Je crois en la Shoah...
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Je crois en la Shoah...
Mgr Williamson ne peut être évêque sans rejeter ses positions sur la Shoah
Il ne fait toujours pas partie de l'Eglise catholique
ROME, Mercredi 4 février 2009 (ZENIT.org) - S'il veut un jour pouvoir exercer un ministère d'évêque dans l'Eglise catholique, Mgr Williamson devra, entre autres, rejeter publiquement et sans équivoque ses positions sur la Shoah : c'est ce qu'indique aujourd'hui une « Note » de la Secrétairerie d'Etat du Saint-Siège.
La « Note » fait la Une de L'Osservatore Romano en italien du 5 février 2009. Radio Vatican présente également ce 4 février la « Note de la Secrétairerie d'Etat sur la levée de l'excommunication des évêques de la Fraternité Saint-Pierre et sur les déclarations négationnistes de Mgr Williamson ».
« L'évêque Williamson devra, pour être admis à des fonctions épiscopales dans l'Eglise, aussi prendre ses distances de façon absolument sans équivoque et publiquement par rapport à ses positions sur la Shoah », déclare la Secrétairerie d'Etat.
La même note indique que le pape Benoît XVI n'avait « aucune connaissance » de telles positions « négationnistes » ou « réductionnistes » au moment de la levée de l'excommunication, le 21 janvier dernier.
Les positions de Benoît XVI sur la Shoah sont bien connues : la « Note » cite en particulier un extrait de la prise de position publique de Benoît XVI le 28 janvier dernier, au terme de l'audience générale (cf. Zenit du 28 janvier 2008).
« Les positions de Mgr Williamson sur la Shoah sont absolument inacceptables, déclare la Secrétairerie d'Etat, et elles sont fermement refusées par le Saint-Père, comme il l'a lui même remarqué le 28 janvier, lorsque, se référant à ce génocide barbare, il a répété sa pleine et indiscutable solidarité avec nos frères destinataires de la Première Alliance, et qu'il a affirmé que la mémoire de ce terrible génocide doit conduire ‘l'humanité à réfléchir sur l'imprévisible puissance du mal lorsqu'il conquiert le cœur de l'homme', ajoutant que la Shoah reste ‘pour tous un avertissement contre l'oubli, contre la négation, ou contre le réductionnisme, parce que la violence perpétrée contre un seul être humain est une violence contre tous' ».
Le P. Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège a lui-même rappelé, hier encore, les différentes prises de positions publiques du pape depuis son élection à ce sujet (cf. Zenit du 3 février 2009). Le P. Lombardi disait dès le 28 janvier, espérer que les paroles du pape sur la Shoah aident à « promouvoir avec fruit et sérénité le dialogue avec le judaïsme » (cf. Zenit du 28 janvier 2008). Des clips de ces interventions sont disponibles sur le portail de Benoît XVI sur YouTube (cf. Zenit des 30 janvier et 3 février 2009).
Dès le 29 janvier, des réactions « positives » de la communauté juive italienne avaient été enregistrées, en réponse aux déclarations de Benoît XVI et de la conférence des évêques d'Italie (cf. Zenit du 29 janvier 2009).
Anita S. Bourdin
La toute dernière mode... pour être évêque il faut croire à la Shoah!!! Qui dit que cette secte est l'Église dit franchement n'importe quoi...
Dans un peu de temps encore ce "dogme conciliaire" sera dans leur credo. Je crois en la Shoah....
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Je crois en la Shoah...
Deux étendards, deux Cités...c'est là qu'il faut tourner les yeux pour trouver la solution catholique...car...
Tout se tient...
SAINT GUILLAUME DE NORWICH, MARTYR EN ANGLETERRE (1137).
Ce Saint fut aussi la victime de la haine implacable des Juifs contre notre sainte religion. Il souffrit dans la douzième année de son âge il était depuis peu apprenti chez un tanneur de Norwich. Les Juifs l'attirèrent chez eux quelque temps avant la fête de Pâques de l'an 1137 , lorsqu'ils eu furent les maîtres, ils lui mirent un bâillon dans la bouche, puis, après lui avoir fait mille outrages, ils le crucifièrent, et lui percèrent le côte, en dérision de la mort de Jésus Christ.
