Gérard et le mariage
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Gérard et le mariage
Nous avons déjà vu dans le fil « Le juge des Papes formaliter : menteur, faussaire, imposteur » posté sur un autre forum (Le coin de JP B) où votre serviteur intervient, notamment dans le message du 2 novembre 2011 à 10h59 (heure française) comment Gérard, dans celui-ci, s’est permis d’imaginer qu’il pouvait opposer le « catéchisme de la Doctrine chrétienne publiée[sic] en 1912 par ordre du pape Saint Pie X » avec la Lettre Afflictum proprioribus que le même saint Pontife suprême adressa le 24 novembre 1906 aux évêques de Bolivie.
Il est curieux de constater que la prétendue dite opposition ne soit perçue que par Gérard (qui, soit dit en passant, tronque honteusement ses citations comme il prouvé ici et encore là pour leur faire dire ce qu’il veut bien ! …) et que personne d’autre que lui ne trouve à redire pour justifier cette prétendue opposition entre les textes de St Pie X…
C’est ainsi que je viens de découvrir le passage suivant dans un texte traitant de « La moralité [ou plutôt de l’immoralité] de la demande en divorce civil » écrit par Monsieur l’abbé Belmont sur son blog quicumque le 22 mai 2010
Il est curieux de constater que la prétendue dite opposition ne soit perçue que par Gérard (qui, soit dit en passant, tronque honteusement ses citations comme il prouvé ici et encore là pour leur faire dire ce qu’il veut bien ! …) et que personne d’autre que lui ne trouve à redire pour justifier cette prétendue opposition entre les textes de St Pie X…
C’est ainsi que je viens de découvrir le passage suivant dans un texte traitant de « La moralité [ou plutôt de l’immoralité] de la demande en divorce civil » écrit par Monsieur l’abbé Belmont sur son blog quicumque le 22 mai 2010
Il est vrai l’abbé Belmont, est persona non grata aux yeux de notre juge des Papes formaliter même canonisés comme St Pie X, juge plus dur que les durs de dur !
[…] tout mariage valide entre deux baptisés est nécessairement un sacrement ; c’est ainsi que la juridiction sur le mariage des baptisés appartient à l’Église catholique, et à elle exclusivement.
C’est ici qu’interviennent l’équivoque et l’usurpation du « mariage civil ». Il est la mainmise outrageante sur le mariage chrétien, et il n’est même pas le mariage naturel (bien qu’il puisse l’être, entre des non-baptisés).
Mais la malice du prétendu « mariage civil » ne doit pas cacher que le mariage a une nature et des effets civils et doit en avoir, et qu’il est du rôle de l’État de les organiser et de les garantir : c’est là une exigence du bien commun due au fait que le mariage est par nature social et public.
[…]
B JP- Invité
Confusion gérardesque
Monsieur l’abbé Belmont, comme je le rapportais dans ce message, a donc écrit : « […]le mariage a une nature et des effets civils et doit en avoir, et qu’il est du rôle de l’État de les organiser et de les garantir : c’est là une exigence du bien commun due au fait que le mariage est par nature social et public.»
Avant la très regrettable révolution dit française, l’organisation de ces effets civils du mariage était assurée en France, non par l’Église en elle-même, mais par le ministère du Curé de la paroisse où se déroulait un mariage qui l’enregistrait dans les “états civils”.
La confusion qu’entretient Gérard entre l’organisation des effets civils d’un mariage et son enregistrement sur les “états civils” d’une part, organisation et enregistrement aujourd’hui assurés par l’État, et tout mariage uniquement civil qui n’est, pour tout baptisé, qu’un prétendu mariage et un réel concubinage d’autre part, devrait logiquement le conduire à considérer que l’organisation des effets civils d’un mariage et son enregistrement dans les “états civils” assurés jadis par le Curé de la paroisse où il se déroulait étaient alors, là aussi, un sacrilège puisqu’en cela proprement dit, il ne s’agit pas du Sacrement mais seulement des effets civils du mariage ! …
Absurdité du raisonnement gérardesque qui n'est qu'un résonnement de cloche ! …
Avant la très regrettable révolution dit française, l’organisation de ces effets civils du mariage était assurée en France, non par l’Église en elle-même, mais par le ministère du Curé de la paroisse où se déroulait un mariage qui l’enregistrait dans les “états civils”.
