La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
3 participants
Page 1 sur 1
La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Je ne comprends pas la démarche de la secte, elle vient de se condamner elle-même en reconnaissant ce que veut dire sa traduction de 1966, et en plus, elle ne reprend même pas la traduction de la Sainte Église pour mieux berner les gens, mais invente une troisième traduction...[La secte] valide une nouvelle traduction du « Notre Père »
Une nouvelle traduction liturgique de la Bible, fruit de dix-sept ans de travail, a été validée par le Vatican avec une nouvelle version de la prière du « Notre Père ».
Cette nouvelle version du « Notre Père » n’entrera pas en vigueur avant 2014 dans les "lectionnaires", et avant 2015 dans les "missels".
En quoi la prière du « Notre Père » va-t-elle changer ?
Le « Notre Père », qui figure dans les évangiles selon saint Matthieu et saint Luc, est la seule prière que Jésus-Christ a transmise à ses disciples. Elle est donc très importante pour l’ensemble des chrétiens. Dans le cadre de la traduction intégrale de la Bible en vue de la liturgie, confiée depuis 1996 à un groupe de biblistes et d’écrivains francophones, le texte du « Notre Père » a fait l’objet d’une nouvelle traduction. Mais seule la sixième demande de cette prière – « Et ne nous soumets pas à la tentation » – a été modifiée. Elle devient : « Et ne nous laisse pas entrer en tentation ».
« Cette nouvelle traduction met davantage l’accent sur la communion avec le Christ qui a connu la tentation », explique "Mgr" Bernard Podvin, porte-parole de la Conférence des "évêques" de France (CEF). De fait, les Évangiles parlent de Jésus conduit par l’Esprit au désert pour y être tenté (Mt 4,11), ou du conseil qu’il donne à ses disciples à Gethsémani : « Priez pour ne pas entrer en tentation » (Mt 26,41). « Demander au Père de ne pas nous laisser entrer en tentation, poursuit "Mgr" Podvin, c’est Lui demander la force de combattre et d’écarter complètement la tentation comme le Fils l’a fait. »
Pourquoi cette nouvelle traduction du « Notre Père » ?
Dès la nouvelle traduction en français du « Notre Père » en 1966, un problème est apparu d’un point de vue théologique à propos de cette sixième demande : « Ne nous laissez pas succomber à la tentation » était devenu « Ne nous soumets pas à la tentation ».
En fait, le verbe grec « eisphérô » (Mt 6,13) qui signifie littéralement « porter dans », « faire entrer », aurait dû être traduit par « Ne nous induis pas en tentation » ou « Ne nous fais pas entrer en (dans la) tentation », ou encore « Ne nous introduis pas en tentation ». « Ce verbe exprime un mouvement vers un lieu où l’on pénètre », avance "Mgr" Hervé Giraud, évêque de Soissons.
Or la formulation de 1966 laissait supposer une certaine responsabilité de Dieu dans la tentation qui mène au péché, comme s’il pouvait être l’auteur du mal. « Cette traduction pouvait prêter à confusion et méritait donc un approfondissement théologique », poursuit "Mgr" Podvin. Pour autant, « il faut avoir envers les fidèles qui ont prié ainsi pendant des décennies beaucoup de sens pastoral », s’empresse-t-il d’ajouter.
Plusieurs traductions ont donc été étudiées depuis cinquante ans – « Fais que nous n’entrions pas en (dans la) tentation » ; « Ne nous fais pas entrer dans la tentation » ; « Ne permets même pas que nous entrions en tentation » – mais aucune n’a été jugée satisfaisante.
Comment cette nouvelle traduction a-t-elle été réalisée ?
La Traduction officielle liturgique de la Bible est une œuvre collective de plus de 70 spécialistes, exégètes, hymnographes, hommes et femmes de lettres… C’est le résultat d’un « long processus de dialogue permanent entre trois instances », selon "Mgr" Podvin.
D’abord, la Commission "épiscopale" francophone pour les traductions liturgiques (CEFTL) au sein de laquelle se trouvent aujourd’hui deux "évêques" français : "Mgr" Bernard-Nicolas Aubertin, archevêque de Tours, et "Mgr" Guy de Kerimel, "évêque" de Grenoble ; puis les différentes conférences "épiscopales" concernées, dont la CEF ; enfin, la Congrégation pour le "culte divin". Au bout de dix-sept ans et après de nombreux va-et-vient avec les deux autres instances, la Congrégation pour le "culte divin" vient d’entériner la nouvelle traduction.