Le jour de Pâques ils lièrent son corps dans un sac, et le portèrent près des portes de la ville, dans le dessein de l'y brûler, mais ayant été surpris, ils le laissèrent suspendu a un arbre On bâtit à l'endroit ou il avait été trouvé une chapelle connue sous le nom de Saint-Guillaume-aux-Bois Le corps du Saint, qui avait été glorifié par des miracles, fut porté, en 1144, dans le cimetière de l'église cathédrale, dédiée a la Sainte-Trinité; on le mit six ans après dans le chœur de la même église.
Nous apprenons de M Weever qu'autrefois les Juifs des principales villes d'Angleterre enlevaient des enfants mâles pour les circoncire, les couronner d'épines, les fouetter et les crucifier en dérision de Notre Seigneur Jésus-Christ .Ce fut de cette manière que mourut saint Richard de Pontoise Matthieu Paris et Capgrave rapportent aussi que saint Hugues, enfant, fut crucifié par les Juifs à Lincoln, en 1254. Quelques auteurs ont prétendu que ces horribles cruautés avaient été de tous temps pratiquées par ce peuple mais c'est une calomnie, et l'équité naturelle défend de rendre le corps de la nation responsable des crimes de quelques particuliers. Le nom de saint Guillaume de Norvwich est marqué au 24 mai dans les calendriers anglais .
Le pape Benoit XIV montre, 11 de Canoniz. C. 14, ρ 103, que l'on ne doit point canoniser les enfants qui meurent après le baptême et avant 1'usage de raison, quoiqu'ils soient Saints. II se fonde 1° sur ce qu’il non point pratiqué des vertus dans le degré d'héroïsme requis pour la canonisation, 2° sur ce que de telles canonisations n'ont jamais été en usage dans l’Église.
On en excepte les enfants, même non baptisés, qui ont été massacrés en haine du nom de Jésus Christ. Nous en avons un exemple dans les saints Innocents, auxquels saint Irénée, Origène, etc , et les plus anciens Missels, donnent le titre de martyrs, et dont le culte date des premiers siècles de l'Église, comme nous le voyons par les homélies des Pères sur leur fête. C'est pour la même raison qu'on a mis au nombre des martyrs les enfants massacrés par les Juifs, en haine de Jésus-Christ, tels que saint Simon de Trente, saint Guillaume de Norwich, saint Richard de Paris, etc. L'évêque diocésain décerna au premier un culte public avec la qualité de martyr, et ce culte fut confirmé par les décrets des papes Sixte V et Grégoire XIII Le second, qui avait douze ans, et par conséquent l'âge de raison, devrait plutôt être appelé adulte qu'enfant.
Petits Bollandistes
Tome III page 618
Tout se tient...
SAINT GUILLAUME DE NORWICH, MARTYR EN ANGLETERRE (1137).
Ce Saint fut aussi la victime de la haine implacable des Juifs contre notre sainte religion. Il souffrit dans la douzième année de son âge il était depuis peu apprenti chez un tanneur de Norwich. Les Juifs l'attirèrent chez eux quelque temps avant la fête de Pâques de l'an 1137 , lorsqu'ils eu furent les maîtres, ils lui mirent un bâillon dans la bouche, puis, après lui avoir fait mille outrages, ils le crucifièrent, et lui percèrent le côte, en dérision de la mort de Jésus Christ.
Le jour de Pâques ils lièrent son corps dans un sac, et le portèrent près des portes de la ville, dans le dessein de l'y brûler, mais ayant été surpris, ils le laissèrent suspendu a un arbre On bâtit à l'endroit ou il avait été trouvé une chapelle connue sous le nom de Saint-Guillaume-aux-Bois Le corps du Saint, qui avait été glorifié par des miracles, fut porté, en 1144, dans le cimetière de l'église cathédrale, dédiée a la Sainte-Trinité; on le mit six ans après dans le chœur de la même église.