La confusion qu’entretient Gérard entre l’organisation des effets civils d’un mariage et son enregistrement sur les “états civils” d’une part, organisation et enregistrement aujourd’hui assurés par l’État, et tout mariage uniquement civil qui n’est, pour tout baptisé, qu’un prétendu mariage et un réel concubinage d’autre part, devrait logiquement le conduire à considérer que l’organisation des effets civils d’un mariage et son enregistrement dans les “états civils” assurés jadis par le Curé de la paroisse où il se déroulait étaient alors, là aussi, un sacrilège puisqu’en cela proprement dit, il ne s’agit pas du Sacrement mais seulement des effets civils du mariage ! …
Absurdité du raisonnement gérardesque qui n'est qu'un résonnement de cloche ! …
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
Donc, avant la révolution, votre pays était comme le nôtre, le curé représentait l'Église et l'État.
J'imagine, que bientôt ici, il sera de même que chez vous.. car on tend de plus en plus à faire une séparation très nette... ce qui accroche ici, se sont les gens des autres religions, ils sont très réticents sur ce point.
J'imagine, que bientôt ici, il sera de même que chez vous.. car on tend de plus en plus à faire une séparation très nette... ce qui accroche ici, se sont les gens des autres religions, ils sont très réticents sur ce point.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Avant la révolution, Gabrielle, le roi et, sous lui, l'aristocratie, laissaient aux Curés le soin de remplir les registres d'état civil dans les paroisses. Ils (le roi et l'aristocratie) auraient éventuellement la possibilité, s'ils l'avaient voulue, de s'en charger, mais pourquoi s'occuper d'une chose quand les Curés enregistraient déjà les baptêmes et les mariages ?
Ce n'est que l'anticléricalisme des révolutionnaires qui, les poussant à vouloir absolument la séparation complète de l'Église et de l'État, changea, en le compliquant, un état des choses qui était sans doute trop simple à leurs yeux...
Ce n'est que l'anticléricalisme des révolutionnaires qui, les poussant à vouloir absolument la séparation complète de l'Église et de l'État, changea, en le compliquant, un état des choses qui était sans doute trop simple à leurs yeux...
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
Merci pour cette note historique.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Il faut dire aussi que l’Église n’acceptant pas les divorces d’une part, ni les mariages uniquement civils pour les baptisés d’autre part, cela ne faisait pas l’affaire des dits révolutionnaires immoraux…
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
Lesquels révolutionnaires immoraux voulaient aussi, bien sûr, se passer du baptême.
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
B JP a écrit:Il faut dire aussi que l’Église n’acceptant pas les divorces d’une part, ni les mariages uniquement civils pour les baptisés d’autre part, cela ne faisait pas l’affaire des dits révolutionnaires immoraux…
La clé est dans :mariages uniquement civils .
Les temps de révolution sont des temps dramtiques pour la foi . La Sainte Église et ses Pontifes ont fait ce qui était le mieux de aire en ces circonstances. Les Pontifes ont sauvé l'Église de France d'une extermination complète et ainsi la foi a pu briller à nouveau au grand jour.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Conséquence gérardesque
Pour revenir au sujet d’origine, imaginons maintenant un mariage conforme aux recommandations de Gérard et qui se déroule, tel que décrit dans cette annonce (« […]dans l'intimité en présence de deux témoins selon la forme canonique extraordinaire nécessaire en l'absence de mandat de la Sainte Eglise (Canon 1098 du Droit Canonique) ») et pour lequel il n’y aurait aucun passage à la mairie préalablement au (ou éventuellement à la suite du) véritable mariage qu'est le mariage religieux.
Car notre Gérard est absolument contre tout passage à la mairie ! Cette opposition se manifeste entre autres ici où on le voit reprocher à St Pie X d'avoir permis que soit publié, sur son ordre, en 1912 le Catéchisme de la Doctrine chrétienne qui énonce, dans son article 412, « Les époux doivent accomplir aussi l'acte civil, bien qu'il ne soit pas un sacrement, afin de s'assurer à eux-mêmes et à leurs enfants les effets de la société conjugale, c'est pourquoi l'Eglise ne permet pas d'ordinaire le mariage religieux, si l'on accomplit pas aussi les actes prescrits par l'Etat », qu'il croit voir en contradiction avec la Lettre du même saint Pape, Afflictum proprioribus du 24 novembre 1906 adressée aux évêques de Bolivie.
La question se pose de savoir comment, avec un tel mariage (peut-être valide quant au Sacrement – je ne suis ni théologien ni canoniste) dans lequel les conjoints qui ne seraient pas passés à la mairie, ceux-ci se déclareront dans la vie civile officielle : comme “pacsés”, pour leurs déclarations d’impôts par exemple ou leur demande (s’ils ont des enfants) d’allocations familiales, ou comme concubins ?
S’ils ne sont pas passés à la mairie, ils ne pourront en effet pas se déclarés mariés puisqu’il n’y aura pas d’acte civil de mariage !
Pour des Catholiques, la question est épineuse et la situation éventuelle plutôt scandaleuse…
Or, il est bien à craindre que ce refus de passer à la mairie préalablement au (ou à la suite du) mariage religieux n’ait été effectif à l’occasion du mariage de son fils Benoît avec Cécile puisque le faire-part, transcrit de manière incomplète ici, précisait en plus, entre parenthèses, « Le présent faire-part tient lieu de publication des bans », et que, pour le passage à la mairie, les bans sont publiés préalablement sur l'affichage municipal.
Comment Benoît et Cécile (la fille d’un de mes amis) ont-ils été mariés ?
Quelle responsabilité pèse, avec ses idées farfelues, sur ce pauvre Gérard ! …
Car notre Gérard est absolument contre tout passage à la mairie ! Cette opposition se manifeste entre autres ici où on le voit reprocher à St Pie X d'avoir permis que soit publié, sur son ordre, en 1912 le Catéchisme de la Doctrine chrétienne qui énonce, dans son article 412, « Les époux doivent accomplir aussi l'acte civil, bien qu'il ne soit pas un sacrement, afin de s'assurer à eux-mêmes et à leurs enfants les effets de la société conjugale, c'est pourquoi l'Eglise ne permet pas d'ordinaire le mariage religieux, si l'on accomplit pas aussi les actes prescrits par l'Etat », qu'il croit voir en contradiction avec la Lettre du même saint Pape, Afflictum proprioribus du 24 novembre 1906 adressée aux évêques de Bolivie.
La question se pose de savoir comment, avec un tel mariage (peut-être valide quant au Sacrement – je ne suis ni théologien ni canoniste) dans lequel les conjoints qui ne seraient pas passés à la mairie, ceux-ci se déclareront dans la vie civile officielle : comme “pacsés”, pour leurs déclarations d’impôts par exemple ou leur demande (s’ils ont des enfants) d’allocations familiales, ou comme concubins ?
S’ils ne sont pas passés à la mairie, ils ne pourront en effet pas se déclarés mariés puisqu’il n’y aura pas d’acte civil de mariage !
Pour des Catholiques, la question est épineuse et la situation éventuelle plutôt scandaleuse…
Or, il est bien à craindre que ce refus de passer à la mairie préalablement au (ou à la suite du) mariage religieux n’ait été effectif à l’occasion du mariage de son fils Benoît avec Cécile puisque le faire-part, transcrit de manière incomplète ici, précisait en plus, entre parenthèses, « Le présent faire-part tient lieu de publication des bans », et que, pour le passage à la mairie, les bans sont publiés préalablement sur l'affichage municipal.
Comment Benoît et Cécile (la fille d’un de mes amis) ont-ils été mariés ?
Quelle responsabilité pèse, avec ses idées farfelues, sur ce pauvre Gérard ! …
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
Cela est très navrant.
Espérons que les époux verront la vérité très vite.
Espérons que les époux verront la vérité très vite.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Les disputes avec Gérard m'ont apparemment coupé de mes amis et je crains que Cécile n'y soit pour quelque chose et qu'elle n'ait pas été très docile à ses parents.gabrielle a écrit:
Cela est très navrant.
Espérons que les époux verront la vérité très vite.
Si vous jugez que ce message devient trop indiscret, vous pouvez le supprimer sans problème de ma part.
Bonne et sainte journée !
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
Bonne journée à vous aussi.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Quelques messages plus haut,
Prions pour eux tous.
C'est ce que Gérard a refusé de voir, hélas !gabrielle a écrit:
La clé est dans :mariages uniquement civils .
[...]
Prions pour eux tous.
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
Merci bien, et pareillement à tous, sur votre forum.gabrielle a écrit:
Bonne journée à vous aussi.
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
B JP a écrit:Merci bien, et pareillement à tous, sur votre forum.gabrielle a écrit:
Bonne journée à vous aussi.
Permettez-moi de vous dire également bonne journée.
Cet entretien avec vous fut très intéressant et instructif !
.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Merci
Je viens de recevoir une réponse privée de Gégé.
Incroyable !
Complètement borné !
Je lui ai répondu aussitôt.
Peut-être Gabrielle mettra en ligne nos deux textes : je lui laisse carte blanche pour cela mais ne veux pas le faire moi-même, qu'on ne dise pas que c'est moi qui aie tout inventé...
Incroyable !
Complètement borné !
Je lui ai répondu aussitôt.
