Le Rosaire de l'Irlandaise
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Le Rosaire de l'Irlandaise
Durant le cours d'une mission prêchée à l'Ondres, le Père Conway, vieux missionnaire qui compte trente-cinq ans d'apostolat, fut invité à visiter une noble famille de la Cité. La maîtresse de la maison portait, parmi ses joyaux, un modeste rosaire de chêne d'Irlande; et, comme le missionnaire en paraissait un peu surpris :
- " Voulez-vous, dit la dame, que je vous raconte son histoire ?
- " Très volontiers, Milady.
Et la noble dame commença en ces termes son récit :
- " Il faut que vous sachiez tout d'abord que la famille de mon mari était du nombre des plus fanatiques parmi les protestants, et que mes idées au sujet des catholiques étaient certainement très fausses. On m'avait enseigné que l'ignorance et l'idolâtrie étaient leurs grands défauts; aussi, mon mari et moi étions-nous très soigneux pour ne laisser aucun catholique entrer à notre service, ou s'occuper de nos enfants.
Un jour, ma femme de chambre entre chez-moi comme hors d'elle-même.
- " Oh ! Milady, voyez ce que j'ai trouvé !
- " Quoi donc ?
- " Mais c'est une de ces horribles idoles papistes ! "
Et elle me tend le chapelet que vous voyez là.
- " Oui vraiment, et où l'avez-vous trouvée ?
- " A la grille d'entrée : Mme Parr, la concierge, dit qu'elle appartient à une vieille Irlandaise, qui vient tous les jours vendre du cresson. "
J'emportai le rosaire au salon au salon où se trouvait Henry, mon mari, avec Claire, sa plus jeune soeur, et, tandis que nous nous moquions à l'envi des superstitions de Rome, deux visiteuses furent annoncées. Le rosaire fut minutieusement examiné. A la fin, ma jeune belle-soeur s'écria :
- " Faites-nous venir la vieille femme demain, Letly, ce sera si drôle ! "
Je donnai volontiers mon assentiment à l'idée de Claire; après quelques hésitations, mon mari consentit à son tour. Les deux visiteuses furent invitées à être témoins de la scène dont nous espérions jouir, et un des domestiques fut chargé d'amener la vieille femme, de la loge du concierge aux appartements, le lendemain matin.
Donc, à une heure exceptionnellement matinale, nous étions tous de nouveau assemblés; Henry était entré complètement dans l'esprit de la plaisanterie; mais moi, je pensais dans mon coeur combien il nous serait facile de convertir cette pauvre ignorante créature.
- " La voilà ! s'écria soudain mon mari, et nous nous précipitâmes vers la fenêtre pour voir une petite vieille, d'apparence bien proprette, venant par la grande allée, à côté de notre laquais à la haute stature. Elle paraissait discuter et protester vigoureusement.
- " Entrer dans ce beau salon avec mes souliers crottés, n'est-ce pas ? Oh ! pour cela, non ! Pour sûr, la dame peut venir ici et me dire tout ce qu'elle désire.
- " Non, non, ma bonne femme, entrez ! lui dis-je, en m'avançant vers la porte : nous ne voulons vous faire aucun mal. "
Elle fit une révérence à la vieille mode.
- " Me faire du mal, à moi ? Qui donc au monde voudrait me faire du mal ?
- " Certainement, personne : mais, entrez donc ! "
Elle se laissa enfin persuader et entra; alors commença cet entretien.
- " Ma bonne femme, vous avez perdu quelque chose ?
- " Je ne sais, en vérité : et, qu'est-ce que la petite Marie Feenan peut avoir à perdre, Madame ?
- " Oh ! vous avez perdu quelque chose ! Vous avez perdu votre dieu.
- " Perdu mon dieu ! Le bon Dieu tout-puissant m'en préserve ! Mais, qu'est-ce que vous voulez me dire par là ?
- " Ne vous fâchez pas, Madame Feenan. Vous avez perdu une des choses que vous autres, papistes, adorez. " Et je lui tendis le rosaire.