« On est désormais dans une troisième étape qui sera physiquement signifiée le 9 novembre prochain, au cours de l’assemblée plénière des "évêques" à Lourdes », raconte encore "Mgr" Podvin. Ce jour-là, la nouvelle Bible liturgique sera remise aux évêques par l’éditeur Mame. Et elle sera publiée le 22 novembre par l’Association épiscopale liturgique pour les pays francophones (AELF) qui regroupe les conférences "épiscopales" de France, de Belgique, du Luxembourg, de Suisse, du Canada et de l’Afrique du Nord.
Quand les fidèles vont-ils voir ce changement entrer en vigueur ?
En 2014, le mardi 11 mars et le jeudi 19 juin, lorsque sera proclamé dans les paroisses [conciliaires] l’Évangile sur l’enseignement par Jésus de la prière au Père (Mt 6,13), les fidèles n’entendront pas la nouvelle version du « Notre Père ». Car la nouvelle traduction n’entrera officiellement en vigueur dans les "lectionnaires" (livre liturgique "catholique") et ne sera donc lue dans les paroisses et les communautés chrétiennes qu’après leur « recognitio » (reconnaissance) romaine : « sans doute en 2014 », selon "Mgr" Podvin. Et ce n’est qu’ensuite, « pas avant 2015 » que le nouveau "Missel", avec la nouvelle version du « Notre Père », sera approuvé, puis imprimé. « D’ici là, estime "Mgr" Podvin, les esprits "chrétiens" auront le temps de se préparer. »
Qu’en pensent les autres "chrétiens" ?
La traduction française de la sixième demande du Notre Père avait été adoptée par toutes les confessions "chrétiennes" depuis 1966, en tant que « version œcuménique ». Les protestants et orthodoxes s’intéressent donc de près à cette nouvelle version du Notre Père qui, aux yeux du "pasteur" Jean Tartier, ancien membre du Conseil d’Églises chrétiennes en France (CECEF), est « de toute façon meilleure que l’ancienne ».
De même, Antoine Arjakovsky, "orthodoxe", historien et enseignant au Collège des Bernardins à Paris, se réjouit spontanément de cette nouvelle traduction car « l’ancienne formule de 1966 laissait sous-entendre que Dieu était à l’origine du mal ». Et de citer l’important travail de l’orthodoxe Jean-Marie Gourvil qui, en 2004 déjà, avait publié « Ne nous laisse pas entrer dans l’épreuve. Une nouvelle traduction du “Notre Père” » (1). Il faut donc maintenant que cette nouvelle version du Notre Père « prenne sa dimension œcuménique, selon Jean Tartier : car il ne faudrait pas que les protestants et "orthodoxes", eux, gardent l’ancienne formule ! ».
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/L-Eglise-valide-une-nouvelle-traduction-du-Notre-Pere-2013-10-15-1042839 )
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Plus perfide que la secte, ça se peut pas!
Après avoir bien ancré dans la tête de tous leur traduction falsifiée, elle change pour une autre...
Quant à l'aveu du sens de la formule à bannir, il est à remarquer que même si elle blasphématoire, elle restera encore un bout de temps...
Après avoir bien ancré dans la tête de tous leur traduction falsifiée, elle change pour une autre...
Quant à l'aveu du sens de la formule à bannir, il est à remarquer que même si elle blasphématoire, elle restera encore un bout de temps...
gabrielle- Nombre de messages : 19556
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Les Intrus n’en sont pas à une invention près ! Une prochaine fois, pour n’importe lequel "réaménagement",Benjamin a écrit:Je ne comprends pas la démarche de la secte, elle vient de se condamner elle-même en reconnaissant ce que veut dire sa traduction de 1966, et en plus, elle ne reprend même pas la traduction de la Sainte Église pour mieux berner les gens, mais invente une troisième traduction...
- Spoiler:
[La secte] valide une nouvelle traduction du « Notre Père »
Une nouvelle traduction liturgique de la Bible, fruit de dix-sept ans de travail, a été validée par le Vatican avec une nouvelle version de la prière du « Notre Père ».
Cette nouvelle version du « Notre Père » n’entrera pas en vigueur avant 2014 dans les "lectionnaires", et avant 2015 dans les "missels".
En quoi la prière du « Notre Père » va-t-elle changer ?
