitum” de Léon XIII : donc, sans aucun doute, l’évêque reconnaît à ces deux textes la même autorité.
Monseigneur Lefebvre n’accuse pas “Lumen Gentium”, il le signe en novembre 1964 et s’y réfère comme point de repère doctrinal pour rectifier le schéma sur “l’activité missionnaire de l’Eglise” du 2 octobre 1965 (extrait de Vatican d'eux)
C'est pourtant dans ce document central du Concile que Marcel et tous les autres apostats ont étayer leur doctrine syncrétiste pourrie en faveur du protestantisme en ces termes :
Si donc, les protestants, dont il est question ici,
"vénèrent la Sainte Ecriture comme norme de foi et de vie",
s'ils manifestent aussi un authentique zèle religieux, croient avec amour en Dieu le Père tout-puissant et dans le Christ, Fils de Dieu Sauveur , sont marqués par le baptême, qui les unit au Christ et, en outre, reconnaissent et acceptent d'autres sacrements dans leurs propres Eglises ou communautés,
s'ils ont aussi l'épiscopat,
s'ils "célèbrent la sainte Eucharistie" . Il faut remarquer ici que les Père du Concile affirment que les protestant comme les schismatiques "célèbrent La Saint Eucharistie". Il n'y a pas de notion de validité ou non, l'affirmation de Beu Beu sur la validité des messes sans les paroles de la consécration n'est donc pas nouvelle, elle se trouve déjà ici et signée et accepté par Marcel.
s'ils ont "la communion par la prière et d'autres bienfaits spirituels; et même une union réelle dans l'Esprit-Saint, car l'Esprit agit également en eux par ses dons et ses grâces, avec sa puissance sanctificatrice; et il a donné à certains d'entre eux une vertu qui les a fortifiés jusqu'à l'effusion de leur sang.
si "l'Esprit éveille-t-il en tous les disciples du Christ le désir et oriente-t-il leur activité (l'activité des protestants) afin que tous s'unissent pacifiquement, de la manière que le Christ a fixée, en un seul troupeau et sous un seul Pasteur
Alors, S'ILS ONT TOUT CELA, ALORS, SANS DOUTE, Il faut avoir avec eux, une messe commune et la dire avec eux.
Par conséquent TOUTE la tradouillerie qui démarre avec la réforme liturgique, Le Marcel qui refuse la Messe de Paul VI mais qui veut interpréter le Concile à la lumière de la Tradition, ils sont complètement à côté de la plaque avec une guerre de retard et tout ce qu'ils ont fait n'est que mu-muse avec l'ennemi.
Marcel a signé un concile où était inscrit noir sur blanc, le syncrétisme universel et l'unité avec les protestants.
..Les auteurs impies du NOM n'ont pas visé à faire une messe catholique ayant les apparences d'une Cène protestante, dans le but de la faire accepter par les protestants, ce qui, sans être honnête , aurait pu s'expliquer. Non ! Ils ont voulu faire une Cène protestante, mais en s'étudiant à lui garder les apparences d'une Messe catholique dans le but de la faire "gober" par les catholiques. Résultat: le monde catholique a basculé dans l'union dans l'hérésie.
Ce plan diabolique , jamais aucun hérésiarque avant Montini ne l'avait même rêvé..
Le NOM est appelé le nouvel ordo de Montini ou le nouvel ordo de Bunigni. En 1968, 3 ans après la fin du Concile, il semble que les évêques du Concile n'étaient pas concerné et recevaient cette nouvelle du NOM pour les uns progressistes avec enthousiasme bien qu'ils n'aient pas participé à son élaboration et les autres comme une nouvelle voire très mauvaise nouvelle comme pour Mgr Lefèbvre.
Je voudrais simplement faire remarquer que le NOM est inscrit dans le Concile et le 7 décembre 1965, TOUS les évêques réunis à Rome avait déjà approuvé le nouvel Ordo qui devait arriver dans les années suivantes.
POURQUOI je me permets une telle affirmation, une telle charge qui pourrait paraître calomnieuse.
Depuis 1995, où j'ai eu enfin la bonne idée d'étudier le Concile Vatican II par moi-même dans "Vatican d'eux", je me suis aperçu que la plus grave atteinte du Concile contre la doctrine n'était pas la liberté religieuse. Je ne dis pas que cette liberté religieuse proclamée en dogme n'étaient pas hérétiques mais malheureusement, depuis des lustres, si ce n'était pas tous les évêques qui l'avaient accepté, presque plus aucun d'eux ne s'attaquaient à ce chancre bien installé. Il ne faut pas oublier non plus que tous les évêques de France depuis le Concordat sont D'ABORD choisis par le gouvernement républicain et maçon de la France et il ne faudrait pas croire que ce sont des enfants de coeur qui vont choisir des évêques qui vont combattre la laïcité de l'Etat...parce que la Liberté religieuse se trouve bien là;
Plus grave encore dans le Concile et plus centrale, c'est la "Constitution dogmatique sur l'Eglise" qui est le centre et la concentration des hérésies de Vatican II. Quand Marcel a dit que ce concile n'était pas dogmatique, il a dû chaque fois qu'il a lu cette Constitution avoir un flash dans les yeux pour affirmer que le Concile n'était pas dogmatique.
Si c'était l'Eglise catholique qui avait été l'auteur de cette "Constitution dogmatique sur l'Eglise", nous aurions eu, sans doute dans ce document central du Concile TOUTE la doctrine de l'EGlise catholique. Mais, ici, dans ce document central du Concile, c'est l'église conciliaire qui élabore ses bases.
Mais, voilà, Marcel non seulement a signé "Lumen Gentium" mais même après, il s'est fait une gloire de l'avoir signé et il s'est fait une gloire de l'avoir signé dans son livre "j'accuse le Concile":
Dans “J’accuse le concile”, page 100, Mgr Lefebvre se réfère à “Lumen Gentium” qui tout comme “Satis cognitum” de Léon XIII, nous dit-il, expose clairement la fonction des évêques et du Pape.
Remarquons bien que Monseigneur Lefebvre place “Lumen Gentium” au niveau de “Satis Cognitum” de Léon XIII : donc, sans aucun doute, l’évêque reconnaît à ces deux textes la même autorité.
Monseigneur Lefebvre n’accuse pas “Lumen Gentium”, il le signe en novembre 1964 et s’y réfère comme point de repère doctrinal pour rectifier le schéma sur “l’activité missionnaire de l’Eglise” du 2 octobre 1965 (extrait de Vatican d'eux)
C'est pourtant dans ce document central du Concile que Marcel et tous les autres apostats ont étayer leur doctrine syncrétiste pourrie en faveur du protestantisme en ces termes :
Avec ceux qui, baptisés, s'honorent du nom de chrétiens, mais ne professent pas intégralement la foi ou ne conservent pas l'unité de la communion avec le successeur de Pierre, l'Eglise se sait unie par de multiples rapports (14). Beaucoup, en effet, vénèrent la sainte Ecriture comme norme de foi et de vie; ils manifestent aussi un authentique zèle religieux, croient avec amour en Dieu le Père tout-puissant et dans le Christ, Fils de Dieu Sauveur (15), sont marqués par le baptême, qui les unit au Christ et, en outre, reconnaissent et acceptent d'autres sacrements dans leurs propres Eglises ou communautés. Plusieurs parmi eux ont aussi l'épiscopat, célèbrent la sainte Eucharistie et cultivent la dévotion envers la Vierge Mère de Dieu (16). A cela s'ajoute la communion par la prière et d'autres bienfaits spirituels; et même une union réelle dans l'Esprit-Saint, car l'Esprit agit également en eux par ses dons et ses grâces, avec sa puissance sanctificatrice; et il a donné à certains d'entre eux une vertu qui les a fortifiés jusqu'à l'effusion de leur sang. Ainsi l'Esprit éveille-t-il en tous les disciples du Christ le désir et oriente-t-il leur activité afin que tous s'unissent pacifiquement, de la manière que le Christ a fixée, en un seul troupeau et sous un seul Pasteur (17). Et pour obtenir cette unité la Mère Eglise ne cesse de prier, d'espérer et d'agir. Elle exhorte ses fils à se purifier et à se renouveler, afin que l'image du Christ resplendisse, plus nette, sur le visage de l'Eglise.
Si donc, les protestants, dont il est question ici,
"vénèrent la Sainte Ecriture comme norme de foi et de vie",
s'ils manifestent aussi un authentique zèle religieux, croient avec amour en Dieu le Père tout-puissant et dans le Christ, Fils de Dieu Sauveur , sont marqués par le baptême, qui les unit au Christ et, en outre, reconnaissent et acceptent d'autres sacrements dans leurs propres Eglises ou communautés,
s'ils ont aussi l'épiscopat,
s'ils "célèbrent la sainte Eucharistie" . Il faut remarquer ici que les Père du Concile affirment que les protestant comme les schismatiques "célèbrent La Saint Eucharistie". Il n'y a pas de notion de validité ou non, l'affirmation de Beu Beu sur la validité des messes sans les paroles de la consécration n'est donc pas nouvelle, elle se trouve déjà ici et signée et accepté par Marcel.
s'ils ont "la communion par la prière et d'autres bienfaits spirituels; et même une union réelle dans l'Esprit-Saint, car l'Esprit agit également en eux par ses dons et ses grâces, avec sa puissance sanctificatrice; et il a donné à certains d'entre eux une vertu qui les a fortifiés jusqu'à l'effusion de leur sang.
si "l'Esprit éveille-t-il en tous les disciples du Christ le désir et oriente-t-il leur activité (l'activité des protestants) afin que tous s'unissent pacifiquement, de la manière que le Christ a fixée, en un seul troupeau et sous un seul Pasteur
Alors, S'ILS ONT TOUT CELA, ALORS, SANS DOUTE, Il faut avoir avec eux, une messe commune et la dire avec eux.
Par conséquent TOUTE la tradouillerie qui démarre avec la réforme liturgique, Le Marcel qui refuse la Messe de Paul VI mais qui veut interpréter le Concile à la lumière de la Tradition, ils sont complètement à côté de la plaque avec une guerre de retard et tout ce qu'ils ont fait n'est que mu-muse avec l'ennemi.
Marcel a signé un concile où était inscrit noir sur blanc, le syncrétisme universel et l'unité avec les protestants.
Régis- Nombre de messages : 509
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: La face cahée du NOM
Je viens d'avoir un ami au téléphone à qui je parlais des études théologiques des traditionalistes contre Vatican II.
et au sujet du livre du P. Vinsion "Le sedevacantisme, une hypothèse valable" qui reprenait une phrase à Marcel, il me confirma que c'était exactement le style d'attaque fébrile des chefs traditionalistes du genre :
Il semble toujours que le fait d'être respectueux de Vatican II, de ne pas le rejeter entièrement, de continuer à lui garder une certaine notoriété d'Eglise romaine et surtout de mettre certains de ses membres sur un piedestal tels qu'Ottaviani, Bacci, Laraona, Lefèbvre, ou des Malachie Martin...en fait des mecs qui ont fait partie du complot et qui font croire qu'ils ont quitté l'équipe. Le fait de croire au sérieux de ses fausses résistances semble une condition, sine qua non, pour paraître sérieux.
C'est d'ailleurs la démarche de l'Abbé Zins, qui, avec raison et logique, ne fait aucun cadeau à Thuc et à sa descendance sectaire mais Monseigneur Lefèbvre (il ne l'appellerait pas autrement) a un traitement de faveur. Le fondateur d'Ecône reste pour lui un évêque catholique avec les droits divins de prodiguer des sacrements, d'ordonner des prêtres et des diacres. Il ne tombe que sur ses déviations qui n'auraient eu lieu qu'après son départ d'Ecône, déviations innombrables par rapport à la catholicité EXEMPLAIRE du fondateur d'Ecône où, cependant, dès le départ, il va chercher l'approbation de l'évêque de Friebourg pour fonder son séminaire.
S'agit-il alors de déviations ?
Il s'agit simplement de contradictions inévitables du fait de jouer en même temps sur deux registres :
Etre catholique doctrinalement pour séduire rassembler et rallier les catholiques résistants à Vatican II.
"Etre catholique", être "una cum" avec l'église conciliaire qu'il a fondée sans jamais la quitter, l'église incontournable de l'unité de l'avant et de l'après Concile !
et au sujet du livre du P. Vinsion "Le sedevacantisme, une hypothèse valable" qui reprenait une phrase à Marcel, il me confirma que c'était exactement le style d'attaque fébrile des chefs traditionalistes du genre :
" Est-il permis de se poser la question pour savoir si une hypothèse peut être éventuellement envisagée au sujet du Concile Vatican II ? "
Il semble toujours que le fait d'être respectueux de Vatican II, de ne pas le rejeter entièrement, de continuer à lui garder une certaine notoriété d'Eglise romaine et surtout de mettre certains de ses membres sur un piedestal tels qu'Ottaviani, Bacci, Laraona, Lefèbvre, ou des Malachie Martin...en fait des mecs qui ont fait partie du complot et qui font croire qu'ils ont quitté l'équipe. Le fait de croire au sérieux de ses fausses résistances semble une condition, sine qua non, pour paraître sérieux.
C'est d'ailleurs la démarche de l'Abbé Zins, qui, avec raison et logique, ne fait aucun cadeau à Thuc et à sa descendance sectaire mais Monseigneur Lefèbvre (il ne l'appellerait pas autrement) a un traitement de faveur. Le fondateur d'Ecône reste pour lui un évêque catholique avec les droits divins de prodiguer des sacrements, d'ordonner des prêtres et des diacres. Il ne tombe que sur ses déviations qui n'auraient eu lieu qu'après son départ d'Ecône, déviations innombrables par rapport à la catholicité EXEMPLAIRE du fondateur d'Ecône où, cependant, dès le départ, il va chercher l'approbation de l'évêque de Friebourg pour fonder son séminaire.
S'agit-il alors de déviations ?
Il s'agit simplement de contradictions inévitables du fait de jouer en même temps sur deux registres :
Etre catholique doctrinalement pour séduire rassembler et rallier les catholiques résistants à Vatican II.
"Etre catholique", être "una cum" avec l'église conciliaire qu'il a fondée sans jamais la quitter, l'église incontournable de l'unité de l'avant et de l'après Concile !
Régis- Nombre de messages : 509
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: La face cahée du NOM
Je pense que même si on omettrait "travail des hommes" cela ne changerait à mon sens pas grand chose.
Le blasphème serait là pareil, le fait est quand utilisant une formule qui se rapproche des bénédictions juives, les intrus avaient pour fin de nous judaiser.
Cela éclate présentement de façon évidente.
La formule du NOM est une hérésie doublé d'un blasphème, dans l'offertoire l'Église Catholique parle déjà d'une hostie immaculée... hanc immaculatam hostiam... ceci annonce déjà le sacrifice qui vient, rien de plus mystérieux que ces prières de l'offertoire catholique.
Si on regarde l'offrande du vin..."selon le mystère de cette eau et de ce vin, de prendre part à la divinité de celui qui a daigné partager notre humanité..."
Si nous prenons le terme "hostie" signifie "victime immolée" alors que la formule du NOM parle strictement de pain et de vin...
Jamais dans toute l'histoire de l'Église, cette formule n'a servie au Sacrifice...
Notre-Seigneur n'est pas le fruit créé... d'aucune manière, encore moins dans le Saint Sacrifice de la Messe...
Lorsque le peuple Juif, comme l'annonce Saint Paul, retrouvera la foi et abjurera ses hérésies les rites ou prières juives n'auront pas d'influence sur leur conversion... tout cela tombera comme les ombres du passé.
Le blasphème serait là pareil, le fait est quand utilisant une formule qui se rapproche des bénédictions juives, les intrus avaient pour fin de nous judaiser.
Cela éclate présentement de façon évidente.
La formule du NOM est une hérésie doublé d'un blasphème, dans l'offertoire l'Église Catholique parle déjà d'une hostie immaculée... hanc immaculatam hostiam... ceci annonce déjà le sacrifice qui vient, rien de plus mystérieux que ces prières de l'offertoire catholique.
Si on regarde l'offrande du vin..."selon le mystère de cette eau et de ce vin, de prendre part à la divinité de celui qui a daigné partager notre humanité..."
Si nous prenons le terme "hostie" signifie "victime immolée" alors que la formule du NOM parle strictement de pain et de vin...
Jamais dans toute l'histoire de l'Église, cette formule n'a servie au Sacrifice...
Notre-Seigneur n'est pas le fruit créé... d'aucune manière, encore moins dans le Saint Sacrifice de la Messe...
Lorsque le peuple Juif, comme l'annonce Saint Paul, retrouvera la foi et abjurera ses hérésies les rites ou prières juives n'auront pas d'influence sur leur conversion... tout cela tombera comme les ombres du passé.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La face cahée du NOM
Régis a écrit:Il ne faut pas oublier non plus que tous les évêques de France depuis le Concordat sont D'ABORD choisis par le gouvernement républicain et maçon de la France et il ne faudrait pas croire que ce sont des enfants de coeur qui vont choisir des évêques qui vont combattre la laïcité de l'Etat...parce que la Liberté religieuse se trouve bien là;
Est-ce que le Pontife était lié de façon absolu par ce choix?
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La face cahée du NOM
Gabrielle a écrit :
Gabrielle a très bien résumé ce que je voulais dire en citant toutes ces bénédictions juives !
C'est pourquoi j'avais mis entre parenthèses les termes du Crédo: "engendré non pas créé" pour souligner la différence FONDAMENTALE entre la foi judaïque et le catholicisme d'avant le conciliabule !
Le NOM c'est la messe/sacrifice de Caïn que Dieu n'agrée pas et rien d'autre !
Le but des conciliabulaires était bien de judaîser les catholiques ! Les protestants ce n'était qu'un prétexte pour mieux faire leur cocktail pourri !
Rappelons-nous que Caïn a tué Abel ! Il l'a bien enterré et la terre a été maudite à cause de cela ! Donc, nous sommes bien à la fin des temps ! Dieu a mis sur Caïn une marque pour que personne ne le tue (quelle est cette marque ?) mais Caïn s'est-il repenti ? (Relire l'histoire pour savoir !).
L'histoire de Caïn et Abel nous donne la clef de ce qui se passe aujourd'hui et arrivera demain !
Abel = deuil en hébreu !
Je pense que même si on omettrait "travail des hommes" cela ne changerait à mon sens pas grand chose.
Le blasphème serait là pareil, le fait est quand utilisant une formule qui se rapproche des bénédictions juives, les intrus avaient pour fin de nous judaiser.
Cela éclate présentement de façon évidente.
La formule du NOM est une hérésie doublé d'un blasphème, dans l'offertoire l'Église Catholique parle déjà d'une hostie immaculée... hanc immaculatam hostiam... ceci annonce déjà le sacrifice qui vient, rien de plus mystérieux que ces prières de l'offertoire catholique.
Si on regarde l'offrande du vin..."selon le mystère de cette eau et de ce vin, de prendre part à la divinité de celui qui a daigné partager notre humanité..."
Si nous prenons le terme "hostie" signifie "victime immolée" alors que la formule du NOM parle strictement de pain et de vin...
Jamais dans toute l'histoire de l'Église, cette formule n'a servie au Sacrifice...
Notre-Seigneur n'est pas le fruit créé... d'aucune manière, encore moins dans le Saint Sacrifice de la Messe...
Lorsque le peuple Juif, comme l'annonce Saint Paul, retrouvera la foi et abjurera ses hérésies les rites ou prières juives n'auront pas d'influence sur leur conversion... tout cela tombera comme les ombres du passé.
Gabrielle a très bien résumé ce que je voulais dire en citant toutes ces bénédictions juives !
C'est pourquoi j'avais mis entre parenthèses les termes du Crédo: "engendré non pas créé" pour souligner la différence FONDAMENTALE entre la foi judaïque et le catholicisme d'avant le conciliabule !
Le NOM c'est la messe/sacrifice de Caïn que Dieu n'agrée pas et rien d'autre !
Le but des conciliabulaires était bien de judaîser les catholiques ! Les protestants ce n'était qu'un prétexte pour mieux faire leur cocktail pourri !
Rappelons-nous que Caïn a tué Abel ! Il l'a bien enterré et la terre a été maudite à cause de cela ! Donc, nous sommes bien à la fin des temps ! Dieu a mis sur Caïn une marque pour que personne ne le tue (quelle est cette marque ?) mais Caïn s'est-il repenti ? (Relire l'histoire pour savoir !).
L'histoire de Caïn et Abel nous donne la clef de ce qui se passe aujourd'hui et arrivera demain !
Abel = deuil en hébreu !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: La face cahée du NOM
Le signe sur le front de Caïn, la Bible ne l'indique pas.
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La face cahée du NOM
Gabrielle a écrit :
Exact ! Mon cerveau brode
La Bible indique : "Et l'Eternel mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouverait ne le tuât point" Genèse Chap 4 verset 15.
De quel signe s'agit-il ? Y aurait-il un verset ou commentaire quelque part qui donnerait une piste à ce sujet ?
Le signe sur le front de Caïn, la Bible ne l'indique pas.
Exact ! Mon cerveau brode
La Bible indique : "Et l'Eternel mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouverait ne le tuât point" Genèse Chap 4 verset 15.
De quel signe s'agit-il ? Y aurait-il un verset ou commentaire quelque part qui donnerait une piste à ce sujet ?
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: La face cahée du NOM
Gabrielle a dit :
Question judicieuse s'il en est ! Effectivement, le pape n'est pas obligé d'accepter ceux que l'Etat maçon lui présente, mais gare à lui et aux incidents diplomatiques s'il refuse. D'autre part, dans ces conditions concordataires, le pape ne peut JAMAIS choisir un prêtre lui-même, et c'est pourquoi un Gaume ou un personnage de cette trempe n'aurait jamais pu devenir évêque...ce qui, avouez-le n'est pas un avantage pour l'Eglise...c'est à dire qu'avec ce système, les meilleurs candidats n'ont pratiquement aucune chance et les plus mauvais sont les premiers à l'appel. D'ailleurs, il n'est pas banal de savoir que Saint Pie X n'aurait jamais dû être évêque un jour dans les conditions normales car il faisait partie, comme Gaume de ceux qui n'y avait point droit. Le gouvernement italien a eu besoin d'une faveur du Vatican et cette faveur a été accordée en échange de la consécration du futur Saint Pie X à l'épiscopat, vu dans la vie de Pie X.
Alors, évidemment, ce choix par l'Etat existait déjà malheureusement dans l'Ancien Régime. Et bien que le roi qui choisissait le Candidat était catholique et non pas maçon, c'était une grave ingérence du pouvoir civil sur le pouvoir religieux.
Cependant, deux exemples nous font comprendre que la volonté de Dieu et celle de l'Eglise, c'est bien que le pape choisisse lui-même ses évêques comme Jésus-Christ a choisi ses Apôtres sans le consentement de César.
Le premier exemple est celui de Saint Grégoire VII qui a repris en son pouvoir cette prérogative dans sa merveilleuse réforme grégorienne.
Le second exemple est celui de Pie VI, qui au moment de la Convention odieusement sacrilège a donné un exemple historique qui prouve à l'évidence que le pouvoir civil quelqu'il soit ne devrait jamais choisir un évêque. On suppose facilement le grabuge de ce choix quand il est fait par un Etat maçon. Si dans le secret et la conspiration, des candidats sont maçons, ce seront eux en premier lieu qui seront proposés aux évéchés.
Voilà ce qu'a dit Pie VI quand il s'est affolé à la pensée que la Convention allait proposer des candidats à l'épiscopat :
En effet, Pie VI loue la sagesse de Valentinien qui se refusait de choisir des évêques dans sa lettre aux évêques de France du 10 mars 1791.
Si d'ailleurs ces deux exemples ne suffisaient pas pour savoir où se trouvent les droits de l'Eglise et par conséquent l'usurpation de l'Etat quand l'Eglise a perdu ses droits, il suffirait de recourir à l'Ecriture sainte qui affirme:
Est-ce que le Pontife était lié de façon absolu par ce choix ?
Question judicieuse s'il en est ! Effectivement, le pape n'est pas obligé d'accepter ceux que l'Etat maçon lui présente, mais gare à lui et aux incidents diplomatiques s'il refuse. D'autre part, dans ces conditions concordataires, le pape ne peut JAMAIS choisir un prêtre lui-même, et c'est pourquoi un Gaume ou un personnage de cette trempe n'aurait jamais pu devenir évêque...ce qui, avouez-le n'est pas un avantage pour l'Eglise...c'est à dire qu'avec ce système, les meilleurs candidats n'ont pratiquement aucune chance et les plus mauvais sont les premiers à l'appel. D'ailleurs, il n'est pas banal de savoir que Saint Pie X n'aurait jamais dû être évêque un jour dans les conditions normales car il faisait partie, comme Gaume de ceux qui n'y avait point droit. Le gouvernement italien a eu besoin d'une faveur du Vatican et cette faveur a été accordée en échange de la consécration du futur Saint Pie X à l'épiscopat, vu dans la vie de Pie X.
Alors, évidemment, ce choix par l'Etat existait déjà malheureusement dans l'Ancien Régime. Et bien que le roi qui choisissait le Candidat était catholique et non pas maçon, c'était une grave ingérence du pouvoir civil sur le pouvoir religieux.
Cependant, deux exemples nous font comprendre que la volonté de Dieu et celle de l'Eglise, c'est bien que le pape choisisse lui-même ses évêques comme Jésus-Christ a choisi ses Apôtres sans le consentement de César.
Le premier exemple est celui de Saint Grégoire VII qui a repris en son pouvoir cette prérogative dans sa merveilleuse réforme grégorienne.
Le second exemple est celui de Pie VI, qui au moment de la Convention odieusement sacrilège a donné un exemple historique qui prouve à l'évidence que le pouvoir civil quelqu'il soit ne devrait jamais choisir un évêque. On suppose facilement le grabuge de ce choix quand il est fait par un Etat maçon. Si dans le secret et la conspiration, des candidats sont maçons, ce seront eux en premier lieu qui seront proposés aux évéchés.
Voilà ce qu'a dit Pie VI quand il s'est affolé à la pensée que la Convention allait proposer des candidats à l'épiscopat :
En effet, Pie VI loue la sagesse de Valentinien qui se refusait de choisir des évêques dans sa lettre aux évêques de France du 10 mars 1791.
« L’empereur Valentinien lui-même répondit aux prélats qui lui déféraient l’élection de l’évêque de Milan « ce choix est au-dessus de mes forces : mais vous que Dieu a rempli de sa grâce, qui êtes pénétrés de son esprit, vous choisirez beaucoup mieux que moi » Si Valentinien pensait ainsi, les districts de France devraient, à bien plus forte raison, avoir les mêmes sentiments, le même langage, et les catholiques revêtus de l’autorité imiter leur conduite »
Si d'ailleurs ces deux exemples ne suffisaient pas pour savoir où se trouvent les droits de l'Eglise et par conséquent l'usurpation de l'Etat quand l'Eglise a perdu ses droits, il suffirait de recourir à l'Ecriture sainte qui affirme:
Paul, apôtre, non de la part des hommes, ni par un homme, mais par Jésus-Christ et Dieu le Père, qui l'a ressuscité des morts, Ga 1:1
"Puis ils firent cette prière: Seigneur, toi qui connais les coeurs de tous, désigne lequel de ces deux tu as choisi, afin qu'il ait part à ce ministère et à cet apostolat, que Judas a abandonné pour aller en son lieu. Ils tirèrent au sort, et le sort tomba sur Matthias, qui fut associé aux onze apôtres. ACTES I, 24 26
Régis- Nombre de messages : 509
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: La face cahée du NOM
Chère Via Crucis, vous avez écrit:
Certes vous dites vrai en ce sens que le Sacrifice de Caïn n'a pas été agréé par Dieu. Cependant, le NOM n'est même pas un sacrifice alors que celui de Caïn en est un, à n'en pas douter.
Des dames en France ont écrit, il y a plus de 20 ans, un livre avec ce titre "Le NOM ou le Sacrifice de Caïn" mais est-ce que la comparaison convient ?
En effet, ce ne sont pas tous les saints sacrifices de la Messe que Dieu le Père agréé, il n'agrée pas ceux qui sont faits par les schismatiques, il n'agrée pas non plus les sacrifices de la Messe de Mgr Lefèbvre, Thuc ou de leur descendance parce qu'ils sont exécutés dans l'unité d'une fausse église.
Le Concile de Trente est formel : Le sacrifcie de la Messe codifié par Saint pie V doit être fait par un vrai prêtre de l'Eglise catholique et par intimation de l'Eglise, c'est à dire jamais hors de son contexte et de sa juridiction.
D'autre part, Dieu agréé tous les sacrifices de la Messe fait dans l'Eglise et fait retomber les grâces sur l'Eglise et sur ses fidèles. Cependant, comme le prêtre et les fidèles doivent y joindre leurs intentions, le sacrifice n'est pas non plus agréé également pour chacun de ceux qui offrent ou qui participent au sacrifice. Certains y recevront une pluie de grâce quand d'autres de ce même sacrifice en sortiront avec des charbons ardents sur la tête.
Mais le NOM qui n'est qu'un simulacre et qui s'affiche comme un repas non sacrificiel peut-il rentrer dans la considération d'un sacrifice agréé ou non-agréé par Dieu puisqu'il n'en est pas un ?
dans l'Exode (22, 20) : « Quiconque immole à d'autres dieux que le seul Seigneur véritable sera mis à mort. »
Derrière votre curé tradi qui célèbre la messe de Saint Pie V avec toutes les pompes de l'Eglise catholique, il y l'église conciliaire qui offre un vrai sacrifice mais à qui l'offre-t-elle ?
Les messes valides de St Pie V de l'église conciliaire sont-elles offertes à Dieu ou au démon ?
C'est quel dieu, que cette église honore et à qui elle porte son adoration ?
et l'Exode nous ditl:
Le NOM c'est la messe/sacrifice de Caïn que Dieu n'agrée pas et rien d'autre !
Certes vous dites vrai en ce sens que le Sacrifice de Caïn n'a pas été agréé par Dieu. Cependant, le NOM n'est même pas un sacrifice alors que celui de Caïn en est un, à n'en pas douter.
Des dames en France ont écrit, il y a plus de 20 ans, un livre avec ce titre "Le NOM ou le Sacrifice de Caïn" mais est-ce que la comparaison convient ?
En effet, ce ne sont pas tous les saints sacrifices de la Messe que Dieu le Père agréé, il n'agrée pas ceux qui sont faits par les schismatiques, il n'agrée pas non plus les sacrifices de la Messe de Mgr Lefèbvre, Thuc ou de leur descendance parce qu'ils sont exécutés dans l'unité d'une fausse église.