- " Oh ! vous avez donc trouvé mon chapelet ? Que le bon Dieu vous récompense, madame, c'est tout ce que je puis vous dire. Et je vous suis grandement obligée pour cela.
- " Attendez un moment, je vous prie. Ne savez-vous pas, ma bonne femme, que c'est un péché d'adorer les idoles ?
- " Mais je n'adore pas les idoles ! " Et la pauvre Irlandaise, se redressant : " C'est le P. Mahoney - que Dieu lui donne aujourd'hui la lumière du ciel - qui m'a appris à dire mon rosaire, et qui m'en a enseigné aussi la signification ! "
Je souris avec pitié, et je lui dis :
- " Vous devriez lire votre Bible, ma pauvre créature, et ne pas vous laisser tyranniser et ensorceler par vos prêtres ! "
La pieuse Irlandaise avait oublié sa timidité, car elle se mit à rire :
- " Pour sûr, je ne sais pas lire du tout, Madame, mais j'en sais autant de ma religion que n'importe qui. "
Et elle laissa glisser dans ses doigts les grains noirs de son chapelet :
- " Je sais très bien que vous vous moquez de moi. Eh bien ! voilà ce que le chapelet enseigne, voilà ce que je lis. "
Et, d'une voix haute et ferme, le regard brillant, elle commença :
- " Vous voyez ce crucifix ? Eh bien ! lorsque je le regarde, je pense comment Jésus est mort pour moi sur le Calvaire : je pense à toutes ses plaies, à toutes ses souffrances, et je dis : " Doux Jésus, gardez-moi de vous offenser ! " Et elle baisait avec ferveur la croix de son chapelet.
- " Voyez maintenant ce gros grain et ces trois petits. Ils me disent qu'il n'y a qu'un seul Dieu et qu'en Dieu il y a trois personnes. Vous voyez aussi qu'il y a six gros grains le long du chapelet et une médaille qui me rappelle un tabernacle. "
Nous l'écoutions dans un profond silence, et Claire s'était rapprochée de la vieille femme.
- " Et ces six grains me rappellent aussi qu'il y a six Commandements de l'Église, outre les commandements de Dieu, et que je dois les garder. "
et la sainte femme se mit à les chanter; puis elle s'arrêta un instant pour reprendre haleine.
- " Maintenant, le rosaire en lui-même est composé de quinze Mystères en l'honneur de la Mère de Dieu : cinq joyeux ( et elle les énuméra ) : cinq douleureux ( et elle les nomma ) : cinq glorieux et, en énumérant ces derniers, sa voix s'élevait, puis elle ajouta :
- " Lorsque je m'en vais par le monde, cherchant à gagner ma vie honnêtement, je dis les Mystères joyeux. Quand la journée est mauvaise, quand je me demande si j'aurai à souper, je répète les Mystères douleureux et je me dis à moi-même : Marie Feenan, que signifie ton inquiétude ? pour sûr, un jour, tout finira et Dieu te donnera sa grâce pour finir. - Et, quand j'ai bravement surmonté ma peine, le moins que je puisse faire est de réciter les Mystères glorieux en l'honneur de celle qui est notre Mère à tous. Et c'est ainsi que je passe mes journées.
- Allons ! nous en avons assez, murmura mon mari, rendez à cette femme son chapelet et laissez-la partir.
Aucun de nous ne se soucia de parler des choses admirables que nous avions entendues, mais je me demandai, moi, si c'était bien là cette religion qu'on m'avait appris à mépriser. Je revis souvent après la vieille Marie; elle me donna de bon coeur son rosaire chéri, lorsque je le lui demandai. Enfin vint un jour où je priai le Père *** de m'instruire pour recevoir le baptême.