Le « Notre Père », qui figure dans les évangiles selon saint Matthieu et saint Luc, est la seule prière que Jésus-Christ a transmise à ses disciples. Elle est donc très importante pour l’ensemble des chrétiens. Dans le cadre de la traduction intégrale de la Bible en vue de la liturgie, confiée depuis 1996 à un groupe de biblistes et d’écrivains francophones, le texte du « Notre Père » a fait l’objet d’une nouvelle traduction. Mais seule la sixième demande de cette prière – « Et ne nous soumets pas à la tentation » – a été modifiée. Elle devient : « Et ne nous laisse pas entrer en tentation ».
« Cette nouvelle traduction met davantage l’accent sur la communion avec le Christ qui a connu la tentation », explique "Mgr" Bernard Podvin, porte-parole de la Conférence des "évêques" de France (CEF). De fait, les Évangiles parlent de Jésus conduit par l’Esprit au désert pour y être tenté (Mt 4,11), ou du conseil qu’il donne à ses disciples à Gethsémani : « Priez pour ne pas entrer en tentation » (Mt 26,41). « Demander au Père de ne pas nous laisser entrer en tentation, poursuit "Mgr" Podvin, c’est Lui demander la force de combattre et d’écarter complètement la tentation comme le Fils l’a fait. »
Pourquoi cette nouvelle traduction du « Notre Père » ?
Dès la nouvelle traduction en français du « Notre Père » en 1966, un problème est apparu d’un point de vue théologique à propos de cette sixième demande : « Ne nous laissez pas succomber à la tentation » était devenu « Ne nous soumets pas à la tentation ».
En fait, le verbe grec « eisphérô » (Mt 6,13) qui signifie littéralement « porter dans », « faire entrer », aurait dû être traduit par « Ne nous induis pas en tentation » ou « Ne nous fais pas entrer en (dans la) tentation », ou encore « Ne nous introduis pas en tentation ». « Ce verbe exprime un mouvement vers un lieu où l’on pénètre », avance "Mgr" Hervé Giraud, évêque de Soissons.
Or la formulation de 1966 laissait supposer une certaine responsabilité de Dieu dans la tentation qui mène au péché, comme s’il pouvait être l’auteur du mal. « Cette traduction pouvait prêter à confusion et méritait donc un approfondissement théologique », poursuit "Mgr" Podvin. Pour autant, « il faut avoir envers les fidèles qui ont prié ainsi pendant des décennies beaucoup de sens pastoral », s’empresse-t-il d’ajouter.
Plusieurs traductions ont donc été étudiées depuis cinquante ans – « Fais que nous n’entrions pas en (dans la) tentation » ; « Ne nous fais pas entrer dans la tentation » ; « Ne permets même pas que nous entrions en tentation » – mais aucune n’a été jugée satisfaisante.
Comment cette nouvelle traduction a-t-elle été réalisée ?
La Traduction officielle liturgique de la Bible est une œuvre collective de plus de 70 spécialistes, exégètes, hymnographes, hommes et femmes de lettres… C’est le résultat d’un « long processus de dialogue permanent entre trois instances », selon "Mgr" Podvin.
D’abord, la Commission "épiscopale" francophone pour les traductions liturgiques (CEFTL) au sein de laquelle se trouvent aujourd’hui deux "évêques" français : "Mgr" Bernard-Nicolas Aubertin, archevêque de Tours, et "Mgr" Guy de Kerimel, "évêque" de Grenoble ; puis les différentes conférences "épiscopales" concernées, dont la CEF ; enfin, la Congrégation pour le "culte divin". Au bout de dix-sept ans et après de nombreux va-et-vient avec les deux autres instances, la Congrégation pour le "culte divin" vient d’entériner la nouvelle traduction.
« On est désormais dans une troisième étape qui sera physiquement signifiée le 9 novembre prochain, au cours de l’assemblée plénière des "évêques" à Lourdes », raconte encore "Mgr" Podvin. Ce jour-là, la nouvelle Bible liturgique sera remise aux évêques par l’éditeur Mame. Et elle sera publiée le 22 novembre par l’Association épiscopale liturgique pour les pays francophones (AELF) qui regroupe les conférences "épiscopales" de France, de Belgique, du Luxembourg, de Suisse, du Canada et de l’Afrique du Nord.
Quand les fidèles vont-ils voir ce changement entrer en vigueur ?