Nous apprenons de M Weever qu'autrefois les Juifs des principales villes d'Angleterre enlevaient des enfants mâles pour les circoncire, les couronner d'épines, les fouetter et les crucifier en dérision de Notre Seigneur Jésus-Christ .Ce fut de cette manière que mourut saint Richard de Pontoise Matthieu Paris et Capgrave rapportent aussi que saint Hugues, enfant, fut crucifié par les Juifs à Lincoln, en 1254. Quelques auteurs ont prétendu que ces horribles cruautés avaient été de tous temps pratiquées par ce peuple mais c'est une calomnie, et l'équité naturelle défend de rendre le corps de la nation responsable des crimes de quelques particuliers. Le nom de saint Guillaume de Norvwich est marqué au 24 mai dans les calendriers anglais .
Le pape Benoit XIV montre, 11 de Canoniz. C. 14, ρ 103, que l'on ne doit point canoniser les enfants qui meurent après le baptême et avant 1'usage de raison, quoiqu'ils soient Saints. II se fonde 1° sur ce qu’il non point pratiqué des vertus dans le degré d'héroïsme requis pour la canonisation, 2° sur ce que de telles canonisations n'ont jamais été en usage dans l’Église.
On en excepte les enfants, même non baptisés, qui ont été massacrés en haine du nom de Jésus Christ. Nous en avons un exemple dans les saints Innocents, auxquels saint Irénée, Origène, etc , et les plus anciens Missels, donnent le titre de martyrs, et dont le culte date des premiers siècles de l'Église, comme nous le voyons par les homélies des Pères sur leur fête. C'est pour la même raison qu'on a mis au nombre des martyrs les enfants massacrés par les Juifs, en haine de Jésus-Christ, tels que saint Simon de Trente, saint Guillaume de Norwich, saint Richard de Paris, etc. L'évêque diocésain décerna au premier un culte public avec la qualité de martyr, et ce culte fut confirmé par les décrets des papes Sixte V et Grégoire XIII Le second, qui avait douze ans, et par conséquent l'âge de raison, devrait plutôt être appelé adulte qu'enfant.
Petits Bollandistes
Tome III page 618
Diane + R.I.P- Nombre de messages : 5488
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: Je crois en la Shoah...
SAINT SIMÉON OU SIMON, ENFANT, MARTYR
1475. — Pape : Sixte IV. — Empereur : Frédéric III.
La ville de Trente, limitrophe de l'Italie et de l'Allemagne, et très-renommée pour le fameux Concile général qui y a été célébré dans le XVIe siècle, s'est vue ensanglantée, près de cent ans auparavant, par le meurtre d'un innocent, que les Juifs firent mourir. Cet enfant s'appelait Simon, ou, comme disent quelques auteurs, Siméon. Son père se nommait André, et sa mère Marie ; catholiques, mais pauvres, ils demeuraient en un lieu appelé le Fossé, au bout de la même ville. Il était né l'an 1472, le 26 novembre, un vendredi, jour particulièrement destiné à la mémoire de la Passion du Sauveur, dont il devait porter la ressemblance. Il arriva donc que des Juifs, qui demeuraient à Trente, se disposant à leurs cérémonies pascales, voulurent avoir un enfant chrétien pour le faire mourir.
Ils engagèrent un d'entre eux, appelé Tobie, à commettre ce détestable larcin, et à leur amener, à quelque prix que ce fût, quelqu'un des petits enfants chrétiens qu'il trouverait dans la ville.
Celui-ci n'y manqua pas ; rencontrant ce petit Siméon, qui était beau comme un ange, âgé seulement de vingt-neuf mois, moins trois jours, il le déroba à la porte même de la maison de ses parents, en ce lieu du Fossé, et l'apporta sans bruit chez un Juif appelé Samuel, où tous les autres de cette nation réprouvée avaient rendez-vous.
Il n'est pas aisé d'exprimer les hurlements que jetèrent ces loups en voyant en leur pouvoir cet innocent agneau.
Le soir du jeudi au vendredi de la semaine sainte, ils le portèrent en leur synagogue à un vieillard nommé Moïse, qui le dépouilla d'abord, et, de crainte que, par ses petits cris, il ne se fit entendre du voisinage, et qu'il ne fît découvrir ainsi leur cruauté, ce malheureux lui entoura le cou d'un mouchoir pour étouffer sa voix.
Le tenant de la sorte sur ses genoux, après des cruautés que des oreilles chastes ne peuvent entendre, il lui coupa un morceau de la joue droite, qu'il mit dans un bassin; ensuite tous les assistants enlevèrent chacun une partie de sa chair vive et recueillirent son sang pour le sucer et s'en repaître.
Lorsque le misérable chef de ces infanticides se fût rassasié de la chair et du sang de cet enfant, il l'éleva droit sur ses pieds, quoique déjà demi-mort ; et, ayant commandé à un de ses bourreaux, nommé Samuel, de le tenir les bras étendus en forme de crucifix, il exhorta tous les autres à le percer à coups d'aiguilles en tous ses membres innocents, sans lui laisser une seule place, depuis la plante des pieds jusqu'à la tête, qui n'eût sa propre plaie.
Ce martyre ne dura pas moins d'une heure, pendant laquelle ces tigres furieux, afin de n'être point touchés par les plaintes mourantes de ce pauvre enfant, hurlaient eux-mêmes comme des forcenés, disant ces paroles en leur langage : « Tuons celui-ci comme Jésus, le Dieu des chrétiens, qui n'est rien, et qu'ainsi nos ennemis soient à jamais confondus ». Enfin, cet innocent Martyr leva les yeux au ciel comme pour le prendre à témoin des supplices qu'on lui faisait injustement endurer, puis, les rabaissant vers la terre, il rendit son esprit a Celui pour la gloire de qui il mourait. Ce fut le vendredi saint, le 24 mars, l'an de Notre-Seigneur 1475.
Les Juifs, croyant couvrir leur crime, cachèrent ce petit corps sous des tonneaux de vin, dans un cellier ; mais le bruit s'en répandait déjà dans la ville, par la voix des autres enfants qui, voyant les parents de Siméon en peine, criaient publiquement qu'il le fallait chercher dans les maisons des Juifs.
Ces malheureux, de peur d'être découverts, le jetèrent dans un ruisseau qui coulait au-dessous de la synagogue ; et pour paraître encore plus innocents, donnèrent avis aux juges qu'en tel endroit il paraissait un corps sur l'eau. La justice y alla et trouva cette victime traitée de la manière qu'il vient d'être dit.
L'évêque, assisté de son clergé, le fit transporter comme une précieuse relique en l'église de Saint-Pierre.
Dieu, que ce bienheureux Siméon, vierge, martyr et innocent, avait glorifié, non pas en parlant, mais en souffrant, comme autrefois les petits innocents qu'Hérode fit massacrer en Judée ; Dieu, dis-je, l'a aussi glorifié de son côté, par la multitude des miracles qui ont été faits par l'attouchement et à la présence de ses dépouilles sacrées.
Pour les Juifs qui avaient commis ce meurtre, ils n'échappèrent pas, même dès ce monde, à la main vengeresse de Dieu ; parce que la justice, les ayant saisis, leur fit payer les peines qui étaient dues à une cruauté si inouïe.
Eux, personne n'en parle, pourquoi?
Petits Bollandistes
Tome III page 617
1475. — Pape : Sixte IV. — Empereur : Frédéric III.
La ville de Trente, limitrophe de l'Italie et de l'Allemagne, et très-renommée pour le fameux Concile général qui y a été célébré dans le XVIe siècle, s'est vue ensanglantée, près de cent ans auparavant, par le meurtre d'un innocent, que les Juifs firent mourir. Cet enfant s'appelait Simon, ou, comme disent quelques auteurs, Siméon. Son père se nommait André, et sa mère Marie ; catholiques, mais pauvres, ils demeuraient en un lieu appelé le Fossé, au bout de la même ville. Il était né l'an 1472, le 26 novembre, un vendredi, jour particulièrement destiné à la mémoire de la Passion du Sauveur, dont il devait porter la ressemblance. Il arriva donc que des Juifs, qui demeuraient à Trente, se disposant à leurs cérémonies pascales, voulurent avoir un enfant chrétien pour le faire mourir.
Ils engagèrent un d'entre eux, appelé Tobie, à commettre ce détestable larcin, et à leur amener, à quelque prix que ce fût, quelqu'un des petits enfants chrétiens qu'il trouverait dans la ville.
Celui-ci n'y manqua pas ; rencontrant ce petit Siméon, qui était beau comme un ange, âgé seulement de vingt-neuf mois, moins trois jours, il le déroba à la porte même de la maison de ses parents, en ce lieu du Fossé, et l'apporta sans bruit chez un Juif appelé Samuel, où tous les autres de cette nation réprouvée avaient rendez-vous.
Il n'est pas aisé d'exprimer les hurlements que jetèrent ces loups en voyant en leur pouvoir cet innocent agneau.
Le soir du jeudi au vendredi de la semaine sainte, ils le portèrent en leur synagogue à un vieillard nommé Moïse, qui le dépouilla d'abord, et, de crainte que, par ses petits cris, il ne se fit entendre du voisinage, et qu'il ne fît découvrir ainsi leur cruauté, ce malheureux lui entoura le cou d'un mouchoir pour étouffer sa voix.
Le tenant de la sorte sur ses genoux, après des cruautés que des oreilles chastes ne peuvent entendre, il lui coupa un morceau de la joue droite, qu'il mit dans un bassin; ensuite tous les assistants enlevèrent chacun une partie de sa chair vive et recueillirent son sang pour le sucer et s'en repaître.
Lorsque le misérable chef de ces infanticides se fût rassasié de la chair et du sang de cet enfant, il l'éleva droit sur ses pieds, quoique déjà demi-mort ; et, ayant commandé à un de ses bourreaux, nommé Samuel, de le tenir les bras étendus en forme de crucifix, il exhorta tous les autres à le percer à coups d'aiguilles en tous ses membres innocents, sans lui laisser une seule place, depuis la plante des pieds jusqu'à la tête, qui n'eût sa propre plaie.
Ce martyre ne dura pas moins d'une heure, pendant laquelle ces tigres furieux, afin de n'être point touchés par les plaintes mourantes de ce pauvre enfant, hurlaient eux-mêmes comme des forcenés, disant ces paroles en leur langage : « Tuons celui-ci comme Jésus, le Dieu des chrétiens, qui n'est rien, et qu'ainsi nos ennemis soient à jamais confondus ». Enfin, cet innocent Martyr leva les yeux au ciel comme pour le prendre à témoin des supplices qu'on lui faisait injustement endurer, puis, les rabaissant vers la terre, il rendit son esprit a Celui pour la gloire de qui il mourait. Ce fut le vendredi saint, le 24 mars, l'an de Notre-Seigneur 1475.
Les Juifs, croyant couvrir leur crime, cachèrent ce petit corps sous des tonneaux de vin, dans un cellier ; mais le bruit s'en répandait déjà dans la ville, par la voix des autres enfants qui, voyant les parents de Siméon en peine, criaient publiquement qu'il le fallait chercher dans les maisons des Juifs.
Ces malheureux, de peur d'être découverts, le jetèrent dans un ruisseau qui coulait au-dessous de la synagogue ; et pour paraître encore plus innocents, donnèrent avis aux juges qu'en tel endroit il paraissait un corps sur l'eau. La justice y alla et trouva cette victime traitée de la manière qu'il vient d'être dit.
L'évêque, assisté de son clergé, le fit transporter comme une précieuse relique en l'église de Saint-Pierre.
Dieu, que ce bienheureux Siméon, vierge, martyr et innocent, avait glorifié, non pas en parlant, mais en souffrant, comme autrefois les petits innocents qu'Hérode fit massacrer en Judée ; Dieu, dis-je, l'a aussi glorifié de son côté, par la multitude des miracles qui ont été faits par l'attouchement et à la présence de ses dépouilles sacrées.
Pour les Juifs qui avaient commis ce meurtre, ils n'échappèrent pas, même dès ce monde, à la main vengeresse de Dieu ; parce que la justice, les ayant saisis, leur fit payer les peines qui étaient dues à une cruauté si inouïe.
Eux, personne n'en parle, pourquoi?
Petits Bollandistes
Tome III page 617
Diane + R.I.P- Nombre de messages : 5488
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: Je crois en la Shoah...
Permettez-moi d'en rajouter sur la Shoah !...