Lorsque j'eus été reçue dans l'Église catholique, je le dis à mon mari. Il en fut irrité, plus irrité que je ne l'avais jamais vu; mais j'attendis, je priai et, au bout de quelques semaines, il me dit :
- "Eh ! allez à cette Église s'il le faut; les enfants et moi, nous irons à la nôtre. "
Le temps s'écoula ainsi, jusqu'à ce qu'un dimanche je lui dis, à mon tour :
- " Venez avec moi, aujourd'hui, Henry. "
Il céda. et, vers la fin de cette année, j'eus l'indicible bonheur de voir mes sept enfants et leur père reçus dans le sein de la seule véritable Église.
Lady s'arrêta.
- " Et c'est ainsi que vous portez toujours le rosaire de la vieille Irlandaise ? lui dis-je après un moment de silence.
- " Toujours, Père : et souvent, dans les soirées ou les réceptions, quelque dame de ma connaissance vient examiner mes grains de chapelet.
- " Oh ! Lady, quelles étranges pierres ! Viennent-elles des Indes ?
- " Non, pas des Indes.
- " Et sont-elles de grand prix ?
- " Oh ! de très grand prix ! Elles ont valu des millions pour moi. "
Et lorsque j'ai pleinement satisfait la curiosité de mon interlocutrice, je lui raconte cette histoire comme je viens de vous la raconter; vous voyez ainsi que le rosaire de ma bonne vieille Irlandaise fait encore du bien et poursuit son bienfaisant apostolat.
( LE ROSAIRE POUR TOUS, Juin 1911, p. 91. )
- " Voulez-vous, dit la dame, que je vous raconte son histoire ?
- " Très volontiers, Milady.
Et la noble dame commença en ces termes son récit :
- " Il faut que vous sachiez tout d'abord que la famille de mon mari était du nombre des plus fanatiques parmi les protestants, et que mes idées au sujet des catholiques étaient certainement très fausses. On m'avait enseigné que l'ignorance et l'idolâtrie étaient leurs grands défauts; aussi, mon mari et moi étions-nous très soigneux pour ne laisser aucun catholique entrer à notre service, ou s'occuper de nos enfants.
Un jour, ma femme de chambre entre chez-moi comme hors d'elle-même.
- " Oh ! Milady, voyez ce que j'ai trouvé !
- " Quoi donc ?
- " Mais c'est une de ces horribles idoles papistes ! "
Et elle me tend le chapelet que vous voyez là.
- " Oui vraiment, et où l'avez-vous trouvée ?
- " A la grille d'entrée : Mme Parr, la concierge, dit qu'elle appartient à une vieille Irlandaise, qui vient tous les jours vendre du cresson. "
J'emportai le rosaire au salon au salon où se trouvait Henry, mon mari, avec Claire, sa plus jeune soeur, et, tandis que nous nous moquions à l'envi des superstitions de Rome, deux visiteuses furent annoncées. Le rosaire fut minutieusement examiné. A la fin, ma jeune belle-soeur s'écria :
- " Faites-nous venir la vieille femme demain, Letly, ce sera si drôle ! "
Je donnai volontiers mon assentiment à l'idée de Claire; après quelques hésitations, mon mari consentit à son tour. Les deux visiteuses furent invitées à être témoins de la scène dont nous espérions jouir, et un des domestiques fut chargé d'amener la vieille femme, de la loge du concierge aux appartements, le lendemain matin.
Donc, à une heure exceptionnellement matinale, nous étions tous de nouveau assemblés; Henry était entré complètement dans l'esprit de la plaisanterie; mais moi, je pensais dans mon coeur combien il nous serait facile de convertir cette pauvre ignorante créature.
- " La voilà ! s'écria soudain mon mari, et nous nous précipitâmes vers la fenêtre pour voir une petite vieille, d'apparence bien proprette, venant par la grande allée, à côté de notre laquais à la haute stature. Elle paraissait discuter et protester vigoureusement.
- " Entrer dans ce beau salon avec mes souliers crottés, n'est-ce pas ? Oh ! pour cela, non ! Pour sûr, la dame peut venir ici et me dire tout ce qu'elle désire.