Peut-être Gabrielle mettra en ligne nos deux textes : je lui laisse carte blanche pour cela mais ne veux pas le faire moi-même, qu'on ne dise pas que c'est moi qui aie tout inventé...
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
JP B a écrit à mon adresse sur tradition catho
…. Gérard, …. s’est permis d’imaginer qu’il pouvait opposer le « catéchisme de la Doctrine chrétienne publiée[sic] en 1912 par ordre du pape Saint Pie X » avec la Lettre Afflictum proprioribus que le même saint Pontife suprême adressa le 24 novembre 1906 aux évêques de Bolivie.
JP B se permet de ne pas citer La Lettre Afflictum proprioribus de Saint Pie X !
Est-ce qu’il craint que les lecteurs puissent juger par eux-mêmes et en arriver à ma conclusion ?
JP B cite Belmont
»[…] tout mariage valide entre deux baptisés est nécessairement un sacrement ; c’est ainsi que la juridiction sur le mariage des baptisés appartient à l’Église catholique, et à elle exclusivement. »
Belle affirmation de Belmont qui devrait signaler que les papes depuis la Révolution ont, au moins pour la France, abandonné de garder pour eux-seuls, comme ils le devaient, cette belle exclusivité dont il fait l’éloge !
« C’est ici qu’interviennent l’équivoque et l’usurpation du « mariage civil ». Il est la mainmise outrageante sur le mariage chrétien, et il n’est même pas le mariage naturel (bien qu’il puisse l’être, entre des non-baptisés). »
Très belle seconde affirmation de Belmont !
« Mais la malice du prétendu « mariage civil » ne doit pas cacher que le mariage a une nature et des effets civils et doit en avoir, et qu’il est du rôle de l’État de les organiser et de les garantir : c’est là une exigence du bien commun due au fait que le mariage est par nature social et public. »
Là Belmont est complètement barjot !
En effet, la malice du prétendu mariage civil n’a jamais caché que le mariage (cvil) a une nature (supérieure au sacrement qu’il ignore) et des effets civils (qu’elle ne concède qu’au mariage civil et jamais au sacrement comme ont voulu nous le faire croire tous les faux-culs de curés)
Et la conclusion de Belmont montre bien la TOTALE incohérence et confusion de tous les ecclésiastiques concordataires….ils se font les premiers défenseurs du mariage civil en affirmant comme le fait Belmont ici que ce « mariage civil est par nature social et public » et qu’il contribuerait au bien commun.
Voilà le mariage civil légitimé par ceux-là même qui viennent de le vilipender.
L’Eglise a condamné le mariage civil, les ecclésiastiques du haut jusqu’au bas de la hiérarchie l’ont rendu obligatoire…et sont bien obligés de l’encenser pour le rendre obligatoire !
Aujourd’hui la fête continue, les curés donnent un coup de pied dans le cul du mariage civil et se ravisent immédiatement pour lui filer un coup de goupillon !
Et cet abruti de BJP B qui trouvent des frères dans l’imbécilité de tous côtés voudrait nous faire croire qu’il faut nécéssairement être aussi crétins et aussi faux-culs qu’eux pour être catholique.
De l’air pur, s’il vous plait, nous suffoquons !
message reçu par Jean-Paul
Je crois, que Gérard a atteint le fond du mépris envers les Papes et les prêtres légitimes de la Sainte Église...avant le conciliabule.
PS: Je demanderais à notre Admin, de ne pas censurer ce message. Merci
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Gérard a écrit :
JP B a écrit à mon adresse sur tradition catho
…. Gérard, …. s’est permis d’imaginer qu’il pouvait opposer le « catéchisme de la Doctrine chrétienne publiée[sic] en 1912 par ordre du pape Saint Pie X » avec la Lettre Afflictum proprioribus que le même saint Pontife suprême adressa le 24 novembre 1906 aux évêques de Bolivie.
JP B se permet de ne pas citer La Lettre Afflictum proprioribus de Saint Pie X !
Est-ce qu’il craint que les lecteurs puissent juger par eux-mêmes et en arriver à ma conclusion ?
Toujours dans le jugement téméraire, hein, Laurençon !
J'ai donné, dans le premier message du fil, le lien de celui (en écrivant "celui-ci" https://messe.forumactif.org/t3691p30-r-pere-choupin#74829 ) où tu écrivais toi-même, être de mauvaise foi, la citation de Afflictum proprioribus. Tous les lecteurs peuvent s'y reporter, abruti ! Il n'était pas nécessaire que j'alourdisse mon texte dans lequel je voulais, non pas discuter de tes arguments tordus, mais souligner que tu opposes deux textes d'un saint Pape infaillible, ce qui est impossible...
JP B cite (Monsieur l'abbé, charretier !) Belmont
[...]
« Mais la malice du prétendu « mariage civil » ne doit pas cacher que le mariage a une nature et des effets civils et doit en avoir, et qu’il est du rôle de l’État de les organiser et de les garantir : c’est là une exigence du bien commun due au fait que le mariage est par nature social et public. »
Là (Monsieur l'abbé, charretier !) Belmont est complètement barjot !
En effet, la malice du prétendu mariage civil n’a jamais caché que le mariage (cvil) a une nature (supérieure au sacrement qu’il ignore) et des effets civils (qu’elle ne concède qu’au mariage civil et jamais au sacrement comme ont voulu nous le faire croire tous les faux-culs de curés)
Abruti ! Le mariage, même quand il n'était célébré que religieusement avant la révolution, a toujours eu, par nature, deux aspects :
• l'un, sacramentel, supérieur, qui fait que les baptisés mariés sont mariés devant Dieu et qui leur donne d'avoir accès, dans le cadre de leur union, aux grâces surnaturelles du mariage ;
• l'autre, purement naturel au niveau civil quand le mariage n'est pas secret, qui fait reconnaître les époux comme tels aux yeux des hommes.
Ce n'est pas "la malice du prétendu mariage civil" qui fait que le véritable mariage (religieux avant tout pour les baptisés) possède ces deux aspects : c'est la nature même dudit mariage !
[...]
message reçu de Jean-Paul.
Si j'ai pulbié ces deux messages, c'est parce que la Sainte Église est violemment attaquée par la doctrine erronée de Gérard, et qu'il faut que cela se manifeste au grand jour, certe les membres de TD et DJ ( particulièrement, devant qui je lève mon chapeau pour cette brillante défense) ont défendu avec ardeur la Sainte Église et ses Pontifes sur ce point, le temps a passé et Gérard est tombé dans un mépris si profond que cela fait peur.
Relevez-vous, Gérard, par pitié reconnaissez votre erreur et faite amende honorable, Dieu vous en sera gré et vous comblera de ses grâces et dissipera les ténèbres qui vous empêchent de voir la vérité.
Lien vers le forum catholique Deo Juvante, il contient des excellents dossiers, pour celui qui veut avoir l'heure juste sur la situation.
http://deojuvante.forumactif.org/
Dernière édition par gabrielle le Ven 04 Mai 2012, 8:02 am, édité 1 fois (Raison : Oublier le lien de DJ)
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Des propos pareils, c'est à vomir !
Gérard, il est encore temps, là, maintenant ...
Gérard, il est encore temps, là, maintenant ...
Sandrine- Nombre de messages : 4296
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Gérard et le mariage
A propos de la citation de S. Pie X :
Louis a écrit:Gérard a écrit:Saint Pie X a dit :Pie X « afflictum proprioribus » du 24 nov 1906 :
« Or,[ Vouloir donc légiférer sur le mariage des chrétiens de la part de ceux qui procèdent aux affaires civiles, c’est absolument s’attaquer au droit d’autrui et faire un acte entaché de nullité. ….] l’administration des sacrements, le droit qui les régit, comme d’ailleurs toute autre chose sacrée, sont en la puissance de l’Eglise, vérité plus claire que le jour, et c’est pourquoi les lois sur le mariage, loin d’être du ressort du gouvernement civil sont du domaine de l’Eglise et d’elle seule. Dès lors, les chrétiens qui oseraient contracté le mariage civil n’aboutiraient qu’à un simulacre de mariage, ne recevraient pas le sacrement, seul et vrai mariage et obtiendraient INJUSTEMENT les effets civils, attendu que leur principe est nul et de nulle valeur »
Voici le texte de S. Pie X dans les A. A. S. :(Extraits)
«Il conste, en effet, pour le peuple chrétien, sans aucun doute possible, que le mariage institué par Dieu comme une fonction de la nature a été élevé à la dignité de sacrement par Jésus, Sauveur et Rédempteur du genre humain, en sorte que le mariage proprement dit des chrétiens ne se sépare pas de la notion de sacrement. Or l’administration des sacrements, le droit qui les régit, comme d’ailleurs toute autre chose sacrée, sont en la puissance de l’Eglise, vérité plus claire que le jour, et c’est pourquoi les lois sur le mariage, loin d’être du ressort du gouvernement civil sont du domaine de l’Eglise et d’elle seule. Vouloir donc légiférer sur le mariage des chrétiens de la part de ceux qui procèdent aux affaires civiles, c’est absolument s’attaquer au droit d’autrui et faire un acte entaché de nullité. Dès lors, les chrétiens qui oseraient contracter le mariage civil n’aboutiraient qu’à un simulacre de mariage, ne recevraient pas le sacrement, seul et vrai mariage et obtiendraient injustement les effets dits civils, attendu que leur principe est nul et de nulle valeur.»
(Actes de S.S. Pie X , tome III, page 25), bibliothèque de S. Libère.
Note de Louis: le texte en bleu est le début du paragraphe de l'Allocution de S. Pie X et le mot en
rouge n'est pas dans le texte cité par Gérard.
_________________
Bienheureux l'homme qui souffre patiemment la tentation, parce qu'après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l'aiment. S. Jacques I : 12.
Louis- Admin
- Nombre de messages : 17082
Date d'inscription : 26/01/2009
Re: Gérard et le mariage
Cela, Louis, a un tout autre sens que celui que Gérard veut lui attribuer...
B JP- Invité
Réponses privées de Gégé
Dans la réponse privée de Gérard à laquelle je faisais allusion hier soir (https://messe.forumactif.org/t4232p15-gerard-et-le-mariage#80918) et reproduite ici par Gabrielle,
A la suite de tout cela, j’ai cru bon hier soir de reproduire sur Le coin de JP B ces deux citations du Codex Juris Canonici :
En réponse à ces deux citations, j’ai reçu ce matin la réponse privée suivante de Gégé Ier qui se permet, grand canoniste qu’il est et suprême juge infaillible de tous les véritables Papes (cf. « Le juge des Papes formaliter... » sur Le coin de JP B) de commenter ainsi lui-même les textes du Droit canonique :
Notons au passage que cet incompétent par excellence confond toujours l’aspect sacramentel (pour les baptisés) du mariage et ses effets civils : le passage éventuel des conjoints devant un ministre acatholique n’a pas pour objet « l’enregistrement du sacrement » mais l’enregistrement du point de vue seulement civil du mariage (et non point, bien sûr, l’échange des consentements qui, pour les Catholiques, n’est valide qu’à l’Église) car les effets civils du mariage sont une chose et le Sacrement en est une autre. (Sinon les non-baptisés ne pourraient jamais ni être considérés comme mariés ni recevoir – en plus des effets sacramentels qu’ils ne reçoivent effectivement pas – les effets civils de leur mariage !…)
Et notre Gégé vient parler de… « Réalité » !
Outre son langage de charretier que je lui ai souligné dans ma réponse (privée elle aussi) et qui lui fait appeler un Prêtre par son seul nom sans aucune considération pour sa qualité de Prêtre mais le fait qualifier grossièrement, je lui ai écrit, dans ma dite réponse pour ce que je viens de reproduire de la sienne, ceci :Gégé, hier soir, a écrit:
[...]
JP B cite BelmontLà Belmont est complètement barjot !
[...]
Mais la malice du prétendu « mariage civil » ne doit pas cacher que le mariage a une nature et des effets civils et doit en avoir, et qu’il est du rôle de l’État de les organiser et de les garantir : c’est là une exigence du bien commun due au fait que le mariage est par nature social et public.
En effet, la malice du prétendu mariage civil n’a jamais caché que le mariage (cvil) [sic] a une nature (supérieure au sacrement qu’il ignore) et des effets civils (qu’elle ne concède qu’au mariage civil et jamais au sacrement comme ont voulu nous le faire croire tous les faux-culs de curés)
[...]
(Le Droit canonique (Can. 10160) ajoute même un troisième aspect qui fait que les baptisés mariés sont mariés devant l’Église.)[…] Le mariage, même quand il n’était célébré que religieusement avant la révolution, a toujours eu, par nature, deux aspects :
- l’un, sacramentel, supérieur, qui fait que les baptisés mariés sont mariés devant Dieu et qui leur donne d’avoir accès, dans le cadre de leur union, aux grâces surnaturelles du mariage ;
- l’autre, purement naturel au niveau civil quand le mariage n’est pas secret, qui fait reconnaître les époux comme tels aux yeux des hommes.
Ce n’est pas « la malice du prétendu mariage civil » qui fait que le véritable mariage (religieux avant tout pour les baptisés) possède ces deux aspects : c’est la nature même dudit mariage !
A la suite de tout cela, j’ai cru bon hier soir de reproduire sur Le coin de JP B ces deux citations du Codex Juris Canonici :
Canon 1016. (Souligné par JP B.)Le mariage des baptisés est régi non seulement par le droit divin, mais aussi par le droit canonique, sauf la compétence du pouvoir civil au sujet des effets purement civils de ce mariage.
Canon 1063, § 3.[...] il n’est pas défendu, si la loi civile l’exige, que les conjoints se présentent devant un ministre acatholique, agissant exclusivement dans la charge de fonctionnaire civil, et ce uniquement pour accomplir un acte civil, en vue des effets civils du mariage.
En réponse à ces deux citations, j’ai reçu ce matin la réponse privée suivante de Gégé Ier qui se permet, grand canoniste qu’il est et suprême juge infaillible de tous les véritables Papes (cf. « Le juge des Papes formaliter... » sur Le coin de JP B) de commenter ainsi lui-même les textes du Droit canonique :
Gégé Ier, au-dessus des Papes (véritables) et du Droit canonique !
[...]
Très bien le Canon 1016 accorde au pouvoir civil le seul droit d’enregistrer le mariage déjà accompli des catholiques
Le Canon 1063 § 3 fait « comme si » les conjoints qui se présentent devant un ministre acatholique agissait exclusivement dans la charge de fonctionnaire civil et ce uniquement pour accomplir un acte civil (l’enregistrement du sacrement et non pas l’echange [sic] des consentements qui est le contrat de mariage et qui constitue la matière du mariage réservé à l’Eglise) en vue des effets civils du mariage (sacrement)
Le Droit Canon est parfait en ce sens qu’il résout ici le cas (jamais produit depuis la révolution) d’un Etat acatholique bien gentil qui reconnait valide le mariage des cathos.
La perfection du Droit Canon consiste AUSSI a ignorer la Réalité et ainsi à éviter le slalom impossible et boiteux pour résoudre les conséquences de cette réalité bien trop monstrueuse pour être résolue de face !
Dans Arcanum, Léon XIII a pris la même stratégie…ce qui laisse penser (à tort bien sûr) qu’il est permis d’aller tranquillement sans faute se faire bénir le cul (qu’est-ce qu’elle peut bénir d’autre puisque pour elle il n’y a pas d’âme ) par la République !
[...]
Notons au passage que cet incompétent par excellence confond toujours l’aspect sacramentel (pour les baptisés) du mariage et ses effets civils : le passage éventuel des conjoints devant un ministre acatholique n’a pas pour objet « l’enregistrement du sacrement » mais l’enregistrement du point de vue seulement civil du mariage (et non point, bien sûr, l’échange des consentements qui, pour les Catholiques, n’est valide qu’à l’Église) car les effets civils du mariage sont une chose et le Sacrement en est une autre. (Sinon les non-baptisés ne pourraient jamais ni être considérés comme mariés ni recevoir – en plus des effets sacramentels qu’ils ne reçoivent effectivement pas – les effets civils de leur mariage !…)
Et notre Gégé vient parler de… « Réalité » !
B JP- Invité
Re: Gérard et le mariage
A propos de l'encyclique Arcanum de S.S Léon XIII, où il est clairement dit:
Gérard rétorque qu'une encyclique n'est pas infaillible dans toutes ses parties (conclusion de Gérard: ça ne pose pas de problème si le Pape permet un sacrilège au sein d'une encyclique)
Pourtant:
Fil sur Deo, rassemblant pas mal d'éléments:
http://deojuvante.forumactif.org/t61-demande-a-karl
qu’ils [les époux] peuvent en cette matière se soumettre aux lois, l’Eglise elle-même ne s’y opposant point, parce qu’elle veut et désire que les effets du mariage soient sauvegardés dans toute leur étendue, et que les enfants n’éprouvent aucun préjudice.
Gérard rétorque qu'une encyclique n'est pas infaillible dans toutes ses parties (conclusion de Gérard: ça ne pose pas de problème si le Pape permet un sacrilège au sein d'une encyclique)
Pourtant:
Encyclique Humani generis, 12 août 1950 - Pie XII
On ne doit pas penser que ce qui est proposé dans les lettres encycliques n'exige pas de soi l'assentiment, sous le prétexte que les papes n'y exerceraient pas le pouvoir suprême de leur magistère. C'est bien, en effet, du magistère ordinaire que relève cet enseignement et pour ce magistère vaut aussi la parole [du Christ aux Apôtres]: «Qui vous écoute, m'écoute » (Luc X, 16), et le plus souvent ce qui est proposé et imposé dans les encycliques appartient depuis longtemps d'ailleurs à la doctrine catholique. Que si dans leurs actes, les souverains pontifes, portent à dessein un jugement sur une question jusqu'alors disputée, il apparaît donc à tous que, conformément à l'esprit et à la volonté de ces mêmes pontifes, cette question ne peut plus être tenue pour une question libre entre théologiens.
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Catherine- Nombre de messages : 2399
Age : 39
Date d'inscription : 02/04/2009
Re: Gérard et le mariage
Catherine a écrit:A propos de l'encyclique Arcanum de S.S Léon XIII, où il est clairement dit:qu’ils [les époux] peuvent en cette matière se soumettre aux lois, l’Eglise elle-même ne s’y opposant point, parce qu’elle veut et désire que les effets du mariage soient sauvegardés dans toute leur étendue, et que les enfants n’éprouvent aucun préjudice.
Gérard rétorque qu'une encyclique n'est pas infaillible dans toutes ses parties (conclusion de Gérard: ça ne pose pas de problème si le Pape permet un sacrilège au sein d'une encyclique)
Pourtant:Encyclique Humani generis, 12 août 1950 - Pie XII
On ne doit pas penser que ce qui est proposé dans les lettres encycliques n'exige pas de soi l'assentiment, sous le prétexte que les papes n'y exerceraient pas le pouvoir suprême de leur magistère. C'est bien, en effet, du magistère ordinaire que relève cet enseignement et pour ce magistère vaut aussi la parole [du Christ aux Apôtres]: «Qui vous écoute, m'écoute » (Luc X, 16), et le plus souvent ce qui est proposé et imposé dans les encycliques appartient depuis longtemps d'ailleurs à la doctrine catholique. Que si dans leurs actes, les souverains pontifes, portent à dessein un jugement sur une question jusqu'alors disputée, il apparaît donc à tous que, conformément à l'esprit et à la volonté de ces mêmes pontifes, cette question ne peut plus être tenue pour une question libre entre théologiens.
Fil sur Deo, rassemblant pas mal d'éléments:
http://deojuvante.forumactif.org/t61-demande-a-karl
Merci Catherine pour le lien exact.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Gérard et le mariage
JP B me traite d’andouille mais lui qui brille habituellement par son indiscrétion, il est testé très discrèt et n’a pas cru mettre sur son forum les âneries à Belmont.
L’andouille se permet de lui dire qu’elle a reçue ce qualificatif d’un dégonflard !
Il s’en tire en se rassurant sur le Droit Canonique :
http://foicatholique.cultureforum.net/t4093-reponse-a-gerard-sur-le-mariage#23177
http://www.clerus.org/clerus/dati/2001-03/20-6/CIC17l3.html#_Toc509674636
Citation:
Le mariage des baptisés est régi non seulement par le droit divin, mais aussi par le droit canonique, [b]sauf la compétence du pouvoir civil au sujet des effets purement civils de ce mariage.○1/b]
Canon 1016. (Souligné par JP B.)
http://www.clerus.org/clerus/dati/2001-03/20-6/CIC17l3.html#_Toc509674639
Citation:
[...] il n’est pas défendu, si la loi civile l’exige, que les conjoints se présentent devant un ministre acatholique, agissant exclusivement dans la charge de fonctionnaire civil, et ce uniquement pour accomplir un acte civil, en vue des effets civils du mariage.
Canon 1063, § 3.
Très bien le Canon 1016 accorde au pouvoir civil le seul droit d’enregistrer le mariage déjà accompli des catholiques
Le Canon 1063 § 3 fait « comme si » les conjoints qui se présentent devant un ministre acatholique agissait exclusivement dans la charge de fonctionnaire civil et ce uniquement pour accomplir un acte civil (l’enregistrement du sacrement et non pas l’echange des consentements qui est le contrat de mariage et qui constitue la matière du mariage réservé à l’Eglise) en vue des effets civils du mariage (sacrement)
Le Droit Canon est parfait en ce sens qu’il résout ici le cas (jamais produit depuis la révolution) d’un Etat acatholique bien gentil qui reconnait valide le mariage des cathos.
La perfection du Droit Canon consiste AUSSI a ignorer la Réalité et ainsi à éviter le slalom impossible et boiteux pour résoudre les conséquences de cette réalité bien trop monstrueuse pour être résolue de face !
Dans Arcanum, Léon XIII a pris la même stratégie…ce qui laisse penser (à tort bien sûr) qu’il est permis d’aller tranquillement sans faute se faire bénir le cul (qu’est-ce qu’elle peut bénir d’autre puisque pour elle il n’y a pas d’âme ) par la République !
Pilate s’est aussi lavé les mains mais elles n’en furent pas plus propres après qu’avant !
Pour ma part, cela dépasse les bornes, Gérard ne manifeste aucune volonté à se rétracter.
Je crois, qu'il est plus sage maintenant de faire tomber dans le silence ces propos diffamants et vulgaires, afin de ne pas augmenter sa responsabilité devant Dieu.
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
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