Le Concile de Trente est formel : Le sacrifcie de la Messe codifié par Saint pie V doit être fait par un vrai prêtre de l'Eglise catholique et par intimation de l'Eglise, c'est à dire jamais hors de son contexte et de sa juridiction.
D'autre part, Dieu agréé tous les sacrifices de la Messe fait dans l'Eglise et fait retomber les grâces sur l'Eglise et sur ses fidèles. Cependant, comme le prêtre et les fidèles doivent y joindre leurs intentions, le sacrifice n'est pas non plus agréé également pour chacun de ceux qui offrent ou qui participent au sacrifice. Certains y recevront une pluie de grâce quand d'autres de ce même sacrifice en sortiront avec des charbons ardents sur la tête.
Mais le NOM qui n'est qu'un simulacre et qui s'affiche comme un repas non sacrificiel peut-il rentrer dans la considération d'un sacrifice agréé ou non-agréé par Dieu puisqu'il n'en est pas un ?
dans l'Exode (22, 20) : « Quiconque immole à d'autres dieux que le seul Seigneur véritable sera mis à mort. »
Derrière votre curé tradi qui célèbre la messe de Saint Pie V avec toutes les pompes de l'Eglise catholique, il y l'église conciliaire qui offre un vrai sacrifice mais à qui l'offre-t-elle ?
Les messes valides de St Pie V de l'église conciliaire sont-elles offertes à Dieu ou au démon ?
C'est quel dieu, que cette église honore et à qui elle porte son adoration ?
et l'Exode nous ditl:
: « Quiconque immole à d'autres dieux que le seul Seigneur véritable sera mis à mort. » l'Exode (22, 20)
Régis- Nombre de messages : 509
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: La face cahée du NOM
En effet, ce ne sont pas tous les saints sacrifices de la Messe que Dieu le Père agréé
Pour Caîn, il est vrai qu'il offrait un "sacrifice" mais dans de mauvaises dispositions.
OK, à 100% le NOM n'est pas un sacrifice du tout....
Vous soulevez un point intéressant, est-ce que dans les messes "tradis" una cum ou thuc, Notre-Seigneur devient une Victime "non-agrée" par son Père?
En Lui-même, Notre-Seigneur est agréable à son Père, ne serais-ce pas plutôt la manière d'offrir qui est désagréable au Père?
Le sacrifice de Cain serait peut-être les messes "tradis" offertes en dehors de l'unité de l'Église ou en union avec la contre-église?
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La face cahée du NOM
Gabrielle a écrit :
Notre Seigneur est toujours et pour l'éternité agréable à son Père parce qu'il a toujours fait la volonté du Père et qu'Il l'aime ! Il a toujours voulu faire plaisir au Père et le satisfaire entièrement !
La manière d'offrir est très importante car cette manière d'offrir doit être VALIDE ET LICITE AU FOR EXTERNE et AUSSI AU FOR INTERNE pour que L'ADHESION, DU COEUR, DE L"AME ET DE L'ESPRIT, SOIT ESPRIMEE ET REALISEE PARFAITEMENT !
Le désir de Notre Seigneur et de l'Eglise, c'est que LE PERE CELESTE SOIT SATISFAIT ET HEUREUX DE NOUS VOIR ADHERER A LUI A 100% !
Par conséquent, TOUTE MESSE ILLICITE célébrée par les [/u](tradis-tradis, tradis-ralliés et tout autre groupe NON SOUMIS CANONIQUEMENT à l'Eglise Catholique d'avant V2 EST AU FOR EXTERNE UN SACRIFICE DE CAIN A CAUSE DE L'ILLICEITE qui rend bancale IPSO-FACTO la manière d'offrir ! Envolés les 100% !
En effet, en ce qui concerne l'INTENTION DU PRETRE CELEBRANT dans une messe VALIDE ET LICITE d'AVANT LE CONCILIABULE :
les paroles de la liturgie expriment verbalement AU FOR EXTERNE l'INTENTION PURE DE TOUT VICE DE L'EGLISE CATHOLIQUE D'OFFRIR LE SACRIFICE SANS TACHE, cela est clair.
L'INTENTION DU CELEBRANT LUI-MEME nul ne la connaît SAUF DIEU ! Les fidèles ne peuvent donc que supposer, ou croire, que le prêtre a la même intention que l'Eglise tant que l'intention contraire du prêtre n'est pas manifestée au for externe par des paroles ou des actes qui contrediraient l'objectif de l'Eglise Catholique !
L'intention éventuellement défectueuse et occulte d'un prêtre n'est pas imputée au fidèle au for externe dans le cas d'une messe valide et licite : le fidèle qui va à cette messe fait ce que lui demande l'Eglise, Dieu qui sonde les reins et les cœurs juge au for interne chacun.
Une chose est claire : à partir du moment où une messe est illicite il ne faut pas y aller car les 100% se sont envolés d'un seul coup ! Car il manquera, même si toutes la liturgie est minutieusement articulée selon le missel de St Pie V, il manquera d'emblée ipso-facto les dispositions requises du cœur de l'âme et de l'esprit pour faire plaisir au Bon Dieu à 100%!
Qui dit illicite dit illégitime, illégal, et donc désobéissance, manque de confiance à la Chaire de Saint Pierre, et donc disposition du cœur bancale !