- " Non, non, ma bonne femme, entrez ! lui dis-je, en m'avançant vers la porte : nous ne voulons vous faire aucun mal. "
Elle fit une révérence à la vieille mode.
- " Me faire du mal, à moi ? Qui donc au monde voudrait me faire du mal ?
- " Certainement, personne : mais, entrez donc ! "
Elle se laissa enfin persuader et entra; alors commença cet entretien.
- " Ma bonne femme, vous avez perdu quelque chose ?
- " Je ne sais, en vérité : et, qu'est-ce que la petite Marie Feenan peut avoir à perdre, Madame ?
- " Oh ! vous avez perdu quelque chose ! Vous avez perdu votre dieu.
- " Perdu mon dieu ! Le bon Dieu tout-puissant m'en préserve ! Mais, qu'est-ce que vous voulez me dire par là ?
- " Ne vous fâchez pas, Madame Feenan. Vous avez perdu une des choses que vous autres, papistes, adorez. " Et je lui tendis le rosaire.
- " Oh ! vous avez donc trouvé mon chapelet ? Que le bon Dieu vous récompense, madame, c'est tout ce que je puis vous dire. Et je vous suis grandement obligée pour cela.
- " Attendez un moment, je vous prie. Ne savez-vous pas, ma bonne femme, que c'est un péché d'adorer les idoles ?
- " Mais je n'adore pas les idoles ! " Et la pauvre Irlandaise, se redressant : " C'est le P. Mahoney - que Dieu lui donne aujourd'hui la lumière du ciel - qui m'a appris à dire mon rosaire, et qui m'en a enseigné aussi la signification ! "
Je souris avec pitié, et je lui dis :
- " Vous devriez lire votre Bible, ma pauvre créature, et ne pas vous laisser tyranniser et ensorceler par vos prêtres ! "
La pieuse Irlandaise avait oublié sa timidité, car elle se mit à rire :
- " Pour sûr, je ne sais pas lire du tout, Madame, mais j'en sais autant de ma religion que n'importe qui. "
Et elle laissa glisser dans ses doigts les grains noirs de son chapelet :
- " Je sais très bien que vous vous moquez de moi. Eh bien ! voilà ce que le chapelet enseigne, voilà ce que je lis. "
Et, d'une voix haute et ferme, le regard brillant, elle commença :
- " Vous voyez ce crucifix ? Eh bien ! lorsque je le regarde, je pense comment Jésus est mort pour moi sur le Calvaire : je pense à toutes ses plaies, à toutes ses souffrances, et je dis : " Doux Jésus, gardez-moi de vous offenser ! " Et elle baisait avec ferveur la croix de son chapelet.
- " Voyez maintenant ce gros grain et ces trois petits. Ils me disent qu'il n'y a qu'un seul Dieu et qu'en Dieu il y a trois personnes. Vous voyez aussi qu'il y a six gros grains le long du chapelet et une médaille qui me rappelle un tabernacle. "
Nous l'écoutions dans un profond silence, et Claire s'était rapprochée de la vieille femme.
- " Et ces six grains me rappellent aussi qu'il y a six Commandements de l'Église, outre les commandements de Dieu, et que je dois les garder. "
et la sainte femme se mit à les chanter; puis elle s'arrêta un instant pour reprendre haleine.
- " Maintenant, le rosaire en lui-même est composé de quinze Mystères en l'honneur de la Mère de Dieu : cinq joyeux ( et elle les énuméra ) : cinq douleureux ( et elle les nomma ) : cinq glorieux et, en énumérant ces derniers, sa voix s'élevait, puis elle ajouta :
- " Lorsque je m'en vais par le monde, cherchant à gagner ma vie honnêtement, je dis les Mystères joyeux. Quand la journée est mauvaise, quand je me demande si j'aurai à souper, je répète les Mystères douleureux et je me dis à moi-même : Marie Feenan, que signifie ton inquiétude ? pour sûr, un jour, tout finira et Dieu te donnera sa grâce pour finir. - Et, quand j'ai bravement surmonté ma peine, le moins que je puisse faire est de réciter les Mystères glorieux en l'honneur de celle qui est notre Mère à tous. Et c'est ainsi que je passe mes journées.
