Le Père Faber et l'Église
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Re: Le Père Faber et l'Église
Ainsi que nous l'a communiqué Catherine, le Père Faber dans le précieux sang.
décrit ainsi l'Eglise:
C'est donc cette église conduite exclusivement en TOUTES CHOSES et de TOUTES PARTS sous "le feu de l'Esprit divin" comme le décrit d'une manière embrasée le P. Faber qui est entrée en 1962 dans le Concile Vatican II. Le Concile Vatican II a donc été un coup de tonnerre dans un ciel serein, un coup de tonnerre anéantissant tout d'un seul coup.
et seconde question:
Comment se fait-il que vous ne désireriez pas de tous vos voeux le retour de l'Eglise dans cet état décrit par le P. Faber tel qu'il était à l'entrée du Concile ? Comment se fait-il que vos prières ne vont pas dans le sens du retour de l'Eglise à cet aspect ?
Et comment aussi, avec les dispositions égales à celles du P. Faber, le fidèle aurait pu se déjouer du Piège de Vatican II puisque la confiance à l'Eglise décrite par le P. Faber ne s'appuie que sur une confiance sans nuance et la plus aveugle possible tant sur l'aspect humain que sur l'aspect divin de l'Eglise ?
Comment se fait-il, vous qui vous dites dévôts de Marie et sur les pas de Saint Louis Marie de Montfort que vous ne partagiez pas sa prière pour ce retour de l'Eglise avec un vrai pape, des évêques et des rois catholiques tels qu'il manifeste OUVERTEMENT sa prière et ses désirs dans sa prière embrasée:
Ah ! peut être une explication à votre réticence, en parlant d' "Eglise réformée", il faut peut-être abandonner le beau descriptif du P. Faber sinon je ne vois pas en quoi elle pourrait être réformée et il n'y aurait bien qu'un Luther ou un Calvin pour désirer un telle réforme dans ces conditions ?
décrit ainsi l'Eglise:
"Cultivons avec une attention jalouse une fervente dévotion à l’Eglise.
Nous devons être fidèles à l’Eglise même dans nos moindres pensées la concernant, et nous ne devons jamais parler légèrement de sa majesté. Nous devons ajouter foi à tous ses contacts et collisions avec le monde. Nous ne devons pas en avoir honte parce qu’elle se retient quand il semblerait plus digne d’avancer. Nous ne devons pas en être mécontents quand son action contrecarre une de nos prétentions favorites. Nous devons nous submerger – nous-mêmes et nos opinions – dans sa politique, guidée, sciemment ou non, par l’Esprit. Si nous sommes parfois perplexes, nous devons nous arrêter et croire. Il faut faire notre tout pour nous infecter des instincts de l’Eglise. Il nous faut non seulement obéir à ses préceptes et croire à ses doctrines, mais aussi aimer ses manières.
Nous avons même à craindre l’Eglise, d’une révérence filiale. En certains cas nous devons nous abstenir de profiter de toute la liberté spéculative qu’elle nous permet, puisque nous nous méfions humblement de la force ou de la sincérité du principe d’obéissance en nous, pour nous arrêter avant d’aller trop loin. Nous ne devons pas non plus souffrir en nous pour un instant le mécontentement des affaires ecclésiastiques. Le mécontentement engendrerait en nous l’esprit aigre et ignoble des réformateurs. Si les saints étaient mécontents, c’était surtout d’eux-mêmes. Qu’il en soit pareil de nous.
Notre attitude doit être toujours une attitude de soumission et non pas de critique. Celui que l’Eglise déçoit, doit être en train de perdre la foi, qu’il le sache ou non.