Souvenons-nous des Paroles de l'Évangile : (je le dis avec mes mots)
"On vous dira voici le Seigneur est ici, voici le Seigneur est là, mais n'y allez pas car Je n'y serai pas"
Cette parole ne s'applique-t-elle pas aujourd'hui à notre situation actuelle ?
Pour Caîn, il est vrai qu'il offrait un "sacrifice" mais dans de mauvaises dispositions.
OK, à 100% le NOM n'est pas un sacrifice du tout....
Vous soulevez un point intéressant, est-ce que dans les messes "tradis" una cum ou thuc, Notre-Seigneur devient une Victime "non-agrée" par son Père?
En Lui-même, Notre-Seigneur est agréable à son Père, ne serais-ce pas plutôt la manière d'offrir qui est désagréable au Père?
Le sacrifice de Cain serait peut-être les messes "tradis" offertes en dehors de l'unité de l'Église ou en union avec la contre-église?
Notre Seigneur est toujours et pour l'éternité agréable à son Père parce qu'il a toujours fait la volonté du Père et qu'Il l'aime ! Il a toujours voulu faire plaisir au Père et le satisfaire entièrement !
La manière d'offrir est très importante car cette manière d'offrir doit être VALIDE ET LICITE AU FOR EXTERNE et AUSSI AU FOR INTERNE pour que L'ADHESION, DU COEUR, DE L"AME ET DE L'ESPRIT, SOIT ESPRIMEE ET REALISEE PARFAITEMENT !
Le désir de Notre Seigneur et de l'Eglise, c'est que LE PERE CELESTE SOIT SATISFAIT ET HEUREUX DE NOUS VOIR ADHERER A LUI A 100% !
Par conséquent, TOUTE MESSE ILLICITE célébrée par les [/u](tradis-tradis, tradis-ralliés et tout autre groupe NON SOUMIS CANONIQUEMENT à l'Eglise Catholique d'avant V2 EST AU FOR EXTERNE UN SACRIFICE DE CAIN A CAUSE DE L'ILLICEITE qui rend bancale IPSO-FACTO la manière d'offrir ! Envolés les 100% !
En effet, en ce qui concerne l'INTENTION DU PRETRE CELEBRANT dans une messe VALIDE ET LICITE d'AVANT LE CONCILIABULE :
les paroles de la liturgie expriment verbalement AU FOR EXTERNE l'INTENTION PURE DE TOUT VICE DE L'EGLISE CATHOLIQUE D'OFFRIR LE SACRIFICE SANS TACHE, cela est clair.
L'INTENTION DU CELEBRANT LUI-MEME nul ne la connaît SAUF DIEU ! Les fidèles ne peuvent donc que supposer, ou croire, que le prêtre a la même intention que l'Eglise tant que l'intention contraire du prêtre n'est pas manifestée au for externe par des paroles ou des actes qui contrediraient l'objectif de l'Eglise Catholique !
L'intention éventuellement défectueuse et occulte d'un prêtre n'est pas imputée au fidèle au for externe dans le cas d'une messe valide et licite : le fidèle qui va à cette messe fait ce que lui demande l'Eglise, Dieu qui sonde les reins et les cœurs juge au for interne chacun.
Une chose est claire : à partir du moment où une messe est illicite il ne faut pas y aller car les 100% se sont envolés d'un seul coup ! Car il manquera, même si toutes la liturgie est minutieusement articulée selon le missel de St Pie V, il manquera d'emblée ipso-facto les dispositions requises du cœur de l'âme et de l'esprit pour faire plaisir au Bon Dieu à 100%!
Qui dit illicite dit illégitime, illégal, et donc désobéissance, manque de confiance à la Chaire de Saint Pierre, et donc disposition du cœur bancale !
Souvenons-nous des Paroles de l'Évangile : (je le dis avec mes mots)
"On vous dira voici le Seigneur est ici, voici le Seigneur est là, mais n'y allez pas car Je n'y serai pas"
Cette parole ne s'applique-t-elle pas aujourd'hui à notre situation actuelle ?
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: La face cahée du NOM
Régis a écrit:
En effet, ce ne sont pas tous les saints sacrifices de la Messe que Dieu le Père agréé, il n'agrée pas ceux qui sont faits par les schismatiques, il n'agrée pas non plus les sacrifices de la Messe de Mgr Lefèbvre, Thuc ou de leur descendance parce qu'ils sont exécutés dans l'unité d'une fausse église.
Le Concile de Trente est formel : Le sacrifcie de la Messe codifié par Saint pie V doit être fait par un vrai prêtre de l'Eglise catholique et par intimation de l'Eglise, c'est à dire jamais hors de son contexte et de sa juridiction.
Toutes les messes, dites de Saint Pie V, sont-elles toutes saintes ?
Pour que l'on puisse dire « LE SAINT SACRIFICE DE LA MESSE », ne faut-il pas que la vraie Messe catholique soit dites dans les cadres et conditions telles justement pour qu'elle soit vraiment sainte?
Enfin, j'espère que vous comprenez ce que je veux dire ! ..que ce n'est pas tout d'employer le véritable et authentique Rite catholique ( en occurence la Messe Tridentine ), encore faut-il qu'il le soit uniquement dans un cadre catholique, sinon c'est outre un blasphème, une profanation et un sacrilège aussi.
Roger Boivin- Nombre de messages : 13222
Date d'inscription : 15/02/2009
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