- Allons ! nous en avons assez, murmura mon mari, rendez à cette femme son chapelet et laissez-la partir.
Aucun de nous ne se soucia de parler des choses admirables que nous avions entendues, mais je me demandai, moi, si c'était bien là cette religion qu'on m'avait appris à mépriser. Je revis souvent après la vieille Marie; elle me donna de bon coeur son rosaire chéri, lorsque je le lui demandai. Enfin vint un jour où je priai le Père *** de m'instruire pour recevoir le baptême.
Lorsque j'eus été reçue dans l'Église catholique, je le dis à mon mari. Il en fut irrité, plus irrité que je ne l'avais jamais vu; mais j'attendis, je priai et, au bout de quelques semaines, il me dit :
- "Eh ! allez à cette Église s'il le faut; les enfants et moi, nous irons à la nôtre. "
Le temps s'écoula ainsi, jusqu'à ce qu'un dimanche je lui dis, à mon tour :
- " Venez avec moi, aujourd'hui, Henry. "
Il céda. et, vers la fin de cette année, j'eus l'indicible bonheur de voir mes sept enfants et leur père reçus dans le sein de la seule véritable Église.
Lady s'arrêta.
- " Et c'est ainsi que vous portez toujours le rosaire de la vieille Irlandaise ? lui dis-je après un moment de silence.
- " Toujours, Père : et souvent, dans les soirées ou les réceptions, quelque dame de ma connaissance vient examiner mes grains de chapelet.
- " Oh ! Lady, quelles étranges pierres ! Viennent-elles des Indes ?
- " Non, pas des Indes.
- " Et sont-elles de grand prix ?
- " Oh ! de très grand prix ! Elles ont valu des millions pour moi. "
Et lorsque j'ai pleinement satisfait la curiosité de mon interlocutrice, je lui raconte cette histoire comme je viens de vous la raconter; vous voyez ainsi que le rosaire de ma bonne vieille Irlandaise fait encore du bien et poursuit son bienfaisant apostolat.
( LE ROSAIRE POUR TOUS, Juin 1911, p. 91. )
Dernière édition par Roger le Dim 11 Oct 2009, 6:10 pm, édité 1 fois
Roger Boivin- Nombre de messages : 13227
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: Le Rosaire de l'Irlandaise
.
Très belle histoire que cette histoire sur le Rosaire cher Roger. Merci bien. Ce qu’on en apprend des choses avec le Rosaire… L’ignorance
et l’idolâtrie ne se trouvent pas du côté où l’on pense. Autres temps, et, malheureusement, toujours les mêmes objections bigotes et étriquées
sur la Religion catholique, que j’ai entendues, que vous avez entendues… Pour prendre une belle citation de l’abbé Lemann dans le fil sur la
religion noachide dans DOCTRINE ET ACTUALITÉS :
Et en l’adaptant à votre très beau récit, elle pourrait devenir : « Sans les bigoteries et racontars du Protestantisme, il y a
longtemps que tous les protestants seraient convertis .»
Très belle histoire que cette histoire sur le Rosaire cher Roger. Merci bien. Ce qu’on en apprend des choses avec le Rosaire… L’ignorance
et l’idolâtrie ne se trouvent pas du côté où l’on pense. Autres temps, et, malheureusement, toujours les mêmes objections bigotes et étriquées
sur la Religion catholique, que j’ai entendues, que vous avez entendues… Pour prendre une belle citation de l’abbé Lemann dans le fil sur la
religion noachide dans DOCTRINE ET ACTUALITÉS :
"(…)sans le Talmud, il y a longtemps que tous les Juifs seraient convertis". (Abbé Lemann)
Et en l’adaptant à votre très beau récit, elle pourrait devenir : « Sans les bigoteries et racontars du Protestantisme, il y a
longtemps que tous les protestants seraient convertis .»
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
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