Une pensée...

Par ces temps si froid et si dur.

Ayons une pensée pour tous les sans-abris du monde entier qui vivent dans le froid glaciale qui vont une nouvelle fois passer la nuit sous un pont ou dans une station de métro où règne un froid de canard.

J’aimerais que toutes ces personnes puissent trouver un toit pour se réchauffer.

Que Dieu dans sa grande bonté, mette sur le chemin de ces personnes, des femmes et des hommes généreux et accueillants pour leur porter secours et pour ramener un peu de chaleur dans leurs vies.

Un journaliste de Montréal a fait un "test"... il s'est habillé en clochard et avec du maquillage fait ds blessures et s'est étendue sur un trottoir au centre ville en pleine hiver, ça prit 1 heure avant qu'un passant s'arrête, celui à la caméra... a compté plus de 50 personnes qui sont passés en regardant et continuer leur chemin.

Ça m'avait fait pensée à la parabole de l'Évangile.. celle du Bon Samaritain.

Déguisé en SDF il a simulé un malaise, affalé par terre et appelant les passants à l'aide. Il a renouvelé l'expérience, vêtu cette fois d'un costume. Devinez les réactions.

Un homme à l'apparence négligée titube, tombe à genoux puis s'effondre devant des passants. Il a beau appeler à l'aide, on le regarde à peine. Des dizaines de passants pressés passent à côté de lui, le scrutent brièvement avant de continuer leur chemin dans l'indifférence,

Il renouvelle ensuite l'expérience, habillé cette fois d'un costume. À peine est-il tombé au sol que des passants se précipitent pour lui venir en aide. "La même chute mais pas les mêmes réactions".




Quelle honte que cette indifférence et pourtant si vraie!

Ceux qui méprissent le pauvre trouvera au jour de son jugement, un Juge sévère et irrité.

Cela me fait penser à cette parole dans l'Évangile où il est dit que donner un verre d'eau ne restera pas sans récompense.

Je me rappelle d'une fois étant en ville avoir vue un pauvre homme en haut d'un escabeau avec une  canne à pêche tenant au bout de la ligne un sac. Je lui demande ce qu'il fait si haut pour mendier. Il me répond, ''quand j’étais assis parterre à mendier, les gens ne me voyait pas ou presque peu. Maintenant que je suis plus haut, les gens me voie, s'arrêtent, me parlent et me donnent de l'aumône. Voyez-vous madame, j'en suis rendue à faire le guignol afin de pouvoir faire un peu plus de sous.''
Triste réalité.