L’amour que porte un homme à l’Eglise est la preuve la plus sûre de son amour pour Dieu. Il sait que toute l’Eglise est informée par le Saint-Esprit. La vie divine du paraclet, ses conseils, ses inspirations, ses actions, ses sympathies, ses attraits s’y trouvent partout. Il n’y a rien dans l’Eglise, aucun aspect d’elle, qui ne contienne en toute probabilité du feu de l’esprit divin ; cette probabilité est, pour le bon catholique, un motif de révérence universelle et perpétuelle. Le don de l’infaillibilité n’est qu’une concentration, une culmination, une manifestation solennelle et officielle, de l’immanence du Saint-Esprit dans l’Eglise. Ce don appelle, certes, comme la révélation qu’il sauvegarde et communique, la soumission absolue du cœur et de l’âme ; mais toutes les petites dispositions et manières de l’Eglise appelle de façon générale la soumission, la docilité, la révérence, car l’Eglise entière est un sanctuaire rempli de la vie de la troisième personne de la Sainte Trinité."
C'est donc cette église conduite exclusivement en TOUTES CHOSES et de TOUTES PARTS sous "le feu de l'Esprit divin" comme le décrit d'une manière embrasée le P. Faber qui est entrée en 1962 dans le Concile Vatican II. Le Concile Vatican II a donc été un coup de tonnerre dans un ciel serein, un coup de tonnerre anéantissant tout d'un seul coup.
et seconde question:
Comment se fait-il que vous ne désireriez pas de tous vos voeux le retour de l'Eglise dans cet état décrit par le P. Faber tel qu'il était à l'entrée du Concile ? Comment se fait-il que vos prières ne vont pas dans le sens du retour de l'Eglise à cet aspect ?
Et comment aussi, avec les dispositions égales à celles du P. Faber, le fidèle aurait pu se déjouer du Piège de Vatican II puisque la confiance à l'Eglise décrite par le P. Faber ne s'appuie que sur une confiance sans nuance et la plus aveugle possible tant sur l'aspect humain que sur l'aspect divin de l'Eglise ?
Comment se fait-il, vous qui vous dites dévôts de Marie et sur les pas de Saint Louis Marie de Montfort que vous ne partagiez pas sa prière pour ce retour de l'Eglise avec un vrai pape, des évêques et des rois catholiques tels qu'il manifeste OUVERTEMENT sa prière et ses désirs dans sa prière embrasée:
17. Quand sera que viendra ce déluge de feu du pur amour que
vous devez allumer sur toute la terre d'une manière si douce
et si véhémente que toutes les nations, les Turcs, les
idolâtres et les Juifs même en brûleront et se convertiront?
Non est qui se abscondat a calore ejus. Accendatur:
que ce divin feu que J[ésus-]C[hrist] est venu apporter sur la terre
soit allumé avant que vous allumiez celui de votre colère qui
réduira toute la terre en cendre.
Emitte Spiritum tuum et creabuntur et renovabis faciem terrae:
Envoyez cet Esprit tout de feu sur la terre, pour y créer des prêtres tout de feu, par
le ministère desquels la face de la terre soit renouvelée et votre Eglise réformée.
Ah ! peut être une explication à votre réticence, en parlant d' "Eglise réformée", il faut peut-être abandonner le beau descriptif du P. Faber sinon je ne vois pas en quoi elle pourrait être réformée et il n'y aurait bien qu'un Luther ou un Calvin pour désirer un telle réforme dans ces conditions ?
Régis- Nombre de messages : 509
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Le Père Faber et l'Église
Je suis sans doute encore ou c'est le Carême qui me fait pas.
Mais je ne comprends pas votre post...
Mais je ne comprends pas votre post...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Père Faber et l'Église
Je suis sans doute encore ou c'est le Carême qui me fait pas.
Mais je ne comprends pas votre post...
Moi itou ! J'ai rien comprendu !
Via Crucis- Nombre de messages : 2900
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: Le Père Faber et l'Église
Via Crucis a écrit:Je suis sans doute encore ou c'est le Carême qui me fait pas.
Mais je ne comprends pas votre post...
Moi itou ! J'ai rien comprendu !
C'est une consolation de savoir que je suis pas seule à rien comprendre...
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Le Père Faber et l'Église
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Chères Via et Gabrielle, je me joins à votre country club
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ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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