En 2014, le mardi 11 mars et le jeudi 19 juin, lorsque sera proclamé dans les paroisses [conciliaires] l’Évangile sur l’enseignement par Jésus de la prière au Père (Mt 6,13), les fidèles n’entendront pas la nouvelle version du « Notre Père ». Car la nouvelle traduction n’entrera officiellement en vigueur dans les "lectionnaires" (livre liturgique "catholique") et ne sera donc lue dans les paroisses et les communautés chrétiennes qu’après leur « recognitio » (reconnaissance) romaine : « sans doute en 2014 », selon "Mgr" Podvin. Et ce n’est qu’ensuite, « pas avant 2015 » que le nouveau "Missel", avec la nouvelle version du « Notre Père », sera approuvé, puis imprimé. « D’ici là, estime "Mgr" Podvin, les esprits "chrétiens" auront le temps de se préparer. »
Qu’en pensent les autres "chrétiens" ?
La traduction française de la sixième demande du Notre Père avait été adoptée par toutes les confessions "chrétiennes" depuis 1966, en tant que « version œcuménique ». Les protestants et orthodoxes s’intéressent donc de près à cette nouvelle version du Notre Père qui, aux yeux du "pasteur" Jean Tartier, ancien membre du Conseil d’Églises chrétiennes en France (CECEF), est « de toute façon meilleure que l’ancienne ».
De même, Antoine Arjakovsky, "orthodoxe", historien et enseignant au Collège des Bernardins à Paris, se réjouit spontanément de cette nouvelle traduction car « l’ancienne formule de 1966 laissait sous-entendre que Dieu était à l’origine du mal ». Et de citer l’important travail de l’orthodoxe Jean-Marie Gourvil qui, en 2004 déjà, avait publié « Ne nous laisse pas entrer dans l’épreuve. Une nouvelle traduction du “Notre Père” » (1). Il faut donc maintenant que cette nouvelle version du Notre Père « prenne sa dimension œcuménique, selon Jean Tartier : car il ne faudrait pas que les protestants et "orthodoxes", eux, gardent l’ancienne formule ! ».
( source : http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/L-Eglise-valide-une-nouvelle-traduction-du-Notre-Pere-2013-10-15-1042839 )
"ils" reprendront, soyez-en sûr, une traduction de la Sainte Église. Ce sont des serpents capables d’une très grande perfidie.
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Cette seule affirmation suffirait à les éviter pour toujours !!gabrielle a écrit:
...Après avoir bien ancré dans la tête de tous leur traduction falsifiée, elle change pour une autre...
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
La nouvelle traduction du Notre Père, « pour sortir de l’ambiguïté »
(...)
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/La-nouvelle-traduction-du-Notre-Pere-pour-sortir-de-lambiguite-2017-11-15-1200892223
"On est l'Église Catholique mais nos prières sont ambiguës"
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
« La nouvelle traduction du Notre Père ne résout pas le problème théologique »
(...)
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/nouvelle-traduction-Notre-Pere-resout-pas-probleme-theologique-2017-11-24-1200894438
"On est l'Église Catholique mais on a des problèmes théologiques avec nos prières"
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Notre Père : les versions se succèdent…
(...)
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Notre-Pere-versions-succedent-2017-11-27-1200895178
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Benjamin a écrit:Notre Père : les versions se succèdent…
Un vrai clown que cet antipape Bergoglio...
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
"Frère" Jocelyn Dorvault : « Une tension entre fidélité au texte et liberté de l’interprétation »
(...)
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Frere-Jocelyn-Dorvault-tension-entre-fidelite-texte-liberte-linterpretation-2017-12-01-1200896344
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
[L'antipape] suggère de changer le Notre Père en italien
Nicolas Senèze, à Rome , le 07/12/2017 à 16h31 Envoyer par email
Commentant le Notre Père à la télévision italienne, [l'antipape] s’est félicité du changement de traduction opéré en France
(...)
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Pape/Le-pape-suggere-de-changer-le-Notre-Pere-en-italien-2017-12-07-1200897799
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Benjamin a écrit:[L'antipape] suggère de changer le Notre Père en italien
Pourquoi pas en espéranto, tant qu'à y être ?
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Bientôt en France, une nouvelle traduction du Credo
(...)
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/Bientot-en-France-une-nouvelle-traduction-du-Credo-2018-01-18-1200906877
Benjamin- Nombre de messages : 6869
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La secte change à nouveau sa traduction du « Notre Père »
Benjamin a écrit:Bientôt en France, une nouvelle traduction du Credo
Et, c'est reparti ! Et vogue le rafiot de la secte !
ROBERT.- Nombre de messages : 34713
Date d'inscription : 15/02/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum