Nouveau sens du Sacrifice de Notre-Seigneur.
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Nouveau sens du Sacrifice de Notre-Seigneur.
ROME, Vendredi 2 avril 2010 (ZENIT.org) "Père" CantalamessaLe prédicateur capucin a expliqué la nouveauté du sacrifice du Christ en disant : « Ce n'est plus l'homme qui offre des sacrifices à Dieu, mais Dieu qui se 'sacrifie' pour l'homme, en livrant pour lui à la mort son Fils unique. Le sacrifice n'a plus pour fonction d''apaiser' la divinité, mais plutôt d'apaiser l'homme et de le faire renoncer à son hostilité envers Dieu et envers son prochain ».
Non mais, y pousse pis pas à peu près Cantalamessa...
Le Sacrifice de Notre-Seigneur avait pour but de nous apaiser
Donnez-lui un autre Vendredi Saint et ce type nous dira que Dieu nous avait offensé et que la dignité de notre nature exigeait , envers nous, de sa part un réparation complète.
L'inversion monstrueuse de la doctrine des intrus transpire dans tous leurs textes.
Cette inversion, consiste à placé l'homme à la place de Dieu et vice et versa...
Cela n'est guère surprenant, lorsqu'on peut dire ( JP2) qu'il existe une incarnation universelle... et que pratiquement personne ne bronche, alors le jours n'est pas loin, en fait il est arrivé où on peut dire que le sacrifice du Christ avait pour fin d'apaiser l'homme...
Ce que je ne comprendrai jamais, c'est le silence morose quasi-général qui tombe sur ce genre de discours...
Le milieu tradi me fait penser à une réunion de "vieilles femmes" sur un perron d'église, beaucoup plus attentives à parler du dernier chapeau de Madame Latrimouille que du sermon du curé...
"Nous pouvons et même nous devons joindre nos louanges et nos réparations aux louanges et aux réparations dont le Christ s'est acquitté devant Dieu au nom des pécheurs." ( Miserentissimus Redemptor de Pie XI 1928., La foi catholique, Dumeige . page 220)
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Nouveau sens du Sacrifice de Notre-Seigneur.
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Et le culte de l’homme des Intrus se perpétue avec jp1, jp2, b16.
On en revient toujours à la "rencontre" de Montini: la religion du Dieu qui s’est fait homme s’est rencontrée avec la religion (car c’en est une) de l’Homme qui se fait Dieu… sachez reconnaître notre nouvel humanisme : NOUS AUSSI, PLUS QUE QUICONQUE, AVONS LE CULTE DE L’HOMME.
(Discours de clôture, Vatican II, texte intégral, 7 déc. 1965, pp. 635-636, éd. Fides, 1966.)
Et le culte de l’homme des Intrus se perpétue avec jp1, jp2, b16.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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