Je vais essayer de vous donner l'esprit d'un vieux souvenir que j'ai dans la mémoire:
Un homme qui assistait à une conférence, et qui entendait toujours la rengaine habituelle:
Et nous, en 2009, nous pourrions rajouter, à la suite de l'émouvant post de Christero, et que je tiens à saluer sur notre forum :
Et nous, en 2009, quel cas, un tous et chacun d'entre nous, faisons-nous des 50 millions de meurtres qui sont commis à CHAQUE ANNÉE ?... (1)
_____________________________
(1) Note de Missale Romanum 1612:
IIe guerre mondiale : 6 ans, une moyenne de 10 millions de victimes par année.
Avortements : 1 an, 50 millions de meurtres par année; soit 5 FOIS PLUS à CHAQUE ANNÉE que durant chacune de toutes les années de la guerre 39-45 !... et ce, depuis combien d'années ??? ...
Je vais essayer de vous donner l'esprit d'un vieux souvenir que j'ai dans la mémoire:
Un homme qui assistait à une conférence, et qui entendait toujours la rengaine habituelle:
se lève et dit au conférencier :6 millions de Juifs par ici, 6 millions de Juifs par là, 6 millions....
Et vous que faites-vous des 60 millions de gentils qui sont morts durant la IIe Guerre Mondiale ?
Et nous, en 2009, nous pourrions rajouter, à la suite de l'émouvant post de Christero, et que je tiens à saluer sur notre forum :
Et nous, en 2009, quel cas, un tous et chacun d'entre nous, faisons-nous des 50 millions de meurtres qui sont commis à CHAQUE ANNÉE ?... (1)
_____________________________
(1) Note de Missale Romanum 1612:
IIe guerre mondiale : 6 ans, une moyenne de 10 millions de victimes par année.
Avortements : 1 an, 50 millions de meurtres par année; soit 5 FOIS PLUS à CHAQUE ANNÉE que durant chacune de toutes les années de la guerre 39-45 !... et ce, depuis combien d'années ??? ...
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17607
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Je crois en la Shoah...
Je me demande si quelqu'un aurait une idée du nombre des premiers Chrétiens qui sont morts durant les 300 premières années de la persécution...
Il me semble avoir déjà lu quelque chose la-dessus....
Il me semble avoir déjà lu quelque chose la-dessus....
gabrielle- Nombre de messages : 19796
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Je crois en la Shoah...
Cher Missale Romanum 1612
Je suis parfaitement d'accord avec vous !
Ils nous bassinent avec leur 6..., 6..., 6..., millions (... pardonnez, j'ai tendance à bégayer lorsque je m'énerve !).
Mais le pire n'est pas là ! (c'est à dire, dans ce mensonge que même leurs experts n'osent plus soutenir)
Je manque de temps ce soir... mais en guise d'indice, je tiens à dire que le chiffre de 50 millions de meurtres par an est très loin de la stricte vérité car il ne concerne et ne comptabilise que les avortements chirurgicaux et chimiques effectués dans les enceintes "hospitalières" !
C'est, en quelques sorte, le morceau visible de l'iceberg (...berg, encore un !).
Je suis parfaitement d'accord avec vous !
Ils nous bassinent avec leur 6..., 6..., 6..., millions (... pardonnez, j'ai tendance à bégayer lorsque je m'énerve !).
Mais le pire n'est pas là ! (c'est à dire, dans ce mensonge que même leurs experts n'osent plus soutenir)
Je manque de temps ce soir... mais en guise d'indice, je tiens à dire que le chiffre de 50 millions de meurtres par an est très loin de la stricte vérité car il ne concerne et ne comptabilise que les avortements chirurgicaux et chimiques effectués dans les enceintes "hospitalières" !
C'est, en quelques sorte, le morceau visible de l'iceberg (...berg, encore un !).
Eric- Nombre de messages : 4550
Date d'inscription : 18/02/2009
Re: Je crois en la Shoah...
Parce Domine a écrit:Je me demande si quelqu'un aurait une idée du nombre des premiers Chrétiens qui sont morts durant les 300 premières années de la persécution...
Il me semble avoir déjà lu quelque chose la-dessus....
J'ai déjà lu à ce sujet qu'il y eut un martyr qui s'envolait et s'endormait dans le sein d'Abraham à toutes les CINQ MINUTES, et ce, pendant 300 ans, jour et nuit, sept jours sur sept, année après année ce qui donne environ 30 millions... Je ne me souviens plus de la référence... Si quelqu'un la trouve...
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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